La conversation sur le chat était quand même bizarre mais assez amusante a vrai dire. Parler de chat n’est surement pas la meilleur des choses, mais je peux remarquer que j’ai semé le doute dans ton esprit en parlant de ça. Je devais avouer avant qu’on offre ce chat a Samuel je n’aurais jamais pensé vivre avec un animal pareille. C’est mieux ça qu’un chien en réalité. Surtout avec les boulots que l’on fait. Mais quand tu exprimes le fait que tu seras surement un bon papa chat je ne peux m’empêcher de rigoler. C’est vrai que ses animaux ont a tellement envie de les câlines, les chouchoutés a longueur de journée qu’on est gaga d’eux. Ce n’est pas eux qui sont foufou de nous mais l’inverse. C’est drôle à voir par moment.
« Mais tu sais que j’engueuler Duck. Mais tu seras aussi très gaga tu vas voir ! »
Je rigole une nouvelle fois à mes paroles. Puis quand tu m’as lancé sur le sujet de mon pays je n’ai pas pu m’arrêter comme si j’étais un moulin a parole, à devoir expliquer les moindres petits endroits qui se trouvent là-bas. Tu parles de mes expériences comme les bains de minuit au pied de la montage dans une eau très chaude alors qu’il faut moins vingt à l’extérieur. Puis nous parlons de la bière je dois aussi avouer que notre bière là-bas et l’une des meilleurs, l’une que beaucoup puissent réclamer en faite ce qui je me fais doucement rire.
Une fois que nous sommes monté dans ton bureau, non pas pour faire des choses interdites, mais bien évidemment pour que tu me racontes ton voyage au Mali. Voyage dont je peux lire sur ton visage une certaine fierté, une joie de pouvoir m’en parler. Puis je t’avoue aussi à plusieurs reprises que ça m’intéresse surtout que tu me change totalement les idées. Idées qui n’étaient pas très bonne en début de journée. Ca faisait du bien de te connaitre mieux, de savoir se qui tu aimes ou non, se que tu as vécu surtout. Tu n’es plus qu’un simple collègue à présent.
Plus la journée passe, plus je me confie a toi. Tu pouvais alors savoir que, ma journée a mal commencé par rapport a mon couple. Un couple que je commence à voir partir en miette mais surtout dont j’ai aucune envie qu’il cesse. Je fais bien des efforts pour qu’il vie encore mais c’était un peut dur. J’ai cette facilité de parler avec toi maintenant que je me rends compte que tu es, tout aussi agréable mais que tu as aussi vécu des choses pas sympathique. Mutuellement on c’est confier sans se juger…
La fin de journée se passe ainsi, puis tu m’as ramené chez moi et on c’est surtout promis de se revoir rapidement. Je dois avouer que, quand je rentre chez moi j’ai ce sourire aux lèvres, un sourire agréable, d’avoir passer une sourire sympathique mais surtout d’avoir découvert des choses sur ta personne que je n’aurais jamais imaginé.