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 (gabrielle) rage against the machine

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Message(#)(gabrielle) rage against the machine EmptyDim 9 Oct 2022 - 20:40

De là où il se tenait, la machinerie du bateau vrombissait suffisamment fort pour qu’il ne puisse pas entendre le bruit de son estomac qui criait famine. Après quatre jours à se débattre avec le mal de mer et l’impossibilité de garder quoi que ce soit à l’intérieur plus d’un quart d’heure, son organisme avait décidé de se remettre en marche pile quand il avait d’autres chats à fouetter. À l’instant où tout le monde avait tourné le dos il en avait profité pour s’éclipser, gageant que si on le cherchait, il serait aisé de l’imaginer la tête dans la cuvette des toilettes réservées à l’équipage – en vérité, rien ne disait qu’il n’en serait pas ainsi plus tard. Voilà quelque chose auquel il aurait dû penser avant de sauter sur l’occasion de prendre la place à bord de ce crétin d’Alvaro … Mais allons, le bougre n’avait pas “accidentellement” fait une chute de six étages devant son nez pour qu’il n’y voit pas un signe du Destin. Et la quantité de babioles hors de prix qu’il espérait trouver en fond de cale valait largement d’avoir la nausée – du moins il l’espérait.

Il était descendu si bas dans les couches de la coque qu’il se demandait désormais si après la tôle sous ses pieds ne se trouvait pas directement l’océan. N’était-ce pas fascinant ? Ils étaient comme des fourmis qui voguaient sur une coquille de noix, défiant les lois de la physique qui voudraient qu’ils chavirent à la première vague, et celles de la nature qui voudraient les noyer pour ne s’être pas contentés de leur nature de mammifères terrestres. « Qu’est-ce qu’on a là ? » Sans gêne aucune, le voilà qui déambulait depuis dix bonnes minutes au milieu des valises et autres malles embarquées par des passagers qui de toute évidence étaient incapables de voyager léger – et comment ne pas en ricaner, quand comme Vittorio (pardon, aLvArO) on faisait tenir l’entièreté de ses possessions dans une besace usée ? « Merci, l’ami. » Merci d’avoir laissé traîner un briquet sérigraphié qui valait probablement plus cher que le salaire que Vitto pourrait espérer toucher à la fin de ce voyage sur les flots. Glissant l’objet dans sa poche, il avait fait encore quelques pas puis s’était agrippé à la première chose passant à sa portée tandis que le bateau fendait une vague plus grosse que les autres.

D’accord, peut-être que son mal de mer n’était pas entièrement passé, finalement. Fermant les yeux et prenant de grandes inspirations par le nez, il en venait à regretter qu’il n’y ait ni fenêtre ni le moindre brin d’air à ce niveau – il était temps de remonter de quelques étages. Mais ça bien sûr, c’était sans compter cette sale fouineuse qui lui collait aux basques depuis qu’ils avaient levé l’ancre : l’avait-elle suivi ? Ou bien leurs desseins étaient-ils finalement identiques ? Vitto n’avait pas besoin de concurrence, encore moins d’une greluche dans son genre … Il allait falloir se débarrasser d’elle. « Bouh. » D’une manière ou d’une autre.

500 mots tout pile pour madame @Gabrielle Strange :drama:
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Message(#)(gabrielle) rage against the machine EmptyLun 10 Oct 2022 - 21:54

Eileen a embarqué sur ce paquebot dans l’espoir de fuir une vie qui ne lui correspondait plus. Il a fallu d’un moment, un seul pour que sa vie bascule complètement et l’oblige à remettre tout ce qu’elle a toujours voulu en question. Elle a toujours souhaité suivre le chemin de son père, devenir toute puissante comme lui et être la parfaite fille à son père qui reprendrait le flambeau une fois sa mort venue, le rendant ainsi fier d’elle. Mais fier, il ne l’est sûrement pas alors qu’elle a pris la fuite et que tout le monde doit être à sa recherche partout dans la ville. Elle espère d’ailleurs qu’il n’y a personne sur ce bateau qui pourrait la reconnaitre et, pire encore, décider de vendre la mèche à Nicholas James pour obtenir une grosse fortune et une reconnaissance éternelle de sa part. C’est ce qui explique pourquoi sur ce bateau, Eileen n’est pas Eileen James mais Gabrielle Strange. Une nouvelle identité, une nouvelle vie également, à l’opposé de celle qu’elle a pu connaitre jusqu’à monter sur ce bateau en devenant une personne lambda et méconnue au bataillon. Une simple serveuse le temps des déjeuners et dîners quotidiens, mais aussi une femme de chambre loin d’être expérimenté quand elle n’a jamais eu à faire une seule tâche ménagère de sa vie. Mais si elle veut pouvoir se construire une nouvelle vie, elle se doit de jouer le jeu, accepter qu’on la traite comme une moins que rien et qu’on la juge de haut dans ses vêtements qui n’ont rien à envier à ceux de la bourgeoisie présente à bord.

D’ailleurs, comme elle a renversé tout son plateau hier soir sur une dame de grande fortune, voilà qu’on l’a envoyé dans le fond de cale pour remettre un peu d’ordre dans cet endroit où est entreposé à la fois les valises des passagers mais aussi de vieux trucs tout poussiéreux. La voilà donc avec son bandeau sur la tête, ses cheveux noués en désordre et une tenue qui ne rendrait sûrement pas fier son père tant elle est négligée. Peu importe pour l’heure, c’est un dénommé Alvaro qui attire son attention alors qu’elle était en train de ramasser le contenu d’une boite qu’elle venait une nouvelle fois de faire tomber.  L’observant de loin,  caché dans un coin, elle voit ce collègue plus que suspicieux en train de se remplir les poches. Elle a des doutes sur lui depuis quelques jours et voilà qu’elle le surprend la main dans le sac. « Bouh. » Manque de bol, lui aussi, puisqu’il se rend compte de sa présence, ce qui oblige Gabrielle à se relever et à le toiser du regard « Je savais que tu n’étais qu’une petite vermine, Alvaro c’est un doigt accusateur qu’elle pointe vers lui je devrais envisager de te balancer au capitaine… à moins qu’ils ne trouvent potentiellement un petit arrangement.

et 487 mots pour monsieur  @Vittorio Giovinazzo  (gabrielle) rage against the machine 3922047296
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Message(#)(gabrielle) rage against the machine EmptyVen 14 Oct 2022 - 19:33

Qu’on ne compte pas sur Vittorio pour s’émouvoir de la peine que pourrait causer l’un de ses larcins. Si l’on tenait réellement à quelque chose, on le gardait en sécurité dans un coffre, pas dans sa valise pour mieux l’abandonner à fond de cale d’un navire des jours entiers – à vrai dire il rendait même service à ses victimes : la prochaine fois elles ne referaient pas cette erreur, et tout cela grâce à lui. Lui ne possédait rien, cela réglait bien des problèmes et garantissait de toujours voyager léger, et si la vie décidait subitement de faire de lui un homme riche, il se jurait d’utiliser sa fortune pour se remplir la panse et dormir dans les draps en soie des plus beaux hôtels, plutôt que de le dépenser en babioles inutiles. Qui avait besoin d’un briquet gravé à ses initiales, hormis ceux dont la mémoire flanchait au point de leur faire oublier leur nom ? Les lubies des riches étaient un domaine de questionnement à part entière.

Persuadé que le briquet subtilisé ne manquerait à personne, pas plus que le carré de soie enfourné dans sa poche comme un vulgaire chiffon quelques secondes auparavant, notre voleur aurait continué de faire son shopping si une vague ne l’avait pas interrompu et forcé à s’accrocher à ce qu’il avait sous la main en prenant une grande inspiration. Tu ne vomiras pas dans cette cale, carino. Dans son malheur, l’intermède lui avait aussi permis de remarquer la présence de Gabrielle, femme de chambre de son état et enquiquineuse de service entre chaque lit refait au carré. « Je savais que tu n’étais qu’une petite vermine, Alvaro, » avançant dans sa direction, semblant ironiquement avoir bien plus le pied marin que lui dès lors que les vagues secouaient un peu, elle avait pointé sur lui un doigt accusateur. « je devrais envisager de te balancer au capitaine … » Une enquiquineuse et une balance, décidément. « J’suis terrifié, regarde. » avait-il alors rétorqué, lui présentant ses mains exagérément tremblantes. « J’vois pas de quoi tu parles, et encore moins ce que tu pourrais vouloir balancer. » Haussant les épaules, il avait marqué une pause et ajouté d’un ton narquois « Et entre nous, j’me demande bien quelle parole aurait le plus de poids entre moi qui n’ait pas commis le moindre impair depuis qu’on a levé l’ancre, et toi qui a envoyé toute la toilette de cette vecchia strega à la blanchisserie pas plus tard qu’hier. »

Elle pouvait bien se donner des airs de cendrillon avec son chiffon sur la tête, personne ici ne la prendrait en pitié si elle faisait son travail de travers. Et pour quelqu’un qui n’hésitait pas à le traiter de vermine d’un ton revêche, elle semblait oublier qu’aux yeux du capitaine ils n’étaient que deux petites souris dont il n’avait que faire – pour sûr qu’il devait préférer le personnel qui ne faisait pas parler de lui, que ce soit pour se faire mousser ou pour dénoncer ses camarades.

500 MOTS – @GABRIELLE STRANGE (gabrielle) rage against the machine 3922047296
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Message(#)(gabrielle) rage against the machine EmptySam 15 Oct 2022 - 19:01

Il était louche Alvaro. Il tournait toujours bien trop proche de certains passagers fortunés, il avait toujours le regard à l’affût autour de lui avec cette arrogance qui a agacé Gabrielle dès le premier jour. Peut-être aurait-t-elle dû envisager de se spécialiser dans le mentalisme plutôt que de vouloir suivre son père, ou peut-être devrait-t-elle l’envisager maintenant qu’elle souhaitait repartir de zéro. Ses mimiques ne la trahissaient pas elle. Il avait un truc à cacher. En plus de lui confirmer ce qu’elle savait déjà – un voleur, un de plus à bord de ce navire - en le voyant agir dans la cale où ils se trouvaient tous deux, elle se demandait s’il n'y avait pas autre chose… et notamment, si ce Alvaro était réellement Alvaro. Et concernant les fausses identités, disons que, désormais, elle s’y connaissait, elle n’était pas blanche comme neige à ce sujet. « J’suis terrifié, regarde. » Non il n’y a évidemment pas de peur chez lui quand Gabrielle le menace de le balancer au capitaine à propos de ses petits tours de passe-passe. « J’vois pas de quoi tu parles, et encore moins ce que tu pourrais vouloir balancer (…) Et entre nous, j’me demande bien quelle parole aurait le plus de poids entre moi qui n’ait pas commis le moindre impair depuis qu’on a levé l’ancre, et toi qui a envoyé toute la toilette de cette vecchia strega à la blanchisserie pas plus tard qu’hier. » Ses yeux se plissent, mauvais, à son encontre, alors qu’il souligne la maladresse dont elle a fait preuve, et surtout à laquelle il a visiblement assisté, hier soir. Est-ce qu’il marque un point et qu’elle se retrouve juste prise au dépourvu ? Elle le fixe, silencieuse quelques secondes et puis « Uhm… elle se mouve légèrement en faisant quelques pas, réfléchissant, puis finit par se tourner Tu finiras par flancher, commettre un impair toi aussi et tu risques de ne pas valoir plus que moi sur ce bateau de malheur Parce que bien que ce soit sa possible porte de sortie, Gabrielle ne prend aucun plaisir à être ici J’ai peut-être plus de chances que toi pour convaincre les colosses qui sont chargés de la surveillance du navire de t’avoir à l’oeil… une nouvelle pause où, à nouveau, elle s’approche de lui choisir le coupable entre celui qui vole des passagers fortunés ou celle qui salit la robe hideuse d’une riche bourgeoise, je pense que leur choix sera vite fait ».

et 420 mots @Vittorio Giovinazzo  (gabrielle) rage against the machine 3922047296
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Message(#)(gabrielle) rage against the machine EmptyDim 16 Oct 2022 - 7:21

Elle ne lui aurait pas autant cassé les pieds depuis qu'ils avaient levé l'ancre, qu'il lui aurait quand même collé sur le front l'étiquette d'enquiquineuse simplement pour cet air pincé qu'elle avait chaque fois qu'elle ouvrait la bouche. Madame la Marquise Gabrielle Strange changeait des draps et faisait les poussières armée d'un chiffon et d'un tablier, mais elle s'estimait visiblement trop bien pour lui – trop bien pour n'importe lequel de ses congénères membre d'équipage, même, allez savoir. Mais en plus d'être une bêcheuse il avait aussi fallu qu'elle soit une salle fouine, bien décidée à l'empêcher d'accomplir tranquillement le dessein pour lequel il était monté à bord et acceptait depuis des jours de faire le mariole en uniforme, pendant que son estomac prenait des cours de Paso Doble. « Uhm … » Roulant des yeux rien qu'à la voir piétiner en se donnant l'air de réfléchir, il avait croisé les bras d'un air buté lorsqu'elle avait asséné « Tu finiras par flancher, commettre un impair toi aussi et tu risques de ne pas valoir plus que moi sur ce bateau de malheur. » avec une certitude insolente. « J’ai peut-être plus de chances que toi pour convaincre les colosses qui sont chargés de la surveillance du navire de t’avoir à l’oeil … » Un sourire narquois étirant à nouveau ses lèvres, il avait rétorqué avec le ton irritant d'un je-sais-tout « Y’a un mot pour ça, carina. Ça commence par un P. » Mais pas plus impressionnée que cela par l'insulte à peine voilée, la brune avait fait quelques pas dans sa direction et tenté d'enfoncer le clou : « Choisir le coupable entre celui qui vole des passagers fortunés ou celle qui salit la robe hideuse d’une riche bourgeoise, je pense que leur choix sera vite fait » Perdant un léger brin de son assurance, l'européen avait fixé sa collègue d'un air mauvais et répondu d'un ton désormais incisif « C'est pas joli-joli d'accuser les gens sans preuve … Méfie-toi un peu, il pourrait t'arriver des bricoles. » Un accident pouvait être si vite arrivé sur un paquebot.

Mauvais augure ou timing particulièrement adapté à son brin de menace, c'était le moment qu'avait choisi le Narelle pour fendre une nouvelle vague et secouer toute sa coque, l'estomac de Vittorio lui remontant aussitôt si haut qu'il en avait eu un haut le cœur, tandis que sa main s'agrippait à une malle harnachée près d'eux. « Tu m'excuses, j'ai d'autres chats à fouetter en surface. » Tentant de retrouver une contenance et inspirant par le nez suffisamment fort pour en faire frémir ses narines, il s'était dirigé vers l'escalier menant à la porte en s'agrippant au garde-corps comme si sa vie en dépendait … Et pour mieux découvrir que la porte ne s'ouvrait pas. « T'es vraiment en train d'user ma patience, strega. » Elle ne méritait que ce sobriquet, sorcière qu'elle était. C'était forcément elle qui avait verrouillé la porte, et elle l'avait forcément fait pour tester sa patience … Hm ?

500 MOTS – @GABRIELLE STRANGE (gabrielle) rage against the machine 2154485008
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Message(#)(gabrielle) rage against the machine EmptyDim 16 Oct 2022 - 17:47

« Y’a un mot pour ça, carina. Ça commence par un P. » Gabrielle se pince les lèvres, non pas parce qu’elle se retient de l’insulter en retour, mais peut-être bien parce que sa répartie la fait, malgré tout, sourire – ne poussant pas jusqu’à dire rire, il ne mérite pas de forts applaudissements de foule non plus. Le silence est préférable à une quelconque réponse, même si sa tête s’est aussi penchée sur le côté, comme si elle ne dénigrait pas cette possibilité, ni souhaitait contredire sa réponse. « C'est pas joli-joli d'accuser les gens sans preuve … Méfie-toi un peu, il pourrait t'arriver des bricoles. » Un sourire narquois se dessine au coin de ses lèvres et à son air, il peut sentir qu’elle s’apprêtait à l’attraper pour sortir, de l’intérieur de sa poche, une des pacotilles qu’il a plus volatilisé plus tôt sous ses yeux. Gabrielle n’aurait pas eu de mal à l’attraper par le bras, le faire se tourner dos à elle et enfouir sa main dans sa poche, car elle n’a rien d’une pauvre fille sans défense, qui n’a que la parole pour asséner quelques coups à ses adversaires. Non, elle regorge de surprise et si elle n’y parvient pas à cause de cette secousse qui vient à les faire tanguer tous les deux, Alvaro peut, au moins, être reconnaissant à cette énième vague… ou pas, quand Gabrielle voit la pâleur dont il fait preuve juste après ça « Le karma semble t’avoir entendu… C’est pas jolie jolie non plus de menacer quelqu’un ». Mais le karma le rend chanceux également.

Car il lui permet aussi de prendre la fuite, surtout quand Gabrielle s’est retrouvée projeter dans le pêle-mêle de valises au sol, celle-ci se relevant alors que Alvaro lâche « Tu m'excuses, j'ai d'autres chats à fouetter en surface. » « Tu dois aller régurgiter ton petit déjeuner c’est ça ? » fait-t-elle d’un ton moqueur alors qu’elle lui emboite le pas. Mais alors qu’il tente d’ouvrir la porte pour s’enfuir, celle-ci reste… bloquée « T'es vraiment en train d'user ma patience, strega. » Pour le coup… « l’idée aurait pu me traverser l’esprit… mais je n’ai pas verrouillé cette porte ». Elle monte à son tour l’escalier, le bouscule au passage pour qu’il lui laisse de la place, tentant à son tour d’ouvrir la porte…en vain « Fuck ». Elle peste avant de se retourner vers lui « Puisque tu te penses si intelligent fait-t-elle en croisant ses bras sur sa poitrine trouves un moyen d’ouvrir cette porte ». C’est que ça s’apparenterait presque à un ordre.


et 460 mots @Vittorio Giovinazzo  (gabrielle) rage against the machine 3922047296
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Message(#)(gabrielle) rage against the machine EmptyMar 25 Oct 2022 - 4:42

Si la secousse du bateau l'avait fait jurer intérieurement tandis que son estomac implorait pitié, elle lui avait au moins évité la déconvenue de sa fouineuse d'interlocutrice fourrant une main dans sa poche sans y être invitée – cela valait bien un brin de nausée. Mais tandis qu'il faisait un pas en arrière pour échapper à toute nouvelle tentative de se faire dépouiller, la brune s'était moquée « Le karma semble t’avoir entendu … C’est pas joli joli non plus de menacer quelqu’un. » d'un ton que l'italien trouvait agaçant uniquement pour l'avoir lui-même employé quelques secondes avant, son égo détestant par-dessus tout qu'on lui renvoie ses propres méthodes à la figure. Et si répliquer était tentant, le plus sage restait encore de battre en retraite ; Elle en savait déjà trop, et il n'était pas suicidaire. « Tu dois aller régurgiter ton petit déjeuner c’est ça ? » Elle aurait mérité qu'il le régurgite sur ses chaussures, surtout.

Elle le méritait même d'autant plus pour avoir verrouillé la porte, grignotant un peu plus la patience déjà plus que limitée du voleur. « L’idée aurait pu me traverser l’esprit … mais je n’ai pas verrouillé cette porte » Mais bien sûr. « J'vais te croire. » Ce n'était pas lui, alors cela ne pouvait être qu'elle. La suivant du regard, il avait plongé les mains dans ses poches tandis qu'elle s'approchait, pour parer à toute velléité de sa part d'y mettre les siennes … Mais c'était bien la porte qui l'intéressait elle aussi. « Fuck. » J'te le fais pas dire, strega. « Puisque tu te penses si intelligent, trouve un moyen d’ouvrir cette porte. » Lui offrant une grimace agacée, il avait rétorqué « Puisque tu te penses si intelligent, gneugneugneu … J'suis un voleur donc j'sais forcément crocheter une porte, c'est ça ? » Évidemment qu'il savait crocheter une porte.

Ce genre de porte, tho ? Rien n'était moins sûr, et vue son épaisseur ce n'était pas un coup d'épaule qui en viendrait à bout non plus. « Faut trouver un truc pour faire levier. » Autant dire qu'il pouvait s'asseoir sur le fait de redescendre ici plus tard, s'ils abîmaient la porte ils auraient tout intérêt à ce qu'on ne les revoit plus dans les parages. « Moi aussi j'peux donner des ordres sans dire s'il te plaît, tu vois. » Et il fallait bien qu'il soit de mauvaise foi pour la reprendre sur sa politesse dans un moment pareil. Redescendant l'escalier en s'agrippant à la rambarde, il avait regardé autour d'eux et posé les yeux sur … « Qui embarque sur un bateau avec sa bagnole, sérieux ? J'pigerai jamais rien aux riches. » Dans le coffre, il avait cependant espoir de trouver de quoi les aider – un pied de biche, une clé en croix, un cric. Et une voiture, ça, il savait ouvrir dans le moindre souci. « Sans commentaire. » avait-il d'ailleurs marmonné à Gabrielle, tandis qu'il dévissait l'antenne du véhicule pour la faire glisser entre la vitre et la serrure.

500 MOTS – @GABRIELLE STRANGE :nieheh:
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Message(#)(gabrielle) rage against the machine EmptySam 29 Oct 2022 - 22:45

« J'vais te croire. » Qu’il ne la croit pas, elle ne va pas argumenter durant des heures à ce propos. Non parce que, là tout de suite, tout ce qui l’intéresse c’est de déverrouiller cette porte et ne pas rester prisonnière de cette cale avec lui. Surtout quand il semblait être un sensible du genre à régurgiter à tout va. Et non merci, ses chaussures n’avaient définitivement pas besoin d’être baptisé, surtout quand le verre de vin qu’elle avait renversé la veille s’en était déjà chargé.  « Puisque tu te penses si intelligent, gneugneugneu … J'suis un voleur donc j'sais forcément crocheter une porte, c'est ça ? » « Je n’avais pas fait le rapprochement… mais oui effectivement, enfin faut-t-il encore que tu en sois un bon » voleur s’entend, parce que pour le moment, elle n’en mettrait pas sa main à couper quand elle l’avait pris la main dans le sac aussi aisément.

« Faut trouver un truc pour faire levier (…) Moi aussi j'peux donner des ordres sans dire s'il te plaît, tu vois. »  Elle le fusille du regard « C’était un ordre ? » fait-t-elle d’un air détaché alors qu’elle n’a pas bougé d’un iota, détachant enfin ses bras de sur sa poitrine. S’il pensait qu’elle allait s’agiter dans tous les sens pour l’aider à ouvrir cette foutue porte… il pouvait se mettre le doigt dans l’œil. « Qui embarque sur un bateau avec sa bagnole, sérieux ? J'pigerai jamais rien aux riches. » Gabrielle capte son regard et suit celui-ci en direction de la voiture qui est effectivement présente. Cela ne la choque pas, quand cela aurait pu être le cas de son propre père. Lui dire n’aurait aucun intérêt, surtout quand elle ne tient pas qu’il connaisse son petit secret, celui de sa fausse identité – et dire qu’ils peuvent être mis dans le même panier tous les deux, si seulement ils savaient. « Sans commentaire. »  Elle le voit à l’œuvre, laisse échapper un soupir, ses yeux se levant au plafond alors qu’elle approche de la voiture et le bouscule pour « C’est déjà ouvert, tu te donnes du mal pour rien. Non pas que ta condition m’inquiète cependant » la portière désormais ouverte, elle s’installe à l’intérieur, actionnant un levier permettant l’ouverture du coffre. En attendant qu’Alvaro fouille dans ce dernier, elle fouille, quant à elle, dans l’habitacle… et elle tombe dans la boite à gant sur « Tu crois qu’une arme pourrait nous servir ? Je suppose que oui, étant donné ton agilité » fait-t-elle en la brandissant en l’air, de sorte à ce qu’il puisse la voir par la vitre arrière alors qu’il a la tête dans le coffre. Chance de plus pour eux, l’arme est chargée, elle vient de s’en assurer en ouvrant avec aisance le barillet.


et 483 mots @Vittorio Giovinazzo   (gabrielle) rage against the machine 104643470  
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Message(#)(gabrielle) rage against the machine EmptyDim 6 Nov 2022 - 2:54

Pour quel genre d’imbécile le prenait-elle ? Il ne comprenait peut-être l’anglais que de manière approximative, mais cela ne l’empêchait pas de voir clair dans le jeu de la brune : il pouvait la singer, reprendre ses mots pour en tirer des conclusions, mais jamais elle ne parviendrait à lui arracher le moindre aveu concernant sa tendance à la kleptomanie sous prétexte de ce qu’elle croyait avoir vu. La première règle du délinquant intelligent était de ne jamais avouer ses méfaits. « Si j’en étais un, évidemment que j’en serais un bon. J’suis doué dans tout ce que j’entreprends, carina. » n’avait-il néanmoins pas pu s’empêcher de frimer, incapable de laisser passer une occasion de flatter son propre égo. L’urgence néanmoins était ailleurs : ils étaient toujours coincés dans cette cale, et tandis que Miss Chipie se contentait de donner des ordres comme s’ils n’étaient pas tous les deux au dernier maillon de la chaîne alimentaire de ce bateau, lui tentait d'échafauder un plan. Toujours les mêmes qui activaient leurs neurones, pendant que les gonzesses se contentaient de geindre. « C’était un ordre ? » avait-il malgré tout trouvé le moyen de minauder l’australienne, et roulant ostensiblement des yeux Alvaro avait ironisé « Pardon principessa, tu voulais une invitation ? » sans même plus regarder dans sa direction – trop occupé qu’il était à envoyer un énième tacle aux riches occupants de la première classe en désignant la voiture qui trônait face à eux.

Mais même mettre à l'œuvre ses talents – indéniables – pour le vol à la roulotte, elle l’en empêchait : ouvrant la portière côté passager avec nonchalance elle s’était moquée « C’est déjà ouvert, tu te donnes du mal pour rien. Non pas que ta condition m’inquiète cependant. » tout en lui déverrouillant l’accès au coffre. À l’intérieur : rien de ce qu’il avait espéré, mais il avait quand même récupéré une lampe de poche. Cela pourrait toujours servir. « Tu crois qu’une arme pourrait nous servir ? Je suppose que oui, étant donné ton agilité. » Se redressant d’un seul coup, l’européen avait écarquillé les yeux en la voyant agiter l’arme comme s’il s’agissait d’un jouet de fête foraine. « Agite pas ça comme ça, t’es malade ! » Malade et totalement inconsciente. « T’as envie que le coup parte tout seul et que la balle ricoche dans la cale ? J’tiens pas à finir troué comme une passoire. » Et encore moins à cause d’une écervelée avec un flingue. Claquant la porte du coffre, il avait soupiré d’un air dépité, mais allumé aussitôt la lampe torche ajoutée à son inventaire – la cale avait peut-être autre chose à leur offrir. « Mais pose ce truc, santo cielo … T’as vraiment envie de laisser tes empreintes là-dessus ? T’auras l’air maligne s’il a servi à buter quelqu’un. » Ce que lui savait, en tout cas, c’était qu’il n’avait plus aucune envie de savoir à qui appartenait le véhicule, et donc l’arme qui s’y trouvait. Cela ressemblait à ce genre de cas où moins l’on en savait, mieux on se portait.

500 MOTS – @GABRIELLE STRANGE :citrouille:

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Message(#)(gabrielle) rage against the machine EmptyDim 6 Nov 2022 - 2:54

Le membre 'Vittorio Giovinazzo' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'dé action' :
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Message(#)(gabrielle) rage against the machine EmptyDim 6 Nov 2022 - 21:55

« Si j’en étais un, évidemment que j’en serais un bon. J’suis doué dans tout ce que j’entreprends, carina. » Cet Alvaro de malheur est épuisant, rien qu’à l’entendre parler. « Non seulement t’es un mauvais voleur, mais t’es aussi un très mauvais menteur. Et si tu étais aussi doué que ça… je ne t’aurai pas pris la main dans le sac tout à l’heure » et d’ajouter avec malice et je doute que tu aies d’autres talents cachés qui pourraient m’intéresser » Son sourire est narquois quelques secondes avant de disparaitre, parce que, le réel problème pour le moment n’est pas l’ego de cet italien de malheur mais de trouver une solution à sortir d’ici. Elle ne compte évidemment pas sur sa dextérité ou sa perspicacité, alors obéir à ses ordres… « Pardon principessa, tu voulais une invitation ? » s’il savait où il pouvait se la mettre son invitation.

« Agite pas ça comme ça, t’es malade ! » Oh, le rabat-joie « T’as envie que le coup parte tout seul et que la balle ricoche dans la cale ? J’tiens pas à finir troué comme une passoire. » « Ce serait tellement jouissif » dit-t-elle sur un ton mauvais, car enfin elle ne l’entendrait plus.  « Mais pose ce truc, santo cielo … T’as vraiment envie de laisser tes empreintes là-dessus ? T’auras l’air maligne s’il a servi à buter quelqu’un. » Gabrielle sort de la voiture, l’arme toujours à la main « Ne t’en fais pas, je sais exactement ce que je fais » les armes ne l’effraient pas, son père lui en a mis une très tôt entre les mains. Il lui a appris à bien viser tout comme à être prudente aussi et surtout, ne pas laisser d’empreinte sur l’arme.

Et lorsque quelque chose se met soudainement à remuer  dans un coin de la cale, Gabrielle fait un bond avant de pointer l’arme en direction du bruit qui émane de cette caisse… vivante « Qu’est-ce que c’est ?! » Elle est un peu moins rassurée pour le coup, la Gabrielle. « Va voir ! » dit lui alors qu’elle a toujours son arme braqué sur la caisse en question. Sait-on jamais ce qui s’y trouve dedans…


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mais qu’est-ce qui s’y cache donc ?:
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Il était bien sûr question de fierté mais en réalité ce n’était pas la seule raison qui poussait l’italien à continuer de nier l’évidence : tant que la greluche n’avait pas de preuve, sa parole ne valait rien. S’il admettait la vérité, il lui mâchait 50% du travail, et elle continuerait de lui coller aux basques toute la traversée – non merci. Lorsqu’elle avait insisté en ajoutant « Non seulement t’es un mauvais voleur, mais t’es aussi un très mauvais menteur. Et si tu étais aussi doué que ça … je ne t’aurai pas pris la main dans le sac tout à l’heure. » il s’était donc contenté d’hausser les épaules, faisant mine de ne pas écouter ce qu’elle racontait. Et malgré tout lorsqu’elle avait ajouté « Et je doute que tu aies d’autres talents cachés qui pourraient m’intéresser. » d’un ton narquois il n’avait pas su s’en empêcher, et rétorqué d’un air entendu « C’est parce que tu manques cruellement d’imagination, darling. » en singeant sur le dernier mot cet accent ridicule qu’elle avait parfois, comme si elle se prenait pour une grande dame.

Une grande dame complètement inconsciente, qui découvrant une arme à feu dans la boîte à gants manipulait cela comme s’il s’agissait d’un ustensile de cuisine, pas si émue à l’idée de tuer quelqu’un par mégarde. « Ce serait tellement jouissif. » avait-elle même eu l’audace de sous-entendre, avant d’ajouter d’un ton bien trop sûr d’elle aux yeux du latin : « Ne t’en fais pas, je sais exactement ce que je fais. » Inutile de dire qu’il n’en croyait pas un mot, imperméable à l’idée qu’une femme puisse savoir se servir d’une arme et ne manquant pas de le faire remarquer d’un ton dédaigneux. « C’est pas un accessoire de couture, au cas où t’aurais pas remarqué. » La couture, la cuisine, à défaut d’être douée pour servir la soupe sans en mettre partout elle devait bien avoir d’autres qualités de femme au foyer pour rattraper, non ?

Point de réponse à cette question, puisqu’une caisse en bois jusque-là cachée dans la pénombre avait attiré leur attention, se mettant à … remuer. « Qu’est-ce que c’est ?! Va voir ! » Pardon ? « Toi va voir, t’as voulu le flingue, t’assumes. » Avant que l’australienne n’ait pu protester cependant, la caisse s’était immobilisée … avant de voler en éclats. Dans un réflexe qu’il n’expliquait pas, Vittorio avait attrapé la brune par la manche pour la tirer au sol avec lui, et l’un et l’autre s’étaient retrouvés à plat ventre, couverts de débris mais (visiblement) en un seul morceau. « Terroristi. » Un bombe ? Il n’avait pas déserté le front méditerrannéen pour ça. « Faut qu’on dégage d’ici. Doit y’avoir une autre sortie. » S’il y avait une bombe, il y en avait peut-être d’autres, et Vitto n’aspirait pas à finir en confettis. Ni à se retrouver agrippé au bras de son horripilante collègue, et pourtant il ne l’avait toujours pas lâchée … Ce qu’elle avait lâché en revanche, c’était le pistolet.

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Message(#)(gabrielle) rage against the machine EmptyDim 27 Nov 2022 - 14:33

« C’est parce que tu manques cruellement d’imagination, darling. »  Et elle préfère ne pas en avoir avec lui, surtout à propos de ce qu’il semble sous-entendre. Gabrielle grimace, ses traits se déformant alors sous celle-ci, préférant lui jeter un regard noir et dédaigneux plutôt que d’entrer dans un débat sans fin.

Dans leurs recherches, et dans les siennes plus précisément, Gabrielle trouve une arme à feu dans la boite à gant. Une trouvaille dont elle se vante, surtout quand elle en maitrise parfaitement son utilisation et qu’elle ne manque pas de le signifier à l’italien qui se fait limite dessus en la voyant brandir l’arme – et en craignant pour sa vie « C’est pas un accessoire de couture, au cas où t’aurais pas remarqué. » A cet instant, elle ne sait ce qui la retient de diriger l’arme contre lui « Tes clichés sexistes, tu peux te les garder ! Tu serais bien étonnée toi aussi de savoir ce que je suis capable de faire, en tant que femme » Il ignore qui elle est vraiment, il ignore qu’elle est la fille d’un homme réputé et pourtant pourri jusqu’à la moelle et que, de ce fait, elle a beaucoup appris de celui-ci – et pas les meilleures choses.

A peine sa réponse terminée, voilà que quelque chose attire leur attention. Une boite, au fond de la cale, qui se met à s’agiter sans raison et voilà que Gabrielle finit par pousser l’italien à aller voir ce qui se passe « Toi va voir, t’as voulu le flingue, t’assumes. » « Dég… » pas le temps de finir son insulte voilà que la caisse en question explose. Gabrielle n’a pas réellement de réagir pour se mettre à l’abri et c’est son acolyte en réalité qu’il le fait, en la tirant afin de la protéger. « Terroristi. » Elle ne le remercie pas, encore sous le choc de l’explosion inexpliquée. « Faut qu’on dégage d’ici. Doit y’avoir une autre sortie. » Gabrielle est d’accord et se dégage de l’emprise qu’Alvaro a toujours sur elle. Et alors qu’elle s’époussette un tant soit peu, toujours assisse au sol, elle se rend compte qu’elle a égaré son arme. Alvaro s’en rend compte aussi et alors qu’ils se lancent tout deux en sa direction, c’est le voleur qui l’attrape en premier « Rends moi ça, tu vas nous faire tuer avant même qu’il y ait une prochaine explosion » fait-t-elle en tendant sa main vers l’arme. Bien sûr, l’imbécile n’obtempère pas, et abandonnant ce combat, l’ancienne Eileen se concentre sur un moyen de les sortir d’ici.



459 MOTS (sans le spoiler  (gabrielle) rage against the machine 1114393410 ) –  @Vittorio Giovinazzo 

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