| just when you think you are safe and secure (greta) |
| ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2740 POINTS : 280 TW IN RP : alcool, drogue, age gap TW IRL : n/a GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : made in England • being rich doesn't make you happier • drama queen pouring wine after the smallest inconvenience DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : lightseagreen RPs EN COURS : [ 09/08]
ua (slasher) Moventry #10
Mallen #7 • we just friends, just friends. when you say my name so casual, touch my hand, i stop and play it cool like i'm not into you
Moventry #15 #16 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
Emery #5 • Lost and insecure, you found me, you found me. Lyin' on the floor surrounded, surrounded, just a little late, you found me, you found me
RPs EN ATTENTE : Riley #1
RPs TERMINÉS : (2024) Mallen #5 • Kieran #1 • Moventry #12 • Swann #8 • Swann #9 • Moventry #14 • Joseph • Marley #3 • Lena #2 • Mallen #6 • Emery #4 • Moventry #13 • Swann #10 • Moventry #15 • Izan #1 • Swann #11 • Izan #2
- ua:
AVATAR : Ashley Benson CRÉDITS : avatar : auselesslovethings / gifs : zazou (crackship); gracgifs (signature) goddamnmuses (profil), drvgonqueen - lcrnasgifs - zigglerscesaro - may0osh - cheekeyfire (profil) / ub : paindep/stairsjumper DC : Didi & LewLew & NicoPSEUDO : WisePenguin INSCRIT LE : 28/07/2022 | (#)Dim 30 Oct - 10:25 | |
| Son sort de riche héritières, condamnée à sourire pour les photos et pour plaire à des personnes qu’elle ne connaissait même pas, ne paraissait plus si déplaisant après cette croisière sur la Narelle. Greta donnerait à peu près tout ce qui était en sa possession, se gardant tout de même une petite source de revenus assez conséquente pour ne pas avoir à travailler, pour revenir en arrière et ne jamais avoir mis les pieds sur le navire. Ses parents l’y avaient obligée et n’assuraient même pas eux-même sa protection, la confiant à un étranger dont il était difficile de penser qu’il était digne de confiance. Pourtant, jusqu’à présent, à part son air bougon et l’aplomb avec lequel il répondait à ses questions, Greta n’avait pas eu réellement à se plaindre de la personne qui l’escortait. Il lui permettait de se déplacer dans le bâteau sans encombre et venait, sous ses yeux incrédules, de se débarrasser d’un bunyip comme s’il s’agissait d’un simple thon échoué sur le pont.
« Tout le monde semble devenir fou, et j’y croyais pas mais j’ai bien l’impression qu’on va finir par tous crever sur ce foutu radeau finalement. Après ce qu’on vient de croiser. » Elle avait remarqué que les gens ne se comportaient plus normalement depuis l’annonce du capitaine, cédant soit à l’hystérie soit aux bunyip venant les posséder. Difficile d’accepter qu’aucun bunyip n’ait souhaité prendre possession de son corps à elle, si cela l’arrangeait, c’était loin de rassurer son égo. Mais ils étaient là, au niveau des cabines, prêts à retrouver Owen. Owen qui n’avait plus donné signe de vie, qui attendait peut-être sagement dans sa cabine que sa femme revienne, elle l’espérait. « Vous préférez que je réponde quoi à cette question, Greta ? » Son regard s’était planté dans le sien et elle était restée silencieuse parce qu’il n’y avait rien à répondre, elle le savait. Il avait raison et cela la tuait de le réaliser, il était difficile pour elle de s’autoriser à accepter les paroles de l’italien qui étaient certes vraies mais bien trop tranchantes pour être supportables. Alors Greta avait continué d’avancer pour se poster devant la cabine #17. Leur cabine. Sa main était restée un peu trop longtemps sur la poignée avant qu’elle ne puisse se décider à la tourner et à entrer dans la chambre. « Otto !!!! A l’aide ! » avait-elle hurlé en trouvant son mari, gisant sur le sol avec un reste de chair bien maigre. Allait-il consentir à rester à ses côtés maintenant que sa mission était terminée ? just know this too shall pass losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove |
| | | ÂGE : trente-cinq ans. SURNOM : (jaq) lonnie, pendant un temps - révolu désormais. constantine fera largement l’affaire sinon, s’il faut vraiment. STATUT : célibataire, parce-que c’est toujours plus simple que d’expliquer qu’il a préféré choisir l’addiction à l’autre amour de sa vie, et qu’elle a refait sa vie avec un autre alors qu’il porte toujours son alliance autour de son cou. il n'essaie pas de la reconquérir, il se contente d'apprendre à être présent pour leur fils - et c'est déjà beaucoup de travail. MÉTIER : ancien militaire mis à la retraite bien trop tôt. a troqué l'emerald hotel pour la mhi, promu chef de la sécurité là-bas (on dit merci les contacts); ce qui lui permet de ne plus travailler pour sa famille et de s'émanciper. parrain chez les na+aa où il garde un œil très attentif sur les nouveaux protégés (parce-qu'il est trop bien placé pour ce genre de rôle, malheureusement). donne des coups de main pour servir les repas avec homeless connect. occupé, très occupé - entre ça et risquer la rechute, le choix est rapidement fait. LOGEMENT : un deux-pièces mal isolé dans fortitude valley, où il est facile de suivre le programme télévision des voisins et leurs histoires de couple depuis son propre canapé (squatté temporairement par son frère ambrose le temps qu'il trouve autre chose). POSTS : 1940 POINTS : 80 TW IN RP : deuil, maladie, drogues/médicaments, addiction, overdose, idées noires/pensées suicidaires, perte de garde d’enfant. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
RPs EN ATTENTE : arthur #3 › russell › spencer #4 RPs TERMINÉS : (2024) ambrose #6 › evelyn #4 › evelyn #5 › (2023) ambrose #5 › anna › anna #3 › arthur #2 › august › august #2 › evelyn › evelyn #2 › evelyn #3 › james › maritza › flora #2 › spencer #2 › spencer #3 › vittorio (2022) ambrose › ambrose #2 › ambrose #3 › ambrose #4 › arthur › spencer (2018) flora | alternative: raelyn (bd)
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AVATAR : jack lowden. CRÉDITS : daylight (avatar) › harley (gifs) › stairsjumper (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 13/06/2021 | (#)Mar 1 Nov - 21:39 | |
| just when you think you are safe and secure Alors que maintenir une allure rapide aurait été la chose à faire afin d’être sûrs que personne ne les poursuive dans ces couloirs de la mort - très clairement, c’était en ça qu’ils s’étaient transformés avec le temps et les heures écoulées depuis l’annonce du capitaine -, Otto avait pu entendre la peur et l’appréhension dans la voix de Greta. Et même s’il était bourru, même s’il était grognon il n’était pas non plus sans coeur; alors, il avait ralenti le rythme jusqu’à complètement s’arrêter devant la blonde pour la regarder dans les yeux. Les paroles du capitaine n’avaient été que des idioties à ses yeux, et ce pendant une bonne partie des heures qui avaient suivi son annonce. Après être tombé nez-à-nez avec l’une de ces créatures démoniaques, cependant, tout semblait changer dans l’esprit de l’italien. Il ne pouvait plus se permettre d’affirmer que ce n’étaient que des paroles en l’air alors qu’il avait failli se faire dévorer, c’était une chose certaine.
La question de Greta était légitime: elle n’avait aucune idée de ce qui était advenu de son mari, en l’ayant pas croisé depuis trop de temps sur l’échelle du paranormal pour que cela ne soit pas désormais inquiétant. Ses parents avaient fait en sorte de la garder à l’abri, de la sauver de potentielles attaques mortelles, mais Otto n’avait pas entendu mot sur le fait qu’ils allaient agir de la même manière avec le mari de la blonde. Et à regarder comment tournait la situation… Il ne voulait pas défaitiste, mais il y avait de fortes chances pour qu’elle ne retrouve jamais le jeune homme qu’elle semblait pourtant porter dans son coeur. Alors, à la suite de ses paroles, Otto échappa un petit soupire. Certes, il n’en avait que faire du devenir de la jeune femme et du couple de cette dernière, tant qu’il pourrait empocher la somme qui lui avait été promise - une somme importante, non négligeable, qui plus était. Mais il pouvait voir la confusion dans ses prunelles, il pouvait apercevoir également une certaine douleur. Il avait été amoureux, fut un temps, Otto; il connaissait parfaitement cette sensation que de perdre l’être cher et d’être forcé à être confronté à cette nouvelle réalité. Sa femme à lui avait perdu son combat contre la maladie, et jamais il n’avait su être le même homme par la suite. Son coeur avait été détruit, ses émotions s’étaient retrouvées meurtries. Sa réalité faisait peur à voir depuis que sa femme n’était plus à ses côtés. Alors, esquissant une fine moue, il haussa quelque peu les épaules et s’adressa à Greta d’une voix qui se voulait plus douce, plus rassurante. « Désolé. » D’être l’annonciateur de mauvaises nouvelles, le lanceur d’alerte; désolé également que la suite des événements puissent ne pas correspondre à ce qu’elle avait imaginé.
Finalement, dans le plus grand silence, la blonde reprit la marche, effectuant les quelques pas qui manquaient à l’appel pour rejoindre la cabine qu’elle avait occupé pendant son séjour sur le navire - ou, à défaut, celle que son mari avait occupé jusqu’à la dernière fois qu'elle avait eu de ses nouvelles. Il la vit hésiter un instant, mais se ravisant quand à garder le regard posé sur sa silhouette: il s’agissait là d’un moment privé, particulier, et il n’avait en rien sa place dans ce décor. Otto avait tourné les talons et commencé à repartir dans l’autre sens quand la voix, à glacer le sang, de la jeune femme se fit de nouveau entendre - et la façon dont ses paroles avaient été prononcées n’annonçaient rien qui aille. « Otto !!!! A l’aide ! » Il se figea un instant dans le couloir. Il aurait sa récompense, qu’importe ce qu’il pouvait se passer dans cette cabine. Il avait mené à bien sa mission, rien ne l’obligeait à rester plus longtemps dans les parages, surtout qu’il devait faire son rapport aux parents de la jeune femme. De plus, il aurait déjà pu être bien trop loin pour l’entendre appeler à l’aide, s’il n’avait pas trainé un peu des pieds et hésité encore un instant alors que les escaliers se présentaient devant lui pour retourner sur le pont supérieur. Et puis, bien plus simplement: ce n’était pas dans sa nature de s’inquiéter de la sorte pour une personne qu’il venait à peine de rencontrer.
Cependant, le regard apeuré de Greta s’imposa de nouveau à son esprit et il grogna une injure - juste pour lui, personne d’autre ne l’entendit, c’est promis. Sans avoir le temps de terminer la négociation avec lui-même quant à savoir ce qu’il devait faire ou non, Otto avait déjà fait volte-face et se dirigeait vers la cabine dans laquelle la jeune femme avait pénétré. Et effectivement, ce qu’ils avaient tous deux sous les yeux désormais n’était pas beau à voir: le corps d’un homme, ou plutôt ce qui en restait, étendu là à même le sol. Par réflexe, l’italien passa son bras devant Greta pour la repousser en direction de l’entrée de la cabine. Ils ne pouvaient pas rester là, l’endroit était devenu trop dangereux à son tour. « Quand je vous dis courez, réfléchissez-y pas à deux fois et on se barre en direction du pont. » Parce-que peut-être n’avait-elle pas vu l’ombre tapie dans la pénombre, peut-être que le choc provoquée par le corps à leurs pieds, qu’il supposait être de son mari, l’empêchait d’être lucide sur le reste - mais ils étaient désormais les proies d’une de ces saletés de bestioles infectant le navire. « Dans trois, deux, un… »
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