| (mine #4) when everything feels like the movies |
| ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Mer 19 Oct 2022 - 18:17 | |
| when everything feels like the movies Midas Sterling & @Jo Carter
Bien sûr, emmener Posy avec moi au studio est risqué, mais lorsqu’elle m’a regardé avec des yeux de chiot en me disant qu’elle voulait ”aller au travail de papa”, je n’ai pas eu le coeur de lui refuser une après-midi avec moi ici. Je me dis que dans l’enceinte de ce lieu sécurisé, je risque moins d’avoir de mauvaises surprises et elle est encore bien trop jeune pour être de toute façon traînée en concert ou en réunion avec le label. Quand elle sera adolescente et consciente des impacts que la vérité pourrait avoir sur sa vie, elle sera libre de choisir si elle veut continuer à entretenir le secret et se rendre comme simple spectatrice à mes concerts ou si elle veut révéler la vérité au grand jour. Suis-je trop optimiste de croire que j’arriverai à entretenir le secret jusque-là ? Peut-être. J’ai toujours été un rêveur.
Derrière la vitre, Posy s’amuse à faire semblant de me donner des conseils lorsque j’essaye un couplet ou un autre avec ma guitare et ma voix. Je suis loin d’avoir écrit un album entier, je suis même loin d’avoir écrit une chanson complète, mais avoir repris contact avec Jo et surtout avoir chanté en duo avec elle m’a donné assez d’inspiration pour avoir un début de quelque-chose.. Régulièrement, je remonte devant la console et je prends ma gamine sur mes genoux pour ajouter une phrase, en barrer une autre ou inverser l’ordre des mots d’une troisième ? « Papa, je peux colorier ? » Ma fille lorgne sur le carnet que je grise de paroles qui, pour l’instant, n’ont pas encore de fil conducteur et je décide qu’il est l’heure d’une pause. « Bien sûr que tu peux colorier. Tu veux pas manger ton goûter avant ? » Bien sûr, le pouvoir de l’estomac prend le dessus sur le reste : elle hoche vivement la tête sans pour autant cesser de tendre ses doigts en direction du crayon gris que je tiens encore dans mes mains. Doucement, je la soulève pour la déposer sur le sofa dont j’ai équipé le studio. « Qu’est ce que maman a mis dans ton sac ? » Je la quitte des yeux un instant pour attraper le sac à dos rose pastel que m’a donné Marley et, au moment d’en sortir un paquet de biscuits et une compote, je relève les yeux pour tomber nez à nez avec Jo. Jo Carter. Dans mon studio. Non annoncée et devant Posy.
J’ai dit à Jo qu’elle pouvait venir quand elle le voulait et je suis heureux qu’elle ait saisi l’opportunité de le faire. C’était sincère, je suis plus vivant en sa présence, et ce n’est pas la première fois qu’elle saute sur l’occasion ces deux dernières semaines. Sauf que Jo ne sait pas pour Posy, et que personne ne doit rien savoir à son sujet. Il n’est pas question de moi, il est question de ma fille et son droit d’avoir une intimité et une vie privée. Je ne veux pas que des paparazzis suivent sa mère lorsqu’elle la conduit à l'école et harcèle ma fille de quatre ans et demi lorsqu’elle marche dans la rue. J’ai choisi de mettre un pied dans ce milieu, mais elle est bien trop jeune pour avoir fait le moindre choix. « Jo ? » L’air étonné qui se peint sur mon visage me donne certainement l’air d’être un poisson hors de l’eau. Rapidement, je passe une main sur mon visage et je me réveille. « Je suis content de te voir. Une minute. » Je me retourne et j’attrape mon casque d’une main, avant de revenir vers ma poupée. « Posy ? Je vais te mettre un dessin animé pendant le goûter, sur mon téléphone. Tu dessineras après, d’accord ? » Je bénis ma fille lorsqu’elle se contente de hocher la tête plutôt que de répondre d’un oui papa qui nous trahirait. Cela n’a rien de surprenant : c’est une grande timide et Jo est une inconnue. Une inconnue qu’elle dévisage avec des yeux ronds d’enfant. « Regarde ce que j’ai trouvé. » Je lui ouvre un sachet de biscuit mous, avant de lui en tendre deux. « On dira pas à ta mère que je t’en ai donné un sachet entier, hein ? » Je caresse doucement ses cheveux avant de placer le casque sur ses oreilles. Bien sûr, il est bien trop grand pour sa petite tête, mais en le réglant au minimum, il tient. Je tire mon téléphone de ma poche, avant de choisir un programme pour enfant au hasard sur Netflix, et de le tendre à ma fille. J’embrasse son front, et le miracle opère : plongée dans son dessin-animé grignotant son goûter, elle a l’air absorbée. Je me retourne vers la brune. « Ma nièce. Enfin, la fille de mon cousin, mais c’est tout comme. » C’est plus dur à vérifier que de la faire passer pour la fille d’Oscar ou d’Olive, et c’est surtout tout ce que je trouve sur l’instant. « Tu passais te chauffer la voix ou… Ou autre chose ? » M’apporter une réponse, peut-être ?
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Jeu 20 Oct 2022 - 9:26 | |
| when everything feels like the movies Jo Carter & @Midas Sterling (crédit gif/harley)
"Je lui dis quoi à Lara ?" "Que j’ai bouffé mexicain. J’en sais rien. Tu trouveras." Et même si elle ne trouvait pas, Nadine devrait se contenter de la réponse de Jo qui laissa la porte de service se refermer sur elle avec la nette intention de ne pas la rouvrir, un majeur pointé vers elle avec le genre de sourire qu’on ne voit que dans les films d’horreur. Ça la fit rire, assez pour qu’elle se félicite d’être aussi intransigeante, et là, le sentiment de sécher la classe pour vaquer à des occupations moins respectueuses la saisit, et peut-être que ça l’excita, de s’exempter de la corvée du boulot comme une malpropre. Si on lui faisait la remarque, ce qu’elle anticipait déjà, elle se défendrait avec toute la mauvaise foi qu’elle avait en elle, et ce n’était pas de trop pour expliquer qu’elle préférait être ailleurs plutôt que d’être ici ; qu’elle préférait être au studio de Midas plutôt que d’être ici, la nuance était minime, elle valait le coup d’être corrigée pourtant. En gros, c’était de sa faute, au chanteur, si bousculer l’ordre de ses priorités était devenu un luxe qu’elle s’accordait, rarement d’accord, mais toujours plus que d’ordinaire, et toujours quand ça l’arrangeait. Là, ça l’arrangeait de prétendre être malade, remisant à la dernière place de ses inquiétudes l’idée qu’elle s’était préparée pour le boulot pour rien, laissée sa grand-mère à la maison avec l’objectif de mener son service jusqu’à la fin pour rien, consciente dès le matin d’avoir déjà une idée derrière la tête. Mais comme avec tous ses songes, les mettre en exécution, ça demandait de mettre de côté sa fierté, et forcément que ça coinçait, quand on s’appelait Jo Carter. Elle avait déjà atteint son quota personnel de présence au studio, celui qu’elle se forçait à maintenir à un nombre raisonnable pour ne pas donner l’impression que ça comptait pour elle, s’étant jurée de n’y passer pour rien d’autre que profiter du matériel haute gamme qui remplissait la cabine. Sauf que la vérité l’avait rattrapée pour lui faire difficilement admettre qu’elle avait juste envie d’être là-bas pour voir Midas travailler et l’insulter quand il ne le faisait pas. Dans un coin de sa tête, elle prétendait parfois qu’être là-bas, ça l’aidait à prendre une décision précise à propos de sa participation au revival, elle qui avait déjà consulté ses options pour s’arrêter sur la désagréable décision que St-Luke devrait définitivement être le refuge de sa grand-mère pendant quelques temps au moins, seulement c’était soudainement une impression d’abus qui la transit quand elle se rendit compte qu’elle n’avait aucune véritable excuse cette fois, et qu’elle passa son chemin sans s’arrêter devant la porte du studio, enchaînant une nouvelle foulée de petits pas pressés qui fit grimper le compteur de pas de son téléphone portable. Elle le prit dans ses mains, se demandant si elle devait le prévenir qu’elle était là, ou si elle pouvait faire ce qu’elle avait dit qu’elle ferait à l’avenir en ne s’annonçant pas comme une bonne surprise. Ou une mauvaise, ça dépendait des points de vue, sans doute. Et puis depuis quand elle était aussi hésitante, depuis quand elle en avait quelque chose à foutre de déranger, ou d’avoir le mauvais rôle, putain ? Probablement depuis qu’ils avaient chanté ensemble, et qu’elle s’était vue redevenir une toute petite chose à l’instant où l’évidence avait pointé, et où elle avait su que ça lui claquerait à la gueule, de remettre un pied dans le passé. Mais Jo n’était pas franchement prudente, elle fonçait souvent sans réfléchir, aussi intrépide qu’elle était caractérielle, et dans le cas présent, sa décision de participer ou pas au revival mise à part, elle avait cessé de vouloir être sage en prétendant être capable de se tenir à l’écart alors qu’il lui avait fait une proposition, et qu’une proposition était faite pour être saisie, non ?
Alors, elle ralentit, éteignant l’écran de son téléphone portable pour se regarder brièvement dedans, et s’arrêta à l’endroit qu’elle avait déjà dépassé deux fois pendant qu’elle prenait sa décision ; et elle entra, sans s’annoncer, sans donner autre chose que l’impression d’être chez elle quand elle refusa qu’on la guide vers l’endroit qu’elle convoitait — et dont elle ouvrit la porte pour se stopper net dans l’encadrement de la porte, ses yeux tombant sur Midas et sur… "Tu les prends au berceau maintenant ?" C’était facile, trop facile, et ça la fit sourire intérieurement tandis que son regard souligné d’un liseré de fard et de paillettes alternait entre la gamine assise à côté de lui sur le sofa, et lui qui la regardait, les yeux comme des soucoupes, avec l’air d’avoir vu une revenante ; ce qui était un peu le cas au demeurant, mais passons, puisque déjà occupée à faire dériver ses yeux de nouveau sur la petite, elle lui accorda le genre de regard qui se voulait neutre, mais qui voulait tout aussi bien dire eww. Le menton rentré, elle ne retint pas le léger rire que, cette fois, elle laissa filer quand il prit la parole, et qu’elle lui rétorqua, sans bouger de là où elle était, se tenant droite sur ses talons hauts "Ouais, t’as l’air vachement content de me voir." Au point de devoir fermer les oreilles de la petite à qui il s’adressa avec la plus grande des délicatesses, prenant même le temps de lui claquer un bisou sur le front alors qu’elle fixait Jo, les paillettes faisant leur œuvre sûrement, apprêtée comme à son habitude, mais davantage encore parce qu’elle était supposée bosser, sans que celle-ci ne baisse les yeux, pas même lorsqu’elle ajouta dans la foulée "Je peux repasser une autre fois si t’es", elle chercha le mot, fronça les sourcils quand il sortit enfin de sa bouche, l’entendant entre deux lever le voile sur l’identité de la petite qu’elle lâcha enfin des yeux "occupé ?" À jouer au baby-sitter ? Jo pencha la tête sur le côté pour mieux le regarder sans chercher à le fixer cependant, restant un instant à contempler quelque chose qu’elle ne voyait pas, le menton incliné sur la poitrine ; elle se ressaisit seulement quand il lui demanda ce qu’elle faisait-là, et le mensonge sortit de ses lèvres comme si elle n’avait pas passé une quart d’heure à piétiner à l’extérieur "Je passais juste en sortant du boulot, mais j’avais pas réalisé qu’il était si tard et que t’avais des…" Elle secoua la tête d’un mouvement brusque, les boucles échappées de son chignon tressautant en même temps quand, posant très brièvement son regard sur Posy, elle lui proposa de nouveau, un pouce dirigé par-dessus son épaule "Sérieux, je peux repasser une autre fois." i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
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olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
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AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Jeu 20 Oct 2022 - 21:23 | |
| when everything feels like the movies Midas Sterling & @Jo Carter
« Tu les prends au berceau maintenant ? » Je lève les yeux au ciel et je crois même que sa remarque m’arrache une grimace de dégoût. Dans un autre contexte, je serai entré dans le jeu de la brune mais, dans celui-là, je suis incapable de réagir autrement. Posy est ma fille, mon petit bébé, et je devrais laver la langue de Jo au savon pour ce genre d’énormité.
Je réagis vite. J’accapare l’attention de ma fille et je bénis ma fille d’être plutôt du genre taiseuse lorsqu’elle est impressionnée. Elle l’est au point que sa mère et moi avons longtemps cru qu’elle avait un problème avec la parole, ou un problème d’acquisition de la langue. Mais non, mon bébé est simplement réservé et secret. Si on considère sa famille, de mon côté au moins, il n’y a rien de surprenant à ça, au fond. « Ouais, t’as l’air vachement content de me voir. » Maintenant que la crise est passée - aka, ma fille semble plongée dans son dessin animé, assez pour ne plus risquer de m’interrompre et de faire la moindre gaffe - je suis plus détendu. Pas encore complètement, mais je me permets de sourire en observant la jeune femme. « Tu veux un énorme bisous sur ta joue ? Parce que c’est plus son genre à elle, ça. » Je désigne Posy du menton. Posy qui, absorbée par l’écran du téléphone, ne nous prête plus la moindre intention. Je suis peut-être un mauvais père à cause de ça - il me semble que le téléphone, c’est la solution de facilité. Mais je pense à elle. Je pense à mon secret qui est surtout le sien. « Je peux repasser une autre fois si t’es… occupé ? » Je secoue la tête, tiraillée entre l’envie qu’elle reste - j’ai toujours envie d’être près d’elle, surtout depuis notre duo qui me donne encore des frisson dès que j’y repense - et la peur que ma fille ne trahisse mon mensonge. Il suffirait de pas grand chose : un papa lâché le plus naturellement du monde. Mais je n’ai pas le coeur d’expliquer à Posy pourquoi elle ne peut pas faire ça en public, elle est trop jeune pour tout comprendre et je ne veux pas qu’elle ait l’impression que j’ai honte d’elle ou que je ressens le besoin de la cacher à cause d’elle ou de quelque chose qu’elle aurait fait. Hors de question de lui créer un traumatisme. « Je passais juste en sortant du boulot, mais j’avais pas réalisé qu’il était si tard et que t’avais des… » Mon regard fait des aller-retour entre Jo et ma tête blonde, et je ne comprends pas tout de suite où elle veut en venir. « Sérieux, je peux repasser une autre fois. » Je l’observe un peu mieux et, fronçant les sourcils, je risque une théorie. « A cause d’elle ? » A mieux y regarder, Jo a l’air à la fois terrifiée et horrifiée, un peu comme quelqu’un que l’on aurait mis en face d’une bête monstrueuse et étrange pour la première fois. « Je rêve ou Jo Carter est mal à l’aise à cause d’une enfant de quatre ans ? » Quatre ans et demi me corrigerait ma fille si elle pouvait m’entendre. Mon sourire s’étire et je, insolent, j’ajoute. « Je te promets qu’elle te mangera pas. Enfin, maintenant que je lui ai donné son goûter, on est en sécurité. Avant ça, c’est vrai que c’était risqué. » Je la houspille gentiment avec de m’approcher d’elle.
« J’ai pas envie que tu partes. » C’est sincère. Authentique. Je décide à peine des mots qui sortent de ma bouche. « Sérieusement. Je suis toujours plus productif quand t’es là, en plus. » Mais je ne veux pas qu’elle ait l’impression que je me sers d’elle d’une quelconque façon. « Sa mère passe la chercher dans une demi-heure, en plus. » Normalement, j’aurais dû ramener Posy, mais Marley passe le week-end dans la famille de son bon à rien de petit-ami et m’a demandé s’ils pouvaient passer la prendre sur la route. « T’as peur de la concurrence, c’est ça ? » Prétendre que Jo pourrait avoir peur qu’on lui vole la vedette n’est qu’une façon de la détendre, puisque je la sens bien différente de toutes les autres fois où elle s’est invitée au studio sans que ça ne dérange personne. « Je comprends. T’as vu ces adorables fossettes qu’elle a ? » Les mêmes que les miennes. J’aurais peut-être dû fermer ma gueule, sur le coup. « Tu voulais répéter quelques morceaux ? » Quelque chose qu’elle aurait écrit, peut-être ? Je noie le poisson tant bien que mal.
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Ven 21 Oct 2022 - 9:11 | |
| when everything feels like the movies Jo Carter & @Midas Sterling (crédit gif/harley)
Le regard de bitch, you wish que Jo adressa à Midas lorsqu’il lui proposa un gros bisou sur la joue était assez parlant pour qu’elle ne s’échine à ouvrir la bouche pour lui dire de fermer la sienne, n’étant toujours pas certaine qu’être à proximité d’une gamine soit sa conjoncture préférée. Il fallait faire attention à ce que l’on disait, surveiller son langage, être gentil et bienveillant, ce qu’elle ne réussissait qu’à faire une fois sur deux, il fallait être clair sans lui chercher des excuses pour expliquer qu’elle soit si peu engagée dans l’exercice. On lui avait souvent dit que les gosses, c’étaient un peu comme les vieux, mais elle préférait être perdue au milieu d’une horde de papys et mamies qu’au milieu d’une horde d’enfants, trop énergiques pour que ça ne lui donne pas envie de les gifler chacun à leur tour — ou de leur apprendre des gros mots, la liste des erreurs qu’elle commettrait impérativement était facultative. Elle reposa son regard sur Midas après avoir observé Posy, lui rétorquant sans réfléchir, preuve immédiate que si elle n’était pas mal à l’aise, elle n’était pas non plus très sereine à l’idée qu’un mini-humain soit là. Et bientôt, elle compterait les secondes jusqu’à ce qu’elle décide de s’approcher d’elle avec ses mains poisseuses de biscuits "Je me suis fait mordre une fois, et je suis pas à jour dans mes vaccins." Il s’amusait, l’idiot de service, alors elle décida de faire pareil pour, elle aussi, noyer le poisson histoire qu’il ne se rende pas vraiment compte qu’au fond, la présence de la petite était un grain de sable qu’elle n’hésiterait pas à rendre responsable du grippage de la dynamique qu’ils avaient repris depuis la dernière fois, pas sûre non plus qu’avouer que si ça avait été un adulte, elle aurait été aussi réfractaire à l’idée de rester pour une simple raison qu’elle tut même dans l’intimité de ses pensées, et qui partait du constat qu’elle n’était pas du genre à partager.
Elle était sur le départ, vraiment. Ça lui apprendrait à prendre les propositions qu’on lui faisait pour argent comptant, à se comporter comme si c’était normal qu’on lui déroule le tapis rouge quand tout le monde avait une vie à mener et des priorités à respecter. Elle n’était pas vexée, pas même un peu — incroyable, mais elle saurait s’en remettre sans faire d’esclandre, promis. Elle savait faire le point sur l’idée qu’il y avait des moments meilleurs que d’autres, et clairement, celui-ci n’en était pas un. Tant pis, elle repasserait, et son haussement d’épaules révéla sa pensée quand Midas lui répondit qu’il n’avait pas envie qu’elle parte — parce qu’il était toujours plus productif quand elle était là. Bien sûr, bien sûr que lui renvoya le regard qu’elle lui accorda avec un léger sourire en coin quand il s’approcha, et que sa décision fût prise en un tressautement d’une aiguille sur le cadran d’une montre, pas même en une seconde, donc ; mais elle ferait mine du contraire, c’était forcé "Il paraît que je suis une bonne muse. Ou t’as besoin qu’on te pousse pour avancer ? T’as avancé, d’ailleurs ?" Elle n’était pas du genre à taire sa pensée quand elle le voyait tâtonner, à vouloir lui préparer thé ou café pour réveiller chez lui l’inspiration divine, à le caresser dans le sens du poil pour qu’il se sente en sécurité à l’idée de mettre ses tripes sur la table pour en faire une chanson, noircissant par vagues les pages de son carnet — raturant, corrigeant, ajoutant. En fait, elle lui disait à peu près tout ce qu’il ne fallait pas dire à quelqu’un qui se lançait dans un processus de création, à faire peser sur lui une pression faite de tape derrière la tête et de petits noms aussi insultants qu’ils étaient affectueux dans la bouche de Jo. La récompense c’était de la voir dodeliner de la tête quand il tombait sur un bon beat, sur bon un ratio de mots pour faire rimer une phrase, ou sur une bonne harmonie, et ça revenait à récolter des félicitations au conseil de classe. Elle marqua un temps quand il mentionna la mère de Posy. Son visage se fronça juste assez pour qu’elle lui demande, sans tourner autour du pot, appuyant par la même le fait qu’elle restait sans vraiment le dire, juste en se débarrassant de sa veste et de ses petites affaires qu’elle posa sur la table devant laquelle la petite était assise. Un regard de plus vers elle, puis elle se retourna vers Midas "Pourquoi c’est toi qui la garde ?" Elle sécurisa sa jupe à franges pailletées en la remonta subtilement sur ses hanches, inclinant la tête sur le côté en le fixant d’un regard plissé "J’ai l’air d’être le genre à craindre la concurrence ? Me réponds pas que je t’ai crains à une époque, j’ai pas envie de briser tes rêves en te répondant que la seule chose qui me faisait peur chez toi, c’était tes groupies." Qui étaient toujours à fond aujourd’hui, comme le prouvait la semaine passée à devoir écumer ses DMs parce qu’elle avait posté un truc qui le concernait sur son feed. Putain de réseaux sociaux, si elle n’aimait pas tant se faire mousser et attirer les likes, elle supprimerait tout sans regret. Mais pas maintenant. Maintenant, elle contourna Midas sans le lâcher des yeux pour s’asseoir sur la chaise qu’il avait l’habitude d’investir, croisant les jambes et faisant dodeliner sa cheville tenue en suspension au-dessus du sol quand il parla des fossettes de Posy à qui elle accorda un nouveau regard "Je savais pas que t’aimais autant les enfants." Du genre à les trouver adorables et à vanter leur mignonnerie avec des étoiles dans les yeux ; une preuve, un peu désagréable au demeurant, qu’elle en avait encore des choses à apprendre sur Midas Sterling. Mais là encore, pas maintenant. Son regard se fixa de nouveau au sien "Tu m’as proposé de passer quand je voulais, je savais pas que j’avais nécessairement besoin d’une excuse pour le faire." C'était admettre qu’elle était quasiment venue sur un coup de tête, balayant le fait qu’elle avait passé du temps à vraiment se décider ce soir, consciente qu’effectivement, il lui demanderait pourquoi elle était là, et qu’elle était trop honnête pour lui cracher une excuse bidon à la gueule quand la seule qu’elle avait en stock, c’était celle qui lui faisait confesser qu’elle avait juste envie de venir, point final. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Sam 22 Oct 2022 - 19:49 | |
| when everything feels like the movies Midas Sterling & @Jo Carter
« Je me suis fait mordre une fois, et je suis pas à jour dans mes vaccins. » Je secoue la tête en esquissant un sourire amusé. La brune est-elle simplement mal à l’aise en présence d’enfants ? Tous, ou ceux de l’âge de Posy ? Je doute que cela puisse venir de ma fille précisément, elle n’a presque pas ouvert la bouche depuis que la chanteuse est entrée dans le studio, bien trop impressionnée par la présence de cette inconnue dans la pièce - et certainement un peu par la quantité de paillettes sur ses yeux, sur sa jupe et, plus généralement, sur la totalité de sa personne. J’exagère à peine, elle donne l’impression de sortir tout droit d’un festival et je me demande si elle travaille toujours dans le club dans lequel je l’ai croisée l’an dernier, lors de notre catastrophique rencontre. « C’est son cas à elle par contre, c’est promis. » Et pas grâce Marley qui est convaincue que tout se guérit avec des plantes. Mon ex est autant opposée à la vaccination qu’elle l’est à l’avortement et, par conséquent, j’ai dû faire des pieds et des mains avec elle pour que Posy puisse recevoir tous les vaccins qu’un enfant de son âge doit recevoir. C’est ma mère qui a dû la conduire chez le médecin pour ses rendez-vous, la mère de ma fille étant déterminée à ne pas mettre un pied dans l’antre de la médecine moderne. Tout ce que je trouvais séduisant chez Marley autrefois - son excentricité - m’exaspère aujourd’hui au point qu’elle me fasse souvent lever les yeux au ciel. Mais elle reste la mère de ma fille et, par conséquent, elle appartient aujourd’hui à ma famille. « Sérieusement, t’as peur des enfants ? » Ou pire, la dégoûtent-ils ? Lors de X-Factor, il est évident que c’est un sujet que les tout jeunes adultes que nous étions n’avons pas abordé. Aujourd’hui, je me dis que ce ne serait pas si surprenant, venant de la jeune femme.
« Il paraît que je suis une bonne muse. Ou t’as besoin qu’on te pousse pour avancer ? T’as avancé, d’ailleurs ? » - « Tu peux me croire, y’en a qui ont essayé de me pousser, avant. » Autrement dit, ça n’a jamais fonctionné comme avec elle. Quelques couplets c’est peut-être rien, mais c’est bien plus que tout ce que j’ai écrit depuis un an. « Alors va pour la théorie de la muse. Je suis sûre que t’adore ça, comme surnom. » Du reste, ai-je réellement avancé alors qu’en deux semaines, je n’ai pas réellement écrit une chanson complète ? Je ne veux pas me porter la poisse par excès d’optimisme. « Quelques couplets. Peut-être un refrain. Rien qui soit réellement présentable. » Après autant de temps sans rien écrire, présenter quelque chose me rend bien plus nerveux que je ne l’aurais cru.
« Pourquoi c’est toi qui la garde ? » Elle est encore focalisée sur la présence de Posy et je me dis que c’est peut-être un problème pour elle, finalement. « Parce que j’aime passer du temps avec elle, et que ses parents ont parfois besoin d’un peu de temps pour eux. » Je penche la tête sur le côté, avant d’ajouter en souriant. « Tu sais que pour la plupart des gens, passer du temps avec ses neveux ou nièces, c’est pas un calvaire, qu’il y a pas besoin de raison pour ça ? » Et puisque Posy est ma fille, c’est d’autant plus vrai. Je n’en passe pas assez à mon goût, en réalité. « J’ai l’air d’être le genre à craindre la concurrence ? Me réponds pas que je t’ai crains à une époque, j’ai pas envie de briser tes rêves en te répondant que la seule chose qui me faisait peur chez toi, c’était tes groupies. » Ce ne sont peut-être pas mes groupies qui m’ont fait gagner la finale - puisque je n’avais besoin d’aucun vote du public pour ça, mais c’est bien grâce à elle que mes albums se vendent et que je suis devenu ce que je suis aujourd’hui. « Je vais pas cracher dans la soupe. Sans elles, je n’en serais pas là. » Installé sur ma chaise, j’étire mes bras en arrière dans une posture de bellâtre prétentieux, avec un sourire qui l’est tout autant sur les lèvres. « Je savais pas que t’aimais autant les enfants. » - « Je savais pas que faisais du cosplay et que tu te déguisais en back-danser des années soixante-dix. Comme quoi. » Référence bien entendu à la tenue qu’elle porte. Les notions de mode cyclique me dépassent, de toute évidence. « Tu m’as proposé de passer quand je voulais, je savais pas que j’avais nécessairement besoin d’une excuse pour le faire. » - Je pousse un soupir, avant de couver ma fille d’un regard affectueux et protecteur. « Toi, tu les aimes pas plus que ça, je me trompe ? » Elle regarde Posy comme un animal sauvage ou déchet radioactif. Quelque chose de dangereux et de dégoûtant à la fois, somme toute. « Et c’est le cas. T’as pas besoin d’excuse pour le faire. J’espérais seulement que ça veuille dire que t’avais pris ta décision. » Ou en tout cas, trouvé une solution pour mettre en œuvre ses désirs, puisqu’elle veut participer au projet de Revival, je le sais. « Mais t’es la bienvenue que ce soit le cas ou pas. Tu peux utiliser le studio, j’étais plutôt en train d’essayer d’écrire, j’en suis pas encore aux démos. » Je ne vois pas pourquoi la séance d’aujourd’hui devrait se passer différemment de celles des autres fois, Posy ou pas Posy.
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MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
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LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Dim 23 Oct 2022 - 14:33 | |
| when everything feels like the movies Jo Carter & @Midas Sterling (crédit gif/harley)
Est-ce que Jo avait peur des enfants ? Elle ne répondit pas à Midas puisqu’elle n’en savait rien. Elle était la petite dernière d’une fratrie composée de cinq garçons, elle avait rarement eu l’occasion de se trouver en présence d’enfants pour dire la vérité. Ses frères avaient une famille, elle avait des neveux et des nièces dont elle ne connaissait même pas le nom, et ça l’intéressait assez peu de les connaître. Qui sait, peut-être qu’elle n’était pas à l’aise avec les enfants parce qu’ils étaient natures, qu’ils avaient cette innocence qu’elle n’avait pas eu le privilège de pouvoir garder longtemps, et que ça la renvoyait à une image d’elle avec laquelle elle avait du mal à se reconnecter puisque ça n’avait jamais vraiment existé, qu’elle avait été une adulte avant même d’atteindre sa majorité. Elle s’en foutait, elle n’était pas là pour faire dans la psychologie de comptoir en mettant son coeur sur la table et en statuant sur l’idée qu’elle avait un souci dans tous les cas. C’était un fait avéré, il ne lui apprendrait rien s’il lui disait que ça faisait d’elle un monstre de ne pas vouloir approcher un gamin à moins d’un mètre. Le pire, c’était qu’elle avait pu le constater récemment, elle n’était pas incapable en leur présence, elle savait y faire. Mais à petites doses, c’était bien aussi, et si la petite Posy restait sage comme elle l’était maintenant, il n’y aurait pas de problème. Alors elle s’installa, avec un léger rire en entendant Midas lui confirmer qu’elle était peut-être bien sa muse. C’était aussi flatteur qu’elle se sentit obligée de lui dire, faisant mine de rien "Je préfère être la star que la muse. Mais j’ai appris à revoir mes ambitions à la baisse, alors je prends." A défaut d’être modeste, elle était réaliste, et sa vie n’était pas celle qu’elle avait rêvé d’avoir certes, elle n’en restait pas moins talentueuse. Son talent, elle devait l’exploiter autrement, et la proposition de Midas de participer au revival l’aiderait sans doute à trouver comment, c’était même une certitude. Elle ajouta "Tu pourras me réserver un paragraphe entier dans les remerciements de ton prochain album. À ma muse, Josephine Carter…" Ça faisait d’elle une sale gamine de dire ce genre de choses, mais il en avait l’habitude, et ce n’était pas parce qu’ils ne s’étaient plus parlés pendant des années que ça la ferait changer d’attitude. Quand elle était ici, avec lui, elle avait l’impression de pouvoir être qui elle était vraiment sans se sentir mal à l’aise de l’être, quand bien même elle se fichait pas mal d’heurter qui que ce soit, Midas avait une capacité certaine à comprendre qu’elle ne faisait que plaisanter, et que si elle l’ouvrait trop souvent, c’était parce qu’elle n’aimait pas le silence, tout simplement "Ça veut dire que je vais même pas avoir l’exclusivité de la première écoute ? Je m’en fous que ce soit pas peaufiné, tu sais." lui fit-elle en jetant un tout petit regard à Posy quand elle jura, pas tellement du genre à se donner bonne conscience en surveillant son langage — dieu merci, elle avait toujours ses écouteurs.
Elle décroisa les jambes pour se lever de sa chaise, adressant à Midas un regard plissé quand il lui répondit à propos de la raison qu’il le faisait garder la petite Posy. Elle le contourna pour se diriger vers la table de mixage et médita juste le temps d’un instant sur sa réponse, secouant la tête en rétorquant dans la foulée, son ton se faisant moqueur d’emblée "Oh, apprends-moi ce que c’est d’avoir une famille unie et aimante, Midas, j’attends que ça." Et en même temps, elle se retourna, le toisant à peine quand il rebondit sur le sujet de ses groupies et qu’elle roula des yeux sans en avoir l’air, s’autorisant un moment de pure jalousie rentrée, qu’elle ne laissa pas éclater, pas même quand il accentua le cliché en se comportant comme un Casanova du dimanche, préférant rebondir sur sa petite pique suivante en se décalant de la table de mixage pour s’approcher de lui et s’asseoir sur l’accoudoir de la chaise qu’il avait investi. Là encore, avec l’air de ne pas y toucher "C’est pas ma faute si t’as pas de style et que tu t’habilles comme un daron." Elle haussa les sourcils, tournant la tête dans sa direction en ajoutant sur le même ton , laissant ses yeux examiner vaguement la tenue qu’il portait "Sois pas jaloux à cause de mes jupes à paillettes, je suis à peu près certaine que c’est pas un modèle qui t’irait de toute façon."
Retenant son sourire, elle suivit son regard dirigé sur Posy quand il lui retourna la question à propos des enfants, ce qui la fit répondre avec provocation "Je suis pas venue pour jouer au papa et à la maman." Trop facile, Jo "Ça veut pas dire que je les déteste pour autant. C’est juste pas…mon truc. C’est grave, docteur ?" qu’elle lui demanda en le regardant à nouveau, un sourire en biais accompagnant ses paroles. Elle finit par hausser les épaules, que pouvait-elle dire de plus que ça ? Encore une fois, le moment n’était pas venu pour s’improviser psychologue, et de toute façon, la conversation prenait déjà un nouveau tournant quand elle lui avoua être venue juste parce qu’elle en avait envie ; il en profita pour lui quémander une réponse à sa proposition sans en avoir l’air, et doucement, elle lui dit "J’y travaille pour te donner une réponse au plus vite, c’est promis." Nicholas lui avait proposé quelque chose lui aussi, pour s’occuper d’Ava, et il semblait évident que le retour de Laurie allait la décharger de quelque chose durant un temps. Ce n’était pas si critique que ça, et dans le fond sa décision était déjà prise, elle devait simplement faire la paix avec l’idée qu’elle allait penser à elle, et rien qu’à elle, pendant quelques temps. A cette pensée, elle se leva de l’accoudoir de la chaise de Midas, laissant une bouffée de Lost Cherry dans son sillage, pour mieux lui dire, lui tournant momentanément le dos comme elle retenait son effet le temps de rassembler ses idées "J’ai repensé à la dernière fois." commença-t-elle, parlant de la fois où ils avaient chanté tous les deux. Elle y avait pensé souvent, au point même de pouvoir s’avouer, même à elle-même, que c’était quasiment tout le temps. Mais ce qu’il ne savait pas, tout ça, tout ça… elle se retourna dans une virevolte qui fit s’entrechoquer les franches de sa jupe, un doigt planté vers lui à distance "Quand tu m’as dit que Fallin’ All In You avait été écrite comme un duo." Elle l’écoutait, Midas, quand il disait quelque chose. C’était assez exceptionnel pour être souligné, et ça prouvait qu’elle lui réservait une attention toute particulière "J’ai pas envie que tu crois que je m’impose dans tes projets, mais si ça peut te motiver à écrire un peu plus vite pour que ton équipe te lâche la grappe, je suis pas fermée à l’idée d’enregistrer un truc avec toi. D’enregistrer et d’écrire un truc avec toi." Elle ne se trouva pas assez claire dans ce qu’elle lui disait, alors elle se reprit en rangeant son doigt, le passant près de l’oval de son propre visage pour écarter une mèche de cheveux échappée de son chignon "Pour nous. Pour ton prochain album, je veux dire." Elle opina pour marquer son point, réinvestissant la chaise opposée à celle de Midas en concluant "Un truc qu'on enregistrerait à la toute fin, pour que ça ressemble à une récompense que t’auras méritéééé…" Et elle laissa traîner la fin de sa phrase en prenant sa mine malicieuse, celle qui la fit s’enfoncer exagérément dans son siège, et recroiser les jambes dans la foulée. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
RPs EN ATTENTE : lucas
RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.
AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Mer 26 Oct 2022 - 10:17 | |
| when everything feels like the movies Midas Sterling & @Jo Carter
Jo n’aurait jamais dû avoir à revoir ses ambitions à la baisse et je ne veux pas qu’elle le fasse, je ne le voulais pas hier - les taboïd qui ont titré que je devais me ravir du manque de succès de l’album de ma concurrence n’auraient pas pu être plus dans le faux - et je n’ai toujours pas envie qu’elle baisse les bras. Jo, je la désire portée aux nues par le public qu’elle mérite, je veux qu’elle remplisse des stades si c’est ce qu’elle désire. Je n’ai pas peur qu’elle me fasse de l’ombre et je n’ai même pas assez d’égoïsme en moi pour vouloir garder son talent pour moi et pour moi seule. Elle mérite de briller aux yeux du pays et du reste du monde, là où personne ne connaît encore son nom. Si j’avais pu l’aider après ma victoire, je l’aurais fait. Mais elle ne voulait pas de ma pitié, pour sûr. « Tu pourras me réserver un paragraphe entier dans les remerciements de ton prochain album. À ma muse, Josephine Carter… » Sait-elle que, beaucoup de fois, j’ai pensé à elle en griffonnant les paroles d’une chanson ? Elle l’a toujours été, en quelque sorte, ma muse. « Juste les remerciements ou tu veux que je parles de toi en interview aussi ? » Éternellement joueur, je préfère la houspiller que m’étaler en paroles mièvres. Elle détesterait ça, de toute façon. « Ça veut dire que je vais même pas avoir l’exclusivité de la première écoute ? Je m’en fous que ce soit pas peaufiné, tu sais. » - « T’auras l’exclusivité de la première écoute. » Ce n’est même pas une question que je me suis posée. Si nous ne nous étions pas perdus de vue, chacun de mes titres aurait été soumis à la brune puisque son avis, son point de vue artistique compte pour moi, bien plus que celui de Sony Music Australia, mon label, ou que celui de mon manager. « Mais tu l’auras quand je serai assez satisfait du titre pour le faire écouter. » Et pour l’instant, nous sommes encore loin du compte. « Si tu viens plus souvent, peut-être que ça avancera plus vite… » Je lui adresse un sourire suffisant, pseudo ravageur, avant de me m’effacer pour qu’elle puisse s’installer dans la pièce, même si elle est loin d’être à l’aise, semblerait-il.
« Oh, apprends-moi ce que c’est d’avoir une famille unie et aimante, Midas, j’attends que ça. » - « T’as demandé. » Je hausse les épaules, ravalant une remarque lui disant que je n’ai rien tenté de lui apprendre, pas plus que de lui faire la morale. Elle a posé une question et j’ai répondu avec mes tripes : même si Posy avait été la fille d’Olive ou de l’un de mes cousins, je l’aurais gardée avec plaisir. « Elle voulait voir où tonton écrivait de la musique. Elle est en âge où elle commence à comprendre ce que je fais. » Et elle est en âge où elle commence à comprendre que son père n’est pas tout à fait une personne lambda comme une autre. Je jette un coup d'œil derrière moi, à ma poupée qui regarde son dessin animé avec sa peluche serrée contre elle.
« C’est pas ma faute si t’as pas de style et que tu t’habilles comme un daron. Sois pas jaloux à cause de mes jupes à paillettes, je suis à peu près certaine que c’est pas un modèle qui t’irait de toute façon. » « Répète pas ça en présence de ma styliste, tu lui briserais le coeur. »
Je n’ai pas réellement de styliste, je n’ai pas non plus tout à fait de directeur de tournée attitré. Mon manager gère les contrats et la relation avec le label. Pour tout le reste, c’est Cassie qui prend toutes les casquettes du monde, d’habilleuse à assistance qui porte le café - même si elle déteste quand je prétends pour l’agacer qu’elle n’est que ça. Sans elle, il y a fort à parier que je perdrai la tête sur les routes du pays ou en tournée mondiale. « Je suis pas venue pour jouer au papa et à la maman. Ça veut pas dire que je les déteste pour autant. C’est juste pas…mon truc. C’est grave, docteur ? » Je secoue la tête, un léger sourire sur les lèvres. « Pas du tout. Je cherche juste à percer le mystère Josephine Carter. » Je m’appuie en arrière sur mon appui-tête, sans la quitter des yeux. « C’est pas ton truc, intéressant. » Que dira-t-elle, quand elle apprendra que la blondinette derrière nous n’est pas ma nièce ? Que je suis indissociable de ma fille ? Bah, je n’ai pas la moindre raison de me poser ce genre de question, mais je serai touché qu’elle la rejette, puisqu’elle fait partie intégrante de qui je suis.
« J’y travaille pour te donner une réponse au plus vite, c’est promis. » Là, je me contente de hocher la tête sans rien ajouter. Je n’ai pas l’intention de lui mettre la pression d’une quelconque façon, même si la chaîne comment à le faire avec moi. Moi, j’attends sagement qu’elle accepte pour entamer les discussions avec la production puisque j’ai pris ma décision : cette fois elle doit gagner. Ce sera la condition de ma participation. Elle le mérite, et ils le lui doivent. De toute façon, ce genre de revanche fait une belle histoire, non ? « J’ai repensé à la dernière fois. » Moi aussi, je n’ai fait que ça quand je sortais de ma timide transe créative. « Quand tu m’as dit que Fallin’ All In You avait été écrite comme un duo. » - « Hum ? » J’aime la direction que prend la discussion, mais je n’ai pas envie de m’emballer si je me trompe, alors je la laisse venir. Et finalement, la réponse va au-delà de mes attentes puisque j’imaginais qu’elle me propose de réenregistrer la chanson pour en sortir une nouvelle version sur les plateformes de streaming, tout au plus. « J’ai pas envie que tu crois que je m’impose dans tes projets, mais si ça peut te motiver à écrire un peu plus vite pour que ton équipe te lâche la grappe, je suis pas fermée à l’idée d’enregistrer un truc avec toi. D’enregistrer et d’écrire un truc avec toi. » Mon visage transpire la reconnaissance et je crois que je ne peux pas le cacher. La veille de la finale, je lui ai parlé de featuring et j’étais plus sérieux que jamais, je ne plaisantais pas, pas plus que je ne faisais des plans dans le vent. Ce duo, j’aurais voulu l’enregistrer il y a six ans et je n’ai jamais cessé d’y penser. « Pour nous. Pour ton prochain album, je veux dire. » - « J’avais compris. » J’esquisse un sourire qui pue la gratitude. « Un truc qu'on enregistrerait à la toute fin, pour que ça ressemble à une récompense que t’auras méritéééé… » Je hoche la tête pour dire qu’à nouveau, je comprends. Je cherche les mots juste à mettre sur ce que ma proposition provoque chez moi. « Y’a rien qui me ferait plus plaisir que d’enregistrer un titre avec toi. » Mon regard, posé sur elle, est d’une douceur que même elle n’a pas souvent aperçue. « Mais je pose une condition. Quand le label organisera la tournée qu’ils crèvent d’envie d’organiser… » Parce que je n’ai pas sorti d’album depuis 2020 et que, par conséquent, je n’ai pas touré depuis autant de temps, si on omet les festivals. « Tu monteras sur scène avec moi pour la chanter. Au moins pour les dates australiennes. » Du reste, j’espère qu’à ce moment-là, elle aura son propre album à promouvoir et existe-t-il un meilleur moyen ? Je sais ce que mon nom vaut, dans l’industrie musicale. Refuser, ce serait se tirer une balle dans le pied. « Je veux savoir ce que ça fait, d’être sur scène avec toi. » X-Factor, c’est différent. Les caméras, le public, tout ça est bien moins réel que ce que l’on ressent face à un stade rempli de personnes venues spécialement m’écouter moi. « Deal ? » Un sourire espiègle sur les lèvres, je tends une main dans sa direction.
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Jeu 27 Oct 2022 - 9:10 | |
| when everything feels like the movies Jo Carter & @Midas Sterling (crédit gif/harley)
"Je sais qu’y au moins une chanson de chacun de tes albums qui parle de moi, commence pas." qu’elle lui rétorqua du tac-au-tac quand il s’amusa de la manière qu’elle avait de se placer en muse et de lui proposer de parler d’elle en interview en plus de lui réserver une place particulière dans ses remerciements spéciaux. Si ça flottait dans l’air, cette tension qu’il y avait entre eux, il y avait aussi assez de non-dits pour remplir une pièce, et sans doute que le temps d’un instant, elle oublia que c’était comme ça qu’ils fonctionnaient, que briser la limite qu’ils s’imposaient par pudeur — ou par fierté, allez savoir — ne faisait pas partie des prérogatives de cette relation qui les unissait, quelle qu’elle était. Elle soutint son regard quelques secondes — de trop, probablement — et puis elle détourna assez vite la tête pour démontrer qu’elle ne voulait pas qu’il le lui confirme ou qu’il le lui infirme, la certitude étant assez prégnante dans ses propres tripes pour qu’elle ne s’échine à lui dire qu’en effet, elle avait été le sujet de certaines de ses chansons. Jo, elle s’amuserait à deviner lesquelles la prochaine fois qu’elle lancerait l’un de ses albums, et quand le prochain s’ajouterait à la liste, elle aurait la satisfaction de pouvoir arguer qu’elle était celle qui avait eu l’exclusivité de la première écoute, et c'était suffisant pour qu’elle ne se sente pas d’humeur à lui faire savoir que s’il ne se magnait pas le train pour l’écrire, ce putain d’album, elle avait le temps de fantasmer longtemps sur l’idée qu’elle y apparaîtrait, même décrite en code "Je viens déjà trop souvent à mon goût. Je suis à ça de te trouver insupportable." lui fit-elle en en croyant pas un mot quand sa taquinerie l’atteignit et qu’elle l’observa à nouveau pour se rendre compte que la surprise de sa visite du soir passée, il paraissait plus détendu quand elle, elle sentait de l’électricité crépiter jusque dans le bout de ses doigts qu’elle faisait jouer tantôt sur sa cuisse dénudée, tantôt sur le bras du fauteuil. Elle avait besoin de remuer, c’est pour ça qu’elle se leva de sa propre chaise pour remplir l’espace qui les entourait, jetant de temps à autres des regards à la petite Posy pendant que le dialogue reprenait avec Midas, et qu’en plus de tout un tas d’autres choses, elle sentait une forme d’anticipation étrange se soumettre à elle. Elle avait clairement une idée derrière la tête qu’elle ne savait pas comment lui exposer sans paraître assez désespérée pour lui faire une requête qui faisait palpiter son cœur et suinter les paumes de ses mains ; alors elle tournait autour du pot, c’est vrai, parce qu’elle n’était pas sans se dire au fond, sa confiance en elle étant pourtant ce qu’elle était, qu’elle avait peut-être perdue des privilèges quand ça concernait ce qu’ils avaient tous les deux puisque le temps était passé, qu’ils avaient évolués. Elle eut un léger rire au travers de tout ce qu’il se dit à ce moment, s’arrêtant sur la notion de mystère qu’il accola à son nom presque entier, et elle se planta devant lui, arquant un sourcil pour mieux le regarder, et lui dire, la tête penchée sur le côté, son regard trouvant le sien avec une facilité toujours un peu perturbante tant ça paraissait instinctif, naturel "Parce que je suis un mystère, maintenant ?" S'il savait que, dans son esprit, elle statuait sur l'évidence que c’était probablement lui qui la connaissait le mieux, il finirait par fanfaronner et se donner de l’importance. Elle secoua la tête, ne quittant pas ses yeux non plus quand il bascula la tête en arrière, posée contre l’appui-tête de sa chaise, et que plissant les paupières de son côté, elle ajouta à ce qu’il lui dit, percevant quelque chose dans sa voix qui lui fit tirer sur la corde de la provocation "Intéressant de quoi, t’as aussi une proposition à me faire à ce sujet ? Tu sais qu'il faut plus qu’un baiser sur le front pour les fabriquer, ces petites bêtes, tonton ?" Elle sentit son regard fusionner avec le sien le temps d’une longue, très longue, seconde durant laquelle elle se demanda, de son côté de la pièce, s’il percevait le message, et si elle n’avait pas laissé échapper ces quelques phrases pour se rendre compte en direct si oui ou non, il se souvenait de ce qu’il s’était passé lors de la veille de la finale. Le moment était forcément mal choisit pour lui faire réaliser qu’elle, elle n’avait pas oublié, absolument rien, et que ce n’était pas parce que de l’eau avait coulé sous les ponts qu’elle ne se servirait pas de ce secret de polichinelle pour le déstabiliser quand elle en avait l’opportunité ; le souvenir était trop vif dans le sien, d’esprit, pour qu’elle ne fasse la paix avec lui, et réussisse à se dire que ça n’avait jamais été grand-chose de plus qu’un rush d’adrénaline et de nostalgie mêlés à la veille de l’événement le plus marquant de la vie de chacun d’entre eux, trop conscients de tout ce qu’ils risquaient de leur arriver, de tout ce qu’ils risquaient de perdre, une fois qu’on leur enlèverait le privilège de se côtoyer tous les jours.
Et là, elle fut la première à rompre le contact visuel, trouvant l’opportunité fort à propos pour enfin lui dire ce qu’elle avait mûrit depuis qu’ils avaient chanté tous les deux, mais aussi depuis qu’elle s’était rendu compte que Midas était soumis aux caprices de son inspiration. Sa réaction, elle lui fit plaisir, bien qu’elle resta assez stoïque pour ne pas trahir les battements effrénés de son coeur, et l’impression soudaine qu’elle avait d’être la gamine timide qui va confronter son crush pour la toute première fois en ne sachant pas quoi dire ni quoi faire "T’es vraiment comme tous les mecs. Je te gracie généreusement d’une proposition, et t’en veux toujours plus. Je me sens utilisée, Midas." Absolument pas, elle jouait l’effarouchée, mine théâtrale à l’appui, pour donner le change quand ce qu’il ajouta la fit sortir du rôle qu’elle jouait pour lui rétorquer avec une sincérité à n’en pas douter, quand il avoua de son côté avoir envie de savoir ce que ça faisait de chanter sur scène avec elle "T’aurais pu le savoir bien avant que je vienne te trouver avec cette proposition." Soudainement un peu trop sérieuse, elle continua en détournant les yeux pour le poser ailleurs que sur Midas, en l’occurence sur le profil de Posy qu’elle ne voyait pas vraiment, encore qu’elle se dit qu’elle était quand même très mignonne, cette gamine "Si tu m’avais demandé de venir chanter avec toi à l’époque, j’aurais pas dit non." Elle admit dans un léger sourire en même temps qu’elle lâchait Posy du regard pour regarder son oncle "Je t’aurais fait mariner longtemps, c’est clair. Mais j’aurais été obligé de dire oui à un moment donné." Pour, là encore, tout un tas de raisons qui auraient mis sa fierté à mal, mais au point où elle en était à cette époque-là, peut-être que ça l’aurait aidé à moins mariner dans sa bile aujourd’hui ; ça ne servait à rien de ressasser, bien qu’elle ajouta dans la foulée, laissant un très léger rire lui échapper en regardant en l’air pour chercher quelque chose à quoi se raccrocher qui ne soit pas les putains de yeux bleus de Midas "Ça m’a obsédée pendant longtemps d’imaginer ce que ça aurait pu être si t’avais eu les couilles de juste me demander comment ça allait." Et elle lui aurait répondu que ça n’allait pas, qu’elle avait été rejetée de partout, qu’elle se sentait utilisée, inutile, et à peine digne de l’intérêt qu’on lui avait porté durant toute la saison de X Factor. Et ça, là, ce qu’elle partagea avec lui, c’était beaucoup trop sincère pour que ça ne la gêne pas un peu, alors elle laissa un court silence s’installer quand ses yeux se verrouillèrent de nouveau à ceux de Midas un temps de trop, encore une fois, et que pour reprendre rapidement le dessus, elle se leva en voyant sa main se tendre dans sa direction. Sans y réfléchir davantage, à cette nouvelle proposition qu’il lui fit, se disant par la même que cumuler les réponses à lui donner serait une mauvaise chose sur la durée de toute façon, plus qu’ouverte à cette éventualité simple à caresser du doigt cette fois-là, elle attrapa sa main pour la serrer doucement avec la sienne, se plaçant, debout, dans l’interstice de ses jambes pour lui répondre, sûre d’elle, le dominant par la taille uniquement parce qu’il était assit à ce moment-là "Deal." i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
Dernière édition par Jo Carter le Sam 29 Oct 2022 - 14:41, édité 2 fois |
| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
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AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Ven 28 Oct 2022 - 17:16 | |
| when everything feels like the movies Midas Sterling & @Jo Carter
Bien sûr que certaines de mes chansons parlent de Jo. Beaucoup ont été écrites alors que je pensais à elle où à ce qu’aurait pu être l’avenir si nous n’avions pas tous les deux suivi notre chemin de notre propre côté et pour quelques-unes d’entre elles, c’est à peine masqué. Avant de me résoudre à ne plus lire ce qui se dit à mon sujet sur internet et les réseaux sociaux, j’ai pu constater de moi-même que les fans aiment s’essayer à des théories en tout genre. Dès qu’un titre sort de mon esprit - ou même de celui d’un parolier - il est analysé et décortiqué dans le but d’être expliqué. Beaucoup des choses que l’on peut lire à ce sujet sont farfelues, beaucoup de ces idées complètement idiotes mais, évidemment, il est indéniable que malgré toutes les liaisons que l’on m’a prêtées, le prénom de Jo est celui qui est revenu les plus souvent année après année. Mes fans sondaient mes réseaux sociaux comme ceux de la jeune femme à la recherche d’un signe que nous étions toujours secrètement en contact, certains tabloïds nous ont même inventé un mariage secret il y a deux ans, et beaucoup de mes titres ont été vus comme une ode à la brune. Pour certains, c’était vrai. « Je viens déjà trop souvent à mon goût. Je suis à ça de te trouver insupportable. » - « Tu cherches à mentir à qui là, à moi ou à toi ? » De mon côté, j’ai perdu une partie de ma candeur et de ma naïveté. J’étais ces choses à l’époque du tournage de X-Factor. Aujourd’hui, si je suis loin d’être un grand sage, je suis assez perspicace pour savoir qu’elle raconte des conneries, Jo. Peut-être le fait-elle pour ne pas avoir à avouer qu’elle continue à venir et qu’elle le fait si souvent puisque c’est autant une évidence pour elle que pour moi : nous sommes liés d’une façon difficilement explicable, elle et moi. « Parce que je suis un mystère, maintenant ? » - « T’as toujours été un mystère, et tu le sais. » Parfois, j’ai l’impression de la connaître mieux que moi-même. A d’autres moments, j’ai le sentiment que je n’ai pas accès du tout à ses pensées. « C’est pas une mauvaise chose. Pas la plupart du temps. » Le reste, ce sont ces fois où elle se comporte comme une vraie emmerdeuse, mais elle ne sait que trop bien que c’est loin de me déranger. « Intéressant de quoi, t’as aussi une proposition à me faire à ce sujet ? Tu sais qu'il faut plus qu’un baiser sur le font pour les fabriquer, ces petites bêtes, tonton ? » - « Ah bon ? » Taquin, faisant mine d’être bien plus innocent que je ne le suis je penché la tête en fronçant les sourcils. Si je joue autant avec elle, c’est que je sais à quoi ou à quel moment elle fait allusion. Je m’en souviens parfaitement. « T’es en train de me dire que je me suis fais des nœuds dans le ventre pour rien à de trop nombreuses reprises ? Je risque pas d’avoir semé des petits Midas dans la nature aux quatre coins du monde ? » Je n’ai rien d’un briseur de cœur, dans les faits. Je ne peux même pas être qualifié de coureur. J’ai profité de ma notoriété et de la facilité qui, couplées à la couleur de mes yeux, ont rendu mes rapports avec la gente féminine bien plus simple. J’estime toutefois l’avoir toujours fait dans le respect et - presque - toujours avec prudence. Concernant Posy, j’ai pris mes responsabilités, même si je n’aime pas le dire comme ça : m’occuper de ma princesse n’a rien d’une obligation.
« T’es vraiment comme tous les mecs. Je te gracie généreusement d’une proposition, et t’en veux toujours plus. Je me sens utilisée, Midas. » - « Je suis blessé. Je pensais que j’étais spécial à tes yeux. » Une discussion que nous avons déjà eue, des choses que nous nous sommes confiées à demi-mots, sans oser assumer des sentiments que nous ne comprenions pas bien. « T’aurais pu le savoir bien avant que je vienne te trouver avec cette proposition. » Cette fois, je suis sincèrement surpris et je ne vois pas tout de suite ce qu’elle entends par là. J’abandonne toute nonchalance - mon coude posé sur l’accoudoir de ma chaise de bureau, la tête posée dans ma main - et je me redresse en fronçant les sourcils. « Si tu m’avais demandé de venir chanter avec toi à l’époque, j’aurais pas dit non. Je t’aurais fait mariner longtemps, c’est clair. Mais j’aurais été obligé de dire oui à un moment donné. » Est-ce vrai ? Jo n’est pas une menteuse, elle est au contraire parfois trop honnête pour certains. Mais ne vit-elle pas dans une fable ? N’est-ce pas une vision utopiste de la chose ? Je veux bien prendre ma part de responsabilité dans notre éloignement, mais je ne suis pas le seul fautif. Jo m’a repoussé autant que je me suis éloigné et, entendre ça m’évoque une nostalgie que je n’avais pas vue venir. « Ça m’a obsédée pendant longtemps d’imaginer ce que ça aurait pu être si t’avais eu les couilles de juste me demander comment ça allait. » Je crois que je n’ai pas envie de débattre à ce sujet. Je crois que j’ai besoin de réfléchir à ses mots et à ce que ça implique. Je n’ai pas envie d’être dévoré par le regret et, instinctivement, c’est ce dernier qui m’assaille de toute part. « Les ”et si ?”, ça n’a jamais rendu service à personne. » De mon côté, il me poussent à m’en vouloir de ne pas avoir essayé assez fort. Ai-je été égoïste ? Trop pris par mon quotidien et ma célébrité naissante ? Ai-je failli à ma promesse ? Je me suis toujours dit que si je n’avais pas été là, c’est parce qu’elle ne voulait pas de moi. Qu’elle ne voulait pas de moi dans mon entourage. Qu’elle était blessée et que mon amitié lui donnait l’impression d’être de la pitié et qu’elle n’en voulait pas. Je tais toutes ces choses au profit du futur qui m’importe bien plus que de ressasser ce que nous aurions pu être et faire ensemble. Je me concentre sur sa main qu’elle glisse dans la mienne et que je n’ai pas envie de lâcher. « Deal. » Elle est bien trop près de moi pour que je contrôle mes pensées. Pensées que je n’ai pas envie d’avoir alors que ma petite fille est dans la pièce et, comme par magie - c’est rare que Marley ne pointe le bout de son nez au bon moment - mon téléphone sonne et le prénom de mon ex s’affiche sur l’écran. « C’est la mère de Posy. Une seconde. » Je décroche, troublé par le regard de la jeune femme que je n’arrive pas à quitter des yeux. « Je croyais qu’on avait dit dix-sept heure trente ? » Je suis tiraillée entre la frustration qu’elle me prive de notre fille près de vingt minutes avant l’horaire convenue ensemble, et le soulagement de mettre fin à une situation stressante : j’ai peur que ma fille ne vende la mèche sur son identité. « Non. Je descends avec elle, t’inquiète. » Si je tente de paraître moins directif que je ne l’aurais fait en temps normal avec Marley, c’est pour ne pas paraître étrange à Jo. Je ne suis que l’oncle, remember ? Je raccroche, avant d’adresser un sourire à Jo. « C’était sa mère. Je reviens. » J’ôte doucement le casque des oreilles de Posy, avant de lui adresser un sourire. « Maman est là. Je te ramène, tu dis au revoir à Jo ? » - « C’est un prénom de fille Jo ? » Je manque de m’étrangler et, après un coup d'œil à la brune et un haussement d’épaule désolé, je réponds à ma fille. « C’est pas son vrai prénom. Mais c’est un secret d’agent secret, tu te rappelles du dessin animé avec les espions ? » Voilà, en quelques mots ma fille est à présent persuadé que la brune est un agent secret, et la regarde avec des yeux remplis d’un mélange d’appréhension et de d’admiration. Nous ramassons ses affaires, et avant de quitter le studio je me retourne vers la chanteuse. « Fais comme chez toi, je remonte tout de suite. »
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Sam 29 Oct 2022 - 15:47 | |
| when everything feels like the movies Jo Carter & @Midas Sterling (crédit gif/harley)
Un peu à nous deux, qu’elle lui aurait répondu si elle n’avait pas été aussi fière, aussi consciente aussi qu’elle avait tendance à faire tomber bien des barrières en sa présence, et que c’était assez déstabilisant pour qu’elle ne se dise pas que c’était une mauvaise idée de le faire, ici et maintenant. Elle était souvent brutalement honnête, Jo, mais avec Midas ça devenait incontrôlable dans le sens où elle ne réussissait pas à se mettre de limites comme elle le faisait avec les autres, et que ça finissait par des révélations ou des débats sur ce qu’elle ressentait, ou sur ce qu’elle ne ressentait pas. Ils se connaissaient bien, très bien, ça lui laissait très peu de marge pour lui faire gober les salades qu’elle enfonçait de force dans la gorge de ceux qu’elle avait en face d’elle, alors à lui, elle ne lui faisait pas l’affront de trafiquer ce qu’elle ressentait, ou de pencher vers autre chose que de la taquinerie pour préserver sa pudeur émotionnelle. Dans tous les cas, rien ne prenait vraiment avec lui et pour ça, comme pour tout un tas d’autres choses, elle le détestait rien qu’un peu. L’entendre dire qu’elle avait toujours été un mystère, ça la fit lâcher un tout petit rire qui ne partait de rien d’autre que de la certitude ancrée en elle que, lui aussi, il disait des conneries. Mais c’était de bonne guerre pour le coup, et puis encore une fois, le temps avait passé. Ce qu’il avait appris d’elle dans le passé, ce n’était peut-être plus valable aujourd’hui, et inversement, encore qu’au plus elle le regardait, au plus Jo ressentait que ce qu’elle lui avait fait remarquer à la maison de retraite, le fait qu'il avait changé, s’avérait de plus en plus vrai, de plus en plus évident, et que ça lui faisait un peu de mal de s’en rendre compte avant autant de retard. Elle, elle était restée plus ou moins la même, ses caractéristiques s’étant affirmées pour flirter avec le cliché tant elle n’avait pas su se départir de l’image qu’on avait voulu lui donner à l’époque, et qui était aujourd’hui une sécurité qu’elle avait du mal à abandonner parce qu’on le lui avait pas laissé faire la paix avec son échec. Ses mécanismes de défense étaient différents, ceux de Midas aussi, ils avaient appris à se protéger des autres… mais de l’un et de l’autre ? A une époque, ils représentaient chacun le stéréotype de l’ennemi naturel, un poncif qui s’était établi naturellement parce que c’était comme ça que fonctionnait tous les scénarios de télé-crochet Mais finalement, ils n’avaient jamais été concurrents. Ils n’avaient jamais été rien d’autre non plus, et maintenant qu’ils pouvaient arrêter de faire semblant, il y avait quelque chose qui les retenait, Jo le sentait. Seulement, elle n’était pas assez rétablie de leur aventure commune, de lui aussi sûrement, pour être celle qui ferait autre chose que des sous-entendus, quand bien même ça la faisait bien marrer de le faire, ça restait un peu douloureux de repenser à tout ça, de repenser à ce que ça aurait pu être si elle avait osé le retenir ce soir-là. Il avait fait le premier pas, mais elle avait tellement eu envie de faire le deuxième, que c’était ça en vérité qui l’avait le plus obsédée dans leur histoire : d’imaginer ce que ça aurait pu être si elle avait envoyé chier Cathy, et qu’elle avait défait la ceinture de son peignoir. Elle le regarda quand cette pensée frôla son esprit, et que même elle, dans toute la provocation dont elle savait user pour garder la main, elle se sentit assez émoussée pour sentir son corps se tendre rien qu’un peu "Je sais pas si t’as semé des petits Midas aux quatre coins du monde, et pour le bien de l’humanité, j’espère vraiment que non." Elle se signa, comme l’enfant de chœur qu’elle était loin d’être, n’ayant jamais foutu ne serait-ce qu’une fois les pieds dans une église "Mais j’espère pour toi que t’as pas semé l’herpès en même temps." Amen. Et elle ne sut pas dire s’il avait oublié ou non, finalement, ce baiser qu’ils avaient échangé, se trouvant tellement conne de s’y être accroché, à ce souvenir, qu’elle eut le besoin de se soumettre à son regard en se levant de nouveau de sa chaise pour préparer en sourdine son prochain coup.
Mais il n’était pas reste, Midas, et ce qu’il lui répondit tandis qu’elle fanfaronnait, elle lui fit ajouter entre deux réalités qu’elle lui donna en pensant qu’elle pouvait le faire, qu’il y avait prescription dans tous les cas "Tu l’étais." Spécial "Je me réserve le droit de prétendre ou pas que tu l’es toujours aujourd’hui. Ça fait six ans après tout, j’en ai vu d’autres." Des gens aussi talentueux que lui, avec qui elle partageait une telle alchimie, un tel besoin d’être proche et d'échanger ? Là, ce n’était que du zèle, et ce qu’elle lui répondit après qu’il statua qu’on ne refaisait pas le monde avec des et si, c’était gorgé d’une mauvaise foi dont elle seule avait le secret "C’est le genre de réponse qu’on donne quand on sait qu’on a quelque chose à se reprocher." Ferme-là, putain "Mais OK, le débat est clos, j’ai pigé." Elle aurait tout simplement pu lui dire qu’elle avait besoin de savoir pourquoi il était resté à distance, aussi ça aurait devoir accepté la réalité des faits, à savoir qu’elle l’avait tenu à distances pendant quelques temps avant de se rendre compte qu’il lui manquait, que ce n’était pas comme ça qu’elle voulait que ça se passe, et que rien n’était vraiment perdu malgré le fait qu’elle lui avait menti, rompant la pseudo-promesse qu’ils s’étaient faite en lui en voulant atrocement d’avoir gagné, porté en protagoniste émérite d’une histoire qu’ils avaient pourtant écrit à quatre mains. Lorsque la sienne prit celle de Midas, elle sut qu’elle ne signait rien dans les faits, mais qu’elle était tellement butée que même si ça lui coûtait, elle ferait tout pour rattraper son erreur d’il y avait six ans désormais, et qu’elle répondrait à son caprice parce que c’était lui, et personne d’autre. Le deal qu’il prononça, il était aussi mélodieux que la sonnerie du téléphone du jeune homme qui la força à battre en retraite en battant doucement des cils, et à récupérer sa main pour aller s’asseoir à côté de Posy. Elle la regarda de haut simplement parce qu’à cet âge, la gamine n’était pas encore assez grande, et quand son visage de poupée se tourna vers elle, elle plana un doigt dans une de ses joues potelées pour lui chuchoter sans qu’elle ne l’entende, le casque qu’elle avait sur les oreilles l’empêchant de l’entendre faire preuve de grossièreté — encore que franchement, elle fit dans le soft, pour une fois, c’était même un peu mignon si on voyait au-delà de la mine revêche qu’elle lui adressa "Salut, mocheté." Elles n’eurent pas vraiment le temps de lier connaissance, disons que de toute façon, Jo n’avait pas envie d’avoir une discussion faite de babillages décousus et de fautes de syntaxe, alors ça l’arrangea que Midas soit obligé de la ramener à sa mère. Toujours assise, Jo fit un saut de puce pour occuper la place laissée libre par Posy dont elle entendit la voix pour la première fois, et pas pour autre chose qu’une bribe d’injure qu’elle lui renvoya au visage en lui disant, aussi immature qu’elle était susceptible "Tu vois, j’allais te donner une sucette à la cerise que je garde dans mon sac, mais puisque c’est comme ça…" C’était elle l’adulte, mais c'était aussi elle qui aimait avoir le dessus sur tout le monde, même sur une pauvre gosse de quatre ans qui la regardait maintenant avec une admiration mitigée, son oncle l’ayant emmené dans des délires qui la forcerait à inventer des histoires quand elles se reverraient. Putain de Midas.
Un signe de la main plus tard, un roulement d’yeux comme simple réponse à Midas, et Jo se retrouva seule dans le studio qui fût trop silencieux à son goût pour qu’elle s’y sente à l’aise. Alors puisqu’il lui avait dit qu’elle pouvait faire comme chez elle, elle se déchaussa d’abord, cassa un morceau de chocolat de la tablette qu’il y avait sur la table ensuite et le fourrant dans sa bouche pour le laisser fondre doucement, et se dirigea de l’autre côté du studio, à l’endroit qu’on voyait derrière la vitre, et où un sublime piano l’appelait sans qu’elle ne se sente indigne de se mettre devant. Bien au contraire. Elle n’avait plus l’occasion de jouer autrement que sur son vieux synthétiseur qui ne rendait pas justice au doigté qu’elle avait conservé de ses jeunes années de pianiste assidue, et ça lui revenait chaque fois aussi naturellement que respirer, de caresser les touches d’un instrument comme celui qui résonna soudain dans une acoustique parfaite ; ou comme les sarcasmes qui prirent formes dans sa tête quand, arrêtant de jouer juste en instant en comprenant que Midas l’avait rejointe, elle lui dit en tournant à peine la tête dans sa direction pour lui jeter un regard par-dessus son épaule qu’elle haussa en même temps "Je trouve ça trop bizarre que tu t’occupes de ta nièce." Mais qu’est-ce que ça pouvait bien lui foutre au fond ? Rien du tout, c’était juste pour reprendre la discussion sur une note moins cryptique que tout à l’heure, sentant toujours quelque chose pulser au fond d’elle, et qui n’avait rien à voir avec son cœur "Je connais même pas le prénom des miens. Je sais juste que j’en ai peut-être quatre ou cinq, et c’est déjà bien assez pour pas regretter d’être jamais invitée aux fêtes de famille." i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
Dernière édition par Jo Carter le Jeu 3 Nov 2022 - 8:14, édité 1 fois |
| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
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AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Lun 31 Oct 2022 - 11:25 | |
| when everything feels like the movies Midas Sterling & @Jo Carter
« Je sais pas si t’as semé des petits Midas aux quatre coins du monde, et pour le bien de l’humanité, j’espère vraiment que non. » Promis juré, la seule mini Midas qu’il existe au monde est sous ses yeux, je n’ai pas d’autres enfants cachés dont elle ignore l’existence. J’aime Posy de tout mon cœur, mais sa venue au monde inattendue m’a appris à être plus prudent lorsqu’il est question de contraception. « Mais j’espère pour toi que t’as pas semé l’herpès en même temps. » Théâtralement, je pose une main sur mon cœur en la regardant droit dans les yeux. « Croix de bois, croix de fer, je suis en parfaite santé. » Du reste, je suis mal à l’aise à l’idée de parler de mes aventures à la brune. Sans trop parvenir à mettre des mots dessus - nous ne sommes pas ensemble et, ces dernières années, nous ne nous devions rien - j’ai l’impression d’aborder un sujet tabou. Peut-être est-ce pour ça aussi que ça m’arrange au fond, que Posy soit un secret. Même si je me sens coupable simplement de le penser alors que je pose les yeux sur ma petite fille.
« Tu l’étais. Je me réserve le droit de prétendre ou pas que tu l’es toujours aujourd’hui. Ça faisait six ans après tout, j’en ai vu d’autres. » - « D’autres types spéciaux ? » Cherche-t-elle à me provoquer ou bien est-elle sincère ? Elle avait à peine vingt ans Jo lors de l’époque X-Factor. C’était une toute jeune femme qui découvrait - peut-être ? - l’émoi provoqué par la proximité avec un représentant du sexe masculin qui partageait ses passions (et qui n’était pas l’un de ses frères). L’étais-je réellement, spécial, ou bien étais-je simplement le premier ? Une fois la tempête médiatique redescendue et loin des plateaux de tournage, s’est-elle rendue compte que je n’avais rien de spécial ? Que la connexion qu’elle avait ressentie avec moi, elle pouvait la ressentir avec une foule d’autres prétendants ? Je ne veux pas y croire pour une simple raison : ça n’a pas été mon cas. Inconsciemment, j’ai comparé toutes les femmes que j’ai rencontrées - même celles avec lesquelles j’ai eu une liaison ou une relation - à la jeune chanteuse. Si, au départ, les différences ne me gênaient pas, elles devenaient au fil du temps un motif de rupture. Après avoir ressenti une telle connexion, une certitude que Jo et moi étions autre chose que deux concurrents mais bien des âmes sœur au sens premier du terme, difficile de se contenter de moins. Pourtant, j’ai sincèrement aimé Marley, le temps que ça a duré. Mais elle n’était pas Jo. « Tu me brises le coeur, Joséphine. » Je lui adresse un clin d’oeil appuyé. Je sais que c’est faux, voilà ce que ma désinvolture dit.
« C’est le genre de réponse qu’on donne quand on sait qu’on a quelque chose à se reprocher. Mais OK, le débat est clos, j’ai pigé. » - « Tu veux vraiment avoir cette conversation maintenant ? » Parce que nous avons certainement tous les deux bien des choses à nous dire concernant l’après X-Factor, que nous avons tous les deux notre lot de déceptions et de et si ?. Je l’ai deviné depuis longtemps : nous sommes tous les deux fautifs et n’avons pas su nous comprendre. J’ai cru qu’elle avait besoin d’air, elle a pensé que je m’éloignais, que je devenais quelqu’un d’autre, peut-être. J’ai cru que me fréquenter était trop dur pour elle après ma victoire, j’ai deviné que contrairement à sa promesse, elle m’en voulait, alors que lui ai laissé de l’air. Je n’ai compris qu’après qu’elle avait pu le percevoir comme un abandon. La présence de Posy dans la pièce n’est qu’une excuse : je n’ai pas envie de gâcher l’instant en remuant le couteau dans la plaie. Plus tard, peut-être, plus tard certainement. Pour une fois, Marley tombe à pic puisque son appel clôture ce délicat sujet. Je me retourne pour préparer Posy au départ, et un mince sourire se dessine sur mes lèvres alors que je l’aperçois assise à côté de Jo. « Tu vois, j’allais te donner une sucette à la cerise que je garde dans mon sac, mais puisque c’est comme ça… » Ma fille me regarde d’un air scandalisé, et je hausse les épaules. « Halloween est dans moins d’un mois, t’as pas besoin de faire le plein de sucrerie. » Je chatouille ses côtes, avant d’attraper sa main et de l’encourager à dire au revoir à la brune, à laquelle elle adresse un signe de la main et un au revoir d’une voix qui ferait craquer n’importe qui - ou peut-être que je manque d’objectivité.
Lorsque je remonte - agacé d’avoir dû dire à mon ex qu’elle ne peut pas toujours revenir sur les horaires qu’elle annonce, que j’ai besoin de passer du temps avec notre fille également - je trouve Jo assise devant le piano et l’image me fait l’effet d’un anxiolytique. Ma colère, ma frustration, tous ces sentiments négatifs redescendent et j’esquisse un sourire avant de la rejoindre et de me faire une place sur le banc étroit sur lequel elle est assise. « Je trouve ça trop bizarre que tu t’occupes de ta nièce. » Je lève un sourcil, surpris qu’elle revienne là-dessus, et elle précise. « Je connais même pas le prénom des miens. Je sais juste que j’en ai peut-être quatre ou cinq, et c’est déjà bien assez pour pas regretter d’être jamais invitée aux fêtes de famille. » Je n’ai jamais autant eu envie de lui dire la vérité mais je ne peux pas le faire : la décision ne m’appartient pas à moi seul. Marley a aussi son mot à dire, et c’est peut-être pour le mieux : je ne suis pas objectif lorsqu’il s’agit de Jo Carter. « Tu les connais pas parce que ça t’intéresse pas ou parce qu’ils ont jamais cherché à t’inclure ? » Elle n’a pas dit qu’elle n’allait pas aux fêtes de familles : elle a précisé qu’elle n’était jamais invitée et n’importe qui à sa place aurait le droit de se sentir exclu. « T’aurais le droit d’être en colère contre eux. T’as le droit de l’être pour Ava, et pour la façon dont ils te traitent toi. » La laissant à la fois se débrouiller seule avec sa grand-mère, et la laissant également de côté. « Je suis content que t’aies gardé contact avec Olive. » En parlant de famille. « Ça m'a permis de continuer à entendre parler un peu de toi.» Le banc est bien trop petit pour que mon épaule ne frôle pas la sienne.
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Jeu 3 Nov 2022 - 9:13 | |
| when everything feels like the movies Jo Carter & @Midas Sterling (crédit gif/harley)
"Des types spéciaux, j’en sais rien, mais des emmerdeurs comme toi, j’en ai pas rencontrés beaucoup, c’est clair." C’était l’hôpital qui se fout de la charité, mais c’était drôle, et puis ça lui avait évité de se montrer trop franche et vulnérable sur ce sujet-là en particulier. Parce que, Midas, il ne rentrait pas dans les cases des aventures qu’elle avait pu avoir à droite et à gauche, que ce soit avant leur rencontre ou après — avant, elle en avait eu quelques-unes, certaines plus intenses que d’autres, et après, elle avait changé son fusil d’épaule pour ne pas avoir à comparer tous les types qu’elle rencontrait à lui, alors elle avait visé du côté féminin de la chose, en s’impliquant jamais trop puisqu’au fond, ce n’était pas plus son truc que ça, c’était juste une belle échappatoire quelques fois, mais ce n’était jamais plus, et puis c’était facile, ce qui ne l’était jamais vraiment quand on s'amourachait de Jo Carter qui n’en donnait pas assez pour qu’on voit au-delà de qui elle pensait devoir être. Personne n’avait jamais vu qui elle était vraiment si ce n’était celui qui était dans la pièce avec elle à ce moment-là ; peut-être que Nicholas pouvait prétendre avoir vu quelque chose d’elle à un moment donné, mais là encore, en surface seulement, et ce n’était même pas comparable. Alors oui, bien sûr qu’il était spécial, Midas, et bien sûr qu’il en était conscient au point que ça le mettait un peu dans l’embarras quand de son côté, elle avait conscience d’avoir exactement le même effet qu’il avait sur elle — c’était un secret de polichinelle qu’ils s’obstinaient à garder, pour quoi, pour ne pas gâcher leurs retrouvailles ? Elle n’en savait rien, mais elle remerciait secrètement la petite Posy d’avoir choisi ce moment pour venir passer du temps avec son oncle finalement, sinon le dialogue aurait tourné autrement quand elle fut incapable de la boucler en quémandant une explication qu’elle avait un besoin viscérale d’avoir sans qu’il ne soit assez bon pour s’en apercevoir sans qu’elle ne s’échine à le lui dire sans tourner autour du pot. On ne pouvait pas avoir toutes les qualités du monde, et elle qui portait souvent Midas au rang de gendre idéal, c’était un rappel de sa propre condition de simple mortelle ; ils avaient tous les deux des tares, et c’était forcément pour ça aussi, que ça passait aussi bien entre eux.
Mais il y avait des trous dans leur histoire commune, et Jo savait qu’elle passait souvent au studio dans l’espoir de les combler sans en avoir l’air. C’est probablement pour ça qu’elle renchaina rapidement avec la présence de la petite Posy que Midas avait finalement rendue à sa mère, les laissant seuls, dans une conjoncture qui lui rappelait des moments du passé, quand il n’y avait plus personne autour, et qu’ils se retrouvaient dans leur bulle ; c’était aussi apaisant que c’était séduisant, cette proximité qu’il rogna en venant s’asseoir à ses côtés, son épaule frôlant la sienne tandis que ses doigts continuaient à caresser les touches du piano sans pour autant en jouer, voulant juste sentir la fraîcheur de l’ivoire sous la pulpe de ses doigts, comme pour l’ancrer dans le moment présent, effaçant momentanément la nostalgie des souvenirs qu’elle partageait avec lui pour répondre à la question qu’il lui posa, et qui lui fit incliner la tête sur le côté opposé au contact de leurs deux épaules "Je les connais pas parce qu’ils ont trop peur de mon père pour vouloir m’inclure, et que son opinion de moi et assez mauvaise pour qu’il décide de leur faire subir le même traitement s’ils voulaient ne serait-ce que prendre de mes nouvelles." C’était difficile à admettre, mais Jo, comme pour tout un tas de choses, elle avait fait la paix avec ça, et elle voulait que Midas le sache pour qu’il ne soit pas tenté d’avoir de la peine pour elle. Pour alléger quelque chose, elle se pencha doucement de côté sur lui histoire de le faire très subtilement basculer tout en lui disant "Mais ça va, je leur en veux pas autant que ça. Je sais comment il est, et au fond, je sais pas si j’aurais eu le courage de faire mieux qu’eux si j’étais pas partie avant d’être trop atteinte par son autorité." Elle prit une légère inspiration qu’elle espéra qu’il ne remarquerait pas, parce qu’elle marquait une lassitude évidente à l’idée de porter ce poids sur son coeur "C’est comme ça, on s’en remet. J’ai arrêté d’être révoltée d’être seule avec ma grand-mère." Vraiment, ce n’était pas pour sauver les apparences qu’elle le disait "Le seul gros problème, c’est que j’ai récolté des daddy issues de folie, c’est vraiment pas cool." Ça la fit sourire comme une imbécile heureuse, son nez froncé en tournant la tête vers Midas à qui elle dit en reprenant à peine son sérieux "C’est pour ça que si t’as semé des petits Midas au quatre coins du monde, assure-toi qu’il y a pas une petite Midas dans le lot. Ce serait ballot que tu deviennes le sujet de sa future thérapie parce que t’as pas été foutu de l’élever comme il faut." Ça lui fit ajouter un rire à sa taquinerie, et changer la position de ses mains sur les touches du piano vers lequel elle retourna la tête finalement. Ses pieds ne touchèrent plus les pédales, ses chevilles se croisant sous le siège sur lequel ils étaient assis, et ses mains quittant les touches pour se poser sur ses propres genoux — avant de tatillonner un peu par anticipation au geste qu’elle fit juste après, prenant une des mains du jeune homme pour la poser, paume vers l’extérieur, sur ses genoux sans qu’elle ne sache vraiment pourquoi elle faisait ça sur l’instant, effleurant juste le bout de ses doigts pour sentir sous les siens les cicatrices laissées par les cordes de guitare, et qui la fit sourire assez pour lui dire, dans l’intervalle de ce que, lui, il lui dit ensuite "Ça, ça veut vraiment dire que t’es devenu quelqu’un, hm ?" En fait, pas tellement, il en avait sûrement récolté bien avant d’être devenu la star qu’il était maintenant, Midas. C’était juste une excuse pour faire ce qu’elle était en train de faire, continuant à passer le bout de ses doigts sur les siens pour compter les cicatrices, la tête penchée sur son ouvrage, et sa bouche marquant un mouvement vers le bas pour rétorquer à ce qu’il lui disait, donc "Je l’ai toujours bien aimée, et puis la réciproque est vraie ; je préférais avoir des nouvelles de toi via ta soeur, que via la télé." Ça me faisait trop mal de te voir à la télé, qu’elle garda pour elle, ralentissant la caresse de ses doigts sur les siens pour ne pas terminer trop vite son inspection. Elle dut pourtant s’y résoudre et lui rendit sa main en ménageant son effet quelques secondes à peine, sa voix se faisant de nouveau entendre quand elle lui dit en tournant la tête vers lui "Je sais que c’est pas le meilleur moment pour te le demander, mais j’ai besoin de savoir en vrai." Elle changea de position sur le siège sur lequel elle était assise, manoeuvrant de toute sa petitesse pour passer ses jambes chacune d’un côté, les franges de sa jupe comblant l’écart qu’elle fit en se tenant assez droite pour qu’aucune partie d’elle ne touche Midas cette fois, posant juste ses mains à plat sur le cuir quand elle lui demanda "Pourquoi t’as pas pris de mes nouvelles ? Je sais pourquoi moi je l’ai pas fait, mais toi, c’est quoi ton excuse ?" Le sourire en coin qu’elle laissa filer, ses yeux marquant chaque angle de son visage qu’elle voyait de profil, il était là pour le rassurer sur l’idée que ce n’était pas une attaque, qu’elle voulait vraiment savoir, quitte à avoir mal. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
Dernière édition par Jo Carter le Sam 5 Nov 2022 - 7:49, édité 1 fois |
| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
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AVATAR : Leo Woodall CRÉDITS : ssoveia (avatar), harley (gif profil & signature), blondewhoregifs (gif jo), esterpacks (gif harleen), harley (gif sterling & cassie) DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 17/08/2022 | (#)Jeu 3 Nov 2022 - 13:22 | |
| when everything feels like the movies Midas Sterling & @Jo Carter
Je me retiens de rétorquer à Jo que, parfois, il convient de se regarder dans le miroir avant d’ouvrir sa bouche que, du reste, elle a très belle et bien dessinée. L’emmerdeuse de service de notre duo, ça a toujours été elle, et je crois que quiconque ayant travaillé sur le tournage de notre saison de X-Factor pourrait le confirmer. Moi, je suis le premier à dire qu’elle ne mérite pas l’étiquette de diva qu’on lui a collé sur le front. Quand on gratte un peu le vernis, Jo n’a rien d’une capricieuse qui n’a jamais eu à se battre pour quoi que ce soit, c’est une battante et l’une des personnalités résiliente qu’il m’ait été donné de côtoyer. Si ce n’est son talent brut, rien ne lui a jamais été servi sur un plateau. Dès le plus jeune âge, elle a dû se faire une place dans la dynamique familiale et au sein d’une fratrie où tout le monde baignait dans l’univers musical, de gré ou de force, cela reste difficile à évaluer. Et c’est justement pour ne pas lui donner l’impression qu’à mes yeux aussi elle n’est que ça que je prends la critique avec noblesse, m’autorisant même une courbette en signe d’auto dérision et d’abnégation.
Lorsque je remonte et que j’aperçois la brune au piano, je suis saisi de l’envie de ne faire aucun bruit et de me contenter de l’écouter. Peut-être que, se pensant seule, elle accompagnera l’instrument de sa voix qui ne manque jamais de me retourner le ventre et de me coller des frissons. Sauf qu’à rester dans l’ombre, je me fais l’impression d’un stalker inquiétant, alors je fais quelques pas à l’intérieur et je m’installe à côté d’elle et face au piano. Elle en a toujours joué bien mieux que moi. Elle est merveilleuse à écouter quand, moi, mon instrument de prédilection reste la guitare. Le sujet sur lequel elle s’aventure me surprend : son instinct lui souffle peut-être que mon attitude n’était pas celle d’un oncle, si bien que je tente de noyer le poisson en centrant mon attention sur elle. Je sais que ce n’est pas anodin comme remarque. Si Posy était réellement ma nière, j’aurais également envie de la connaître et de la voir grandir. Bien sûr, notre lien est bien plus fort, mais j’ai du mal à m’imaginer aussi peu investi qu’elle dans la vie des enfants d’Oscar ou d’Olive et je me demande si c’est un choix, de son côté. « Je les connais pas parce qu’ils ont trop peur de mon père pour vouloir m’inclure, et que son opinion de moi est assez mauvaise pour qu’il décide de leur faire subir le même traitement s’ils voulaient ne serait-ce que prendre de mes nouvelles. » Je hoche la tête, finalement peu surpris par ce qu’elle avance. Je n’ai jamais rencontré le patriarche des Carter mais, au travers des récits de Jo, j’en ai déduis qu’il s’agissait d’un homme austère et intimidant. « Mais ça va, je leur en veux pas autant que ça. Je sais comment il est, et au fond, je sais pas si j’aurais eu le courage de faire mieux qu’eux si j’étais pas partie avant d’être trop atteinte par son autorité. » - « Bien sûr que tu l’aurais eu. Ce que t’es aujourd’hui… » Autrement dit, une femme de caractère et de poigne. Une femme courageuse, aussi. « C’est qui tu es, pas le résultat un peu aléatoire de choix et de décisions. » Je suis intimement convaincu qu’à la place de ses frères, la brune serait bien moins pleutre qu’ils ne le sont. Me concernant, je ne peux en revanche pas jurer que je ferai mieux. Il n’y a qu’à voir la façon dont la production de X-Factor a fait de moi un pantin sans que je ne me rebiffe pour autant. « C’est comme ça, on s’en remet. J’ai arrêté d’être révoltée d’être seule avec ma grand-mère. Le seul gros problème, c’est que j’ai récolté des daddy issues de folie, c’est vraiment pas cool. » - « Bien sûr que c’est cool. Oli regarde assez de show HBO ou Netflix pour que je le sache. » Je lui donne un coup d’épaule pour l’encourager à ne pas être aussi dure avec elle. Pour alléger l’atmosphère également. « C’est pour ça que si t’as semé des petits Midas au quatre coins du monde, assure-toi qu’il y a pas une petite Midas dans le lot. Ce serait ballot que tu deviennes le sujet de sa future thérapie parce que t’as pas été foutu de l’élever comme il faut. » - « Je suis pas parfait. » La preuve en est, j’ai foutu en l’air bien trop d'années la concernant. « Mais je sais prendre mes responsabilités, tu sais. » Et cette fois, je ne me moque pas. Je ne plaisante pas non plus. Si c’est l’image qu’elle a de moi, ou qu’elle est susceptible d’avoir un jour, alors je cherche à la détromper et à mettre en avant l’une des qualités que devenir père m’a apportée. Je ne suis plus un adulescent. Je suis certainement toujours un rêveur, mais un rêveur qui a appris à répondre de ses actes, la plupart du temps.
Lorsqu’elle se saisit de ma main, j’ose à peine respirer. Lorsqu’elle caresse les callosités créées par des heures d'entraînement à la guitare, j’ai l’impression qu’elle embrasse mon univers. Est-elle consciente de l’effet qu’elle peut faire ? Est-ce volontaire, cette façon de se conduire avec nonchalance et langueur ? Est-elle comme ça avec le reste du monde, et tous les hommes dont elle a certainement fait tourner la tête ? « Ça, ça veut vraiment dire que t’es devenu quelqu’un, hm ? » J’esquisse un sourire, avant de secouer la tête. « Non, quand on est quelqu’un, les gens se proposent pour tout faire à votre place. » Devenir un artiste sans talent est devenu possible grâce à l’autotune et le lipsync, tant de choses que j’ai en horreur. Je n’ai pas une voix aussi envoûtante que la sienne, mais j’ai toujours mis un point d’honneur à ne jamais tomber dans la facilité. « C’est plus la preuve de ce que ça a pris, de devenir quelqu’un. » Et tant d’autres choses moins avouables aussi. Je n’ai pas juste été récompensé pour des heures d’entrainement, et c’est là que le bât blesse. Ma place, je l’ai volée à la jeune femme qui caresse mes doigts et j’en suis toujours malade, six ans après.
« Je l’ai toujours bien aimée, et puis la réciproque est vraie ; je préférais avoir des nouvelles de toi via ta soeur, que via la télé. » - « C’est bien qu’elle soit entourée. Je sais pas si t’es au courant, mais la dernière année a pas été facile pour elle. » Sait-il que ma petite sœur loge chez moi depuis plus d’un an ? Que quand elle lui envoie des messages, parfois je ne suis qu’à quelques centimètres ? Que quand Olive prend un appel dans sa chambre, je me demande si c’est la chanteuse à l’autre bout du fil ? Par délicatesse, ma sœur ne me confie pas grand-chose sur son amitié avec la brune. Je me suis toujours demandé ce qu’elles pouvaient se dire, quand elles se voyaient. « Tu lui demandes des nouvelles de moi, alors ? » J’esquisse un sourire de bellâtre qui manque de conviction. J’aurais préféré qu’elle n’ait pas à le faire, de toute évidence.
« Je sais que c’est pas le meilleur moment pour te le demander, mais j’ai besoin de savoir en vrai. » Elle lâche ma main, et mon ventre se noue. Elle a l’air de prendre des pincettes, et je me demande quel genre de question elle peut s’apprêter à poser. Sait-elle quelque chose ? Sur Posy ? Ma victoire ? « Pourquoi t’as pas pris de mes nouvelles ? Je sais pourquoi moi je l’ai pas fait, mais toi, c’est quoi ton excuse ? » Oh. Je tourne la tête dans sa direction, et j’ai besoin d’une poignée de seconde avant d’être capable de répondre à sa question. Elle n’est guère facile. Lui répondre demande de l’introspection, et demande une mise à nu. Je ne suis pas habitué à ce genre d’exercice mais, parce qu’elle le demande avec une vulnérabilité qui me touche, je fais appel à toute l’authenticité que je possède. « Je crois que j’ai pensé que t’en avais pas envie. » Est-ce le cas ? Va-t-elle m’éclairer sur des années de non-dit ? « J’ai eu l’impression que tu m’en voulais et que ma présence remuait plus le couteau dans la plaie qu’autre chose. » Le tout mélangé à une culpabilité dévorante que je ne peux que taire. « Je me suis dit que tu avais peut-être besoin d’air et que tu reviendrais vers moi si tu en avais envie ou besoin. » C’était sans compter sur sa fierté, certainement. « Et au bout de plusieurs mois, comme tu l’as pas fait, je me suis dit que tu voulais tirer un trait sur X-Factor. » Je pousse un soupir et, mal à l’aise - je me sens con - je me gratte l’arrière de la nuque. « Je voulais pas que tu te sentes obligé de tenir la moindre promesse. » Je lui ai laissé de l’espace, trop, jusqu’à ne plus savoir comment cheminer à nouveau vers elle après des mois de silence. « Mais j’en avais envie. » J’ai mis longtemps à faire le deuil de sa présence à mes côtés, de mes rêves de duo sur mon premier album qui aurait explosé les charts, de Jo et moi grandissant dans l’univers de la musique sans jamais cesser d’exister ensemble.
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| | | ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510 TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
ollie#2 ◦ midas#35 ◦ micah#11 ◦ megan#14 ◦ cleo#2 ◦ kendall RPs EN ATTENTE :
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©imperfectgifs (gif stefani) ◦ ©astra (code) DC : mavis barnes & alma bartonPSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#)Sam 5 Nov 2022 - 11:04 | |
| when everything feels like the movies Jo Carter & @Midas Sterling (crédit gif/harley)
"Tu fais dans la philosophie maintenant ?" Elle ne réussissait pas à rester très longtemps sérieuse quand le sujet la touchait de trop près, et quoi qu’elle serait tentée d’en dire, parler de sa famille, ça la touchait quand même un peu "Fais gaffe, y en a d’autres qui ont commencé chanteur et qui ont terminé écrivain. T’as pas envie de devenir une référence dans le coaching bien-être, t’as encore trop de stades à remplir et d’albums à écrire." qu’elle ajouta, méditant silencieusement, et un court instant seulement, sur ce qu’il venait de lui dire. Si elle n’avait pas quitté la maison si tôt, elle aurait été la même, vraiment ? Il en paraissait si sûr lorsqu’elle, elle n’en savait trop rien au fond. The X Factor, ça avait ajouté des nuances au caractère qu’elle avait déjà à l’époque, et pas forcément des jolies. Qui savait vraiment ce que son père aurait réussi à faire d’elle si elle lui avait fait assez confiance pour rester, lui qui lui disait souvent que sans lui, elle ne réussirait à pas grand-chose dans la vie. Dans une certaine mesure seulement, elle commençait à y croire, à cette ritournelle qu’elle avait trop souvent entendue, elle dont la carrière avait été semblable à un feu de paille. Si elle était restée, peut-être qu’elle aurait une vraie carrière aujourd’hui, ou peut-être qu’elle serait aussi serveuse quelque part, à essayer d’atténuer ses rêves de gloire tout en prétendant mériter bien mieux que ça. Elle ne l’aurait pas fait seule cependant, profitant de l’entreprise familiale pour vivre sa passion en écumant les mariages et les baptêmes, devenant la mascotte toute désignée des soirées dignes de ce nom, entendant des murmures qui s’affolaient dans l’assistance en soulignant l’évidence, à savoir qu’elle n’avait rien à faire là, que c’était sur une vraie scène qu’elle devrait être. C’était un peu triste d’y penser, mais elle aurait continué de chanter au moins, ce qu’elle faisait plus souvent maintenant que Midas était de retour, mais toujours moins qu’à l’époque. Enfin, elle revenait rarement en arrière, Jo, alors qu’importe en vérité : une partie de sa vie était déjà faite, elle pouvait difficilement la gommer pour la redessiner selon ses propres désirs. Elle pouvait néanmoins agir pour arrêter d’avoir peur — parce qu’elle avait peur, on ne sortait pas d’un échec fort et vaillant, malgré, là encore, ce qu’elle serait capable d’avancer pour polir son propre ego qui n’était pas petit par convenance, pas par choix —, et faire quelque chose de son talent en l’offrant autrement qu’en se cachant dans la chambre de son voisin, ou dans le studio de celui sur qui elle posa son regard en l’entendant quoi, se justifier de quelque chose à propos des potentiels mini Midas qu’ils avaient semé ? Jo fronça très brièvement les sourcils en posant ses yeux sur lui "J’ai jamais dit que tu prenais pas tes responsabilités." Et c’était tout, elle ne lui dit pas qu’elle avait l’impression qu’il était sur la défensive alors que pour le coup, elle ne l’attaquait pas vraiment. Elle était juste un peu mal à l’aise, Jo, et puisque ce n’était pas chose courante, elle ne savait pas comment faire pour que la conversation continue, alors elle plaisantait ; ce qu’elle fit là aussi, son nez se fronçant dans la foulée "Et je crois que tes fans seraient pas d’accords sur le fait que t’es pas parfait. Tu sais qu'on écrit des fanfictions sur toi ? J’en ai lu deux." Elle opina pour faire preuve de bonne foi, mais il saurait forcément qu’elle mentait pour détendre l’atmosphère "Elles t’inventent une vie de dingue, je me suis surprise à attendre la suite. T’es vraiment sorti avec Ariana ?" Grande, qui d’autre ? C’était drôle, que ses groupies choisissent celle à qui la production avait voulu qu’elle ressemble durant toute la durée de l’émission pour lui faire vivre une histoire passionnelle, au chanteur. Mais si elle ne releva pas, gardant cette réflexion pour elle, elle ne put s’empêcher de le penser, lui adressant un sourire qui lui indiquait qu’elle n’attendait pas de réponse en vérité, le laissant seulement apprécier l’effort incommensurable qu’elle faisait pour lui laisser croire qu’elle ne jugeait personne d’inventer des vies à des gens qui existaient vraiment et qui devaient gérer les retombées des fantasmes malsains de trentenaires qui avaient mal vieillies.
Elles en diraient quoi, ces trentenaires, de la scène qui se jouait maintenant, les doigts de Jo caressant ceux de Midas à la recherche des traces de sa réussite dans le monde de la musique ? Ce n'était qu’une excuse pour le toucher, elle pouvait se l’avouer à elle-même au moins, elle ne risquait pas d’ébruiter son secret. Mais c’était trop, même pour elle qui avait un seuil élevé à la tension et à l’électricité qu’il dégageait quand il était si près d’elle. Elle ne le sous-estimait pas sur ça, Jo, elle ne le sous-estimait sur pas grand-chose à dire vrai, mais sa capacité à apaiser un peu qui elle était, c’était un talent qu’il pouvait ajouter à sa liste personnelle — il ferait probablement des envieux, et c’était une satisfaction qu’elle était prête à lui accorder, encore qu’elle lui lâcha la main parce qu’elle se sentait troublée par la facilité avec laquelle elle l’avait saisie sans se demander si c’était mal, ou si c’était trop tôt. Elle l’avait fait, en même temps qu’elle lui avait dit "Tu te sens seul parfois, dans toute cette tempête autour de toi ?" Ses doigts qui avaient touché les siens, ils remontèrent sur le clavier du piano qu’elle frôla sans l’actionner, ajoutant en même temps, son regard filant en biais "J’espère que tu doutes toujours pas que tu le mérites, parce que je t’ai pas donné le pep-talk du siècle il y a six ans pour que tu deviennes le genre de type qui doute à la moindre difficulté." Elle le pensait vraiment en dépit du sentiment de détestation et de jalousie qu’elle avait ressenti pour lui en entendant l’annonce de sa victoire lui arriver en écho, sa main dans la sienne. Si elle avait eu tous les droits de la contester en affirmant qu’elle la méritait, elle se serait sentie minable de le faire quand elle pensait sincèrement, du reste, qu’il ne l’avait pas volée. Elle l’avait dit à Olive parfois, parce qu’elle avait assisté à ce qu’ils avaient vécu, et qu’elle était le déclencheur de la frénésie autour de son frère "Ouais, je sais. Elle est forte, elle s’en relèvera." Elle en était persuadée, que la soeur du jeune homme réussirait à faire le point et à se reprendre en mains. À elle aussi, elle en avait fait des pep-talks, elle espérait seulement qu’elle en ferait bon usage pour la suite "Pas au début, non." Il ne fallait pas compter sur Jo pour arrondir les angles, et prétendre qu’elle avait pris son téléphone pour parler de Midas à sa soeur quand elle avait mis un temps infini avant de ne serait-ce que prononcer son prénom : elle ne le ferait pas. Alors elle pencha vers la sincérité, ajoutant en haussant une épaule, ses doigts quittant le piano pour se poser sur ses propres genoux, leur pulpe vibrant toujours de leur contact contre ceux de Midas "Mais au bout d’un moment, ça devenait compliqué de faire comme si t’existais pas, que ce soit pour elle ou pour moi… et les fanfictions commençaient vraiment à devenir chelou, du genre After, mais c’était toi qui étais l’inspiration du personnage principal à la place d’Harry Styles." Elle grimaça pour parfaire sa comédie, mimant un frisson qui lui fit rejeter très doucement le tête en arrière tandis qu’elle préparait déjà son prochain coup ; et que sa position changea.
Elle sentit son coeur battre fort dans sa poitrine, et ses yeux suivre les mouvements du visage de Midas à qui elle posa enfin la question qui la taraudait tant. Le fait qu’il prit du temps avant d’y répondre, ça lui laissa l’impression que, comme elle, il était dans un dilemme étrange la concernant, et que peut-être, il avait trop de regrets pour être à l’aise à l’idée de lui en faire. Parce que c’était lui, elle s’apprêtait à revoir sa copie et à lui dire qu’il n’était pas obligé de répondre, qu’elle lui laissait le temps de le faire, et qu’il fallait qu’elle rentre de toute façon, alors ils en parleraient plus tard ; mais il reprit la parole, et elle croisa son regard sans se sentir embarrassée de le soutenir, bien au contraire. Elle pencha la tête, comprenant que d’une certaine façon, Midas la connaissait probablement beaucoup trop pour être obligé de venir vérifier par lui-même quand il la soupçonnait de quelque chose — la justesse de son raisonnement, elle lui fit mal au coeur, tellement que quand elle reprit la parole pour l’interrompre juste un instant, elle entendit le léger vibrato induit par son émotion, se détestant en même temps de ne pas réussir à être autre chose qu’un livre ouvert en sa présence "Je t’en ai voulu. J’avais dit que ce serait pas le cas, mais je crois que j’ai sous-estimé ma fierté sur ce coup-là." C’était bien de l’admettre, ça l’était encore plus de le laisser finir ce qu'il avait à dire et qui, encore une fois, était assez juste pour qu’elle ne sache quoi rétorquer sur le moment ; elle reprit la parole uniquement quand il lui dit qu’il avait eu envie de la contacter, et qu’elle prit un petit moment pour lui demander, doucement "L’envie était pas assez forte pour que tu le fasses malgré tout ? T’avais peur que je t’envoie balader, et je l’aurais fait, c’est certain." admit-elle, baissant brièvement les yeux, replaçant ses mains sur le rectangle de cuir qui les séparait à ce moment-là, lui assit face au piano, elle, assise à côté de lui, son corps tourné entièrement dans sa direction "Mais tu me connais trop bien, la preuve ; t’as même pas eu besoin que je t’explique pour comprendre ce que je ressentais à ce moment-là. T’aurais dû savoir que j’attendais qu’une chose, et que c’était que tu me supplies pour qu’on se parle, ou qu'on se voit." Et ce n’était pas glorieux comme conclusion à apporter à cette distance qu’elle lui avait imposé à l’époque, mais quitte à être brutalement honnête, autant le faire correctement et ne pas atténuer ses défauts. Jo, elle ne l’avait jamais fait, avec lui ou avec quelqu’un d’autre, elle ne le ferait pas maintenant non plus "Moi non plus, je suis pas parfaite, tu sais. Je suis trop fière, et je passe mon temps à vouloir me faire désirer." Elle laissa échapper un très léger sourire en poursuivant, relevant la tête pour le regarder un instant, reprenant la parole juste après "T’as pas été logé à meilleure enseigne que qui que ce soit là ; je suis restée à distance parce que j’avais trop envie que tu te rendes compte que je te manquais au point que ça t’aurait forcé à revenir vers moi à un moment donné." Et c’était tordu, bien sûr que ça l’était. Sauf qu’encore une fois, elle n’avait jamais essayé de se donner le beau rôle dans aucune situation qui l’impliquait, de près ou de loin ; et elle ne le ferait pas là non plus, ses yeux soutenant ceux de Midas, même si ça la rongeait de l’intérieur d’avoir été si dure et si fière. i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
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| | | ÂGE : 31 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.) MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre. LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville. POSTS : 1924 POINTS : 790 TW IN RP : ras. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018 DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
(05) harleen #2 › oscar #2 › jo #35 › nina #2 › aaron
mine #35 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1 › 2 › 3 › 4 › 5 › 6 › 7 › 8 › 9 › 10 › 11 › 12 › 13 › 14 › 15 › 16 › 17 › 18 › 19 › 20 › 21 › 22 › 23 › 24 › 25 › 26 › 27 › 28 › 29 › 30 › 31 › 32 › 33 › 34 › 35
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.
olive #8 & nina #2 & oscar #2 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.
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| when everything feels like the movies Midas Sterling & @Jo Carter
« Tu fais dans la philosophie maintenant ? » « Juste quand il s’agit de toi. »
Je lui adresse un clin d'œil et un sourire. Tous deux ont vocation à apporter de la légèreté à une déclaration qui n’avait rien de simple ou de légère. Je pense réellement que la brune n’est pas que le résultat de choses qu'elle à subies, ou même de ses décisions. Si elle est en apparence dure et insensible, j’ai appris à voir au-delà de ce masque et, à l’époque de l’émission déjà, elle me semblait bien plus courageuse et aimable - au sens premier du terme - que la moyenne, surtout si on la comparait aux filles de son âge. Evidemment, elle a grandi. De mon côté, d’aucun pourrait considérer que j’ai presque commencé à vieillir. Pourtant, je ne la trouve ni aigrie ni plus dure que du granit. Ne m’a-t-elle pas confié rapidement qu’elle ne pouvait pas penser qu’à elle ? Qu’elle avait fait des choix pour sa grand-mère et, surtout, des sacrifices ? « Fais gaffe, y en a d’autres qui ont commencé chanteur et qui ont terminé écrivain. T’as pas envie de devenir une référence dans le coaching bien-être, t’as encore trop de stades à remplir et d’albums à écrire. » - « T’es fais pas pour ça. Mon assistante a déjà prévu l’autobiographie, mais pas avant une dizaine d'années supplémentaires et, surtout, ce sera écrit par un porte-plume. » Le plan de Cassandra ne va peut-être pas aussi loin que ça, mais elle est réellement de celles qui ne laissent rien au hasard. Une part de moi se dit que la jeune assistante ne pourrait que plaire à Jo - elles se ressemblent, l’autre se demande si elles ne deviendraient pas ennemies jurées tant le caractère de l’un a le potentiel pour entrer en confrontation avec celui de l’autre. Elles sont faites dans un bois similaire. Si Cassie n’a pas le talent brut de Jo, d’ici quelques années elle le compensera certainement en ambition dévorante.
« J’ai jamais dit que tu prenais pas tes responsabilités. Et je crois que tes fans seraient pas d’accords sur le fait que t’es pas parfait. Tu sais qu'on écrit des fanfictions sur toi ? J’en ai lu deux. » Je perçois le trouble de Jo. Je sais que ma réaction l’a déstabilisée, et je la remercie silencieusement d’être passée à autre chose pour alléger l’atmosphère. Cela me prouve que, comme moi, elle ne veut plus revivre ces cinq dernières années de silence. Cela me prouve qu’elle est prête à mettre de l’eau dans son vin pour à la fois comprendre ce qu’il s’est passé, et reconstruire quelque chose. « Elles t’inventent une vie de dingue, je me suis surprise à attendre la suite. T’es vraiment sorti avec Ariana ? » - « Je pensais pas que tu perdrais ton temps avec ce genre de truc. » Ce n’est pas une attaque et pour preuve : j’esquisse un sourire amusé. « Je l’ai rencontrée. C’était la soirée des MTV Video Music Awards et on avait tous les deux un peu bu. J’ai juré de garder le reste de la soirée pour moi, tu comprends avec les divas… » Je hausse les épaules, l’air innocent. Si j’ai bien rencontré la chanteuse en laquelle la production a toujours voulu transformer Jo, le reste n’est qu’une fable et elle ne s’y trompera pas, la brune. J’ai parlé avec le ton du beau-parleur et de l’idiot. « J’en ai jamais lue une seule, mais je suis certaines qu’il en existe plus à propos de toi que d’elle… » Je laisse ma phrase en suspens, sans oser aller au bout de mes pensées : c’est avec elle que mes fans m’ont longtemps prêté une histoire. Pour les plus extrêmes d’entre eux, nous nous sommes même mariés en secret. Bien trop de rumeurs ont circulé nous concernant tous les deux.
Alors qu’elle caresse la paume de ma main du bout des doigts, je suis suspendu à ses lèvres et elle n’imagine certainement pas à quel point. Elle ne se presse pas, ses gestes débordent d’une langueur qui a toujours été un appel au désir et à la sensualité. Lorsque sa voix brise le silence, je suis surpris, presque secoué. « Tu te sens seul parfois, dans toute cette tempête autour de toi ? » Je hausse les épaules, cherchant quoi répondre plutôt que me défilant. « J’espère que tu doutes toujours pas que tu le mérites, parce que je t’ai pas donné le pep-talk du siècle il y a six ans pour que tu deviennes le genre de type qui doute à la moindre difficulté. » - « Je sais pas si je le mérite, mais je suis plutôt bon dans ce que je fais, en tout cas. » Tout le monde ne devient pas une star à la sortie d’un télé-crochet. « Ça veut pas dire que je suis fait pour ça pour autant… » Mais puisque mon visage est connu, trop tard pour essayer d’avoir le meilleur des deux mondes et de devenir l’un de ces artistes au succès fou mais dont personne ne connaît les traits. « C’est dur de répondre à ta question. » Celle à propos de la solitude. « Est-ce que je suis entouré ? Ouais, évidemment. » Je n’ai qu’à claquer des doigts pour que l’on exauce le moindre de mes souhaits. « Est-ce sont des relations fortes et authentiques ? C’est pas toujours facile à savoir. » Marley est un excellent exemple de personnes qui profitent de mon succès, de mon argent et, certainement aussi, de ma naïveté, mais elle n’est ni la dernière ni la moins bien intentionnée. « C’est à peine si mon père et Oscar m’adressent la parole depuis l’émission. C’est pour ça que je comprends ce que tu dois ressentir. » Alors que les siens lui ont tous tourné le dos. « Mais heureusement, j’ai Oli. » Elle qui n’a pas changé : que je sois célèbre ne l’empêche pas d’agir avec moi exactement comme elle le faisait autrefois. Parfois, elle me tape sur le système, la plupart du temps, je l’adore plus que tout. Posy aussi aime beaucoup ma soeur.
« Ouais, je sais. Elle est forte, elle s’en relèvera. » - « C’est ce que j’espère aussi pour elle. Mais ça fait plus d’un an. » Plus d’un an que la brune a tout lâché du jour au lendemain. « Et elle n'a toujours rien dit à qui que ce soit. Son mensonge lui éclatera à la gueule, un jour où l’autre. » Et je ne suis pas sûre qu’elle soit assez solide pour encaisser les conséquences. « Pas au début, non. » Ouais, je suppose qu’elles étaient toutes les deux mal à l’aise à l’idée de parler de l’éléphant au milieu de la pièce. Ma sœur a fait de la discrétion à tout prix son principal mantra, mais elle a oublié d’être idiote. Au contraire, elle est particulièrement observatrice. « Mais au bout d’un moment, ça devenait compliqué de faire comme si t’existais pas, que ce soit pour elle ou pour moi… et les fanfictions commençaient vraiment à devenir chelou, du genre After, mais c’était toi qui étais l’inspiration du personnage principal à la place d’Harry Styles. » J’esquisse un sourire et laisse même un rire m’échapper. Je comprends que c’est la façon de la chanteuse de se protéger derrière l’humour plutôt que d’admettre que mon omniprésence dans les médias a dû être douloureuse pour elle, d’une façon ou d’une autre. Avant aujourd’hui, je n’avais jamais vu les choses sous cet angle. « Je suis certain que c’est ce genre-là que tu préférais. » Je lui donne un coup d’épaule, avant d’ajouter. « Je suis désolé. Ton nom devait être constamment rattaché au mien, j’avais pas pris conscience de ça. » M’a-t-elle tenu coupable de l’échec commercial de son album, d’une façon ou d’une autre ? Je crois qu’à présent qu’elle s’est tournée vers moi et qu’elle m’observe comme si elle tentait de lire mon âme, je serais bien incapable de lui en vouloir, le cas échéant.
« Je t’en ai voulu. J’avais dit que ce serait pas le cas, mais je crois que j’ai sous-estimé ma fierté sur ce coup-là. » - « Oui, ça, j’avais deviné. » Je l’ai lu sur son visage lorsque c’est mon nom qui a été annoncé. Elle s’est décomposée et j’ai compris que, malgré tout ce qu’elle avait pu dire, elle a pensé qu’elle aurait dû l’emporter. Elle avait raison et pour ça je me sentais dégueulasse. Comment prendre contact et agir comme si de rien n’était, sachant tout ce que je savais ? « L’envie était pas assez forte pour que tu le fasses malgré tout ? T’avais peur que je t’envoie balader, et je l’aurais fait, c’est certain. » Je secoue la tête et je pousse un soupir. « Mais tu me connais trop bien, la preuve ; t’as même pas eu besoin que je t’explique pour comprendre ce que je ressentais à ce moment-là. T’aurais dû savoir que j’attendais qu’une chose, et que c’était que tu me supplies pour qu’on se parle, ou qu'on se voit. » Pour qu’elle se taise et me laisse m’exprimer, je pose ma main sur la sienne. « C’était pas une question d’envie Jo. » J’ai eu envie de l’appeler tellement de fois. Envie de tout lui dire aussi, avant de faire marche arrière plus par peur que cela ne gâche tout qu’à cause des conséquences judiciaires pour moi si je l’avais fait. « Je voulais juste pas être pour toi un rappel constant de… De ta défaite. » Dieu que je déteste prononcer ce mot. « Bien sûr que je voulais que tu restes dans ma vie. Je voulais t’appeler, te proposer un duo après la sortie de ton EP. » Je passe sous silence l’échec de ce dernier, ne voulant pas qu’elle pense qu’il s’agissait de pitié. « Mais je voulais pas que t’aies le sentiment que je m’imposais. Je me disais que tu allais percer, et que tout rentrerait dans l’ordre. » Pas parce que nous aurions de nouveau été sur un pied d’égalité - nous l’avons toujours été à mes yeux, je ne me suis jamais senti supérieur à la brune loin de là - mais parce que j’aurais eu l’impression alors que tout était réparé. Que ma victoire n’avait plus la moindre importance parce que sa défaite n’en aurait plus eu. « Moi non plus, je suis pas parfaite, tu sais. Je suis trop fière, et je passe mon temps à vouloir me faire désirer. T’as pas été logé à meilleure enseigne que qui que ce soit là ; je suis restée à distance parce que j’avais trop envie que tu te rendes compte que je te manquais au point que ça t’aurait forcé à revenir vers moi à un moment donné. » Quel putain de gâchis. « T’aurais dû dire les choses. Tu me connais. » Autrement dit, elle sait bien que je n’ai rien d’un maestro de subtilité. Je suis un gars simple, je l’ai toujours été. « Je pensais que je te rendais service. Et j’ai pas été un exemple de courage non plus. » Pour ne pas dire que j’ai été lâche. « Et avant que je m’en rende compte, y’a un an qui était passé. » Et après ça j’en ai déduit que Jo avait fait sa route et qu’il fallait que je me fasse une raison. « J’regrette, tu sais. »
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