ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Devant les portes du Jazz club depuis quelques minutes, Marley revoyait son retour précipité à Brisbane un mois plus tôt. C'était dans ce bar qu'elle avait débarqué en descendant de l'avion. C'était ici qu'elle était venue se changer les idées, étancher sa soif et sa peine. C'était entre ces murs qu'elle avait jeté son dévolu sur un homme. La soirée avait été bonne bien que mouvementée. Dirigée par l'alcool qu'elle avait dans le sang et par ses pulsions, elle n'avait pas spécialement réfléchie, elle avait plutôt agi. Aujourd'hui si elle revenait sur place c'était pour une toute autre histoire. Elle venait ici pour le travail. La veille, elle avait été contactée par un agent pour venir maquiller un chanteur, des danseurs et des figurants pour un clip. D'abord sceptique – qui prévenait la veille pour le lendemain ? - elle avait tout de même accepté. Elle avait besoin de travailler et bosser sur un clip lui avait toujours plus. C'était en effet sur le clip de Drake qu'elle avait rencontré Davies avec qui elle était restée trois ans – jusqu'à ce que cet idiot la demande en mariage – qu'allait-il lui arriver aujourd'hui ?
La maquilleuse finit par pousser les portes de l'établissement qui semblait avoir été privatisé pour l'occasion. Elle avança et fut surprise par le désordre ambiant. Peut-être était-ce fait exprès ? Elle en doutait lorsqu'elle voyait les gens courir un peu partout. Rien ne semblait véritablement organisé. En avançant dans la pièce, Marley se rendit compte qu'elle ne savait même pas pour quel artiste elle allait travailler. Elle n'avait pas eu le réflexe de poser la question au téléphone. Finalement, un ingénieur du son – c'est ce qu'elle pensait – lui pointa du doigt un homme qui était de dos et lui indiqua que c'était lui le chanteur. Un petit sourire s'afficha sur le visage de la jeune femme. Même de dos elle savait de qui il s'agissait : Malik Fleming. Aucun doute n'était possible. Il était le frère d'une de ses amies – si on pouvait considérer Louisa comme son amie – et elle avait déjà eu plus qu'une simple conversation avec le garçon. Amusée par cette coïncidence, elle se dirigea vers lui à pas de loups. Elle se glissa dans son dos et de ses bras elle enroula le torse du garçon : « Devine qui va te maquiller aujourd'hui ? » et elle se mit à rire tout en le lâchant. Elle fit le tour et se posta devant le jeune homme. Il était beaucoup plus grand qu'elle donc pour pouvoir le regarder dans les yeux il fallait qu'elle lève la tête. Elle paraissait minuscule à côté de lui mais sa prestance et son charisme lui permettaient de ne pas être invisible. Elle balaya du regard la pièce et demanda : « C'est volontaire ce désordre ou vous n'êtes pas dans les temps ? » Elle ne voulait pas être indélicate mais à dire vrai, elle n'aimait pas prendre de pincettes et encore moins avec Malik qu'elle connaissait depuis des années. Elle se recula un peu et observa la pièce. Elle n'arrivait même pas à déterminer l'ambiance souhaitée sur ce clip. Le tournage s'annonçait bien compliqué, d'autant plus qu'elle entendit une assistance lancer : « Les danseuses vont avoir trente minutes de retard ! ». Marley écarquilla les yeux et devant le regard énervé de Malik, choisit de détendre un peu l'atmosphère. Elle s'approcha à nouveau de lui et fit un petit mouvement de hanche sensuel, collant ainsi ses fesses contre lui. « Si tu as besoin de danseuse, tu sais que je suis douée » et elle lui fit un petit clin d'oeil. Cela faisait des années qu'ils ne s'étaient pas vus, la demoiselle ne savait pas comment il allait réagir face à son comportement, la seule chose qu'elle savait c'était qu'il était toujours aussi beau et qu'elle avait envie de s'amuser.
C’est le moment. Le jour J. Celui à ne pas manqué, celui qui peut s’avérer décisive pour la suite. Plusieurs année de pause, un peu forcée pour être honnête. Plusieurs année où j’ai tous fait sauf de la musique. Sortis en tous genre, aventure multiple, bref je me suis vider l’esprit en m’évadant par tous les moyens possible et imaginable. Ça m’a fais du bien, pendant un temps. On va dire que ça m’a permis de digérer l’échec, même si dans le fond, ça m’a surtout diriger vers un autre échec. Disons que cette liberté m’a permis de chercher chaussure à mon pied, d’essayer de trouver celle qui partagera ma vie, la bonne en sommes. Et c’est pas faute d’avoir essayer, croyez le ou non mais c’est pas évident. Quand on me vois, on me catalogue rapidement. Homme à femme, coureur de jupon, c’est pas totalement faux, célibataire je ne suis pas le dernier à chercher à croquer la vie à pleine dent. Mais dans le fond, ce que je veut moi, c’est l’amour avec un grand A. Et ça, c’est une tache qui semble impossible. Alors après avoir essuyer plusieurs échecs à ce sujet, j’ai décider de me reprendre en main. L’amour viendra quand il viendra, après tous ça se contrôle pas ça n’est ce pas ? Et surtout, me concentrer de nouveau sur la passion. La musique, l’écriture, le chant.
Le résultat est au rendez vous, j’ai trouver un label qui veut bien accompagner mon retour. On est loin des mastodontes dans le domaine, mais c’est déjà ça, je vais pas faire le difficile. Le son est enregistrer déjà, reste plus qu’à tourner le clip et espérer ensuite que le tous prenne, trouve son public et me permette de retrouver le devant de la scène. La musique parle de moi, du revers de la médaille, du monde qu’il y a une fois que les strass et les paillettes disparaissent. Ça retrace un peu mon parcours, ma gloire, mon succès puis m’a chute. Et forcément, dans le clip, il dois y avoir des prises très bling bling, la vie de rappeur américain ou presque. Sauf que rien ne semble être au point. Le label m’a dit de ne pas m’inquiéter, que tous serait gérer. Mais en débarquant, je constate bien que rien ne tiens la route. C’est à peine si les éclairages sont de bonne qualité. Dieu seul sait l’effort que ça me demande de prendre sur moi.
C’est d’ailleurs dans mon coin que je bouillonne. Non pas que j’ai d’autre chose à faire, mais je veut que le tous se passe bien, ma carrière dépend de la réussite de tous ça. Et vu le bordel ambiant, c’est mal embarquer. Et dans ces cas là, je suis silencieux, froid, distant. Je préfère le canaliser, me taire car je sais que sinon ça exploserai et ça serai contre productif. Forcément, je suis surpris de sentir des bras m’entourer. Faut dire qu’aucune connaissance a été convié à ce tournage. C’est en découvrant Marley que je fini par avoir un petit sourire qui émerge de ma barbe fournis. La raison voudrait que son retour m’inquiète. Notre aventure, sa relation avec ma sœur. C’était plus simple de garder le secret en étant loin. Mais à l’instant T, je suis surtout de voir sa bouille d’ange dans le coin. C’est que tout n’est pas à jeter dans cette journée.
La meilleur. Tu t’es assurer qu’on avait le budget pour ton talent avant de pointer ton jolie minois par ici ?
Que voulez vous, je suis encore soûler et désespérer par tous ce que nous entoure. Mais je suis content de la voir, elle est toujours aussi .. Parfaite. Dans les faits, elle est loin de l’être, elle a des imperfections, mais la perfection proprement dit est chiant à crever. Marley a été une véritable bouffée d’oxygène pour moi. Ce moment où tout avait dégringoler, mes moments avec elle m’ont fait du bien. Puis je crois que dans le fond, nous cacher de ma sœur capable de débarquer à mon appartement, à tout moment et sans prévenir, j’aimais ça.
M’en parle pas. J’ai envie de tout claquer et me barrer. Je devais venir, tourner et me barrer. Tout devait être régler et préparer. Au final, je suis sûr que la plupart boss sur leurs premiers clips.
Je connais ce genre d’ambiance, je sais que généralement quand c’est le bordel comme ça le résultat est simple. Un report du tournage. Ça permet à tous le monde de gérer au mieux, de s’organiser, de faire en sorte que ça sois un minimum pro finalement.
Serieux ?! Mais vous bosser avec quelle genre d’agence ?! Comment on peut être aussi amateur ? Vous êtes au courant qu’on a des plans de jour à tournée et qu’à ce rythme là, va falloir attendre demain matin pour les avoir.
Une main qui passe sur mon visage, dans ma barbe. J’ai du mal à ne pas les envoyer tous chier. C’est finalement Marley qui viens me détendre, ou en tous cas me faire penser à autre chose. Bien volontiers je la laisse s’approcher, je passe mes mains contre ses hanches, me glissant dans son dos, je dépose mon visage sur son épaule.
Attention à ce que tu dis. Je vais te prendre au mot et c’est toi qui va partager l’affiche avec moi. Au moins, on aura pas besoin de feindre l’attraction.
Forcément, elle a existé, sûrement que l’attirance existe encore même. Marley est toujours aussi envoûtante faut bien l’admettre.
Puis comme ça, quand mon tube sera un succès mondial, et que je serai inviter sur les tapis rouges. Tu m’accompagnera. Ça éloignera les groupies mal attentionné.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
La demoiselle avait ri lorsqu'il lui avait dit qu'elle était la meilleure – et il n'avait pas tort – et qu'il lui avait demandé s'il y avait le budget pour s'offrir ses services. A cet instant elle s'était bien gardée de lui dire que pour lui, elle aurait travaillé gratuitement. Elle avait un train de vie assez onéreux et ne pouvait donc pas se permettre de refuser un salaire. Marley était heureuse de voir la joie se dessiner sur le visage de Malik. Il aurait pu lui en vouloir d'être partie si longtemps et d'avoir donné si peu de nouvelles. Mais que voulez-vous ? Elle était amoureuse. Du moins c'était ce qu'elle pensait. Elle savait que pour vivre pleinement son histoire avec Davies il fallait couper les ponts avec Jackson. Mais qui disait couper les ponts avec Jackson disait aussi couper les ponts avec Brisbane et ses habitants. Trop de tentations auraient pu la faire revenir dans les parages. Pour voir un ami, assister à un spectacle, boire un café, et elle savait très bien qu'à la minute où elle aurait remis les pieds à Brisbane, elle aurait foncé retrouver Jackson. Elle avait donc pris la décision – terrible – de faire une croix sur tous ceux qu'elle appréciait en ville. Retrouver Malik lui faisait néanmoins plaisir. Il avait ce petit truc qui l'attirait irrémédiablement. Son charisme, son talent, sa beauté, son corps athlétique ? Oui sans doute. Mais il y avait aussi cette part d'interdit. Ce défi, ce jeu qui consistait à ne pas se faire attraper par Louisa. Elle savait que si cette dernière apprenait pour leur relation elle la tuerait. Lynch savait qu'elle n'agissait pas comme une véritable amie avec la jeune femme mais pour être honnête, elle s'en fichait royalement. Elle avait tendance à faire passer son bien être en premier. Et son bien être résidait parfois dans les bras du garçon. Lorsqu'elle observait ses muscles saillants elle se revoyait dans son appartement, nue, dans ses bras, lui en elle. Ce souvenir vint lui chatouiller le ventre tandis qu'il s'énervait de son côté. Lorsqu'il lui dit qu'il avait envie de se barrer, elle chuchota : « Pas maintenant Malik. Pas pendant nos retrouvailles. Ou alors tu t'enfuis avec moi. » Et elle lui avait fait un clin d'oeil aguicheur. Marley aimait jouer avec le feu, c'était sa force comme sa faiblesse. A un moment ou à un autre, elle se brûlerait les ailes, elle en avait pleinement conscience. Tant que cela n'arriverait pas, son comportement avec les hommes ne changerait pas.
Malik perdait patience, et lorsqu'il s'énerva contre la production, la seule solution que Marley avait trouvé était de se frotter à lui comme une chatte qui recherche les caresses de son maître. C'est avec une satisfaction certaine qu'elle sentit les mains du chanteur agripper ses hanches. « Attention à ce que tu dis. Je vais te prendre au mot et c’est toi qui va partager l’affiche avec moi. Au moins, on aura pas besoin de feindre l’attraction. ». Un gloussement lui échappa tandis qu'elle entendit ses paroles et qu'elle sentit son souffle chaud dans son cou. C'était indéniable, elle parvenait toujours autant à le rendre dingue. Pour ce qui était de l'attraction, l'un comme l'autre ne pouvait nier qu'ils étaient incapables de se résister. « Qui te dit que je ne suis pas une groupie malintentionnée ? » ajouta-t-elle pour le taquiner. Finalement elle se retira de ses bras et se dirigea vers le réalisateur du clip qui semblait à la fois perdu et énervé. Elle lui parla quelques instants à voix basse puis retourna vers Malik. Elle lui prit la main et elle se dirigea vers une pièce un peu à l'écart. C'était un bureau qui avait été transformé en vestiaire et en salle de maquillage pour l'occasion. Elle poussa la porte et dit à Malik : « Les danseuses ne vont pas tarder à arriver donc je vais commencer à te faire une beauté. »
A peine étaient-ils entrés dans la pièce que la maquilleuse claquait la porte avec son pied. Elle se retourna vivement vers Malik et lui sauta au cou. Pris au dépourvu le garçon se retrouva plaqué à la porte. Les bras de la jeune femme étaient autour de sa nuque tandis que ses jambes étaient enroulées autour des hanches du chanteur. Ses yeux plongés dans les siens, elle approcha doucement ses lèvres des siennes et tout en les frôlant murmura : « J'ai besoin d'observer tes traits de près pour déterminer quel maquillage est le plus adapté... ». Et sans prévenir sa bouche fonça sur la sienne. Le désir se répandait dans la pièce, Marley l'embrassait avec fougue tandis que sa main jouait dans les cheveux du garçon. La chaleur était montée d'un cran tandis que le cœur de la tigresse battait de plus en plus vite. Elle lui mordilla la lèvre et sauta au sol. Elle replaça une mèche de cheveux derrière ses oreilles et comme si tout était normal et que rien ne s'était passé, elle le laissa planté debout et alla s'installer sur un fauteuil.
Amusée par la situation, ravie de souffler le chaud et le froid elle lui dit d'une voix détachée : « Tu t'installes ? Il ne faudrait pas qu'on perde de temps sur le planning ». Un sourire carnassier était inscrit sur son visage tandis qu'elle l'observait. Elle ne savait pas comment il allait réagir mais c'était ce genre de surprise qui lui plaisait.
Son départ ? Bien sûr qu’il m’a fais chier ! C’est que je l’apprécier bien ma petite Lynch. Faut dire qu’on a commencer à se voir dans un moment compliqué pour moi. Mais elle ne m’a jamais juger, elle ne m’a jamais fais la morale. Elle a été l’échappatoire de rêve, elle a été une parenthèse enchantée. Est ce que j’ai déjà envisagé plus que ce qu’on a vécu avec Marley ? Paradoxalement, non. Pourtant, elle réunis tant de qualité que je cherche qu’elle s’illustre presque comme un idéal dans ma recherche, elle a tout d’une évidence en y regardant de plus près même. Mais, je connaissais sa situation, je ne me suis pas pris la tête. C’est peut être ce qui a fais le charme de notre relation, c’est ce qui l’a rendu aussi mémorable. Puis il a suffis que mon regard se pose sur elle pour que les souvenirs face surface. Un simple sourire mutin sur ces lèvres et elle me ferai presque craquer. Je sais que c’est une mauvaise idée, je sais que la côtoyer va nous conduire à faire des conneries a deux. Parce qu’être raisonnable n’est clairement pas dans nos projets quand on se retrouve. Mais franchement, c’est le cadet de mes soucis, encore plus aujourd’hui. Pour tout vous dire, je crois bien que je préfère que ma sœur nous surprenne au petit matin en pointant sa frimousse chez moi par surprise que de continuer a devoir supporter ce bordel et cette merde qu’est ce clip.
Me tente pas.
Me barrer avec elle, vivre des retrouvailles intense et tumultueuse. Ce programme est en tout point meilleur que celui qui m’attend. La tentation est grande, pour ne pas dire trop grande. Marley n’aide pas en venant se coller à moi, en jouant de ces charmes, en me rappelant ces courbes sachant pertinemment que je n’ai jamais su, jamais voulu lui résister.
Un sourire échangé, mes dents qui viennent légèrement mordiller la peau de son cou quand elle laisser penser qu’elle pourrait être l’une de ces groupies. Je la laisse s’éloigner, après tous, mieux vaut que ça soit elle qui lui parle que moi. Je suis tendu, à bout de nerf. Parce que je sais que mon avenir dans la musique dépend grandement de la réussite du jour. La pression est forcément au rendez vous et dans ces cas là, ma bienveillance a du mal à ressortir. Sans plus de résistance, je me laisse tirer par la maquilleuse. Non pas sans traîner des pieds, encore frustrer de tous ça. Je n’ai même pas le temps de lui répondre, pas le temps de prononcer ne serait ce qu’un mot. La porte est refermer et Marley me saute dessus. Mes mains la soutienne contre moi, en haut de ces cuisses. Une proximité qui m’avais manqué. Une proximité qui ravive des souvenirs, enflammés, endiablé, des nuits où mon appartement fut témoin de nos prouesses. Et forcément ce genre de souvenir a tendance à faire accélérer mon pouls. J’en profite, pleinement, mes mains sont baladeuse. C’est que j’en oublierai presque, non j’en oublis tous ce qui nous entoure. Seul son regard m’envoûte, le captive, m’intéresse.
Et un bon artiste fait tous pour faciliter la tâche de ces équipes.
Puis viens l’inévitable, comme ci nous ne sommes pas capable de nous tenir quand on est ensemble. A notre décharge, ça fais plusieurs mois que l’on ne c’est pas vu. L’attente crée le désir, ou quelque chose comme ça non ? Un baiser fougueux et langoureux, mes mains se ressentant légèrement sur les courbes de la jolie brune. Avant qu’elle ne fasse du Marley tous cracher. Me laissant presque en plan, s’éloignant sans doute fier d’elle. Pourtant, je ne masque pas un sourire en coin. Si elle veut jouer, elle sait qu’elle s’adresse à la bonne personne.
Parce que tu pense que la, je vais me gêner pour les faire attendre ?
Approchant, derrière le fauteuil sur lequel elle c’est installer. Mes doigts se faufile dans ses cheveux, jouant avec ces derniers alors que mon autre main viens relever légèrement son visage. Juste de quoi me donner accès à son cou dans lequel je dépose baisers jusqu’à revenir à son lobe d’oreille que je mordille avant de lui murmurer quelques mots.
Mais on est là pour être pro non ?
Je fini par moi aussi m’éloigner. Faisant tomber ma chemise en route. La déposant sur ce qui semble être un bureau pour finalement prendre place devant le miroir.
Y a des scènes chemise ouverte. Et mes tatouages commencent à avoir quelques années. Je compte sur tes talents pour raviver tous ça.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
L'ambiance était électrique dans la pièce. A tout moment les deux jeunes gens pouvaient se sauter dessus. C'était déjà moins une avec Marley qui n'avait pas hésité à le plaquer contre la porte. Elle était connue pour sa sensualité, pour son charisme, pour sa douceur mais surtout pour sa fougue, pour le fait d'être sans limite. Elle n'avait pas honte de son corps, de ses désirs, pas honte de s'adonner aux plaisirs de la chair. Elle n'avait que faire de ce qu'on pouvait penser d'elle. Ceux qui disaient qu'elle était une fille facile n'avaient pas tort, mais ils se trompaient sur la signification du terme. « Facile » parce qu'elle obtenait facilement ce qu'elle désirait. Très peu étaient ceux qui lui résistaient. Mais après tout pourquoi le feraient-ils ? Ils étaient tous majeurs, ils se désiraient autant céder. Malik faisait parti de ces garçons qui ne lui avaient jamais dit non, pas parce qu'il n'y arrivait pas, mais parce qu'il n'avait pas envie de refuser un moment charnel avec elle. C'était pour cette raison que tout était simple entre eux. Aucun ne voulait dire non à l'autre. Chacun cédait à ses pulsions et à ses envies. Leur relation était légère – bien que cachée aux yeux de tous – et il n'y avait aucun mal entendu entre eux. Aucune promesse, aucune gêne, aucun mensonge.
La température grimpait rapidement entre eux deux. Marley s'en était rendue compte lorsqu'elle avait senti la puissance des mains du jeune homme autour de ses cuisses. Et puis elle s'était détachée de lui, pour le faire enrager, pour créer le désir et puis le manque. La frustration aussi. Elle savait cependant que ce petit jeu pouvait être dangereux. Malik était lui aussi très doué dans ce domaine. « Parce que tu penses que là, je vais me gêner pour les faire attendre ? » Un rire échappa à la maquilleuse tandis qu'elle le voyait s'approcher d'elle. Son corps se tendit, prêt à recevoir la sentence infligé par le chanteur. Lorsqu'elle le vit contourner son fauteuil Marley fronça les sourcils, ne comprenant pas ce qu'il allait faire. Et puis rapidement elle sentit sa main dans ses cheveux et son visage bascula en arrière. Elle sentit ses pommettes rougir de désir et d'excitation. Son pouls s'accéléra lorsque les lèvres du garçon vinrent se nicher sur son cou pour y déposer de tendres baisers. Son murmure la fit frissonner tandis qu'à son tour il s'éloignait d'elle. Pourquoi avait-elle voulu jouer avec lui ? Elle savait pourtant pertinemment qu'il était un adversaire à sa taille.
Un sourire mi-amusé mi-frustré s'afficha sur le visage de Lynch lorsqu'elle l'observa déambuler jusqu'à un miroir tout en enlevant sa chemise. Dieu qu'il était viril. Dieu que son torse lui donnait envie... Marley prit sur elle et se déplaça à son tour jusqu'à lui. Elle se planta devant lui et observa son torse nu. « En effet, il y a bien quelques retouches à faire. Je vais m'en charger. » Sa voix était calme et elle semblait avoir retrouvé tout le professionnalisme dont elle savait faire preuve. Du bout des doigts elle commença à toucher les contours de chaque tatouage, frôlant le corps de Malik, cherchant à le faire frissonner. Elle ne cessait de murmurer des petits : « Mmmh » comme si elle réfléchissait à ce qu'elle pouvait faire pour les tatouages. Évidemment Malik la connaissait assez pour savoir qu'il y avait un double sens caché derrière. La demoiselle finit par relever son regard en direction du sien et sans le prévenir, plaqua sa main contre son torse de telle sorte qu'elle l'obligea à s'asseoir sur une chaise derrière. Elle se mit alors à califourchon sur lui de telle sorte à ce qu'il ne pouvait plus bouger. « Ne t'en fais pas, je suis une vraie pro. Je sais ce que je fais » lui dit-elle en chuchotant. Elle se pencha alors par-dessus son épaule, sa poitrine effleurant volontairement son visage et attrapa un pot de crème hydratante. Elle se redressa tout en restant assise sur lui et commença à étaler la crème sur ses tatouages. Rapidement certains devenaient plus vifs à moins que ce ne soit la chaleur qui émanait du corps de Malik la responsable ?
L'un des tatouages du chanteur descendait au niveau de ses hanches, un sourire carnassier apparut sur le visage de la lionne lorsque habilement elle détacha le pantalon de Malik. Elle voyait le torse du jeune homme se gonfler tandis qu'elle laissa malencontreusement sa main frôler son boxer. Se mordillant la lèvre la jeune femme répéta ce petit manège plusieurs fois jusqu'au moment où quelqu'un frappa à plusieurs reprises à la porte : « Les danseuses sont arrivées ! » Marley fit un immense sourire à Malik et répondit : « Nous arrivons tout de suite ! » Elle déposa un baiser sur la commissure des lèvres du garçon, et ravie de l'effet qu'elle avait provoqué sur lui, elle se redressa et se dirigea vers la porte qui menait au plateau. La main sur la poignée elle se retourna une dernière fois en direction du chanteur et lui dit en riant : « Rafraîchis-toi le visage, on dirait que tu as attrapé une insolation. » Et elle ouvrit la porte pour sortir.
A quoi bon se priver ? La vie est trop courte, trop éphémère pour ne pas en profiter pleinement. Et pourtant, je suis romantique dans l’âme, j’ai l’intime conviction que quelque part dans ce monde, ma moitié existe, celle avec qui je vais faire les 400 coups, celle avec qui je vais bâtir une famille après avoir passé des années à bâtir des souvenirs pour quand nous ne serons plus en âge de faire des folies. Mais en attendant, la vie mérite d’être vécu. Nous sommes jeunes, en pleine santé et adulte. Personne ne doit avoir le droit de juger. Notre attraction existe depuis le premier jour, je veut dire, vous l’avez vu ? Comment j’aurai pu faire pour ne pas craquer ? Des lors, et aujourd’hui encore, je ne compte pas réprimer mes envies, mes désirs en sa compagnie. Si d’aventure elle venait à se caser, ou moi, les choses seraient sans doute différent. En attendant, être raisonnable n’est pas une option que j’envisage. Et si jamais ça avait été le cas, elle l’aurai fais fondre en quelques secondes avec cette fougue féline dont elle seul a le secret. Je mentirai en disant que tous ça ne ma pas mis en appétit, que l’idée de finir la nuit ensemble n’est pas devenu insistante dans mon esprit. Histoire de se remémorer le bon vieux temps, de fêter son retour, de se raconter l’avancée de nos vies au petit matin sur l’oreiller. Entre elle, qui semble fuir les engagements, et moi qui ne cherche que ça. Je suis presque certain qu’on devrait bien se marrer, elle de mes histoires raté et moi, de sa fuite alors qu’on lui a sortis la bague.
Mais pour l’heure, il est temps d’attaquer ce chemin dangereux, encore que le mot est mal choisi. Il n’y a pas de danger, parce qu’au pire quoi, on cède au plaisir ? À l’envie ? Je ne considère pas ça comme un problème. Puis pour être honnête, plus on joue pour y arriver, mieux ça sera. L’acheminement et souvent tout aussi important que le résultat, tout aussi plaisant à mes yeux. Pourtant, ça me demande de la force, prendre sur moi pour ne pas totalement craquer. Rester à la limite, sans pour autant la franchir. C’est pour ça que je suis bref, que je m’éloigne d’elle. La tease sans prolonger le contact pour essayer d’avoir un semblant de contrôle sur la situation, ou en tous cas mettre la balle dans son camps. En jouant de mes atouts, des heures à la salle de sport, faut bien que ça serve à quelque chose non ?
Je la laisse s’approcher, la toise du regard, ma barbe cache à peine mon sourire et mon regard me trahirai si elle ne me connaissais pas aussi bien. C’est là où ça deviens compliqué, les doigts de la jolie métisse qui parcours ma peau. Mais je l’ai chercher, je dois l’assumer. Sur la chaise, Lynch sur mes genoux. Mes mains viennent se poser sur les accoudoirs, le seul moyen d’être sûr qu’elles n’atterrissent pas sur la maquilleuse.
Tu parle toujours du boulot ?
Sa poitrine sous le nez, évidemment que tous n’est que double sens. Elle est brillante, intelligente. Elle sait aussi bien jouer avec les mots qu’avec son corps. Pour le coup, j’essaye de dissimuler cette respiration qui s’accélère, mon souffle qui deviens plus chaud. La proximité, les gestes de la belle, la tension et l’ambiance brûlante qui c’est instaurer. Un tout qui ne me laisse pas de marbre. C’est presque un coup de grâce qu’elle me donne en laissant ses mains s’aventurer de manière faussement chaste plus bas. C’est de là que mon torse se gonfle, d’une grande inspiration que je prend pour garder ma ligne de conduite.
J’crois bien ..
J’ai pas le temps de finir ma phrase, mes mains qui avait quitté les accoudoirs n’ont pas le temps d’atteindre leur cible. Ça tape à la porte, un mal pour un bien ? Je ne suis pas sûr, là tous de suite je ne vois que le mal de cette intervention.
Parle pour toi !
Que je balance, à moitié en rigolant. Pas besoin de faire un dessin. Pourtant je me penche pour attraper la chemise et finalement me relever. Atteignant la porte, déposant ma main par dessus celle de Marley sur cette poignée.
Sauver par le gong.
Une insolation, je ne sais pas. De sacré bouffée de chaleur, ça oui. Elle ne paye rien pour attendre. Si elle crois que je vais m’arrêter en si bon chemin, elle me connais mal. On ouvre d’ailleurs la porte, j’ajuste légèrement la chemise avant de m’avancer.
Y a un changement de programme. Elle occupe le rôle principal.
Désignant ma partenaire du jour. Le réalisateur commence à rouspéter.
Ce n’est pas négociable.
Après tous, c’est elle qui c’était proposé non ? Ce n’est pas tomber dans l’oreille d’un sourd. En prime, je sais que Marley est bonne danseuse, elle n’aura aucun mal à suivre les directives. D’autant plus que les scènes de danse n’ont rien de particulièrement technique. C’est donc en sa compagnie que j’atteins le plateau, prenant place, les danseuses nous entoure, on les vois peu, faut dire que l’éclairage n’est pas top pour ne pas dire complètement naze.
L’idée c’est de concentrer les prises sur Malik. Et donc vous mademoiselle. Vous êtes le duo star. Cette partie du clip, c’est l’apogée. Le chanteur a tout, une carrière sous les projecteurs et surtout, un tandem avec qui briller. Je veut pas de surjouer, je veut pas que ça tourne à la comédie. Faut que ça paraisse vrai, qu’à l’écran on crève d’envie d’être à la place de Malik. Ou la vôtre, tout dépend du point de vue !
Voilà une éternité que je me suis pas retrouver sur scène, enfin, pas de cette manière. Pas pour jouer l’acteur en quelque sorte. C’est pour ça que dans le fond, c’est peut être un sacré plus que ça sois avec Marley. Je ne manque pas de venir à ses côtés.
Tache de pas me voler la vedette.
Un grand sourire au lèvre avant de finalement prendre place. La musique démarre, et je peut commencer. Pas besoin de vraiment chanter pour le clip, pour autant je chantonne histoire d’avoir le rythme, d’être dans le bon tempo. Mon regard suis la caméra quelques instants avant de finalement me rapprocher de la jolie brune. Une main dans le bas de son dos, l’autre qui viens glisser dans la sienne, mon bassin qui se colle au sien, et la danse suis son cours. Mon regard river dans le sien alors que mon corps épouse celui de Marley dans cette danse presque improvisée, voir totalement. Sensuel, mais avec une alchimie certaine, naturel.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
La main sur la poignée de la porte, Marley était pleinement satisfaite du petit effet qu'elle avait provoqué sur Malik. Elle savait qu'il brûlait de désir pour elle et que la frustration l'habitait désormais. Ce serait mentir de dire qu'elle n'aurait pas aimé aller plus loin avec lui. Evidemment que si personne n'avait frappé à cette porte ils auraient couché ensemble, sur le fauteuil, par terre ou bien sur le bureau. N'importe où mais ils l'auraient fait. Si son corps tout entier réclamait celui de Malik, son esprit était bien trop ravi de savoir que Malik risquait de rester sur la béquille plus longtemps que prévu. Cela l'amusait de le voir dans cet état. Lorsqu'il posa sa main sur la sienne et qu'il lui dit : « Sauvée par le gong » un rire franc lui échappa. C'était aussi ça qu'elle adorait chez lui. Il ne se prenait pas la tête. Bien sûr qu'il était agacé par la tournure des événements, peut-être même qu'il avait envie de l'étriper pour l'avoir excité sans être allée au bout mais son sourire en coin lui montrait que ce n'était que partie remise.
Il poussa la porte et elle le suivit, prête à maquiller les danseuses qui étaient enfin arrivées. C'était l'effervescence autour d'eux, mais même s'ils s'étaient absentés de longues minutes, tout semblait autant en désordre qu'auparavant. Rien n'avait vraiment l'air calé. Elle s'attendait à ce que Malik s'énerve mais ne s'attendait certainement pas à ça : « Y a un changement de programme. Elle occupe le rôle principal. » Marley se tourna vivement vers lui, les yeux écarquillés. Elle ouvrit la bouche pour protester mais elle n'eut pas le temps puisqu'il ajouta : « Ce n’est pas négociable. » Elle sentit tous les regards se poser sur elle et entendit que l'on chuchotait un peu à droit à gauche. Elle avait envie de tuer Malik, de l'étrangler et de lui faire payer ce qu'il venait de faire. Mais au lieu d'agir ainsi, elle se contenta de redresser la tête, digne. En réalité elle commençait légèrement à paniquer. Ce n'était pas son métier, elle n'avait jamais fait ça. Alors oui bien sûr elle savait danser. Mais elle savait danser en petite culotte autour d'une barre de pôle dance. Alors oui bien sûr elle avait déjà dansé devant des gens mais pas devant des réalisateurs, des perchistes et des figurants et encore moins devant une caméra. Elle sentait que son cœur battait de plus en plus vite et celui-ci ne se calma pas lorsqu'elle entendit les instructions du réalisateur. Elle opina de la tête mais au fond d'elle la panique la gagnait.
Elle se dirigea sur le plateau avec Malik et susurra entre ses dents à son intention : « Je vais te tuer. » Il lui fit un grand sourire, à la fois ravi d'être avec elle sur scène et en même temps ravi de la voir dans cet état. « Tache de pas me voler la vedette. » Un petit sourire amusé apparut sur le visage de la maquilleuse tandis qu'elle se jurait mentalement qu'elle se vengerait un jour. Il n'était pas question qu'il la mette dans une telle position sans qu'elle puisse à son tour agir.
La musique fut lancée et Malik commença à chantonner pour donner le rythme. Pour la première fois depuis des années la jeune Lynch était déboussolée, elle ne savait pas comment agir. Elle murmura : « Je n'ai jamais fait ça... ». Il ne dit rien mais il prit les commandes. Il s'approcha d'elle et lorsque sa main glissa dans son dos Marley se mit à frissonner. Elle planta son regard dans le sien et colla un peu plus son bassin au sien. Le réalisateur avait dit qu'il ne fallait surtout pas surjouer, mais que devait-elle faire alors ? Malik espérait-il qu'elle se serve de ses talents de strip-teaseuse dans son clip ? Elle l'ignorait. Pour le moment elle se contentait de danser avec lui tout en faisant abstraction de tous ceux qui étaient autour. Malik prenait les devants, c'était lui qui gérait toute cette danse, et elle aimait ça. Elle aimait sentir sa poigne et toute la puissance qui émanait de son corps.
Sans doute était-ce pour cela que la demoiselle se laissa aller, oubliant totalement que les caméras tournaient autour d'eux et que le moindre de leurs faits et gestes était observé et filmé. Elle pencha son visage dans le cou du garçon, laissant ses longs cheveux tomber en cascade le long de ses épaules musclées. Ses lèvres commencèrent alors à parsemer sa peau de tendres baisers tandis que ses mains avides de Malik touchaient avec tendresse et sensualité son torse. Leur danse continuait et rien ne semblait pouvoir les déranger. Marley se mit sur la pointe des pieds et chuchota à l'oreille du chanteur : « J'ai envie de toi. Maintenant. » Seul lui avait pu l'entendre. De loin on aurait dit une tendre confidence glissée à l'oreille d'un amoureux. Mais les ongles de Marley qui se plantaient dans le torse de Malik et les étincelles qui se lisaient dans ses yeux faisaient bien comprendre à Malik qu'il n'y avait rien de tendre dans cette confidence. Son désir était bestial et elle avait du mal à contrôler ses pulsions. Elle prit alors son visage entre ses mains et déposa un tendre baiser sur ses lèvres. Ce baiser se transforma bien vite en un baiser fougueux et langoureux. Le corps de Marley était en feu et seul le : « Coupez ! » du réalisateur parvint à l'arracher difficilement du garçon. Elle se recula à regrets, sans lâcher du regard Malik, tout en se mordillant la lèvre inférieure. Avait-elle tout gâché ? Si c'était le cas tant pis, après tout, ce n'était pas son boulot... Tout ce qu'elle savait c'était qu'elle voulait qu'il la prenne sur le champ et que cette histoire de clip se termine. La jeune Lynch attendait sa sentence. Le réalisateur allait-il l'incendier ? Malik allait-il lui demander de quitter le plateau ? Ou au contraire son petit jeu sur scène allait-il convaincre tout le monde ?
Évidemment que de voir la jolie métisse surprise, désemparée et perdre des moyens me plais. Faut dire que Marley a une telle confiance en elle, a juste titre, que la sortie de sa zone de confort est une petite victoire. Suffis de voir le sourire qui orne mon visage depuis que j’ai balancer la suite du programme pour le comprendre. Pour autant, je ne suis pas un enfoirer, pas totalement. Je sais ce que le réalisateur attend. Si sûr le plateau, enfin si dans toutes la salle qu’on a louer le bordel règne en maître, concernant les prises du clip je sais où on va, je sais qu’elle rendu ça doit avoir et donc, je sais ce que je fais en prenant Marley avec moi. Elle sait danser, pas professionnellement mais c’est pas vraiment ce qui est demander. D’autant plus qu’elle n’aura qu’à suivre mes pas, mon rythme. Je sais que je vais tout mener et qu’elle n’aura qu’à s’adapter. De ce côté là, je n’ai aucun doute sur ces capacités. Ce clip reste important, taquiner et jouer avec la maquilleuse est une chose, mais je ne ferai rien qui impacterai négativement ce tournage. Puis, le real’ m’a toujours préciser que la clé pour cette scène, c’est l’alchimie, l’attraction, l’envie qui se dégagera entre la danseuse et moi. Quoi de mieux que de le faire avec Marley ou tous ça n’a pas besoin d’être jouer ?
Moi aussi je t’adore.
En réponse à sa pseudo menace. C’est que c’est amusant de la voir comme ça, mais les choses sérieuses ne tardent pas à commencer. Et je dois la rassurer, lui faire passé cette état de stress, qu’elle cesse de s’inquiéter et qu’elle prenne confiance en elle pour cette danse, comme moi j’ai confiance en elle.
Fais moi confiance. Suis moi. Laisse toi porter sans te poser de questions.
Des conseils bateaux. Je suis même pas sûr que ça va vraiment l’aider. Ce que je veut c’est faire retomber la pression, lui montrer que je l’envoie pas dans un traquenard et que de toute façon, si le chemin paraît bancale, alors je serai là pour lui tenir la main, l’accompagner. C’est ce que je fais, je prend les devants. Jouant avec le rythme comme avec ma partenaire de danse. Mes mains, mes jambes, mon bassin, mon regard. Quelques instants finissent par suffit, quelques instants et la jolie brune prend en confiance, semble oublier ce qui nous entoure. Même si je sais pourquoi je suis là, plus la danse avance, plus j’ai l’impression qu’on est seul. Toute mon attention est focaliser sur Marley, elle est là seul à exister à ce moment là. La sensualité de la danse pris le pas sur le reste. Plus proche, plus chaude. Les mains et lèvres de Marley baladeuse, mon regard retrouvant cette lueur de désir. Ces mots comme un coup de grâce, à deux doigts de tout planter et de partir avec elle pour donner vie à toutes ces pulsions qui n’ont de cesse de croître, devant incontrôlable ou presque. Jusqu’au point d’orgue, ce baiser. L’une de mes mains viens relever la jambe de Lynch contre la mienne jusqu’à ce que ça ne sois couper. Quand Marley s’éloigne, je suis encore dans cette bulle, mon regard pour elle brûle d’envie. Difficile de ne pas comprendre mes attentions à ce moment. Si tout à l’heure dans la loge, notre petit jeu a bien fais grimper la température, la c’est un cran au dessus, c’est différent, plus fort, plus palpable. Si on tend l’oreille, on pourrait presque entendre celle qui aurai du occuper la place de Marley pester de jalousie. Même si soyons franc, ça n’aurai jamais tourner comme ça avec n’importe qui d’autre.
C’était … Pas prévu. Mais je crois bien qu’on va la garder ! On aurai dit que vous alliez vous dévorez sur le plateau ! C’est exactement ce que je voulais. Séduction et tension entre les deux vedettes.
Ça me ramène à la réalité. Mon visage se tourne vers le metteur en scène. J’avoue que sur le moment, je pensais qu’on avait été trop loin. Les choses ont déraper, l’envie a pris le dessus et pour le clip, je n’étais pas sûr que ça passerai. Mais à priori, le réalisateur est satisfait. C’est le plus important. J’approche d’ailleurs de Marley, mes doigts venant capturer son menton.
Ta été parfaite.
Un rapide baiser sur la danseuse improviser. Et voilà que le réalisateur arrive à notre niveau, le regard fuyant, comme ci il avait une mauvaise nouvelle a balancer.
Écoute Malik, je suis vraiment désolé. Mais tout le retard accumuler aujourd’hui .. On va pas pouvoir finir le clip. Pas ce soir. Les scènes restantes doivent être tourner de jour. Il commence à faire nuit et les lumières qu’on a, éclaire à peine la scène. Alors donner une illusion de journée … Faudra revenir demain.
Je pousse un soupir, dans le fond, j’aurai pris m’énerver. Dans d’autre circonstance, je l’aurai fait. Perdre du temps comme ça est quelque chose dont j’ai horreur. Mais la, c’est différent. Pourquoi ? Parce que ça me libère de les obligations. Ma journée est terminé, autrement dit, je suis libre de faire ce que bon me semble.
Ouai. Si demain on peut faire en sorte d’être mieux organiser, plus structurer. Plus professionnel. Ça m’arrangerai.
Pique lancer, j’ai pas pu me retenir, pas voulu. Tous ça a tendance à me tendre, l’importance sans doute, l’enjeu qui fais que je prend tous ça très à cœur. C’est finalement vers Lynch que je me tourne. Fouillant dans ma poche, c’est les clés de ma voiture. J’approche la jolie métisse, de ma main libre j’attrape la sienne.
On va chez moi ?
De base, j’avais prévu de lui proposer d’aller boire un verre. De flâner un peu en ville de bar en bar pour profiter de son retour, le fêter comme il se doit. Puis finalement atterrir à mon appartement. La, ma proposition est la simple réponse à ces quelques mots lors de notre danse. Maintenant, si ça ne tenais qu’à moi, on irai s’isoler quelques part dans le coin, à l’abri des regards, à l’abri d’être déranger et on s’enverrait en l’air. Mais je pense que l’on est capable de patienter le temps du trajet jusque mon appartement, non ?
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Contre toute attente le réalisateur venait de valider leur prise. Une seule aura suffi et heureusement. Marley aurait été incapable de recommencer. S'ils avaient dû tourner une nouvelle fois, la tigresse n'était pas sûre qu'elle aurait pu se contrôler davantage. Cela avait déjà été limite la première – et unique – fois. Malik la félicita et attrapa son menton avant de l'embrasser aux yeux de tous. Les caméras étaient éteintes, ce baiser n'aurait jamais dû avoir lieu, pas aux yeux de tous en tout cas, et surtout pas lorsqu'ils s'évertuaient tout deux à cacher à Louisa leur relation. Cela ne déplut cependant pas à la maquilleuse qui à l'heure actuelle se fichait bien de savoir qui pouvait les voir. Si Louisa venait à l'apprendre, Marley lui expliquerait que c'était pour les besoins d'un clip. Après tout, la sœur du chanteur risquait bien de voir le clip un jour ou l'autre.
La demoiselle fut tirée de ses pensées par le réalisateur qui arriva pour annoncer que le tournage allait devoir prendre fin. Marley savait que cela n'arrangeait pas Malik, mais si elle était honnête elle devait admettre que ça l'arrangeait fortement. Ils allaient pouvoir se tirer d'ici et continuer là où ils s'étaient arrêtés. La maquilleuse s'attendait à voir le chanteur s'énerver et exiger que le tournage continue mais au contraire il acquiesça tout en donnant des ordres qu'il n'aurait jamais dû donner puisque cela relevait du bon sens mais il n'avait pas le choix puisqu'il semblait entouré d'une bande d'incapables.
« On va chez moi ? » Malik venait d'attraper sa main tout en lui montrant la clé de sa voiture. Un sourire carnassier s'afficha sur le visage de la brune. Il lisait dans ses pensées et elle était ravie de voir qu'ils étaient sur la même longueur d'ondes. Il aurait pu se la jouer gentleman et l'amener manger avant, mais ni lui ni elle n'avait faim. Tout du moins pas de nourriture. Elle planta ses ongles dans la paume de sa main pour lui montrer qu'évidemment elle était prête à partir d'ici le plus vite possible. Elle prit son sac à main qui était posé un peu plus loin et tout en sortant avec Malik cria à l'intention des autres : « Bonne soirée ! Et n'oubliez pas d'apprendre votre métier cette nuit ! » et elle pouffa de rire.
Une fois sortie, Marley se rendit compte que la nuit était déjà tombée. Elle se dirigea jusqu'à la voiture de Malik mais avant que celui-ci ne grimpe dedans elle le plaqua contre la carrosserie et l'embrassa avec passion. Elle finit par décoller ses lèvres des siennes et susurra : « Je ne suis pas sûre de pouvoir attendre jusqu'à chez toi... Mais promis je vais essayer. » Elle lui fit un large sourire et contourna le véhicule afin de monter côté passager. Le jeune Fleming s'installa à ses côtés et démarra. Alors qu'il se dirigeait vers son logement, Marley laissa glisser une main sur la cuisse du conducteur. Sans doute surpris, il tourna le visage pour la regarder. « Les yeux sur la route. » ordonna-t-elle avec fermeté et amusement.
(On va cacher un peu la suite quand même )
Quelle étrange journée. Si on lui avait dit que tout allait se passer ainsi, elle ne l'aurait pas cru, mais elle se serait précipitée sur le lieu du tournage.
Ne sommes nous pas sur l’une de mes pires idées de faire tourner Marley dans mon clip ? Bien sûr que si. Louisa ma grande sœur voudra forcément voir la dernière sortie de son frère. Lynch est unique, reconnaissable parmi mille, aucun doute qu’elle sera découverte à la seconde où elle apparaîtra. Fort heureusement, l’excuse du clip et de l’acting qui va avec peut nous offrir un sursis, ajoutons à ça que je ne suis pas une vedette comme Drake ou Chris Brown et forcément, on peut aussi ajouter que pour éviter de faire exploser le budget, profiter du côté très photogénique et des talents de la maquilleuse représente une alternative crédible. Mais pour l’heure, je n’y pense pas. Je ne pense pas à grand chose d’autre qu’à la jolie métisse à dire vrai. Même le réalisateur qui viens m’annoncer la mauvaise nouvelle est sauver par la présence de la maquilleuse. Nul doute que demain sera un autre jour, et que je serai moins clément.
Pour l’heure, je suis plus captiver par l’idée de finir ma soirée avec Marley qu’autre chose. Depuis qu’elle a débarquer sur le tournage, on joue, on se cherche, se provoque, s’allume même n’ayons pas peur des termes. Doit venir le moment d’atteindre l’apogée de tous ce manège. On aura tous le temps d’aller boire un verre ou d’aller se faire un restaurant à l’occasion. Voir même de discuter quand l’heure sera à reprendre des forces au cours de la nuit. Je n’ai pas besoin de piquer l’équipe de tournage, Mal’ le fait pour moi. Non pas sans m’arracher un sourire en coin. On aurai dit deux adolescents qui s’échappe de cours pour aller faire leurs bêtises tant on ne c’est pas fais prier pour atteindre ma voiture. Et je n’ai pas le temps de grimper à l’intérieur sans un nouveau baiser de la jolie brune. Le trajet n’est pas particulièrement long, mais il s’annonce interminable, la faute à Lynch.
Sois sage. Tout viens à point à qui sait attendre.
Dans le fond, je sais que je parle dans le vide. Sagesse et Marley ne font pas bon ménage, ne rime pas ensemble. D’ailleurs, j’ai à peine mis le contact, que je sens la main de ma partenaire dangereusement glisser. Réflexe, je la regarde, malicieux, excité aussi.
J’suis un homme, je sais faire deux choses à la fois.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Le trajet en voiture sembla particulièrement rapide à Marley. Elle avait obtenu ce qu'elle désirait à savoir rendre fou de désir Malik. Elle ne savait pas comment il avait fait pour se contenir, pour ne pas s'arrêter ou pour ne pas les avoir foutus dans un fossé. C'était avec satisfaction qu'elle l'avait entendu gémir son prénom. Preuve qu'elle était douée avec ses lèvres et qu'elle savait parfaitement comment rendre dingue un homme. Si Fleming semblait impatient de se garer, la jeune maquilleuse avait hâte de sortir de la voiture afin de profiter pleinement du garçon. Malik se gara, releva de visage de Marley et lui dit avec un sourire amusé : « Tu vas finir par me rendre dingue. » Avec son air taquin et joueur elle répondit : « C'est tout l’intérêt de la manœuvre. » Elle n'eut pas le temps de dire plus qu'il l'embrassa et qu'il la porta jusqu'à chez lui. Accrochée à son cou, elle riait. Elle aida Malik avec la porte en donnant un petit coup de pied et se retrouva rapidement installée sur la table du salon...
Allongée sur la table, Marley se mit à rire, comme si la pression s'échappait enfin. Son corps était en sueur, ses cheveux étaient en bataille, et un sourire plein de satisfaction était affiché sur son visage. Une main posée sur le torse du garçon qui était allongé à ses côtés elle murmura : « Et bien Fleming... J'avais oublié à quel point tu étais doué. » Ce n'était en effet pas la première fois qu'ils passaient à l'acte. A chaque fois c'était un véritable moment de plaisir, mais à chaque fois ils se disaient qu'il fallait qu'ils arrêtent. Ayant autant de volonté l'un que l'autre, ils n'étaient pour le moment pas parvenus à mettre un frein à cette relation charnelle. Marley sauta de la table et enfila sa culotte en dentelle. Elle se dirigea vers le frigo, l'ouvrir et prit une bouteille d'eau qu'elle commença à boire tout en observant Malik. « Il faut que tu te rhabilles, sinon je risque de te sauter à nouveau dessus. » dit-elle alors qu'elle ne portait pour morceau de tissu que sa culotte. Après un dernier regard provocateur et plein d'envie, elle alla récupérer ses vêtements et commença à les enfiler. Il ne fallait pas qu'elle reste ici trop longtemps, c'était toujours risqué de passer la nuit chez Malik. A tout moment Louisa pouvait débarquer. Alors qu'elle remettait son pantalon, la jeune femme dit à son compagnon du moment : « Pour demain... C'est peut-être mieux si une autre maquilleuse vient sur le plateau. Je ne suis pas sûre que tu sois très efficace lorsque je suis dans les parages. » Son sourire carnassier retroussa ses lèvres tandis qu'elle énonçait cette vérité. Ni lui, ni elle, n'était efficace lorsqu'ils étaient dans la même pièce et que le désir les dévorait.
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
Un nouveau craquage en règle. Une nouvelle partie de jambe en l’air sans retenu. Allonger sur cette table, le corps marqué par les ébats, la respiration encore haletante. Ces mots me font rire, je me contente de simplement tourner le visage histoire de croiser son regard.
Pour que ça sois réussi, faut être deux.
Façon d’avouer à demi mot qu’elle est aussi doué. Après tous, on ne remettrait pas le couvert aussi souvent si ce n’était pas bien, on a beau être deux électrons libres, on est pas bête pour autant. Surtout vu les risques que l’on prend, rien qu’à l’idée que ma sœur apprennent ça, elle en ferai un syncope et j’ai beau faire le double de son poids, c’est que je la redoute la petite. Et on sait que c’est mal, ou en tous cas, dangereux. Le savoir ne semble pas avoir d’impact. Dire que c’est la dernière fois n’est qu’un moyen de se rassurer avant la prochaine. Et ainsi de suite, un cercle plaisant à n’en pas douter.
Parce que t’a l’impression d’être couverte là ?!
La matant allègrement, faut dire que Marley est vraiment magnifique. Mon regard et mon sourire en dise long sur le fond de ma pensée. Pour autant, j’attrape mon caleçon pour finir par l’enfiler. Ne daignant pas mettre autre chose pour le moment. Arrivant au niveau de la jolie métisse, je viens lui voler quelques gorgés d’eau bien mériter.
J’ai fuis le tournage à la moindre petite faille qui me l’a permis. Ce n’est même plus de l’inefficacité à ce niveau là. C’est presque contre productif.
Si j’avais envie de me mentir, je mettrais ça sur le dos de son retour surprise, des mois qu’elle a passé loin de Brisbane, sur l’envie de fêter dignement nos retrouvailles. Mais en étant totalement honnête, ça aurai été pareil si l’on c’était vu la veille. Le corps a ses raisons que la raison ignore. Quand les hormones prennent le contrôle, difficile de lutter, surtout quand on ne veut pas aller contre.
C’est cool que tu sois dans le coin. Et pas que pour ça ..
Montrant de la tête la table qui aura été spectatrice de nos prouesses. Même si ce fut exquis, ce n’est pas la seul chose qui fais que je suis content de revoir sa bouille dans le coin.
J’sais qu’il faut qu’on fasse gaffe, qu’on éveille pas les doutes. Mais si t’as besoin de quelque chose ou autre. Ta mon numéro.
Passant derrière elle, tapotant son postérieur au passage. J’attrape une pomme, faut dire que j’ai pas encore manger et que l’effort, ça creuse.
On sait ce tenir quand même. J’imagine qu’on peut tout à fait ce voir en tout bien tout honneur à l’occasion.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Boutonnant son jean et enfilant grossièrement son débardeur dedans, la demoiselle écoutait avec attention Malik. « J’ai fui le tournage à la moindre petite faille qui me l’a permis. Ce n’est même plus de l’inefficacité à ce niveau là. C’est presque contre productif. » Elle se mit à rire de bon cœur et précisa : « Je dirais même : C'est de l'auto-sabotage. » Elle fronça les sourcils et lui demanda : « Attends... Tu es en train de me dire que tu aurais fui avec n'importe quelle maquilleuse ? » Elle prit un air faussement contrarié et croisa les bras, signe de son mécontentement. Cette éventualité était possible, mais au fond d'elle, Marley savait que s'il était parti si précipitamment c'était parce qu'elle en était la cause. Ce n'était ni de la vantardise, ni un moyen de flatter son égo, elle le savait juste.
« C’est cool que tu sois dans le coin. Et pas que pour ça ... » Un sourire illumina le visage de la métisse. Elle savait qu'il ne parlait pas que de leurs parties de jambes en l'air et ça la touchait. Si on oubliait le désir qu'elle ressentait pour Malik lorsqu'elle le voyait, c'était quelqu'un qu'elle appréciait énormément. Ils riaient beaucoup lorsqu'ils étaient ensemble et – lorsqu'ils n'étaient pas occupés à se sauter dessus – ils arrivaient à discuter et à se confier l'un à l'autre. « J’sais qu’il faut qu’on fasse gaffe, qu’on éveille pas les doutes. Mais si t’as besoin de quelque chose ou autre. T'as mon numéro. » Avant qu'elle n'ait le temps de réagir, Malik passa à côté d'elle et lui tapota les fesses : « Hé ! » protesta-t-elle amusée par la situation. Elle grimpa sur la table et laissa balancer ses jambes dans le vide, observant le garçon manger une pomme. « On sait se tenir quand même. J’imagine qu’on peut tout à fait se voir en tout bien tout honneur à l’occasion. » Elle rit à nouveau et sceptique répondit : « Tu es sûr ? Ce n'est pas l'impression que ça me donne. » Et elle lui fit un petit clin d'oeil. Elle tendit le bras et saisit une banane qui par miracle était encore dans la corbeille à fruits qui n'avait pas voler durant leurs ébats. Tandis qu'elle enlevait la peau elle poursuivit : « J'espère que tu as conscience que la réciproque est vraie. Tu peux m'appeler quand tu veux. » Et elle commença à manger son fruit.
Le silence s'installa et les raisons de son départ précipité de Melbourne revinrent à vive allure dans l'esprit de la jeune Lynch. Elle fixait dorénavant ses pieds, une forme de mélancolie la gagnait. Elle hésita quelques instants puis murmura : « Tu sais, il m'a demandé en mariage. » Elle fit un courte pose et précisa : « Davies ». C'était la première fois qu'elle en parlait à quelqu'un, la première fois qu'elle le disait à voix haute. Elle n'osait plus relever le regard en direction de Malik, tout d'un coup elle était gênée. Habituellement si sûre d'elle, elle ne savait actuellement plus où se mettre. Elle marmonna : « J'ai pas pu lui dire oui. » Confession avouée, une pointe de soulagement la gagna tandis qu'une vague de tristesse la recouvrait. Elle finit par relever la tête et tenta un sourire. Elle haussa les épaules et ajouta : « Désolé, je ne sais même pas pourquoi je te dis ça. » Ils venaient de s'envoyer en l'air, dévorés l'un et l'autre par leur désir et voilà qu'elle gâchait tout avec ses confessions à deux balles. Qu'est-ce qui ne tournait pas rond chez elle ?
'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
Grand sourire, entre provocation et bêtise. Auto sabotage, c’est le mot. Même si je suis persuader que je finirai par le sortir ce clip et que ce single pourrai bien faire repartir ma carrière, il va de sois que c’est compliqué d’en voir la finalité pour le moment.
Pour qui me prend tu ? C’est uniquement parce que c’est toi ! Une autre, je l’aurai fais patienter la fin de journée.
C’est dans un rire que je sors m’a connerie. Évidemment que le facteur Marley a tout changé. Une autre maquilleuse, aussi jolie aurait elle pu être, il y a peu de chance que je cède aussi rapidement. La belle brune a quelque chose en plus, c’est indéniable. D’ailleurs, je secoue mon visage quand elle me fais constater qu’effectivement, on est pas vraiment un modèle d’abstinence, qu’on est pas vraiment capable de se tenir quand on est l’un avec l’autre. Mais que voulez vous, c’est un plaisir coupable, un pécher mignon bien difficile de refuser. Un sourire étire mes lèvres, au de la de ce côté charnel, je considère vraiment Lynch comme une proche. Je l’apprécie, et je ne dit pas ça en l’air quand je lui rappel qu’elle peut compter sur moi. Et je sais que c’est pareil quand elle me fais la même remarque.
C’est avec attention que je l’écoute. Bras croisé contre mon torse, je fini par me rapprocher d’elle. M’installant à ses côtés sur la table. Pas besoin d’être psychologue pour comprendre que cet événement m’a profondément marquer, affecter. Quand elle a fini par ses excuses, je fini par passer mon bras autour d’elle, la ramenant légèrement contre moi. Tournant mon regard vers elle avec bienveillance.
Parce que t’a besoin d’en parler.
Je connais Davies, vaguement. J’ai eu la chance de croiser Drake, échanger musique avec lui. Et assister à l’un de ces clips, donc le danseur dont parle la belle, je l’ai déjà croiser.
C’est que c’était pas le moment. Faut pas que tu te tracasse avec ça.
Romantique dans l’âme, je rêve du grand amour, j’espère encore rencontrer celle avec qui je vais pouvoir envisager l’avenir à deux. Me marier est un des projets de vie que j’ai. Alors j’en comprend l’importance.
Le mariage, c’est pas qu’une fête et qu’un bout de papier. C’est un engagement quasiment total, sans retenu. C’est comme un saut en élastique, ou tu détache l’élastique. Plus rien pour te rattraper.
Je ne sais pas vraiment si ça va l’aider, mais au moins c’est ce que je pense, c’est le fond de ce que j’ai dans la tête.
Alors si tu doute, si t’hésite, si tu n’es pas sur. Dire oui aurai été une erreur.
Combien de couple ce sont marier pour finalement divorcer quelques mois plus tard. Dans certain cas, ça peut briser des vies.
D’ou ton retour ici. Retrouver ton passé, tes attaches, t’éloigner de lui. Tu as eu des nouvelles ?
Parce que j’imagine quand même que si il en est venu à la demande en mariage, c’est qu’ils étaient quand même sacrément heureux ensemble. Et à sa place, j’aurai bien du mal à accepter qu’elle parte sans chercher à la retenir, rattraper, ramener.
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Assise sur la table de cuisine, Marley regrettait déjà ses paroles. Elle s'en voulait de s'être livrée ainsi. Malik n'avait pas signé pour ça en la ramenant chez lui. Sexe et orgasmes, voilà ce dans quoi il s'était lancé. Désormais il se retrouvait à devoir faire le psychologue et à devoir la consoler. C'était n'importe quoi. Si elle l'avait pu, Marley serait revenue en arrière et aurait tout gardé pour elle. Alors qu'elle s'apprêtait à fuir, le garçon s'installa à ses côtés et passa un bras rassurant autour de ses épaules. « Parce que t’as besoin d’en parler ». Elle haussa les épaules et toujours sans le regarder marmonna : « J'aurais quand même pu attendre demain. » Elle posa néanmoins sa tête sur l'épaule du garçon, cherchant du réconfort. Maintenant qu'elle avait tout gâché en amenant le sujet sur le tapis, cela ne servait plus à rien de changer de conversation. Si elle l'avait dit à Malik, c'était parce qu'elle avait confiance en lui, qu'elle se sentait bien en sa présence mais aussi parce qu'il était l'un des seuls de Brisbane à connaître Davies. Ils n'étaient pas amis, juste des connaissances mais c'était suffisant aux yeux de la métisse. Il savait de qui elle parlait. « C’est que c’était pas le moment. Faut pas que tu te tracasses avec ça. ». Ou pas la bonne personne plutôt. Mais Marley tint sa langue. Il n'était pas question qu'elle admettre une telle chose. Elle avait vécu une histoire de trois ans avec Davies, une relation sérieuse qui avait mené à un échec. La raison ? La maquilleuse s'étaient rendue compte – alors qu'elle l'avait toujours su – qu'elle était amoureuse de Jackson et de personne d'autre.
Elle fut sortie de ses pensées par Malik qui poursuivait : « Le mariage, c’est pas qu’une fête et qu’un bout de papier. C’est un engagement quasiment total, sans retenue. C’est comme un saut en élastique, où tu détaches l’élastique. Plus rien pour te rattraper. » C'était beau, mais cela semblait si lointain aux yeux de Marley. Pour Malik c'était différent, il avait toujours eu ce désir de se marier, de fonder une famille. La jeune Lynch était au courant, ils en avaient déjà discuté. Elle, de son côté, ne s'était jamais posée la question. Elle ne savait pas si se marier était quelque chose dont elle avait envie, la seule chose qu'elle savait c'était que si cela devait arriver, ce serait avec Jackson et personne d'autre. Lorsqu'il lui dit qu'elle avait bien fait de dire non si elle hésitait, la jeune femme n'osa pas lui confier qu'elle n'avait même pas eu la force de lui dire non. Elle n'avait pas hésité, elle savait qu'elle ne pouvait pas accepter. Pour la première fois de sa vie, elle avait agi avec lâcheté et avait préféré la fuite.
« D’où ton retour ici. Retrouver ton passé, tes attaches, t’éloigner de lui. Tu as eu des nouvelles ? » Elle finit par se redresser et décoller son corps de celui de Malik. Elle déglutit avec difficulté tout en se passant une main dans les cheveux. Elle n'avait eu aucune nouvelle... Parce qu'elle l'avait bloqué. Elle avait bloqué son numéro, ses réseaux, et elle ne lui avait pas dit où elle partait. Cherchant ses mots elle répondit dans un premier temps : « Dans tout ce chaos, Brisbane m'est apparue comme une évidence... » Il n'avait pas tort lorsqu'il disait qu'elle était venue ici pour retrouver ses attaches, ses habitudes, elle se sentait chez elle ici. Et puis il y avait Jackson. Même si elle ne l'avait toujours pas revu, c'était pour lui qu'elle était ici. « Je n'ai pas eu de nouvelles non. Mais je ne lui en veux pas. J'aurais sans doute fait la même chose. » Elle ne pouvait lui confier qu'elle l'avait bloqué, elle avait bien trop peur que Malik ne la comprenne pas. Il aimait l'amour. Ce qu'elle avait fait était impardonnable. Elle le savait bien. Finalement elle lui donna un petit coup d'épaule et lui demanda : « Allez, à toi maintenant. Quelqu'un qui fait battre ton cœur ? » Elle l'espérait sincèrement. Le meilleur, c'était tout ce qu'il méritait.
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