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 Surprise et famille. Pheiji

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Message(#)Surprise et famille. Pheiji EmptyLun 12 Déc - 19:58

Surprise et famille. Pheiji
EXORDIUM.
PHEIJI - Je me souviendrais encore longtemps de ce petit week-end en amoureux que tu m'as offert, il y a maintenant quelques jours. Tout était magique et magnifique, les requins, le paysage, la piscine, notre chambre, nos repas et ton " Je t'aime Eiji " Ouais, cette déclaration-là restera gravé dans ma mémoire. Et tu sais que c'est réciproque, depuis le soir du drame. Tu as changé ma vie depuis ce jour, c'est peut-être un sentiment bien trop puissant, mais c'est la vérité. Tu es dans ma tête, tout le temps, tu hantes mes pensées et c'est trop bien. Depuis que je suis sorti de l'hôpital, je passe quelques nuits et beaucoup de temps chez toi, je ne me sens pas encore à l'aise pour te demander d'y rester habiter. D'une parce que c'est peut-être trop tôt et puis je n'ai pas encore trouvé de travail pour t'aider pour payer l'eau, la nourriture et d'autres factures. Je te promets ma petite étoile que je fais de nombreux efforts pour changer, je reste le même évidemment. Mais changé dans le sens de prendre soin de moi, ne plus boire d'alcool, me soigner. Pour toi, pour nous.

Quoiqu'il en soit, ce soir ; avant de venir à l'adresse de tes parents pour ce rendez-vous familiale autour d'un bon feu de bois sûrement. J'ai un peur, beaucoup peur de les rencontrer, mais c'était nécessaire et il n'y a pas de raison que cela ne se passe pas bien. Je crois. Je ne sais pas. De toute façon, tu seras présente et ma poupette aussi. Mais avant cela, je me rends à l'animalerie pour t'acheter un cadeau qui j'espère te feras grandement plaisir. C'est important pour moi, je veux te remercier pour toutes ces belles choses. Je t'aime.

Je viens d'acheter cette petite bestiole en route avec tous les accessoires nécessaires dans mon sac à dos une fois que j'ai quitté les moyens de transports. Heureusement que l'adresse n'était pas très loin quand j'ai quitté le bus, car ce ne serait pas de chance que le petit animal meurt d'étouffement. Je fais au mieux pour venir le plus vite possible ici, avec les béquilles, ce n'est pas évident. Je suis en face de l'entrée et j'ouvre le sac pour venir prendre la boite puis je sonne une fois puis je te vois ouvrir la porte, je ne suis pas aussi élégant que toi ; pardon. Mais regarde.

- Surprise ! Je suis comme un gamin, tellement heureux de te revoir et je tends mon cadeau vers toi, dans tes mains. Un cochon d'Inde tout mignon y était logé à l'intérieur. Ne sois pas déçu, pitié mon étoile. Tu aimes les animaux tout autant que moi n'est-ce pas ?

- C'est pour toi mon cœur. Tu l'aimes ? Dis-je en me penchant un peu vers toi pour venir chercher un baiser. Je ne rentre pas encore dans l'immense demeure. Je te bouffe du regard avant, laisse moi le temps de t'observer, beauté divine que tu es.

- Tu es... juste... splendide ! Mon cœur s'emballe rien qu'en te regardant. Cette soirée sera riche en émotions, s'en est certain.




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Message(#)Surprise et famille. Pheiji EmptyLun 12 Déc - 20:50

@Eiji Takuma - 24 décembre 2022
Les fêtes étaient arrivées à grand pas et comme toujours, mes parents avaient voulu savoir si on serait de la partie avec Keïla. J'avais donc précisé que nous serions trois pour cette soirée, ma mère a semblait plutôt surprise, mais j'avais pu sentir dans sa voix une certaine curiosité. Elle imaginait certainement que je venais avec ce médecin dont elle était tombé fan, mais qui avait préféré disparaître de ma vie. Je n'avais pas relevé sa curiosité et nous étions donc partie en voiture en début d'après-midi pour Laidley. Cette ville était à seulement une heure de Brisbane, ce qui, dans le fond était une bonne chose si j'avais envie de rentrer.

Eiji m'avait indiqué qu'il viendrait un peu plus tard ayant des choses à faire pour l'occasion. Je n'avais pas posé de questions pour ne pas le mettre mal à l'aise et s'était à deux avec Keïla qu'on poussait la porte de la maison parental. Je remarquais le regard interrogateur de ma mère, "Il arrive plus tard..." Lançais-je finalement avant de venir saluer mon père ainsi que mon petite frère et ma petite soeur présent pour l'occasion. Je regardais mon adolescente me faire signe pour qu'on se change pour la soirée et je montais les escaliers pour me rendre dans mon ancienne chambre. J'enfilais une robe rouge avec des paillettes ainsi qu'une paire d'escarpins rouge. Je redescendais pour rejoindre ma famille au salon, tout été magnifiquement décoré, comme toujours. Une odeur de cannelle se diffusée dans l'ensemble de la maison et je savais que ma mère avait encore fais les choses en grand.

Finalement, la sonnette retentit, "Je vais ouvrir !" Lançais-je en me dépêchant d'atteindre la porte ne voulant pas que quelqu'un d'autre ouvre. "Surprise !" Je souris en découvrant le petit cochon d'inde dans sa boite. "C'est pour toi mon cœur. Tu l'aimes ?" Je hoche la tête, "Il est adorable ! Mais va falloir lui trouver un prénom maintenant !" Je souris avant de venir l'embrasser, "Tu es... juste... splendide !" Je n'ai pas le temps de lui répondre que Keïla arrive à la porte, un cri strident s'en suis en voyant le cochon d'inde dans mes mains. Je ferme un peu les yeux avant de rire, "Il est trop beau !" Elle l'attrape et vient lui faire des câlins en rentrant dans la maison. "Je crois qu'il est adopté." Je souris avant de poser ma main sur sa veste pour le tirer vers moi afin de le gratifier d'un nouveau baiser. "Viens !" Je lui attrape la main pour le faire rentrer dans la maison, tout le monde est au salon. Je tente de ne pas le tirer trop fort pour ne pas lui faire mal à la jambe.

"Je vous présente Eiji !" J'annonce joyeusement tandis que je vois le regard de ma mère et de mon père qui se fronce légèrement. J'essaie de ne pas faire cas, "Voici mon petit frère et ma petite soeur...Ils sont jumeaux...Et voici mon papa et ma maman." Je souris un peu plus tandis que mes parents tentent de se détendre un peu. Je vois mon père se lever, "Enchanter Eiji...Installe toi." Il montre un fauteuil libre, "Comment vous avez rencontré Phoebe ?" Demande t-il curieux d'en apprendre plus.

couleur père: 339966
couleur keïla: ff9900

musique
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Message(#)Surprise et famille. Pheiji EmptyLun 12 Déc - 21:28

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EXORDIUM.
PHEIJI - Je n'ai jamais vraiment eu l'occasion de fêter ce type de fête, en fait, je n'en ai plutôt pas le souvenir quand j'étais plus jeune. Avec mes parents, c'était compliqué de fêter quoi que ce soit, même pas mon anniversaire. Pour eux, ce n'était pas important et je ne méritais jamais de cadeaux, car je n'étais pas fort à l'école et l'intelligence, c'était sacré pour eux. Enfin bon, c'est de l'histoire ancienne et aujourd'hui, je vais passer Noël avec toi ma belle Phoebe et ta famille ; j'angoisse un peu, mais ce n'est pas grave. Je suis tout content de te voir ouvrir cette porte avec la petite Keïla qui s'approche un instant après.


- Tu es aussi belle que ta mère ! Dis-je certain venant lui tapoter la tête, c'est vrai ; toute mignonne. D'ailleurs, je prends encore le temps de t'admirer dans tous les sens, cette robe te va ravir et c'est une couleur qui te va vraiment très bien. J'en ai les larmes aux yeux de bonheur de te voir aussi ravissante. De te voir tout court d'ailleurs.

- Ouais, Sushi ? Je fixe la belle Keïla pour savoir son avis, c'est surtout marrant. C'est juste une idée de prénom et cela me fait rire, promis que je n'allais pas le manger. Les animaux sont hyper importants. Quant à toi mon étoile, tu viens m'offrir un dernier baiser avant de me tirer dans la maison. Ça sent bon, il faut chaud, c'est grand, beau, les décorations de Noël à gogo, cette cheminée juste en face et ces musiques réconfortantes. Non franchement, c'est cool. Belle ambiance, pour l'instant. Je suis donc ici, je ne dis rien pendant que je t'écoute me faire les présentations. Tes parents sont également bien apprêtés, c'est un autre monde et j'ai déjà l'impression d'être de trop. Ça va aller.

- Content de faire votre connaissance ! Dis-je en faisant un petit mouvement de tête. Et c'est la vérité. Je viens me diriger vers le fauteuil, j'ai un peu honte de mon image, car tout le monde me regarde, mais c'est la vie et je suis comme ça. Et c'est ainsi que Phoebe m'aime et je l'aime aussi. Je prends place doucement en déposant mon sac par terre et également ma paire de béquilles sur le côté, tes parents les dévisagent d'ailleurs ; pourquoi ? Je cherche ton regard subitement quand ton père me pose la question principale, ta mère elle ne dit pas un mot. C'est du rapide. Notre rencontre. Et il est hors de question de mentir ou d'inventer des histoires. Je vais juste la raconter d'une manière correcte.

- Et bien... Un soir, alors que j'étais dehors, je me baladais quand deux hommes violents sont venus me tabasser pour voler mes affaires. Et votre fille est arrivée pour m'aider, c'est une véritable guerrière. J'étais par terre et je ne pouvais plus bouger. Elle m'a conduit à l'hôpital et je ne l'ai plus oublié depuis... C'est beau non ? Dis-je tentant de trouver un sentiment de sécurité alors que pour le moment, ce n'est absolument pas le cas et je suis même extrêmement gêné. Phoebe, aide moi n'amour.

En attendant les réponses de ton père ou ta mère, je viens ouvrir mon sac pour y sortir un nouveau paquet cadeau pour Keïla, ce sont des bonbons. Par contre, je n'ai pas pensé aux parents, ni à ton petit frère et petite sœur. Pourtant, tu m'en avais parlé. grossière erreur.

- Keïla ! Tiens, je t'ai acheté une bricole pour toi. Je viens lui tendre son cadeau. Puis toute mon intention retentit sur la situation.

Du coup, c'est quoi les prochaines questions ? C'était sur que j'allait avoir un interrogatoire et je ne suis pas doué pour cela. Phoebe, ne me laisse pas galéré tout seul. Je viens te lancer quelques regards, ne quitte pas la pièce. S'il te plaît.



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Message(#)Surprise et famille. Pheiji EmptyLun 12 Déc - 21:48

@Eiji Takuma - Il n'avait pas fallut longtemps après notre entrée pour que tout le monde dévisage Eiji. Je regrettais soudainement que Isy ne soit pas présent à cette soirée, j'étais certaine qu'il aurait réussi à détourner les choses. Mon père indiqua un fauteuil au japonais et je le regardais s'installer, je voyais le regard de ma mère qui n'arrivait pas à comprendre pourquoi je l'avais choisis et surtout comment on pouvait être ensemble. Je savais juste en la voyant qu'elle n'approuvait pas, mais quel importance ? Elle n'avait plus aucun pouvoir sur moi à présent et je pouvais faire ce que je voulais. Mon père demanda alors subitement comment on avait pu se rencontrer, est-ce qu'il pensait comme ma mère ? "Et bien... Un soir, alors que j'étais dehors, je me baladais quand deux hommes violents sont venus me tabasser pour voler mes affaires. Et votre fille est arrivée pour m'aider, c'est une véritable guerrière. J'étais par terre et je ne pouvais plus bouger. Elle m'a conduit à l'hôpital et je ne l'ai plus oublié depuis... C'est beau non ?"

Mon père hocha simplement la tête avant de se lever pour se servir un nouveau verre de cognac. Je regardais Eiji en haussant les épaules. J'hésitais un instant avant de finalement m'asseoir sur l'accoudoir du fauteuil, j'attrapais sa main alors qu'il venait donner un cadeau à Keïla tout heureuse de voir que son héro de manga avait pensé à elle. "J'ai un truc pour toi aussi !" Je la voyais monter à l'étage avant de redescendre et tendre un petit feuillet, "J'ai créer un manga où tu es le héro...J'espère que ça va te plaire...Et surtout j'espère que j'ai réussi à respecter les bases du manga." Elle lui lança un sourire avant de retourner s'asseoir. "Vous êtes donc japonais ?" Lança finalement ma mère, je hochais la tête. "Oui !" Elle me fixa un moment avant de reporter son attention sur lui, "Comment êtes-vous arrivé à Brisbane ?" Je secouais la tête, je savais qu'elle était entrain de le sonder, "Maman ! Ce n'est pas important ! Qu'est-ce que ça peut faire ?!" Ma mère fronça les sourcils, "J'ai entendu dire par Oscar, qu'il n'avait pas un sous...Et qu'il vivait à la rue..." Je me levais, "Qu'est-ce que tu racontes ! Tu crois vraiment que cet idiot dis la vérité ! Et puis c'est quoi l'importance de ce genre de détail !" Je fronçais les sourcils, "Ca suffit ! On est pas venu pour que vous soyez insultant avec Eiji !"

Ma mère se leva sans dire un mot avant de partir dans la cuisine, je reprenais place sur l'accoudoir tandis que mes doigts glissaient dans ceux du jeune homme. "Vous l'aimez vraiment Eiji ?" Je regardais mon père qui lui tendait un verre de cognac. "Ma femme peut être un peu rude par moment...Mais c'est ce que font les mères avec leurs enfants...N'est-ce pas ?!" Je sentais bien que mon père était aussi perplexe que ma mère et je commençais à regretter de ne pas être resté à Brisbane rien que tout les trois. Je comprenais à présent ce que Isy pouvait ressentir en allant chez nos parents. Toujours faire bonne figure et ne jamais montrer qui nous étions devenu.
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Message(#)Surprise et famille. Pheiji EmptyLun 12 Déc - 22:54

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EXORDIUM.
PHEIJI - Je suis ici, un peu comme un invité finalement et mon sourire est présent, mais ce dernier s'estompe tout de même un peu quand j'entends ton père me poser la première question, c'était certain que j'allais y répondre, mais je ne pensais pas aussitôt. D'ailleurs, une fois que j'ai terminé ma petite histoire ; ce dernier ne dit même pas un mot non. C'est perturbant. Fort heureusement, je porte mon intention sur Keïla pour lui offrir son cadeau de Noël avant l'heure, elle pouvait le déballer maintenant si elle le voulait. Elle un quelque chose pour moi aussi, trop mignonne. Mon petit sourire renaît d'un coup quand je découvre le dessin de la petite ; à croire que je l'inspire. J'aime l'idée du héros, je veux en être un et je ferais tout pour.

- Merci ! C'est très bien pour un début ! C'est de famille le talent ? Dis-je en souriant de bon cœur. Et surtout, pour son âge, c'est époustouflant ; vraiment talentueuse.

Mon humeur joyeuse est soudainement interrompue par les paroles de ta mère, heureusement que tu es toute proche à côté de moi et ta main me rassure, m'apaise. Tu peux même Contrôler les battements paniqués de mon cœur, c'est dur comme situation et je me sens tellement jugé. Pas dans le bon sens. Tes parents ne savent bien évidemment rien à propos de moi et c'était important pour eux d'en savoir davantage, mais bon dieu, c'est tellement soudain, oppressant ; intime. Je viens d'arriver. Oui, je suis japonais et je n'ai pas eu le temps de répondre que tu interviens pour m'aider ; encore. Tu te lèves, tes paroles s'envolent et je sens que tu commences à perdre patience. Ils veulent savoir comment je suis arrivé à Brisbane, ok ; l'ambiance va changer. Je te coupe la parole mon cœur, pardon. Par contre, je rattrape ta main, car j'ai besoin de ton contact pour ce que je vais avouer.

- C'était le rêve de mes parents de venir vivre ici. Ils sont morts lors d'un accident de bus quand nous sommes arrivés. J'y étais aussi, sauf que j'ai été le survivant ; j'ai failli y rester. Dis-je tranquillement, je ne pleure pas, je ne tremble pas non plus. Je reste fort pour toi. Pour ce 24 décembre.

- Alors oui, c'est compliqué pour moi de trouver un emploi stable mais je ne vis pas dans la rue. Un peu, de temps en temps; quand je ne suis pas chez toi mon étoile. Quel connard d'Oscar, ils sont encore en contact avec lui ? C'est pas le top. Heureusement, tu oses intervenir une nouvelle fois pour cesser toutes ses questions; ta mère se barre dans la cuisine. Mon regard est vide maintenant et je suis stressé, elle ne m'aime pas; c'est sur.

Au tour de ton papa, est-ce que je t'aime ?

- Evidemment que je l'aime. Je n'ai jamais été aussi certain. Je rajoute. En resserrant une nouvelle fois la main de ma beauté.

- Je comprends totalement l'inquiétude de votre femme, mais soyez rassuré, je prends bien soin de Phoebe et je ne lui ferais aucun mal. C'est sûr qu'un mec maigrichon, handicapé ; c'est rassurant ? Du tout. J'ai l'air tellement con lors de ces aveux. j'ose rétorquer un peu, mais juste avant ; je suis quand même tracassé par la réaction de ta mère.

- Est-ce que ta mère à besoin d'aide en cuisine ? Ne la laisse pas toute seule...va avec elle si tu veux...ça va aller... Dis-je en murmurant presque, tu peux apercevoir mon inquiétude et ma respiration n'est plus la même. Comme ci ta mère allait préparer quelque chose pour m'empoisonner, à peine parano je suis. Pour le moment, j'arrivais à gérer mes émotions, mais le craquage ne serait tardé plus tard dans la soirée. Alors que tu quittes la pièce, je plonge mon regard sur ton père. Keïla, ton frère et ta sœur écoute aussi. Ils sont tous muets, peut-être dérangé par l'événement, c'est pas surprenant.

- Et vous ? Est-ce que vous l'aimez ? Dis-je en buvant délicieusement ce verre de cognac. C'est de l'alcool de riche. Oui, c'est une véritable question. J'ai le droit de la poser aussi. Ou est-ce une question provocatrice ? Je ne sais pas, j'ai peur d'un coup. Mes viscères s'emmêlent dans mon corps. Pourquoi avoir peur ? La soirée ne fait que commencer, je ne suis pas au bout de mes surprises et personne non plus d'ailleurs.



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Message(#)Surprise et famille. Pheiji EmptyMer 14 Déc - 14:24

@Eiji Takuma - J'avais imaginé cette rencontre, mais j'avais été bien loin de me douter de la tournure qu'elle allait prendre. Mes parents étaient protecteur, je le savais ce n'était pas nouveau. Mais, je n'avais pas pensé qu'ils puissent être aussi impoli avec quelqu'un. C'était désagréable, j'avais le sentiment qu'ils sous entendaient tout un tas de choses et ça ne me plaisait pas. La parole de ma mère me fit hérisser le poil en quoi cela avait de l'importance qu'il soit japonais ou tout autre nationalité ? C'était pas le plus important ! J'avais l'impression d'ouvrir les yeux sur des gens que je ne connaissais pas vraiment et le pire dans tout ça, c'est que mon petit frère et ma petite soeur ne semblaient pas être en opposition avec tout ça. "C'était le rêve de mes parents de venir vivre ici. Ils sont morts lors d'un accident de bus quand nous sommes arrivés. J'y étais aussi, sauf que j'ai été le survivant ; j'ai failli y rester. Alors oui, c'est compliqué pour moi de trouver un emploi stable mais je ne vis pas dans la rue." Je secouais la tête regardant ma mère qui n'avait pas hésité à mentionner mon ex mari. Pourquoi avaient-ils toujours un contact avec lui ? Pourquoi ils l'écoutaient ? J'avais le sentiment d'être une petite fille et je regrettais que Isy ne soit pas présent pour me soutenir et m'aider.

Je regardais ma mère se lever pour partir à la cuisine tandis que mon père posé une nouvelle question à Eiji, une question qui à mon sens n'avait pas lieu d'être posé. "Evidemment que je l'aime. Je comprends totalement l'inquiétude de votre femme, mais soyez rassuré, je prends bien soin de Phoebe et je ne lui ferais aucun mal." Je souriais légèrement en resserrant mes doigts, nous n'étions plus adolescent et nous n'avions pas à passer par ce genre de questions, surtout pas Eiji. "Est-ce que ta mère à besoin d'aide en cuisine ? Ne la laisse pas toute seule...va avec elle si tu veux...ça va aller..." Je fronçais les sourcils avant de hocher la tête, je serrais un instant sa main avant de quitter la pièce, il était temps que je règle mes problèmes. J'appuyais mon corps dans l'encadrement de la porte tandis qu'elle était concentré sur son repas. "C'est quoi ça ?" Lançais-je alors qu'elle se tournait vers moi, "Ca quoi Phoebe ?" Je gardais les sourcils fronçais et mes bras venaient s'enrouler contre ma poitrine, "Ce jeu ! Vous êtes flic maintenant ?" J'avais un goût amer pour ce qu'ils étaient entrain de faire subir à Eiji. "On s'inquiète...C'est normal !" J'entrais dans la cuisine pour me rapprocher d'elle, "C'est pas de l'inquiétude ! C'est un jeu malsain ! Vous prenez plaisir à vous immiscer dans ma vie et dans mes choix et depuis quand vous avez garder contact avec Oscar ?!"

Je voyais ma mère qui se mettait à sourire, "Tu as une très grande imagination Phoebe...Et concernant Oscar, ils nous as convié à son remariage..." Elle posait la cuillère en bois sur le plan de travail, "Honnêtement Phoebe, tu crois sincèrement que c'est sain pour Keïla de vivre ainsi ? Tu récupère un SDF handicapé chez toi et tu t'amourache de lui ! Il ne cherche que ton argent c'est évident !" J'ouvrais la bouche face à cet aveux soudain de ma mère, "De quoi ? Qu'est-ce que tu es entrain d'imaginer ! Et j'ai autant le droit que son père de refaire ma vie ! Sous quel prétexte je devrais rester seule pour ma fille !" Le ton était monté et cette fois, j'étais persuadé qu'on pouvait entendre la discussion dans le salon. "Tu n'as pas le droit de me dire des choses comme ça, tu devrais être heureuse que je puisse vivre à nouveau sans être malheureuse !" Ma mère attrapa la cuillère en bois avant de la tendre face à moi, "Et bien vas-y ma fille, fait ta vie avec ce type ! Mais tu ne viendras pas pleurer quand il t'aura volé ton argent !" Je secouais la tête, "Pense ce que tu veux !"

Je faisais demi-tour pour retourner dans le salon consciente que toute la conversation avait dû être entendu. Je regardais Keïla qui ne semblait pas comprendre puis je posais mon regard sur Eiji, "On s'en va !" Je remarquais l'adolescente qui se levait soudainement, "Non ! Maman !" Je secouais la tête tandis que ma mère arrivait derrière moi, "Laisse Keïla faire ce qu'elle veut ! Si elle souhaite rester avec nous libre à elle..." Je tentais de tenir bon et de ne pas craquer, mais j'avais qu'une envie, fondre en larmes face à ce que mes parents pensés.
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Message(#)Surprise et famille. Pheiji EmptyMer 14 Déc - 17:01

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EXORDIUM.



song, ♥


PHEIJI - Ça va être compliqué, vraiment. Les premières minutent défilent et je me sens déjà pas bien et surtout pas à mon aise, je me sens de trop; clairement. C'est vrai que je suis tellement différent d'eux, de toi. Je n'ai pas énormément d'argent, mais tu sais à quel point je fais des efforts pour devenir meilleur de jour en jour. Tu es la seule personne ici à me connaître par cœur alors ne laisse pas tes parents t'influencer. Nous sommes plus des gamins, tu n'es plus une petite enfant. Certes, l'avis des parents, c'est important pour faire des bons choix et avancer dans la vie, mais c'est inhumain de me juger ainsi.

L'ambiance est soudainement glaciale dans la pièce, ta mère me balance des regards noirs depuis un moment puis elle vient de quitter la salle pour se rendre dans la cuisine. Quant à ton père lui, il ne cesse de me poser des questions à ton sujet ou si je t'aimais. Franchement, il me prend pour qui ? Je ne suis pourtant pas une mauvaise personne, je pense être bien mieux qu'Oscar d'ailleurs et pour une fois, j'en suis très certain. Mais j'angoisse, je n'aime pas cette situation du tout surtout que je voulais passer un bon moment ici, avec toi ; Keïla et faire agréablement connaissance avec ta famille. Et bien, c'est loupé pour le moment. Ni pour toi, ni pour moi et ni pour personne en fait, j'ai l'impression. Je n'écoute à peine les réponses de ton père que je t'entends hausser la voix plus loin, ta mère aussi ; j'entends presque tout.

Mais tu ne viendras pas pleurer quand il t'aura volé ton argent ! Cette phrase m'arrache le cœur et j'ai tellement honte d'être présent ici, tout le monde entend ceci, je stress et je suis surtout triste d'entendre ce genre de paroles. Elle est littéralement en train de te monter contre moi. Pitié mon cœur, ne l'écoute pas. Pourquoi penser de telles choses ? Totalement fausses en plus. Alors, oui, j'ai un handicap, mais pour rien au monde, j'allais te voler des billets. J'ai été comme ça une seule fois et je n'ai plus jamais recommencé de ma vie, je préfère mourir de faim et de froid que de voler les gens. Ta mère ne sait vraiment pas de quoi elle parle et tu parviens à me défendre du mieux que tu peux, mon cœur saigne quand je t'entends crier. Jamais je ne t'ai aperçu comme ça. C'est moche un 24 décembre et c'est la faute de tes parents, de ta mère surtout. Elle ne m'aime pas et pour le coup, c'est réciproque.  

J'allais me lever du fauteuil pour venir à ton secours et t'épauler quand je te vois revenir comme une fusée. Tu as les larmes aux yeux, tu es colère et soucieuse. Tu veux partir, c'est une mauvaise idée. Je me lève sans prendre mes béquilles et je fais exprès de ne pas les prendre dans le but de prouver que je pouvais marcher sans je boite à mort oui et j'ai mal; mais ce n'est pas grave. En fait, je n'ai rien à prouver dans le fond ? Si ? Qu'importe, je viens vers toi.

- On va prendre l'air juste cinq minutes, ok ? . Dis-je aux parents en les ignorants, ils sont vraiment répugnants. Super comme premier accueil, mais pour l'instant, je m'en fiche d'eux. Tu m'inquiètes et je vois que tu te sens très mal. Viens avec moi.

Je vole ta main dans le but de nous diriger vers la porte pour sortir de la maison. J'ai chopé ma veste au passage. Je claque la porte derrière nous avant de venir te couvrir avec celle-ci. Je plonge mon regard au tien, je suis nerveux.  

- Tiens, gardes là. Je ne veux pas que tu attrapes froid. J'enchaîne.

- Qu'est-ce que tu as ? Pourquoi tu veux déjà partir ? Dis-je en venant te caresser le visage, tu vas craquer ; je le ressens. Évidement que j'avais tout entendu, mais je veux savoir ta version des choses et surtout, je suis très inquiet d'entendre ta réponse.

- Phoebe, tu sais ce que je vaux. Tu es la seule à me connaître par cœur, tu le sais... Pitié, j'espère que ta mère ne t'as pas entraîné dans ses conneries qu'elle a cité auparavant.

- On ne va pas partir, c'est trop facile. Ok ? C'était une mauvaise idée et surtout, cela voudrait dire qu'ils ont eu cette victoire.

- Et en plus... ton cadeau est encore à l'intérieur. Dis-je en venant te sourire un peu histoire de te réconforter. Oui, ton petit cochon d'Inde que je viens de t'offrir avec mon argent.

- Ça va aller ? Je viens déposer un baiser sur tes lèvres précieuses, c'est horrible pour moi de te voir dans cet état. En fait, pour le moment, je n'en avais strictement rien à faire des jugements de la famille, tout ce qui me rend malade à cet instant, c'est toi. C'est toi la plus importante. Juste une dernière chose, tu sais ce que ce mot signifie à présent.

- Aishiteru...

La soirée va être longue est compliquée. C'est ainsi qu'est la vie. Phoebe, tu es bien plus forte que ça, tu le sais; je le sais.




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Message(#)Surprise et famille. Pheiji EmptyMer 14 Déc - 17:58

@Eiji Takuma - Ma mère avait dis les choses, elle n'avait pas confiance en Eiji et le prenait même pour un voleur. Comment pouvait-elle penser ce genre de chose ? S'en était trop pour moi et je revenais dans le salon, agacée, triste, perdue, j'avais le sentiment de n'avoir aucun soutient par ma propre famille. Mon père me regardait simplement comme ma petite soeur et mon petit frère, je n'avais donc aucun allié ce soir ? Isy aurait été de ceux-ci, mais il n'était pas là et je comprenais à présent pourquoi il évitait autant d'aller chez nos parents. Je voulais partir, je voulais rentrer à Brisbane dans ma maison, m'enfermer pour ne plus jamais les revoir pour le moment. "On va prendre l'air juste cinq minutes, ok ?" Je posais mon regard sur Eiji qui m'entraînait à l'extérieurs de la maison, la nuit était déjà bien installée et la fraîcheur se faisait sentir, bien qu'en Australie on ne soit jamais frigorifié.

"Qu'est-ce que tu as ? Pourquoi tu veux déjà partir ?" Je secoues la tête, "Ma mère pense que tu n'es qu'un voleur...C'est tellement ridicule ! Elle m'accuse de refaire ma vie et en plus d'offrir un homme qui n'est pas fréquentable pour Keïla...Je la déteste !" Je suis en colère tellement et je suis aussi déçu de toute cette situation, pourquoi ne peuvent-ils pas accepter Eiji tout simplement. "Phoebe, tu sais ce que je vaux. Tu es la seule à me connaître par cœur, tu le sais..." Je hoche la tête en glissant ma main sur sa joue, "Bien sur ! Mais j'aimerais qu'ils puissent te voir comme moi je te vois..." Je venais me blottir contre lui. "On ne va pas partir, c'est trop facile. Ok ?" Je hochais un peu la tête bien que l'idée de pouvoir m'évader était tellement tentante. "Et en plus... ton cadeau est encore à l'intérieur." Je souriais légèrement, "Je ne compte pas l'oublier !" Il était hors de question que je laisse Sushis dans cette maison, il allait faire partie du voyage de retour s'était certains.

"Ça va aller ?" Je réponds doucement à son baiser, "Aishiteru..." J'allais lui répondre mais la porte de la maison s'ouvrait, je me retournais légèrement pour voir Keïla. "C'est l'heure de la messe..." Je soupirais une nouvelle fois, on n'allait pas pouvoir échapper au tradition de la famille. Le reste de la famille suivi et j'enlaçais mes doigts dans ceux d'Eiji, ma mère me fixa un instant, "Vous comptez venir ou vous partez ?" Demanda t-elle. Je lui lançais un sourire un peu faux, "On va rester !" Elle glissa son bras sous celui de mon père et pris la direction de l'église, je restais en arrière tandis que Keïla s'amusait avec mon petit frère et ma petite soeur. "C'est un rituel...On va à l'église le soir de noël...Désolé de t'infliger ça...Mais la religion a une place importante dans la famille." Je souriais légèrement, "Tu vois on aurait pu s'évader pour faire autre chose..." Je murmurais en lui lançant un regard coquin plein de sous entendu.

La place de l'église était magnifiquement illuminé et beaucoup de villageois avaient fais le déplacement comme tout les ans. Mon corps se crispa quand j'aperçu Oscar avec sa nouvelle femme, il venait vers nous et salua mes parents ainsi que Keïla. Il me jeta un rapide coup d'oeil ainsi qu'à Eiji avant de faire demi tour pour entrer dans la bâtisse. Habituellement j'aimais les églises, j'aimais profiter des cérémonies et des messes, mais ce soir pour moi s'était un véritable enfer. J'avais le sentiment de ne pas être à ma place. J'avançais dans l'allée suivant toujours la famille avant de bifurquer en entraînant le japonais à l'arrière. J'avais besoin d'air juste pour cette fois, ensuite on passerait la soirée avec ma famille.
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Message(#)Surprise et famille. Pheiji EmptyMer 14 Déc - 18:50

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EXORDIUM.
PHEIJI - Tu m'expliques donc les paroles de ta mère, évidemment que je les connaissais déjà et je voulais avoir la certitude que tu ne pensais pas comme elle, ni ton père. Mes prunelles se noient une nouvelle fois dans tes yeux. Tu me dis qu'il faudrait qu'ils aient tous les deux la même impression que tu as un mon sujet.

- Ce n'est pas important, t'en fais pas. De toute façon, tout ce qui compte pour moi à cet instant, c'est de savoir ce que tu penses de moi. Et... Je ne veux pas qu'elle t'influence alors qu'elle ne connaît pas ma vie. Notre vie. Donc oui, c'est hyper important, mais surtout pour toi par rapport à moi. Tant que tu me vois comme d'habitude, ça allait. Le reste, ce n'est pas un souci. Je veux te rassurer un maximum et je suis heureux d'être présent et à tes côtés ce soir. Évidemment que tu n'allais pas oublier Sushi, c'est ton cadeau et cela me ferait de la peine qu'il reste ici ; vraiment. Alors que nos lippes dansent ensemble, la porte s'ouvre soudainement ; qui voila ? La poupette d'amour et ma femme préféré, ironie bonsoir. Hors de question de partir.


- On va rester ! Dis-je en même temps que toi. Puis

- Avec grand plaisir de me joindre à vous ! Dis-je certain. Et c'est la vérité. Tu ne m'infliges rien mon étoile, pas d'inquiétude pour ça.

- On aura d'autres occasions. Je te chuchote cette promesse doucement en riant silencieusement. Coquine.

Il faut déjà partir, c'est décidé et la mère n'a pas l'air de me laisser rentrer dans la demeure. Bien réticente est-elle pour l'instant, il faudra bien que je rentre pour le repas non ? Je prends le temps de fermer ma veste qu'est sur toi pour que tu ne chopes pas une connerie même s'il fait plutôt bon dehors. Je reste en sweat et je capture ta main, mais avant de partir, j'ose demander un petit service à ma Keïla.

- Keïla, tu veux bien aller prendre mes béquilles à côté du fauteuil ? Dis-je en souriant de bon cœur, petit clin d'œil aussi. Une mission pour ton héros de manga.

******
Nous sommes ici et c'est vrai que cet endroit est juste sublime aussi. Par contre, lui là-bas un peu moins. Ton ex est présent, enfoiré. Par respect pour toi, tes parents, et même pour tout le monde, je reste calme et il était hors de question de créer un bain de sang. Je ne réponds cependant pas à sa salutation, qu'il aille se faire mettre. Tu as l'air toute gênée aussi, tu n'aimes pas ce genre d'endroit ? C'est tellement réconfortant et les chansons sont plutôt apaisantes à écouter. Les prières aussi, mais je n'ai pas l'habitude de pratiquer. J'aime ici, es-tu surprise ? Tu restes à l'arrière, tant mieux; je n'aime pas être remarqué.

- On va devoir chanter ? Dis-je en te faisant les gros yeux, ma face de clown. Je veux essayer de te faire sourire un petit peu. Je me colle contre toi, adossé au mur. Je ne te lâche pas d'une semelle.

- Tu te mets derrière, car tu ne sais pas chanter, c'est ça ? Dis-je en te tapotant ton petit nez.

- Ou c'est pour faire autre chose... Mon étoile ? Je te demande cela en riant, taquin. J'aime jouer avec toi, ce petit jeu dangereux. Je veux retrouver ton rire que j'aime tant.



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Message(#)Surprise et famille. Pheiji EmptyMer 14 Déc - 21:25

@Eiji Takuma - Après notre moment tout les deux, ma fille arriva à l'extérieurs pour me signaler que nous allions à la messe. Ma mère suivi peu de temps derrière s'inquiétant de notre présence ou non pour la veille de noël. "Avec grand plaisir de me joindre à vous !" J'espérais que mes parents soient un peu plus calme après la messe et puisse voir en Eiji quelqu'un de bien. Le fait qu'il se rend à l'église prouvait déjà beaucoup de chose pour eux et je ne doutais pas que ma mère était entrain d'apprécier l'attention. Je m'excusais, cependant, d'infliger ça à Eiji ne sachant pas vraiment comment il percevait la foi anglicane. Je l'entendais demander à Keïla de filer dans la maison pour récupérer les béquilles et nous filions en direction de l'église qui était toute illuminée pour l'occasion.

J'apercevais Oscar et je n'aimais pas le signe qu'il nous envoya, je préférais ne pas répondre pour que les choses soient clair. Notre dernière rencontre n'avait pas été des plus agréable. Je pénétrais dans la bâtisse laissant ma famille prendre la place habituelle, quant à moi, j'entraînais Eiji à l'arrière. "On va devoir chanter ? Tu te mets derrière, car tu ne sais pas chanter, c'est ça ?" Je souris en riant légèrement, "Au moins si le toit tombe on sera plus proche de la sortie..." Je ris une nouvelle fois avant de me taire en voyant le prêtre entrer dans le cœur de l'église. "Ou c'est pour faire autre chose... Mon étoile ?" Je jetais un rapide coup d'œil à Eiji avant de me pencher vers lui, "Ne me tente pas trop..." Je glissais ma main sur sa cuisse faisant mine d'attraper un des feuillets de prières à ses côtés, ma main descendait un peu plus entre ses jambes. Je me redressais soudainement alors qu'une petite dame se retournait vers nous, je lui tendais un feuillet, "Vous en avez un ?" Je souriais essayant de cacher le rose à mes joues.

La dame attrapa la feuille en me remerciant avant que je souris à Eiji. Le prêtre demanda à l'assemblé et je posais ma main sur son épaule, "Reste assis..." Je lui montrais ses béquilles, nous étions ainsi dissimulé par la foule de l'église et mes parents ne pouvaient plus avoir un œil sur nous. J'entendais alors le prêtre m'appeler, comme tout les ans je chantais pour l'église. Je me levais avant de prendre la direction de l'autel et je m'installais derrière le micro regardant mes parents toujours aussi fière que j'honore la tradition. Le son commença à sortir des enceintes de l'église et j'entamais la chanson que j'avais l'habitude de chanter. Petit à petit le violoncelle et le piano s'ajouté à mes paroles ainsi que les chœurs de la choral. Une fois la musique terminé, je retournais à ma place.
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Message(#)Surprise et famille. Pheiji EmptyMer 14 Déc - 22:58

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EXORDIUM.
PHEIJI - Je te retrouve enfin joyeuse, j'ai l'impression d'être important à tes yeux et cela m'émeut tant ; je veux être dans ta tête. Tu m'as promis cette chance, laisse moi donc t'aider à aller mieux, je ne suis pas aussi surprenant que toi, mais je vais faire de mon mieux pour que ta vie soit toute belle. Tu me fais rire quand je t'écoute raconter des bêtises par rapport à l'endroit. Mon cœur s'emballe comme une météorite dans l'espace quand tes doigts viennent pianoter mon entre-jambe. Tu sais que je suis fragile et je risque de devenir dingue en très peu de temps. Je ne suis pas en manque non, mais c'est tellement excitant, il y a pas de doute. Et quand tu me touches, j'adore ça. Merci de faire voler mes papillons dans mon ventre un petit moment.

Puis tu viens donner un petit livre de deux, trois pages à la dame juste-là. Je ne vais pas te tenter davantage, nous avons toute la vie pour vivre ce genre de chose merveilleuse et chaque jour est un cadeau, tu es un cadeau ; une véritable étoile tombée du ciel. Je vois tout le monde se lever écoutant le prêtre, j'allais faire de même, mais ta main s'agrippe à mon épaule pour m'en empêcher. Tu penses à ma santé, tu es tellement un amour, j'ai tellement de chance. Il y a du monde ici, mais je ne vois que toi et c'est davantage le cas quand tu me quittes pour rejoindre l'estrade pour faire un concert. Attends, sérieusement ? En plus d'être créatrice de robe, sauveuse, belle, généreuse et j'en passe ; tu es chanteuse ? Tu en as encore combien des talents cachés ? Le temps s'arrête subitement quand j'entends ta voix raisonner dans la bâtisse. Celle-ci raisonne même à l'intérieur de mon corps, c'est si beau, si juste. Tu es parfaite. Je reste sans voix et c'était une bonne idée finalement de rester assis, car je pense que j'aurais été sérieusement troublé pour rester debout. Après ce spectacle, tu reviens me rejoindre, tout le monde est surpris et émerveillé; c'est évident. T'es là, toute ravissante en face de moi. Je viens prendre ta main, sens-tu les battements de mon cœur battre sous ma peau Phoebe ? J'ai été touché.

- Tu comptes m'etonner comme ça encore longtemps ? Je te murmure ceci à ton oreille venant t'embrasser par la suite, rien à faire des regards des autres. Au contraire, je suis si fier de toi, si fier de te connaître. Tu es si forte. Mon regard cesse de te bouffer avec passion. J'ai les larmes aux yeux, le remarques-tu ? Celles-ci glissent sur mes joues. Non, je ne suis pas malheureux. Juste épatée et mes émotions s'emmêlent dans ma tête. Tu veux me rendre fou ? C'est ça. Tu es trop puissante.

Je me lève, c'est la moindre des choses puis je viens te faire face une nouvelle fois, je ferais tout pour toi et ce n'est pas des conneries. La chorale continue un moment et je n'hésites pas à venir enrouler mes bras autour de toi pour valser doucement.

- Et moi... comment pourrais-je te surprendre autant beauté? Dis moi. Ma voix vibre, je suis si attaché. Te surprendre, je n'en ai pas la moindre idée actuellement et pourtant, je suis certain que je peux également t'épater. Laisse-moi juste le temps.

 



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Message(#)Surprise et famille. Pheiji EmptyJeu 15 Déc - 20:11

@Eiji Takuma - Le prêtre m'avait appelé comme tout les ans à cette période, je montais sur l'autel et je commençais à pousser la chansonnette. J'avais demandé à Eiji de rester confortablement installé, il était surpris s'était évident. Je n'avais pas pris le temps de lui dire que je savais chanter, bien que pour moi ce n'était nullement un don. Je n'avais pas le sentiment d'être au dessus de qui que ce soit. Une fois mon moment terminé, je retournais m'asseoir à côté de lui sur le banc. Il s'était mis debout et je fronçais légèrement les sourcils, il devait penser à sa jambe. Seulement, je n'avais pas le temps d'y penser qu'il attrapa ma main, "Tu comptes m'étonner comme ça encore longtemps ?" Je hochais la tête en souriant, "Tu n'es même pas à la moitié..." Je riais un peu alors que la chorale continuait de chanter tandis que je sentais les bras d'Eiji s'enrouler autour de moi. "Et moi... comment pourrais-je te surprendre autant beauté? Dis moi." Je venais l'enlacer pendant que nous étions encore protégés par les autres personnes debout dans l'église, "Tu n'as pas besoin de me surprendre...tout est parfait !" Je souriais avant de poser mes lèvres contre les siennes.

J'entendais alors le prêtre demander à ce qu'on s'assoit et je reprenais place sur le banc en enlaçant mes doigts dans ceux d'Eiji. "J'aime les messes de noël, mais ce soir j'ai particulièrement envie d'être seule avec toi...j'aimerais tellement pouvoir te prendre dans mes bras, m'allonger dans l'herbe pour regarder les étoiles et simplement profiter de l'instant avec toi." Je lui avais murmuré tout ça comme une envie d'évasion. J'avais envie d'échapper à cette prison qui, pourtant m'apportée du réconfort habituellement. Je venais poser ma tête sur son épaule jouant avec ses doigts, "Qu'est-ce qu'elle va nous apporter cette nouvelle année à ton avis ? Tu as des envies ? Des désirs ?" Je questionnais tandis que je ne voyais plus ma vie sans lui à mes côtés, j'étais maintenant intimement convaincu qu'il était mon âme soeur. Je me redressais pour venir enlacer son cou oubliant qu'on était dans une église, de toute façon tout le monde avait le dos tourné à nous. "Promet moi de ne jamais partir ! Même quand ça n'ira pas dans notre couple, promet moi de rester et qu'on communiquera. Je ne veux pas te perdre mon Amour !" Je lui souriais avant de glisser rapidement mes lèvres contre les siennes de façon plutôt discrète pour éviter des regards indiscret sur nous.
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Message(#)Surprise et famille. Pheiji EmptyJeu 15 Déc - 21:13

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PHEIJI - C'est quoi ton but au final Phoebe ? C'est quoi ton idée ? Tu veux me faire envolé sur la planète mars encore une fois avec ce talent de fou. Ta voix est juste fantastique et celle-ci parcourait tous les coins de la bâtisse. Tout le monde avec la chance de profiter de cet événement, sauf Oscar. Lui n'avait pas le droit d'écouter ta chanson. Quoiqu'il en soit, ta voix me fait frissonner et je me régale ; c'est passé tellement vite. J'ai été agréablement submergé presque ébloui. Tu vas me rendre fou, je suis déjà fou amoureux de toi. T'es là, tu viens me rejoindre et tu peux apercevoir mes yeux humides tellement que j'ai été heureux de t'entendre. Je suis toujours content de t'entendre de toute façon, ma vie est tellement différente d'avant. Cette perle d'amour, tu es ma perle ; tu veux me maintenir en vie et je resterais vivant pour toi. Je ne suis même pas à la moitié, mon cœur s'emporte comme un fou quand je t'écoute me dire cette révélation. Je ne suis donc pas au bout de mes surprises.

- Une raison de plus pour que je reste dans ce monde alors... . Dis-je sincèrement. Oui, tu es ma raison de vivre ; surtout en ce moment. C'est difficile depuis le décès de mes parents et j'ai eu pas mal d'idées noires cette dernière période, j'ai réussi à t'en parler et à me confier à toi concernant ce malheur. Je voulais mourir pour rejoindre mes proches au ciel. Car je n'avais plus rien, plus de motivation ; rien. Et finalement. Tu es en train de me soigner tout doucement, je t'ai toi ; je t'aime tellement et ma vie tourne qu'autour de toi et tu le sais. Alors, oui, je ne suis pas terrible pour te surprendre comme tu fais, mais je pourrais me jeter sous un camion pour toi et c'est la vérité. Tout est parfait, c'est ce que tu me dis ; alors c'est ok. Je n'ai pas de raisons de m'inquiéter.  

Tu aimerais autre chose, quelque chose de doux ; la douceur est en nous. Tu veux me prendre dans tes bras, m'embrasser, t'allonger par terre et regarder neptune, mars et d'autres étoiles.

- Tu sais quoi, c'est ce que j'adore faire aussi. Le retour du chuchotement. C'est bien ici oui, mais être qu'avec toi et prendre un moment tous les deux, c'est toujours meilleur aussi. Je resserre un peu tes petites mains. Tu as des projets, c'est magnifique d'envisager des choses. Je veux te répondre.

- J'espère beaucoup de belles choses pour nous. Tu sais... Je crois au destin et aux signes que la vie nous envoie. Et toi, tu y crois aussi ? C'est magique de ne pas savoir la vie de demain, tu ne penses pas ? Pour être honnête. Depuis que tu es entré dans mon esprit, les demains sont toujours un cadeau. Mes paroles sont atypiques, tu me connais maintenant et mes façons de m'exprimer ne sont pas comme tout le monde et tant mieux. Je veux que ce soit que toi qui me comprennes. Me comprends-tu mon étoile ? Ma respiration s'accélère quand je sens ton contact auprès de moi. Je vrille sur mars. Je veux vriller dans la galaxie avec toi.

- Mais... tu sais ce que je veux vraiment ? Dis-je en profitant de toi délicatement, mes mains se baladent autour de ta fine taille adorée.

- Je voudrais que tu sois mon équilibre pour toute la vie et je veux te rendre heureuse. Tu vois, même cette phrase ; seulement, toi peux la cerner. Tu lis en moi tel un livre ouvert. A cœur ouvert. Avant que mes lèvres ne s'accouplent généreusement aux tiennes, j'ajoute.

- C'est juré, sinon; je vais en enfer. Ça y est, j'en suis certain maintenant ; sois la femme de ma vie. Tu ne peux plus faire demi-tour. Je papillonne lorsque tu m'appelles "mon amour". Je déraille.

- Et toi, mon étoile... Tu veux bien continuer à me faire vivre ? C'est ma façon à moi de te demander la même chose, promet moi de ne pas me laisser. Jamais. Je t'embrasse et je capture ton corps pour venir le coller au mien. Mes petites mèches de cheveux viennent te chatouiller ta face d'ange. En attendant ta réponse. C'est toi la reine et tu as les cartes en main. Vivons ensemble encore longtemps jusqu'à la mort de la vie.

*****

- Tu veux aller dehors voir les étoiles ? Ou c'est un péché de partir d'ici en attendant que la messe se termine. Tu choisis ce que tu veux mon cœur. Tant que je suis avec toi. Sans toi, c'est foutu pour moi.

 



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Message(#)Surprise et famille. Pheiji EmptyVen 16 Déc - 21:34

@Eiji Takuma - "Une raison de plus pour que je reste dans ce monde alors..." Je souris, je comptais bien le garder au maximum sur notre terre pour continuer de vivre à ses côtés. Il avait réussi à voler mon coeur et mon amour, que je croyais mort avec mon divorce était revenu petit à petit. J'avais envie de continuer dans une bulle de douceur, de bien être et d'amour inconditionnel. Je m'en fichais que mes parents n'apprécient pas l'idée que je sois avec un homme plus jeune, un homme qui débarquait de nul part, pour moi, s'était le destin qui l'avait mis sur ma route et à présent, nous allions faire le chemin ensemble. Il était ma renaissance, il était cet homme qui avait réussi à faire refleurir cette fleur fanée. J'avais envie qu'on se retrouve tout les deux, qu'on profite l'un de l'autre, surtout après ce qui s'était passé chez mes parents. Je n'avais plus envie de faire les bonnes convenance sous prétexte de faire plaisir à ma mère. J'avais envie de m'évader de quitter l'église, de m'allonger dans l'herbe et d'admirer les étoiles juste tout les deux. "Tu sais quoi, c'est ce que j'adore faire aussi." Egoïstement je voulais faire mon 24 décembre seule avec Eiji. C'était certainement mal, moi qui était mère d'une adolescente, mais pour la première fois depuis des mois je me sentais à nouveau vivante et à nouveau femme.

"J'espère beaucoup de belles choses pour nous. Tu sais... Je crois au destin et aux signes que la vie nous envoie. Et toi, tu y crois aussi ? C'est magique de ne pas savoir la vie de demain, tu ne penses pas ? Pour être honnête. Depuis que tu es entré dans mon esprit, les demains sont toujours un cadeau." Je hoche la tête, le destin est partout autour de nous et il régit les lois de l'univers. Si j'avais décidé ce soir là de passer mon chemin, jamais je n'aurais pu connaître ça. Pourtant, quelque chose m'avait poussé à entrer dans sa vie. "Mais... tu sais ce que je veux vraiment ? Je voudrais que tu sois mon équilibre pour toute la vie et je veux te rendre heureuse." Un sourire se dessine sur mes lèvres, "Alors je serais ton équilibre !" Je le fixais sincèrement, je ne le laisserais pas tomber. Mais, je voulais qu'il me promette de toujours me parler même dans les moments douloureux, la communication était importante et je ne voulais pas qu'il part comme avait pu le faire Oscar. Je ne voulais plus connaître la tristesse que j'avais pu ressentir, je ne voulais plus que la flamme de mon coeur s'éteigne. "C'est juré, sinon; je vais en enfer." Je riais légèrement face à sa remarque, au moins elle avait le mérite d'être claire.

"Et toi, mon étoile... Tu veux bien continuer à me faire vivre ?" Je hochais une nouvelle fois la tête, "Promis ! Jamais je ne laisserais notre flamme s'éteindre et jamais je ne pourrais t'abandonner. J'ai envie que nos âmes soient liées dans la vie et même au delà !" Je souriais sincèrement tandis que le prêtre continué son discours de messe et que tout les regards étaient tournés vers lui. "Tu veux aller dehors voir les étoiles ?" Je regardais autour de moi avant de me lever, "Vient !" Je l'aidais à se lever avec ses béquilles, "Fais moi confiance..." Je l'aider à se diriger vers la porte où se trouvait une personne en charge de faire entrer et sortir les gens après la messe. "Il a besoin de prendre l'air..." L'homme regarda Eiji avant d'hocher la tête et d'ouvrir discrètement la porte, "Merci..." Lançais-je continuant de faire mine d'aider mon amoureux. Je m'éloignais de l'église avant de le tirer vers un endroit où j'allais me réfugier quand j'étais plus petite. "Il y a un kiosque dans le parc juste à côté..." Je l'entraînais à l'intérieurs, l'endroit était désert comme souvent et je m'allongeais sur le sol. "Je venais souvent ici quand j'étais plus jeune, c'était un endroit où on pouvait être tranquille." Le kiosque était entouré d'arbre et était camouflé, il avait même une petite porte pour totalement s'enfermer à l'intérieurs les jours de pluie. Je soupirais doucement profitant du calme, tout le monde était à la messe et nous étions seuls au monde.
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Message(#)Surprise et famille. Pheiji EmptyVen 16 Déc - 23:05

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PHEIJI - Tu veux bien être mon équilibre pour toute la vie, tu n'as pas le droit de me mentir. Sinon toi aussi tu vas t'envoler en enfer. Tant qu'on est tous les deux de toute façon, je m'en fiche. Qu'ont soient brulé ou avec des ailes, je serais avec toi et il est hors de questions de songer autrement. Tu es dans ma tête, mon corps, mes émotions. Une véritable reine semblable à la numéro un des abeilles dans la ruche. Tu es la meilleure, l'unique papillon. Mon unique étoile d'amour. J'ai tant de mots pour te décrire. Tu es si perturbante. Tu fais partie de moi tout comme je suis en toi, tu me l'as promis. Sois mon équilibre, c'est bien mieux que des béquilles. Je veux vivre pour toi. Je suis si diffèrent et pourtant, j'ai l'impression que notre destin est déjà scellé. Tu vaux de l'or. Je vais tout faire pour te rendre la plus heureuse du monde, c'est juré et ton bonheur passera bien avant le mien. Mon cœur s'emballe encore et encore quand je t'écoute m'avouer que tu ne m'abandonneras pas, tant mieux parce que j'ai peur de l'abandon. C'est ce que j'ai toujours vécu. Je veux croire en tes paroles, je veux croire en toi, en nous. Je te crois.

- Jusqu'à la mort et je resterais fidèle jusqu'à mon dernier souffle. Murmure. Je t'aime tellement. Mes paroles, mes mots ; tu es l'unique humaine sur terre à me comprendre de la sorte. L'atypique, c'est moi. Tu es mon journal intime, ma galaxie, ma vie, mon tout.

Après ces douces déclarations, ce ne sont certainement pas les dernières. Je te vois te lever une nouvelle fois, tu vas encore chanter ? Non, tu me dis de t'accompagner je ne sais-ou. C'est ça que j'adore tant quand je suis avec toi, je ne sais jamais la suite des choses. Je ne sais jamais où je vais, je ne sais jamais rien. Et j'adore ça. Continues, pour toujours. Tu vas me maintenir encore en vie très longtemps et mon espoir s'éveille un peu plus chaque jour quand je suis à tes côtés. Tu le sais. Tu me demandes donc de te faire confiance. Phoebe

- Les yeux fermés que je te fais confiance. Et c'est la vérité, je te fais confiance ; je ne fais confiance à personne. Vraiment personne. Uniquement toi. Tu nous diriges vers la sortie et j'ai soi-disant besoin de prendre l'air, une impression de déjà-vu tout à l'heure chez tes parents. Sauf que cette fois-ci, ce n'est pas pour calmer tes émotions. Non, tu veux m'emmener quelque part. Je te lance un regard complice avant de sortir de la bâtisse religieuse. Un quoi ? Kiosque, pour le coup ; je ne connaissais pas du tout ce type d'endroit. C'est une surprise, encore. Tu me racontes alors que tu aimais venir ici plus de jeune, pour être tranquille. J'aime déjà cet endroit, c'est tout comme retiré de la vie, du monde.

- Et... qu'est-ce que tu faisais quand tu étais ici ? Dis-je curieux, en laissant tomber mes béquilles au sol pour venir attraper ta silhouette. Tu es face à moi. Quelques petits centimètres, seulement, séparent nos visages. Je suis définitivement tombé fou amoureux de toi. Entends-tu le bruit de mon cœur battre sur ma face ? Ressens-tu ma respiration frôlée le tien ? Tout est si secret, tu es si secrète ; comme moi.  

- Alors comme ça... Je n'ai pas besoin de te surprendre ? Tu as raison, je ne suis pas fort pour cela. Mais laisse moi essayer quelque chose, laisse moi te toucher. Mon regard à mourir d'amour mêlé au tien, mes mains viennent caresser tes douces joues rosées là, tes lèvres aussi. Tu connais la magie des choses, je sors mon téléphone pour lancer cette musique ,celle-ci raisonne ici, elle raisonne en nous. Nous sommes que tous les deux, viens avec moi sur mars. Viens dans mon monde. Mes petits doigts osent pianoter ta veste qu'est la mienne, je te l'ai donné plutôt. J'ouvre la fermeture pour dénicher de la chaleur. Je ne veux pas de gros câlin pour respecter cet endroit religieux, mais j'aimerais retrouver et profiter de nombreuses caresses. Je glisse mes lippes sous ton cou pour venir t'offrir des baisers. J'aime ce 24 décembre finalement. Phoebe, j'ai toujours ma capuche ; à toi de jouer mon as des cartes de cœurs.   

 



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