ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31457 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
« Je sais pas, mais j'en ai pas sous la main de toute façon. Je trouverai autre chose, » L’américaine hausse les épaules tout en mimant une moue amusée. Elle n’a aucun doute quant à la capacité de Sara à trouver comment se ‘venger’ de celle qui l’avait si lâchement abandonnée à son triste sort ! Et elle n’a pas l’intention de croupir dans ce labyrinthe, elle a des projets, un tas de projets qui n’impliquent pas de se nourrir de pain d’épice pour sortir d’ici ! Et visiblement, imaginer son ami en père noel l’emballe tout autant qu’elle ! « Franchement si on arrive à sortir d'ici en vie, j'espère que tu m'inviteras pour voir ce spectacle, » « Alors là, compte sur moi ! Personne ne devrait rater ça et si ça arrive, je compte immortaliser la chose ! » Elle lui adresse un clin l’oeil complice avant d’avouer ses origines. « Ahhh, c'est ça ton accent ! Et non, j'ai jamais eu la chance de mettre les pieds au Mexique. Mais mes grands frères et sœurs y sont nés. J'aimerais bien y aller quand j'aurai assez d'économies pour. » « J’espère que tu auras cette chance un jour, surtout si tu as encore de la famille dans le coin ! » Parce qu’elle sait ce que c’est de traverser le bout du monde pour rejoindre sa famille.
« Moi ce serait un Noël avec de la neige qui me perturberait. Ou même s'il faisait simplement froid... Ce serait trop bizarre, » Elle hausse les épaules, ici elle a trop chaud, même si elle vit plutôt bien la chaleur ! « Pourtant ça a un petit côté cocooning assez satisfaisant ! » Elle n’a pas souvent passé noël sous la neige, mais les seules fois où cela est arrivé, elle avait adoré les soirées au chalet, le plaid et le chocolat chaud bourré de guimauve... Tout en discutant, les deux filles s’enfoncent un peu plus dans les méandres de pain d’épice, suivant l’instant de la brune et ça paye puisque ça fait un moment qu’elles avancent sans tomber sur un maudit cul de sac !
« C'est comment Noël en hiver du coup ? Vous restez enfermés à l'intérieur parce qu'il fait trop froid ? » Elle rit à sa remarque. « A San Diego, on n’a pas vraiment d’hiver... c’est disons humide parce qu’il pleut plus souvent... » Meryl aime la pluie, le bruit sur le toit, l’odeur après une journée ensoleillée... « Mais quand j’ai eu la chance de le passer au lac Tahoe... C’était juste le pied ! Et puis skier c’est juste une sensation terrible ! Alors oui il fait froid, mais bien couvert on s’en sort pas trop mal ! Et puis, y a rien de tel qu’un vin chaud après une journée sur les pistes ! T’es déjà montée sur des skis ?! » Motivée, la jeune femme embraye le pas, longe les boules de gum des petits bonshommes qu’elles croisent. « On est sur la bonne route je le sens ! On sent les baggles et les trucs sucrés d’ici tu trouves pas ?! » Oui elle se rassure comme elle peut ! Elles avancent encore jusqu’au prochain croisement, deux choix, deux panneaux : ‘raccourci’ et ‘la sortie est par là’. « On se croirait dans le labyrinthe d’Alice au pays des Merveilles. Je m’attends presque à voir débarquer le chat de Cheschire pour nous embrouiller la tête avec son sourire maléfique et ses galipettes ! » Elle adore ce chat, même si gamine il lui filait une trouille monstre, va savoir pourquoi ! La jeune femme attrape une pièce. « Pile on choisit le ‘raccourci’, Face on prend l’autre... » La pièce est lancée et rattrapée. « Va pour le raccourci. On aurait dû semer des boules de gum !»
Sortir du labyrinthe :
Le Destin a écrit:
Afin que le labyrinthe soit considéré comme réussi, il faut cinq lancés de dés réussis.
→ 3/5
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Hrp :
FALLAIT s'en douter que le raccourci n'en était pas un !!!! définitivement elles sortiront jamais de là
Dernière édition par Meryl Strange le Dim 5 Mar 2023 - 19:21, édité 1 fois
LE DESTIN
l'omniscient
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31457 POINTS : 350
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Le membre 'Meryl Strange' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' :
Sara Gutiérrez
le feu au poudrier
ÂGE : 26 ans, le quart de siècle à présent dépassé, la maturité tant attendue ayant plutôt pris la forme de vérité forcée (20.08.1998) SURNOM : Sara la fêtarde, la retardataire, l'emmerdeuse, la gamine, l'alcoolo, la relou... Vous avez le choix, elle répond à tout STATUT : Célibataire, plus adepte des coups d'un soir que des rêves de prince charmant MÉTIER : Jongle entre son boulot au Twelve Happy Spectators et celui au Queensland Performing Arts Centre où Marley la formait en douce pour devenir maquilleuse. Avant de partir, cette dernière a laissé son nom à une agente artistique un peu terrifiante, ce qui serait idéal si Gayle n'était pas aussi l'associée de son propre père... LOGEMENT : #200 Hughton Avenue, Redcliffe, depuis plus d'un an, mais le quatuor est devenu duo cet hiver : il ne reste que Dina et elle, et puisque la première voyage sans cesse c'est sur la Gutiérrez que retombe la responsabilité de faire des visites – quel stress POSTS : 4734 POINTS : 640
TW IN RP : Alcool, drogue, maladie infantile (cancer), mort, deuil, vulgarité TW IRL : RASGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Extravertie, souriante, sociable, loyale, franche • Irresponsable, immature, de mauvaise foi, provocatrice, excessive • Fière de ses origines mexicaines, 4e d'une fratrie de 7, aime sa famille plus que tout mais leur ment aussi beaucoup • A perdu sa petite sœur bien trop jeune, ne s'en remet pas vraiment • S'évade grâce aux soirées, l'alcool, la beuh • Devrait arrêter de fumer, mais ce n'est jamais la bonne période • 2 boulots de couverture et 1 déménagement pour cacher à sa famille qu'elle se forme non officiellement pour devenir maquilleuse, mais tout s'apprête à exploserCODE COULEUR : Sara prend de mauvaises décisions en DD33AA RPs EN COURS : (10/∞)
→ Collègues et spectateur·rices au Twelve Happy Spectators (cinéma) : pré-liens
→ Collègues et spectateur·rices au Queensland Performing Arts Centre(théâtre)
@Meryl Strange & Sara Gutiérrez Décembre 2022, labyrinthe de pain d'épices, Canada du Noël autour du monde
Lorsque sa compagne de fortune lui parle d'un de ses amis qui fera bientôt du surf déguisé en Père Noël, Sara s'enthousiasme tout de suite : elle trouverait ça hilarant à voir, sans aucun doute. Alors, audacieuse, la brune tente de taper l'incruste pour assister à cet incroyable spectacle en perspective. « Alors là, compte sur moi ! Personne ne devrait rater ça et si ça arrive, je compte immortaliser la chose ! » Le clin d'œil de la blonde la fait ricaner tandis qu'elle approuve d'un hochement de tête.
Meryl lui révèle alors venir des États-Unis, ce qui explique l'accent que la Gutiérrez perçoit depuis le début de leur discussion. Une Américaine et une Mexicaine à la recherche de la sortie d'un labyrinthe en pain d'épices, on dirait le pitch d'un film pas dingue sur Netflix. Le genre où elles se racontent leurs vies en parcourant les allers, se plantent de chemin mille fois pour que le film dure loooongtemps et puis, bien sûr, se rendent compte qu'elles ont des connaissances communes qui font qu'elles devraient être ennemis alors qu'elles s'entendent su-per bien... Et finalement tentent de se tuer, hein, parce que ça fait plus d'action – non, ça c'est juste ce qu'aimerait voir Sara dans un film parce que c'est con et que ça la ferait marrer. Mais non, rien de tout ça ne se passe : les deux jeunes femmes discutent simplement de leurs origines non australiennes. La brune parle du Mexique qu'elle n'a jamais connu, bien que sa mère lui en ait parlé souvent. Un jour, quand elle aura la thune pour – donc un jour très très lointain –, elle ira là-bas. « J’espère que tu auras cette chance un jour, surtout si tu as encore de la famille dans le coin ! » Elle esquisse un sourire. « J'espère aussi. » Mais bon, vu comme elle est mauvaise pour mettre de l'argent de côté, ce n'est pas pour tout de suite. Cela dit, elle aimerait vraiment y aller, découvrir ces coutumes dont lui a parlé sa mère, l'allure des villes, les boutiques qui bordent les rues, la façon dont ils fêtent Noël. C'est d'ailleurs ce dont lui parle Meryl à propos des États-Unis : à San Diego, il neige pour les fêtes de fin d'année... Quelle drôle d'idée. Pour Sara qui est habituée aux chaleurs estivales et à la plage en décembre, l'idée est perturbante. « Pourtant ça a un petit côté cocooning assez satisfaisant ! » « Vrai que les plaids et tout ça c'est cocooning, mais vous devez pas passer Noël à la plage vous, » fait-elle remarquer avec un sourire amusé. Il fait froid à quel point aux États-Unis en hiver ? Elle n'en a aucune idée, mais là-bas les gens ne vont sans doute pas se prélasser sur le sable pour fêter l'arrivée d'une nouvelle année. « A San Diego, on n’a pas vraiment d’hiver... c’est disons humide parce qu’il pleut plus souvent... » Sara esquisse une grimace, pas franchement fan de cette vision de Noël. « Ah ouais, donc vous pouvez même pas aller vous balader tranquilles. » Enfin si, lorsqu'il ne pleut pas, mais bon c'est pas top non plus quoi. « Mais quand j’ai eu la chance de le passer au lac Tahoe... C’était juste le pied ! Et puis skier c’est juste une sensation terrible ! Alors oui il fait froid, mais bien couvert on s’en sort pas trop mal ! Et puis, y a rien de tel qu’un vin chaud après une journée sur les pistes ! T’es déjà montée sur des skis ?! » Elle secoue la tête, une partie de son cerveau occupée à se rappeler ce qu'est le lac Tahoe – ça y est, ça revient. « Non, j'en ai jamais fait. Mais j'ai déjà bu du vin chaud, » renchérit-elle – le fait qu'elle soit plus experte en alcool qu'en sport n'étonnera personne. « J'avoue que quand tu les décris ils ont l'air cools tes Noëls dans le froid. Mais t'inquiète, passer Noël à Brisbane c'est sympa aussi. Déjà parce qu'il fait beau, et ça c'est cool pour aller dehors, se balader, se poser sur la plage... Et en plus, la ville organise souvent des trucs cools. Bon cette année, ils ont choisi ce labyrinthe à la con, mais j'ai vu qu'il y a d'autres stands moins casse-tête, genre des films en plein air. » Ou des stands de dégustation d'alcool qui donnent très très envie à la Gutiérrez de découvrir de nouvelles cultures.
C'est bien beau de discuter mais elles doivent aussi – et surtout – trouver la sortie de ce foutu labyrinthe et avant de se promettre de ne jamais y remettre les pieds. Elles essaient d'aller vers la personne qui a bien voulu répondre à leurs cris, empruntant un chemin qui semble prometteur – jugement basé sur aucun argument, en réalité. « On est sur la bonne route je le sens ! On sent les baggles et les trucs sucrés d’ici tu trouves pas ?! » Ah si, Meryl a trouvé un argument. « Si si. » Ça se sent dans sa voix que la brune doute ? Elles tombent alors sur un croisement avec deux panneaux, ce qui fait rouler des yeux la Gutiérrez. Si elle retrouve Lizzie, elle lui arrache les yeux. « On se croirait dans le labyrinthe d’Alice au pays des Merveilles. Je m’attends presque à voir débarquer le chat de Cheschire pour nous embrouiller la tête avec son sourire maléfique et ses galipettes ! » « Comme si on avait besoin de quelqu'un en plus pour nous embrouiller alors que ce labyrinthe n'a aucun foutu sens, » rétorque-t-elle avec un rire dans la voix – ce genre de rire qui sert à décompresser mais qui reflète le fait que ce bazar lui tape sur les nerfs. C'est là que Meryl sort une pièce. « Pile on choisit le ‘raccourci’, Face on prend l’autre... » La brune hoche la tête pour approuver l'idée. Qu'est-ce qu'elles peuvent faire d'autre, de toute façon ? « Va pour le raccourci. On aurait dû semer des boules de gum ! » Sara laisse échapper un rire en lui emboîtant le pas. « Grave. Ou des cannes à sucre. Pourquoi on y a pas pensé en entrant là-dedans ? » Parce qu'aucune des deux ne pensait que ce serait une telle galère de ressortir de ce labyrinthe, assurément.
Et pour une galère, c'en est une colossale : voilà qu'un nouveau cul de sac leur fait face. Elles n'auraient peut-être pas dû écouter une pièce. Lâchant un soupir, Sara fait demi-tour, les joues gonflées par l'agacement. Les voilà de retour au croisement, où la brune regarde l'autre option qu'elles avaient. « Ah donc la sortie est par là c'était pas une blague ? » Ça sonne vachement comme un piège, pourtant. « Bon bah pas le choix, on essaie l'autre, » constate-t-elle avant d'emprunter le chemin en question. Mais il ne leur faut que quelques dizaines de secondes pour se retrouver à nouveau face à... un mur de pain d'épice. Encore. « Puta ! » Le juron – équivalant à un putain – est lâché en Espagnol alors que la brune fait volte-face, levant les yeux au ciel pendant que ses mains se glissent dans ses cheveux dans un geste agacé. « On va jamais réussir à sortir d'ici en fait, ça me gaaaave ! » Sa langue claque contre son palais. « C'est quoi l'intérêt de faire un labyrinthe si on ne peut pas en sortir ? »
Sortir du labyrinthe :
Le Destin a écrit:
Afin que le labyrinthe soit considéré comme réussi, il faut cinq lancés de dés réussis.
→ 3/5
(c) Miss Pie Haut : camiluhz & mandie (dailyflicks) Bas : darkcrystals & shawmilaedit
HRP :
Pardon pour le retard + J'y crois, elles vont finir par y arriver → Après lancer de dé, je suis plus trop sûre
proud
J'vais soulever des montagnes avec mes petits bras, traverser des campagnes, des patelins, des trous à rats, m'échapper de ce bagne, trouver un sens à tout ça
(c)crackintime
♥ :
Dernière édition par Sara Gutiérrez le Ven 28 Avr 2023 - 21:51, édité 2 fois
LE DESTIN
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« J'espère aussi. » C’est tout ce qu’elle lui souhaite, pouvoir un jour retrouver ses origines et découvrir d’où elle vient. D’autant qu’elle a déjà dû en entendre parler par ses proches, ce qui clairement doit faire grimper son envie de voyage. Meryl n’a jamais vraiment eu l’occasion de voyager, loin de chez elle du moins. Brisbane c’est un peu son baptême et quelque part, elle se dit qu’elle aimerait voir du pays quand elle en aura les moyens, ce qui pour l’heure n’est pas vraiment le cas, alors c’est plus terre à terre qu’elle évoque les noëls hivernaux qu’elle a connu jusqu’ici. « Vrai que les plaids et tout ça c'est cocooning, mais vous devez pas passer Noël à la plage vous... Ah ouais, donc vous pouvez même pas aller vous balader tranquilles.» Elle hausse les épaules avec une mimique accroché sur son visage. « C’est pas l’idéal c’est vrai que vu comme ça, ça vend pas du rêve je te l’accorde. Question d’habitude j’imagine, mais disons que ça bouscule mes codes ! Et... c’est loin de tous les clichés véhiculés par les films américains !» Pour sûr qu’elle est plus habituée à l’image d’un noel sous la neige que sous trente degrés à l’ombre. « Non, j'en ai jamais fait. Mais j'ai déjà bu du vin chaud, J'avoue que quand tu les décris ils ont l'air cools tes Noëls dans le froid. Mais t'inquiète, passer Noël à Brisbane c'est sympa aussi. Déjà parce qu'il fait beau, et ça c'est cool pour aller dehors, se balader, se poser sur la plage... Et en plus, la ville organise souvent des trucs cools. Bon cette année, ils ont choisi ce labyrinthe à la con, mais j'ai vu qu'il y a d'autres stands moins casse-tête, genre des films en plein air. » La blonde sourit amusée. « Toi et moi on n’aurait clairement dû choisir le cinéma de plein air ou même le tour du monde de la bouffe, au moins on n’aurait pas pris racine dans le pain d’épice ! » Parce qu’elles vont finir par se transformer en boule de gum à ce rythme.
« Comme si on avait besoin de quelqu'un en plus pour nous embrouiller alors que ce labyrinthe n'a aucun foutu sens, » C’est pas faux... l’américaine sent la patience de la brune s’effriter à mesure qu’elles tournent en rond. Parce qu’elles ont beau suivre les pistes, les chemins se ressemblent tous les uns et les autres au point que même elle commence à saturer des odeurs pourtant forte alléchante d’épice. Elles s’engagent en laissant le hasard faire - jusqu’ici ça leur a tellement réussi. « Grave. Ou des cannes à sucre. Pourquoi on y a pas pensé en entrant là-dedans ? » « Parce que c’était sensé être... une activité familiale... Ils n’ont juste pas précisé le : Sans retour ! En fait c'est juste pour que les parents se débarrassent de leur gosse de façon légale. »
« Ah donc la sortie est par là c'était pas une blague ? Bon bah pas le choix, on essaie l'autre, » Elle a de l’espoir Meryl, elle garde le sourire confiante dans l’idée que bientôt elles seront dehors et qu’elle rigolera de cette situation plus qu’improbable. « C’est du troll sadique à ce stade ! » « Puta ! On va jamais réussir à sortir d'ici en fait, ça me gaaaave ! C'est quoi l'intérêt de faire un labyrinthe si on ne peut pas en sortir ? » La blonde cherche ce qu’elles ont manqué, une porte cachée ? Un indice, l’avertissement qui dirait Les murs n’en font qu’à leur tête ! , avant de sortir son téléphone comme si celui-ci allait leur donner la réponse. « Je propose d’utiliser les technologies modernes avant d’en venir aux mains pour défoncer les murs à coup de pieds ! » Elle lance la recherche « Comment sortir d’un labyrinthe, toujours étonnée de savoir que google a réponse à tout ! « Alors... ça dit qu’il faut qu’on pose notre main sur une paroi et qu’on ne la lâche plus jusqu’à la sortie... Moi je dis... foutu pour foutu, avant que nos familles lancent une alerte enlèvement. » La blonde vient déposer sa main contre le mur avant de regarder la brune. « Chope de quoi marquer les croisements qu’on a pris, sait-on jamais si google a tort ! » Quelques pas plus tard. « Tu trouves pas ça étrange qu'on soit les SEULES dans ce foutu labyrinthe ?! »
Sortir du labyrinthe :
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→ 3/5
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Hrp :
My bad pour mon activité laborieuse de ces dernières semaines. Si tu souhaites en finir avec le sujet qui date, n'hésite pas, je suis open et pas contrariante
Si c'est SO CLOSE je considère qu'elles ont trébuché sur une un sucre d'orge qui les a mis sur la bonne voie... Si c'est FAIL, elles vont vraiment finir par faire un trou dans le labyrinthe
EDIT : A QUEL MOMENT C'EST POSSIBLE D'AVOIR AUSSI PEU DE CHANCE !!!!!
Dernière édition par Meryl Strange le Sam 27 Mai 2023 - 20:16, édité 1 fois
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ÂGE : 26 ans, le quart de siècle à présent dépassé, la maturité tant attendue ayant plutôt pris la forme de vérité forcée (20.08.1998) SURNOM : Sara la fêtarde, la retardataire, l'emmerdeuse, la gamine, l'alcoolo, la relou... Vous avez le choix, elle répond à tout STATUT : Célibataire, plus adepte des coups d'un soir que des rêves de prince charmant MÉTIER : Jongle entre son boulot au Twelve Happy Spectators et celui au Queensland Performing Arts Centre où Marley la formait en douce pour devenir maquilleuse. Avant de partir, cette dernière a laissé son nom à une agente artistique un peu terrifiante, ce qui serait idéal si Gayle n'était pas aussi l'associée de son propre père... LOGEMENT : #200 Hughton Avenue, Redcliffe, depuis plus d'un an, mais le quatuor est devenu duo cet hiver : il ne reste que Dina et elle, et puisque la première voyage sans cesse c'est sur la Gutiérrez que retombe la responsabilité de faire des visites – quel stress POSTS : 4734 POINTS : 640
TW IN RP : Alcool, drogue, maladie infantile (cancer), mort, deuil, vulgarité TW IRL : RASGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Extravertie, souriante, sociable, loyale, franche • Irresponsable, immature, de mauvaise foi, provocatrice, excessive • Fière de ses origines mexicaines, 4e d'une fratrie de 7, aime sa famille plus que tout mais leur ment aussi beaucoup • A perdu sa petite sœur bien trop jeune, ne s'en remet pas vraiment • S'évade grâce aux soirées, l'alcool, la beuh • Devrait arrêter de fumer, mais ce n'est jamais la bonne période • 2 boulots de couverture et 1 déménagement pour cacher à sa famille qu'elle se forme non officiellement pour devenir maquilleuse, mais tout s'apprête à exploserCODE COULEUR : Sara prend de mauvaises décisions en DD33AA RPs EN COURS : (10/∞)
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@Meryl Strange & Sara Gutiérrez Décembre 2022, labyrinthe de pain d'épices, Canada du Noël autour du monde
S'imaginer un Noël sans la plage et sous la neige a tout d'une fantaisie pour Sara. Elle qui est née sur le sol australien malgré ses origines mexicaines n'a jamais connu d'autres Noël que ceux de Brisbane : en plein été, vêtue d'une robe voire d'un maillot de bain. Tout le contraire de son interlocutrice qui a été habitué aux États-Unis et à des fêtes de fin d'année bien plus glaciales – mais pas en terme d'ambiance, de ce qu'elle raconte. « C’est pas l’idéal c’est vrai que vu comme ça, ça vend pas du rêve je te l’accorde. Question d’habitude j’imagine, mais disons que ça bouscule mes codes ! Et... c’est loin de tous les clichés véhiculés par les films américains ! » Qui dit cliché de film américain dit... comédie romantique ridicule, bien sûr ! « Donc vous ne tombez pas amoureuses en glissant sur le verglas partout dans la ville ? Je suis déçue, » plaisante la brune, légèrement moqueuse au sujet de ces films qu'elle n'aime vraiment pas. Pour être honnête, ils l'ennuient terriblement, si bien qu'elle n'est pas certaine d'en avoir terminé plus d'un. Pour sûr, le ski la tente bien plus en théorie que ces coups de foudre absolument ridicules. « Toi et moi on n’aurait clairement dû choisir le cinéma de plein air ou même le tour du monde de la bouffe, au moins on n’aurait pas pris racine dans le pain d’épice ! » Vu comment c'est parti, elles vont peut-être même devenir un mur du labyrinthe, en effet. « C'est clair ! Pourquoi on n'a pas fait ça ? » Parce qu'elles sont idiotes, à n'en douter, et à présent elles vont le payer en restant piégées ici.
À moins que Sara ne mette à exécution son incroyable plan – qui témoigne surtout de son affolant manque de patience – et se crée elle-même un chemin à travers les murs de gâteau, quitte à en détruire des pans entiers qui ne seront pas manger. Elle s'en moque, là tout de suite, elle veut juste sortir de cet enfer et boire un grand verre de vin chaud – avec Meryl et en s'imaginant assassiner Lizie, probablement. Mais pour l'instant la Gutiérrez tient bon : elle râle beaucoup mais n'a encore rien détruit, ce qui tient du miracle vu l'état actuel de ses nerfs. Heureusement qu'il n'y a personne pour leur indiquer la mauvaise direction – comme si elles en avaient besoin pour la prendre –, sinon elle serait capable de lui arracher les yeux. « Parce que c’était sensé être... une activité familiale... Ils n’ont juste pas précisé le : Sans retour ! En fait c'est juste pour que les parents se débarrassent de leur gosse de façon légale. » L'idée est presque drôle, mais dans les faits elles n'ont croisé aucun morveux : il n'y a qu'elles, et des quantités indécemment agaçantes de pain d'épice. « Ils auraient pu le préciser en tout petit en bas de la pancarte d'entrée, les gosses l'auraient pas vu. » Et elle non plus, en réalité, parce qu'elle a bêtement suivi son amie à l'intérieur – quelle idée de merde.
Ne pas faire confiance aux panneaux indiquant des directions ne fonctionne pas mieux que le fait de les suivre : Sara et Meryl sont totalement perdues dans ce labyrinthe à la con, quoi qu'elles fassent pour s'en sortir. « C’est du troll sadique à ce stade ! » Ça c'est la façon mignonne de le dire, la Gutiérrez en ayant une bien plus vulgaire et bilingue en stock. Elle en a marre, vraiment, et envisage de plus en plus sérieuse d'abattre un voire plusieurs murs pour trouver la sortie. « Je propose d’utiliser les technologies modernes avant d’en venir aux mains pour défoncer les murs à coup de pieds ! » Du coin de l'œil, elle voit la blonde pianoter sur son téléphone, se demandant si elle compte appeler quelqu'un – qui ? son ami le surfeur Père Noël ? – ou si elle demande la réponse à Google. Est-ce que Google va avoir la réponse à ce bordel ? Est-ce que qui que ce soit a la réponse à ce putain d'enfer ? « Alors... ça dit qu’il faut qu’on pose notre main sur une paroi et qu’on ne la lâche plus jusqu’à la sortie... Moi je dis... foutu pour foutu, avant que nos familles lancent une alerte enlèvement. » Sara hoche la tête. « D'accord, mais c'est le dernier truc qu'on tente et après on fera mon plan. » À savoir trouer un mur, puis un deuxième, puis un troisième... Jusqu'à ce qu'elles trouvent la sortie. Pas le plus malin, indéniablement, mais au moins il sera ef-fi-cace « Chope de quoi marquer les croisements qu’on a pris, sait-on jamais si google a tort ! » Nouveau hochement de tête, puis la brune refait chemin arrière pour récupérer des cannes à sucre là où il y en avait. Autant qu'elles servent à autre chose que lui passer les nerfs.
Puis les voilà lancées pour suivre la méthode Google. Ah ah, le désespoir. Sara laisse tomber une canne à sucre au pied de l'intersection piège – comprendre : celle qui mène à deux culs de sac, quelle blague de merde des organisateurs ça aussi – puis suit de nouveau les pas de son acolyte. « Tu trouves pas ça étrange qu'on soit les SEULES dans ce foutu labyrinthe ?! » « À mon avis c'est parce que c'est de la MERDE ! » Oups les chastes oreilles des enfants, Sara n'en a absolument plus rien à foutre. Sauf que, à force de cheminer en suivant une paroi, force est de constater que cela fait bien deux minutes qu'elles n'ont pas fini dans un cul de sac. Et ça, honnêtement, ça tient presque du miracle ! « Hé, ça fait un moment qu'on a pas fini dans un cul de sac, non ? » Est-ce que Google aurait trouvé la solution à cette merde dans laquelle elles se sont fourrées en acceptant d'entrer dans ce labyrinthe ? Putain, elle l'espère vraiment – et les organisateurs de cet événement aussi, pour la survie de leurs murs en pain d'épice.
Sortir du labyrinthe :
Le Destin a écrit:
Afin que le labyrinthe soit considéré comme réussi, il faut cinq lancés de dés réussis.
→ 4/5
(c) Miss Pie Haut : camiluhz & mandie (dailyflicks) Bas : darkcrystals & shawmilaedit
HRP :
Il nous manque que deux réussites au dé, il faut y croire → Allez plus qu'uuuuune
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J'vais soulever des montagnes avec mes petits bras, traverser des campagnes, des patelins, des trous à rats, m'échapper de ce bagne, trouver un sens à tout ça
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Dernière édition par Sara Gutiérrez le Lun 19 Juin 2023 - 0:39, édité 1 fois
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ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31457 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
« Donc vous ne tombez pas amoureuses en glissant sur le verglas partout dans la ville ? Je suis déçue, » La blonde pouffe de rire à l’évocation de ce cliché surcoté. « Bien sûr que si, tout le temps même, pas vous ?! Le gars nous sauve d’une chute mortelle et... c’est le coup de foudre ! Y a même une petite musique qui se met en route pour souligner le fait que c’est l’homme de notre vie. Faut croire qu’il n’y a pas assez de verglas à San Diego, moi j’suis plus du genre à me faire plaquer à l’aéroport comme une moins que rien. » Ouais, six ans plus tard, elle l’avait peut-être encore un peu en travers de la gorge, même si dans le fond c’est du passé et qu’elle a tiré un trait sur ce passage de sa vie... Erreur de jeunesse, on ne l’y reprendrait pas.. ou peut-être que si étant donné qu’elle était du genre pathologique sentimental et à faire les mauvais choix... Comme entrer dans un labyrinthe de pain d’épice.
« Ils auraient pu le préciser en tout petit en bas de la pancarte d'entrée, les gosses l'auraient pas vu. » « C’est pas faux... Ou alors c’est écrit et... on n’est visiblement pas assez adulte pour avoir vu la mention ! » La Strange ne la juge pas, elle ne la connaît pas depuis assez longtemps, mais la concernant, c’est d’affaire d’état qu’elle est du genre immature et loin de pouvoir assumer une vie adulte. Ce n’est pas quelque chose qu’elle prend au sérieux, tant qu’on ne cherche pas à l’infantiliser à outrance lorsque la situation le nécessite. Alors si on la considère comme une gamine car elle commence à saturer de cet endroit, grand bien leur en face ! Pourtant elle cherche encore une fin heureuse à cette histoire. Elle y croit au dieu Google et à sa solution miracle. Parce qu’honnêtement, ce truc n’est pas un trou noir, elles vont bien finir par sortir d’ici entière et se rendre compte qu’en réalité, elles sont là dedans depuis un bon dix minutes quand ça lui semble durer depuis des heures...
« À mon avis c'est parce que c'est de la MERDE ! » Son acolyte perd patience, et la blonde prend sur elle pour ne pas montrer son impatience, parce qu’elle n’est pas autant agacée que la brune, alors autant que ça serve. « Continue comme ça et ils viendront nous chercher pour pas choquer les âmes pures et chastes... » Elle claque un grand sourire, ravie de sa bêtise. Après tout c’était peut-être ça la solution, elle laisse cette option à la brune, deux ça serait trop. « Hé, ça fait un moment qu'on a pas fini dans un cul de sac, non ? » Elle regarde la brune, la main toujours sur le mur de pain d’épice. « Mais c’est vrai ça ?! Tu crois que le dieu Google serait de notre côté ?! Ca me tue de me dire que ce truc a réponse à tout mais si on sort d’ici avant l’hiver alors... On sera forcées de reconnaître que la technologie a eu le dessus ! » La blonde poursuit son chemin, espère qu’à chaque virage, rien ne viendra s’opposer à leur progression. Elle stoppe sur l’intersection, de nouveaux panneaux se présentent et le souvenir de tout à l’heure la fait tiquer. « On continue de faire confiance à google ou on écoute les conseils avisés et sadiques des concepteurs ?! » L’éternel dilemme : la pilule rouge ou la bleue... A croire qu’elles jouaient leur vie à pile ou face, alors que c’était loin d’être le cas. Elle prend la décision de ne pas suivre les indications, garde sa main sur le mur de pain d’épice. « Si on sort d’ici, j’te paye un verre ! On l’aura bien mérité !» Un virage de plus, et si ce n’est des bonhommes boule de gum, elle croit apercevoir ce qui ressemble à une sortie. « Par là regarde ! » Elle ose espérer que ça ne soit pas une fausse joie !
Sortir du labyrinthe :
Le Destin a écrit:
Afin que le labyrinthe soit considéré comme réussi, il faut cinq lancés de dés réussis.
→ 5/5
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Hrp :
Allez cette fois on y croit, j'ai fait une incantation avant de poster
Edit : OMFG C'est FAIT ! Elles ne vont pas terminer transformées en pain d'épice
Dernière édition par Meryl Strange le Sam 5 Aoû 2023 - 16:11, édité 1 fois
LE DESTIN
l'omniscient
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31457 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
Le membre 'Meryl Strange' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' :
Sara Gutiérrez
le feu au poudrier
ÂGE : 26 ans, le quart de siècle à présent dépassé, la maturité tant attendue ayant plutôt pris la forme de vérité forcée (20.08.1998) SURNOM : Sara la fêtarde, la retardataire, l'emmerdeuse, la gamine, l'alcoolo, la relou... Vous avez le choix, elle répond à tout STATUT : Célibataire, plus adepte des coups d'un soir que des rêves de prince charmant MÉTIER : Jongle entre son boulot au Twelve Happy Spectators et celui au Queensland Performing Arts Centre où Marley la formait en douce pour devenir maquilleuse. Avant de partir, cette dernière a laissé son nom à une agente artistique un peu terrifiante, ce qui serait idéal si Gayle n'était pas aussi l'associée de son propre père... LOGEMENT : #200 Hughton Avenue, Redcliffe, depuis plus d'un an, mais le quatuor est devenu duo cet hiver : il ne reste que Dina et elle, et puisque la première voyage sans cesse c'est sur la Gutiérrez que retombe la responsabilité de faire des visites – quel stress POSTS : 4734 POINTS : 640
TW IN RP : Alcool, drogue, maladie infantile (cancer), mort, deuil, vulgarité TW IRL : RASGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Extravertie, souriante, sociable, loyale, franche • Irresponsable, immature, de mauvaise foi, provocatrice, excessive • Fière de ses origines mexicaines, 4e d'une fratrie de 7, aime sa famille plus que tout mais leur ment aussi beaucoup • A perdu sa petite sœur bien trop jeune, ne s'en remet pas vraiment • S'évade grâce aux soirées, l'alcool, la beuh • Devrait arrêter de fumer, mais ce n'est jamais la bonne période • 2 boulots de couverture et 1 déménagement pour cacher à sa famille qu'elle se forme non officiellement pour devenir maquilleuse, mais tout s'apprête à exploserCODE COULEUR : Sara prend de mauvaises décisions en DD33AA RPs EN COURS : (10/∞)
→ Collègues et spectateur·rices au Twelve Happy Spectators (cinéma) : pré-liens
→ Collègues et spectateur·rices au Queensland Performing Arts Centre(théâtre)
@Meryl Strange & Sara Gutiérrez Décembre 2022, labyrinthe de pain d'épices, Canada du Noël autour du monde
Rien qu'à imaginer sa partenaire de galère dans une comédie romantique américaine ultra cliché fait ricaner Sara. Comment ça Meryl ne s'est jamais éprise de l'homme parfait en glissant sur du verglas ? « Bien sûr que si, tout le temps même, pas vous ?! Le gars nous sauve d’une chute mortelle et... c’est le coup de foudre ! Y a même une petite musique qui se met en route pour souligner le fait que c’est l’homme de notre vie. Faut croire qu’il n’y a pas assez de verglas à San Diego, moi j’suis plus du genre à me faire plaquer à l’aéroport comme une moins que rien. » « Ah ouais ça fait pas rêver, » confirme la brune avec une légère grimace. C'est sûr qu'on est loin de l'image de rêve que donnent les films, avec le mec le plus riche de la ville qui s'éprend d'une nana lambda qui a perdu confiance en l'amour et a surtout manqué de se péter la gueule sur une route plate sans aucun autre obstacle que son incapacité à regarder devant elle. Et puis bien sûr, le gars en question est toujours riche mais il a le cœur sur la main quand même : pompier volontaire, bénévole dans trois associations, si possible ancien membre de l'armée dévoué à son pays... Ouais on est loin de l'histoire de Meryl qui s'est faite larguer à l'aéroport – probablement par un connard, donc.
Perdues au milieu de ce labyrinthe de pain d'épice à la con, les deux jeunes femmes ne se gênent pas pour critiquer absolument tout ce qui y est lié avec plus ou moins de mauvaise foi. Si les créateurs de cet affreux endroit voulaient donner aux parents une opportunité en or d'abandonner leurs enfants légalement, ils auraient pu le préciser sur la pancarte en tout petit histoire que les autres adultes ne se fassent pas avoir. « C’est pas faux... Ou alors c’est écrit et... on n’est visiblement pas assez adulte pour avoir vu la mention ! » L'idée fait rire la Gutiérrez qui ne se vexe même pas. Pour sûr, ce sont les concepteurs de ce dédale qui ont oublié de préciser qu'il n'y avait pas de retour possible et ce n'est donc absolument pas de leur faute à elles si elles sont paumées. Non, c'est à cause de ce labyrinthe de merde que la brune ne se prive pas d'insulter en criant. « Continue comme ça et ils viendront nous chercher pour pas choquer les âmes pures et chastes... » « Je crois que si on est pas sorties dans cinq minutes, je le fais, » admet Sara dont la patience est en bout de course. Ça fait déjà trop longtemps qu'elle tourne en rond ici, et la compagnie de Meryl ne parvient pas à compenser son profond agacement de se sentir prisonnière d'une telle connerie.
Petit à petit, l'espoir finit cependant par renaître lorsque Sara constate que ça fait un moment qu'elles n'ont pas dû faire demi-tour. Peut-être qu'elles sont enfin sur le bon chemin – en tout cas c'est à cette idée qu'elle s'accroche pour ne pas se remettre à hurler. « Mais c’est vrai ça ?! Tu crois que le dieu Google serait de notre côté ?! Ca me tue de me dire que ce truc a réponse à tout mais si on sort d’ici avant l’hiver alors... On sera forcées de reconnaître que la technologie a eu le dessus ! » La Gutiérrez pouffe. « Franchement je veux bien le reconnaître si ça nous fait sortir. » Pour être honnête, elle passe déjà tellement de temps sur son téléphone que c'est comme si elle avait déjà porté allégeance à la technologie. Google sait déjà tout d'elle, de toute façon – il n'y a qu'à voir les pubs pour du maquillage ou des vêtements qui s'enchaînent entre deux posts Insta de comptes qu'elle suit.
Lorsque le duo fait face à une nouvelle intersection, Sara pince les lèvres. Quelle est la probabilité qu'elles se plantent à nouveau et tombe dans un énième cul de sac ? Son esprit lui souffle qu'elle est énorme, ce qui la désespère d'autant plus après son bref regain d'espoir. « On continue de faire confiance à google ou on écoute les conseils avisés et sadiques des concepteurs ?! » « Je vote pour Google, » répond sans la moindre hésitation la Gutiérrez. Les concepteurs peuvent aller se faire foutre. Les voilà donc qui empruntent l'autre chemin que celui conseillé par le labyrinthe, Meryl gardant sa main contre le mur de pain d'épices. « Si on sort d’ici, j’te paye un verre ! On l’aura bien mérité ! » « Grave ! » Elles en mériteront même plusieurs, vu la torture que ça a été. Entre la marche sans fin et les milliers de culs de sac, Sara ne recommande absolument pas l'expérience – elle aurait dû se contenter de picoler au chalet, plutôt que d'écouter Lizzie et ses idées à la con. « Par là regarde ! » La voix de Meryl la fait vivement tourner la tête vers ce qu'elle lui indique, et aussitôt ses yeux s'arrondissent autant qu'ils s'animent de petites étoiles. « Ô putain oui ! » Elle a la voix d'une enfant surexcitée d'avoir son cadeau à Noël, mais qu'importe. Les deux jeunes femmes accélèrent le pas et arrivent finalement à l'extérieur du labyrinthe. « Enfin ! » C'est donc ça un miracle de Noël ? « Plus jamais je mets les pieds dans un labyrinthe, même présenté comme un jeu, » lance-t-elle d'une voix ferme, convaincue par ses propos et sa volonté de catégoriser tous les labyrinthes sans exception. « Allez viens, tu paies le premier et je paie le suivant. » Parce qu'elles auront besoin d'au moins deux verres pour se calmer après cet enfer qu'a été le labyrinthe de pain d'épice du Noël 2022 de Brisbane. Autant Sara recommanderait sans hésiter les whiskys au sirop d'érable du chalet du Canada, autant les jeux... À fuir, sans hésiter. Et c'est bien ce qu'elles font, s'éloignant à grand pas de leur supplice pour se diriger vers un stand où elles pourront boire et enfin se détendre.
Sortir du labyrinthe :
Le Destin a écrit:
Afin que le labyrinthe soit considéré comme réussi, il faut cinq lancés de dés réussis.
→ 5/5
Fin (d'une sacrée galère aventure) Merci à ma binôme qui n'a rien lâché
(c) Miss Pie Haut : camiluhz & mandie (dailyflicks) Bas : darkcrystals & shawmilaedit
proud
J'vais soulever des montagnes avec mes petits bras, traverser des campagnes, des patelins, des trous à rats, m'échapper de ce bagne, trouver un sens à tout ça