ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3427 POINTS : 250
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Comme attendu le garçon ne voulut rien entendre. Seuls sa colère et son orgueil le guidaient. Les mots qu'il lui cracha au visage fissurèrent un peu plus le cœur de la brune. Estomaquée par sa réaction Marley ne faisait que trembler. La roue s'arrêta enfin et Jackson ne demanda pas son reste avant de s'éjecter de l'attraction. La maquilleuse quant à elle restait figée sur place. Ses jambes tremblaient si violemment qu'elle n'était même pas sûre de pouvoir se lever. Le machiniste lui jeta un coup d'oeil en fronçant les sourcils. Consciente qu'on attendait qu'elle quitte la nacelle, la métisse se redressa avec difficulté. Elle s'éloigna légèrement, titubant sous le choc de ce qui venait de se produire. Elle eut besoin de quelques secondes, une minute tout au plus avant de véritablement réagir. Elle redressa la tête, chercha la carrure de Jackson au milieu de la foule et lorsqu'elle l'aperçut au loin, se mit à courir dans sa direction. Il n'était pas question que cela se termine ainsi.
Ce fut à bout de souffle qu'elle le rattrapa alors qu'il venait de sortit de la fête foraine. N'écoutant désormais plus que son cœur et faisant fi de sa raison, Marley attrapa le bras de Jackson pour qu'il s'arrête. Elle se planta ensuite face à lui et la gorge serrée lui dit : « Non. Non ça ne peut pas s'achever ainsi. » Le regard dédaigneux qu'il posa sur elle la fit frémir tandis qu'elle cherchait ses mots. Son esprit était embué et tout se bousculait à l'intérieur de sa boîte crânienne. Elle prit sa tête entre ses mains, cherchant à remettre de l'ordre dans ses pensées puis ajouta avec précipitation : « J'ai merdé. Comme jamais. » C'était un début, elle admettait à demi-mots ses torts, mais cela ne suffirait pas. Elle attrapa l'une des mains de Jackson et murmura : « Je t'en supplie, ne me laisse pas Jackson. » C'était sa dernière chance, s'il ne baissait pas sa garde à cet instant, tout était fini. Si elle ne parvenait pas à détruire l'armure qu'il portait, elle espérait pouvoir fissurer la carapace qu'il s'était construite. Ses doigts s'accrochant avec violence et désespoir autour des siens, elle l'implora : « Ca peut pas se finir comme ça, pas après tout ce qu'on a vécu... » Les années de bonheur ensemble, le crise de paranoïa, l'épaule déboîtée, le cimetière à Sydney, leur baiser, non il ne pouvait pas tirer une croix sur tout ça pour une vulgaire histoire de coucherie. Acculée, Marley ne savait plus comment se sortir de cette tombe qu'elle avait elle-même creusée. Sans réfléchir elle se jeta contre lui, passant ses bras autour de son corps, le serrant aussi fort qu'elle le pouvait. Elle n'était rien sans lui, sa vie n'avait aucun intérêt s'il n'était pas à ses côtés, pourquoi ne voulait-il pas l'entendre ? « Je ne t'ai pas menti. C'est toi que j'aime. » Le désespoir transperçait ses mots tandis que dans une ultime tentative elle essayait de lui faire entendre raison. Leur histoire valait mieux que tout ça.
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'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on
Jax a presque franchi les portes de cette fête foraine au sein de laquelle il sait qu'il ne remettra plus jamais les pieds quand des doigts qu'il devine être ceux de Marley se referment sur son bras, l'obligeant à freiner son avancée. La métisse lui barre le chemin. « Non. Non ça ne peut pas s'achever ainsi. » Instinctivement, l'agent bombe le torse, se fait plus menaçant. L'animal n'aime pas qu'on le contraigne. « J'ai merdé. Comme jamais. » Il la descend du regard, ses iris criant des " Trop tard ! " que Lynch est seule à pouvoir lire ...
C'est là que les suppliques commencent. Mills s'était préparé à beaucoup de choses, mais pas à ce qu'elle s'accroche à lui de la sorte. « Ça peut pas se finir comme ça, pas après tout ce qu'on a vécu ... » Leurs nombreuses disputes au compteur ne leur ont pas appris à se montrer vulnérables ni à voir l'autre l'être car la certitude de toujours avoir une balle de match à jouer tenait leur égo en haleine, leur orgueil au garde à vous. Mais ce soir, tout est différent. Jackson peut le sentir : ce qui s'est brisé entre eux n'est pas réparable. Un pont s'est écroulé entre Lynch et lui. En revanche, s'il lui est facile de la rejeter tant qu'elle ne le touche pas, sentir la détresse de la maquilleuse contre sa poitrine fait vaciller ses réflexes d'habitudes si vifs. Mentalement, Jax déteste peut-être la métisse pour toutes sortes de raisons plus ou moins recevables mais son corps, lui, aime profondément celui qui, contre le maigre rempare de son t-shirt immaculé, tremble comme une feuille, appelle à l'aide. « Je ne t'ai pas menti. C'est toi que j'aime. » Il peut sentir sa détresse dans chacune des vibrations de ses sanglots, s'imprégner de sa peine si contagieuse qu'elle lui donne l'impression de couler avec Marley dans cet océan de larmes et de regrets. L'étreinte ne brisera pas son squelette de guerrier mais l'émotion le fait suffoquer, poussant ce qu'il lui reste de cœur à se projeter contre les parois de sa cage thoracique comme s'il fallait à tout prix sortir de ce cercueil que Jax est en train de devenir pour lui-même, pour ses sentiments et ses rêves de familles nombreuses qu'il crucifie une fois de plus.
Autour d'eux les passants s'arrêtent, montrent du doigt, font des messes basses. Qui se dispute devant une fête foraine ? Qui vient gâcher la joie et l’ambiance bon enfant de ce lieu où la mauvais humeur est proscrite ? Qu'à donc fait ce garçon pour que cette fille paraisse aussi désespérée ? Mills jette des regards agressifs aux commentateurs du dimanche puis s'empare des poignets de Marley dans son dos. « Lâche. » Sa poigne de soldat gagnerait n'importe quel bras de fer contre les pattes de mouche de celle qui, pourtant, refuse de le laisser partir. « M'oblige pas à te faire mal. » Sa voix n'est qu'un murmure non pas parce qu'il souhaite qu'on ne l'entende pas menacer la jeune femme mais parce que l'agent manque de salive. C'est tout son corps qui semble jouer contre sa volonté d'agir, de se dégager de cette prise de catch tout juste bonne à le faire trembler de l'intérieur. Jackson déteste cette impression de ne pas maîtriser son être, de ne pas le voir répondre aussi vite qu'il le souhaiterait. Cela requiert une profonde inspiration et la mobilisation de tous ses souvenirs du clip afin d'enfin parvenir à bouger. Repoussant Marley, il s'extrait de ses bras puis se détourne sans même la regarder.
De l'automutilation, voilà ce que c'est. Car, tandis qu'il se traîne sans trop savoir comment jusqu'à son appartement, Mills pourrait jurer qu'il a perdu un morceau de lui dans la bagarre. Des courants d'air s'engouffrent par les gouffres de tout ce qu’il déleste, laissant derrière eux une sensation de froid polaire alors que la nuit d'été invite au camping sur la plage et aux bains de minuit. Vidé, l'agent paye une fois de plus cher le prix de ses mauvais choix.
(c) sweet.lips
Gayle Danbury
le grinch
ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3427 POINTS : 250
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
Il n'y avait plus rien : ni dignité, ni amour propre, ni orgueil, ni fierté. Marley avait tout abandonné derrière elle en se jetant dans les bras de l'agent et en le suppliant de ne pas la laisser seule sur le bord de la route. Le désespoir s'était abattu sur elle lorsque la vérité lui avait explosé en pleine face : Elle venait de le perdre. Les larmes qu'elle avait ravalées lors de sa course à travers la fête foraine étaient à nouveau en train de ruisseler le long de ses joues, trempant au passage le tee-shirt de Jackson. Elle avait perdu le contrôle de la situation et désormais celui de son corps aussi. Elle sanglotait comme jamais elle ne l'avait fait. Son corps se soulevait de douleur à chacune de ses respirations tandis qu'elle refusait de lâcher prise. Quel pathétique spectacle devait-elle offrir. C'était néanmoins le cadet de ses soucis. Elle se fichait bien de savoir quelle image elle renvoyait ou encore ce que l'on pouvait dire en l'observant. Rien ni personne n'avait d'importance si ce n'était Jackson et leur histoire.
Jackson resta pétrifié quelques instants, il ne fit aucun mouvement, ne parla pas. L'espace d'une micro seconde Marley crut que cela le touchait, qu'elle était parvenue à radoucir son âme si sombre et dure. Quelle naïveté de la part de la métisse. Elle sentit les mains du jeune homme s'agripper à ses poignets tandis qu'il lui ordonnait : « Lâche ». Elle secoua doucement la tête de gauche à droite, refusant d’obéir à ce qui signerait la fin de leur histoire. Elle savait qu'il lui suffisait de tirer un peu sur ses poignets pour qu'elle le libère de son emprise, pourtant l'homme n'en fit rien. Un espoir perdurait. Un infime espoir, un grain de sable dans un océan de désert. « M'oblige pas à te faire mal. » L'avertissement bien que murmuré claqua dans son oreille et résonna dans sa tête. Elle avait envie de lui dire que c'était trop tard. Qu'elle avait déjà mal, qu'il lui faisait déjà mal. Il avait voulu l'humilier et la mettre plus bas que terre, il y était parvenu. Mais plus que ça, elle avait l'impression qu'il avait brisé son cœur en mille morceaux et qu'il les arrachait un à un de sa cage thoracique. Bientôt il ne resterait plus rien si ce n'était une enveloppe vide. Un corps, un vulgaire morceau de chair, sans âme ni chaleur, sans cœur ni sentiment. Elle savait ce qu'il entendait par lui faire mal et désormais elle savait qu'il en était capable. Elle l'avait déjà expérimenté dans la laverie. Ce soir elle se fichait bien de savoir qu'il pouvait recommencer. S'il ne voulait plus d'elle dans sa vie, autant qu'il l'achève maintenant.
Au bout de quelques instants durant lesquels Marley ne bougeait pas et ne parlait pas, elle sentit la poigne de l'agent se resserrer sur ses bras et ces derniers quitter le corps de Jackson tandis qu'il la repoussait. Les yeux rougis par les larmes, le visage boursouflé par la douleur, la maquilleuse l'observa lui tourner le dos, impuissante, démunie. En un éclair, Jackson n'était plus là. Il venait de se volatiliser, il n'était désormais qu'un souvenir, qu'un fantôme du passé qui continuerait inlassablement de planer au-dessus d'elle. Ses jambes se mirent à trembler tandis que sa respiration se coupa. Le contre-coup de cette soirée venait de lui tomber dessus, une crise de spasmophilie la gagna alors qu'elle cherchait à quitter ce lieu maudit. Accroupie dans une ruelle à l'abri des regards, la jeune femme s'effondra. Un cri de douleur déchira la nuit tandis qu'enfin elle laissait évacuer sa peine et sa souffrance.
Fini. Tout était fini.
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