ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
« Tu peux pas vivre en bord de mer en Australie et pas être un minimum champion de longueurs, voyons. » Evidemment. Mais quelque chose lui dit qu’il aurait été un champion de longueurs même s’il avait vécu dans un pays n’ayant aucune frontière avec mers ou océans. Il veut être le meilleur dans tous les domaines, même ceux qu’il découvre, et c’est une idée qui plaît énormément à Ambrose, là où bien d’autres auraient été rebutés. “Tu peux pas t’appeler Ruben et pas être un champion.” Il s’arrête à champion tout court, son visage agrémenté d’un sourire prouvant encore une fois qu’il ne lui tient pas le moindre reproche.
Ainsi, sans que cela n’ait rien d’une surprise, Ruben laisse sur la plage tout autant de ses habits avant de retrouver Ambrose pour une proximité bienvenue. « C’est quoi ce petit sourire insolent là ? » Et c’est pour aller de pair avec ce sourire insolent qu’il passe ses bras par dessous les épaules de Ruben et noue simplement ses mains derrière sa nuque. Le même sourire reste accroché à ses lèvres. “Ça ? Non, fais pas attention, je suis né avec.” Il est éternellement insolent parce qu’il sait qu’il a toujours raison, et ce n’est qu’une chose de plus qu’ils partagent. « Je te préviens, si tu essaies de me noyer, j’ai grandi avec deux grands frères et l’un d’eux est rugbyman professionnel. J’ai appris à me défendre. » Son sourire s’étend, cette fois-ci bien plus amusé que simplement insolent. Le bout de ses doigts joue naturellement avec les mèches mouillées du brun. “Primo, j’ai grandi avec trois grands frères, donc je gagne.” Deux grands-frères et un cousin, mais en réalité Ambrose ne déforme pas la réalité pour plaire à ses attentes: il considère James comme son véritable frère depuis toujours. “Deuxio… rugbyman professionnel, sérieux ? Et il fait quoi le troisième, astronaute ?” Quitte à ce qu’ils évoluent tous dans des branches différentes, cela ferait du sens. Et puis, même s’il vise à côté de la plaque, il sait aussi et surtout que Ruben le dirigera sûrement dans la bonne direction ensuite pour assouvir sa curiosité.
« Et c’est parce-que j’ai grandi avec des frères casse-pieds que je sais que l’idée t’a traversé l’esprit, tu m’auras pas là dessus. » “T’oserais p-...”
Il a osé. Bien sûr qu’il a osé et bien sûr qu’Ambrose passe son temps sous l’eau à l’insulter de tous les noms d’oiseaux qui soient, trahi par l’homme qu’il s’apprêtait à embrasser pour tenter de détourner son attention pour mieux le noyer à son tour. Apparemment, son plan a bel et bien été anticipé et pris de court. « T’es tout mouillé maintenant, oops. » sont les mots qu’il entend à peine remonté à la surface, occupé à chasser l’eau salée de ses paupières autant qu’à reprendre de l’air. “T’as commencé une guerre, Ruben.” Son sourire persiste néanmoins, mais il a compris qu’il n’y avait plus de trêve qui tienne, comme en démontre son premier réflexe consistant à balancer de l’eau à son tour sur le visage du médecin. “Et je suis pas sûr que tu puisses la gagner.” Il retrousse la lèvre supérieure, mime l’embarras autant que le souci, une seconde avant d’à son tour faire passer sa jambe derrière celles de Ruben pour lui retirer ses appuis et mieux le pousser dans l’eau à son tour. “Mince, j’ai glissé, j’espère que tu m’en veux pas.” Il annonce à la seconde où il remonte à la surface, embrassant le creux de son épaule en guise de fausse demande de pardon.
:
Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13373 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
« Tu peux pas t’appeler Ruben et pas être un champion. » Oh, Ambrose, Ambrose, Ambrose. Le petit sourire qui étirait les lèvres de Ben en cet instant prouvait déjà ce qu’il pensait du commentaire du jeune homme, mais ils en étaient encore à un moment de leur relation où il pouvait se permettre, justement, de faire ce type de remarque. « Fais gaffe, je pourrais y prendre gout. » Parce-qu’il ne pouvait pas s’appeler Ruben et ne pas apprécier ce genre de flatterie que lui faisait le brun, surtout si c’était lui qui les faisait. Il aimait être apprécié à sa juste valeur, c’était d’ailleurs silencieusement par des gestes évidents qu’il agissait quotidiennement afin d’atteindre un tel objectif; alors entendre qu’il pouvait être un champion dans le regard de celui qu’il n’avait rencontré que quelques temps auparavant mais qui lui donnait évidement le sourire… ce n’était pas rien, même pour Ruben.
La seule tâche au tableau en cet instant, c’était le petit sourire insolent que Rose portait et qu’il affichait même fièrement. « Ça ? Non, fais pas attention, je suis né avec. » Bien sur que cela arracha un petit rire à Ruben. « Oh, j’en doute pas. » Pare-que c’était tout à fait le genre de chose qui lui allait tellement parfaitement au teint que c’était impossible qu’il ne soit pas né avec, effectivement. Mais il ne parlait pas depuis quand il le portait, mais bien le pourquoi il avait décidé de le faire ressortir un peu plus en cet instant. Parce-que s’il le portait depuis le naissance, les raisons qui pourraient le forcer à le garder haut et fier en cet instant étaient peu nombreuses et l’une d’elle était facilement devinable - de celle que Ruben allait rapidement retourner contre lui sans qu’il ne s’en aperçoive, mais il lui laissait le temps de répondre à sa question d’abord tout de même. « Primo, j’ai grandi avec trois grands frères, donc je gagne. » Ben fit une petite moue impressionnée. « Je t’accorde le point. Pour cette fois. » Parce-qu’il ne pouvait réfuter que trois était plus important que deux, même s’il y mettait toute sa pire volonté. « Deuxio… rugbyman professionnel, sérieux ? Et il fait quoi le troisième, astronaute ? » Et sans prévenir, il laissa un rire se faire entendre - parce-qu’il ne s’attendait pas à une telle répartie de la part de Constantine. Il passa ses bras autour des hanches du brun, l’attirant un peu plus à lui. « Sérieux, oui. A l’international. Mais comme tu le savais pas jusque maintenant, j’en déduis que tu suis pas le sport et c’est tant mieux. » Au moins, cela permettait à Ruben de ne pas être systématiquement associé à Rhett pour une fois et d’évoluer loin de son ombre; il avait beau préparer une carrière qui serait bien sur bien plus brillante que celle de son aîné, étant donné qu’il avait quelques années d’avance sur lui Ben passait toujours en second - quelque-chose qui avait tendance à l’énerver. Mais qui se voyait être pansé quand certaines personnes le qualifiaient de champion, par exemple. « Et non, le troisième est pas astronaute il est policier. » Il était celui veillant et remettant l’ordre dans une famille qui ne saurait être soudée comme elle tentait de l’être à cause et grâce à lui.
« T’oserais p-… » Bien sur que si, il avait osé, voyons: il n’allait pas laisser passer une occasion pareille de prendre les devants et de prendre de court Ambrose avant qu’il n’en fasse de même. Et bien sur qu’il en rajouta une couche bien épaisse quand ce dernier ressortit la tête de l’eau, se moquant et riant de la situation. « T’as commencé une guerre, Ruben. » Il fit une petite moue faussement désolée. « J’ai peur. » Il était confiant - la faute à qui, à lui faire des compliments alors qu’il prenait le melon déjà rapidement seul. « Et je suis pas sûr que tu puisses la gagner. » - « Tu penses vrai-… » Il n’eut même pas le temps de lui faire un joli petit discours comme quoi il n’aurait pas sciemment démarré une guerre qu’il n’était presque sur de pas pouvoir gagner, qu’Ambrose lui faisait basculer à son tour dans l’eau, Ben ayant juste le temps de se boucher le nez pour ne pas boire la tasse avant de finir immergé. « Mince, j’ai glissé, j’espère que tu m’en veux pas. » Dans un rire, il reprenait un bol d’air en sortant la tête de l’eau, passant ses mains autant sur son visage pour éliminer les gouttes de ses yeux que dans ses cheveux pour repousser ces derniers en arrière alors qu’ils étaient venus envahir son visage. Et il allait faire un commentaire, bien sur qu’il allait en faire un - mais il fut pris de cours par le baiser déposé par Ambrose au creux de son épaule, comme pour montrer son innocence. « Tu vas pas t’en sortir si facilement tu sais. » Mais rien qu’à voir le sourire et le petit rire qu’il ajouta à cette instant, bien sur que si Rose allait s’en sortir si facilement - parce-qu’au lieu de le noyer une seconde fois, la main de Ben attrapa le visage du brun pour l’attirer à lui et lui voler un baiser sans retenu. Rapidement interrompu par une vague qui avait décidé d’entrer dans la bataille elle aussi, apparement, mais qui arracha un rire au futur médecin - lui faisant boire légèrement la tasse au passage. Il finit par se mettre à genoux dans le sable, toussa quelques fois pour extirper l’eau entrée par erreur dans ses poumons, riant toujours comme un enfant cependant. « On peut dire un partout et KO par les vagues, si tu veux. Pour aujourd’hui. » Parce-qu’effectivement, s'il avait déclenché une guerre, cette dernière perdurerait sur plusieurs combats et cela les pousserait à devoir se rendre plusieurs fois au bord de l’eau pour statuer le reste des points à répartir. Quel dommage.
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Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
« Je t’accorde le point. Pour cette fois. » Et pour une fois que sa famille lui apporte des points, il serait bien le dernier à s’en plaindre. Généralement, elle se contente de lui ramener des problèmes, et Ambrose de l’aimer malgré tout. Il pense déjà qu’il en est de même pour Ruben, à en juger par la façon qu’il a de présenter ses frères, ce qui pousse Ambrose à se montrer un peu plus curieux à leur sujet encore. La première réponse de Ruben à sa question se résume à des mains qu’il pose autour de ses hanches pour mieux l’attirer contre lui ensuite, ce qui suffit sûrement à ce que le benjamin Constantine oublie la nature même de sa question. Il se sent désiré, et à ses yeux cela vaut toutes les discussions du monde. « Sérieux, oui. A l’international. Mais comme tu le savais pas jusque maintenant, j’en déduis que tu suis pas le sport et c’est tant mieux. » Il fronce le bout de son nez, donnant par la même occasion raison au futur médecin. “J’essaie. Un peu.” Il doit s’y connaître dans tous les domaines, mais il faut avouer que ses efforts dans le sport se portent plutôt sur le football australien que sur le rugby. Mais maintenant qu’il sait que son frère joue à l’international, cela le poussera peut-être à s’intéresser au sujet, qui sait. « Et non, le troisième est pas astronaute il est policier. » - “Ca doit être animé, vos repas de famille.” Et il ne le dit pas en se moquant, loin de là. Il trouve admirable la diversité des parcours au sein d’une même fratrie et il est impressionné par la capacité qu’au eu chacun des frères à se frayer un chemin dans une voie bien différente, évidemment pour le meilleur.
Rapidement, toute discussion moindrement sérieuse laisse place à une querelle enfantine, l’un l’autre se coulant à tour de rôle avec toute l’absence de délicatesse typique de la gente féminine. Les phrases sont coupées en plein élan, les poumons risquent à chaque instant de se remplir d’eau, mais ils ont au moins le mérite de se laisser reprendre leur souffle de temps à autre. C’est d’ailleurs lorsque Ruben reprend le sien qu’Ambrose en profite pour tenter de lever le drapeau blanc à sa manière, dans la façon qu’il a d’embrasse tendrement le creux de l’épaule de Ruben, sans le moindre commentaire superflus. « Tu vas pas t’en sortir si facilement tu sais. » Et il est assez impétueux pour penser que Ruben ne s’apprête pas à l’amadouer pour mieux lui plonger la tête sous l’eau l’instant d’après. Au contraire, ce dernier profite plutôt de l’instant pour lui dérober un baiser, geste que le brun apprécie à sa juste valeur comme en témoigne la rapidité avec laquelle il oublie tout plan de vengeance pour plutôt se concentrer sur l’instant présent, sa main à son tour posée contre la nuque du futur médecin. “C’est de cette façon que je m’en sors pas aussi facilement ?” Il rétorque, le regard brillant et conquérant, ô combien victorieux sur tous les fronts. La vague les repousse rapidement et tend à donner tort à Ambrose, mais surtout à Ruben qui accuse quelques secondes de toux nécessaires pour retrouver un peu d’air et non d’eau. « On peut dire un partout et KO par les vagues, si tu veux. Pour aujourd’hui. » Ambrose en rigole à son tour, la légèreté n’arrivant qu’après que Ruben ait réussi à retrouver son souffle. Il accepte le résultat final de la compétition, luttant déjà contre les vagues descendantes pour retrouver place sur la plage, d’où il sort une serviette de son sac avant de la poser contre le sol.
Il s'assoit sur le côté seulement, laissant à Ruben la possibilité de prendre à son tour place sur l’autre pan de ladite serviette. Sous la chaleur étouffante de l’Australie, ils ne risqueront pas de prendre froid, même si le soleil levé que depuis quelques heures. Lorsque Ruben se place enfin à ses côtés, Ambrose se laisse naturellement retomber contre lui, son visage trouvant place contre son épaule. “Je sais que c’est pas envisageable, mais je dis juste que si on pouvait rester comme ça un peu plus longtemps que prévu, ça me dérangerait pas.” Mais il sait que Ruben n’a pas le temps, et il ne l’a pas non plus.
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Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13373 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
Le froncement du nez d’Ambrose indiqua avant même qu’il ne le formule à haute voix que Ruben avait raison - ce qui n’était pas pour lui déplaire, mais il ne fit pas le moindre commentaire. « J’essaie. Un peu. » Il esquissa un petit sourire amusé, là, au coin de ses lèvres. « C’est pas toujours très intéressant, tu loupes rien. » Et surtout, ce n’était pas lui qui allait lui faire la moindre remarque sur cette partie là de l’histoire, puisque si son propre frère ne faisait pas partie du haut du tableau il ne suivrait même pas de loin ce qui pouvait bien s’y passer. Il excellait dans bien des domaines, Ruben, mais le sport n’était pas véritablement le sien et il n’essayait pas de s’y raccrocher, ne désirant pas être associé d’une quelconque façon à son ainé. S’il aurait s’agi là de Jackson, peut-être que les choses auraient été différentes - elles l’auraient été sans trop de doute, effectivement -; mais lorsque c’était Rhett dont il était question… tout changeait toujours. « Ca doit être animé, vos repas de famille. » Bien sur que la remarque cette fois-ci arracha un petit rire à Ben. « Je me rappelle pas m’être ennuyé une seule fois. » Il était même plutôt du genre à ressortir de ces repas de famille énervé plutôt qu’ennuyé, mais c’était là uniquement parce-qu’il aurait préféré que Rhett soit présent et non planqué à l’autre bout du monde à se pavaner sur un terrain d’herbe. « Mon frère, le rugbyman, est en Angleterre en ce moment donc c’est assez calme autour de la table. » Ce n’était que lorsqu’ils étaient tous présents que les choses ne savaient pas garder leurs calmes - était-ce là une coïncidence ? Ruben ne pensait pas.
« Trois grands frères, alors ? Et tu penses que ça va te suffire pour aujourd’hui ? » D’avoir cette expérience pour réchapper à l’esprit taquin et joueur de Ruben ? Bien sur qu’il était on ne pouvait plus sérieux avec le début de sa question - il désirait bien ne apprendre davantage sur la famille de Rose, si ce dernier était enclin à lui en donner un peu plus -, mais la seconde partie était quant à elle tout fait exprimée pour lui faire comprendre qu’il n’avait pas non plus toutes les armes du monde entre les mains pour se défendre et qu’il allait à son tour finir à l’eau. L’un tomba à la renverse, l’autre en fit de même quelques instants plus tard - ou peut-être était le contraire, cela n’avait pas réellement d’importance. Ce qui importait surtout, c’était qu’en guise de vengeance ultime, Ben arracha un baiser à Rose, le genre à leur faire perdre haleine. « C’est de cette façon que je m’en sors pas aussi facilement ? » - « Shhhhhh. » Il lui déroba un second baiser, aussi passionné que le premier, avant qu’ils ne se fassent balayer par les vagues, que lui boive la tasse et qu’ils soient finalement tous les deux obligés de rejoindre le rivage pour se poser.
Une serviette sortie du sac, étendue sur le sable et quelques instants en plus plus tard, alors qu’il s’était remis de sa petite noyade, il se laissa presque choir sur le tissu avant qu’Ambrose ne se love contre lui. Passant en automatique son bras autour de lui quand il déposa sa tête contre l’épaule de Ben, ce dernier laissa échapper sans s’en rendre compte un soupire de contentement: il y avait vraiment pire comme situation, que de passer du bon temps à la plage avec quelqu’un qui vous regardait et vous parlait comme Ambrose le faisait avec lui; il ne le dirait jamais à haute voix, mais il avait l’impression que son coeur et son égo se retrouvaient emballer d’une chaleur particulièrement salvatrice lorsqu’il se retrouvait comme ça. « Je sais que c’est pas envisageable, mais je dis juste que si on pouvait rester comme ça un peu plus longtemps que prévu, ça me dérangerait pas. » Laissant un silence, et un autre passer, il finit par légèrement tourner son visage dans la direction de Rose plutôt que de celle de la mer, et par relever le visage du jeune homme du bout de son index libre. « On est pas si pressés que ça, non ? » Ils avaient mille choses de prévues ici, ailleurs, mais ils n’étaient pas à une poignée de minutes non plus - ils pouvaient se permettre de souffler un brin, de profiter de l’instant présent. Déposant avec délicatesse un baiser sur le nez du brun, Ben étira un petit sourire. « Reste un peu comme ça, là. » Parce-que l’image qu’il avait sous les yeux le satisfaisait pleinement, et qu’en cet instant il n’avait pas besoin de bien plus. Ils ne pourraient pas se permettre de rester là indéfiniment, mais ils pouvaient se permettre de souffler un instant ou deux, rien que tous les deux, avec le bruit des vagues qui viendraient bientôt déjà manger leurs pieds de toutes façons en gagnant du terrain sur le rivage.