ÂGE : 40 ans (5 Avril 1984) SURNOM : G ; le tyran par sa petite soeur ; Le Grinch mais il ne vaut mieux pas l'appeler ainsi en sa présence STATUT : Célibataire. Les relations de couple ne l'intéressent pas. Elle n'a pas de temps à perdre avec cela. MÉTIER : Agent artistique. Elle est l'associée de Sergio Gutiérrez à la GCA. Si son nom n'apparait pas encore dans le nom de l'entreprise elle compte bien y remédier. LOGEMENT : 500 water street, Spring Hill, dans un loft dont la décoration outrageusement chère et flamboyante n'est due qu'au talent d'un décorateur d'intérieur. POSTS : 3420 POINTS : 0
TW IN RP : Manipulation - Drogue - Sexualité - Alcool TW IRL : xGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Elle est déterminée et prête à tout pour obtenir ce qu'elle désire – Si elle paraît sympathique et solaire, c'est en réalité un véritable requin – Lorsqu'elle n'est pas obligée d'être sur son 31, Gayle adore traîner en sur-vêtement et jouer à des jeux vidéos – Grande amatrice de vin, elle ne refuse jamais un verre – Elle aime sa sœur plus que de raison et la surprotège quitte à parfois en être étouffante – Elle adore le football ainsi que le basket et ne dit jamais non à une petite partie – Elle ne croit pas en l'amour mais ne dit jamais non à une partie de jambes en l'air CODE COULEUR : [color=#cc0066][b] RPs EN COURS :
A peine l'avait-elle remarqué au bout de l'allée que Marley faisait déjà demi-tour. Il était en vie et c'était tout ce dont elle avait besoin de savoir avant de pouvoir quitter les lieux. S'il avait réussi à revenir jusqu'à sa voiture, conduire jusqu'à l’hôpital, la clinique, le vétérinaire ou même sa mère ne devrait pas lui poser de problème. Elle grimpa donc rapidement dans son véhicule et glissa la clé dans le neiman afin de pouvoir démarrer. Elle tourna la clé une fois, puis, deux mais rien ne se produisit si ce n'était un bruit de moteur ronflant. La maquilleuse fronça les sourcils et cessa son petit manège, observant le vieillard qui arrivait jusqu'à sa voiture. Elle l'observa quelques instants tout en se demandant ce qu'il pouvait bien être en train de faire. Au lieu de monter dans sa voiture, le voilà qui tournait autour et qui semblait la regarder sous tous les angles. A cet instant la brune comprit. Il pensait qu'elle l'avait rayée ou qu'elle avait crevé les pneus. Un soupir d'agacement lui échappa tandis qu'elle se faisait la réflexion que c'était définitivement un véritable connard. Elle lui avait certes pété le nez mais cela avait été plus un accident qu'autre chose, un réflexe d'auto-défense. S'attaquer à sa voiture aurait été prémédité et la jeune femme n'avait aucun intérêt à agir de la sorte.
Elle détourna le regard et se concentra sur sa clé qu'elle s'obstinait à faire tourner. Rien n'y faisait, la voiture refusait de démarrer. Il fallait qu'elle arrête d'insister ou bien elle risquait de noyer le moteur. La frustration grandissait en elle tandis qu'elle essayait par tous les moyens de rester impassible. Elle n'était pas dupe, l'homme qui se trouvait à côté d'elle devait se délecter de la situation. Elle ne sut d'ailleurs pas résister et tourna la tête pour l'observer. Lorsqu'elle le vit rire, ses mains se serrèrent sur son volant. La mâchoire crispée, Marley bouillonnait. Il démarra sans la moindre difficulté et se mit à sa hauteur. Sur l'instant, la métisse crut naïvement qu'il allait l'aider mais au contraire, il fit vrombir son moteur et démarra à tout allure. De rage, la jeune femme sortit le bras par la fenêtre et lui fit un bras d'honneur. Quel enfoiré ! Elle espérait qu'il allait souffrir le martyr lorsqu'on essaierait de lui remettre le nez en place.
La jeune femme sortit son téléphone afin d'appeler à l'aide. Instinctivement elle allait composer le numéro de Jackson mais finit par se raviser. Non, ce n'était pas parce qu'il l'entraînait et qu'il lui avait porté secours dans la ruelle qu'elle pouvait le contacter pour tout et n'importe quoi. Son doigt glissa jusqu'à Swann et après s'être mordu la lèvre, la brune abandonna aussi l'idée. Elle l'avait assez dérangé ces derniers temps. Dans un soupir, elle appela donc un taxi, choisissant de laisser son véhicule sur place. Elle viendrait le récupérer le lendemain avec un garagiste.
Ce fut donc épuisée par sa course, agacée par sa panne mais fière de savoir qu'elle était capable de se défendre, qu'elle rentra chez elle, prête à faire abstraction de sa rencontre impromptue avec ce type qu'elle espérait ne jamais recroiser. Des connards elle en avait rencontrés, mais des comme lui : Jamais.
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'Cause girls is players too
Bitches gettin' money all around the world 'Cause girls is players too What you know 'bout livin' on the top Penthouse suites, lookin' down on the opps? Took him for a test drive, left him on the lot Time is money so I spent it on a watch, hol' on