ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1047 POINTS : 80
TW IN RP : troubles alimentaires, drogues, sexualisation GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : obsédée par son apparence, déformation professionnelle ≈ vit une vie de rêve selon son instagram ≈ bricoleuse talentueuse ≈ oiseau matinal ≈ court, boxe, use les bancs de la salle de sport ≈ bénévole auprès de patients atteints d'alzheimer ≈ végétarienne ≈ son passif dans le mannequinat l'a amenée à coucher, poser pour des magazines érotiques et consommer de la drogue ≈ chantonne en permanence ≈ aspire à se marier à un bon parti pour arrêter de se soucier de la vie ≈ possède trois cochons d'inde : hobbs, eugene et ultra.RPs EN COURS :
It was a bad idea calling you up. Was such a bad idea, I'm totally fucked. It was a bad idea to think I could stop. Was such a bad idea, I can't get enough. It was a bad idea needing you so late. Was such a bad idea 'cause I can't think straight
Son téléphone encore entre les mains, Emery le contemplait avec le regard de la personne qui venait de faire une connerie monumentale. Probablement parce que c'était le cas. La soirée était pourtant paisible avant cela. Mason n'était pas à la maison ce soir, et elle n'avait rien de prévu. Cela avait été l'occasion de passer un temps infini dans un bain parfumé, de faire tous les soins possibles et imaginables sans se faire engueuler pour monopoliser la salle de bain. Ce mois ci avait été aussi incroyable qu'épuisant. Le vent avait enfin tourné en sa faveur et elle avait obtenu ce contrat chez Weatherton. Ce n'était pas encore de quoi la faire vivre totalement, elle n'était pas une égérie après tout. Juste l'un des nouveaux visages pour cette nouvelle collection, le mannequin qu'on verrait dans les magazines de mode avec ces vêtements de haute couture sur la peau. Le contrat était pour l'instant temporaire mais il pourrait lui ouvrir des portes. En attendant, elle avait dû apprendre à diviser son temps entre être la poupée parfaite pour ce rôle, assurer son mi-temps au sex-shop, et continuer son bénévolat au centre. C'était excitant mais épuisant, et elle aurait dû profiter de cette soirée pour se reposer. C'était ce qu'elle avait commencé à faire en s'installant sur le canapé, une série lancée, une bouteille de vin sur la table basse, les cochons d'inde en train de faire leur vie dans le salon. Mais il avait fallu qu'elle ouvre instagram, qu'elle ait la curiosité malsaine d'ouvrir la story de Cesar. Son cœur avait fait un bond désagréable dans sa poitrine en comprenant qu'il était encore de sortie avec une autre fille. Elle avait parcouru le profil de son rencard du soir, et la jalousie avait pris le pas sur la raison. Elle n'avait même pas réfléchi en lui envoyant ce message, ou ressenti la moindre culpabilité à exiger sa présence. Bien sûr que non elle n'avait pas envie de le voir initialement, l'idée ne lui aurait pas effleuré l'esprit. Ils n'étaient plus ensemble, et elle aussi voyait des gens depuis Cesar. Dont Reid, l'homme parfait dont elle abusait la patience et la générosité depuis quelques temps. Ce n'était pas faute d'avoir essayé de se lancer dans une relation avec. Mais quoiqu'il fasse, elle en revenait toujours à repenser à Cesar. Reid pouvait faire ce qu'il voulait, fréquenter qui il voulait, elle n'en avait pas grand chose à faire. Cesar en revanche faisait naître chez elle une possessivité malsaine qu'elle aurait dû taire. Sauf que maintenant, c'était trop tard. Il allait venir, et elle ne pourrait pas le laisser à la porte, même si elle ne voulait toujours pas lui parler ou essayer de reprendre leur relation là où ils l'avaient laissée avant le nouvel an. Elle ne parvenait toujours pas à le pardonner et se laissait consumer de l'intérieur plutôt que de passer à autre chose.
Il lui fallut bien deux minutes avant de sauter du canapé, soudainement frappée par la réalité. Elle était en pyjama, pas maquillée ou coiffée. Rien qui ne ferait voir à Cesar ce qu'il ratait en allant voir ailleurs. Comme une tempête, elle déboula dans sa chambre, ouvrit son placard à la volée. Les options n'étaient pas infinies. Elle voulait quelque chose qui lui ferait sortir les yeux du crâne tel le loup de Tex Avery. Une tenue décontractée ne ferait pas l'affaire. La classique petite robe noire non plus. L'élégance n'irait pas avec cette invitation provocatrice. Finalement, son regard se posa sur ses vêtements de nuit et notamment cette nuisette en satin bleu nuit. Pour être provocateur, ce le serait. Ceci dit, elle voyait difficilement plus efficace pour lui faire perdre ses moyens et éviter cette discussion qu'elle ne voulait pas. "Et puis merde." Elle se débarrassa de son pyjama pour le remplacer par ladite nuisette avant de filer droit vers cette salle de bain qu'elle avait déjà trop occupée. La bonne nouvelle était qu'au moins, sa peau rayonnait. Fébrilement, elle attrapa sa trousse à maquillage pour essayer de faire des miracles en un temps record. Eye-liner, mascara, yeux de biche check. Teint, check. Bouche rosée, check. Elle n'avait pas le temps pour tenter quoique ce soit au niveau de sa coiffure, ses boucles ne présentant aucune forme de discipline. Mais le style allait plutôt bien avec sa tenue. Le bruit de la sonnette la fit sursauter. Cesar ne s'était vraiment pas fait désirer. Un coup de parfum, et Em descendit les escaliers en vitesse, non sans un détour vers le salon pour récupérer son verre de vin et feinter un certain flegme, celui qui laisserait penser qu'elle l'attendait sans rien faire depuis leurs messages. Elle ouvrit la porte sans se presser en apparence. "T'as été rapide." Elle lui sourit avant de se décaler pour lui faire signe d'entrer. La première chose qu'elle remarqua, c'était qu'il avait fait un sacré effort en allant à ce rencard. C'était peut-être la première fois qu'il voyait cette Cassie, mais ça ne l'avait pas empêché de mettre les formes. Ne pas laisser la jalousie transparaître sur ses traits lui demanda un sacré effort. Elle le dissimula parfaitement en s'avançant dans le salon, consciente d'avoir toute son attention. Elle fit un crochet par la cuisine ouverte pour attraper un deuxième verre qu'elle vint remplir sans demander à Cesar si cela l'intéressait. La vérité, c'était qu'elle n'était pas sûre de comment gérer cette situation, et la sobriété n'aiderait pas. "Si j'avais su que tu serais occupé ce soir, je t'aurais prévenu en avance. J'aurais dû m'en douter, t'as été plutôt proactif." Elle vint lui donner son verre, se rapprochant plus que nécessaire pour affronter son regard. Il n'était pas difficile de savoir à quoi elle faisait référence. Elle avait vu les stories, les dates accumulés, cette soudaine vie sociale. Elle détestait le fait que cela réussisse autant à lui mettre les nerfs en pelote. Elle se détourna finalement pour aller s'installer sur le canapé, replier ses jambes sous elle en ayant parfaitement conscience de ses cuisses dévoilées. "Désolée d'avoir ruiné ton rencard." Elle ne l'était pas. En fait, elle n'avait plus l'intention de prétendre que l'invitation était innocente. Ce serait se moquer du monde.
How many times do I have to learn my lesson, before I learn my lesson ? No, somebody help me, please tell me that I'm dreaming. I keep repeating my actions expecting different reactions but the same thing keeps on happening • sheepirl.
Cesar Gutiérrez
l'enfant terrible
ÂGE : 23 ans (12 janvier 2001) SURNOM : Cesabruti par Maisie STATUT : En couple avec Emery depuis le mois de juin 2023, peu elle lui a pardonné et chacun est prêt à faire des efforts pour construire une relation saine MÉTIER : Maçon pour payer les factures, artiste qui rêve de faire de sa passion son métier LOGEMENT : #18 James street à Fortitude Valley, en colocation avec Kieran. Fini la grande maison avec Mama et Ale, enfin l'indépendance POSTS : 2000 POINTS : 0
TW IN RP : Langage cru, violence, dépression TW IRL : Violence sexuelleGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Artiste qui ne vit que pour sa passion > Lauréat d'un prestigieux concours d'art dans la catégorie artiste émergent, un prix qui remet ses choix de carrière et de vie en question > une gestion de la colère et des émotions approximative > Immature, c'est un gamin qui a encore beaucoup à apprendre (et surtout à fermer sa gueule) > il a renoué avec Sergio qu'il appelle désormais Papa > très loyal et protecteur pour les gens qu'il aime et qu'il estimeCODE COULEUR : #0066ff RPs EN COURS : (maj le 06/09/2024)
Les gugus > Scattered 'cross my family line. I'm so good at telling lies. That came from my mother's side. Told a million to survive. Scattered 'cross my family line. God, I have my father's eyes. But my sister's when I cry, I can run, but I can't hide from my family line.
Je suis parti comme un voleur, et le mot est faible. J’ai planté Cassie en inventant une excuse bidon. Je sais c’est moche, ça ne se fait absolument pas et il doit y avoir ma photo à côté de la définition de “salaud” dans le dictionnaire. Tant pis, de toute façon je pense que j’ai déjà une place en carré vip en enfer. Je suis sûr que Cassie n’a pas gobé un seul mot de ce que j’ai dit mais je suis parti vite pour ne pas lui laisser l’occasion de me prendre la tête. Je n’ai ni le temps ni l’envie de me retrouver au milieu d’une embrouille en plein bar. Quand j’ai reçu le message d’Em je n’en revenais pas. De voir qu’elle regardait mes stories et de savoir qu’elle était jalouse ça a boosté mon égo et ça m’a redonné un peu d’espoir. Alors je n’ai pas hésité longtemps. Quand elle m’a envoyé son adresse -nouvelle adresse d’ailleurs- j’ai répondu que je serais là dans 20 minutes. Le temps pour moi de planter Cassie et de prendre un bus pour la rejoindre. Elle me manque bien trop pour que je perde mon temps avec une fille sans intérêt, et puis si j’avais refusé j’aurais peut-être gâché ma seule chance de la revoir un jour. J’ai l’impression d’être plus que pathétique en me précipitant chez elle au premier message mais je m’en fiche. Depuis qu’elle est partie je me sens vide et on peut le dire clairement : je suis parti en couilles. Je sais que je fais n’importe quoi depuis mais j’y arrive pas. J’arrive pas à remonter la pente, à tourner la page et l’oublier. Elle est bloquée dans ma tête et ça me rend fou depuis un mois. J’ai encore moins goût en rien, c’est encore pire qu’avant et l’addiction pour les sites de rencontres que j’ai développée n’a rien arrangé, au contraire.
Dans le bus j’ai la boule au ventre, comme si j’allais passer un examen important ou un truc du genre. J’ai peur de ce qu’il pourrait se passer. Peur qu’elle ne veuille plus finalement me voir et de me faire jeter une nouvelle fois. Je sais pas comment je tiens le coup depuis qu’elle m’a brisé le cœur la première fois, je sais pas si je serais assez solide pour supporter ça une deuxième fois. Je respire un grand coup quand je sors du bus et que je me dirige vers l’adresse qu’elle m’a indiquée. J’ai pris quelques secondes avant de sonner, pour me donner du courage et essayer d’avoir l’air confiant et sûr de moi. C’est bien la première fois que quelqu’un m’intimide comme ça et arrive à me faire trembler. Qu’est-ce que je suis censé lui dire ? Salut ? Tu m’as manqué ? Tu vas bien ? Ok c’est la panique, je dois faire comment moi ? Je suis en train de me dire que j’aurais peut-être dû réfléchir deux minutes avant de me précipiter chez elle parce que je suis totalement perdu. Mais plus le temps de faire demi-tour, la porte s’ouvre. "T'as été rapide." Wow, elle est plus que canon. Elle me sourit avant de se décaler pour me laisser entrer et j’essaie de cacher ma surprise. “J’étais pas très loin.” C’est faux, j’étais pas à côté mais je me suis dépêché de venir. C’est bon j’en suis sûr maintenant je suis complètement pathétique. Je la regarde s’éloigner pour aller dans la cuisine et attraper un verre. "Si j'avais su que tu serais occupé ce soir, je t'aurais prévenu en avance. J'aurais dû m'en douter, t'as été plutôt proactif." J’attrape le verre qu’elle tend et sa remarque passive agressive m’atteint de plein fouet. Super en fait elle m’a fait venir pour me prendre la tête ? Si c’est pour écouter des reproches je serais resté chez moi, ma mère m’en fait suffisamment au quotidien. “C’est un reproche que tu me fais ?” Parce que si elle m’a fait venir pour m’engueuler c’est parfaitement cruel et même si je tiens énormément à elle je ne resterais pas si c’est le cas. Elle s’installe dans le canapé et je m’assieds à côté d’elle. "Désolée d'avoir ruiné ton rencard." Le rencard avec Cassie de ce soir c’est vraiment le dernier de mes soucis. Il n’avait rien d’exceptionnel. “C’était pas terrible t’en fais pas.” Je hoche légèrement les épaules avant de boire une gorgée de vin. “Je m’attendais à ce que tu m’envoies un message.” Mon regard la regarde discrètement de bas en haut, décidément elle est encore plus belle que la dernière fois qu’on s’est vus.
***:
Emery Dawson
les faux-semblants
ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1047 POINTS : 80
TW IN RP : troubles alimentaires, drogues, sexualisation GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : obsédée par son apparence, déformation professionnelle ≈ vit une vie de rêve selon son instagram ≈ bricoleuse talentueuse ≈ oiseau matinal ≈ court, boxe, use les bancs de la salle de sport ≈ bénévole auprès de patients atteints d'alzheimer ≈ végétarienne ≈ son passif dans le mannequinat l'a amenée à coucher, poser pour des magazines érotiques et consommer de la drogue ≈ chantonne en permanence ≈ aspire à se marier à un bon parti pour arrêter de se soucier de la vie ≈ possède trois cochons d'inde : hobbs, eugene et ultra.RPs EN COURS :
It was a bad idea calling you up. Was such a bad idea, I'm totally fucked. It was a bad idea to think I could stop. Was such a bad idea, I can't get enough. It was a bad idea needing you so late. Was such a bad idea 'cause I can't think straight
C'était un jeu dangereux, parfaitement toxique aussi. Tristement, Emery n'était pas à son coup d'essai pour les relations foireuses. Mais c'était bien la première fois qu'elle était à l'initiative d'un comportement aussi nocif. C'était de la possessivité à l'état pur, une manière pour elle de décréter que si elle ne pouvait pas avoir Cesar, alors personne ne l'aurait. Il n'aurait pourtant suffit que d'un mot, un geste, et elle savait qu'elle pourrait le récupérer. Mais elle continuait d'avoir peur pour une raison qu'elle ne savait pas trop expliquer. Peur d'être blessée à nouveau. Peur que le brun merde encore et la pousse à rompre. Elle n'était pas totalement à blâmer de se comporter comme une conne et de de vouloir se venger, pour l'heure, ce n'était juste pas sain. Des états d'âme que la blonde avait pourtant mis de côté dès qu'elle avait ouvert la porte, retrouvant le masque d'une jeune femme sûre d'elle et de ses envies. Il lui avait tellement mis le cœur et les idées en vrac que Em ne sut même pas quoi en penser à le découvrir sur le pas de sa porte. Il y avait cette foutue affection qu'elle lui portait bien sûr, celle qui ne demandait qu'à le retrouver. Il y avait la rancœur qui avait envie de faire les pires choses pour se venger. La tristesse également qui constatait cette distance entre eux sans se sentir capable de la combler. Elle ne savait pas ce qu'elle attendit de lui. Son ego cependant releva le mensonge. Elle connaissait le bar où il était et c'était loin, très loin d'être dans le quartier. Même si avait décidé de prendre un uber, cela signifiait tout de même qu'il n'avait pas hésité longtemps à fausser compagnie à Cassie. Heureusement qu'il l'avait fait. Autrement, Em se doutait que le coup porté à son estime aurait été extrêmement compliqué à encaisser. Pour l'instant, elle avait le dessus dans leur relation. Elle était en contrôle. "Pourquoi je te le reprocherais ?" Elle opta pour le jeu de l'innocente en lui tendant son verre, haussa un sourcil. Bien évidemment qu'elle ne voulait pas qu'il fréquente qui que ce soit d'autre. Mais elle avait lancé les hostilités, avait été la première à le remplacer, à combler le vide qu'il avait laissé. Elle ne s'en était même pas cachée, transformant son fil instagram en vitrine de rendez-vous galants. La différence entre eux deux était juste qu'elle n'enchainait pas les rencards, se contentait d'un seul homme. D'une part, parce que c'était un gain de temps. D'une autre, parce que c'était plus facile de faire payer son erreur à Cesar en lui laissant croire qu'elle avait trouvé mieux que lui. Cette rupture faisait définitivement ressortir le pire de qui elle était. "Ravie de rendre service, alors." Leur date s'était tout de même assez bien passé pour qu'il la voit, la tague, laisse savoir au monde qu'ils passaient la soirée ensemble. Un avis qu'elle passa sous silence, digéra d'une gorgée de vin. C'était pour elle aussi une occasion de réfléchir précautionneusement à sa réponse et de savoir comment elle allait bien pouvoir jouer cette partie. "Je ne m'attendais pas à ce que tu y répondes." Elle avait juste fortement supposé qu'il le ferait. Qu'il l'a rejoigne directement, c'était l'élément de surprise pas anticipé. "J'étais seule ce soir et j'ai commencé à penser à toi." Elle aurait aimé que ce ne soit pas aussi souvent, qu'elle puisse passer ne serait-ce qu'une journée sans ressentir cette sensation de manque rien qu'en revoyant son visage. "Vois ça comme un moment de faiblesse parce que je sais que j'aurais jamais dû t'envoyer ce message. Encore moins te dire de venir." Elle finirait par le regretter amèrement. Elle en avait parfaitement conscience et pourtant, ses doigts venaient de se mettre à courir sur l'avant-bras du jeune homme, initiant un contact aussi sage que dangereux. "Mais il faut croire que j'ai le chic pour prendre de mauvaises décisions quand ça te concerne." Elle prit une nouvelle gorgée, guettant sa réaction sur le canapé. "Et t'avais pas l'air contre une mauvaise idée. Parce que tu n'étais pas du tout à côté d'ici." Cette fois-ci, e''et planta son regard dans le sien, le mettant silencieusement au défi de lui servir un nouveau mensonge.
How many times do I have to learn my lesson, before I learn my lesson ? No, somebody help me, please tell me that I'm dreaming. I keep repeating my actions expecting different reactions but the same thing keeps on happening • sheepirl.
Cesar Gutiérrez
l'enfant terrible
ÂGE : 23 ans (12 janvier 2001) SURNOM : Cesabruti par Maisie STATUT : En couple avec Emery depuis le mois de juin 2023, peu elle lui a pardonné et chacun est prêt à faire des efforts pour construire une relation saine MÉTIER : Maçon pour payer les factures, artiste qui rêve de faire de sa passion son métier LOGEMENT : #18 James street à Fortitude Valley, en colocation avec Kieran. Fini la grande maison avec Mama et Ale, enfin l'indépendance POSTS : 2000 POINTS : 0
TW IN RP : Langage cru, violence, dépression TW IRL : Violence sexuelleGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Artiste qui ne vit que pour sa passion > Lauréat d'un prestigieux concours d'art dans la catégorie artiste émergent, un prix qui remet ses choix de carrière et de vie en question > une gestion de la colère et des émotions approximative > Immature, c'est un gamin qui a encore beaucoup à apprendre (et surtout à fermer sa gueule) > il a renoué avec Sergio qu'il appelle désormais Papa > très loyal et protecteur pour les gens qu'il aime et qu'il estimeCODE COULEUR : #0066ff RPs EN COURS : (maj le 06/09/2024)
Les gugus > Scattered 'cross my family line. I'm so good at telling lies. That came from my mother's side. Told a million to survive. Scattered 'cross my family line. God, I have my father's eyes. But my sister's when I cry, I can run, but I can't hide from my family line.
Je suis plus que stressé lorsque je sonne chez elle. Est-ce que j’ai bien fait de venir directement ? Est-ce que j’aurais dû attendre un peu et aller au bout de mon date avec Cassie ? J’aurais peut-être jamais dû venir. C’est peut-être une énorme connerie, j’ai agi sans réfléchir, comme d’habitude. J’ai peur que ça soit bizarre puisque la dernière fois qu’on s’est vus c’était dans mon jardin quand elle me larguait. Pourtant c’est avec un grand sourire qu’elle m’accueille. J’entre, mon cœur bat vite et elle me balance quelque chose que j’interprète comme un reproche. Je lui demande si c’en est un, parce que même si je tiens à elle je ne suis pas venu pour me faire engueuler. "Pourquoi je te le reprocherais ?" La réponse m’étonne et ça me surprend. Je m’attendais déjà à attendre des choses dans le genre de “tu me dis que t’as des sentiments pour moi et tu as des dates tous les jours ? T’es qu’un gros con”. Mais non, ça ne la dérange pas. “J’en sais rien.” Alors là je suis complètement perdu. Elle n’est pas fâchée ? Alors ça c’est surprenant. Je la suis quand elle se dirige vers le canapé et elle s’excuse d’avoir gâché le date avec Cassie. Ah oui Cassie. C’est vrai que j’ai pas été cool de la planter comme ça, mais bon tant pis c’est trop tard et de toute façon il ne serait rien passé d’extraordinaire entre nous. "Ravie de rendre service, alors." Je bois quelques gorgées de vin pour me donner du courage et je lui avoue que je suis surpris d’avoir reçu un message de sa part. "Je ne m'attendais pas à ce que tu y répondes." Je suis sûrement un mec pathétique et désespéré mais je n’aurais jamais pu laisser un message comme ça en vu. J’ai espéré recevoir des nouvelles de sa part tous les jours depuis le 14 février et je commençais à perdre espoir. Je me disais que c’était mort, que j’avais tout foutu en l’air et qu’elle ne voudrait plus jamais me voir. “Mais pourquoi ce soir en particulier ?” C’est la vraie question, est-ce que c’est le fait de savoir que j’avais un date qui l’a décidée ou est-ce qu’il y a autre chose ? "J'étais seule ce soir et j'ai commencé à penser à toi." “Seule”, est-ce qu’elle parle de son nouveau mec ? De quelqu’un d’autre ? L’appartement a l’air bien grand pour qu’elle y habite seule, elle parle peut-être de son colocataire. J’en sais rien et je crois qu’en fait j’ai pas envie de savoir. “Penser à moi ? Ah oui ?” J’ai un petit sourire, ça me fait plaisir d’entendre ça, de savoir que je lui manque peut-être de temps en temps. "Vois ça comme un moment de faiblesse parce que je sais que j'aurais jamais dû t'envoyer ce message. Encore moins te dire de venir." Je ne sais pas comment interpréter ça, je ne suis finalement pas tellement le bienvenu ici. Enfin c’est ce que je me dis jusqu’au moment où elle se met à caresser mon avant-bras. "Mais il faut croire que j'ai le chic pour prendre de mauvaises décisions quand ça te concerne. Et t'avais pas l'air contre une mauvaise idée. Parce que tu n'étais pas du tout à côté d'ici." Bon elle a découvert mon petit mensonge. Oui j’étais plutôt loin et si je suis arrivé aussi vite c’est parce que j’ai laissé Cassie en plan juste après avoir reçu l’adresse avant d’aller prendre le bus. J’ai eu de la chance parce que le bus est passé en avance mais je me suis pressé et ça je ne peux plus le nier visiblement. Je fais vraiment pitié quand même. “Bon d’accord, j’avais hâte de te voir pour ma défense.” Elle est toujours aussi belle, et la nuisette qu’elle porte est plus que canon. Elle lui va merveilleusement bien et je ne sais pas trop comment interpréter qu’elle porte quelque chose comme ça. Est-ce qu’elle était comme ça et elle ne s’est pas changée ? Est-ce qu’elle a mis ça pour me provoquer ? “Elle est jolie, ça te va bien.” Si elle a fait ça pour me provoquer et pour m’affaiblir elle a réussi son coup.
***:
Emery Dawson
les faux-semblants
ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1047 POINTS : 80
TW IN RP : troubles alimentaires, drogues, sexualisation GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : obsédée par son apparence, déformation professionnelle ≈ vit une vie de rêve selon son instagram ≈ bricoleuse talentueuse ≈ oiseau matinal ≈ court, boxe, use les bancs de la salle de sport ≈ bénévole auprès de patients atteints d'alzheimer ≈ végétarienne ≈ son passif dans le mannequinat l'a amenée à coucher, poser pour des magazines érotiques et consommer de la drogue ≈ chantonne en permanence ≈ aspire à se marier à un bon parti pour arrêter de se soucier de la vie ≈ possède trois cochons d'inde : hobbs, eugene et ultra.RPs EN COURS :
It was a bad idea calling you up. Was such a bad idea, I'm totally fucked. It was a bad idea to think I could stop. Was such a bad idea, I can't get enough. It was a bad idea needing you so late. Was such a bad idea 'cause I can't think straight
C’était un jeu dangereux qui se jouait, un auquel Cesar aurait mieux fait de dire stop. Il aurait fallu être profondément naïf pour la croire. Il la connaissait mieux que cela ; bien sûr qu’elle avait envie de lui reprocher d’aller à tous les rencards, bien sûr qu’elle était blessée de le voir essayer de passer à autre chose. Le problème était qu’en réalité, elle n’avait plus son mot à dire. Ils s’étaient séparés, elle l’avait largué pour de bon. Elle ne pouvait pas lui reprocher de ne pas être revenu à la charge quand elle avait rendu clair le fait qu’elle ne le voulait plus dans sa vie. C’était ce revirement qui aurait dû lui mettre la puce à l’oreille, lui faire comprendre que ce message n’avait rien d’innocent et partait juste d’une jalousie mal placée. Il était entré dans son jeu et elle savait déjà qu’elle ne ferait pas demi-tour, même en ayant conscience qu’elle ne faisait que leur rendre la vie encore plus difficile. Parce qu’elle mentait allègrement. Dès sa première réponse, elle avait su que la partie était gagnée et qu’elle n’aurait aucun effort particulier à faire pour qu’il rapplique. Elle avait joué sur chaque corde sensible qu’elle connaissait sans penser aux conséquences que cela pourrait avoir, à partir du moment où elle obtenait exactement ce qu’elle désirait. Cela l’incita par exemple à hausser innocemment les épaules plutôt que de répondre à ce qui serait évident. Ce soir en, particulier parce qu’à force de la provoquer, il avait obtenu exactement ce qu’il voulait : son attention. Il le regretterait peut-être mais elle était bien loin de s’en inquiéter. C’était bien plus simple d’endormir ses sens, de lui dire exactement ce qu’il devait vouloir entendre. Qu’il lui manquait, qu’elle pensait à lui. Insuffler une dose d’espoir pour l’empêcher de passer à autre chose. « Ne prétends pas être surpris. J’ai jamais voulu en arriver là et tu le sais. » C’était désagréable de montrer rien qu’une pointe de vulnérabilité. Elle n’avait pas envie de se lancer dans le jeu des reproches ce soir et pourtant, l’insinuation était claire : il était celui qui avait fait de la merde et les avait projetés dans le mur. Elle était partie parce que c’était la meilleure chose à faire et qu’elle ne pouvait plus se résoudre à continuer de le voir dérailler sans même être capable de lui faire confiance. Elle ne pouvait pas nier pour autant qu’une part d’elle avait envie de tout ça, envie de le retrouver, de prétendre rien que le temps d’une soirée qu’ils ne s’accrochaient pas à quelque chose de brisé. Et ce point-là, la blonde ne s’en cachait pas. C’était une mauvaise idée dont elle allait tirer profit. A ce stade, Cesar ne cherchait même plus à se défendre, ce qui la fit sourire un peu plus largement. Tant pis pour Cassie, et en espérant qu’elle ne chercherait pas à le rappeler. « J’avais hâte de te voir aussi. » Ses doigts qui se promenaient sur l’avant-bras du brun remontèrent le long de son torse, cherchèrent à croiser un regard qui était déjà perdu. L’idée de la nuisette fonctionnait visiblement à merveille. « Tant mieux si elle te plaît, mais je n'avais pas vraiment prévu de la garder. » Ses doigts remontèrent enfin, frôlèrent la gorge de Cesar pour pouvoir se déposer sur son menton, le lui attraper pour l’inciter à tourner son visage vers le sien. « Tout comme je n’avais pas vraiment envie qu’on parle. Je suis toujours… indécise, quant à savoir ce qu’il va advenir de nous. Je sais qu’on est séparés mais en même temps… » Elle frôla ses lèvres des siennes dans un geste léger, lent. « Ca me manque beaucoup. » Elle l’embrassa plus franchement ce soir, vint emmêler ses doigts dans la chevelure brune alors qu’elle s’installait à califourchon sur lui pour mieux pouvoir combler la proximité qui les séparait. Quand elle se recula légèrement pour reprendre son souffle et caresser son visage, un fin sourire étirait ses lèvres. « Ça te rappelle pas quelque chose ? » Eux deux dans son salon, à franchir des limites qui ne devraient pas l’être.
How many times do I have to learn my lesson, before I learn my lesson ? No, somebody help me, please tell me that I'm dreaming. I keep repeating my actions expecting different reactions but the same thing keeps on happening • sheepirl.
Cesar Gutiérrez
l'enfant terrible
ÂGE : 23 ans (12 janvier 2001) SURNOM : Cesabruti par Maisie STATUT : En couple avec Emery depuis le mois de juin 2023, peu elle lui a pardonné et chacun est prêt à faire des efforts pour construire une relation saine MÉTIER : Maçon pour payer les factures, artiste qui rêve de faire de sa passion son métier LOGEMENT : #18 James street à Fortitude Valley, en colocation avec Kieran. Fini la grande maison avec Mama et Ale, enfin l'indépendance POSTS : 2000 POINTS : 0
TW IN RP : Langage cru, violence, dépression TW IRL : Violence sexuelleGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Artiste qui ne vit que pour sa passion > Lauréat d'un prestigieux concours d'art dans la catégorie artiste émergent, un prix qui remet ses choix de carrière et de vie en question > une gestion de la colère et des émotions approximative > Immature, c'est un gamin qui a encore beaucoup à apprendre (et surtout à fermer sa gueule) > il a renoué avec Sergio qu'il appelle désormais Papa > très loyal et protecteur pour les gens qu'il aime et qu'il estimeCODE COULEUR : #0066ff RPs EN COURS : (maj le 06/09/2024)
Les gugus > Scattered 'cross my family line. I'm so good at telling lies. That came from my mother's side. Told a million to survive. Scattered 'cross my family line. God, I have my father's eyes. But my sister's when I cry, I can run, but I can't hide from my family line.
La situation est plus que bizarre ce soir. Recevoir un message d’Em c’était déjà assez inespéré mais les mixed signals qu’elle m’envoie là ne m’aident pas à y voir clair dans ses intentions. Je suis prêt à lui claquer la porte au nez si elle m’a fait venir pour m’humilier à coups de reproches. Je tiens énormément à elle mais pas au point de subir quelque chose comme ça, il me reste encore un tout petit peu de fierté et je ne suis pas prêt à la perdre ce soir. Pourtant non, elle n’a pas l’air en colère, vraiment j’y comprends rien. « Ne prétends pas être surpris. J’ai jamais voulu en arriver là et tu le sais. » Je hoche la tête. On en revient toujours au même point et je suis fatigué d’avoir cette discussion avec elle. “Je sais oui.” Et la situation bascule à nouveau quand elle m’explique qu’elle pensait à moi. Le genre de phrase qui me provoque de drôles de sensations dans le ventre. Comment ça elle pensait à moi ? C’est à dire ? Elle met ensuite le doigt sur le petit mensonge que je lui ai servi en arrivant. Oui je n’étais pas à côté de chez elle, je me suis dépêché de venir alors que j’étais à l’autre bout de la ville. Ce qui est assez pathétique en soi mais j’avais envie de la voir et sûrement un peu peur qu’elle change d’avis si je mettais trop longtemps à venir. Je lui réponds simplement que j’avais hâte de la voir sans donner plus d’explication. « J’avais hâte de te voir aussi. » Sa réponse m’arrache un petit sourire. Elle caresse mon bras ce qui me fait frissonner et je commence à avoir du mal à me concentrer sur notre conversation. Mon regard est attiré vers sa tenue, vers sa nuisette qui est bien trop canon pour que je ne lui fasse pas remarquer. Je m’attends à un torrent de reproches, à ce qu’elle me demande de partir parce que j’ai créé un malaise mais sa réaction m’étonne. « Tant mieux si elle te plaît, mais je n'avais pas vraiment prévu de la garder. » Alors là je suis complètement paumé, qu’est-ce qui est en train de se passer ? “Oh” C’est tout ce que je trouve à répondre parce que la situation a changé bien vite. Ce matin encore j’étais persuadé qu’elle me détestait et qu’elle ne voudrait plus jamais me voir et là ses doigts parcourent mon corps « Tout comme je n’avais pas vraiment envie qu’on parle. Je suis toujours… indécise, quant à savoir ce qu’il va advenir de nous. Je sais qu’on est séparés mais en même temps… » Ses lèvres ne sont qu’à quelques millimètres des miennes et mon cœur se met à battre beaucoup trop vite et trop fort. J’ai envie de l’embrasser, de parcourir l’espace infiniment petit qui nous sépare. « Ca me manque beaucoup. » C’est elle qui m’embrasse en premier et j’ai l’impression de vivre un véritable feu d’artifice. Elle s’installe à califourchon sur moi et lorsqu’elle s’éloigne je reprends mon souffle mais mon cœur ne ralentit pas. Elle me caresse le visage avec un sourire qui m’a fait craquer bien trop de fois. « Ça te rappelle pas quelque chose ? » Elle m’a manqué, je l’ai toujours su mais là je le ressens d’autant plus.“Ça me rappelle beaucoup de choses oui.” Je caresse à mon tour son visage, je retrouve la sensation de ses cheveux qui sont d’une douceur incroyable, son parfum qui m’avait manqué. Puis je m’approche de son oreille pour lui dire à voix basse. “Tu sais, si t’en as envie je peux aussi te rappeler deux trois souvenirs”. J’en profite pour déposer lentement quelques baisers dans son cou avant de me redresser et de la regarder avec intensité. A elle de me dire ce dont elle a envie. Je sais que c’est sûrement une mauvaise idée, une erreur de plus mais je m’en fiche, je ne suis plus à une erreur près maintenant.
***:
Emery Dawson
les faux-semblants
ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1047 POINTS : 80
TW IN RP : troubles alimentaires, drogues, sexualisation GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : obsédée par son apparence, déformation professionnelle ≈ vit une vie de rêve selon son instagram ≈ bricoleuse talentueuse ≈ oiseau matinal ≈ court, boxe, use les bancs de la salle de sport ≈ bénévole auprès de patients atteints d'alzheimer ≈ végétarienne ≈ son passif dans le mannequinat l'a amenée à coucher, poser pour des magazines érotiques et consommer de la drogue ≈ chantonne en permanence ≈ aspire à se marier à un bon parti pour arrêter de se soucier de la vie ≈ possède trois cochons d'inde : hobbs, eugene et ultra.RPs EN COURS :
It was a bad idea calling you up. Was such a bad idea, I'm totally fucked. It was a bad idea to think I could stop. Was such a bad idea, I can't get enough. It was a bad idea needing you so late. Was such a bad idea 'cause I can't think straight
Ils avaient atteint le point de non retour. Elle n’avait pas besoin de plus pour savoir qu’il ne repartirait pas d’où il venait, tout comme elle savait qu’elle ne reviendrait pas à la raison. C’était un jeu de manipulation cruel qu’elle était en train de mettre en place. Tout ce qu’elle faisait, c’était lui rappeler qu’elle était là, lui donner l’espoir qu’elle pourrait lui pardonner et qu’ils pourraient redevenir quelque chose. Peut-être que cela ne suffirait pas à lui faire arrêter ses rencards avec d’autres nanas. Mais du moins pour les semaines à venir, il serait incapable d’y aller sans penser à elle, de forcément la comparer, de se dire qu’ils pourraient être ensemble à la place. Le pire était sans doute de réaliser que la blonde ne ressentait pas la moindre once de culpabilité à l’avoir exactement là où elle le voulait, ou à voir son sourire naïf s’étirer et son regard peiner à se concentrer. Il n’y avait pas besoin de beaucoup pour l’électriser. Au fil du temps, elle avait compris que sa meilleure arme était la lenteur, la sensualité. Cette obligation à ne pas tout de suite céder à ses pulsions. Il n’était pas patient Cesar, et elle en jouait sciemment en prenant tout son temps pour lui parler, expliquer combien il lui manquait, le toucher, grimper à califourchon sur lui. En tendant l’oreille, elle n’aurait pas été surprise de pouvoir entendre le rythme cardiaque du brun s’agiter à toute vitesse. Emery est en contrôle, cela ne fait pas l’ombre d’un doute. Pourtant, elle se laisserait presque prendre au jeu et oublier son plan en l’embrassant. Tous les souvenirs reviennent, de la fougue de leurs baisers jusqu’à la force de ses bras, en passant par la douceur de ses lèvres, son parfum, son regard sombre quand il en veut plus. C’est ce qui la rend un peu honnête alors qu’elle caresse ses traits : c’est vrai que ça lui manque. Elle a beau ne pas avoir besoin de lui pour profiter des plaisirs charnels, ce n’est pas pareil avec un autre. Agréable, juste pas aussi fusionnel. Elle ne vibrait jamais autant, et ça l’agaçait de toujours se retrouver à comparer avec le mexicain. Instinctivement, elle appuie doucement son visage contre la main qui caresse sa joue, frissonne aux syllabes qui résonnent dans son oreille. « J’aimerais beaucoup que tu me rafraîchisses la mémoire… » murmura-t-elle, son souffle mis à rude épreuve par les baisers dans son cou. Il avait toujours eu une manière de l’embrasser ici qui la faisait chavirer. Et à la regarder aussi intensément, Emery savait déjà comment les prochaines minutes se dérouleraient. « Pas ici. » A contre-cœur, elle se releva et attrapa sa main pour le tirer jusqu’aux escaliers. Inutile que Mason rentre et tombe là-dessus. Et puis il était hors de question qu’elle repense à Cesar chaque fois qu’elle poserait les yeux sur ce canapé. Elle guida le brun jusqu’à la chambre au fond du couloir, celle qui était désormais la sienne. C’était difficile à déterminer. Depuis son emménagement, Em n’avait pas trop pris le temps de décorer ou de personnaliser la pièce. Le mobilier était sobre, les décorations personnelles quasi absentes. Pour un peu, il aurait pu s’agir de la chambre de quelqu’un d’autre. Elle claqua la porte derrière eux, se retourna pour pousser Cesar contre le mur, venir l’embrasser plus fougueusement avant de subitement se reculer. Un sourire mutin lui étira les lèvres alors qu’elle recula pas à pas, ne ratant rien de sa réaction alors qu’elle fit glisser la première, puis la deuxième bretelle de sa nuisette. Il n’y avait plus rien à cacher de la sorte et elle prit un malin plaisir à grimper sensuellement sur le lit en le fixant. « Tu me rejoins ? »
○○○○○○
Et finalement, ils étaient là les regrets. Couchée contre Cesar, son bras autour d’elle alors qu’elle fixait le plafond. Elle n’aurait pas dû faire ça. Goûter à nouveau à sa présence en sachant pertinemment qu’elle devrait le virer. La vraie question était surtout de savoir si elle ferait mieux de le faire immédiatement ou d’attendre le lendemain. Lentement, la blonde se faisait prendre à son propre jeu, déchirée entre le bien-être qu’elle ressentait à être contre lui et son incapacité à lui pardonner qui persistait. Elle ne savait pas comment se comporter alors c’était plus simple de rester silencieuse.
How many times do I have to learn my lesson, before I learn my lesson ? No, somebody help me, please tell me that I'm dreaming. I keep repeating my actions expecting different reactions but the same thing keeps on happening • sheepirl.
Cesar Gutiérrez
l'enfant terrible
ÂGE : 23 ans (12 janvier 2001) SURNOM : Cesabruti par Maisie STATUT : En couple avec Emery depuis le mois de juin 2023, peu elle lui a pardonné et chacun est prêt à faire des efforts pour construire une relation saine MÉTIER : Maçon pour payer les factures, artiste qui rêve de faire de sa passion son métier LOGEMENT : #18 James street à Fortitude Valley, en colocation avec Kieran. Fini la grande maison avec Mama et Ale, enfin l'indépendance POSTS : 2000 POINTS : 0
TW IN RP : Langage cru, violence, dépression TW IRL : Violence sexuelleGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Artiste qui ne vit que pour sa passion > Lauréat d'un prestigieux concours d'art dans la catégorie artiste émergent, un prix qui remet ses choix de carrière et de vie en question > une gestion de la colère et des émotions approximative > Immature, c'est un gamin qui a encore beaucoup à apprendre (et surtout à fermer sa gueule) > il a renoué avec Sergio qu'il appelle désormais Papa > très loyal et protecteur pour les gens qu'il aime et qu'il estimeCODE COULEUR : #0066ff RPs EN COURS : (maj le 06/09/2024)
Les gugus > Scattered 'cross my family line. I'm so good at telling lies. That came from my mother's side. Told a million to survive. Scattered 'cross my family line. God, I have my father's eyes. But my sister's when I cry, I can run, but I can't hide from my family line.
Franchir cette limite est une erreur, je le sais pertinemment mais comme depuis de nombreuses semaines je suis toujours accompagné de mon meilleur ami : le déni. Au fond je sais que j’aurais dû répondre à son message en disant que j’étais occupé ou juste que c’était peut-être mieux qu’on ne se revoit pas. Mais j’ai délibérément mis ma conscience et ma raison à la poubelle à la seconde où j’ai senti ses lèvres sur les miennes. Tant pis si je finis par le regretter, tant pis si ça finit par me faire un peu plus mal. J’ai tellement souffert ces derniers mois, j’ai tellement eu le cœur déchiré en mille morceaux et j’ai tellement pleuré que j’ai l’impression que plus rien ne pourrait m’atteindre et me briser davantage. Alors je décide de me perdre dans son parfum, dans la douceur de ses boucles blondes et je la laisse me faire frissonner alors qu’elle parcourt mon corps du bout de ses doigts. Elle m’a énormément manqué et être là sur son canapé à s’embrasser me rappelle énormément de souvenirs. Notre première fois particulièrement où je ne pensais même pas que je pouvais lui plaire. J’ai l’impression de revivre un peu en l’embrassant, de me sentir enfin vivant après des mois passés à survivre. « J’aimerais beaucoup que tu me rafraîchisses la mémoire… » Un large sourire se forme sur mon visage alors que je me redresse avant de la regarder intensément. J’allais m’approcher pour l’embrasser une nouvelle fois avant qu’elle m’arrête. « Pas ici. » Je suis un peu déçu mais la déception est de courte durée quand elle prend ma main. Je la suis jusqu’à sa chambre que je découvre. Enfin je n’ai ni le temps -ni l’envie- d’analyser la décoration de la chambre puisqu’elle ferme la porte avant de plaquer contre le mur pour m’embrasser. Elle mène complètement la danse et lorsqu’elle se recule pour se déshabillé je suis comme hypnotisé. Qu’est-ce qu’elle est belle. « Tu me rejoins ? » En guise de réponse, d’un mouvement rapide mon t-shirt vole d’un côté de la pièce et le reste de ma tenue finit rapidement au sol aussi. Je crois que j’ai jamais eu autant envie de quelqu’un qu’à ce moment précis.
***
Le coeur qui bat encore trop fort à cause de l’effort physique, je reprends mon souffle avec Emery dans mes bras. Dans d’autres circonstances j’aurais eu envie de dire plein de choses. De lui dire à quel point j’ai pu prendre du plaisir, à quel point c’était un bon moment et surtout à quel point elle est extraordinaire. Mais l’ambiance est un peu bizarre, elle ne dit rien et j’ai peur d’avoir fait quelque chose qui l’a mise mal à l’aise ou de savoir qu’elle regrette ce qui vient de se passer. Après plusieurs minutes passées à caresser ses cheveux en silence je me décide à briser le silence. “Est-ce que je peux aller prendre une douche s’il te plaît ?” C’était une nécessité après ce qui venait de se passer mais c’était aussi un moyen de lui laisser le temps de souffler de son côté, peut-être de réfléchir à ce qui venait de se passer et de me laisser l’occasion de faire la même chose. J’en avais bien besoin.
***:
Emery Dawson
les faux-semblants
ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1047 POINTS : 80
TW IN RP : troubles alimentaires, drogues, sexualisation GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : obsédée par son apparence, déformation professionnelle ≈ vit une vie de rêve selon son instagram ≈ bricoleuse talentueuse ≈ oiseau matinal ≈ court, boxe, use les bancs de la salle de sport ≈ bénévole auprès de patients atteints d'alzheimer ≈ végétarienne ≈ son passif dans le mannequinat l'a amenée à coucher, poser pour des magazines érotiques et consommer de la drogue ≈ chantonne en permanence ≈ aspire à se marier à un bon parti pour arrêter de se soucier de la vie ≈ possède trois cochons d'inde : hobbs, eugene et ultra.RPs EN COURS :
It was a bad idea calling you up. Was such a bad idea, I'm totally fucked. It was a bad idea to think I could stop. Was such a bad idea, I can't get enough. It was a bad idea needing you so late. Was such a bad idea 'cause I can't think straight
Le silence était pesant dans la chambre et Emery pouvait sentir que l’heure n’était pas à la plénitude. Pourtant, elle se sentait bien. Le désir sexuel avait été satisfait, les bras de Cesar l’entouraient, elle pouvait sentir son rythme cardiaque sous sa joue et son souffle sur ses cheveux. Elle respirait son parfum et profitait de sa chaleur, s’y accrochant tant qu’elle le pouvait. Parce qu’elle savait que dans les heures à venir, il faudrait qu’elle se décide à lui dire de partir, et elle ne le rappellerait pas. Elle se sentait tentée d’oublier des principes, sa fierté et de juste tout pardonner. Il lui manquait vraiment fort, et sa présence dans son lit prouvait qu’elle avait été bien incapable de passer à autre chose. Ce n'était pas faute d’avoir essayé de fréquenter d’autres personnes, de profiter pleinement de sa liberté. Il y avait Reid qui pouvait prendre la place, un homme moins compliqué, moins imprévisible, moins caractériel. Elle ne doutait pas de son honnêteté, de son intégrité ou du respect qu’il pouvait avoir pour elle. La blonde savait qu’elle devrait culpabiliser de mettre cette relation en péril pour juste retomber dans ses vieux travers. Mais ça se saurait si elle savait faire les bons choix. Même des mois après, elle était toujours incapable de se comporter de manière rationnelle quand cela concernait Cesar. Sa voix la sortit de ses pensées, la fit se rasseoir dans le lit. « Oui bien sûr. Porte au fond du couloir à droite. Tu as des serviettes propres dans le premier tiroir du meuble. » Elle lui sourit quand il se leva et quitta la chambre, mais ce sourire se fana aussitôt. C’était une belle connerie de souiller cette chambre de souvenirs, d’images. Elle pouvait sentir le parfum du mexicain sur sa peau, se doutait que l’oreiller en serait aussi imprégné. Et puis son regard glissa jusqu’à la table de chevet où il avait déposé son téléphone. Elle hésita une seconde, mais quand le bruit de la douche se fit entendre au loin, Emery céda à la tentation. Le code de déverrouillage était toujours le même, son fond d’écran aussi. La première chose qui lui sauta aux yeux en revanche était les notifications Tinder et tous ces prénoms féminins. Évidemment qu’il était sur des applications de rencontre. Il fallait bien ça pour avoir tous ces rencards. Et à son grand damn quand elle ouvrit l’app, elle réalisa vite qu’il n’était pas à court de choix. La liste des matchs était sans fin. Beaucoup de discussions, aussi. Elle se mordit l’intérieur de la joue en les parcourant rapidement, découvrant petit à petit à quoi ressemblait Cesar quand il cherchait à la remplacer. C’était superficiel au point d’en devenir vulgaire. Avec combien de ces filles avait-il fini par sortir, coucher ? Elle quitta l’application plutôt que de continuer à se faire du mal. A la place, elle ouvrit l’appareil photo, dégagea les draps de son corps pour prendre deux ou trois photos équivoques. Elle ne savait pas quand il les verrait mais cela lui ferait un souvenir de cette nuit, lui ferait aussi savoir qu’elle avait eu son téléphone entre les mains. Son méfait accompli, elle reposa le téléphone à sa place et se leva. Elle avait besoin d’une douche aussi. Alors Em profita que l’eau coule toujours pour entrer dans la salle de bain et se glisser dans la cabine. Elle ne demanda pas l’autorisation, vint plutôt enrouler les bras autour du cou du brun pour l’embrasser langoureusement. S’ils ne devaient avoir que ce soir, elle en profiterait. « Reste dormir. » Ce n’était pas une question ou une proposition. Elle n’était pas prête à en terminer avec cette trêve secrète qu’elle leur offrait. Mais il avait cette manière de la regarder au lieu de lui répondre qu’elle ne parvenait juste pas à décrypter. « A quoi tu penses ? » demanda-t-elle doucement tandis que ses doigts venaient caresser son visage.
How many times do I have to learn my lesson, before I learn my lesson ? No, somebody help me, please tell me that I'm dreaming. I keep repeating my actions expecting different reactions but the same thing keeps on happening • sheepirl.
Cesar Gutiérrez
l'enfant terrible
ÂGE : 23 ans (12 janvier 2001) SURNOM : Cesabruti par Maisie STATUT : En couple avec Emery depuis le mois de juin 2023, peu elle lui a pardonné et chacun est prêt à faire des efforts pour construire une relation saine MÉTIER : Maçon pour payer les factures, artiste qui rêve de faire de sa passion son métier LOGEMENT : #18 James street à Fortitude Valley, en colocation avec Kieran. Fini la grande maison avec Mama et Ale, enfin l'indépendance POSTS : 2000 POINTS : 0
TW IN RP : Langage cru, violence, dépression TW IRL : Violence sexuelleGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Artiste qui ne vit que pour sa passion > Lauréat d'un prestigieux concours d'art dans la catégorie artiste émergent, un prix qui remet ses choix de carrière et de vie en question > une gestion de la colère et des émotions approximative > Immature, c'est un gamin qui a encore beaucoup à apprendre (et surtout à fermer sa gueule) > il a renoué avec Sergio qu'il appelle désormais Papa > très loyal et protecteur pour les gens qu'il aime et qu'il estimeCODE COULEUR : #0066ff RPs EN COURS : (maj le 06/09/2024)
Les gugus > Scattered 'cross my family line. I'm so good at telling lies. That came from my mother's side. Told a million to survive. Scattered 'cross my family line. God, I have my father's eyes. But my sister's when I cry, I can run, but I can't hide from my family line.
Je devrais me sentir apaisé après avoir renoué avec Emery mais ce n’est pas le cas. Je me sens bien d’être près d’elle et d’avoir retrouvé le contact physique qui me manquait tant depuis qu’elle est partie mais je me sens bizarre. Enfin, l'ambiance est bizarre, un peu pesante et gênante. Aucun de nous deux n’ose parler comme s’il n’y avait rien à dire alors que tout un tas de questions se bousculent dans ma tête. Mais je n’ose pas briser le silence pour ne pas gâcher le moment ou la mettre mal à l’aise. A la place je me dis que le meilleur moyen pour mettre fin à ce malaise c’est que j’aille prendre une douche pour lui laisser un peu de temps seul. Et me laisser du temps aussi pour réfléchir à ce qui vient de se passer. « Oui bien sûr. Porte au fond du couloir à droite. Tu as des serviettes propres dans le premier tiroir du meuble. » Je me relève en douceur pour ne pas la bousculer et je dois me faire violence pour ne pas déposer un baiser sur son front, ça rendrait la situation bien trop bizarre mais j’en ai très envie. Alors je me contente de répondre avec un petit sourire. “Merci.”
Je prends la direction de la salle de bain et une fois là-bas je me fige sur un détail de la décoration. La deuxième brosse à dents. Elle n’est donc pas seule ici. Je m’en doutais, l’appart est immense et aux dernières nouvelles elle n’avait pas les moyens de se payer un appartement comme celui-là. En voyant la brosse à dent j’essaie encore naïvement de me dire qu’elle a peut-être une colocataire mais en ouvrant le mauvais tiroir pour prendre une serviette c’est sur un rasoir pour barbe que je tombe. Ma mâchoire se crispe et je referme le tiroir tout de suite avant de sortir une serviette dans le bon tiroir. Fait chier. J’entre sous la douche avant de faire couler l’eau chaude. Fait chier. J’arrive pas à m’enlever l’image de ce rasoir et je n’arrête pas de cogiter. C’est sûrement son mec, celui qui lui fait voir la vie en rose depuis quelques temps. J’ai aucun moyen d’en être sûr mais j’en suis convaincu, elle habite avec lui et l’idée me rend fou. Je sais qu’elle est libre de faire ce qu’elle veut, que j’ai tout fait foirer mais savoir qu’un autre la faire sourire, a le privilège de se réveiller avec elle tous les soirs et de sentir la douceur de sa peau ça me rend fou. Je savais qu’elle voyait quelqu’un, mais savoir que c’est aussi sérieux, qu’ils habitent déjà ensemble ça me fait mal. En fait ça me fait mal de voir qu’elle m’a remplacé aussi vite, comme si je n’avais pas compté. Il y a la jalousie qui commence à me donner mal au ventre et l’eau chaude de la douche ne suffit pas à détendre tout mon corps qui est désormais crispé. C’est con mais quand elle m’a envoyé un message je me suis dit qu’elle m’avait peut-être pardonné, qu’elle voulait me redonner une chance et surtout qu’elle avait quitté son mec. Mais visiblement non, je me sens con, triste, jaloux comme un pou et démuni face à cette situation qui me dépasse. La porte de la salle de bain s’ouvre et ce sont les bras d’Em qui me tirent de mes pensées. Elle m’embrasse et toujours distrait je répond à son baiser avec moins de fougue que d’habitude.« Reste dormir. » Je la regarde en silence et complètement pris de court.« A quoi tu penses ? » Heureusement qu’elle ne peut pas lire mes pensées sinon je pense qu’elle me trouverait pathétique. “Désolé j’étais un peu perdu dans mes pensées.” Je passe rapidement la main dans mes cheveux pour faire partir les dernières traces de shampoing avant de lui répondre. “Je sais pas, je pensais à nous.” J’ai clairement l’air préoccupé et c’est assez inhabituel de me voir aussi pensif, peu sûr de moi et mal à l’aise. “Enfin je veux dire que je m’attendais pas à ce que tu m’appelles.” J’avais imaginé passer la soirée avec Cassie aux canevas, peut-être à la fin de la soirée sous ses draps mais le message d’Emery, même si je l’ai longtemps espéré sans y croire, reste une vraie surprise. “Je suis content que tu l’aies fait, c’est pas ça la question, c’est jusque que quand j’ai vu que t’avais trouvé quelqu’un, qu’il t’offrait de gros bouquets de fleurs et tout le tralala je me suis dit que c’était fini et que j’aurais plus jamais de tes nouvelles.” C’est plus fort que moi il fallait que je lui en parle parce que la jalousie est en train de m’étouffer et j’ai besoin d’en parler avec elle.
***:
Emery Dawson
les faux-semblants
ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1047 POINTS : 80
TW IN RP : troubles alimentaires, drogues, sexualisation GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : obsédée par son apparence, déformation professionnelle ≈ vit une vie de rêve selon son instagram ≈ bricoleuse talentueuse ≈ oiseau matinal ≈ court, boxe, use les bancs de la salle de sport ≈ bénévole auprès de patients atteints d'alzheimer ≈ végétarienne ≈ son passif dans le mannequinat l'a amenée à coucher, poser pour des magazines érotiques et consommer de la drogue ≈ chantonne en permanence ≈ aspire à se marier à un bon parti pour arrêter de se soucier de la vie ≈ possède trois cochons d'inde : hobbs, eugene et ultra.RPs EN COURS :
It was a bad idea calling you up. Was such a bad idea, I'm totally fucked. It was a bad idea to think I could stop. Was such a bad idea, I can't get enough. It was a bad idea needing you so late. Was such a bad idea 'cause I can't think straight
L’invitation était un traquenard, purement et simplement. Mais maintenant que le mal était fait, Emery sentait le piège se refermer sur elle. Quand bien même elle jouerait la comédie, elle savait pertinemment qu’elle continuerait de se repasser en boucle tout ce qu’elle avait pu voir sur le téléphone de Cesar. Elle pensait être en contrôle, mais était-ce vraiment le cas ? Combien faudrait-il de temps avant qu’une fille de cette liste interminable soit la bonne ? Qu’il tombe sur une personne tellement douce, bienveillante et canon qu’il en arriverait à se demander pourquoi il se prenait la tête avec une nana qui lui en faisait baver ? Il n’avait pas l’air à court d’options et semblait se prêter volontiers à l’exercice. C’était sans doute la principale différente entre eux ; elle s’était accrochée au premier type bien comme il faut qu’elle avait trouvé, s’était jetée à corps perdu dans une relation alors que le mexicain explorait ses options, s’envoyait certainement en l’air chaque fois qu’il en avait la chance. Cette pensée lui serrait la gorge à cause de la jalousie car subitement, elle n’était plus vraiment certaine d’être la personne qui occupait son esprit quand il était seul, plus vraiment sûre de gagner la compétition contre d’autres filles. Elle avait eu le temps de se faire à l’idée qu’ils n’étaient plus ensemble, mais clairement pas au fait qu’ils étaient en train de s’éloigner. Emery avait eu beau essayer, elle n’était pas passée à autre chose et refusait tout bonnement que Cesar y parvienne. Tant pis pour ce que cela pouvait bien dire d’elle. S’ils n’avaient que cette soirée pour se donner des raisons de se moquer, la jeune femme comptait bien en profiter. Ce fut notamment pour cette raison qu’elle quitta la chambre, traversa le couloir pour le rejoindre dans la salle de bain. Ils n’avaient pas souvent eu l’occasion de faire ça. Entre lui chez sa mère et elle dans une colocation à plusieurs, les moments où ils pouvaient vraiment être seuls étaient rares. Cela aurait même pu lui donner des idées alors qu’elle venait se coller à lui, enrouler ses bras autour de ses épaules et chercher ses lèvres. L’invitation était claire et pourtant, il n’exprimait pas le même désir. Sa réponse était automatique, manquait de sincérité. Cela eut au moins le don de le ramener quelque peu à la réalité et sans trop s’éloigner, elle observa son visage, son regard fuyant, ses bras ballants alors qu’il aurait pu la toucher. Elle aurait voulu éviter la discussion, trop consciente que cela ne rendrait que les choses plus difficiles. Mais il semblait que ce ne soit pas une option. Qu’elle ne puisse pas le garder sans faire preuve d’un minimum d’honnêteté. En réalité, il n’avait pas besoin de parler pour qu’elle sache ce qui clochait. Il n’était pas con. S’il ne voyait pas clair dans son jeu, il avait bien compris que cette partie de jambes en l’air n’était pas une réconciliation ou une décision de se remettre ensemble. C’était… insignifiant. Du sexe pour du sexe. Elle soupira doucement, ses doigts jouant distraitement avec une des mèches brunes qui tombaient sur le front du brun. « C’est ça qui te pose problème ? Le fait qu’il y ait quelqu’un d’autre ? » S’il avait suffi, bien évidemment que Cesar n’aurait jamais eu de ses nouvelles. « Qu’est-ce que je devrais dire de toutes les nanas avec qui tu sors ? » Ce n'était pas une critique, juste un constat. Il était pire qu’elle sur ce terrain si l’on regardait dans les faits. « Je suis en train de potentiellement foutre en l’air ma relation avec ce type parce que je voulais te voir. » Ce n’était pas encore totalement officiel avec Reid, elle pouvait encore s’octroyer des libertés. Mais il n’accepterait pas qu’elle s’envoie en l’air avec son ex, non. « C’est vrai. J’aurais eu toutes les raisons du monde de ne jamais te rappeler. Mais je commence à me dire que je suis mieux avec que sans toi. » Elle se hissa doucement sur la pointe des pieds pour déposer les lèvres contre les siennes. Un baiser volatile, juste au cas où il n’ait pas envie de répondre à celui-ci non plus. « Si tu me dis que tu ne ressens pas la même chose, j’arrêterai. » C’était ce qui se rapprocherait le plus près d’une porte ouverte ce soir.
How many times do I have to learn my lesson, before I learn my lesson ? No, somebody help me, please tell me that I'm dreaming. I keep repeating my actions expecting different reactions but the same thing keeps on happening • sheepirl.
Cesar Gutiérrez
l'enfant terrible
ÂGE : 23 ans (12 janvier 2001) SURNOM : Cesabruti par Maisie STATUT : En couple avec Emery depuis le mois de juin 2023, peu elle lui a pardonné et chacun est prêt à faire des efforts pour construire une relation saine MÉTIER : Maçon pour payer les factures, artiste qui rêve de faire de sa passion son métier LOGEMENT : #18 James street à Fortitude Valley, en colocation avec Kieran. Fini la grande maison avec Mama et Ale, enfin l'indépendance POSTS : 2000 POINTS : 0
TW IN RP : Langage cru, violence, dépression TW IRL : Violence sexuelleGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Artiste qui ne vit que pour sa passion > Lauréat d'un prestigieux concours d'art dans la catégorie artiste émergent, un prix qui remet ses choix de carrière et de vie en question > une gestion de la colère et des émotions approximative > Immature, c'est un gamin qui a encore beaucoup à apprendre (et surtout à fermer sa gueule) > il a renoué avec Sergio qu'il appelle désormais Papa > très loyal et protecteur pour les gens qu'il aime et qu'il estimeCODE COULEUR : #0066ff RPs EN COURS : (maj le 06/09/2024)
Les gugus > Scattered 'cross my family line. I'm so good at telling lies. That came from my mother's side. Told a million to survive. Scattered 'cross my family line. God, I have my father's eyes. But my sister's when I cry, I can run, but I can't hide from my family line.
L’eau brûlante de la douche ne suffit pas à détendre mes muscles. Voir les affaires d’un autre, sûrement de son mec ça me crispe. Et plus le temps passe et plus je rumine dans ma tête. Je me fais des films, je les imagine tous les deux, heureux, souriants, apaisés et çe me fout le moral à zéro. Je suis extrêmement mal placé pour être jaloux vu ce qu’il s’est passé au nouvel an mais je n’arrive pas à m’en empêcher. Je repense à cette soirée où j’ai tout foutu en l’air, soirée que j’ai regretté un peu plus amèrement à chaque journée écoulée. Je ne comprends toujours pas ce qui s’est passé, comment j’ai pu être assez bourré et stupide pour faire un truc pareil. Si j’avais été raisonnable ce soir-là, si j’étais resté à la maison comme Sara me l’avait proposé ou chez Em aujourd’hui ce serait ma brosse à dent qui serait dans la salle de bain. Fait chier.« C’est ça qui te pose problème ? Le fait qu’il y ait quelqu’un d’autre ? » Ma mâchoire se crispe, ce serait mentir que de dire que j’en ai rien à faire qu’elle soit en couple.“Un peu.” Une réponse nuancée pour ne pas passer pour un mec pathétique en disant que ça me rend extrêmement jaloux. « Qu’est-ce que je devrais dire de toutes les nanas avec qui tu sors ? » Je laisse échapper un léger soupir, elle a raison sur toute la ligne. J’ai enchaîné les rencontres et j’ai fait des choses dont je suis pas très fier. Entre les filles avec qui j’ai couché sans même connaître le prénom, celles où je suis parti comme un voleur le matin pendant qu’elles dormaient, c’était un peu n’importe quoi. Mais ce soir j’ai quand même fait fort en plantant mon date pour aller coucher avec une autre fille. Mais ce n’est pas n’importe laquelle alors tant pis pour mon date, elle s’en remettra. De mon côté je ne me serais pas remis d’avoir refusé son invitation, les regrets m’auraient étouffé toute la soirée. « Je suis en train de potentiellement foutre en l’air ma relation avec ce type parce que je voulais te voir. » C’est vrai que je n’avais pas vraiment pensé à ça, probablement parce qu’au fond j’espère égoïstement que ça ne marchera pas avec ce pauvre type et que je pourrais retenter ma chance un jour. “Je sais.” C’est peut-être quelqu’un de bien mais je le déteste par défaut. « C’est vrai. J’aurais eu toutes les raisons du monde de ne jamais te rappeler. Mais je commence à me dire que je suis mieux avec que sans toi. » Elle m’embrasse de manière furtive et mon cœur fait un bond dans ma poitrine et un petite sourire se forme sur ma moue préoccupée. Cela fait bien trois mois que j’espère entendre quelque chose comme ça de sa part et j’avais perdu tout espoir que la situation s’arrange. « Si tu me dis que tu ne ressens pas la même chose, j’arrêterai. » Ma main se pose sur sa joue pour la caresser en douceur avant de lui dire droit dans les yeux. “J’ai vu d’autres filles c’est vrai, mais je suis sorti avec personne.” Inutile de lui mentir, elle est au courant et j’ai même fait exprès de poster ça de manière publique pour la faire réagir. “Parce qu’il n’y en a aucune qui t’arrivait à la cheville.” Mon coeur bat vite et fort, j’ai enfin l’espoir que la situation revienne à la normale, qu’elle me pardonne et que je puisse la voir, être proche d’elle comme avant. “Je suis mieux avec que sans toi aussi. Je m’étais pas senti aussi vivant depuis des mois.” J’ajoute, souriant et avec le regard légèrement pétillant. Je pèse mes mots, je ne dis pas ça pour lui faire plaisir : pour une fois j’ai enfin l’impression de voir la lumière au bout du tunnel.
***:
Emery Dawson
les faux-semblants
ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1047 POINTS : 80
TW IN RP : troubles alimentaires, drogues, sexualisation GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : obsédée par son apparence, déformation professionnelle ≈ vit une vie de rêve selon son instagram ≈ bricoleuse talentueuse ≈ oiseau matinal ≈ court, boxe, use les bancs de la salle de sport ≈ bénévole auprès de patients atteints d'alzheimer ≈ végétarienne ≈ son passif dans le mannequinat l'a amenée à coucher, poser pour des magazines érotiques et consommer de la drogue ≈ chantonne en permanence ≈ aspire à se marier à un bon parti pour arrêter de se soucier de la vie ≈ possède trois cochons d'inde : hobbs, eugene et ultra.RPs EN COURS :
It was a bad idea calling you up. Was such a bad idea, I'm totally fucked. It was a bad idea to think I could stop. Was such a bad idea, I can't get enough. It was a bad idea needing you so late. Was such a bad idea 'cause I can't think straight
Elle aurait donné n'importe quoi pour être capable d'oublier, Emery. Trouver des excuses à Cesar, de quoi lui donner la force de lui pardonner. Elle ne mentait pas quand elle disait qu'il lui manquait, et elle n'avait pas eu à se forcer pour initier le contact ce soir. Être dans ses bras lui faisait un bien fou, lui rappelait l'alchimie qui les avait animés en premier lieu. Sauf que plus la soirée avançait, plus la blonde réalisait à quel point elle était dans une impasse. Elle ne pourrait pas tout avoir. Elle ne pourrait pas demander à Cesar de rester si c'était pour ne jamais vraiment lui donner une chance. Ça la rendait un peu folle de voir que la solution à leurs problèmes, aussi évidente soit-elle, était la plus difficile à choisir. Elle avait besoin d'encore un peu de temps pour essayer d'y voir clair. En attendant, il y avait Reid. Elle ne put nier que sentir la jalousie de Cesar la rassura sur le fait qu'il n'était pas encore totalement indifférent, ou détaché de leur histoire. Il aurait pu le laisser croire avec ses rencards à répétions, ceux qu'elle avait vu à cause des réseaux sociaux. Elle avait pris sur elle pour ne pas réagir, pour prétendre s'en moquer. Ça avait tenu un temps comme résolution. Maintenant, elle était à nouveau celle qui faisait les mauvais choix, sacrifiait potentiellement une relation saine et équilibrée pour le simple plaisir de se jeter à nouveau dans les bras du mexicain. Dans le meilleur des cas, Reid ne saurait jamais rien pour ce soir et elle aurait tout le loisir de continuer leur histoire, la forçant à mentir et à dissimuler. Si peu pour le côté sain, hein ? Et ça, le mexicain le savait mais ne ferait rien pour la remettre dans le droit chemin. Ils étaient égoïstes à deux ce soir. Alors oui, il y avait une part d’honnêteté dans le fait qu’il lui manquait quand il n’était pas là, qu’elle n’arrivait pas à retrouver ce qu’elle ressentait pour lui avec qui que ce soit d’autre. Elle ne pourrait juste pas lui faire de promesses quand elle ne savait pas dans quel état d’esprit elle serait au réveil. Si elle déciderait d’arrêter de se battre contre ses sentiments ou si elle reprendrait ses esprits. C’était dur à dire quand la main du brun caressait si tendrement sa joue et que son premier réflexe fut d’y appuyer son visage pour mieux en profiter. Elle haussa un sourcil, se pinça les lèvres en l’entendant essayer de se justifier. « Tu veux peut-être éviter cet argument. Parce que je te rappelle qu’on ne sortait pas ensemble non plus… Dans les faits. » C’était tristement ironique. Cette histoire d’officialiser avait été un sujet épineux de leur relation, avait provoqué plus de tensions qu’il n’en fallait, tout cela pour au final se comporter comme un couple avec ses problèmes et sa séparation. Alors Em n’était pas tout à fait disposée à entendre parler d’autres filles avec qui il n’était pas, ne sachant que trop bien comment cela pourrait tourner. Ça lui serra un peu le cœur d’être la raison qui le faisait se sentir vivant, parce que ça lui rappelait que l’autre raison de leur rupture était le fait qu’il partait en couilles et qu’elle refusait d’être une bouée de secours, le seul repère entre lui et la noyade. « Alors laisse-nous profiter de ce soir et voir où ça nous mène, ok ? » C’était tout ce qu’elle pouvait garantir. La blonde se pencha à côté de lui pour attraper son gel douche et prétendre ne pas être venue dans la douche juste pour distraire Cesar. Cela ne l’empêcha pas d’en profiter allègrement, en se tournant par exemple pour lui présenter son dos. « Tu t’en occupes ? » Elle lui lança un sourire par-dessus son épaule pour mieux fuir son regard juste ensuite. « Je pense que tu sais déjà mais… j’ai rencontré Sara. Et Murphy. Aucune des deux conversations ne s’est bien passée. » Elle soupira, profita du contact des mains du brun sur sa peau pour se laisser distraire. « Je pense que j’ai réussi à énerver les deux. Juste pas de la même manière. Désolée. » Elle avait mis un point d’honneur à l’humilier dans les deux cas et encore ce soir, alors même que son comportement actuel n’allait vers rien de bon, elle continuait de regretter d’avoir agi sous l’impulsion de la colère.
How many times do I have to learn my lesson, before I learn my lesson ? No, somebody help me, please tell me that I'm dreaming. I keep repeating my actions expecting different reactions but the same thing keeps on happening • sheepirl.
Cesar Gutiérrez
l'enfant terrible
ÂGE : 23 ans (12 janvier 2001) SURNOM : Cesabruti par Maisie STATUT : En couple avec Emery depuis le mois de juin 2023, peu elle lui a pardonné et chacun est prêt à faire des efforts pour construire une relation saine MÉTIER : Maçon pour payer les factures, artiste qui rêve de faire de sa passion son métier LOGEMENT : #18 James street à Fortitude Valley, en colocation avec Kieran. Fini la grande maison avec Mama et Ale, enfin l'indépendance POSTS : 2000 POINTS : 0
TW IN RP : Langage cru, violence, dépression TW IRL : Violence sexuelleGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Artiste qui ne vit que pour sa passion > Lauréat d'un prestigieux concours d'art dans la catégorie artiste émergent, un prix qui remet ses choix de carrière et de vie en question > une gestion de la colère et des émotions approximative > Immature, c'est un gamin qui a encore beaucoup à apprendre (et surtout à fermer sa gueule) > il a renoué avec Sergio qu'il appelle désormais Papa > très loyal et protecteur pour les gens qu'il aime et qu'il estimeCODE COULEUR : #0066ff RPs EN COURS : (maj le 06/09/2024)
Les gugus > Scattered 'cross my family line. I'm so good at telling lies. That came from my mother's side. Told a million to survive. Scattered 'cross my family line. God, I have my father's eyes. But my sister's when I cry, I can run, but I can't hide from my family line.
Pendant quelques instants j’ai bien cru que cette douche s’était transformée en interrogatoire ou en leçon de morale pour la vie un peu décousue que je mène depuis quelques mois. Elle a raison quand elle dit que je suis sorti avec beaucoup de filles, c’est un fait que je ne nie absolument pas pas. J’essaie de me rattraper en lui expliquant que si j’ai eu de nombreuses aventures ça ne voulait rien dire. C’était simplement pour remplir des besoins physiques, combler le manque de contact physique et d’affection qui me fait souffrir depuis que nous ne sommes plus ensemble. J’ai toujours été très clair pendant mes dates sur le fait que ne j’avais pas envie de m’engager dans une relation sérieuse ou dans quelque chose d’exclusif. Je n’ai déjà pas réussi à oublier ma relation avec Em et à passer à autre chose alors je sais que je ne suis absolument pas prêt pour quelque chose d’aussi sérieux. « Tu veux peut-être éviter cet argument. Parce que je te rappelle qu’on ne sortait pas ensemble non plus… Dans les faits. » Elle marque un point, encore. “Je sais.” Nous n’avons jamais eu d’étiquette sur notre relation, c’est quelque chose qui m’avait beaucoup blessé d’ailleurs et qui avait jeté un froid entre nous pendant quelques temps. Je m’étais senti rejeté mais j’ai compris après coup que ce n’est pas qu’elle ne m’appréciait pas, mais plutôt que nous n’étions pas prêts à passer le stade de l'amitié et à se lancer dans le grand inconnu. Finalement ne pas avoir d’étiquette nous allait bien mieux et tout était plus simple. De mon côté, je considérais Emery comme une relation exclusive et même si j’avais -et j’ai toujours- des sentiments pour elle, j'avais accepté de ne pas entrer dans une case trop formelle.« Alors laisse-nous profiter de ce soir et voir où ça nous mène, ok ? » Je hoche légèrement la tête, elle a raison, on devrait arrêter de trop réfléchir pour profiter de cette soirée, on aura tout le temps de réfléchir ou de regretter plus tard. “Ok” Je lui réponds avec un petit sourire puis je la vois se tourner pour attraper la bouteille de gel douche qu’elle me tend. « Tu t’en occupes ? » J’attrape le gel douche avant d’en mettre un peu sur mes mains.“Bien sûr.” Je commence à laver en douceur son dos avant d’insister un peu sur ses épaules avec mes pouces pour détendre ses muscles. « Je pense que tu sais déjà mais… j’ai rencontré Sara. Et Murphy. Aucune des deux conversations ne s’est bien passée.” Je continue en douceur mon massage en descendant le long de sa colonne avec mes pouces mais ce qu’elle me raconte me crispe légèrement. Oh oui je suis au courant, Sara m’a tout expliqué et je me serais passé que ma soeur soit au courant de ma vie amoureuse désastreuse. “Sara m’a raconté que t’avais fait une entrée..fracassante oui.” Le mot est faible, si j’en crois Sara elle était comme une furie dans la maison et surtout dans ma chambre qu’elle commençait à mettre sans dessus dessous pour une boucle d’oreille. « Je pense que j’ai réussi à énerver les deux. Juste pas de la même manière. Désolée. » Qu’elle ait rencontré l’autre pétasse par contre ça m’inquiète. Cette folle est prête à tout et elle n’a aucun sens moral ou bon sens tout court. Le genre de personne qu’on pourrait comparer à une méduse : si vide de l’intérieur qu’on peut voir au travers, mais suffisamment dangereuse pour finir blessé en l’approchant de trop près. “Je savais pas pour Murphy, je l’ai bloquée de partout, je veux plus jamais la voir.” Elle était si fière d’elle dans ses messages, une vraie sorcière sans coeur que je ne veux plus jamais revoir. Si on avait le malheur de se recroiser je pense que je ne pourrais pas m’empêcher de lui expliquer avec pédagogie -mon poing gauche- et douceur -mon poing droit- tout le bien que je pense d’elle. Que ça soit une nana ou pas que m’en fiche, elle a foutu ma vie en l’air et elle mériterait un bon retour de bâton. “T’aurais pas dû aller voir Murphy, cette nana est complètement tarée. Elle ne t’a pas agressée au moins ?” Si cette folle a osé lever ne serait-ce que le petit doigt sur Em je me fiche des conséquences que je pourrais avoir, je ferais tout pour la retrouver et lui péter les dents. Personne n’a le droit de faire du mal à Em, je l’ai déjà trop fait alors c’est mon devoir de veiller à ce que mes actes ne lui retombent pas davantage dessus.
***:
Emery Dawson
les faux-semblants
ÂGE : 26 ans (08/01) SURNOM : em' en règle générale, mery christmas durant les fêtes STATUT : en couple avec cesar depuis juin 2023, pas de grosse catastrophe à recenser pour le moment. MÉTIER : vendeuse au sexshop l'aphrodite, en voie de racheter le sexshop concurrent. mannequin en dèche de contrats pour payer son loyer. LOGEMENT : squatter la coloc de cesar avec ses trois cochons d'inde a été un chaos inouï. elle a donc trouvé refuge... chez belle-maman. POSTS : 1047 POINTS : 80
TW IN RP : troubles alimentaires, drogues, sexualisation GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : obsédée par son apparence, déformation professionnelle ≈ vit une vie de rêve selon son instagram ≈ bricoleuse talentueuse ≈ oiseau matinal ≈ court, boxe, use les bancs de la salle de sport ≈ bénévole auprès de patients atteints d'alzheimer ≈ végétarienne ≈ son passif dans le mannequinat l'a amenée à coucher, poser pour des magazines érotiques et consommer de la drogue ≈ chantonne en permanence ≈ aspire à se marier à un bon parti pour arrêter de se soucier de la vie ≈ possède trois cochons d'inde : hobbs, eugene et ultra.RPs EN COURS :
It was a bad idea calling you up. Was such a bad idea, I'm totally fucked. It was a bad idea to think I could stop. Was such a bad idea, I can't get enough. It was a bad idea needing you so late. Was such a bad idea 'cause I can't think straight
Cela lui paraissait ridicule maintenant, à repenser aux semaines de tension qui avaient existées entre eux pour une simple question d’étiquette. Elle avait fui quand il l’avait appelée sa copine, s’était cachée derrière sa peur de l’engagement parce qu’elle se sentait plus en sécurité ainsi. Tout ceci pour au final être engagée plus que de raison dans cette relation, être présente pour Cesar comme elle ne l’avait jamais autant été dans son couple auparavant. En couple ou non, elle lui avait offert sur un plateau d’argent son temps, son attention, sa confiance, sa loyauté. Son amour, d’une certaine manière. Ils auraient pu en arriver là s’il n’avait pas tout foutu en l’air, s’il n’avait pas commencé à se comporter comme un pauvre type à la dérive. Le fait est que même si la rancune persistait, Emery était fatiguée d’être en colère contre lui. Fatiguée que tout soit compliqué entre eux et qu’elle se rappelle cette trahison chaque fois qu’elle était prête à lui céder. Ça n’avait été que du sexe ce soir. Ils feraient mieux d’en rester là si elle voulait éviter d’être blessée à nouveau. Malgré tout, elle ne pouvait pas se résoudre à le laisser partir encore, s’accrochant aux heures qu’ils pouvaient passer ensemble. Si elle avait pu, elle aurait fait en sorte que le temps s’arrête. Les mains du brun sur ses épaules la firent frissonner et pendant un instant, elle ferma les yeux pour mieux se concentrer sur la pression des doigts sur sa peau, de leur pression qui faisait tellement de bien. C’était peut-être parce qu’elle se sentait en sécurité qu’elle osa aborder les sujets fâcheux, à mi chemin entre l’excuse et les explications. Elle regrettait d’avoir déboulé comme une furie chez les Gutiérrez, d’avoir littéralement insulté Cesar devant sa sœur. Le fait qu’il soit au courant la fit même légèrement grimacer. « J’étais très en colère contre toi. » se justifia-t-elle d’une voix un peu piteuse, comme si cela rendait son comportement plus excusable. Pour Murphy en revanche, Emery ne regrettait absolument rien, si ce n'était le fait d’avoir été plus virulente encore. Cette nana avait cette capacité à polluer l’esprit d’une manière qui était juste intenable. Et la blonde ne put nier que savoir qu’elle était désormais hors de la vie de Cesar la soulageait franchement. « Je peux pas m’empêcher d’avoir des questions. Tu la connais d’où ? Pourquoi t’as accepté son invitation ce soir-là ? » En d’autres mots, pourquoi elle plutôt que sa copine-sans-vraiment-l’être ? Quoiqu’il se soit passé entre eux, il semblait savoir qu’elle était complètement tarée. Exactement le genre de personne à éviter. « Elle a voulu jouer les gros bras. Elle avait un flingue chez elle… Mais non, elle ne m’a pas agressée. Elle n’est pas si impressionnante. » Juste une pauvre fille qui se cachait derrière une tonne de maquillage, un sarcasme aiguisé et visiblement une arme à feu. « Je l’ai un peu insultée. J’avais envie de savoir pourquoi elle s’était acharnée et disons que pour ça, il a fallu la pousser à bout. » La situation aurait pu tourner au vinaigre mais ça ne lui avait pas effleuré l’esprit ce soir-là. « J’ai mené ma petite enquête pour faire le lien avec ce qu’elle m’a dit. Je pense qu’elle défendait Carl. Ça aurait du sens, non ? Tu lui as fait du tort publiquement, il connaît Murphy, elle est du genre à être l’emmerdeuse qui préfère se mêler des affaires des autres plutôt que de gérer sa vie pathétique. » Ce n’était qu’une hypothèse pour laquelle Em n’avait pas de preuve. Elle n’irait pas demander aux principaux suspects, trop consciente qu’il lui manquait une grosse partie de l’histoire pour s’en mêler. « Ce n’est pas une raison pour aller régler tes comptes. » prévint-elle subitement d’une voix plus sérieuse. Elle se retourna à contre-cœur pour attraper son regard du sien, l’expression sur son visage prouvant bien qu’elle n’était pas en train de plaisanter du tout. « Si j’apprends que tu t’es battu contre qui que ce soit, c’est fini pour de bon entre nous. On a beaucoup de choses à gérer mais ça, c’est non-négociable. » Elle avait trop donné dans la violence et elle n’avait pas besoin de s’inquiéter pour les mauvais choix que le jeune homme pourrait faire.
How many times do I have to learn my lesson, before I learn my lesson ? No, somebody help me, please tell me that I'm dreaming. I keep repeating my actions expecting different reactions but the same thing keeps on happening • sheepirl.