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 I want you to be the one (ediya #4)

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Message(#)I want you to be the one (ediya #4) EmptyLun 3 Juil 2023 - 8:52

i want you to be the one
But hold me fast, hold me fast
'Cause I'm a hopeless wanderer
And hold me fast, hold me fast
'Cause I'm a hopeless wanderer
(Mumford & Sons)


décembre 2018.
Des vacances. Ils ont tous besoin de vacances, Edison le premier. Et cette fois-ci, il a eu le courage de demander à Zoya si elle n’avait pas envie de partir à l’aventure avec lui, juste pour quelques jours. Il avait eu le besoin de préciser « juste pour quelques jours » pour ne pas rendre la chose trop officielle, pour qu’il ait un petit côté détaché alors qu’en réalité, les vacances étaient surtout là pour pouvoir passer du temps avec elle. Bien évidemment, il ne l’avouerait jamais. Sans qu’il ne sache pourquoi, elle avait accepté et c’est ainsi qu’on pouvait retrouver le duo sur les routes australiennes. Edison n'avait pas vraiment prévu quoique ce soit. L’idée était de prendre la route, d’avoir les bras de Zoya enroulés autour de sa taille et de s’arrêter quand ils en auraient envie. Un idéal de vacances pour son foutu cœur d’artichaud. Pas de vacances dans un hôtel de luxe. Non, la minuscule tente et les quelques babioles nécessaires à sa « survie » se trouvaient exactement dans les sacs qui étaient de chaque côté de l’enfin acheté grâce à quelques paris bien placés : une chance de cocu, c’est ce qu’on aurait pu dire s’il avait été en couple. La moto se gare alors dans la rue de Zoya. Sa paranoia le contraint à avoir un regard circulaire pour s’assurer que personne est là, que Cameron ne soit pas là. Si personne ne le dit tout haut ou n’ose y croire, Edison préfère que cette « histoire » reste secrète car en réalité, il n’y a pas d’histoire, n’est-ce pas ? Zoya le lui rappelle suffisamment souvent. Il n’est pas un petit-ami. Il est un jeu. Un passe-temps. Il est « pratique ». Alors, il préfère ne pas penser au fait qu’elle soit la relation la plus stable qu’il ait pu avoir avec une femme … il préfère ne pas y penser pour ne pas être pathétique.

Il sonne à la porte de cette dernière pour la voir finalement la voir lui ouvrir la porte avec cet air de vacancière clichée. Un sourire vient étirer ses lèvres et illumine son visage. « T’es prête ? » qu’il lance avec entrain sans même lui dire bonjour ou quoique ce soit. Avec elle, ils n’ont pas ce besoin de passer par les échanges normaux. Ils sont spontanés. Ils sont naturels. Ils sont juste eux, sans le moindre artifice. Pour leurs vacances, il n’a pas prévu quelque chose de chic ni même de plage … il a prévu quelque chose d’autre. Il a prévu de s’aventurer dans les terres australiennes. La première étape sera St George. Ils seront au moins assurés de ne croiser personne et de se dépayser : n’est-ce pas ce que l’on veut quand on part en vacances. Un regard vers le sac de la jeune femme, il esquisse un sourire amusé et s’approche d’elle, une main posée sur sa hanche : « tu voyages léger à ce que je vois … » qu’il vient murmurer au creux de son oreille sans doute parce qu’il est en train de s’imaginer la jeune femme la majeure partie du temps, nue entre ses bras. Possible. Sa voix de gamin est rieuse et il prend même la peine de déposer un simple baiser sur sa joue avant de se reculer et de désigner l’endroit où il s’est garé. « Allez ! On n’a pas de temps à perdre – notre première escale est à six heures de route … » qu’il lance avec entrain, en tapant dans ses mains.
@Zoya Lewis   

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Message(#)I want you to be the one (ediya #4) EmptyMer 5 Juil 2023 - 22:07

i want you to be the one - ft   @Edison Dorn  #4 

Décembre 2018.  La page n'est toujours pas entièrement tournée mais cette échappée belle que lui propose Edison est un moyen de plus pour l'aider à tirer peu à peu un trait définitif sur cette relation dont elle préfère en oublier jusqu'aux bons moments. Parce qu'elle a souffert de la rupture qui s'en est suivie alors qu'elle pensait qu'Elijah et elle étaient sur la même longueur d'onde, Zoya a, depuis, cruellement besoin de se changer les idées et se convaincre qu'elle n'a rien perdu. Et pour se faire, la photographe se laisse porter par le gré de ses envies, celles qu’elle aurait été capable de sacrifier par amour. Aujourd’hui, c’est donc une tout autre aventure qui l’attend alors qu’Edison lui propose quelques jours d’escapade, sous prétexte qu’il a besoin de vacances et elle aussi.

Mais la relation entre les deux semble un peu plus complexe qu’elle en a l’air, quand tout est prétexte, surtout ces derniers mois, à ce qu’ils se retrouvent. Il faut dire que dès qu’une peine de cœur vient à toucher la jeune femme, elle sait trouver refuge dans les bras de celui qu’elle aime surnommer son nounours en guimauve, celui qui est surtout un des meilleurs amis de son frère et qu’elle sait mauvaise l’idée de fréquenter. Mais c’est plus fort qu’elle, Zoya ayant toujours eu une attirance, au-delà de physique, particulière pour le Dorn, dont la présence est facile et a un côté réconfortant. Il faut dire qu’il n’est pas question d’attache entre eux et qu’Edi’ est capable de tout céder à Zoya – pour ses beaux yeux. Alors, dans une telle configuration, c’est un compromis parfaitement trouvé pour la jeune femme qui, même si elle prépare son sac de voyage au dernier moment et à la va-vite, est excitée à l’idée de ces prochains jours de vacances qui se profilent. [/b] « T’es prête ? » Elle l’est, même plus, sautillant presque sur place telle une enfant le matin de Noël en découvrant ses cadeaux. « I am, babe » qu’elle fait alors qu’elle lui tourne le dos pour récupérer son sac et qu’elle lui laisse la voie libre pour rentrer. « tu voyages léger à ce que je vois … » La remarque ne manque pas de la faire sourire alors qu’il vient à lui murmurer ces quelques mots à l’oreille « Je me suis dit que m’encombrer de trop de vêtements serait stupide. Au pire, tu me prêteras les tiens », sous-entendu comme après chacun de leurs ébats où elle s’amuse à lui volatiliser le t-shirt qu’il portait ou son short trois fois trop grand pour elle « ou pas » qu’elle murmure tout bas, en venant à se mettre sur la pointe des pieds pour atteindre le creux de son oreille à son tour « Allez ! On n’a pas de temps à perdre – notre première escale est à six heures de route … » Les yeux de Zoya s’écarquillent en attendant le nombre d’heures de route qui les attendent mais cela ne la refroidit pas pour autant. « Aller, dépêches-toi je t’attends depuis tout à l’heure ». Elle prend la direction de la porte d’entrée en ayant un air malicieux et attend qu’Edi sorte pour fermer celle-ci derrière lui et la verrouiller « Le premier en bas conduit ? ». Ce serait définitivement une très très mauvaise idée qu’elle conduise l’engin, non seulement parce qu’elle n’a pas le permis adéquat mais, en plus, elle est un vrai danger public – ce n’est pas pour rien qu’elle ne se déplace qu’en transport en commun. Zoya se met à dévaler les escaliers de la résidence pour rejoindre l’extérieur, sans compter évidemment sur un Dorn qui est plus déterminé que jamais à la rattraper pour la devancer et éviter ainsi qu’elle puisse conduire la moto. Deux enfants, en somme, qui font un bruit infernal dans la cage d’escalier jusqu’à atteindre l’extérieur où Zoya arrive essoufflée et largement devancée « J’aurai ma vengance, Dorn ! » et il peut la croire sur parole, ayant déjà en tête à quel moment elle pourra le faire et la mine qu’elle adopte peut largement lui donner un indice à ce sujet.

***

Cramponnée à Edison depuis deux bonnes heures, Zoya se délecte de cette sensation de liberté qu’elle ressent en étant derrière lui sur sa moto. Casque sur la tête, cela n’empêche pas ses cheveux de se débattre face au vent et même si la prise de vitesse est conséquente, cela ne l’a pas empêché de tenter, à plusieurs reprises, de se détacher du jeune homme pour lever les bras en l’air et profiter de la sensation procurée, criant le plus fort possible sans que toutefois quiconque ne puisse l’entendre. Elle se sent bien à cet instant, elle se sent libre, elle se sent vivante surtout et c’est tout ce dont elle a besoin. S’en est un autre qui se manifeste toutefois et elle fait comprendre à Edi’ de faire une halte. Ils s’arrêtent un peu au milieu de nulle part et Zoya, après s’être débarrassée de son casque – qu’elle a délaissé dans les mains de Dorn sans attendre « Envie pressante » et elle disparait un peu plus loin, derrière un buisson. Lorsqu’elle revient, elle s’empare de la bouteille d’eau dans laquelle le musicien était en train de boire – là aussi avec aucune délicatesse – et en boit quelques gorgées « On en a encore pour combien de temps ? »  qu’elle demande alors qu’elle lui rend la bouteille, sourire amusé au bout des lèvres « Tu ne m’as pas dit où tu m’amenais, au fait » oui, soudainement, ces vacances tournent autour d’elle uniquement « à moins que ce ne soit un plan pour me kidnapper ». Et au vu de l’air qu’elle adopte, cela n’a pas l’air de la déranger plus que ça.  


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Message(#)I want you to be the one (ediya #4) EmptyMer 5 Juil 2023 - 22:29

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But hold me fast, hold me fast
'Cause I'm a hopeless wanderer
And hold me fast, hold me fast
'Cause I'm a hopeless wanderer
(Mumford & Sons)


décembre 2018.
« Je me suis dit que m’encombrer de trop de vêtements serait stupide. Au pire, tu me prêteras les tiens ou pas » Évidemment, il lâche un éclat de rire avant de siffler comme s’il est impressionné par les plans diaboliquement intéressants de celle qui parvient toujours à le rendre … heureux. Et merde, il est amoureux l’abruti. Mais dieu soit loué, elle parvient à ne pas s’attarder à cette pensée. Non, mieux ne vaut pas y penser. « Aller, dépêches-toi je t’attends depuis tout à l’heure. Le premier en bas conduit ? » « Quoi ?! », lâche-t-il d’une voix faussement aigue, une voix de crécelle pour être exact. Et, c’est au pas de course qu’il se met à dévaler les escaliers comme si sa vie en dépendait. Des gamins. Comme d’habitude. Il la bouscule presque en passant devant elle avant de lâcher un rire diabolique pour les dernières marches … il aurait pu lui proposer de porter son sac … s’il avait été un gentleman. Bien sûr que non, ça jouait en son avantage et Edison ne perdait jamais un défi. Question de principe. Il pousse la porte d’entrée pour finalement se retourner et avancer à reculons pour pouvoir la voir débarquer avec un peu de retard. Il ouvre les bras en croix, avec un air de vainqueur. «J’aurai ma vengance, Dorn ! » « Hoooo … tout de suite ! Les grands mots ! », qu’il réplique dans un éclat de rire.
* * *
Ils sont sur la route. La jeune femme a enroulé ses bras autour du chauffeur. Le temps joue en leur faveur. La météo est propice à un voyage en moto … il se taperait presque sur l’épaule pour se féliciter. Ils profitent de la route, de ce sentiment de liberté. Ils vivent. Enfin ! Peut-être qu’Edison se sent encore plus heureux quand il sent la jeune femme derrière lui lâcher prise … elle parvient à lui faire décrocher un tendre sourire.
Puis, elle lui fait comprendre qu’il doit s’arrêter. Maintenant. Les sourcils froncés, il décide de ne pas attendre plus longtemps et quelques kilomètres plus tard, ils se retrouvent sur le bas-côté. Au milieu de nulle part. Elle descend en quatrième vitesse, lui cale son casque entre les mains. « Envie pressante » Il éclate de rire. « Putain mais c’est de famille d’avoir une micro vessie ou c’est quoi le délire …» qu’il clame derrière elle alors qu’elle part se planquer derrière un buisson et qu’il secoue la tête de droite à gauche, amusé. Edison est calée contre la moto, une bouteille d’eau entre les mains, il profite de cet instant de pause pour se dégourdir les jambes et surtout pour profiter de cet endroit … au milieu de nulle part. Tout ce dont il avait besoin aujourd’hui : Zoya et rien d’autre. Petite moue boudeuse quand elle lui arrache sa bouteille des mains. « On en a encore pour combien de temps ? » « On a de la chance, ça roule pas mal et si tu ne nous obliges pas à faire des pauses toutes les deux heures, on devrait y arriver plus rapidement que prévu » «Tu ne m’as pas dit où tu m’amenais, au fait. A moins que ce ne soit un plan pour me kidnapper. » Un large sourire s’affiche sur ses lèvres alors qu’il feint de l’arroser avec la bouteille d’eau.
«L’idée est de s’approcher de St George, paraît que c’est pas mal dans le coin … mais, on peut s’arrêter avant si on trouve un endroit pas mal. L’improvisation, Zoya, l’improvisation » et il agite la main comme un chef d’orchestre en répétant ce mot qui lui correspond à merveille. « Je t’emmène suffisamment loin, dans un endroit suffisamment paumé pour que tu sois contrainte de rester avec moi … c’est ma technique pour ne pas te voir me filer entre les doigts pour ces vacances », qu’il ajoute en tendant le bras pour saisir le pan de son haut et l’attirer vers lui avec un sourire gourmand. « Creepy pas vrai ? », qu’il ajoute d’une voix rieuse tout en venant approcher ses lèvres des siennes sans pour autant l’embrasser. Juste une énième provocation entre les deux énergumènes.

@Zoya Lewis   

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Message(#)I want you to be the one (ediya #4) EmptyJeu 13 Juil 2023 - 11:32

i want you to be the one - ft   @Edison Dorn  #4 

Décembre 2018.  « Putain mais c’est de famille d’avoir une micro vessie ou c’est quoi le délire …» Et alors qu’elle se précipite vers un point stratégique pour soulager sa vessie, avant de disparaitre derrière le buisson, Zoya brandit son majeur à l’encontre d’Edison en guise de réponses, sourire amusé au bout des lèvres.

Et parce qu’elle vient de la vider, elle s’empresse de la remplir à nouveau en venant se saisir de la bouteille d’eau dans laquelle Dorn était en train de boire, ne prêtant pas attention à sa mine boudeuse et l’interrogeant sur le temps qu’il leur restait pour arriver à destination « On a de la chance, ça roule pas mal et si tu ne nous obliges pas à faire des pauses toutes les deux heures, on devrait y arriver plus rapidement que prévu » « Si je te propose une pause pour une autre envie, je suis persuadée que tu ne t’en plaindra pas ». Le sous-entendu est clair, ses sourcils se relevant à plusieurs reprises « M’enfin, je ne veux pas chambouler ton programme, je vais éviter de nous faire avoir d’autres pauses, j’ai compris » elle bluffe, volontairement, guettant la réaction d’Edison du coin de l’oeil alors qu’elle lui redonne la bouteille avec laquelle il feint de l’arroser, la poussant à esquiver inutilement. «L’idée est de s’approcher de St George, paraît que c’est pas mal dans le coin … mais, on peut s’arrêter avant si on trouve un endroit pas mal. L’improvisation, Zoya, l’improvisation » « Je ne vis que d’improvisation, Dorn. C’est toi qui râle » qu’elle lui renvoie en laissant échapper un rire « Je t’emmène suffisamment loin, dans un endroit suffisamment paumé pour que tu sois contrainte de rester avec moi … c’est ma technique pour ne pas te voir me filer entre les doigts pour ces vacances (…) Creepy pas vrai ? » Il l’attire vers lui, ses lèvres dangereusement proche des siennes, ce qui amuse la Lewis qui sourit sans pour autant céder « Tu m’effraie le moins du monde, Dorn ». Elle ne l’a jamais vu comme une menace potentielle ou comme un fou furieux et cela ne changera pas aujourd’hui alors qu’il l’entraîne avec lui dans un road trip pour plusieurs jours. Son index vient titiller son torse alors que son regard suit le parcours de celui-ci « J’aime même cette idée, en réalité » qu’il l’entraîne aussi loin et veuille la garder égoïstement que pour lui. Elle relève son regard pour trouver le sien, approchant son visage du sien « On repart ? ». Elle le repousse fortement de sa main, éclatant d’un rire franc, réendossant son casque sur la tête « Plus vite on arrive, plus vite tu auras une récompense ». Le ton est donné et là voilà qui reprend place sur l’engin, attendant qu’Edison en face de même pour venir nouer ses bras autour de sa taille.


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Message(#)I want you to be the one (ediya #4) EmptyJeu 13 Juil 2023 - 17:45

i want you to be the one
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'Cause I'm a hopeless wanderer
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'Cause I'm a hopeless wanderer
(Mumford & Sons)


décembre 2018.
« Tu m’effraies le moins du monde, Dorn » « Tant d’insouciance », souffle-t-il, amusé, sans la quitter du regard. Zoya a rapidement pris une place importante dans la vie d’Edison, d’abord comme sœur de son meilleur ami et ami d’enfance. Puis comme amie, amante. Il n’a pas de mot pour caractériser ce qui les unit. Il ne veut pas en chercher non plus car cela pourrait augmenter les risques de voir ce quelque chose disparaître. Zoya est devenue un pilier de sa vie. Elle est devenue le sourire qu’il aime avoir dans sa vie. Elle est devenue le rire qu’il aime entendre en bande son de sa vie. Il a appris à baisser quelques remparts quand elle s’approche un peu trop de son palpitant. En réalité, il en est devenu amoureux sans en avoir conscience. Edison n’a jamais eu de petite amie. Jamais. Incapable de se lier à qui que ce soit de peur de se voir de nouveau délaissé, il préfère être le premier à jouer à ce jeu … mais avec elle, c’est différent. Il aimerait pouvoir se dire que tout cela durera pour toujours. Il aimerait alors il fait tout pour. Il répond à chacun de ses caprices. Il est là, quand elle a envie qu’il soit là et non l’inverse. Une relation aller et non aller-retour, peut-être mais il s’en réjouit … il en est heureux … jusqu’à ce que son palpitant ne le supporte plus. « J’aime même cette idée, en réalité » Un sourire candide prend place sur le visage du tatoué. Ils sont sur la même longueur d’ondes, encore et toujours. « On repart ? » Son regard se perd dans le sien alors qu’il a presque le sentiment que la température ait un tout petit grimpé depuis qu’elle s’est rapprochée de lui.
Et, elle finit par éclater de rire en le repoussant … laissant Edison avec une moue faussement boudeuse sur le bas côté. « Plus vite on arrive, plus vite tu auras une récompense » « Ce que tu fais, ça s’appelle de la manipulation. J’espère que tu en as conscience », qu’il lance tout en enfonçant son casque sur sa tête et grimpe de nouveau sur la moto pour reprendre la route quelques minutes plus tard.

Le reste du trajet est martelé de quelques pauses et de pas mal de fous rires – l’excitation de petites vacances ensemble sans doute. Le lieu tant attendu approche … tout comme les nuages gris qui semblent les suivre et ne présagent rien de bon. Edison hésite un instant : peut-être que se rendre dans un hôtel aurait été une meilleure idée. Peut-être aurait-il dû prévoir autre chose que du camping sauvage au milieu de nulle part … après tout, c’est comme cela que commencent les histoires d’horreur autour du feu de camp, non ? Et finalement, ils se retrouvent à l’endroit tant désiré … du moins, selon Edison. Ils s’aventurent davantage pour être proche d’un point d’eau ; ça, c’est pour les goûts d’Edison. Ils passent devant quelques tentes déjà plantées ou des vans aménagés. Et finalement, ils s’arrêtent au beau milieu de nulle part.

« J’crois qu’on aurait dû prévoir … », il n’a pas le temps de finir sa phrase qu’un orage gronde au loin et que les nuages gris finissent par pleurer … de grosses gouttes. Il pleut. Et Edison lâche un juron énervé. La fatigue. L’envie de se caler, de se poser, de se boire une bière et de surtout … ne pas avoir à se presser … putain ! il ne manquait que la pluie. Aussitôt, il se précipite pour chercher la tente. Planter une minuscule tente deux places sous la pluie … est-ce que c’est une bonne idée pour commencer des vacances ? « Tu vois, tu devrais apprendre à contrôler ta vessie … avec moins de pause, on aurait déjà planté la tente… », qu’il lance sur un ton amusé bien qu’il y ait une once de vérité dans sa phrase.


@Zoya Lewis   

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Message(#)I want you to be the one (ediya #4) EmptyMar 1 Aoû 2023 - 18:12

i want you to be the one - ft   @Edison Dorn  #4 

Décembre 2018. « Tant d’insouciance » Et c’est tout ce qui caractérise la Lewis au quotidien, elle qui n’a jamais eu froid aux yeux. Alors, ce ne sont pas les menaces d’Edison qui vont avoir un quelconque effet sur elle, surtout quand elle sait qui il est et son incapacité à lui causer du tort. C’est tout le contraire, en réalité, puisqu’il est celui chez qui elle trouve refuge dès qu’elle ne va pas et il a le don de lui redonner le sourire en un rien de temps. « Ce que tu fais, ça s’appelle de la manipulation. J’espère que tu en as conscience » Elle est dangereusement proche de lui et, comme à son habitude, se joue de lui en le faisant languir de plus. Il faudra pour cela qu’ils arrivent à destination et si lui estime que c’est de la manipulation, elle en revanche ne voit pas ça de la même façon « Non, c’est de la motivation » nuance donc qu’elle fait avant d’enfoncer son casque sur la tête et grimper derrière lui.
De la motivation, Dorn en a sûrement mais c’est sans compter une ou deux autres pauses urgentes qu’elle lui demande – et peut-être qu’elle s’en amuse aussi, sentant l’agacement du musicien à chacune de ses requêtes. Ils finissent par arriver à destination après quelques heures mais ne sont pas seuls dans ce périple puisque d’énormes nuages gris ont, semblent-ils, décidé de venir se réfugier dans le coin tranquille qu’ils ont trouvé. « J’crois qu’on aurait dû prévoir … » Et voilà que l’orage gronde et que la pluie se manifeste aussi, ce qui fait fortement grimacer Zoya alors qu’Edison s’interrompt. « Tu vois, tu devrais apprendre à contrôler ta vessie … avec moins de pause, on aurait déjà planté la tente… » La tape dans son épaule est instantané alors qu’il l’accuse responsable de ce manque de chance « Rien que pour ça, tu peux dire adieu à ta récompense » première chose « Et tu aurais pu regarder la météo, ça nous aurait évité ça peut-être ». Elle boude Zoya alors que les gouttes de pluie deviennent plus abondantes et qu’elle est presque déjà trempée. « Tu ferais mieux de t’activer à monter la tente ! » qu’elle lui somme tout en s’approchant de lui « Et donnes-moi ta veste » celle en cuir qu’il a sur les épaules et qu’elle compte bien utiliser pour s’abriter, en attendant qu’il monte la tente, celle pour laquelle elle n’a nullement l’intention de l’aider. Elle l’incite d’ailleurs à le faire en tirant sur le tissu, sachant très bien qu’il ne lui refusera pas.

Lorsque la tente est enfin montée, Zoya le rejoint, l’air taquin « Enfin ! » ils sont tous les deux dans un état lamentable, trempe de la tête au pied et une certaine mesquinerie vient teinter ses traits « Cela dit, le résultat n’est pas trop mal » et ce n’est pas de leur habitation sommaire qu’elle parle mais de lui alors que des gouttes s’échappent de ses cheveux et dégringolent sur sa peau. Elle est dans le même état et sans réellement prévenir, elle se défait de ses vêtements mouillés avec amusement avant de se réfugier dans la tente.

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Message(#)I want you to be the one (ediya #4) EmptySam 5 Aoû 2023 - 14:10

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(Mumford & Sons)


décembre 2018.
« Rien que pour ça, tu peux dire adieu à ta récompense » Il roule des yeux tout en sifflant d’un air faussement agacé. Le priver d’une récompense alors qu’il a été ô combien compréhensif et patient. Il ne lui a même pas trouvé de petit surnom pour parler de son intérêt à s’arrêter à chaque étape de leur périple. « Et tu aurais pu regarder la météo, ça nous aurait évité ça peut-être. » Edison n’a jamais eu de gros problèmes avec les reproches. Il les encaisse. Il les ignore la majeure partie du temps mais parfois, les reproches le blessent plus que de raison … surtout quand cela a à voir avec Zoya, le groupe de musique ou sa famille. Les reproches, il ne les apprécie pas quand il y croit, quand il s’est donné de la peine pour accomplir quelque chose. Et ces vacances avec Zoya, ça avait été la chose importante des derniers mois. C’était ce à quoi il pensait et ce qui le motivait à regarder les journées passer sans bouger le moindre doigt. Oui, il avait voulu que tout soit parfait … il aurait en effet pu regarder la météo. « Hé ! C’est à moi de faire des reproches …. », qu’il lance en essayant de dissimuler sa peine derrière un sourire provocateur. Mais la météo continue de ne pas jouer en leur faveur et la pluie se fait de plus en plus abondante. Génial. « Tu ferais mieux de t’activer à monter la tente ! » « Oui maitresse » réplique-t-il avec plein d’ironie, se penchant même en avant comme pour faire une petite révérence à celle qui reprenait la direction des événements ; logique. « Et donne-moi ta veste ! » Il se redresse, les sourcils levés avant de poser son regard sur sa propre veste … un soupir long et exagéré et il la lui balance en marmonnant quelques jurons pour finalement s’activer à monter cette foutue tente. La prochaine fois – si prochaine fois il y a – il se prendrait une chambre d’hôtel cinq étoiles.

Il faut plusieurs longues minutes pour que la minuscule tente soit finalement montée. N’allez pas vous imaginer qu’il s’agisse d’une tente gigantesque. Il y a simplement suffisamment de place pour un matelas minuscule, deux sacs de couchage et peut-être de quoi caler quelques objets personnels et un sac à dos. C’est la tente qu’Edison utilise quand il décide de prendre la route pour quelques concerts, pour s’éloigner de tout et de tout le monde. Rien à voir avec du luxe mais au moins, c’est pratique. « Enfin ! Cela dit, le résultat n’est pas trop mal » Il tourne la tête vers elle, passe même les mains dans ses cheveux pour essayer vainement de les plaquer en arrière. Putain de pluie, pense-t-il. Mais dans le fond, ses lèvres s’étirent en un large sourire et trahissent le fait qu’ils vont parvenir à transformer cette péripétie en un moment magique, leur moment. Car ensemble, ils peuvent se contenter de trois fois rien. Les vêtements humides d’Edison ont rejoint les siens et c’est en marmonnant un juron plaintif qu’il finit à son tour par la rejoindre après avoir été cherché un sac. Agenouillé et la tête presque recroquevillé pour ne pas trop prendre de place, il vient caler le sac entre eux. Son regard se baisse sur celui-ci et il y plonge les mains. « Bien que notre petite escapade soit un petit secret ... », évidemment il n’en parle à personne et se contente de jouer le rôle du « pote » dès qu’il y a une tierce personne dans le coin ou quand elle le décide, « je me suis dit que ça serait quand même mal de nous aider à pas oublier combien … je suis merdique en termes d’organisation. » Ses lèvres s’étirent en un sourire alors qu’il vient sortir du sac un appareil photo. Un polaroid. Zoya aime la photographie. Il le sait. Et lui, il aime Zoya alors il s’était dit que ça serait peut-être un chouette élément à ajouter à leur petite aventure. Et sans attendre, il la prend en photo dans un éclat de rire …


@Zoya Lewis   

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Message(#)I want you to be the one (ediya #4) EmptyDim 6 Aoû 2023 - 13:31

i want you to be the one - ft   @Edison Dorn  #4 

Décembre 2018. « Hé ! C’est à moi de faire des reproches …. » Non parce qu’il est à l’origine de cette escapade. Elle n’est en rien responsable à ses yeux de ce temps maussade qui semble les suivre et avoir la volonté de gâcher le début de leur séjour. Il aurait dû prévoir, voilà tout, et il n’a aucun reproche à lui faire à elle parce qu’elle n’a rien fait de mal que de répondre à des envies pressantes de son corps. Elle peste alors contre lui – injustement, alors qu’il tente de faire au mieux et qu’elle le sait, surtout quand Zoya voit très bien à quel point Edison se donne du mal pour elle, pour l’aider à aller. Sauf qu’elle n’est pas tendre, le presse à se mettre à la tâche et à leur monter la tente qui sera leur refuge. « Oui maitresse ». Peu importe qu’il soit d’accord ou non, elle ne tient pas à rester sous cette pluie battante et veut se mettre à l’abri au plus vite. Elle lui subtilise sa veste sans lui en laisser le choix, il peste mais elle s’en contrefiche, ne voyant pas plus loin que le bout de son nez – encore.

La tente est désormais montée et après s’être rincée l’œil avec un Edison plus que trempée, Zoya s’engouffre dans ce qui leur servira de nid douillet, au moins pour cette nuit. « Bien que notre petite escapade soit un petit secret ... » Elle est assise en tailleur, face à Edison, attendant avec impatience de savoir ce qu’il va sortir de son sac à dos « je me suis dit que ça serait quand même mal de nous aider à pas oublier combien … je suis merdique en termes d’organisation. » Elle n’a que d’attention pour ce polaroïd qu’il sort, telle une enfant découvrant ses cadeaux au pied du sapin le matin de Noël. Il a pensé à apporter de quoi immortaliser l’instant, elle qui s’est retenue de prendre son matériel alors qu’elle fait toujours suivre celui-ci dans tous les voyages qu’elle entreprend. Mais le maître mot était de voyager léger, alors à contre cœur, elle a dû y renoncer. Et alors que son attention est accaparée par l’appareil, elle se fait surprendre par le cliquetis de celui-ci actionné par Edison, riant l’instant d’après « Dorn, tu es le meilleur ». Et elle s’empare alors de l’objet, attrapant au passage la photographie qui en sort et dont ils doivent attendre quelques instants pour en voir le résultat « Ce sera notre petit secret à nous. On les gardera précieusement et égoïstement dans une petite boite dans notre chambre » qu’elle fait d’un air amusé, l’impression d’être avec lui deux adolescents en train de fauter, alors qu’ils sont deux adultes parfaitement consentant. A son tour, elle pointe l’objectif vers Edison et vient ensuite à se mouvoir pour se mettre à ses côtés pour faire un selfie d’eux deux « Tu sais que tu es particulièrement attirant tout trempé… » Et alors que l’objectif est pointé vers eux, Zoya approche ses lèvres des siennes et l’embrasse alors que le cliquetis retentit dans la minuscule tente. Elle rit après ça, laissant la photo sortir « Je pense que celle-ci sera la meilleure ». Et alors qu’elle délaisse l’appareil à côté d’elle ainsi que la photographie qui commence à dévoiler ses secrets, elle s’approche d’Edison, nouant ses bras autour de sa nuque « Et tu n’es pas merdique. L’imprévu est toujours plus réjouissant dans une aventure » en l’occurrence la leur qui commence, celle dont elle compte bien profiter.


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Message(#)I want you to be the one (ediya #4) EmptyDim 6 Aoû 2023 - 16:56

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décembre 2018.
« Dorn, tu es le meilleur. » « C’est ce qui se dit, ouais », réplique-t-il avec un sourire idiot aux lèvres. C’est absolument le contraire qui se dit. Il n’est pas le meilleur, il est le pire. Le pire surtout quand il est question de demoiselles et de relations amoureuses. « Ce sera notre petit secret à nous. On les gardera précieusement et égoïstement dans une petite boîte dans notre chambre. » Son rire vient répondre en miroir à son air amusé. Ils sont toujours deux adolescents, deux enfants quand ils sont ensemble. Ils sont hors du temps, ils ne sont plus des adultes. Zoya a cet effet rafraichissant sur sa vie : avec elle, il se contente d’être lui-même. Il n’a pas besoin de faire plus … et le pire dans tout ça, c’est qu’apparemment, il est plutôt quelqu’un de bien quand il ne joue aucun rôle … aucun autre que celui d’Edison Dorn. Il la laisse venir se mouvoir contre lui et vient enrouler son bras autour d’elle, se laissant enivrer par son parfum quand elle s’approche davantage de lui pour pointer l’objectif vers eux. « Tu sais que tu es particulièrement attirant tout trempé ... » « Aha ?! Vraiment ? », qu’il dit d’une voix calme et douce tout en esquissant un sourire complice. Et c’est ainsi que ses lèvres viennent à la rencontre des siennes pour échanger un simple baiser qui par un clic se fait immortaliser. « Je pense que celle-ci sera la meilleure. » Les bras de la jeune femme viennent se nouer autour de sa nuque et aussitôt ses mains viennent se poser sur elle pour pouvoir la rapprocher un peu plus de lui. « Et tu n’es pas merdique. L’imprévu est toujours plus réjouissant dans une aventure. » « Oh donc si je comprends bien, tu ne me tiens plus comme responsable de la catastrophe météorologique … et trouve ça même … réjouissant », dit-il tout contre ses lèvres sans pour autant l’embrasser. Il s’agit surtout d’une petite provocation, taquinerie à laquelle elle tout comme lui était habitué. C’est leur manière de se comporter, de parler, d’échanger. C’est leur monde qui fonctionne de la sorte et apparemment, ils ne s’en plaignent pas. « Attention, j’pourrais presque me mettre à penser que je vais avoir droit à ma petite récompense … », ajoute-t-il en venant déposer un léger baiser sur la commissure de ses lèvres.

Son attention se déporte néanmoins sur la photographie qui a désormais pris vie et il s’en saisit pour secouer doucement la photographie et voir le résultat. Un sourire amusé prend place sur ses lèvres. Zoya et Edison. Edison et Zoya. Pourquoi était-elle incapable de voir ce qu’elle représente pour lui ? Pourquoi était-il incapable de lui dire ce qu’elle est pour lui et ce qu’il aimerait devenir pour elle ? Il aimerait pouvoir lui dire que ça, ces moments, ce bonheur, il pouvait lui offrir. Il était prêt à se ranger. Pour elle. Pour elle et son sourire. Il lève légèrement la main pour désigner la dite-photographie. « On est pas mal sur celle-ci, t’as raison… », qu’il dit d’une voix amusée. « Après la météo parfaite … qu’est-ce qui pourrait venir ruiner notre aventure … non, excuse-moi, pas ruiner mais challenger et mouvementer notre aventure … peut-être un serial killer ou un animal sauvage … qui sait ? Va peut-être falloir se lancer dans carpe diem et profiter du fait que pour l’instant tout va pour le mieux, non ? », dit-il en s’approchant d’elle comme un dangereux prédateur, un sourire amusé aux lèvres et le regard pétillant.

@Zoya Lewis   

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Message(#)I want you to be the one (ediya #4) EmptyLun 7 Aoû 2023 - 20:21

i want you to be the one - ft   @Edison Dorn  #4 

Décembre 2018. « C’est ce qui se dit, ouais » Elle ne disait pas ça il y a encore quelque minutes mais elle se laisse porter par la réjouissance que lui procure cet abri qui est désormais le leur, ce cadre qui va être le leur pendant quelques jours et aussi ce polaroid qui va lui permettre d’immortaliser tous les bons moments qu’elle sait d’avance qu’elle va passer avec lui. Elle s’approche de lui, lui faisant comprendre que le fait que les gouttes qui perlent encore sur sa peau ont un certain effet sur elle. « Aha ?! Vraiment ? » Elle acquiesce alors que Zoya approche doucement ses lèvres des siennes pour lui confirmer que c’est bel et bien le cas, actionnant au même moment le bouton du polaroid pour graver l’instant dans la mémoire de la pellicule.  « Oh donc si je comprends bien, tu ne me tiens plus comme responsable de la catastrophe météorologique … et trouve ça même … réjouissant » Et si la distance entre leurs lèvres n’est que de quelques millimètres à peine, elle recule un tant soit peu sans détacher son emprise autour de sa nuque « C’est toi qui a commencé en estimant que c’était de MA faute si on s’est pris la pluie » Elle adopte une mine boudeuse, fronçant les sourcils, se comportant telle l’enfant qu’elle est toujours.  « Attention, j’pourrais presque me mettre à penser que je vais avoir droit à ma petite récompense … » Elle perd son air sérieux, amusée qu’il ose penser que cela soit encore possible alors qu’il l’a particulièrement froissée un peu plus tôt « Uhmm…. qu’elle fait, faisant mine de réfléchir Tu dois encore te faire pardonner, Dorn ». Et elle le repousse légèrement de ses deux mains par les épaules, restant toutefois proche de lui.

La photographie révèle leur secret, celui qu’ils ont toujours tenté de garder pour eux avec l’impression de fauter bien qu’ils soient deux personnes majeures et consentantes. « On est pas mal sur celle-ci, t’as raison… »  - « Bien sûr qu’on est beau » qu’elle fait en lui arrachant l’image des mains pour l’observer d’un peu plus près. « Après la météo parfaite … qu’est-ce qui pourrait venir ruiner notre aventure … non, excuse-moi, pas ruiner mais challenger et mouvementer notre aventure … peut-être un serial killer ou un animal sauvage … qui sait ? Va peut-être falloir se lancer dans carpe diem et profiter du fait que pour l’instant tout va pour le mieux, non ? » Il embrasse la commissure de ses lèvres et elle relève le regard vers lui au même moment « Tu crois que je ne comprends pas ce que tu sous-entend, hein ? » qu’elle fait alors qu’elle se rapproche incontestablement de lui en venant passer ses jambes par-dessus les siennes « Zoya, on devrait profiter au cas où qu’on finisse par se faire tuer. Qui sait ce que l’avenir nous réserve, il faut profiter de l’instant présent, BLA BLA BLA » et se faisant, elle l’imite, adoptant une voix grave, laissant échapper un rire franc après cette imitation qu’elle juge particulièrement réussie pour sa part. Ses bras à nouveau nouer autour de sa nuque, elle approche son visage du sien et bifurque au moment où leurs lèvres auraient pu se rencontrer pour aller susurrer dans son oreille « Mais si tu me veux, va falloir m’attraper d’abord ». Et sur ces mots, elle se lève subitement pour sortir de la tente.

Elle se met à courir, bien que le déluge n’ait cessé et que le sol soit boueux et glissant « Alors ? Tu te dégonfles Dorn ? ». Ses cheveux sont déjà trempés, comme le reste de sa personne. Elle rit aux éclats et reprend sa course sans savoir où elle va alors qu’Edison se met à la poursuivre.



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Message(#)I want you to be the one (ediya #4) EmptyMar 8 Aoû 2023 - 12:07

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décembre 2018.

« C’est toi qui a commencé en estimant que c’était de MA faute si on s’est pris la pluie » « Complétement innocente … non, tu ne l’es pas. Faut bien l‘avouer … », qu’il se permet de dire avec cet éternel sourire aux lèvres qui s’accentue un peu en voyant la moue boudeuse de la jeune femme. Peut-être que ce n’est pas vraiment le moment de continuer à parler de ce sujet et surtout des nombreuses pauses réalisées en chemin … pauses commandées par la dictactrice Zoya.

« Tu crois que je ne comprends pas ce que tu sous-entend, hein ? » Il laisse échapper un éclat de rire parce qu’ils se connaissent suffisamment pour savoir ce que l’autre sous-entend. D’autant plus qu’Edison connaît son rôle auprès de Zoya. Il est son jouet personnel, son mouchoir, son outil préféré pour rebooster son moral et regagner en assurance. Il a accepté ce rôle depuis des années et il l’apprécie même ce rôle, l’idiot. Alors, il est évident qu’elle n’ait pas accepté ses vacances pour parler d’eux, d’elle, de politique. Elle sait très bien que ce sera fusionnel, passionnel, et en apparence pas vraiment profond comme vacances. Non, ce ne sera pas le genre de vacances au cours desquelles tu prends un peu de distance avec ta vie. Plutôt le genre de vacances au cours desquelles tu ne veux surtout pas te confronter à tes vrais problèmes. La technique de l’autruche : un bijou. « Zoya, on devrait profiter au cas où qu’on finisse par se faire tuer. Qui sait ce que l’avenir nous réserve, il faut profiter de l’instant présent, BLA BLA BLA » Elle l’imite et il la trouve encore plus attendrissante. Il penche la tête sur le côté, les sourcils froncés et finit par demander faussement offusqué mais surtout amusé : « C’était quoi ça ? Une imitation ? Merdique ! Et je dis ça en toute subjectivité » Il se tait aussitôt en la voyant s’approcher. « Mais si tu me veux, va falloir m’attraper d’abord » « Zoya», marmonne-t-il en tendant le bras pour essayer de la stopper dans sa course mais non, elle s’est déjà levée et est déjà sortie de la tente. Il secoue la tête en marmonnant un juron amusé pour finalement sortir la tête de la tente et la voir. Sa première pensée : elle est belle. Son sourire. Sa candeur. Sa joie de vivre. Elle, simplement. Ses lèvres s’étirent alors qu’il se redresse pour la rejoindre dans le déluge. Le sol imbibé d’eau est devenu boueux et glissant ; pas le meilleur sol pour se lancer dans une course poursuite.

« Alors ? Tu te dégonfles Dorn ? » « Quoi ? Moi ? Me dégonfler ? Dans tes rêves Lewis ! » s’exclame-t-il avec un air puéril sur le visage. Il redevient l’adolescent d’antan. Il est Edison McFly et on ne le traite pas de mauviette. Et c’est comme ça qu’il se retrouve à la suivre, à la poursuivre, ignorant le déluge, ignorant la pluie, ignorant le fait que ses pieds s’enfoncent dans la boue et qu’il manque deux ou trois fois de tomber … il glisse même au point de devoir enfoncer une main dans le sol pour retrouver son équilibre. Elle est à portée de main encore un peu et il peut même la toucher, et lui sauter dessus … mais il a une autre technique …

Alors que Zoya doit avoir le sentiment de mener la danse et qu’elle n’a pas le regard posé sur lui, il laisse échapper un cri ou plutôt un râle suivi de plusieurs jurons … pour que lorsqu’elle se retourne, elle le voit le cul posé dans la boue, les mains posées sur sa cheville. « Putain ! » est sans doute le mot le plus utilisé ces dernières secondes. Elle le regarde et il désigne des mains sa cheville. « Si je me suis pété la cheville, Zoya, tu devras expliquer au groupe pourquoi je dois jouer sur une chaise … » qu’il dit en serrant les dents. Bon acteur le Edison. « Fais chier bordel … » Il a l’air énervé, agacé et surtout inquiet. Il essaie de se redresser mais semble incapable de prendre appui sur sa cheville. « Là, c’est le moment où tu viens me donner un coup de main pour essayer de rattraper tes conneries, tu sais ? » qu’il dit sans la regarder, l’air grincheux.

Et, c’est quand la main de la jeune femme vient saisir celle tendue d’Edison qu’il l’attire contre lui pour qu’elle se retrouve au sol. Pas de longs discours … juste un rire faussement diabolique s’échappe des lèvres d’Edison, devenu un personnage de cartoon.
@Zoya Lewis   

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Message(#)I want you to be the one (ediya #4) EmptyJeu 10 Aoû 2023 - 22:29

i want you to be the one - ft   @Edison Dorn  #4 

Décembre 2018. « C’était quoi ça ? Une imitation ? Merdique ! Et je dis ça en toute subjectivité » Bien sûr qu’il trouve son imitation merdique, puisqu’elle se fou ouvertement de lui. Pourtant, elle est convaincue de l’imiter à la perfection, c’est fou comme les avis peuvent diverger selon les points de vue. Mais qu’importe, Zoya n’ouvrira pas le débat là-dessus, alors qu’elle a une autre idée derrière la tête. Parce qu’elle a bien compris qu’Edison attendait sa récompense avec impatience. Mais comme elle ne compte pas lui faciliter la tâche, elle décide de fuir sous la pluie battante à l’extérieur et le défier de l’attraper. « Zoya».

Elle a pris de la distance par rapport à l’emplacement de leur tente. Et Dorn est toujours à moitié à l’intérieur, seul sa tête sortant de l’ouverture de leur abri de fortune. Il reste statique quelques secondes et en voyant ça, Zoya lui demande s’il se dégonfle « Quoi ? Moi ? Me dégonfler ? Dans tes rêves Lewis ! » Il réagit enfin et se met à sa poursuite, Zoya ne perdant pas de temps pour fuir le plus loin possible. Mais c’est sans compter sur les grandes enjambées du Dorn qui la suit de près, en plus des nombreux dérapages qu’elle fait elle-même au vu de l’état du sol. En effet, la pluie battante rend celui-ci particulièrement glissant et boueux, les pieds nus de la jeune femme s’enfonçant à de nombreuses reprises. Mais qu’importe les risques, cela n’empêche pas de poursuivre sa fuite et lorsqu’elle pense prendre de l’avance, elle entend un cri qui la fait se stopper net « Putain ! » Il n’a de cesse de le répéter « Quoi, qu’est-ce qu’il y a ? » Il est à même le sol en se tenant la cheville et Zoya est suspicieuse. « Si je me suis pété la cheville, Zoya, tu devras expliquer au groupe pourquoi je dois jouer sur une chaise … » Hors de question qu’elle leur dise la vérité exacte mais il peut compter sur elle pour l’arranger à leur sauce afin qu’ils ne sachent pas pourquoi Edison s’est pris une gamelle et surtout les raisons de celle-ci « Fais chier bordel … » Le doute quant au fait que sa blessure est réelle tend à se dissiper en l’entendant pester comme il le fait et en voyant qu’il ne parvient pas à se relever. Elle s’approche alors de lui pour voir comment il va « Là, c’est le moment où tu viens me donner un coup de main pour essayer de rattraper tes conneries, tu sais ? » « MES CO…  » elle soupire fortement alors qu’elle allait s’emporter et tend à la place sa main pour l’aider.

L’instant d’après, Zoya se retrouve au sol sans comprendre pourquoi. Enfin, si elle comprend. Il s’est foutu d’elle voilà tout. Il rit aux éclats et elle, fulmine, le tapant de ses mains sur son torse pour se défaire de son emprise « JE LE SAVAIS !!! » Bien sûr qu’il a fait semblant, bien sûr qu’il a usé de ruse pour parvenir à ses fins « Ca ne compte pas, lâches-moi ! » Ils sont beaux tous les deux, entièrement recouvert de boue alors que la pluie continue de s’abattre et qu’ils se battent comme deux enfants « Je te hais, Dorn, tu le sais ça ? » Elle cesse de se débattre, se trouvant sous lui et captant son regard « Tu ne mérites pas ta récompense… dommage pour toi parce que la situation est plus que tentante ». Le sous-entendu est clair mais elle ne compte pas lui céder aussi facilement alors qu’il a tout bonnement triché. Et sûrement pour en rajouter une couche et le faire languir, elle se mordille la lèvre inférieure, laissant sa main vagabonder sur son torse « Vraiment …. Vraiment dommage ». C’est sans compter qu’elle a approché ses lèvres des siennes, dangereusement proches, les frôlant, sans pour autant lui offrir un quelconque baiser.  


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Message(#)I want you to be the one (ediya #4) EmptyVen 11 Aoû 2023 - 16:41

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décembre 2018.

Crier aux loups n’est pas une bonne idée. Il l’aurait su si ses parents avaient pris la peine de lui expliquer le principe. Mais dommage, ça n’a pas été le cas. En plus de ça, son expérience de la vie lui a montré que même quand on crie aux loups, la plupart des gens n’en ont strictement rien à foutre alors pourquoi se prendre la tête. La surprise de Zoya et son air outré en valaient hautement la chandelle. Edison est même fier de sa connerie, riant de manière diabolique … à la Cortex de Minus et Cortex. Et son rire ne peut que s’élever dans les airs quand il la voit venir lui taper le torse de ses minuscules petits poings. « JE LE SAVAIS !!! » Ne jamais faire confiance à un idiot de son genre, c’est bien connu. « Ca ne compte pas, lâches-moi ! » Plus elle se plaint, et plus il rit aux éclats … Les yeux du musicien pétillent et la pluie, l’ambiance ne sont pas les seules responsables. Zoya en est responsable. Elle et elle seule. Ils se bousculent, ils se chahutent sous la pluie comme deux grands enfants. « Je te hais, Dorn, tu le sais ça ? », qu’elle lui dit sans être bien convaincante. Il a un sourire qui s’étire d’une oreille à l’autre, accentuant sa fossette alors qu’une main du géant est venue s’enfoncer dans la boue pour être au-dessus d’elle. Lui, le grand vainqueur de la connerie. « Oh ne dis pas ça, ça me brise le cœur », qu’il répond sur le ton de la plaisanterie en penchant la tête sur le côté, affichant une moue de chat potté. C’était sans doute sur le ton de la plaisanterie à ce jour … il était loin de s’imaginer qu’elle allait lui briser le cœur avec exactement ces paroles plusieurs années plus tard.

« Tu ne mérites pas ta récompense … dommage pour toi parce que la situation est plus que tentante. Vraiment … vraiment dommage », dit-elle en venant approcher ses lèvres des siennes, sans le quitter du regard. Et son regard se mit à divaguer sur ses lèvres qui avec malice s’étirent en un sourire. Elle a décidé de le faire languir, de s’amuser de lui … mais il se prêtait à ce petit jeu volontiers, et ce depuis des années. « Donc c’est dommage pour moi ? Uniquement pour moi ? », qu’il réplique en relevant le regard pour pouvoir plonger le sien dans les yeux de la jeune femme. « Possible que tu perds un peu au change … tu sais … » Le visage près du sien, le regard plongé dans le sien, les perles de pluie glissaient sur son visage et le long de ses cheveux mais tout comme elle, il semblait avoir occulté la pluie. « Peut-être que j’t’avais réservé une autre petite surprise … des tas d’autres petites surprises » qu’il ajoute tout contre ses lèvres si bien qu’elles s’effleurent sans vraiment se toucher. Il la fixe et finit par se redresser comme s’il abandonnait la bataille. « Tant pis ! Au moins, on a le bon temps avec nous, de notre côté, c’est déjà ça » L’ironie.

@Zoya Lewis   

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Message(#)I want you to be the one (ediya #4) EmptyMer 16 Aoû 2023 - 18:50

i want you to be the one - ft   @Edison Dorn  #4 

Décembre 2018.Les voilà tout barbouillés de boue alors que la pluie battante ne semble pas vouloir s’arrêter. Cela donne un certain charme à l’instant, alors que Zoya se trouve désormais sous le corps imposant d’Edison qui la surplombe alors qu’elle essaye de se libérer de sa prise, lui qui a su la piéger en feintant de s’être tordu la cheville. Elle estime que c’est de la triche, est particulièrement remontée de ce fait et tout en lui assénant des coups de poings, elle clame haut et fort le détester « Oh ne dis pas ça, ça me brise le cœur » Elle le déteste parce qu’il a gagné mais aussi pour ce charme déroutant qu’il a alors que des gouttes de pluie perlent sur son putain de visage. Elle le déteste parce qu’au fond d’elle, elle aime cette tournure des événements, elle aurait juste aimé que cela se fasse de manière plus fairplay et non pas avec tricherie comme il venait de le faire.

Alors, elle résiste, refusant de céder à la tentation, bien que son corps tout entier crie le contraire. Pour preuve, ses lèvres sont dangereusement proches des siennes, elle mordille celle inférieure pour se retenir de craquer la première « Donc c’est dommage pour moi ? Uniquement pour moi ? » Elle se perd dans son regard émeraude, quelques secondes à peine alors que son sourire renait sur ses lèvres « Oui, uniquement pour toi, Dorn » qu’elle murmure sans en penser le moindre mot. « Possible que tu perds un peu au change … tu sais … » Bien sûr qu’elle perd au change mais par fierté, elle refuse d’être celle qui cède la première, refusant de lui offrir une victoire qu’elle estime volée. « Je ne vois pas ce que je perds… » elle tente de fuir son regard, préférant orienter celui-ci sur le côté tout en adoptant un air indifférent « Peut-être que j’t’avais réservé une autre petite surprise … des tas d’autres petites surprises » L’enfoiré ! Il sait comment la faire flancher et d’ailleurs, il peut voir que son regard retrouve illico presto le sien et leurs lèvres s’effleurent d’une façon qui ne manquent pas de faire frissonner la photographe. « Tant pis ! Au moins, on a le bon temps avec nous, de notre côté, c’est déjà ça » Enfoiré bis ! Il s’est relevé, le contact rompu montrant ainsi qu’il n’était pas prêt à lui céder quoi que ce soit, lui qui a pourtant su jouer de la comédie pour la rattraper. Zoya se redresse à son tour, attrape une botte de boue et lui balance dessus une fois qu’elle est totalement debout « Tu me dois au moins ça ! Au moins UNE surprise ! » parce qu’il a triché, ça va de soi. Elle s’approche à nouveau de lui, se postant de sorte à ce qu’il ne puisse pas fuir, l’eau ruisselant le long de son visage dont elle en est totalement indifférente « Crache le morceau, Dorn. Crache ou… » elle se baisse pour rattraper de la boue « je te fais bouffer de la boue » Et sans attendre elle se jette sur lui, s’agrippant derrière son dos et tente par tous les moyens de lui mettre dans la bouche « Elle semble aller mieux ta cheville dis-moi ! » Elle rit aux éclats, écrasant la boue sur ses cheveux, sans toutefois défaire son emprise sur le jeune homme, restant agripper dans son dos. « Tu es incroyablement sexy comme ça… Dommage que tu ai triché, j’avais très envie de te l’offrir cette récompense » qu’elle susurre au creux de son oreille, sourire amusé au bout des lèvres. « Tu peux toujours l’avoir… mais à la condition que tu me dises ou me montre cette surprise ». Elle est dure en affaire la Lewis.



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Message(#)I want you to be the one (ediya #4) EmptyVen 18 Aoû 2023 - 13:47

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décembre 2018.

Ils sont de nouveau des enfants, à se chamailler sous la pluie. Edison a toujours ce sentiment de revivre en sa compagnie et ça le tue de l’intérieur de ne pouvoir ressentir que cela en sa compagnie car il n’est pas con. Il sait combien tout cela est éphémère. C’est juste le temps d’un moment, d’un week-end et elle finira par voler de ses propres ailes, de disparaître et de se contenter de salutations amicales quand ils retourneront à la réalité. Car, ils finissent toujours par y revenir : à cette foutue réalité. Les lèvres du géant s’étirent, amusé et joueur, quand elle nie le fait de perdre autant que lui au change. Ça l’amuse. Surtout de la voir plisser le nez en prenant un air faussement effronté qui ne lui va pas vraiment … il y a ce sourire accroché à ses lèvres qui anéantir l’effort effectué pour avoir l’air énervé. Du typique Zoya.
Il finit par se relever, démontrant ainsi le moment de partir … de rentrer … de se calmer peut-être. Pour Zoya, un affront. Évidemment. C’est quand il se prend de la boue qu’il se tourne vers elle, les traits figés, le regard écarquillé vers eux. Est-ce qu’elle vient de déclencher une nouvelle guerre ? « Tu me dois au moins ça ! Au moins UNE surprise ! » Il lève les épaules car apparemment il ne sait pas vraiment de où il la lui doit cette surprise. Il vient de l’emmener ici. Il lui a offert un polaroid pour l’occasion et lui offre même son palpitant tout cassé sur un plateau d’argent … ok le troisième cadeau, nous n’en parlons pas. « Crache le morceau, Dorn. Crache ou … » « Ou ? » « Je te fais bouffer de la boue. » Il n’a pas le temps de réagir, de rire, de dire quoique ce soit qu’elle est déjà en attaque Koala et s’agrippe à son dos … il fait quelques pas tout en essayant de se débarrasser du koala. « Elle semble aller mieux ta cheville dis-moi ! » « Un miracle !? » qu’il lâche dans un rire qui se mêle au sien. Il gesticule pour pouvoir éviter sa main boueuse et sa nouvelle idée de torture. « Tu es incroyablement sexy comme ça… Dommage que tu ai triché, j’avais très envie de te l’offrir cette récompense. Tu peux toujours l’avoir… mais à la condition que tu me dises ou me montres cette surprise » Il laisse échapper un énième éclat de rire.
« Tu sais que normalement, on ne menace pas les gens pour avoir droit à une surprise … ça fonctionne pas comme ça … »

@Zoya Lewis   

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