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Message(#)Calex #90 x take off, take off, take off all your clothes EmptyVen 29 Sep 2023 - 2:09

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'Cause we're the masters of our own fate, we're the captains of our own souls. There's no way for us to come away 'cause boy we're gold, boy we're gold and I was like take off, take off, take off all your clothes

Les quelques messages échangés avec Alex ont été suffisant pour me motiver à enchaîner avec la journée de travail qui s’avère fatigante. Que ce soit physiquement ou mentalement. Lorsque nous envoyons la dernière assiette du service de ce midi c’est toute la pression et l’adrénaline de la matinée qui retombe d’un coup pour venir me vider de toute mon énergie. C’est au travers d’un long soupir que je laisse ma fatigue s’exprimer. Je sais que je ne vais pas avoir le temps de me prendre une vraie pause pour manger, raison pour laquelle j’ai prévenu ma femme un peu plus tôt que je devais malheureusement annuler ma venue dans son bureau pour notre déjeuner habituel. Aujourd’hui mes responsabilités de patron du restaurant prennent le dessus et je me dois d’honorer un rendez-vous avec le banquier. Ou plutôt la banquière comme je l’ai très justement souligné auprès d’Alex tout à l’heure. Simplement en réaction à sa question me demandant si le banquier était un homme âgé peu attractif, et je dois avouer que j’aurais beaucoup aimé voir sa tête quand elle a lu ma réponse. Parce que si ma jalousie n’est sans doute un secret pour personne, c’est un trait de personnalité que je partage avec ma femme. Certainement pas à la même intensité. Alex est jalouse elle aussi mais beaucoup moins que je ne le suis ou du moins, c’est l’impression qu’elle donne. Mais avant de me rendre au rendez-vous avec la fameuse banquière je m’autorise tout de même une pause d’une dizaine de minutes. Tout juste assez pour prendre une salade m’hydrater un peu, et répondre aux messages de ma femme. Toujours avec ce petit sourire sûrement un peu niais sur les lippes parce que c’est l’effet qu’Alex a sur moi. Malgré toutes ces années ensemble, malgré la routine et les enfants qui peuvent s’avérer fatals pour un bien grand nombre de couple j’ai l’impression que le nôtre est plus solide qu’il ne l’a jamais été. Si notre relation peut sembler idyllique sur le papier, elle est bien loin de l’être. Les disputes sont toujours présentes et je doute fortement qu’un jour nous arrivions à ne plus nous disputer – je pense aussi que nous finirions par nous ennuyer très rapidement – mais pourtant notre amour ne fait que grandir encore un peu chaque jour. Le mien en tout cas. Parce que je sais à quel point je suis chanceux d’avoir trouvé la femme de ma vie qui a fini par accepter et avoir les mêmes rêves que moi : fonder une famille. Et on sait très bien qu’avec Alex et son passif vis-à-vis des enfants ce n’était pas gagné et pourtant… Et pourtant dans quelques jours nous allons fêter les trois ans de nos princesses et dans un mois nos deux ans de mariage. À toutes ces personnes qui il y a un peu plus de dix ans ne croyaient pas en notre couple – mes parents en faisaient malheureusement partis. Trop différents qu’ils me disaient et ils avaient totalement raison. Alex et moi, nous sommes différents mais c’est pour moi ce qui fait la force de notre couple. J’affectionne toutes ces petites choses qui font de ma femme une personne si différente de moi et je n’y changerai absolument rien. Je ne la rendrais même pas plus ordonnée plus organisée ou plus maniaque. Parce que c’est sans toutes ces qualités que je l’aime et elle en a bien d’autres de toute manière.

Le rendez-vous n’était déjà pas le plus intéressant possible mais il m’a semblé comme durant une éternité. Comme je l’avais prévu c’est un peu avant quinze heures trente qu’il touche à sa fin et je n’attends pas plus pour quitter les bureaux de la banque pour prendre la direction des bureaux de ma femme. Je profite de ces quelques minutes de marche pour appeler notre fille au pair Romane afin de savoir si tout se passe bien tout en fumant une cigarette en même temps. Romane m’assure avoir été chercher Lucy et Lena à la crèche et que leur journée s’est très bien passée. Mael aurait lui aussi été assez calme, et Nathan qui n’avait pas cours cet après-midi aurait bien fait ses devoirs et vient tout juste d’allumer sa console. Rassuré par ces nouvelles plutôt positives, j’arrive enfin à destination. « Oh salut Caleb ! Je ne savais pas que tu allais passer. Alex était encore au téléphone il y a cinq minutes tu veux que j’aille voir si elle a terminé ? » C’est Julian qui m’accueille et après un sourire dans sa direction je lui réponds. « Non c’est bon, ne t’en fais pas je vais aller voir. » Je toque une fois à la porte du bureau de ma femme et avant de dire quoique ce soit qui puisse être dérangeant si sa conversation n’est pas terminée j’entrouvre légèrement la porte et passe ma tête dans l’entrebâillement de celle-ci. Et ce fut une très bonne initiative de ma part car elle semble être encore au téléphone. Mais j’entre quand même et referme la porte le plus doucement possible derrière moi. Je ne peux pas lui parler pour le moment mais je compte tout de même profiter et saluer ma femme et c’est d’abord avec un sourire que je commence. J’attends quelques secondes. Toujours au téléphone et je comprends alors qu’il s’agit d’une conversation professionnelle. Je m’installe à ses côtés sur le canapé et sans un mot pour ne pas la déranger mes lèvres se posent sur sa joue, puis sa mâchoire avant de glisser tout naturellement vers son cou que j’embrasse avec beaucoup de tendresse. Mes mains quant à elles se baladent sur ses cuisses. Est-ce qu’ainsi je l’incite à mettre fin à son appel téléphonique ? Oui. Et mon plan semble fonctionner à la perfection, parce qu’alors que mes lèvres sont toujours dans son cou je l’entends raccrocher, ce qui a le mérite de me relever la tête vers elle. « Salut beauté. » que je lui dis de mon air le plus innocent possible, accompagnant tout de même ma phrase d’un sourire. « J’espère que ce n’est pas à cause de moi que tu as raccroché. » ça pour le coup, ce n’est pas vrai. Enfin pas vraiment. Je me doute avoir ma part de responsabilité dans la fin de cet appel qui j’espère, n’était pas trop important pour elle. « Tu as encore du travail ou on peut y aller ? Les magasins nous attendent ! » Si je suis enthousiaste à l’idée de faire les boutiques c’est simplement parce qu’elle m’a promis une virée dans les seuls magasins que j’apprécie vraiment : les magasins de lingerie.

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Message(#)Calex #90 x take off, take off, take off all your clothes EmptyDim 1 Oct 2023 - 8:20




'CAUSE WE'RE THE MASTERS OF OUR OWN FATE, WE'RE THE CAPTAINS OF OUR OWN SOULS. THERE'S NO WAY FOR US TO COME AWAY 'CAUSE BOY WE'RE GOLD, BOY WE'RE GOLD AND I WAS LIKE TAKE OFF, TAKE OFF, TAKE OFF ALL YOUR CLOTHES

J'ai déjà sorti plusieurs podcasts, trois pour être exacte et comme chaque matinée de travail, je commence par regarder les retours, les statistiques, les commentaires me focalisant sur les négatifs en prenant quelques notes pour améliorer toujours la qualité de ce que nous faisons. Ce n'est pas le moment le plus agréable de ma journée, parce que s'il y a bien des commentaires positifs, des témoignages intéressants sur le sujet abordé, il y a aussi les critiques et parfois elles sont loin d'être faciles à gérer. Il y a aussi quelques insultes ou remarques déplacées, mais ça j'ai appris à ne pas en tenir compte parce que j'ai déjà eu à faire à ce genre d'énergumène. Mais, les critiques constructives restent intéressantes pour améliorer le podcast et le développer. La présence de Julian, sa notoriété et le premier podcast réalisé avec lui, a plutôt bien fonctionné et permis de booster le démarrage et la visibilité mais le projet reste tout récent et nous avons tout à prouver encore. J'aime découvrir dans les commentaires que certains osent évoquer le sujet traité, osent partager leurs expériences et leurs vécus, j'aime découvrir que certains disent avoir compris certaines choses ou réfléchis sur certaines choses après avoir écouté le témoignage de l'invité, qu'il soit sportif ou non. Ca me booste pour le projet et même si les problèmes avec Sebastian nous ont fait prendre un peu de retard sur les prévisions, je crois toujours en ce podcast et en ce que je construis avec Julian. Et, si virer Sebastian n'a pas été simple à accepter pour Julian, il a fini par comprendre ma décision, et désormais, je dois encore tenter de retrouver des invités pour traiter du thème sur lequel nous avions commencé à travailler, parce que c'est ma faute si nous n'avons plus d'invité, et ma faute aussi si nous avons perdu quelqu'un qui pouvait nous partager son réseau de sportif et en tant qu'agent sportif, il avait un sacré paquet de potentiel invité pour nous. Je ne regrette pourtant pas de l'avoir viré de ce projet, et le seul regret que j'ai, c'est de ne pas l'avoir fait plutôt finalement. Aujourd'hui, je dois faire avec l'urgence de la situation, le besoin de retrouver des invités dans l'urgence mais c'est bien mieux ainsi. Et le plus grand avantage à ne plus avoir Sebastian qui traîne dans nos locaux, c'est que Caleb peut revenir passer du temps avec moi et c'est ce qui est ou plutôt était prévu aujourd'hui avant qu'il n'annule à cause d'un rendez-vous à la banque. Je suis déçue, mais après avoir échangé quelques sms avec lui, et quelques sms plus ou moins intimes, je me replonge dans mon travail, profitant du fait qu'il ait annulé notre repas de midi pour me plonger dans mon travail.

Je lis des articles, je lis des interviews de sportifs, je lis des enquêtes dans le milieu du sport, je creuse le sujet du prochain podcast, et j'écris des pistes de réflexions à développer. Julian vient de me déposer une liste de noms potentiels à contacter, qui part leurs histoires et leur parcours pourraient être de bons invités pour le prochain sujet que nous voulons traiter. Lui aussi a un réseau, en tant qu'ancien basketteur il a pas mal de ressources utiles pour nous mais c'est à moi de convaincre les sportifs d'accepter, de venir partager leurs histoires avec nous, de venir se livrer sur des sujets parfois un peu compliqué ou tabou. C'est mon rôle et c'est ce que je fais aujourd'hui enchaînant les coups de téléphone plus ou moins longs. C'est souvent avec les agents que je traite d'abord, et parfois j'ai la chance d'avoir le principal intéressé en ligne mais ce n'est pas le cas jusqu'à présent, faut dire que les agents bloquent rapidement quand il est question d'évoquer la santé mentale et l'effet de la pression constante sur la santé mentale des sportifs. Le milieu du sport est encore un milieu très masculin, parfois la virilité est synonyme de force alors avouer que la pression est difficile à gérer, c'est montrer une faiblesse à son adversaire et faire douter les supporters sur la fiabilité d'un joueur. La plupart des agents ne me laissent même pas échanger avec leurs protégés, c'est frustrant mais c'est le jeu, et si je n'ai pas l'adhésion complète d'un sportif pour une interview et un échange pour la durée d'un podcast, ce n'est pas possible pour moi d'envisager travailler correctement. Je ne veux pas faire dans la langue de bois, ni juste survoler le sujet, je veux des invités prêts à partager avec sincérité et authenticité de leurs expériences et de leurs ressenties alors quand je sens que ce n'est pas ce que désire l'agent, je n'insiste pas plus de mon côté non plus. Et après plusieurs appels, j'ai enfin un agent qui m'écoute, faut dire que je le connais et j'ai déjà eu à travailler avec lui dans le cadre d'un article sur l'un de ses clients par le passé. Il m'écoute et pendant de longues minutes je lui parle du podcast, de ce que je souhaite faire avec ce projet et surtout ce dont je voudrais traiter avec son client. Le sujet, pourquoi c'est important d'ouvrir la discussion, rappeler que c'est aussi une manière pour son client de faire bouger les choses, enfin le podcast est récent mais le discours est déjà rodé et je n'ai jamais vraiment eu de mal pour parler. Et je crois que je réussis puisqu'il accepte même de me donner l'opportunité d'expliquer tout ça directement au principal concerné. Et me voilà à expliquer encore la même chose mais cette fois avec l'espoir de pouvoir réussir à donner envie à ce sportif de nous rejoindre dans l'aventure le temps d'un podcast. L'échange est long, et j'ai envie d'y voir quelque chose de positif, il me pose des questions, s'intéresse aux précédents sujets traités, à l'angle que je souhaite emprunter, il semble inspiré et motivé. Je parle avec lui durant de longues minutes et je réalise que l'heure du repas est dépassée depuis longtemps quand je vois mon mari entrer dans mon bureau. Je lève les yeux vers lui et je lui souris tout en lui murmurant un simple bonjour du bout des lèvres tout en répondant à mon interlocuteur. J'ai obtenu un rendez-vous avec ce sportif, une autre étape positive et c'est avec son agent que je discute à nouveau des derniers détails. Caleb m'a rejoins sur le canapé et ma main libre vient se poser sur sa cuisse, je sens ses lèvres se poser sur ma joue et je souris. Je lève les sourcils quand je sens ses lèvres glisser vers ma mâchoire et descendre dans mon cou. Je lâche un petit rire en sentant ses mains se balader sur mes cuisses. Je lève un regard vers lui, un sourcil froncé et je me pince les lèvres tout en essayant de rester concentrée sur mon appel. Ce n'est pas la première fois qu'on se retrouve dans cette situation tout les deux, loin de là même, et je ris un peu en me pinçant les lèvres pour rendre le rire silencieux et je viens à mon tour faire glisser ma main sur sa cuisse en remontant haut sur sa cuisse en réaction à ses gestes. Il sait que je ne peux rien dire et je sais que ça l'amuse beaucoup. Ses lèvres continuent de couvrir mon cou de baisers et j'ai de plus en plus de mal à rester concentrée sur les mots de l'agent. J'ai obtenu mon rendez-vous, et j’en profite pour écourter la fin de l’échange, sentant bien que je ne suis plus vraiment concentrée dans cette discussion, et bien plus sur les gestes de mon mari à mes côtés. Je remercie l’agent et je lui promets de lui envoyer toutes les informations par mail mais j'abrège la discussion sentant les baisers de Caleb me distraire de plus en plus. « Salut beauté. » Je ris devant son air innocent et je lève les sourcils à nouveau en souriant. « Salut beau goss. » Que je lui réponds en venant lui voler un bref baiser. « J’espère que ce n’est pas à cause de moi que tu as raccroché. » C'est un riant doucement que je l'entends dire ces mots en sachant très bien que c'était son intention. « Fais pas l'innocent avec moi, je sais que c'était ton objectif, mais non c'est pas à cause de toi mais pour toi que j'ai raccroché et c'est pas parce que je ne suis plus au téléphone que tu ne peux pas continuer si j'avais su je n'aurais pas raccroché. » Je viens embrasser à mon tour sa mâchoire avant de venir m'emparer de ses lèvres pour un long baiser alors que mes mains profitent de son corps. « Tu as encore du travail ou on peut y aller ? Les magasins nous attendent ! » Je m'amuse de sa réaction, parce que je vous assure que voir l'enthousiasme de Caleb est assez drôle à voir. « Je n'aurais jamais pensé voir un jour Caleb Anderson être enthousiaste à l'idée de faire les magasins. Tu es si pressé que ça de me voir en sous vêtements ? Pourtant tu me vois assez souvent non ? Ou alors c'est les mannequins que tu es pressé de voir ? » Je le taquine un peu en lien avec nos échanges de sms, je sais bien qu'il n'a pas l'intention de reluquer les mannequins mais il a lui même dit que sur le site il y avait des poitrines qu'il ne pouvait pas ne pas voir tant elles étaient imposantes. « Mais oui on peut y aller, j'ai finis, direction les magasins, mais avant ça laisse moi me changer. » Je n'ai aucune gêne face à lui et c'est en quelques secondes que je me retrouve en sous-vêtements dans mon bureau pour enfiler une robe et être plus à l'aise pour aller faire les magasins avec lui et pendant que j'enfile ma robe, je le regarde pour voir sa réaction. « Tu vas réussir à rester zen face à ce corps ? » Est-ce que je prends du temps avant de complètement remonter le haut de ma robe ? Oui un peu, mais nous sommes encore que tous les deux, sans personne pour nous déranger et je m’amuse un peu avec lui, après tout il n’a pas hésité lui aussi à le faire quand j’étais au téléphone. Jouer avec moi et titiller mes sens et mon désir en venant embrasser mon corps. « Il va falloir trouver des sous-vêtements pour nos vacances, j'ai un homme à séduire et à exciter cinq nuits. » Je fais référence à nos échanges et à ce voyage que j'ai en tête depuis que nous en avons parlé. J'ai hâte de passer du temps avec lui, j'ai hâte d'être avec lui et de voir notre couple être au centre de nos pensées et notre seule priorité. Mais pour l'heure, même si nous ne sommes pas en voyage, c'est avec lui que je m'apprête à quitter mon bureau et à rejoindre les magasins, et pas n'importe lesquels : ceux de lingeries et je sais déjà que je vais aimer ces moments avec lui. Le voir réagir, le voir me regarder, sentir dans ses yeux l'amour et le désir qu'il ressent pour moi, j'aime ça, j'aime vraiment ça et j'ai hâte de le voir me dévisager avec envie quand j'essayerais des sous vêtements sexy et sensuels.

@Caleb Anderson   :nieheh:  Calex #90 x take off, take off, take off all your clothes 3258319053   
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Message(#)Calex #90 x take off, take off, take off all your clothes EmptyLun 2 Oct 2023 - 4:33

Calex
'Cause we're the masters of our own fate, we're the captains of our own souls. There's no way for us to come away 'cause boy we're gold, boy we're gold and I was like take off, take off, take off all your clothes

Comme l’avait prédit Julian, Alex est encore au téléphone quand je pénètre dans son bureau et au lieu de m’occuper dans mon coin le temps que sa conversation ne touche à sa fin je préfère m’amuser à la tester un peu. C’est plus drôle, disons-le, et c’est bien le genre de chose que nous aimons faire de temps en temps entre nous mais avant quoique ce soit je m’assure qu’il ne s’agit pas d’un appel particulièrement important ou urgent. Je sais que si c’était le cas à partir du moment où mes lèvres commencent à dévier sur sa mâchoire elle m’aurait fait signe d’arrêter. Mais ce n’est pas le cas et cette constatation me ravie et me permet donc d’aller un peu plus loin dans mes gestes. Sans trop en faire, car si cet appel est à but professionnel je ne veux pas qu’elle perde un potentiel futur collègue par ma faute. Mes lèvres glissent donc rapidement dans son cou y déposant des baisers doux, tendres et remplis d’amour et de passion. Mes gestes eux aussi montrent l’amour et le désir que je ressens pour ma femme car mes doigts trouvent rapidement leur place sur sa cuisse y dessinant quelques petites formes du bout des doigts remontant parfois vers le haut de cette partie de son corps. Ses réactions ne tardent pas et me font d’ailleurs lever les yeux vers elle sans pour autant mettre fin à mes baisers et la voir se pincer les lèvres me prouve une chose : elle ne reste pas indifférente face à mes baisers et mes gestes. Sa main imite la mienne en venant se poser sur ma cuisse, ce qui me fait sourire alors que mes lèvres se trouvent toujours dans son cou mais sa conversation se termine enfin et ce n’est que quand je l’entends raccrocher et souhaiter une bonne fin de journée à son interlocuteur que j’éloigne finalement mes lèvres de son cou. « Salut beau goss. » Mes lippes s’étirent en un large sourire alors que mes yeux se perdent presque instantanément dans ses iris vertes. « Fais pas l'innocent avec moi, je sais que c'était ton objectif, mais non c'est pas à cause de toi mais pour toi que j'ai raccroché et c'est pas parce que je ne suis plus au téléphone que tu ne peux pas continuer si j'avais su je n'aurais pas raccroché. » Je lui souris encore une fois et ses lèvres qui se posent à leur tour sur ma mâchoire m’obligent à rompre ce contact visuel qui me plait tant mais je ne m’en plains pas parce que ces baisers, je les aime beaucoup. Voilà pourquoi à l’instant même où Alex initie un baiser je ne perds pas une seconde pour le prolonger tout en posant une de mes mains sur sa joue. « Je n'aurais jamais pensé voir un jour Caleb Anderson être enthousiaste à l'idée de faire les magasins. Tu es si pressé que ça de me voir en sous vêtements ? Pourtant tu me vois assez souvent non ? Ou alors c'est les mannequins que tu es pressé de voir ? » Sa réaction me fait franchement rire et c’est tout en arquant un sourcil que je lui réponds. « Oh c’est surtout les mannequins. » que je lui réponds, mais bien évidemment que je ne suis absolument pas sérieux. Des mannequins en sous-vêtements, j’en ai vu cet après-midi alors que je me suis connecté sur le site de Victoria’s Secret afin de commencer à repérer des ensembles qu’Alex pourra potentiellement essayer tout à l’heure. Et de loin, ma femme est encore plus belle et parfaite que toutes ces mannequins. À mes yeux du moins. « Mais te voir pour la première fois dans des nouveaux ensembles c’est toujours très excitant tu sais. » cette fois je suis sérieux et c’est d’ailleurs avec un clin d’œil que je viens ponctuer la fin de ma phrase. « Mais oui on peut y aller, j'ai finis, direction les magasins, mais avant ça laisse moi me changer. » Ne comprenant pas pourquoi elle a besoin de se changer pour faire les magasins, je fronce les sourcils. Et elle le fait vraiment. Elle se change. Elle se déshabille devant moi. En plein milieu de son bureau. Ma première réaction est de vérifier que les rideaux sont bien fermés. La seconde est de me lever pour me placer entre son corps et la porte. Au cas où quelqu’un n’entre à ce moment-là. « Tu vas réussir à rester zen face à ce corps ? » Si ces deux premières actions se sont déroulées en quelques petites secondes quand elle se retrouve réellement en sous-vêtements devant moi, je détaille avec précision et beaucoup de soin son corps. Je la regarde, m’attardant bien évidemment sur sa poitrine durant une poignée de secondes mais je finis par redescendre sur terre en secouant la tête. « Tu as vraiment le plus beau corps que je n’ai jamais vu de toute ma vie. » Peut-être que je suis moyennement objectif. Pas du tout même. Mais ce qui reste indéniable c’est qu’Alex est une femme extrêmement belle. Très belle. Sexy. Magnifique et vraiment désirable, ce qui fait de moi l’homme le plus chanceux du monde. « Tu fais ça souvent ? Te changer comme ça dans ton bureau ? Tu fermes la porte à clef quand tu le fais en étant seule ? » Des questions qui me viennent ainsi à l’esprit et dont la réponse me semble extrêmement important. « Il va falloir trouver des sous-vêtements pour nos vacances, j'ai un homme à séduire et à exciter cinq nuits. » Je lui souris et avant de sortir de son bureau je l’embrasse une nouvelle fois mais cette fois pour un baiser bien plus long que tout à l’heure mais tout aussi tendre. « Et des maillots de bain ! Parce que je ne compte pas aller sur une plage nudiste. » Une précision que j’apporte en rigolant mais qui reste pourtant entièrement sérieuse. Rien de très étonnant en même temps, je suis déjà très pudique et bien trop jaloux pour supporter sur le corps de ma femme soit complètement dénudé en public. C’est donc main dans la main que nous quittons son bureau pour arriver une dizaine de minutes plus tard au centre commercial. Un endroit que je n‘apprécie pas vraiment mais le magasin dans lequel nous venons d’arriver, lui, je le connais car je m’y rends régulièrement pour faire cadeau d’un ensemble de lingerie ou d’une nuisette à ma femme. « Tu n’as pas beaucoup d’ensemble noir, on pourrait déjà commencer par t’en trouver un de cette couleur ? » Noir ou peu importe la couleur finalement, Alex est magnifique peu importe ce qu’elle porte.

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Message(#)Calex #90 x take off, take off, take off all your clothes EmptyLun 2 Oct 2023 - 7:40




'CAUSE WE'RE THE MASTERS OF OUR OWN FATE, WE'RE THE CAPTAINS OF OUR OWN SOULS. THERE'S NO WAY FOR US TO COME AWAY 'CAUSE BOY WE'RE GOLD, BOY WE'RE GOLD AND I WAS LIKE TAKE OFF, TAKE OFF, TAKE OFF ALL YOUR CLOTHES
Caleb vient de débarquer dans mon bureau et à défaut de pouvoir l'accueillir avec un baiser, étant en ligne au même moment, ce sont ses lèvres qui viennent trouver le chemin sur mon corps. Un jeu de séduction, un jeu entre nous qui n'est pas rare et qui a le don de nous amuser et qui m'amuse d'ailleurs à cet instant précis même si je ne peux pas lui dire. Je le laisse faire et c'est bien la preuve que ça me plaît. J'écourte la fin de la discussion, qui arrivait à son terme de toute façon, parce qu’étonnamment je n'avais plus grand chose à dire, ou plutôt j'avais autre chose en tête qui occupait mon esprit et ma concentration. Mon mari est doué pour attirer mon attention, il me connaît assez bien, sans doute mieux que quiconque et il savait très bien ce qu'il faisait en venant me taquiner de la sorte. J'aurais pu rester en ligne plus longtemps, mais je n'avais pas de raison de faire durer ce moment et aucune raison de faire attendre Caleb pourtant l'idée qu'il prolonge ce moment de baiser et de caresses me plaisait pas mal, mais à l'instant ou je raccroche il s'arrête. Il joue l'innocent et ça m'amuse presque autant que son petit jeu pour me déstabiliser. Caleb innocent, je pense que n'importe qui pourrait le penser doux, innocent, pure, mignon, cute, et il l'est en quelque sorte. Il est tout ça, mais il est loin d'être innocent quand il s'agit des choses qui se passent dans l'intimité de notre vie de couple. Moi, je le sais alors qu'il feigne l'innocence me fait rire et m'amuse. Avec moi, ça ne marche pas, mais il a tout de même mérité son baiser. Il le mérite, et j'en ai envie en plus. Il prolonge le baiser, donnant même un caractère plus tendre en venant poser sa main sur ma joue. Tactile il l'est avec moi et j'aime ça. Ce que j'aime aussi c'est son enthousiaste à l'idée d'aller faire les magasins. Dis comme ça c'est une chose incroyable, mais Caleb est vraiment enthousiaste à l'idée d'aller traîner dans les magasins de lingeries avec moi. C'est aussi ça mon homme, toujours prêt à aller découvrir de nouveaux sous-vêtements sexy et c'est assez drôle finalement d'imaginer Caleb s'enthousiasmer pour une nuisette ou pour un soutien gorge sensuel. La discussion par sms me rappelle qu'il a déjà regardé sur le site, c'est dire son niveau d'engouement et de hype, et je me souviens de sa remarque sur les mannequins. « Oh c’est surtout les mannequins. » Il n'est pas sérieux, je le sais, il n'essaye pas de l'être mais pourtant sa réponse entraîne comme réaction que mon poing vienne frapper son épaule. « Fais gaffe que tu ne sois pas obligé de te contenter de mannequins devant lesquels t'exciter tout seul dans les jours à venir. » Moi non plus je ne suis pas sérieuse, et Caleb m'a assez montré depuis ces dernières années, qu'il ne regarde que moi, et qu'il aime me regarder aussi. Alors, même si je suis jalouse, je n'ai aucun mal à rire de tout ça, parce qu'il a été parfait avec moi quand j'ai douté. Son regard a toujours été empli d'amour et de désir même quand mon corps a changé, même quand je me suis mise à ne plus aimer mon corps, lui il m'a prouvé qu'il l'aimait toujours et j'ai la chance d'avoir un homme qui ne me cache pas son désir et son amour pour moi. « Mais te voir pour la première fois dans des nouveaux ensembles c’est toujours très excitant tu sais. »  Voilà ce dont je parlais. Il me le dit, me le prouve, me le rappelle quand je doute. Il me trouve excitante, ou en tout cas je l'excite même après des années, même après des grossesses, même alors que je suis la seule qu'il voit depuis ces dernières années. « Tu pourras me faire essayer tous ce que tu désires chéri, je suis le modèle pour tous tes fantasmes aujourd'hui. » On parle de sous-vêtements alors je doute que ce soit vraiment tous ses fantasmes mais c'est une manière de lui dire qu'aujourd'hui, il choisit, il décide ce qu'il trouve sexy et qu'il veut me voir essayer, même si au final, on sait très bien, que je ne vais pas pouvoir m'empêcher de choisir aussi quelques pièces si j'en vois qui me plaise. Et si je suis prête à partir, j'ai une dernière chose à faire, m'habiller de façon plus sexy et plus simple aussi pour les sessions essayages qui m'attendent. Je ne réfléchis pas vraiment, j'attrape une robe, j'ai toujours plusieurs tenues avec moi, et je me change. Caleb se lève mais je ne cherche à pas comprendre ce qu'il fait, je me déshabille et ce n'est qu'une fois en sous-vêtements que je semble réussir à capter son attention ou plutôt c'est ma poitrine qui capte son attention et je ris presque en le voyant s'attarder précisément sur cette partie de mon corps. « Tu as vraiment le plus beau corps que je n’ai jamais vu de toute ma vie. » Je sais que c'est plus une façon de parler que la vérité mais pouvoir sentir qu'il y a une part de sincérité dans ses mots et dans son regard me plaît. « Merci pour le compliment chéri mais on sait que ce n'est pas la version la plus belle de mon corps. » Et donc même pas la plus belle version de mon corps qu'il n'ai jamais vu. Je sais qu'il est pas objectif, je sais qu'il a sans doute vu des femmes aux courbes parfaites, sans grossesses, sans marques sur le corps, des femmes à la poitrine encore plus généreuse que la mienne, mais il suffit de voir la manière avec laquelle il me regarde pour que je me sente bien. « Je croyais que tu préférais les mannequins. » Je le taquine un peu, en lui rappelant ses propos qui je le sais n'étaient pas sérieux mais je m'amuse un peu. « Tu fais ça souvent ? Te changer comme ça dans ton bureau ? Tu fermes la porte à clef quand tu le fais en étant seule ? » Je lève les yeux vers lui alors que je suis en train d'enfiler ma robe et je vois que ses questions sont sérieuses et qu'il a besoin de réponse. « Ca m'arrive de temps en temps mais même si je ne ferme pas toujours, tu es vraiment le seul qui peut entrer dans mon bureau sans mon accord. On n'entre pas dans le bureau de la chef sans y avoir été invité, ils respectent ça, je crois qu'ils ont peur de moi. Donc rassures toi, personne à part toi, ne me verra en sous-vêtements si c'est ça qui t'inquiète. » Il est le seul qui peut me voir en sous-vêtements comme ça, le seul à pouvoir me voir nue, le seul qui puisse profiter de mon corps que ce soit visuellement ou physiquement. Et c'est quelque chose qu'il pourra faire encore plus durant le voyage dont il m'a parlé en sms ce matin. Un voyage pour notre anniversaire de mariage qui s'annonce torride et pour lequel je compte bien agrandir ma collection de sous-vêtements pour le séduire, l'exciter et lui plaire. « Et des maillots de bain ! Parce que je ne compte pas aller sur une plage nudiste. » Je ris à sa remarque. Si je pense que je n'aurais sans doute pas énormément de mal à aller sur une plage nudiste, je sais que ce n'est clairement pas la même chose pour mon mari. Pudique, il l'est énormément et je sais la chance que j'ai qu'il ne le soit pas avec moi, mais je ne comptais pas lui proposer d'aller sur une plage nudiste. « Bébé, tu ne pourrais pas aller sur une plage nudiste tu ferais des jaloux avec ce que tu as encore les jambes. » Ce n'est pas sérieux, et pourtant je pense un peu ce que je dis, je sais que les hommes peuvent être assez puérils sur ce sujet, Caleb n'est pas de ceux là, mais il pourrait pourtant se vanter de son matériel. C'est aussi avec l'humour que j'évite de venir rappeler qu'il serait bien incapable de gérer le regard des autres sur son corps nu, et peut-être encore moins le regard des autres sur mon corps nu. Trop de sujets qui pourraient venir mettre à mal l'ambiance légère entre nous. Je quitte mes bureaux en compagnie de Caleb, c'est le grand avantage d'être la patronne, alors oui j'ai des responsabilités que je ne pensais jamais avoir, oui j'ai de la pression, et beaucoup de choses à gérer, mais je peux aussi gérer mon temps comme je le veux et je peux partir au milieu de l'après midi pour une virée shopping avec mon mari. A peine arrivé dans la galerie, il sait ou il veut aller, peut-être encore plus que moi, mais si lui n'a en tête que l'idée de rejoindre le magasin de lingerie, moi je m'arrête devant quelques vitrines mais ce n'est pas le programme prévu et nous finissons par entrer dans un magasin dans lequel plusieurs hommes ne se sentiraient pas à l'aise, mais Caleb lui semble parfaitement à l'aise. « Tu n’as pas beaucoup d’ensemble noir, on pourrait déjà commencer par t’en trouver un de cette couleur ? » Vous pouvez lui demander les couleurs de mes chaussures, ou de mes sacs, lui demander s'il sait quelle couleur de robe je n'ai pas, je suis sûre qu'il ne pourra pas vous répondre, mais mes sous-vêtements, ça il les connaît plutôt bien et cette constatation me fait sourire. « Ta connaissance de mes sous-vêtements me fait rire chéri, vraiment je me demande si parfois tu vois les vêtements que je porte ou si tu vois juste mes sous-vêtements ? » Il passe beaucoup de temps à regarder ma poitrine quand je porte un décolletée, donc il a de quoi connaître la couleur de mes soutiens gorges. « Mais, on peut partir sur le noir, tu as raison j'en ai pas beaucoup. » Pas beaucoup étant relatif mais c'est à mon échelle et Caleb l'ayant lui aussi dit, je pense que c'est bien la preuve que du noir serait à la fois un achat plaisir mais aussi un achat utile. « Tu connais ma taille, c'est toi qui choisis ce que tu veux, j'en ai juste un que j'aimerai tester mais je vais te faire la surprise pour cet ensemble. » Parce que ce que j'ai vu est tout sauf un ensemble lambda et la transparence quasi totale de l'ensemble est vraiment destiné à un unique moment et un unique but : séduire mon homme.  

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« Fais gaffe que tu ne sois pas obligé de te contenter de mannequins devant lesquels t'exciter tout seul dans les jours à venir. » Je sais qu’elle n’est pas sérieuse tout comme je ne l’étais pas en lui disant que mon enthousiasme est en grande partie lié aux affiches et photos de mannequins que l’on peut trouver dans les magasins de lingerie. Alex sait à quel point je l’aime et je suis admiratif de son corps, mais pendant les moments les plus difficiles durant lesquels l’appropriation de son corps après la dernière grossesse. Elle a toujours été à mes yeux la plus belle femme du monde. C’est cliché, sans aucun doute mais c’est pourtant bel et bien ce que je pense. Mais sa réflexion m’amuse et m’arrache un léger rire alors que je secoue doucement la tête en guise de réponse à lui apporter. « Tu pourras me faire essayer tous ce que tu désires chéri, je suis le modèle pour tous tes fantasmes aujourd'hui. » Mes yeux pétillant mélangeant l’amusement et l’amour que je ressens pour ma femme c’est après avoir rapidement humecté mes lèvres que je lui réponds, approchant mon visage du sien de quelques centimètres. « Oh mon amour, tu sais, tu n’es pas l’objet de tous mes fantasmes seulement aujourd’hui. » ces mots ressortent presque comme un murmure à son oreille, et si chacune de mes phrases est prononcée avec légèreté, ça n’enlève en rien au caractère véridique de mes propos. Alex est l’objet unique et principal de mes envies et fantasmes depuis que nous nous sommes retrouvés il y a quatre ans, et je sais que cela n’est pas prêt de changer. La journée de travail terminée pour nous deux, il est donc temps de quitter les bureaux afin de s’adonner à a mission que je me suis fixé : trouver un nouvel ensemble de lingerie à ma femme et sans que je ne comprenne pourquoi, celle-ci décide que sa tenue n’est pas appropriée aux shopping et se met à se déshabiller afin d’enfiler une robe. « Merci pour le compliment chéri mais on sait que ce n'est pas la version la plus belle de mon corps. » Mes sourcils se froncent instantanément, ne comprenant clairement pas cette réflexion de sa part. Parce que je ne suis pas du tout d’accord. Alors peut-être qu’elle a encore besoin de m’entendre la réconforter à ce sujet parce que je refuse que ma femme puisse penser ce genre de chose à propos d’elle et de son corps. « Je croyais que tu préférais les mannequins. » Si jusqu’à présent j’ai choisi le second degré pour discuter avec elle cette fois c’est la sincérité que j’ai choisi. Mes lèvres s’étirent tout de même légèrement pour former un doux sourire et s’il y a encore quelques secondes mes yeux étaient occupés à regarder sa poitrine c’est cette fois dans ses iris vertes que je choisis de me perdre. « Quand je te dis que ton corps est le plus beau que je n’ai jamais vu, je suis sérieux tu sais. Le corps que j’ai sous les yeux aujourd’hui, à cet instant précis. Je me fiche des changements de ces dernières années parce qu’ils rendent ton corps encore plus beau et parfait aujourd’hui. » Les quelques vergetures encore présente sur ses cuisses font parties des raisons pour lesquelles j’aime autant son corps parce qu’elles sont la marque du rêve qu’elle m’a donné : des enfants, et pour cette raison pour rien au monde je ne changerais quoique ce soit sur ses courbes. « Ca m'arrive de temps en temps mais même si je ne ferme pas toujours, tu es vraiment le seul qui peut entrer dans mon bureau sans mon accord. On n'entre pas dans le bureau de la chef sans y avoir été invité, ils respectent ça, je crois qu'ils ont peur de moi. Donc rassures toi, personne à part toi, ne me verra en sous-vêtements si c'est ça qui t'inquiète. » Je commence par grimacer quand elle m’avoue ne pas toujours fermer sa porte à clef quand elle se change dans son bureau et je termine par me tourner vers la porte tout en passant une main dans mes boucles. « Tu devrais fermer la porte. Ou bien te changer dans les toilettes. » et c’est tout ce que j’ajoute, ne voulant pas trop en faire de peur de commencer à l’énerver. « Bébé, tu ne pourrais pas aller sur une plage nudiste tu ferais des jaloux avec ce que tu as encore les jambes. » Sa réponse fait machine arrière pour retourner au ton plus léger de notre conversation, et elle a le mérite de me faire rire. « Si je ferai des jaloux ce serait sans aucun doute parce que tu es à mes côtés. » Encore une phrase qui peut sembler clichée voire même niaise ou bateau mais je pense sincèrement ce que je lui dis. Alex est une femme magnifique et je sais que je suis l’homme le plus chanceux pour l’avoir à mes côtés.

Nous voilà enfin arrivés dans l’un des rares magasins dans lequel j’accepte de me rendre sans trainer des pieds ou râler toutes les cinq minutes : Victoria’s Secret. « Ta connaissance de mes sous-vêtements me fait rire chéri, vraiment je me demande si parfois tu vois les vêtements que je porte ou si tu vois juste mes sous-vêtements ? » je me tourne vers elle et après l’avoir détaillé de haut en bas c’est tout en essayant de garder mon sérieux que je lui réponds. « Je ne t’ai jamais parlé de mon superpouvoir ? J’ai des rayons X dans les yeux qui me permettent de voir tes sous-vêtements au travers de tes vêtements. » J’acquiesce à ma propre réponse puis je continue. « Et c’est le meilleur pouvoir du monde. » je m’approche d’elle pour poser mes lèvres sur sa joue et je finis enfin par laisser un petit rire s’échapper de mes lèvres. « Mais, on peut partir sur le noir, tu as raison j'en ai pas beaucoup. » Pas beaucoup, ou disons que sa collection de lingerie rouge ou blanche est plus importante que celle de la couleur noire. « Tu connais ma taille, c'est toi qui choisis ce que tu veux, j'en ai juste un que j'aimerai tester mais je vais te faire la surprise pour cet ensemble. » Alors que je me promène dans le magasin tout en observant avec attention chaque dentelle qui se trouve sous mes yeux je porte mon attention sur ma femme quelques secondes. « Une surprise ? Tu m’intrigues. Je peux en savoir plus ? » que je lui demande alors qu’un de mes sourcils se lève. Et puis c’est de nouveau sur les sous-vêtements que je me concentre et c’est un ensemble voir en dentelle qui retient mon attention. Je m’avance vers celui-ci et une fois la taille de ma femme trouvée je le sors du portant pour le regarder d’un peu plus près. « Tu en penses quoi ? » c’est en lui remettant entre les mains le soutien-gorge que je lui pose cette question.

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'CAUSE WE'RE THE MASTERS OF OUR OWN FATE, WE'RE THE CAPTAINS OF OUR OWN SOULS. THERE'S NO WAY FOR US TO COME AWAY 'CAUSE BOY WE'RE GOLD, BOY WE'RE GOLD AND I WAS LIKE TAKE OFF, TAKE OFF, TAKE OFF ALL YOUR CLOTHES
« Oh mon amour, tu sais, tu n’es pas l’objet de tous mes fantasmes seulement aujourd’hui. » Il me fait rire, cette discussion m'amuse autant qu'elle me plaît. Parce que j'aime l'entendre dire que je suis l'objet de ses fantasmes. Je suis sa femme, je sais tout le bien qu'il pense de mon corps et je sais qu'il aime particulièrement mon physique mais je me lasse pas de l'entendre me complimenter. Cette confidence murmurée me fait sourire et je profite de son visage qui s'est approché du mien pour lui voler un baiser. « J'espère bien que je suis ton seul et unique fantasme, je ne veux pas te partager même dans tes rêves, tu n'as le droit de fantasmer que sur moi cher mari. » Je ne suis pas sérieuse, ou pas totalement, parce qu'il y a une chose qu'il sait, je ne veux pas le partager et ça c'est vrai. Après, il ne contrôle pas ses rêves, donc sur ça je ne suis pas sérieuse, ou presque pas. Et à nouveau après ces mots, je dépose un baiser sur le coin de ses lèvres avant de me lever pour me changer pour avoir une tenue plus pratique pour la session shopping à deux. Je me déshabille devant lui, n'ayant aucune retenue ou gêne devant lui. Ca n'a pas toujours été le cas, après les grossesses, il m'a fallu un peu de temps avant de me réapproprier mon corps et de me sentir pleinement à l'aise avec ce nouveau corps, mais Caleb m'a énormément aidé dans ce processus et aujourd'hui, je ne me cache pas, je n'aime pas mon corps autant que j'ai pu l'aimer par le passer ou le trouver beau plutôt, mais je sais que Caleb aime ce corps et ça me suffit pour être pleinement à l'aise face à lui et oublier que mon corps est marqué par les traces des grossesses. Son regard sur ma poitrine, je souris en le voyant profiter de la vue que je lui offre, c'est aussi le but quand je me déshabille devant lui, je sais l'effet que cette partie de mon corps peut provoquer chez mon mari et je le laisse profiter de la vue. Mais son regard finit par croiser le mien et je sens de la douceur dans son regard et dans son sourire, de la douceur qui m'étonne, non pas que Caleb ne soit pas doux, au contraire même, mais ce n'est pas l'idée que j'avais en me déshabillant devant lui. « Quand je te dis que ton corps est le plus beau que je n’ai jamais vu, je suis sérieux tu sais. Le corps que j’ai sous les yeux aujourd’hui, à cet instant précis. Je me fiche des changements de ces dernières années parce qu’ils rendent ton corps encore plus beau et parfait aujourd’hui. » Je comprends mieux la douceur de son sourire, je comprends mieux la manière avec laquelle il me regarde, il est doux Caleb, doux et tellement attentionné. Je ne sais pas si c'est parce qu'il sait comme le manque de confiance en soit peut être difficile à vivre, mais vivre avec lui, c'est avoir la chance de recevoir des compliments réguliers, sincères et qui font beaucoup de bien à l'estime de soi. J'ai de la chance de l'avoir à mes côtés et je le sais, j'en ai conscience et j'aimerais pouvoir être à la hauteur pour qu'il puisse lui aussi s'aimer ou au moins s'accepter comme il est. « Je sais que tu le penses, c'est ça le plus mignon. Je préférais mon corps avant c'est vrai, mais savoir qu'il te plaît me suffit et m'a beaucoup aidé à l'accepter. » C'est lui que je veux séduire, à lui que je veux plaire donc si mon corps moins parfait lui plaît c'est tout ce qui compte finalement, ce n'est qu'à lui que je veux plaire pour le reste de mes jours et avec ces mots, il me montre que je lui plaît toujours autant, si ce n'est plus, même si pour ça j'ai du mal à le comprendre, je sais la sincérité de ses paroles et c'est tout ce qui compte finalement. Il est le seul qui verra ce corps sans le moindre vêtement et le seul qui pourra profiter de mes atouts mais aussi des défauts de ce corps qui est le témoin de ce que nous avons construit tous les deux. « Tu devrais fermer la porte. Ou bien te changer dans les toilettes. » Je vois bien que l'idée que je me change dans mon bureau sans avoir verrouillé la porte le perturbe et je sais à quel point il peut être jaloux parfois et j'essaye de faire attention à ce qu'il dit et ressent. « Si ça peut te rassurer, je penserai à fermer la porte à clef à l'avenir quand tu n'es pas là. » Je lui souris et je dépose un baiser sur sa joue. Je ne veux pas qu'il se mette à penser que n'importe qui peut débouler dans mon bureau alors que je suis en sous-vêtements, ce n'est pas le cas et si je peux le rassurer en lui promettant de fermer la porte à clef, et en le faisant aussi, c'est important que je le fasse. J'essaye d'être à l'écoute, de le comprendre, de comprendre  ses craintes surtout depuis notre dernière dispute. Je ne veux pas repenser à ça, mais c'est tout de même dans un coin de mon esprit, je sais que Caleb est jaloux, je sais qu'il doute beaucoup de lui et que ça entraîne chez lui des insécurités vis à vis des autres hommes que je côtoie et encore plus quand ce sont des hommes sexys avec lesquels j'ai couché par le passé, mais il n'est plus question de ça désormais. Il n'a pas de concurrence à mes hommes, Caleb est l'homme de ma vie et pour bien des raisons, il est et reste le seul que j'aime. Il me plaît physiquement et émotionnellement, j'aime l'homme qu'il est, je suis admirative de qui il est et de ce qu'il a réussi à faire. J'aime tout chez lui, il me fait rire, me donne de la confiance, me rassure, m'amuse, m'apaise, me fait du bien, me fait jouir, il est l'homme parfait. Et en plus d'être un homme parfait il a tout ce qu'il faut, la ou il faut pour mon plus grand plaisir ce dont je ris souvent avec lui et je l'imagine lui et son paquet sur une plage nudiste. « Si je ferai des jaloux ce serait sans aucun doute parce que tu es à mes côtés. » Je ris un peu, je sais qu'il le pense, mais je n'ai jamais pensé être un cadeau, ou je n'ai jamais pensé être mieux que les autres ou pouvoir faire des envieux mais je comprends les mots de Caleb, et si lui les pense, moi je les prends en riant légèrement. « J'en conclus qu'on a tout les deux des attributs qui peuvent plaire et faire des jaloux. On est chanceux tous les deux. » Je le dis sur le ton de la rigolade mais je le pense sincèrement, oui je suis chanceuse de l'avoir et cette pensée ne me quittera jamais. Il est l'homme de ma vie et si je ne suis pas l'unique femme de sa vie, je suis celle avec qui il a décidé de faire sa vie et d'avoir des enfants, et je suis l'unique femme de Caleb Anderson.

Je connais par cœur les centres commerciaux, et si Caleb déteste la plupart des magasins, il connaît bien celui dans lequel nous venons de mettre un pied. Il sait ou il va et je n'ai pas besoin de le traîner dans les allées c'est même lui qui semble dicter le rythme et le chemin jusqu'à Victoria's Secret. Le royaume des sous-vêtements et de la lingerie, un monde dans lequel il aime venir, ce qui est assez drôle quand on y pense. Il a une fine connaissance de ce magasin mais aussi de mes sous-vêtements, il sait tout ce qu'il faut savoir sur les sous-vêtements. Ma taille forcément, la forme qui met en valeur ma poitrine, ce que je préfère comme matière, et il sait aussi quelle couleur j'ai le moins et ça me fait rire. « Je ne t’ai jamais parlé de mon superpouvoir ? J’ai des rayons X dans les yeux qui me permettent de voir tes sous-vêtements au travers de tes vêtements. » Je secoue la tête en riant à sa connerie alors qu'il observe mon corps comme s'il était en train de le scanner avec ses rayons X. « Et c’est le meilleur pouvoir du monde. » Il m'embrasse et finit par rire et je ris avec lui amusée par cette discussion. « Deux questions sur ce pouvoir chéri, on est d'accord que tu ne vois que mes sous-vêtements et pas ceux des autres femmes avec ta super vision ? » Ca me semble important de rétablir ce fait, même si je sais qu'il n'a pas ce pouvoir, je rentre dans sa connerie. « Et te connaissant un peu, j'aurais pensé que le meilleur pouvoir c'est pas de voir des sous-vêtements à travers mes vêtements mais plutôt de me voir nu à travers mes vêtements. Mais ça aurait sans doute été compliqué à vivre pour toi de passer ta journée à bander dès que je suis face à toi. » La fin de la phrase est murmurée pour que personne ne puisse entendre mes mots et je ris un peu, Caleb a cette faculté à me faire sourire, à me faire rire, à m'amuser aussi pourtant ce n'est pas forcément la première qualité qu'on pourrait penser lui attribuer, mais je ris avec lui, je délire avec lui et c'est aussi ce qui montre à quel point je me sens bien avec lui. C'est main dans la main avec lui que je marche dans les allées du magasin et dès le premier modèle qui lui plaît, il me lâche la main pour pouvoir observer avec attention les dentelles et le soutien gorge. Je le regarde faire amusée de voir mon mari si attentif en tenant des bouts de dentelle entre les mains, mais je réussis à capter son attention en lui parlant d'une surprise. « Une surprise ? Tu m’intrigues. Je peux en savoir plus ? » Je l'intrigue, je crois que c'était le but et que j'ai réussi. « Je peux juste te dire qu'avec cet ensemble, tu n'as pas vraiment besoin de supers pouvoirs pour voir mon corps. » Autant dire que l'ensemble que j'ai repéré est bien plus qu'un simple ensemble sexy en dentelle mais un ensemble qui appelle à plus qu'une nuit à dormir ensemble et c'est bien ce que je recherche pour notre voyage à deux. Il se concentre à nouveau sur les sous-vêtements, il a l'air de prendre sa tâche au sérieux, et je le laisse faire regardant en même temps que lui sans rien dire les ensembles en dentelle. Il semble en avoir repéré un et il me le tends pour que je le vois de plus près. « Tu en penses quoi ? » Je le regarde et je le pose dans le sac que je tiens pour regrouper tous ce qu'il voudra que j'essaye. « J'aime beaucoup, mais c'est toi qui va les voir grâce à ta vision X alors à toi de choisir ceux qui te plaisent le plus. » J'ai failli dire ceux qui te font ba*der le plus mais je me retiens étant dans un magasin avec des gens autour de nous. « Tu as carte blanche, on est la pour te faire plaisir, je veux gâter mon chéri. » Oui je me moque un peu de lui en disant cette phrase mais je suis sérieuse tout de même, il a carte blanche. « Tu peux en prendre autant que tu veux et ensuite direction les cabines pour que tu puisses tester et donner ton avis sur le rendu sur mon corps, c'est bien ça le plus important non ? Ce que tu ressens en me voyant avec. » Je ne suis pas ici pour trouver quelque chose de confortable, ou de soft, mais quelque chose pour faire réagir mon mari quand il me verra avec ces sous vêtements, et j'ai hâte de passer à la partie essayage de le voir réagir surtout.

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Message(#)Calex #90 x take off, take off, take off all your clothes EmptyMer 4 Oct 2023 - 6:38

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« J'espère bien que je suis ton seul et unique fantasme, je ne veux pas te partager même dans tes rêves, tu n'as le droit de fantasmer que sur moi cher mari. » Elle est de toute façon la seule femme dont j’ai envie de rêver. Pourquoi vouloir imaginer une autre femme nue ou en petite tenue alors que celle qui partage ma vie est la plus belle femme qui existe sur terre ? On est d’accord, ce serait ridicule de ma part. Depuis maintenant quatre ans Alex occupe mes pensées toutes les heures de la journée ainsi que la nuit. C’est sa présence à mes côtés tous les matins qui me fait sourire et me rappelle que la vie peut être belle et que malgré toutes les épreuves difficiles que nous devons surmonter, au final, ça vaut le coup. Des paroles typiques et dégoulinantes de niaiserie mais qui reflètent pourtant le fond de mes pensées. « Je sais que tu le penses, c'est ça le plus mignon. Je préférais mon corps avant c'est vrai, mais savoir qu'il te plaît me suffit et m'a beaucoup aidé à l'accepter. » Mon regard et mon sourire gardent cette même douceur et c’est d’abord dans un mot que je regarde ma femme avec toute la tendresse dont je suis capable. Puis au bout de quelques secondes – qui pourraient sûrement paraître comme étant une éternité pour elle – que je finis par lui répondre d’une douce voix. « Je crois que je le préfère maintenant. » Je crois qu’elle ne serait pas d’accord mais il reste entièrement parfait à mes yeux. Le bout de mes doigts effleure ses quelques vergetures résistantes sur les cuisses avant de remonter sur son ventre où se trouvent encore d’autres petites marques. Ce ne sont plus vers ses yeux que mon regard est posé mais bien sur ses parties de son corps que je touche sans aucune arrière-pensée, simplement dans le but d’appuyer mes propos. « Ces marques me rappellent le plus beau cadeau que tu ne m’aies jamais fait : nos enfants. Et pour ça je ne pourrais jamais ne pas les aimer. » Mon regard remonte doucement pour capter son attention et toujours avec un léger sourire sur les lèvres je m’approche d’elle pour déposer un doux baiser sur son front avant de m’éloigner pour la laisser enfiler sa robe. « Si ça peut te rassurer, je penserai à fermer la porte à clef à l'avenir quand tu n'es pas là. » Je lui réponds par un simple sourire ne voulant pas m’attarder sur le sujet plus longtemps. « J'en conclus qu'on a tout les deux des attributs qui peuvent plaire et faire des jaloux. On est chanceux tous les deux. » Alex plait. Bien plus que moi je ne plais mais c’est tout à fait normal. Elle est magnifique. Clairement magnifique et si je n’aime pas sentir le regard des autres hommes se poser avec parfois un peu trop d’insistance sur ma femme, il peut m’arriver de me sentir flatter ou fier. Parce que peu importe à quel point Alex est splendide c’est moi qu’elle a choisi pour faire sa vie. C’est mon nom qu’elle porte et c’est à moi qu’elle a promis amour et fidélité jusqu’à ce que la mort nous sépare.

Le trajet vers le magasin est finalement assez court et il se fait avec rires et complicité. Je suis heureux de pouvoir passer ce moment privilégié avec ma femme avant qu’on ne retourne à une toute autre facette de notre vie : le domicile familial et si j’aime nos enfants plus que tout au monde il me semble important de maintenir ce lien si fort et spécial qui nous unie tous les deux. « Deux questions sur ce pouvoir chéri, on est d'accord que tu ne vois que mes sous-vêtements et pas ceux des autres femmes avec ta super vision ? » Sa répartie est amusante et avant de lui apporter une réponse je me pince les lèvres tandis que mes yeux se plissent et après une courte réflexion je lui réponds. « C’est un pouvoir avec un mode on/off. Je l’active quand je le veux et donc tu es la seule que je veux voir en sous-vêtements. Sinon je ne t’aurais pas demandé de m’épouser il y a trois ans. » Voilà une réponse qu’elle devrait normalement apprécier. « Et te connaissant un peu, j'aurais pensé que le meilleur pouvoir c'est pas de voir des sous-vêtements à travers mes vêtements mais plutôt de me voir nu à travers mes vêtements. Mais ça aurait sans doute été compliqué à vivre pour toi de passer ta journée à bander dès que je suis face à toi. » Cette fois c’est un rire bien plus assumé qui s’échappe de mes lippes. « Non, je préfère pouvoir te voir en sous-vêtements, histoire d’attiser un peu le désir. » Un clin d’œil vient ponctuer cette phrase et ce sont donc sur ces mots que nous entamons la recherche d’un ou plusieurs nouveaux ensembles pour Alex. « Je peux juste te dire qu'avec cet ensemble, tu n'as pas vraiment besoin de supers pouvoirs pour voir mon corps. » Si sa précision m’apporte quelques éléments en plus qui me mettent bien sur la piste c’est d’abord un grand sourire qui s’étire sur mes lèvres sans que je ne la quitte du regard. « Ça a l’air très…intéressant. » Et j’ai hâte de pouvoir la voir dans cet ensemble, mais en attendant c’est sur une lingerie repérée par mes soins que la conversation se tourne. « J'aime beaucoup, mais c'est toi qui va les voir grâce à ta vision X alors à toi de choisir ceux qui te plaisent le plus. Tu as carte blanche, on est la pour te faire plaisir, je veux gâter mon chéri. Tu peux en prendre autant que tu veux et ensuite direction les cabines pour que tu puisses tester et donner ton avis sur le rendu sur mon corps, c'est bien ça le plus important non ? Ce que tu ressens en me voyant avec. » Elle me fait sourire mais cette fois en même temps je secoue la tête de gauche à droite. « Non non. Le plus important c’est que ce que je trouve te plaise, que tu sois d’accord pour le porter et que tu te sentes bien dedans. » Parce que je refuse de lui trouver de la lingerie qu’elle porte simplement pour me faire plaisir et dans laquelle elle ne se sent pas confortable. « Donc toi aussi cherche, sois un peu moins passive, Alexandra, tu sais que je n’aime pas ça. » Cette phrase est prononcée sur un ton plein de sous-entendus et avec une pointe d’humour, car Alex n’est pas du genre passive, que ce soit sexuellement ou dans bien d’autres domaines.

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Message(#)Calex #90 x take off, take off, take off all your clothes EmptyVen 6 Oct 2023 - 4:49




'CAUSE WE'RE THE MASTERS OF OUR OWN FATE, WE'RE THE CAPTAINS OF OUR OWN SOULS. THERE'S NO WAY FOR US TO COME AWAY 'CAUSE BOY WE'RE GOLD, BOY WE'RE GOLD AND I WAS LIKE TAKE OFF, TAKE OFF, TAKE OFF ALL YOUR CLOTHES
« Je crois que je le préfère maintenant. » C'est étrange pour moi de savoir qu'il préfère un corps que moi j'ai eu du mal à accepter. Et je ne peux retenir le fait que j'ai du mal à le comprendre en levant un sourcil. Tout était presque parfait chez moi, le sport que je pratique m'aidait à garder mon corps dans une bonne forme malgré les excès dans ma vie, mais désormais, j'ai vieillis, j'ai surtout eu plusieurs grossesses, dont une grossesse gémellaire et mon corps en porte encore les traces. Caleb me dit le préférer ainsi, je ne comprends pas mais je sais qu'il est sincère et qu'il le pense. Ce qui est fou, mais je le regarde me sourire, et observer mon corps. Je sens ses doigts effleurer ma peau, ou plutôt glisser sur les fameuses marques qui sont apparues au fil des grossesses. Il touche ma peau, il touche mes cuisses, puis mon ventre, et je frisonne. Il fut un temps ou j'aurais sans doute été un peu plus mal à l'idée de le voir observer et toucher ces marques mais aujourd'hui, je le laisse faire et je le regarde faire aussi. Il regarde mon corps, et je sais qu'il ne le juge pas, qu'il n'y a aucune once de critique dans son regard et dans sa manière d'observer mon corps. Je n'aime pas ces marques mais il m'a apprit à les accepter et à m'aimer avec parce que je sais que lui il m'aime ainsi. « Ces marques me rappellent le plus beau cadeau que tu ne m’aies jamais fait : nos enfants. Et pour ça je ne pourrais jamais ne pas les aimer. » Je lui souris, parce qu'il a raison. Dans un sens, mon corps porte les traces de notre histoire, de notre amour, de ce que nous avons fait de plus beaux ensembles : nos enfants. « J'aime nos enfants et je suis fière de les avoir porté, mais j'aurais préféré qu'ils ne laissent pas une trace à vie sur mon corps. » Je ris doucement, j'ai finalement aimé être enceinte, enfin pas tout le temps, pas à toutes les périodes, pas pour toutes les grossesses, mais j'y ai trouvé une certaine sérénité par moment, un plaisir d'avoir ce lien particulier avec le bébé et aussi cette attention encore plus forte et toute particulière de Caleb envers moi. Mais même en étant pas enceinte, j'ai un mari qui est attentionné, qui est doux, qui est tendre avec moi et il le prouve aujourd'hui et après les mains tendres sur mon corps, ce sont ses lèvres qui se posent sur mon front pour venir y déposer un baiser tendre. Je profite de la proximité de nos deux corps pour faire glisser mes mains le long de ses hanches les posant même sur ses fesses quelques secondes avant qu'il ne s'éloigne pour me laisser m'habiller afin que nous puissions partir faire les magasins tous les deux. Et pour une fois, c'est peut-être même lui qui est le plus enthousiaste de nous deux.

L'ambiance est légère entre nous, tendre et amusé comme c'est souvent le cas quand on est ensemble lui et moi et l'ambiance reste tout aussi légère quand nous mettons les pieds dans le magasin de lingerie. J'imagine mon mari avec une vision X et la capacité à voir au travers des vêtements. « C’est un pouvoir avec un mode on/off. Je l’active quand je le veux et donc tu es la seule que je veux voir en sous-vêtements. Sinon je ne t’aurais pas demandé de m’épouser il y a trois ans. » Je secoue la tête à sa précision qui me fait une nouvelle fois rire. Je ne doute pas réellement du fait que je sois la seule qu'il veut voir en sous-vêtements, son attitude depuis que nous vivons ensemble me le prouve chaque jour. Caleb n'est pas du genre à regarder les autres femmes dans la rue, et s'il le fait, il sait qu'il ne doit pas le faire en ma présence sous peine de m'énerver. « Que je te surprenne pas à le mettre en mode on sur une autre femme, si tu tiens à ta vie sexuelle. » Je plaisante et il devrait le savoir, enfin j'espère. Caleb me regarde, il le fait très souvent, il me regarde énormément et j'aime avoir son attention, j'aime qu'il me regarde et que j'ai l'impression d'être la seule femme dans sa vie quand ses yeux sont posés sur moi. Ca fait quatre ans maintenant, quatre ans que nous nous sommes donnés une seconde chance, quatre ans qu'il est le seul auquel je pense, le seul que je veux à mes côtés dans ma vie chaque jours. Trois ans que nous sommes fiancés, il l'a dit lui même. Trois ans qu'il m'a demandé de devenir sa femme et je sais que pour lui ça comptait énormément. « Et techniquement chéri, c'est moi qui t'ai demandé de m'épouser en première. » Un raté, un moment qui n'a pas été très simple à gérer, mais aujourd'hui je suis mariée avec lui, et je peux en sourire de ce moment qui n'avait rien de préparé, qui n'était même pas réfléchis, c'était juste mon amour pour lui qui s'exprimait à ce moment. « Mais ta demande était tellement plus belle et j'oublierai jamais ce moment. » Cette demande est venue de sa part, pas beaucoup plus préparée que la mienne, mais toujours dictée par cet amour qu'il y a entre nous et qui était sans doute encore plus fort et plus intense alors que nous venions d'accueillir nos filles et c'est avec un grand sourire et les yeux brillants d'émotions que je repense à ce moment si particulier dans notre histoire de couple mais aussi de famille.

Je ne sais pas quel est le meilleur pouvoir, mais si selon lui c'était de voir mes sous vêtements à travers mes vêtements, j'ai une toute autre idée de ce que pourrais être le meilleur pouvoir. Je l'entends rire à ma remarque et je souris en voyant son visage qui rit lui aussi. J'aime tellement l'entendre rire, j'aime tellement le voir sourire, je l'ai toujours trouvé si beau quand il sourit. Il y a une douceur, une tendresse, ses traits sont détendus, et il semble heureux. J'aime le voir comme ça, j'aime partager des moments de légèreté et d’insouciance avec lui. « Non, je préfère pouvoir te voir en sous-vêtements, histoire d’attiser un peu le désir. » Je suis toujours obnubilée par son visage, je le regarde, je souris largement et je ris quand il me fait un clin d’œil qui vient ponctuer sa phrase. « T'es tellement beau bébé. » Ca n'a rien à voir avec ce qu'il vient de me dire, mais je suis sous le charme de mon mari et je ne le cache pas. Je viens déposer un baiser sur sa joue tout en souriant toujours et en venant passer une main dans ses cheveux. « Comptes sur moi pour faire en sorte d'attiser un peu ton désir tout à l'heure. » Je vais lui montrer chacun des ensembles que je vais essayer et je vais me faire un malin plaisir à venir titiller son désir et jouer sur mes atouts face auxquels il est sensible. Mais pour ça nous devons trouver des choses à essayer, bien que ça ne me dérange pas vraiment de ne rien porter dans la cabine pour lui montrer, mais il aime les sous-vêtements et je le vois regarder plusieurs modèles, moi je sais déjà lequel je veux acheter pour nos vacances d'anniversaire de mariage et je lui apporte quelques éléments qui semblent réussir à le faire sourire à nouveau. « Ça a l’air très…intéressant. » Je secoue la tête comme pour accentuer le fait que je suis d'accord avec lui, oui c'est un ensemble intéressant et surtout c'est un ensemble qui devrait me permettre de le séduire et de nous permettre de passer un moment intéressant ensuite. « Tu souris beaucoup, tu es beaucoup trop à l'aise quand on parle de sous-vêtements, je soupçonne que tu regrettes presque de ne pas avoir de poitrines pour pouvoir porter de tels ensembles. » C'est une blague que je fais, mais il est plus investi que moi dans la recherche de soutien gorge, et moi je suis bien plus amusée et intéressée par le fait de regarder mon mari essayer de trouver un modèle qui pourrait me plaire et lui plaire aussi, parce que c'est le but aussi. « Non non. Le plus important c’est que ce que je trouve te plaise, que tu sois d’accord pour le porter et que tu te sentes bien dedans. » Je secoue la tête et j'apprécie qu'il veuille que ça me plaise aussi mais j'ai une confidence à lui faire. « Chéri si ça ne tenait qu'à moi et que je voulais me sentir bien, je ne porterais rien. Mais si vraiment je ne suis pas bien, je le prendrai pas. » A part si c'est un sous-vêtement fait pour être enlevé rapidement mais pour le moment nous cherchons toujours des ensembles à essayer et c'est Caleb qui se charge de ça, enfin je le laisse faire, sauf qu'il me rappelle que je dois le faire aussi. « Donc toi aussi cherche, sois un peu moins passive, Alexandra, tu sais que je n’aime pas ça. » Que ce soit l'emploi de mon prénom entier ou le ton de sa phrase ou même les mots qu'il choisit, je souris en comprenant bien les sous-entendus, faut dire que quand nous sommes tous les deux, c'est récurrent comme discussion. « Tu n'aimes pas quand je suis passive, mais tu n'aimes pas non plus quand je domine, faut savoir ce que tu veux chou. » Chou, ce surnom que je lui donne quand je ris, quand je suis d'humeur taquine et joueuse avec lui. « Mais si tu veux que je sois active je peux l'être. » Je viens déposer un baiser sur sa joue et mes lèvres descendent dans son cou et je laisse ma langue venir titiller sa peau quelques secondes. Il veut que je sois active dans la recherche de sous-vêtements mais je l'entends tout autrement moi. « Je serai active ce soir, pour le moment je garde mes forces, tu préfères que j'utilise mes forces maintenant ou que je me préserve pour ce soir ? » Les deux sont loin d'être incompatible et je le sais, mais c'est juste une manière pour moi de voir ce qu'il préfère et comment il préfère que j'utilise mes capacités pour voir ses priorités.

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Message(#)Calex #90 x take off, take off, take off all your clothes EmptySam 7 Oct 2023 - 3:18

Calex
'Cause we're the masters of our own fate, we're the captains of our own souls. There's no way for us to come away 'cause boy we're gold, boy we're gold and I was like take off, take off, take off all your clothes

« J'aime nos enfants et je suis fière de les avoir porté, mais j'aurais préféré qu'ils ne laissent pas une trace à vie sur mon corps. » C’est un petit sourire presque triste qui se dessine tout naturellement sur mon visage quand je l’entends prononcer des mots. Je peux tout à fait la comprendre. Ou du moins essayer. Après tout j’ai moi aussi une trace – ou plutôt une cicatrice – sur le corps qui ne partira ou ne diminuera jamais. C’est une certitude. La seule différence étant que la mienne ne me rappelle pas un souvenir merveilleux bien au contraire. Cette intervention chirurgicale que j’ai dû subir en urgence à la suite de mon accident est un souvenir que j’aimerais oublier, sauf que j’ai malheureusement une cicatrice qui me replonge dans ces souvenirs à chaque fois que je me regarde dans le miroir tous les matins. Sûrement une des raisons pour lesquelles j’évite de me regarder dans le miroir. Surtout quand mon torse n’est pas recouvert d’un vêtement quelconque. Mais afin d’éviter de briser cette ambiance légère et agréable qui s’est installée entre nous je décide de ne pas lui rappeler qu’avoir une trace à vie sur son corps, je sais ce que c’est. Je ne regrette pas d’avoir gardé cette précision pour moi parce que les minutes qui suivent sont toujours aussi plaisantes. « Que je te surprenne pas à le mettre en mode on sur une autre femme, si tu tiens à ta vie sexuelle. » Feignant l’étonnement face à sa répartie, mon sourcil se lève sans pour autant briser le contact visuel. « Est-ce une menace ? » Bien sûr que oui c’en est une, mais il me semble lui avoir prouvé à déjà de bien nombreuses reprises à quel point les autres femmes ne m’intéressent pas. Alex est bien la seule que je regarde vraiment depuis plusieurs années et ce n’est pas près de changer. « Et techniquement chéri, c'est moi qui t'ai demandé de m'épouser en première. » Si elle sourit en me rappelant ce détail qui n’en est pas un, moi c’est avec une grimace que je l’accueille. Je ne trouve pas ce souvenir joyeux ni amusant. Clairement pas prêt à me fiancer à nouveau je lui avais simplement demandé d’être patiente et de me laisser de temps. « Mais ta demande était tellement plus belle et j'oublierai jamais ce moment. » Encore un point sur lequel je ne la rejoins pas et c’est en secouant la tête que je lui fais savoir. « Je n’avais pas de bague. Pas de discours. Rien n’était préparé…ça manquait clairement de romantisme. » Parce qu’il est bien là le problème. Je suis un romantique dans l’âme et j’aurais voulu lui offrir une demande digne de ce nom. Une demande romantique qu’elle mérite. Certes, je me suis rattrapé quelques semaines plus tard mais il s’agissait d’une deuxième demande simplement dans le but d’officialiser les choses avec une bague.

J’arpente les rayons du magasin, regardant avec grande attention chaque ensemble sans la moindre gêne et notre conversation prouve que nous sommes tous les deux très à l’aise à l’idée de nous retrouver ensemble dans un magasin de lingerie fine. « T'es tellement beau bébé. » Ce compliment qui sort de nulle part me déstabilise presque un peu. Le petit rire qui glisse de mes lèvres le témoigne clairement. Mon attention passe de l’ensemble que je tiens entre les mains à ma femme, venant me pincer doucement les lèvres. « En quel honneur ? » Quand ses lèvres se posent sur ma joue tandis que ses mains passent dans mes cheveux un léger sourire s’étire sur le coin de mes lippes. Pas qu’Alex ne me fasse jamais de compliments. Il fut un temps les louanges de sa part étaient très rares, sur ce point elle s’est améliorée mais quelque chose sonne différent dans ce compliment. Et ça me semble plutôt positif. « Comptes sur moi pour faire en sorte d'attiser un peu ton désir tout à l'heure. » Cette fois je ris légèrement. « Oh je n’en doute pas, tu es douée pour ça. » Et pour un tas d’autres choses, disons-le ; Alex sait y faire dans bien des domaines. « Tu souris beaucoup, tu es beaucoup trop à l'aise quand on parle de sous-vêtements, je soupçonne que tu regrettes presque de ne pas avoir de poitrines pour pouvoir porter de tels ensembles. » Une nouvelle fois sa réflexion me fait rire. « Si j’avais une poitrine je passerais mon temps à la toucher ou la regarder. Ça serait légèrement gênant vis-à-vis des autres. » Une réponse donnée sur le ton de l’humour mais qui n’est pourtant pas si fausse que cela. « Chéri si ça ne tenait qu'à moi et que je voulais me sentir bien, je ne porterais rien. Mais si vraiment je ne suis pas bien, je le prendrai pas. » C’est surtout sur la première partie de sa phrase que je me concentre et imaginer ma femme sortir sans aucun sous-vêtement sous sa robe semble avoir un vrai caractère excitant pour moi et je suis presque sûr qu’elle peut aisément le voir sur mon visage. « Même sans culotte ? » les mots sont murmurés afin de m’assurer que personne ne puisse entendre ma question et surtout, sa réponse, bien que je doute fortement que notre conversation n’intéresse quoique ce soit. « Tu n'aimes pas quand je suis passive, mais tu n'aimes pas non plus quand je domine, faut savoir ce que tu veux chou. » Là-dessus je suis encore une fois en désaccord avec elle parce que je suis sûr de ne jamais lui avoir dit ne pas aimer quand c’est elle qui prend les devants et qui dirige. Ce n’est peut-être pas ce que je préfère mais de là à dire que je n’aime pas, non. Non. Pas du tout. « Mais si tu veux que je sois active je peux l'être. » En un rien de temps je lève mes yeux au ciel mais quand ses lèvres ainsi que sa langue viennent se loger dans mon cou je frissonne tout en me redressant légèrement. « Bébé, on va nous regarder… » Parce que ne l’oublions pas, nous sommes en plein milieu des rayons d’un magasin et bien qu’il soit tout à fait possible que ce soit mon anxiété qui parle pour moi j’ai la désagréable impression de sentir des regards en notre direction, ce qui me fait extrêmement mal à l’aise. Il se peut même d’ailleurs que le rouge me monte légèrement aux joues. « Je serai active ce soir, pour le moment je garde mes forces, tu préfères que j'utilise mes forces maintenant ou que je me préserve pour ce soir ? » Toujours gêné, je grimace légèrement avant de lever les épaules. « C’est pas ce que je voulais dire. Tu le sais… » je me racle légèrement la gorge tout en passant une main dans mes cheveux tandis que mon regard se pose rapidement sur une vendeuse qui passe à quelques centimètres que nous. « Enfin bref…tu peux aller essayer ça si tu ne veux rien prendre d’autre. » que je dis tout en posant d’un geste rapide un nouvel ensemble dans son panier.

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Message(#)Calex #90 x take off, take off, take off all your clothes EmptyLun 9 Oct 2023 - 5:36




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« Est-ce une menace ? » Il me connaît assez pour savoir que oui c'est une menace, même pas cachée. Mais ce n'est pas une menace très sérieuse parce que je sais que Caleb m'aime et ne regarde que moi, du moins quand je suis avec lui. Je sais qu'il est obnubilé par mon corps et ce même après plusieurs années, et ce même avec les changements que mon corps a connu. « C'est bien une menace chéri, ne m'oblige pas à nous priver de sexe, on sait tout les deux que je serais insupportable. » Et si ma menace n'est pas sérieuse, je le suis en revanche quand j'ose dire que je serais insupportable en cas d'abstinence et il ne sera sûrement pas là pour me déjuger lui qui a avoué avoir peur de moi parfois, ce n'était pas pour ce sujet mais il sait sans doute que je serais frustrée et énervée en cas d'abstinence forcée et prolongée et il ne veut sans doute pas me voir ainsi. Heureusement pour nous, l'abstinence ne fait plus partie de notre vie désormais, et si notre vie sexuelle n'est plus aussi riche et innovante qu'avant, je suis satisfaite et comblée sur ce sujet dans ma vie. Ni nos enfants, ni la vie de famille, et de couple marié n'est venu perturber ce désir que je ressens pour lui. Enfin, les grossesses ont perturbé notre équilibre, la présence d'enfant aussi, la vie quotidienne, mais aujourd'hui, le désir que je ressens pour lui est toujours aussi fort. Nous n'avons plus vingt ans, nous sommes un couple marié mais l'amour que j'ai pour lui n'en ait que plus fort aujourd'hui. « Je n’avais pas de bague. Pas de discours. Rien n’était préparé…ça manquait clairement de romantisme. » Je connais Caleb et je ne suis pas étonnée de sa réponse. Pas étonnée qu'il en attende tellement de lui et de sa demande mais je reste sur mon avis. Sa demande était belle. Sa demande venait conclure une journée et une nuit tellement importante pour notre couple et notre famille. « Mais c'est justement parce que ce n'était pas préparé que j'ai trouvé ça si touchant. » L'émotion du moment, le côté spontané et juste animé par l'amour, c'est ce que j'ai aimé. « Mais tu t'es rattrapé plus tard et c'était romantique mais je préfère ce moment avec nos filles et ta proposition irréfléchie mais si belle. » Peut-être qu'en y repensant, sans l'émotion du moment il n'aurait peut-être pas été prêt à faire sa demande ? Peut-être qu'il a regretté après coup ? Je me suis jamais posée la question, je n'ai jamais douté de son envie de se fiancer avec moi et il me l'a redemandé plus tard, avec une soirée en tête à tête, avec une demande préparée et une bague alors je pense qu'il n'en doutait pas. « Tu as regretté d'avoir fait ta demande à l’hôpital ? » Je lui demande tout de même, pas pour savoir s'il a regretté de m'avoir demandé en mariage, mais pour savoir s'il a vraiment l'impression d'avoir gâché cette demande, alors que moi j'ai trouvé ce moment si fort.

C'est un moment à deux que nous passons et si on essaye de trouver du temps pour notre couple, ce n'est pas toujours si évident, entre les enfants, nos travail respectif, nous avons parfois pas assez de temps pour nous. Aujourd'hui, nous avons réussi à nous organiser cette petite virée shopping dans un magasin de lingerie et si Caleb regarde les modèles à la recherche de celui qui sera parfait à me faire essayer, moi c'est lui que je regarde. Il sourit, il rit, il a sur son visage l'air d'être bien, heureux, serein et c'est quelque chose qui le rends particulièrement beau et je lui dis parce que c'est ce que je ressens à cet instant précis. « En quel honneur ? » Je souris en entendant sa question. Il ne me contredis pas ce qui est déjà pas mal. « Je n'ai pas besoin d'une raison pour te dire que je te trouve beau non ? » Et je le regarde, et je suis toujours aussi obnubilée par le sourire de mon mari. « Mais tu sembles détendu et heureux et j'aime te voir sourire. » Je sais que lui n'aime pas son sourire, et qu'il n'aime d'ailleurs pas grand chose chez lui mais ce n'est pas mon cas et je continue de le regarder même quand je viens le titiller un peu en lui rappelant que je compte bien le séduire et faire monter le désir en lui. C'est aussi pour ça que nous sommes là non ? « Oh je n’en doute pas, tu es douée pour ça. » Fière de cette réponse, je ne m'en cache pas et je souris largement. « Je sais, merci mais c'est pas bien difficile, tu es très bon public et bien réceptif. » Je n'ai pas grand chose à faire pour titiller son désir, pas grand chose à mettre en œuvre pour lui donner envie d'aller plus loin ensemble, mes atouts physiques sont nombreux et je sais en jouer, je sais aussi ce qu'il aime et c'est assez simple pour moi finalement. Il aime mes seins, je le sais, il me l'a dit assez souvent et je ne peux m'empêcher de rire quand il m'apporte une réponse qui me donne une image en tête très drôle. « Si j’avais une poitrine je passerais mon temps à la toucher ou la regarder. Ça serait légèrement gênant vis-à-vis des autres. » J'imagine Caleb regarder dans son décolleté et se toucher la poitrine encore et encore. Ce serait gênant en effet mais drôle. « Tu es vraiment incroyable chéri, mais je te crois, c'est déjà ce que tu fais avec la mienne. » Je ris à nouveau, ce n'est pas exactement vrai mais ce qui l'est en revanche c'est le fait que parfois j'ai l'impression de parler seule quand je porte des robes à décolleté et que Caleb se perds dedans quelques instants. Il est réactif quand j'évoque l'idée de ne pas porter de sous-vêtements, et je vois bien à son regard qu'il ne pense pas à l'idée que je sois à l'aise, mais il pense à toute autre chose et je le découvre avec sa question. « Même sans culotte ? » Il murmure les mots et j'en fais de même avec ma réponse murmuré dans le creux de son oreille. « Oh je sens que ça t'excite, tu veux que je sorte sans culotte pendant nos vacances ? C'est quelque chose que je pourrais faire si ça peut t'exciter. » Il n'est pas rare qu'avec certaines robes, je ne porte pas toujours de soutien gorge, et si je ne sors jamais sans culotte, pour certaines occasions avec lui, c'est quelque chose que je peux envisager assez facilement. L'idée de venir le voir et lui murmurer que je suis nue sous ma robe, c'est quelque chose qui est fortement possible. Surtout si c'est pour lui plaire, en guise d'avant goût. Et c'est un peu ce que je fais, à une autre échelle, différemment mais je viens le titiller un peu en venant glisser mes lèvres dans son cou ce qui le fait réagir. « Bébé, on va nous regarder… » Ce n'est pas exactement la réaction que j'attendais mais il a sans doute raison même si embrasser mon mari dans un magasin ne devrait pas être gênant non ? Bon c'était un peu plus qu'un baiser mais je m'arrête là, parce que je le sens gêné et pas très réceptif et mon but n'est pas du tout de le mettre plus mal à l'aise qu'il ne semble l'être déjà. « C’est pas ce que je voulais dire. Tu le sais… » Je le sais oui, mais je voulais jouer un peu, mais visiblement nous n'avons pas la même envie dans l'immédiat et je sais qu'il est perturbé par le lieu et le monde autour de nous même s'il n'y a pas foule dans le magasin, ça reste un lieu public et la présence de la vendeuse semble attirée bien plus l'attention de Caleb. « Enfin bref…tu peux aller essayer ça si tu ne veux rien prendre d’autre. » Je le regarde mettre un nouvel ensemble dans le panier et je me dirige vers les cabines pour essayer le contenu du panier prenant au passage un nouvel ensemble qui me plaît. Peut-être que la relative intimité de la cabine va lui permettre d'être un peu plus tactile avec moi, je ne sais pas mais c'est dans la cabine que j'entre. Je retire ma robe et je me retrouve en sous-vêtements dans la cabine, l'éclairage et les miroirs partout ne mettent pas mon corps dans son meilleur jour mais j'enfile le premier soutien gorge et c'est en passant la tête en dehors de la cabine que j'invite Caleb à me rejoindre dans la cabine pour avoir son avis. « Alors ? Il te plaît ? Tu aimes ce que tu vois ? » Il peut regarder ma poitrine, je l'invite même à le faire mais c'est tout mon corps qu'il peut regarder puisque je suis en sous-vêtements devant lui dans cette cabine fermée. « Il n'y a plus personne pour nous regarder. Je peux t'embrasser maintenant ? » Je lui demande en me pinçant les lèvres tout en venant me coller à lui. « Tu peux toucher la matière, elle est très agréable. » Spoiler alert : la matière n'a rien d'exceptionnelle, c'est une bonne matière, de la bonne qualité mais rien qui ne soit vraiment incroyable et si je l'invite à toucher ce n'est pas pour toucher la matière, et je pense qu'il va le deviner.

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Message(#)Calex #90 x take off, take off, take off all your clothes EmptyMar 10 Oct 2023 - 6:49

Calex
'Cause we're the masters of our own fate, we're the captains of our own souls. There's no way for us to come away 'cause boy we're gold, boy we're gold and I was like take off, take off, take off all your clothes

« C'est bien une menace chéri, ne m'oblige pas à nous priver de sexe, on sait tout les deux que je serais insupportable. » Sans même réfléchir je lâche un léger rire amusé par sa réflexion, et le pire c’est que je pense qu’elle a totalement raison. Alex en manque de sexe serait peut-être même semblable à celle qu’elle devient quand elle est enceinte et que les hormones et le ras-le-bol de la grossesse lui font perdre pied. Malheureusement pour moi, je connais peut-être un peu mieux le sujet de l’abstinence qu’elle et si lors de cette dernière période que je n’avais pas choisi la frustration était grande j’ai tout de même essayé de ne pas faire passer mon irritation sur elle. « C’est vrai que tu serais beaucoup trop chiante. » C’est bien évidemment sur un ton humoristique que je lui réponds bien qu’avec tout de même une pointe de sincérité dans la voix. Je l’aime et la connais assez pour pouvoir imaginer comme Alex se comporterait si elle venait à être privée de sexe et croyez-moi quand je vous dis que je préfère ne jamais me retrouver face à une telle situation. « Mais c'est justement parce que ce n'était pas préparé que j'ai trouvé ça si touchant. » Je lui souris doucement tandis que je me replonge dans mes souvenirs de cette journée qui a longtemps été la plus belle de ma vie. Mais aujourd’hui je ne pense pas que je pourrais choisir entre la naissance des jumelles et celle de Mael, mais tout cet amour déjà extrêmement fort que je ressentais pour Alex qui s’est vu doubler voire même tripler quand nous nous sommes retrouvés à quatre dans la même pièce a été l’élément déclencheur de ma demande en mariage spontanée. « Mais tu t'es rattrapé plus tard et c'était romantique mais je préfère ce moment avec nos filles et ta proposition irréfléchie mais si belle. » Alors que ce même sourire n’a pas quitté mes lèvres je pose mes yeux sur ma femme quelque instant. « Le plus important c’est que tu aies aimé cette demande. » La première, bien évidemment. « Tu as regretté d'avoir fait ta demande à l’hôpital ? » Je n’attends pas une seule seconde pour secouer la tête avec vigueur avant de lui apporter une réponse un peu plus précise. « Non non pas du tout. Je me dis que dans un sens ça a une jolie signification. » Un peu comme si la naissance de Lucy et Lena marquait le début d’une nouvelle vie, alors se marier semblait évident et la suite logique. J’avais sûrement juste besoin d’un coup de pied aux fesses pour le réaliser.

Le shopping bat de son plein et je ne sais pas si c’est le fait de passer de temps ensemble ou bien si Alex a quelque chose à me demander mais j’ai droit à un magnifique compliment – bon pour dire vrai je sais très bien que la deuxième option n’est pas la bonne, Alex n’est pas du genre à me faire un compliment simplement pour obtenir quelque chose. « Je n'ai pas besoin d'une raison pour te dire que je te trouve beau non ? Mais tu sembles détendu et heureux et j'aime te voir sourire. » Le sourire qui se dessine sur mes lippes est différent de celui qui s’y loge habituellement. C’est pourtant un compliment simple mais sans que je ne sache pourquoi, il me touche plus qu’à l’accoutumée. « Tu peux, oui. Merci. » Il est presque rare que je la remercie j’ai bien plus tendance à lever les yeux au ciel sans relever mais c’est également avec un rapide baiser sur la joue que je la remercie à nouveau. « Je sais, merci mais c'est pas bien difficile, tu es très bon public et bien réceptif. » Il est vrai qu’avec Alex je suis particulièrement réceptif à chacune de ses tentatives, mais c’est tout simplement mon amour pour elle et l’effet que son corps de déesse a sur moi. « Tu es vraiment incroyable chéri, mais je te crois, c'est déjà ce que tu fais avec la mienne. » Mon rire se mélange au sien et si nous avions été seuls mes yeux auraient sans aucun doute glissé sur sa poitrine mais parce que nous nous trouvons dans un lieu public je m’abstiens. Preuve qu’elle n’a pas tout à fait raison, non ? – non. « Oh je sens que ça t'excite, tu veux que je sorte sans culotte pendant nos vacances ? C'est quelque chose que je pourrais faire si ça peut t'exciter. » Bien heureusement, elle prend soin de murmurer ces mots dans mon oreille et tout cela a son petit effet. Je l’écoute avec grande attention venant même me mordiller légèrement la lèvre et oui, l’imaginer se promener sans culotte lors de nos vacances ne me laisse clairement pas indifférent et je suis sûr que c’est très largement visible sur mon visage. « J’aimerais beaucoup, mon amour. » Moi aussi je lui dis ces mots d’une petite voix, sauf que j’ai comme l’impression qu’Alex se laisse porter par le moment oubliant presque complètement que nous nous trouvons dans un lieu public – ou bien peut-être que ce qu’elle oublie est tout simplement que je me sens très vite mal à l’aise avec les effusions en public. C’est sans un mot à mon égard qu’elle se dirige vers la cabine d’essayage me laissant clairement l’impression de l’avoir vexée ou énervée. Alors qu’elle essaie les ensembles dans la cabine d’essayage je me refais la scène en boucle ne comprenant pas ce que j’aurais pu faire de mal, je lui ai simplement rappelé que nous n’étions pas seuls, pas vrai ? Mais j’aurais peut-être dû la laisser continuer sans rien dire. Je m’en veux, je culpabilise et même quand elle me demande de la rejoindre à l’intérieur de la cabine pour voir le premier ensemble je suis présent physiquement mais toujours en train de réfléchir. « Alors ? Il te plaît ? Tu aimes ce que tu vois ? » Je souris peut-être un peu timidement tout en détaillant son corps bien trop parfait pour moi. Mes yeux ne s’attardent pas seulement sur le soutien-gorge qui met en valeur sa poitrine, non. Je regarde son ventre, ses cuisses, ses hanches, sa taille. « Tu es tellement parfaite… » Oui, elle est parfaite et non je ne la mérite pas. « Il n'y a plus personne pour nous regarder. Je peux t'embrasser maintenant ? » Tandis qu’elle s’approche pour se coller à moi mes yeux se perdent sur les siens bloquant ma respiration quelques secondes. « Excuse-moi pour tout à l’heure… » Pourquoi est-ce que tu t’excuses, Caleb ? Tu n’as clairement pas à le faire. Tu étais mal-à-l’aise et tu étais dans ton droit de lui faire savoir. « Tu peux toucher la matière, elle est très agréable. » Je déglutis doucement brisant le contact visuel pour regarder quelques instants sa poitrine avant de profiter qu’elle soit dos au miroir pour que je puisse y regarder ses fesses. L’envie de toucher est forte je vous assure, mais on sait tous les deux que les choses pourraient très vite déraper ainsi. « Je croyais que tu m’en voulais ? » Oui, c’est clairement ce que je pensais. Après tout c’est clairement l’impression qu’elle m’a donné en tournant les talons sans un mot quand je lui ai dit ne pas me sentir à l’aise, mais son attitude dans cette cabine sous-entend l’inverse et je suis complètement perdu.

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Message(#)Calex #90 x take off, take off, take off all your clothes EmptyJeu 12 Oct 2023 - 22:05




'CAUSE WE'RE THE MASTERS OF OUR OWN FATE, WE'RE THE CAPTAINS OF OUR OWN SOULS. THERE'S NO WAY FOR US TO COME AWAY 'CAUSE BOY WE'RE GOLD, BOY WE'RE GOLD AND I WAS LIKE TAKE OFF, TAKE OFF, TAKE OFF ALL YOUR CLOTHES
« C’est vrai que tu serais beaucoup trop chiante. » Je l'ai dis, je le pense et je sais qu'il a raison et pourtant c'est bien mon poing qui vient frapper sur son épaule doucement mais pour marquer tout de même le fait que sa réponse n'est pas celle attendue. Oui je serai insupportable et comme je l'ai dis, on le sait tout les deux et pourtant je joue presque la femme outrée par l’honnêteté de son mari. « Je sais que tu as raison, mais tu aurais pu prétendre le contraire, et me dire que non je suis adorable tout le temps. » L'ironie est perceptible dans ma voix parce que je ne peux pas lui dire ça avec sérieux, je ne suis pas adorable, et je le serais encore moins si je venais à être frustrée ou en manque ou en abstinence forcée. On le sait mais l'idée de voir s'il reste sur sa position ou s'il change d'avis pour me faire plaisir m'amuse et je teste un peu. Il me connaît Caleb, et il est bien celui qui peut légitimement dire que je suis chiante parce qu'il vit avec moi, parce qu'il me supporte depuis 4 ans et qu'il a même été jusqu'à m'épouser, alors même s'il sait que je suis chiante, il m'a choisit pour faire sa vie avec lui et c'est sans doute la plus belle preuve d'amour non ? « Le plus important c’est que tu aies aimé cette demande. » Je secoue la tête avec un large sourire et les yeux brillants d'émotions parce que c'est bien ce que je ressens quand je pense à ce moment. De l'émotion et de l'amour. « C'était un moment parfait. » Ce moment à 4 avec nos filles, si petites mais déjà si parfaites. L'émotion de la naissance, le soulagement de les savoir en bonne santé malgré l'arrivée en avance, ce moment ou on a réalisé vraiment qu'on venait de devenir une famille. On était deux quelques heures plus tôt et désormais on était quatre. D'un couple nous étions devenue une famille, notre famille et il me demandait officiellement à ce même moment de devenir sa femme et de porter son nom et celui de nos filles, je repense à ce moment et rien n'aurait pu être mieux, rien n'aurait pu être plus beau finalement que cette première nuit à quatre. Je ne regrette rien, et j'espère juste que le côté irréfléchis de sa demande n'ait pas entraîné des regrets chez lui aussi une fois l'émotion passée. « Non non pas du tout. Je me dis que dans un sens ça a une jolie signification. » Il a raison et si la signification est sans doute pas la même pour nous, au vue de nos histoires différentes, pour moi aussi cette demande, cette soirée, cette nuit avait eu une signification particulière. « Avant ce jour là, je savais que je voulais passer ma vie avec toi, et après cette nuit, je savais que j'allais pouvoir passer ma vie avec toi. » L'envie devenait réelle, concrète, mes peurs de ne pas pouvoir le rendre heureux n'existaient plus à cet instant parce qu'on avait tant d'amour autour de nous, en nous, et tant de sourire, de larmes de joie et de bonheur à partager ensemble que je n'avais plus peur de ne pas être assez. J'avais bien d'autres peurs, mais à ce moment je devenais la mère de ses enfants et sa future femme et ma vie prenait une autre tournure grâce à lui. « Je suis tellement fière d'être ta femme. » Je lui glisse doucement, comme si cette confidence était trop importante pour que quelqu'un d'autre l'entende, ou plutôt que seul lui méritait d'entendre mes mots parce qu'il est le seul pour qui sont destinés mes mots.

Nous avons repris le cour de notre séance shopping, et si c'est pour moi que nous sommes dans ce magasin, c'est bien lui qui est le plus investi et j'aime le voir ainsi. J'aime le regarder sourire, rire, être détendu comme il l'est aujourd'hui. Son sourire est la seule chose que je regarde depuis quelques secondes, il a du mal avec les compliments, du mal même avec l'idée que je puisse aimer son corps, aimer son physique, l'aimer lui pour ce qu'il est et ce qu'il représente mais c'est pourtant le cas. Je sais que jamais il ne pourra s'aimer comme moi je l'aime mais l'entendre me remercier quand je le complimente je vous assure que ça me fait quelque chose. C'est bête sans doute, anodin pour la plupart mais cette réaction je m'y attendais pas et le sourire qui s'affiche sur mes lèvres en l'entendant me remercier prouve que j'aime cette réaction. « Caleb Anderson qui accepte un compliment et qui remercie pour le compliment, il va neiger à Brisbane. » Je plaisante avec lui, je lui souris mais je finis par reprendre mon sérieux. « Je sais que c'est pas simple pour toi, mais t'entendre me remercier sans remettre en question le compliment, ça me touche. » Je lui dis avec douceur et tendresse parce que je veux qu'il voit que je remarque ses efforts et que je les apprécie aussi énormément, parce que c'est pas naturel pour lui, pas simple aussi mais aujourd'hui sa réaction me donne un peu d'espoir. Peut-être qu'un jour il arrivera à s'aimer, un peu. C'est peut-être trop lui en demander pour le moment et on a déjà fait un premier pas. Et si son physique n'est pas souvent un sujet de discussion avec lequel on peut rire et parler aisément, mon physique est un sujet dont il parle bien plus facilement. Mes yeux, ma poitrine, mes fesses, au choix mais c'est souvent sur l'un ou l'autre des sujets et aujourd'hui, le magasin se prête à la discussion autour de ma poitrine et de l'effet de mon corps sur lui. Il rit, il sourit toujours et je crois même deviner qu'il lutte durant un instant pour ne pas perdre son regard dans le décolleté de ma robe. Il ne le fait pas, mais je continue de le provoquer un peu et je vois que l'idée que je me balade sans culotte durant nos vacances fait son petit effet sur lui. « J’aimerais beaucoup, mon amour. » Il me le confirme même et je me note ça mentalement, parce qu'il va falloir que je profite de notre voyage pour tester de nouvelles façons de tenter mon mari. « Je sens que ce voyage va être excitant. » C'est comme un moyen pour moi de lui affirmer que je vais le faire et que je vais m'amuser à le faire d'ailleurs. Il se mordille la lèvre et je le regarde, moi même perturbée et sans doute excitée par ces discussions et ce simple geste de sa part. Je m'emporte un peu et quand je réalise que le lieu n'est pas adapté à ce que j'ai en tête, et que je le mets mal à l'aise je m'arrête prenant le chemin vers la cabine comme il me le conseille avec l'idée en tête que ce lieu nous donnera un peu plus d'intimité. Pas beaucoup mais un peu plus.

J'enfile le premier ensemble et je l'invite à entrer. Il semble un peu ailleurs mais j'essaye d'attirer son attention sur l'essayage, sur le rendu et je le vois regarder mon corps dans son ensemble. Je ne ressens pas une once de gêne de voir son regard glisser sur mon corps, il est bien le seul dont le regard ne me gêne pas et au contraire, son regard a un effet bénéfique sur moi. « Tu es tellement parfaite… » Parfaite je suis loin de l'être, mais je sais qu'à ses yeux, physiquement du moins, je le suis presque. « Et toi tu es tellement amoureux. » Je sais qu'il pense ce qu'il dit, mais je sais que malgré mon physique plutôt avantageux, je ne suis pas parfaite, mais l'être à ses yeux est tout ce qui compte pour moi et je compte bien lui montrer que seul son regard, son avis et sa présence ne compte en venant reprendre la ou je mettais arrêté dans les allées du magasin mais il me regarde de façon presque étrange quand je me colle à lui. « Excuse-moi pour tout à l’heure… » Je fronce les sourcils cherchant à savoir pourquoi il s'excuse. Caleb a le don de s'excuser beaucoup, pour tout, et il s'excuse même de s'excuser quand je lui demande d'arrêter de s'excuser parce qu'il n'a pas besoin de le faire. Mais il a l'air de vraiment penser qu'il doit s'excuser pour tout à l'heure et la seule chose que je vois c'est de ne pas avoir réagir positivement à mes gestes d'affections quelques minutes plus tôt. « Chut, arrêtes de t'excuser, tu n'as pas à le faire et j'ai d'autres idées pour toi là maintenant. » Comme l'idée de le faire toucher le tissu, et plus que le tissu. Comme l'idée de lui permettre de profiter de la vue comme il le fait brièvement par le biais du miroir. Je suis en sous-vêtements devant lui et j'espère qu'il va réussir à ne penser qu'à ça. « Je croyais que tu m’en voulais ? » Je secoue la tête rapidement pour le rassurer parce qu'il semble vraiment en avoir besoin. « Pas du tout non, tu étais mal à l'aise, je vais pas t'en vouloir pour ça, et c'est à moi de m'excuser, j'aurais pas du te mettre dans cette position, je sais que tu aimes pas ce genre de chose. » Je ne voulais que profiter de ce moment, portée par l'élan de la discussion, j'en ai oublié certaines choses mais je ne lui ai apporté rien de bien, juste de la gêne, du malaise et des questionnements ensuite. « Je voulais juste pouvoir t'embrasser sans que tu te sentes mal à l'aise et la cabine semblait l'endroit parfait pour ça. » Semblait/semble encore ? Je ne sais pas, mais j'espère qu'il sera plus réceptif à mes baisers, non pas que j'ai en tête quelque chose de plus torride, je veux juste l'embrasser, juste ça, et je commence par l'embrasser sur la joue doucement pour voir comment il réagit ne voulant pas le mettre de nouveau mal à l'aise. « Tournes toi, je vais essayer un autre ensemble je veux que tu ais la surprise. » Je retire le premier soutien-gorge et je reste sein nu quelques secondes, je profite qu'il soit dos à moi pour venir regarder ses fesses avant de lui dire qu'il peut se retourner. Je suis seins nus et c'est l'air totalement innocent que je lui dis. « Alors tu aimes comme ça ? » Je ris un peu en me mordant les lèvres impatiente de voir comment il réagit à cette petite tentative de taquinerie de ma part.

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Message(#)Calex #90 x take off, take off, take off all your clothes EmptyVen 13 Oct 2023 - 3:29

Calex
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« Je sais que tu as raison, mais tu aurais pu prétendre le contraire, et me dire que non je suis adorable tout le temps. » Son poing qui vient s’écraser sur mon épaule aurait pu me donner envie d’acquiescer et de lui dire qu’elle est effectivement toujours adorable mais on sait tous les deux que ça serait un énorme mensonge. Adorable elle peut l’être. De temps en temps. Notamment pendant les grossesses mais sinon on ne peut pas vraiment dire qu’adorable soit un des premiers adjectifs qui me viennent à l’esprit quand on me parle de ma femme. Ça n’enlève rien à tout l’amour que je ressens pour elle, au contraire. Quand je suis tombé pour la première fois amoureux d’Alex elle venait tout juste d’avoir vingt ans, elle n’exprimait pas ses sentiments et était bien loin de la petite-amie parfaite idéale et adorable dont je rêvais. Mais ça ne m’a pas empêché de l’aimer. Aujourd’hui elle est bien plus démonstrative qu’elle ne l’était avant et je dois bien avouer que c’est un point de sa personnalité que j’aime tout particulièrement. « C'était un moment parfait. » Là-dessus je ne peux qu’être complètement d’accord avec elle. Toute cette journée fut parfaite. Stressante. Vraiment très stressante, parce que même si rien ne montrait que l’accouchement pourrait mal se passer je pense que j’avais toujours beaucoup de mal à y croire alors j’ai gardé dans un coin de ma tête la possibilité plus que probable que quelque chose se passe mal. Malgré la petite frayeur que Lena nous a faite, tout s’est déroulé parfaitement bien et encore aujourd’hui ce jour reste la plus belle journée de ma vie. La première fois que j’ai eu le privilège d’assister à l’accouchement de deux de mes enfants, la première fois que j’ai tenu Lena dans mes bras et que la terre s’est arrêtée de tourner me laissant ainsi la possibilité de profiter de chaque instant, chaque seconde avec ma fille. La première fois que j’ai retrouvé Alex et Lucy. Nous formions une famille. Une vraie. Ce jour-là je suis devenu papa et je pense aujourd’hui qu’il s’agit bel et bien du rôle de ma vie. Celui pour lequel je suis sur Terre. Prendre soin de nos enfants, les aimer les chérir et me battre afin de pouvoir leur offrir tout ce dont ils auront besoin. « Avant ce jour là, je savais que je voulais passer ma vie avec toi, et après cette nuit, je savais que j'allais pouvoir passer ma vie avec toi. » Je lui souris doucement. « Je suis tellement fière d'être ta femme. » « Je t’aime. » Et si encore à l’heure d’aujourd’hui je ne suis pas de ces personnes qui expriment facilement ses sentiments à autrui, Alex est bien la seule personne face à qui je n’ai aucun problème pour me montrer vulnérable et lui dire à quel point je l’aime. Elle a même droit à un doux baiser sur la joue mais alors que nous nous trouvons dans un lieu public je me contente de ce léger baiser. « Caleb Anderson qui accepte un compliment et qui remercie pour le compliment, il va neiger à Brisbane. » Si cette phrase semble l’amuser il n’en va pas de même pour moi et c’est en levant les yeux au ciel que je réagis dans un premier temps. Je m’apprête même à parler mais elle est plus rapide que moi. « Je sais que c'est pas simple pour toi, mais t'entendre me remercier sans remettre en question le compliment, ça me touche. » Je sais qu’elle est sincèrement heureuse et touchée de ne pas me voir repousser et renier son compliment mais j’aurais légèrement préféré qu’elle garde cette première phrase pour elle. « Laisse tomber, t’as tout gâché. » C’est sans une once de méchanceté ni même de reproche que je lui dis cela. Une petite grimace se dessine sur mon visage pour appuyer mon propos. Un simple constat qui me semble purement véridique. Du moins de mon point de vue. Elle le dit elle-même ce n’est pas facile pour moi alors je ne suis pas sûr qu’il était réellement utile de le souligner d’un ton humoristique. Je fais des efforts. « Je sens que ce voyage va être excitant. » Le sourire qui s’est logé sur mes lippes parle pour moi et Alex me connait assez pour en comprendre la signification. « J’ai hâte. » Des simples mots murmurés au creux de son oreille.

Vient le moment tant attendu ; les essayages. Ma partie préférée pour ce genre de shopping mais malheureusement je ne parviens pas à l’apprécier autant qu’à l’accoutumée parce que je suis tout simplement en train de me torturer l’esprit avec ce qu’il vient de se passer. J’ai fait part de mon malaise à ma femme et elle y a répondu en me tournant le dos pour partir vers les cabines d’essayages sans un mot ni même un regard pour moi, et j’avoue ne pas vraiment comprendre ce que j’ai fait de travers. « Et toi tu es tellement amoureux. » Une constatation qui m’arrache un petit rire alors que mes doigts passent dans mes cheveux. « Chut, arrêtes de t'excuser, tu n'as pas à le faire et j'ai d'autres idées pour toi là maintenant. » J’avoue ne pas vraiment comprendre son comportement. Il y a quelques minutes elle semblait tellement agacée qu’elle est partie sans un mot et maintenant elle me donnerait presque l’impression d’avoir tout oublié. Il n’est pas rare qu’Alex m’envoie des signaux qui vont en totale contradiction avec l’un et l’autre mais aujourd’hui elle me perd complètement. « Pas du tout non, tu étais mal à l'aise, je vais pas t'en vouloir pour ça, et c'est à moi de m'excuser, j'aurais pas du te mettre dans cette position, je sais que tu aimes pas ce genre de chose. » Je pourrais juste abandonner et ne même pas essayer de comprendre ce qu’il vient de se passer, mais je n’aime pas être dans le flou et je ressens vraiment l’envie et le besoin de comprendre ce qui a changé entre maintenant et le moment où elle a tourné les talons pour s’éloigner sans un mot. « Pourquoi tu es partie comme ça alors ? » que je lui demande sincèrement confus par tout ça. Je me prends sûrement un peu trop la tête. Il est même possible que mon anxiété ait bien trop analysé cette scène. « Non rien, laisse tomber…je suis désolé. » Désolé de me prendre trop la tête encore une fois. Mais j’ai tendance à beaucoup réfléchir. À trop réfléchir même, et Alex en a sûrement bien conscience. « Je voulais juste pouvoir t'embrasser sans que tu te sentes mal à l'aise et la cabine semblait l'endroit parfait pour ça. » Ses lèvres qui se posent avec douceur sur ma joue aident mon anxiété à s’envoler et c’est avec un grand sourire que je commence par réagir. « Je ne vois pas de caméras ou des yeux dans notre direction alors ça devrait aller oui. » Pourtant on ne peut pas dire que dans un tout autre registre bien plus intime une caméra braquée sur vous t’ait dérangée. Je commence enfin à me détendre, laissant doucement mes épaules relâcher la pression de ces dernières minutes. « Tournes toi, je vais essayer un autre ensemble je veux que tu ais la surprise. » Ce sourire ne quitte pas mes lèvres et je lui obéis en me mettant dos à elle, comme demandait. « Je pense que je vais aimer cette surprise. » et je me retourne simplement quand elle m’en donne l’autorisation. « Alors tu aimes comme ça ? » Je ne remarque même pas si c’est une autre culotte qu’elle porte et la seule chose que je vois et qui attire mon attention c’est bel et bien sa poitrine nue juste devant moi. Poitrine que je regarde sans un mot durant de longues secondes. Peut-être un peu trop longtemps, d’ailleurs. Pourtant croyez-moi, sa poitrine je la connais par cœur mais jamais je ne pourrais me lasser de la regarder. « Tu as la plus belle poitrine que je n’ai jamais vue de toute ma vie. » Il me semble lui avoir déjà dit ça. Une ou deux fois. Peut-être même un peu plus mais c’est pourtant cruellement sincère. Je parviens enfin à relever les yeux vers les siens. « Tu veux me tuer, c’est ça ? » que je lui demande un sourcil levé. « Je pense qu’il faudrait que je t’attende juste devant sinon je vais finir par être excité et…on a plus vingt ans. Les cabines d’essayages c’est le passé pour nous. Pas vrai ? » On sait tous les deux que ça ne serait clairement pas raisonnable mais j’ai presque besoin qu’elle me confirme être sur la même longueur d’onde que moi. Ou pas.

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Message(#)Calex #90 x take off, take off, take off all your clothes EmptyLun 16 Oct 2023 - 5:07




'CAUSE WE'RE THE MASTERS OF OUR OWN FATE, WE'RE THE CAPTAINS OF OUR OWN SOULS. THERE'S NO WAY FOR US TO COME AWAY 'CAUSE BOY WE'RE GOLD, BOY WE'RE GOLD AND I WAS LIKE TAKE OFF, TAKE OFF, TAKE OFF ALL YOUR CLOTHES
Il y a cinq ans, je n'aurais jamais pu parler d'enfant, d'accouchement, ni même d'amour avec un tel sourire sur les lèvres. C'était même tout l'inverse. Je ne pouvais pas en parler, je ne pouvais pas supporter les émotions et les souvenirs liés à ces sujets, mais aujourd'hui je souris. Je suis heureuse grâce à Caleb, grâce à cette vie que l'on construit ensemble et ces moments que l'on a vécu ensemble. La naissance de nos filles, nos fiançailles, notre mariage, la naissance de Mael, notre vie a été riche ces dernières années. Riche en émotions, riche en expérience et surtout riche en amour. « Je t’aime. » Je n'en doute pas, je le sais mais l'entendre me le dire me fait toujours un petit quelque chose. C'est pourtant pas des mots qu'il ne me dit jamais, au contraire, mais il m'aime et si j'ai pu parfois me demander pourquoi c'était moi qu'il aimait et surtout comment il pouvait encore m'aimer après ce que je lui ai fais, aujourd'hui, je sais que je suis celle qu'il aime et celle avec qui il a choisit de faire le reste de sa vie. Je profite de la proximité de nos visages pour lui murmurer à mon tour ces quelques mots. je t'aime bébé. Je l'aime tellement et j'espère pouvoir lui montrer assez pour qu'il n'en doute jamais. Et s'il y a autre chose dont j'aimerais qu'il ne doute pas, c'est de lui, de son physique, de l'effet qu'il a sur moi, je sais que ce n'est pas simple pour lui d'accepter les compliments mais aujourd'hui il semble avoir apprécié mon compliment, ce qui est rare, très rare et je le signale en riant un peu avant de lui dire à quel point j'aime cette réaction de sa part. « Laisse tomber, t’as tout gâché. » Je grimace en le regardant et mes sourcils se froncent et je finis par baisser la tête en comprenant mon erreur. « Désolée, j'ai encore perdu une occasion de me taire. » Rien de bien surprenant en soit, je parle beaucoup trop, sans réfléchir et je suis maladroite, autant de raison qui devraient me faire comprendre que je devrais me taire plus souvent, mais je ne le fais pas assez et mes réflexions blessent Caleb et viennent tout gâcher comme il le dit lui même. Et c'est dommage parce que j'étais vraiment touchée par sa réaction, mais faut croire que j'ai tout gâché encore. Enfin gâché ce compliment du moins, pour le reste la discussion fait le travail pour faire oublier ce moment et permettre de continuer à profiter de cette virée shopping à deux. Nous avons un voyage de prévu, et c'est sur ça que notre discussion se porte. Le voyage pour notre anniversaire de mariage, un moment à deux et au vue de ce que nous venons de se dire, oui le voyage s'annonce excitant et si lui me dire avoir hâte, j'ai moi aussi grandement hâte. « Réserves une chambre d'hôtel bien isolée. » Et c'est avec un clin d’œil que je lui dis ces mots, il devrait comprendre le sens de ma phrase sans vraiment de difficulté mais c'est aussi pour ça que les voyages à deux sans enfants sont aussi excitants, la possibilité de profiter des chambres d’hôtel.

C'est dans la cabine que nous finissons par nous rendre. C'est la suite logique de notre session shopping, après la sélection d'article, vient les essayages et j'ai hâte de pouvoir voir son regard et ses réactions. J'ai hâte aussi d'être seule avec lui derrière les rideaux de la cabine. Mais il semble avoir du mal à partager mon enthousiasme, et je comprends ses raisons quand il s'excuse pour sa réaction, des excuses que je ne comprends pas vraiment puisque je ne lui en voulais pas du tout, mais faut croire que mon attitude lui a fait penser qu'il devait s'excuser. J'essaye de le rassurer, de m'excuser moi aussi de l'avoir mit mal à l'aise avec mon attitude un peu trop entreprenant, mais il semble avoir encore du mal à comprendre mon attitude puisqu'il me questionne à nouveau. « Pourquoi tu es partie comme ça alors ? » Même après lui avoir dit que j'avais d'autres idées pour lui maintenant, même en étant en sous-vêtements devant lui, je n'arrive pas à totalement lui faire oublier ce moment, il semble douter, il semble réfléchir à ce qu'il s'est passé et il a besoin de réponses. Je vais pour lui répondre, mais il me devance. « Non rien, laisse tomber…je suis désolé. » Il s'excuse encore et encore une fois il n'a pas à le faire. Et je commence par l'embrasser avant de lui répondre. « Arrêtes de t'excuser chéri, tu n'as vraiment rien fais de mal. Je suis partie parce que je ne voulais pas te mettre plus mal à l'aise mais je t'assure que je ne t'en veux pas du tout, je veux juste profiter de cette après-midi avec toi. Tu es rassuré ? » Je ne sais pas si ça va suffire pour lui montrer que je ne lui en veux pas, que tout va bien et que je ne lui tiens pas rigueur de sa réaction. Il ne m'a pas repoussé, il n'a juste pas été réactif à cause de sa gêne mais je le connais assez pour comprendre sa réaction et ne pas lui en vouloir. Et pour preuve, je l'embrasse à nouveau, lui prouvant que sa réaction n'a rien changé à mes envies, que je compte bien profiter de lui et de l'intimité de cette cabine d'essayage. Et à croire son sourire, il a l'air cette fois d'être plutôt réactif à ce baiser. « Je ne vois pas de caméras ou des yeux dans notre direction alors ça devrait aller oui. » Je lui souris, et avec ces mots, je profite pour aller un peu plus loin dans mes baisers et c'est dans son cou que mes lèvres se posent quelques instants. « Ne parles pas de caméra quand je t'embrasse comme ça, ça me donne des idées. » Je lève les sourcils en me pinçant doucement la lèvre et en souriant. Je ne parle pas de caméra de surveillance ici et il devrait comprendre ce qui me passe par la tête. Et c'est bien avec ce genre d'idée en tête que je pense à cette petite surprise que je lui réserve. « Je pense que je vais aimer cette surprise. » Je souris un peu. « J'espère en tout cas j'aime cette vue moi. » Je fais un pas vers lui juste pour venir frapper ses fesses mises en valeur par ce pantalon que j'aime tant. Et je parle pas du pantalon quand je dis que j'aime quelque chose chez lui. Je lui donne l'autorisation de se retourner une fois que je suis seins nus et je le regarde, juste pour m'amuser de sa réaction. Je reste silencieuse devant lui un sourire aux lèvres en le voyant bloquer sur cette partie de mon corps. « Tu as la plus belle poitrine que je n’ai jamais vue de toute ma vie. » Je lâche un petit rire, je sais qu'il le pense sans doute, mais je trouve ce compliment aussi flatteur qu'amusant finalement. « Je sais pas combien tu en as vu mais je suis presque certaine que tu n'es pas objectif là, même si je vois bien que tu les aimes beaucoup ces deux là. » Ces deux là ce sont mes seins bien-sur qu'il a du mal à ne pas regarder, mais faut dire que c'est le but de la manœuvre, lui permettre d'en profiter. « Tu veux me tuer, c’est ça ? » Je secoue la tête de gauche à droite avec entrain. « Absolument pas, j'ai encore besoin de toi cher mari. Je voulais te récompenser d'être un si bon mari et de m'accompagner dans les magasins. » Il n'a pas vraiment besoin d'être récompensé pour la deuxième chose puisque c'est aussi un plaisir pour lui d'être dans ce magasin précisément mais c'est juste une manière pour moi d'utiliser mes atouts et de lui rappeler pourquoi il aime tant mon corps. « Je pense qu’il faudrait que je t’attende juste devant sinon je vais finir par être excité et…on a plus vingt ans. Les cabines d’essayages c’est le passé pour nous. Pas vrai ? » Je souris encore, presque innocemment. « Je comprends pas pourquoi tu serais excité ? J'ai rien fais. » Dis celle qui est seins nus devant lui. « J'ai rien fais encore. » Que je rajoute en tenant son haut et en l'attirant vers moi pour me coller à lui. « C'est vrai qu'on a plus vingt ans et qu'on est un peu plus mature, mais on peut s'amuser un peu non ? » Je n'ai pas en tête l'idée de faire des cochonneries dans cette cabine, mais ça ne veut pas dire que je n'ai pas en tête de l'exciter un peu. « Il y a un hôtel juste à côté si tu finis par être excité. » C'est à la fois une information, à la fois une proposition pour lui montrer que je ne vais pas lui demander de faire quelque chose ici s'il n'est pas à l'aise avec cette idée. Mais c'est aussi un moyen pour lui montrer ce que j'ai en tête et ce ne sont clairement pas des pensées catholiques auxquelles je pense alors que je le fais s’asseoir sur le petit banc dans la cabine. « Regardes la séance d'essayage et penses à tout ce que tu pourras faire avec ma poitrine après. » Il a dit qu'il n'avait jamais vu une poitrine aussi belle que la mienne et j'espère juste qu'il pourra se rincer l’œil et qu'il finira par avoir envie de plus que de simplement regarder.


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Message(#)Calex #90 x take off, take off, take off all your clothes EmptyMar 17 Oct 2023 - 6:39

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'Cause we're the masters of our own fate, we're the captains of our own souls. There's no way for us to come away 'cause boy we're gold, boy we're gold and I was like take off, take off, take off all your clothes

« Désolée, j'ai encore perdu une occasion de me taire. » Sans perdre une seule seconde je secoue la tête de gauche à droite réalisant ma maladresse. En aucun cas je voulais lui reprocher quoique ce soit, je sais qu’elle ne pensait pas à mal. « Non non, tu n’as pas à t’excuser. » Je la rassure, ou du moins j’essaie de le faire. « Réserves une chambre d'hôtel bien isolée. » Cette suggestion accompagnée d’un clin d’œil a le mérite de me faire rire mais également à me pousser vers une courte réflexion. Est-ce qu’il est vraiment possible de faire ce genre de demander lorsque l’on réserve une chambre d’hôtel ? Je ne peux m’empêcher de me mettre à la place de la pauvre personne qui prendra la réservation qui devrait sans aucun doute comprendre la raison pour laquelle je demande une chambre à l’écart des autres. Mais en même temps, l’idée que l’on soit isolés des autres reste très intéressante. Je me note la possibilité de commander tout simplement leur suite ou du moins, l’une de leur meilleure suite afin de pouvoir profiter de ma femme comme j’en ai envie.

L’essayage des sous-vêtements est sans aucun doute la partie que je préfère de cette session shopping mais c’est toujours la tête à moitié présente alors que je me trouve dans la cabine face à ma femme presque complètement nue. « Arrêtes de t'excuser chéri, tu n'as vraiment rien fais de mal. Je suis partie parce que je ne voulais pas te mettre plus mal à l'aise mais je t'assure que je ne t'en veux pas du tout, je veux juste profiter de cette après-midi avec toi. Tu es rassuré ? » Rassuré, je pense l’être. Au moins un petit peu. En revanche, je ne peux m’empêcher de continuer à réfléchir et décortiquer la situation en me posant encore tout un tas de questions. Mais c’est moi. Je suis comme ça. Je réfléchis beaucoup trop. Tout le temps et je pense que ça fait partie des choses qui viennent constamment nourrir mes angoisses. Je commence tout d’abord par hocher la tête de haut en bas lui signifiant que oui, je suis effectivement soulagé. « Désolé. » mais une grimace vient rapidement prendre place sur mon visage, elle m’a demandé d’arrêter de m’excuser et la première chose que je trouve à faire…c’est de m’excuser. Vous trouverez sûrement pathétique d’apprendre que je suis à deux doigts de m’excuser à nouveau parce que je me suis excusé alors qu’elle m’a demandé d’arrêter de le faire. « Ne parles pas de caméra quand je t'embrasse comme ça, ça me donne des idées. » Et si ses lèvres dans mon cou me faisaient déjà frissonner je réagis à ses mots en souriant, plongeant mes yeux dans les siens. « Pourquoi, tu veux qu’on filme une nouvelle sextape ? » Une question que je lui pose en arquant un sourcil attendant patiemment sa réponse. Si celle-ci est positive, on le fera, et si non, on devra se contenter de celle qui est déjà bien rangée en sécurité dans notre chambre. En attendant c’est dos à ma femme que je me retrouve pour une surprise. « J'espère en tout cas j'aime cette vue moi. » Sa main qui vient frapper mes fesses m’explique quelle est la vue qui semble lui plaire particulièrement ce qui n’est pas pour me déplaire. « Il faudrait que je m’en rachète. » Des pantelons bien évidemment. Mais peu envieux de m’éterniser sur le sujet parce qu’Alex m’autorise à me retourner et la vue que j’aie sous les yeux est bien plus agréable et appréciable que celle dont elle me parlait quelques secondes auparavant. « Je sais pas combien tu en as vu mais je suis presque certaine que tu n'es pas objectif là, même si je vois bien que tu les aimes beaucoup ces deux là. » « Oh que si je suis objectif. Regarde-les… » Toujours le regard principalement sur sa poitrine c‘est en plissant légèrement les yeux et en me pinçant les lèvres que je la regarde. Je ne e me souviens pas de toutes les poitrines que j’ai pu voir mais je ne doute pas que la sienne soit de loin la plus belle. « Absolument pas, j'ai encore besoin de toi cher mari. Je voulais te récompenser d'être un si bon mari et de m'accompagner dans les magasins. » Bêtement, je ris légèrement et parviens enfin à remonter les yeux vers les siens. « Je comprends pas pourquoi tu serais excité ? J'ai rien fais. J'ai rien fais encore. » Sans un mot je la laisse me tirer vers elle afin de coller sa poitrine nue contre mon torse. Je suis perturbé et clairement pas indifférent et je suis sûr qu’elle peut aisément le voir. « C'est vrai qu'on a plus vingt ans et qu'on est un peu plus mature, mais on peut s'amuser un peu non ? » Mon regard se perd complètement dans le sien, toujours complètement perturbé et hypnotisé par ses yeux, ses mots le ton de sa voix je me pince les lèvres. « Il y a un hôtel juste à côté si tu finis par être excité. » Est-elle en train de me proposer que l’on réserve une chambre d’hôtel pour un petit coup rapide juste après avoir payé ses nouveaux sous-vêtements ? Il y a des chances. Peut-être, oui. Ou bien était-elle seulement en train de jouer avec moi n’ayant aucune idée précise en tête. Connaissant Alex c’est également possible. « Tu es beaucoup trop douée à ce petit jeu. » Après un mutisme de quelques minutes, le son de ma voix se fait enfin entendre à nouveau et c’est encore une fois pour la complimenter. Je la laisse me guider sur le petit banc de la cabine d’essayage toujours en la fixant. « Regardes la séance d'essayage et penses à tout ce que tu pourras faire avec ma poitrine après. » Un grand sourire s’étire sur mes lèvres. « Crois-moi mon amour, j’ai déjà énormément de choses en tête pour toi. Et pas seulement pour ta poitrine. » Oh non, pour son corps entier. Corps dont je ne manque pas une miette. Quand elle se tourne dos à moi pour récupérer un nouvel ensemble à essayer ce sont sur ses fesses que je me concentre de longues secondes mais je me rends bien compte que ce petit jeu entre nous ne laisse ni mon corps ni mes idées indifférentes. Je me racle la gorge en en venant passer une main dans mes cheveux. « Cet ensemble est incroyable sur toi aussi. » mes yeux sont toujours pétillants et débordant d’amour et d’admiration (et de désir) pour ma femme. « Tu en as encore beaucoup à essayer ? » pas que je ne passe pas un bon moment bien au contraire mais elle savait très bien qu’en me demandant de rester avec elle en cabine pendant ses essayages, la vue de son corps ne me laisserait pas indifférent.

© nightgaunt


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