'CAUSE WE'RE THE MASTERS OF OUR OWN FATE, WE'RE THE CAPTAINS OF OUR OWN SOULS. THERE'S NO WAY FOR US TO COME AWAY 'CAUSE BOY WE'RE GOLD, BOY WE'RE GOLD AND I WAS LIKE TAKE OFF, TAKE OFF, TAKE OFF ALL YOUR CLOTHES
« Désolé. » Je souris légèrement en l'entendant s'excuser à nouveau alors que je viens justement de lui dire d'arrêter de s'excuser. Mais c'est Caleb et ça n'a rien d'étonnant de le voir réagir de la sorte et c'est avec un sourire affectueux que je le regarde, sans un mot, ne voulant pas qu'il se sente à nouveau obligé de s'excuser. Je sais qu'il est comme ça, je sais aussi qu'il réfléchit trop, que ses incertitudes peuvent parfois prendre le dessus sur la raison et le faire douter mais aujourd'hui, j'espère surtout réussir à le faire profiter de cette après midi à deux. Et c'est bien dans cette optique que je l'ai tiré avec moi dans la cabine d'essayage. Pour pouvoir profiter de sa présence, pour pouvoir l'embrasser sans être dérangés par les regards extérieurs et c'est bien ce que je fais. « Pourquoi, tu veux qu’on filme une nouvelle sextape ? » Je suis en sous-vêtements, et sa proposition me fait sourire. Je me pince les lèvres en le regardant. Je l'observe, je cherche à découvrir si c'est une proposition ou juste une question en lien avec mes propos sans arrière pensée derrière de sa part. « Peut-être bien. » Je lève les sourcils, je le regarde, je jauge ses réactions avant de me dévoiler un peu plus. « Il y avait quelques problèmes de cadrage sur la première et on pourrait tenter d'autres choses cette fois. » Je ne cache pas que cette idée m'enchante et m'inspire énormément alors que je commence vraiment à songer très sérieusement à cette idée. Nous avons une sexualité épanouie, du moins de mon côté c'est le cas et j'espère pouvoir le combler aussi. Nous sommes assez ouverts et libres à de nouvelles expériences et si celle là ne serait pas réellement une nouvelle expérience, c'est pas quelque chose que nous avons l'habitude de faire et c'est aussi ce qui rends la chose aussi intéressante et excitante. Ces pensées, la situation dans laquelle nous nous trouvons et mes yeux qui matent son corps sans retenu donnent une situation excitante. « Il faudrait que je m’en rachète. » Il parle des pantalons et si j'aime son style de vêtements et ce pantalon ce n'est pas réellement ce que j'appréciais le plus. « Si tu en as plus, tu peux aussi vivre en boxer, je dis pas non moi. » Bon ça serait bien plus difficile pour lui de sortir de chez nous sans pantalon mais c'est un détail non ? Et si je lui propose de vivre en boxer, moi je me présente face à lui seins nus pour lui faire une surprise. « Oh que si je suis objectif. Regarde-les… » A nouveau je souris et je ris même légèrement parce qu'il a ce regard fixé sur ma poitrine quand il me demande de regarder mes seins pour confirmer que ce sont bien les plus beaux. Moi, je connais Caleb, je connais la fascination et le désir que ressens Caleb au sujet de ma poitrine, et je trouve ça aussi flatteur qu'amusant finalement. C'est un homme et si Caleb est différent de beaucoup d'hommes que j'ai pu côtoyer, sur ce point là, il est clairement pas différent des autres. « Je vais te laisser seul juge bébé, tu es bien mieux placé que moi pour donner un avis et tant qu'ils te plaisent c'est tout ce qui compte. » Et j'ai la chance d'avoir un mari qui aime mon corps, même différent, même changeant, même avec des défauts, il aime mon corps et ma poitrine et je peux le voir avec la manière avec laquelle il me regarde chaque jour et aujourd'hui dans cette cabine.
Je sais l'effet que j'ai sur lui et j'en joue. Parfois de manière pas très loyal mais je ne pense pas qu'il s'en plaigne, du moins à croire ses réactions, il semble pas dérangé par ce petit jeu, bien au contraire. Je suis nue et j'ai des atouts pour provoquer chez lui une réaction. Il reste silencieux mais si les mots ne sortent pas, je vois bien à son regard, à son attitude qu'il est réceptif à ce que je fais pour le chauffer un peu. Parce que c'est bien ça l'objectif non ? Le séduire, l'exciter, lui donner envie tout en lui permettant de profiter d'une partie de mon corps qu'il apprécie. « Tu es beaucoup trop douée à ce petit jeu. » Voilà qu'un grand sourire se dessine sur mon visage, fière de l'entendre me complimenter et avouer que je ne le laisse pas indifférent, enfin en quelque sorte. « Et encore, tu n'as encore rien vu chéri. » Est-ce que je lui promets plus ? Est-ce que j'essaye de faire marcher son imagination ? Peut-être un peu. Mais il a déjà tout vu de moi, et en me tenant seins nus devant lui on peut pas dire que je cache beaucoup de choses. Mais, j'ai d'autres atouts aussi, et pas uniquement des atouts physiques, je sais lui plaire, je sais comment rendre mon mari plus qu'heureux. « Mais tu es aussi beaucoup trop facile à faire craquer à ce petit jeu, tu es faible face à des seins. » C'est en venant embrasser sa joue, ses lèvres et sa mâchoire que je lui dis ces mots, continuant ce petit jeu avec lui. « Crois-moi mon amour, j’ai déjà énormément de choses en tête pour toi. Et pas seulement pour ta poitrine. » Je ris, non pas que sa réponse me fasse réellement rire, mais plutôt parce que je m'attendais pas vraiment à autant d’honnêteté dans un tel lieu mais c'est pourtant finalement la suite logique de ce jeu. « Ah oui ? Je suis curieuse, qu'est-ce que tu as en tête pour moi ? » J'ai bien des idées moi aussi, beaucoup d'idées mais je veux savoir à quoi il pense, et de quoi il a envie aussi parce que ce qui est sur c'est que cette session de shopping est en train de véritablement devenir des préliminaires pour la suite de notre après-midi. « Cet ensemble est incroyable sur toi aussi. » Mon regard passe du miroir dans lequel je regarde le rendu de cet ensemble à lui. Je le vois m'observer toujours avec ce même regard, toujours avec ses yeux qui transpirent d'amour et sans doute un peu d'excitation. Je souris en le voyant assit sur ce petit tabouret et j'en viens à me demander comment il gère cette session d'essayage. Je me penche vers lui, lui donnant une vue encore différente sur ma poitrine et je viens poser ma main sur sa cuisse, ou plutôt très près de ses deux cuisses et je souris largement en levant les yeux vers lui. « Tu as l'air d'avoir un peu chaud ? Tu te sens bien ? » Je ris un peu comme pour montrer que mes questions ne sont pas de vraies questions, mais que je cherche à savoir comment il gère les réactions de son corps et je m'amuse aussi de voir l'effet que je provoque chez lui, non sans un petit air fier. « Tu en as encore beaucoup à essayer ? » Je lève les épaules, je le regarde toujours en souriant parce que je devine le sens de sa question. Dans pleins d'autres moments, ou magasins, sa question aurait été plutôt parce qu'il en avait marre ou qu'il trouvait le temps long, mais c'est pas le cas ici. « Ça dépends, tu veux que j'en essaye encore beaucoup le temps que tu gères l'effet que je te fais ou tu veux qu'on s'en aille pour profiter avant que tu n'exploses ton pantalon. » Les mots sont murmurés à son oreille et avant qu'il ne puisse me répondre, je l'embrasse avec beaucoup de passion et d'envie venant même m'asseoir sur ses genoux. « Tu peux m'aider à retirer le soutien-gorge, je crois qu'il est bloqué et faut aussi que tu vois s'il est pratique à enlever, c'est souvent toi qui me déshabille. » Je joue toujours avec lui, je lui propose maintenant de toucher à ce corps qui lui fait de l'effet. « Allez je t'ai assez torturé, je vais tout prendre, et on va aller profiter de cette heure et demi qu'il nous reste pour mettre en pratique toutes ces idées qui t'excitent tant. » Je l'embrasse dans le cou, je l'embrasse sur la joue, je l'embrasse sur les lèvres venant même jouer avec sa langue et je mets fin à ce baiser. « Tu te charges de réserver la chambre d’hôtel ? Ou tu connais un autre endroit ou on pourrait laisser court à nos envies ? » Peut-être qu'il a d'autres idées, d'autres envies plus précises, je lui laisse le choix tout ce que je sais c'est que j'ai envie de passer un temps avec lui, et que j'ai envie de lui aussi.
'Cause we're the masters of our own fate, we're the captains of our own souls. There's no way for us to come away 'cause boy we're gold, boy we're gold and I was like take off, take off, take off all your clothes
tw : propos sexuels
« Peut-être bien. Il y avait quelques problèmes de cadrage sur la première et on pourrait tenter d'autres choses cette fois. » Pendant un instant je me demande si les problèmes de cadrage prétextés sont véridiques ou si c’est une simple raison inventée que nous nous filmions de nouveau. L’idée n’est pas déplaisante, raison pour laquelle celle-ci me fait légèrement sourire me donnant presque un air rêveur sur le visage. Peut-être que c’est vrai, peut-être que je le suis un peu mais si je ne lui réponds pas tout de suite avec des mots je suis certain que le sourire sur mes lippes le fait pour moi et qu’elle comprend très bien ce que j’ai en tête. Si elle veut une nouvelle sextape alors je compte bien accéder à sa demande. Pas maintenant, pas aujourd’hui mais dans les jours ou semaines qui viennent. « Vos désirs sont des ordres, Madame Anderson. » les mots sont bien évidemment murmurés à son oreille, lui faisant alors comprendre que cette idée ne me déplait pas non plus et que je suis ouvert à cette proposition. « Si tu en as plus, tu peux aussi vivre en boxer, je dis pas non moi. » Peu étonné de cette information, je lâche tout de même un rire clairement amusé par l’idée qu’Alex puisse vouloir me voir vivre en boxer pour le restant de ma vie. « Quand on est tous les deux ça ne me dérange pas mais sinon pour le reste du temps... » Elle ne peut pas voir la grimace qui prend place sur mon visage parce que je suis dos à elle mais quand je me retourne pour voir sa surprise, la grimace disparait très rapidement pour laisser place à des yeux brillants de désir. « Je vais te laisser seul juge bébé, tu es bien mieux placé que moi pour donner un avis et tant qu'ils te plaisent c'est tout ce qui compte. » Être nommé comme étant le seul juge du corps de déesse de ma femme me convient parfaitement et c’est avec un simple sourire que je réagis. « Et encore, tu n'as encore rien vu chéri. » Oh je le sais bien, malheureusement je la connais assez bien pour savoir exactement de quoi est-elle capable et ce n’est clairement pas quelque chose dont je me plains. « Mais tu es aussi beaucoup trop facile à faire craquer à ce petit jeu, tu es faible face à des seins. » Encore une fois, elle marque un point. Il est vrai que je suis particulièrement sensible non seulement au charme de ma femme mais aussi à son corps plus que parfait. Elle le sait. Elle l’a très vite compris et ne se gêne pas pour en jouer encore et encore. Je ne m’en plains pas à vrai dire, je suis faible face à ma femme, je le sais et je n’ai aucun mal à l’avouer et le dire à voix haute. « En même temps, difficile de ne pas l’être. Regarde-toi. » Et cette fois je ne parle pas seulement de ses seins mais de l’entièreté de son corps. « Ah oui ? Je suis curieuse, qu'est-ce que tu as en tête pour moi ? » Ce petit jeu entre nous continu et s’il n’est pas rare que l’on se tourne autour il est presque devenu exceptionnel que nous le fassions dans un lieu public. Mes yeux bloqués dans les siens c’est tout en me mordillant légèrement la lèvre inférieure que je la regarde ainsi durant de longues secondes avant d’approcher de nouveau mes lèvres de ses oreilles pour lui murmurer quelques mots. « Pour un petit amuse-bouche ma tête entre tes cuisses, par exemple. » Le jeu de mot est volontaire et je sais parfaitement que cette petite information ne devrait pas la laisser indifférente. Mais si je sais comment la perturber, comme je l’ai souligné un peu plus tôt Alex reste bien plus douée que moi à ce sujet-là et elle me le prouve encore une fois en changeant de sous-vêtements sous mes yeux. Je ne perds pas une miette du spectacle magnifique qu’elle m’offre et l’effet de cette vue commence très sérieusement à ne pas me laisser indifférent et si j’en crois son sourire, elle le voit ou du moins elle l’a compris. Sa position m’offre une toute nouvelle vue sur sa poitrine et bien évidemment que je m’y perds quelques secondes. « Tu as l'air d'avoir un peu chaud ? Tu te sens bien ? » Je déglutis et relève les yeux vers son visage. « Il fait chaud ici, non ? » Non Caleb, tu es juste excité. C’est pour cela que tu commences à avoir chaud. J’ouvre un bouton de ma chemise. « Ça dépends, tu veux que j'en essaye encore beaucoup le temps que tu gères l'effet que je te fais ou tu veux qu'on s'en aille pour profiter avant que tu n'exploses ton pantalon. » Je ne sais pas si elle attendait une vraie réponse de ma part mais sa deuxième proposition m’arrache un rire. Le baiser qu’elle initie est agréable mais ce n’est pas ainsi qu’elle va pouvoir m’aider à faire redescendre l’excitation, – dans tous les sens du terme – c’est pour cela que je ne prolonge pas ce baiser. « Tu peux m'aider à retirer le soutien-gorge, je crois qu'il est bloqué et faut aussi que tu vois s'il est pratique à enlever, c'est souvent toi qui me déshabille. » Elle me fait sourire, elle me fait rire et je la déteste d’être aussi bonne pour jouer avec moi. Sans un mot je dégrafe son soutien-gorge et mes mains sur ses hanches la poussent à se relever. « Allez je t'ai assez torturé, je vais tout prendre, et on va aller profiter de cette heure et demi qu'il nous reste pour mettre en pratique toutes ces idées qui t'excitent tant. Tu te charges de réserver la chambre d’hôtel ? Ou tu connais un autre endroit ou on pourrait laisser court à nos envies ? » Je réfléchis, mais je sais que nous ne serons pas seul à l’Interlude et il est hors de question de faire quoique ce soit dans mon bureau si nous ne sommes pas seuls dans le restaurant. Je soupire, venant passer mes deux mains dans mes cheveux. « Il va d’abord falloir que tu me laisses un petit moment pour… » Je désigne d’un signe de la main mon érection débutante, et puis juste après bien évidemment que je m’occuperai de la chambre d’hôtel.
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tw : propos sexuels
« Vos désirs sont des ordres, Madame Anderson. » Je me pince les lèvres en entendant sa réponse et le sourire qui s'affiche sur mon visage prouve comme j'aime cette réponse et avec cette réponse c'est surtout l'idée qu'elle annonce qui me fait cet effet. « J'aime quand tu me parles comme ça. Ca me fait de l'effet. » C'est même pas pour être gentille avec lui que je lui dis cela, c'est vraiment que l'entendre me dire de telles chose me fait de l'effet. « On pourrait faire ça durant notre voyage. » J'ai cette idée en tête désormais et bon courage à lui pour me la faire disparaître. L'idée est lancée, ce n'est pas aujourd'hui que nous allons nous lancer dans une sextape, mais j'ai bien l'intention pourtant de jouer avec lui aujourd'hui. De m'amuser à exciter mon mari et c'est bien ce qu'il se passe dans cette cabine d'essayage. Rien de sexuel, mais un petit jeu qui débute entre nous et qui fait monter l'excitation lentement mais sûrement. Je joue de mon corps face à lui, mais j'en profite aussi pour l'observer et me rincer l’œil parce que si lui n'aime pas du tout son corps, moi je suis sensible aux charmes et aux atouts du corps de mon mari et ses fesses font clairement parties des choses que j'aime chez lui. « Quand on est tous les deux ça ne me dérange pas mais sinon pour le reste du temps... » Je sais à quel point Caleb a du mal avec son corps et son image, mais qu'il accepte d'être en boxer avec moi, c'est déjà une belle preuve qu'il est à l'aise et c'est tout ce qui importe. « Chéri si tu dois vivre en boxer pour le reste de ta vie, je t'assure que je te laisse pas sortir de chez nous donc rassures toi, je suis bien la seule qui ait le droit de te voir ainsi. » Tout comme lui est bien le seul à pouvoir me voir comme je me présente devant lui à cet instant. Seins nus, avec seulement une culotte comme tissu pour cacher mon corps, autant dire que ça ne cache pas grand chose mais c'est le but. Je veux le séduire, je veux l'exciter aussi un peu, je veux voir son regard plein d'envie et d'amour sur moi. J'aime ce jeu, j'aime me sentir désirée, par mon mari, j'aime voir l'effet que je peux provoquer chez lui et je me sens sexy, désirée et désirable et ça me plaît. J'aime aussi savoir qu'il est incapable de résister, qu'il est sensible à mes charmes et il ne le cache pas. « En même temps, difficile de ne pas l’être. Regarde-toi. » Je n'ai pas besoin de me regarder, la plus belle image que je peux avoir de moi c'est au travers de ses yeux que je la trouve. « Je n'ai pas besoin de me regarder, la façon dont tu me regardes me suffit amplement. » C'est à la manière avec laquelle il pose son regard sur moi, la manière avec laquelle il parle de mon corps. J'ai confiance en mon corps mais c'est parce qu'il m'a donné cette confiance là, qu'il m'a montré qu'il n'était pas insensible et j'en joue avec lui. Pour le séduire, pour lui plaire, mais aussi parce que sentir son excitation, voir son excitation m'excite aussi grandement. Il me regarde, et je fixe ses lèvres quelques secondes, il sait que je suis pas insensible à ce petit mouvement et je le regarde voulant à mon tour venir mordiller ses lèvres. Il met du temps à me répondre, me laissant presque la possibilité de penser à toutes les choses qu'il pourrait avoir en tête pour moi et c'est excitant comme situation parce que j'ai certaines pensées qui ne me laissent clairement pas indifférentes. « Pour un petit amuse-bouche ma tête entre tes cuisses, par exemple. » Je mentirais en disant que cette image ne m'a pas traversé l'esprit avant même qu'il le dise, mais pourtant quand je l'entends me murmurer ces mots, je frisonne légèrement comme si mon corps réagissait à cette idée. Et je peux assurer que ça plaît à mon corps ce genre d'image. « Faut pas me dire ce genre de chose chéri. Mais j'aime énormément ce que tu as en tête pour moi. Et j'aime encore plus quand ta tête est à cet endroit aussi. » Il le sait, je n'ai pas à le cacher ou à faire semblant de rester indifférente, je ne le suis pas et je n'ai pas l'intention de cacher ce que je ressens, pas alors que le but même de mon comportement actuel c'est d'initier la suite, de faire monter le désir et l'excitation entre nous. Je suis visiblement douée dans ce petit jeu, enfin c'est ce qu'il me dit et si j'en crois ses réactions, son corps semble lui aussi plutôt témoigner du faite que je suis plutôt pas mal dans ce domaine. Je voulais faire monter l'envie et l'excitation et visiblement j'y arrive plutôt bien. « Il fait chaud ici, non ? » Je secoue la tête en riant doucement face à sa question. Je suis à moitié nue et je n'ai pas froid mais ce n'est pas pour autant que je vais pouvoir dire qu'il fait chaud. « C'est surtout toi qui est chaud. » Il ouvre un premier bouton de sa chemise et à cet instant précis, j'ai l'image de Caleb torse nu devant moi et je comprends ce qu'il veut dire quand il dit qu'il fait chaud. Il s'arrête à un seul bouton mais l'image ne disparaît pas de mon esprit et j'ai aussi l'image de son corps en érection qui me vient en tête et si c'est moi qui dicte le jeu, je me laisse prendre par l'ambiance du moment. Assisse sur lui, mes lèvres contres les siennes, je sais que c'est une situation risquée autant pour lui que pour moi parce que je sens l'envie entre nous qui est montée encore d'un cran. Il m'aide à retirer le soutien-gorge mais il finit par me pousser doucement pour que je me relève et je comprends qu'il a besoin de cette distance pour gérer ce qu'il ressent. Il y a quelques années, sans doute que j'aurais été plus loin dans cette cabine avec lui, sans doute que j'aurais osé plus encore quitte à me laisser déborder par l'excitation mais aujourd'hui, nous sommes plus raisonnables, enfin un peu plus parce que je vais bien céder à mes envies mais dans un environnement plus adapté et dans lequel nous serons bien plus libres. « Il va d’abord falloir que tu me laisses un petit moment pour… » Je ris un peu en le voyant désigner son entrejambe et je m'écarte de lui couvrant mon corps rapidement de ma robe. « Prends pas trop ton temps, c'est du temps de perdu en moi. » Je lui murmure ces mots avant de sortir de la cabine pour aller payer tous mes achats.
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« J'aime quand tu me parles comme ça. Ca me fait de l'effet. » Le petit jeu entre nous n’est pas si rare que ça et pourtant je ne m’en lasse pas, c’est avec un petit sourire au coin des lèvres que je regarde ma femme. « Je sais. » Est-ce que de par ces mots je lui prouve avoir tout à fait conscience de l’effet que je lui fais actuellement ? Oui, totalement. « On pourrait faire ça durant notre voyage. » Dire que cette idée ne m’a pas traversé l’esprit serait mentir. « À voir, il faudrait pouvoir caser la caméra dans nos valises. » Nous savons tous les deux qu’Alex n’a pas pour habitude de voyager léger et je dois bien avouer que la plupart du temps la taille de sa valise pour quelque fois simplement quelques jours m’impressionne beaucoup. Ou me dépite, à voir. À moins qu’elle ait en tête de nous filmer avec un de nos portables mais si elle avait en tête une meilleure qualité et un meilleur cadrage que la dernière fois je doute que ce soit une merveilleuse idée. « Chéri si tu dois vivre en boxer pour le reste de ta vie, je t'assure que je te laisse pas sortir de chez nous donc rassures toi, je suis bien la seule qui ait le droit de te voir ainsi. » Ses mots ne m’étonnent qu’à moitié, si ma femme est plus douée que moi pour modérer sa jalousie, je n’oublie pas qu’elle n’aime pas non plus quand d’autres femmes me regardent ou essaient de me daguer. Heureusement pour elle ça n’arrive que très rarement. C’est donc avec un simple petit rire que je réagis à cette précision, mais de toute façon je ne compte pas passer le reste de ma vie en boxer. « Je n'ai pas besoin de me regarder, la façon dont tu me regardes me suffit amplement. » Cette fois ce n’est pas en riant que j’écoute ses paroles, je suis bien plus sérieux et ses mots me font sourire. Parce que je sais qu’elle a totalement raison. J’ai, et j’ai toujours eu le regard d’un homme amoureux quand je suis avec Alex. L’amour que je lui porte et fort, tellement fort que je sais que pour elle je serais capable de tout et je pense lui avoir déjà prouvé plus d’une fois. « Faut pas me dire ce genre de chose chéri. Mais j'aime énormément ce que tu as en tête pour moi. Et j'aime encore plus quand ta tête est à cet endroit aussi. » Je sais qu’elle aime ça et c’est d’ailleurs bien le but. Je sais qu’en lui donnant un aperçu verbal de tout ce que j’ai en tête pour elle, ça ne la laisserait pas indifférente mais ce que je n’avais en revanche pas prédit c’est qu’elle parvient à renverser de nouveau ce petit jeu entre nous contre moi. Enfin. Contre moi, ce n’est peut-être pas très bien dit mais au lieu de la voir émoustillées c’est finalement encore et toujours moi qui me retrouve excité. « C'est surtout toi qui est chaud. » Mes yeux se relèvent vers elle, la regardant d’un air extrêmement amusé. Elle le sait. Elle sait très bien ce qu’elle fait et ne compte pas s’arrêter là, je suis obligé de la pousser à se lever de mes genoux afin qu’elle ne se rhabille. Il y a quatorze ans je n’aurais eu aucun mal à laisser mes pulsions prendre le dessus ici dans cette cabine d’essayage mais il faut croire que la paternité m’a fait mûrir sur certains points.
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« Je sais. » Bien-sur qu'il le sait, je ne l'ai jamais vraiment caché et à quoi bon ? C'est aussi ce qui rends ces petits moments de jeux aussi intéressants. Cette attirance mutuelle, cet effet que nous avons l'un pour l'autre, c'est ce qui rends ces moments si excitants finalement. « À voir, il faudrait pouvoir caser la caméra dans nos valises. » Je secoue la tête, comme si cette idée me semblait tout à fait réalisable. Autant l'idée de réaliser cette pratique pendant notre voyage que le côté plus pratique de faire une place pour une caméra. « Oh on devrait pouvoir trouver une place pour ça. » Dans une de mes valises ou dans la sienne, peu importe. « Mais je veux bien sacrifier une paire de chaussure pour prendre la caméra. » C'est une sacrée preuve qui devrait lui montrer à quel point j'ai envie de pouvoir réaliser cette sextape avec lui. Le jeu de séduction se poursuit dans la cabine, la séance d'essayage n'a plus vraiment son but premier et c'est plutôt dans une optique d'exciter mon mari que j'enfile et j'enlève des soutien-gorges face à lui. Ses réactions me donnant juste envie de continuer encore un peu plus pour sentir son excitation. Il réagit, son regard prouve qu'il apprécie, mais il n'y a pas que son regard qui réagit et nous avons beau être mariés tout les deux, plus raisonnables et matures, le voir réagir ainsi m'amuse grandement et me fait de l'effet aussi. Et c'est finalement assez logiquement que la séance d'essayage prends fin pour un tout autre programme, pas prévu à la base mais qui désormais est la seule chose que je désire réellement faire avec lui à cet instant précis.
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