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 (camian 7) we could leave the Christmas lights up 'til january.

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Message(#)(camian 7) we could leave the Christmas lights up 'til january. - Page 2 EmptySam 20 Jan 2024 - 0:46

La soirée semblait toucher doucement à sa fin, la majorité des membres de la famille étant partie ou couché, il ne restait que quelques courageux, discutant ou bien dansant encore un peu, comme Cami et moi. Dans l'ensemble, j'étais plutôt très satisfait du déroulement de la soirée, malgré deux ou trois petits couacs, Cami semblait heureuse, et avait l'air d'avoir passé une bonne soirée. Tout le monde a été très heureux de la rencontrer, tout le monde l'a immédiatement trouvé adorable, et le plus important, ma mère paraissait l'avoir déjà clairement adopté, ça me soulageait tellement ! J'espérais que cela dure longtemps, voir toujours, elle semblait également apprécié ma mère et ma famille en retour, ce qui pour moi était très important. J'étais reconnaissant envers Cami de ne pas tenir trop rigueur à ma mère de son franc parler ou de sa manie de mettre les pieds dans le plat sans vraiment le vouloir. Il est vrai qu'avoir entendu ma mère lui parler de vouloir rencontrer ses parents, m'avait assez inquiété concernant la réaction que Cami aurait pu avoir, elle aurait très bien pu lui en vouloir, surtout après le coup de la question sur les enfants.  Surtout que maintenant, après discussion, on c'était rendu compte que nous voulions exactement la même chose pour notre avenir, c'est à dire, se construire une famille ensemble, notre famille. Il était vrai que cette conversation n'était absolument pas prévue au programme, mais au final, j'étais vraiment très heureux de l'avoir eu, je pense que ça nous à rapproché encore davantage, et que ça encore une fois accroît mon amour pour elle. Savoir que son désir le plus profond était d'un jour, avoir des enfants de moi, faisait de moi le plus heureux des hommes. Clairement, savoir ça, me donnait encore plus envie de me surpasser pour elle, de tout faire pour la combler de plaisir et de désir, et de l'aimer toujours un peu plus chaque jour. Je devais bien avouer que j'attendais ces prochains mois d’entraînement avec grande impatiente, j'allais pour sûr, m'appliquer comme il le fallait. Mais pour le moment c'était plutôt compliqué. J'étais pour le coup vraiment partagé entre deux sentiments. J'étais à la fois très heureux d'être entouré de ma famille, de discuter, rire, jouer dans la piscine même avec eux, de partager tout ça avec Cami. Mais en même temps, j'avais terriblement envie de me retrouver seul avec elle, pour partager un moment romantique, hors du temps, avant de passer à quelques choses d'un peu plus torride.

C'était sans compter sur mon cousin, qui en pleine danse avec Cami, en plein moment en tête à tête, m'avait littéralement attrapé pour me jeter à l'eau. Sans était suivi une longue bataille acharnée pour se noyer mutuellement, jusqu'à sa brillante idée de venir chercher nos bien aimé, de gré ou de force.  Et concernant Cami, la force avait été de rigueur. Elle avait refusé de me suivre car j'étais trempé, alors je l'avais porté pour l'embarqué jusqu'à la piscine, elle avait beau me crier qu'elle ne voulait pas, je n'en riais que davantage. Je devais bien avouer que j'étais plutôt content de moi, et puis, elle était beaucoup plus sexy comme ça dans ses vêtements complètement trempé. Elle me souriait, signe déjà qu'elle n'avait pas mal pris ce petit plongeon improvisé, et déposait même un baiser sur mes lèvres, ce qui faisait sourire à mon tour. J'avais haussé un sourcil en l'entendant me dire que je devrais vérifier par moi même, ne comprenant pas tout de suite ce à quoi elle faisait allusion, jusqu'à ce que je sente ses mains appuyé sur ma tête pour me couler et que je retrouve une fois de plus sous l'eau. Je ressortais ensuite la tête de l'eau, un large sourire amusé sur le visage, et passait une main dans les cheveux. « Bon ok je te l'accorde c'était de bonne guerre ! Mais... je me vengerais quand même ! » Je riais doucement en la voyant partir le plus loin possible à la nage. Je nageais alors sous l'eau pour la rejoindre, et remontais à la surface juste devant elle, dans le coin de la piscine, un sourire aux lèvres. « Tu ne peux pas t'échapper... » Elle essayait de m'amadouer pour ne pas que je la coule de nouveau, avec une petite moue innocente et en entourant ma taille de ses jambes. Elle m'annonçais ensuite que je ne pouvais pas me venger, car si je tenais à avoir la visite de la mère noël, je devais impérativement être un garçon sage. Je posais mes mains sur ses cuisses et rapprochais mon visage du sien, un petit sourire aux coins des lèvres. « Ah oui... ? C'est vraiment ce que tu veux, que je sois sage... ? » Le dos de Cami était posé contre la paroi de la piscine, mon corps était collé au sien, et je remontais doucement et légèrement mes mains sous sa robe. « Parce que au pire, si elle ne vient pas, j'ai mis quelque chose sur ma liste de noël... Donc si jamais tu vois un grand bonhomme en rouge te kidnapper, c'est parce que c'est toi que j'ai commandé. » Je lançais un regard dans la même direction que Cami, voyant bien qu'elle vérifiait si personne nous observait, j'esquissais un petit sourire en voyant que c'était le cas. Nos lèvres se rencontraient ensuite pour un baiser au départ tendre, mais qui déviait rapidement vers quelque chose de plus intense, de plus passionné. En sentant ses mains sur mon torse, les miennes quant à moi, remontait davantage sous sa robe. Plus on c'était embrassé dans cette soirée, plus s’arrêter devenait difficile, l'envie et l'impatiente prenant de plus en plus de place. Ce revoir dans un repas de famille après une absence d'une semaine n'était peut être pas la meilleure idée qu'on avait eu. Toute cette tension qu'on avait gardé en nous et accumulé pendant la soirée, commençait à refaire surface, et devenait plus difficile à contenir. Entre deux baisers, Cami me proposait de monter dans la chambre. « Je pense que c'est une bonne idée... » Certes il n'y avait plus grand monde, mais le peu qui restait je pense, n'avait pas vraiment besoin de nous voir nous embrasser de la sorte.

Je lui souriais alors avant de la suivre hors de la piscine, et d'attraper une serviette également. Je ne me gênais pas d'ailleurs d'avoir remarqué que sa robe ne cachait plus grand chose, je me mordais l'intérieur des joues pour retenir cette envie de la lui ôter immédiatement. Je me séchais alors grossièrement, et Cami souhaitait une bonne nuit à Emily et Owen, encore dans la piscine. « Ouais bonne nuit, pas de bêtise ! » Avais-je lancé un sourire amusé aux lèvres. Mais je n'avais pu retenir un rire en l'entendant répliqué de bien nous protéger cette nuit. Je suivais alors Cami, ma main dans la sienne, jusqu'à ma chambre à l'étage, sans faire trop de bruit pour ne réveiller personne. Une fois à l'intérieur, je l'avais pris dans mes bras, pour l'embrasser de nouveau, mais elle stoppait ce baiser en ce détachant de moi. Je la regardais un peu surpris, mais tout de même avec un léger sourire et une idée derrière la tête, en l'entendant me dire qu'elle avait mon premier cadeau de noël. « Oh un cadeau déjà... ? Bien sûr que je veux. Même si le seul cadeau que j'ai envie déballer là tout de suite, c'est toi... » Je la voyais chercher quelque chose dans sa valise, avant de s'en aller dans la salle de bain. J'esquissais un petit sourire, ayant une petite idée du genre de cadeau qui m'attendait. Je retirais alors ma chemise et mon pantalon mouillé, et les étendaient dans un coin, avant de me sécher de nouveau avec la serviette. Je décidais alors de l'attendre en boxer, et allais m'asseoir sur le lit en attendant, et me laissait tomber en arrière sur le dos, mes mains derrière la tête. Lorsque que j'entendais la porte se refermer, je me redressais sur les coudes. Mon sourire sur mon visage c'était immédiatement effacé, si c'était possible, ma mâchoire se serait sûrement détaché du reste de mon visage. Mes yeux faisaient rapidement des aller retour sur chaque partie de son corps, chaque parcelle de lingerie, mon regard la dévorait et la déshabillait littéralement. Mon corps entier brûlait de désir pour elle, et la réclamait. Je n'arriverais jamais à m'habituer à quel point elle était sexy, et même là encore le mot était faible, tout ça était pour moi, tout ça était à moi. « Tu me rends fou... » Je m'étais redressé pour m'asseoir, et ne la quittait pas une seconde du regard, pendant qu'elle s'approchait de moi. Je lui rendais son baiser quand elle se penchait vers moi, mes mains se posant sur ses jambes, passant sur ses porte jarretelle, et remontant presque immédiatement vers ses fesses. Le baisser devenant rapidement de plus en plus frénétique et profond. Elle s'allongeait ensuite sur le lit, m’entraînant pour que je me retrouve au dessus d'elle. La voir avec tout autant de désir que moi dans son regard, me rendait encore plus fou d'elle. Nos visages étaient si proches l'un de l'autre, mes lèvres effleurant les siennes, et elle osait me demander si ce cadeau me plaisait. « Premier ? Il va y en avoir d'autres comme ça... ? » En guise de réponse, je me redressais légèrement pour me mettre sur les genoux, afin de pouvoir l'admirer de nouveau entièrement. Mes yeux ne savaient même plus où se poser, tant chaque partie méritait qu'on s'y attarde davantage. « Me plaire est un mot plutôt faible... Je n'ose même pas déballer ce cadeau tant il est... » Pendant que je cherchais mes mots, mes mains passaient sur ses jambes, les caressant doucement du bout des doigts. « Excessivement sexy... » Mes doigts remontait sur son ventre, ses côtes, longeant ses bras jusqu'à saisir ses mains. Je plaquais ensuite ses mains au dessus de sa tête, pour l'empêcher de me toucher pour le moment. Mon corps se pressait de nouveau conte le sien, et mes lèvres s'approchaient des siennes, comme pour l'embrasser, mais m'arrêtais au dernier moment, un petit sourire aux lèvres. Je déposais plusieurs baisers langoureux du coin de ses lèvres, jusqu'à son cou. Tenant ses poignets avec une seule de mes mains, la deuxième venait attraper sa cuisse, afin de la remonter vers moi, j'en profitais ensuite pour détacher ses porte jarretelle. Ma main libre, caressait chaque centimètre de sa peau, désireux de la sentir frisonner à mon simple contact. Je finissais tout de même à remonter mes baisers vers ses lèvres, mais en m'arrêtant juste avant de les atteindre. Je lui chuchotais alors, un léger sourire au coin des lèvres. « Il va falloir que vous fassiez le moins de bruit possible, future madame Kean...» Je posais un doigt sur sa bouche en même temps, comme signe de silence, avant de relâcher ses poignets, et de l'embrasser comme jamais. J'espérais clairement que personne n'allait nous entendre, parce que c'était certain que je ne pouvais pas m'empêcher de céder à cette tentation. Surtout quand cette tentation, avait clairement prévu son coup en venant apprêté de la sorte, plus sexy que jamais. Rapidement, mon boxer fut retiré. Je continuais mes baisers et mes caresses avec fougue, en les descendant tout doucement tout le long de son corps, jusqu'à atteindre le bas de son ventre. Mes mains posées sur ses hanches, faisaient glisser son bas de sous vêtement le long de ses jambes, jusqu'à le lui retirer complètement. Je reprenais mes baisers là où je les avais laissés, afin de poursuivre encore un peu plus ma descente. Voulant la pousser dans ses retranchements, voir jusqu'où je pouvais aller, le plus silencieusement possible, avant de pouvoir enfin partager cette délivrance tant attendue, quand nous ne ferons plus qu'un.

***

Me réveillant lentement, j'ouvrais doucement un œil, et apercevais le jour à travers les volets. Un sourire se dessinait rapidement sur mes lèvres en voyant Cami lové dans mes bras, peut être encore endormi. Ça faisait du bien de pouvoir se réveiller de nouveau dans ses bras, de voir son visage dès le réveil, c'était ce qui me manquait le plus à chaque fois que l'on se quittait trop longtemps à mon goût. J'entendais un peu de bruit venant d'en bas, quelques personnes étaient déjà debout et réveillé, je reconnaissais la voix des enfants surtout, qui devaient s'impatienter de devoir attendre que tout le monde se lève pour ouvrir les cadeaux. Mais ils pouvaient bien attendre quelques minutes de plus. Je resserrais alors mon étreinte sur Cami, et sentais qu'elle était réveillée à sa manière de bouger. Je déposais alors un délicat baiser sur le haut de sa tête. « Bonjour mon amour... Joyeux noël. » Je lui caressais délicatement le dos, et attendais qu'elle redresse sa tête vers moi afin de l'embrasser avec tendresse. « Tu as bien dormi ? »  Après notre premier entraînement officiel d’hier soir, on c'était très rapidement endormi, sûrement épuisé de toute cette passion déchaîné et de tous les événements de la soirée. La fin de cette soirée avait été pour le coup, clairement incroyable, malgré le fait qu'il ai fallu plus ou moins se restreindre, ça n'en avait gâché en aucun cas le plaisir que j'avais pris, et je pense que son petit cadeau y était sans doute pour quelque chose. Mais en tout cas, j'avais dormi comme un bébé. « Je suis pas sûr, mais je crois qu'il ne manque plus que nous en bas... Mais j'ai bien envie de rester encore 5 ou 10 minute dans le lit. » Ou peut être encore un peu plus si affinité qui sait ? Je lui souriais tendrement avant de la serrer dans mes bras et d’entremêler mes jambes aux siennes, je voulais continuer à sentir chaque parcelle de son corps sur le mien, encore un peu. « Alors, au final je n'ai pas eu le temps de te le demander hier soir, étrangement, mais du coup, tu en à pensé quoi de cette première expérience dans ma famille ? Pas trop traumatisé ou dégoutté ça va ? » J'exagérais un peu, un petit sourire amusé aux lèvres, mais j'étais vraiment curieux de savoir ce qu'elle en avait pensé dans la globalité. Histoire de savoir si c'était quelque choses qu'on pouvait réitérer assez souvent, ou si au contraire, c'était plutôt à éviter. Je l'écoutais avec attention, tout en continuant de caresser doucement ses hanches, son dos, ses cheveux.


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Message(#)(camian 7) we could leave the Christmas lights up 'til january. - Page 2 EmptyDim 21 Jan 2024 - 22:57

La soirée avait été fabuleuse, même s’il y avait quelques petites perturbations, Cami était plutôt satisfaite de cette première rencontre avec la famille de Dorian. Elle les avait tous trouvé adorable, même l’oncle du jeune homme qui au final, avait été finalement, drôle, amusant et sympathique, une fois toutes ses gaffes terminées. Il était enfin temps pour les deux jeunes gens, de se retrouver seuls, juste eux deux et pouvoir s’embrasser comme ils en avaient si envie depuis que la demoiselle avait posé ses pieds sur le sol de Sydney. Ils partageaient d’innombrables baisers, plus long et plus intenses les uns que les autres, elle savait très bien comment la soirée allait se terminer et en réalité, elle n’attendait que ça, depuis qu’il avait quitté son appartement de Brisbane, il lui avait manqué, tout son être, ses baisers, son corps contre le sien, chacune de ses caresses, c’était comme une délivrance, lorsque ses lèvres étaient contre les siennes. Elle pouvait presque gémir rien qu’en l’embrassant. « Hum.. oui, ton premier cadeau. Elle se décalait, avec bien du mal, elle devait le faire. Elle se dirigeait vers sa valise, prenant ce qu’elle avait besoin pour ensuite se diriger vers la salle de bain. Elle se tournait vers lui avant d’ouvrir la porte de la salle de bain et d’y rentrer. Intéressant.. Tu ne seras peut-être pas déçu dans ce cas. » Refermant la porte de la salle de bain, derrière elle, la demoiselle, s’apprêtait à enfiler l’une des tenues les plus sexy qu’elle avait jamais acheté, et tout ça, juste pour le jeune homme. Elle se regardait dans le miroir, admirant son corps dans cet ensemble, elle était presque certaine que cela allait lui rendre fou. Elle replaçait ses cheveux, remettant bien en place les portes jarretelles, elle se mordait la lèvre. Arrivant devant la porte, elle posait sa main doucement sur la poignée, prenant une grande respiration, elle finissait par l’ouvrir et la refermer tout aussi rapidement. Doucement, elle s’approchait du lit, se faisant passer pour la mère noël, elle souriait, regardant l’expression qui s’était posé sur le visage du jeune homme, cela avait l’air de lui plaire, elle était satisfaite, que son cadeau lui fasse autant d’effet. En arrivant enfin en face de lui, elle déposait un long, intense et fougueux baiser sur ses lèvres, le baiser durait dans le temps, si longtemps, si intense, elle n’arrivait presque plus à respirer. Ils se décalaient légèrement, haletante, reprenant sa respiration. Elle se laissait tomber sur le lit, l’attirant au-dessus d’elle, elle plongeait son regard dans le sien, tout était intense, la tension qu’ils avaient gardée depuis des jours, était sur le point d’exploser. Son cadeau avait l’air de lui plaire, mais la demoiselle avait ce besoin d’en avoir le cœur net, de l’entendre le dire, de l’entendre de sa propre bouche, son envie d’être plus profondément avec elle. « Oh.. Alors dans ce cas là.. Elle le regardait avec son regard d’allumeuse, concrètement, c’est exactement ce qu’elle faisait. Il vaudrait mieux qu’on reste sage et qu’on se couche simplement… » Elle n’en avait pas du tout envie, elle voulait absolument se retrouver sans vêtements, juste sa peau contre la sienne, son corps près du siens, ses lèvres sur chaque centimètres de sa peau. Ses doigts qui glissaient le long de ses jambes lui donnait la chair de poule, c’est incroyable l’effet qu’il avait sur elle, juste en quelques caresses, il la rendait complétement folle de lui. Elle s’apprêtait à déposer un baiser fougueux sur ses lèvres, lorsqu’elle sursautait en sentant Dorian qui bloquait ses mains au-dessus de sa tête. Son rythme cardiaque s’accélérait encore plus, elle le trouvait encore plus sexy à ce moment même, elle soupirait sous chacun de ses baisers, il voulait la faire languir, la rendre encore plus folle de lui et honnêtement, ça fonctionnait. Son corps se cambrait sous lui, elle collait ses hanches aux siennes, sentant que lui aussi, il avait très envie d’elle. Elle lui souriait, et se mordait la lèvre en entendant sa phrase. Venait-il vraiment de l’appeler future madame Kean ? Elle avait encore plus envie de lui, encore plus envie de s’entrainer à faire des enfants. Elle lui chuchotait alors. « Ne m’appelle pas comme ça, si tu veux que je sois silencieuse. Parce que là, ça me donne tout envie du contraire, monsieur Kean. » Elle savait qu’ils allaient devoir être discret. La chambre d’Axel était juste à côté, seul la salle de bain les séparait. Elle savait que la chambre de Suzanne était au bout du couloir, mais il y avait aussi Owen, Emily, les enfants, l’oncle de Dorian. Enfin il relâchait ses poignets, elle accrochait ses bras à sa nuque, l’embrassant tout autant qu’il l’embrassait, plus rien ne les retenait. Rapidement, ils étaient tous les deux nus, leurs sous-vêtements respectifs avaient volé dans la pièce. Chaque moment avec lui, lui rappelait toutes leurs nuits précédentes, c’était toujours si intense, si parfait, comme si leurs corps avaient été fait l’un pour l’autre. Elle le voulait. Elle soupirait de plaisir lorsqu’il descendait ses baisers plus bas, elle se cambrait sous chacun des mouvements que sa bouche lui procurait dans les parties les plus intimes de son corps. Enfin, ils ne faisaient plus qu’un, leurs corps, bougeaient au même rythme, intense. Elle se mordait la lèvre inférieure, l’embrassant ensuite pour retenir un gémissement.

***

Le soleil passait par les fenêtres de la chambre de Dorian mais Cami, gardait les yeux fermés, profitant de son réveil dans les bras du jeune homme. C’était ce qui lui manquait le plus quand ils n’étaient pas ensemble. Elle adorait voir son visage le matin, sentir ses bras autour d’elle, son odeur, pouvoir l’embrasser dès qu’elle ouvrait les yeux. C’était devenue sa routine favorite, juste être avec lui, lui suffisait à être heureuse, c’était incroyable, toute leur relation était incroyable. Et c’est dans ses moment-là, qu’elle se rendait compte à quel point elle était amoureuse de lui, et à quel point elle n’avait jamais autant aimé quelqu’un. Elle avait hâte de vivre la vie qu’ils s’étaient imaginé à deux. « Bonjour mon cœur.. Elle avait sa petite voix toute douce du matin, à peine réveillée. Joyeux noël.. Notre premier noël.. » C’était si incroyable de dire cela à voix haute. Si on lui avait dit il y a quelques mois qu’elle serait dans la famille de son petit-ami pour noël, elle ne l’aurait jamais cru. Redressant son visage vers celui du jeune homme, elle profitait de son tendre baiser, le prolongeant un peu plus. « Je dors toujours beaucoup mieux quand je suis dans tes bras.. et toi ? » Et elle le pensait, c’était plutôt étrange quand ils n’étaient pas ensemble, ils avaient pris cette habitude d’être presque tous les jours ensemble, alors ne pas l’être était comme être séparé de son propre cœur. Elle lui souriait, si contente d’être avec lui. Elle caressait son torse doucement, faisant des petits cercles sur celui-ci. Elle secouait la tête en l’entendant avant de reprendre. « J’ai passé une très bonne soirée hier. Ta famille est adorable, même ton oncle. Disait-elle en souriant légèrement. Ils sont vraiment gentils et j’ose espérer qu’ils m’ont bien aimé aussi.. Et toi ? Tu ne regrettes pas de m’avoir présenté ? » Demandait-elle en haussant les épaules. Elle le regardait, posant ses lèvres sur les siennes dans un baiser qui se voulait tendre, mais les caresses de Dorian sur son dos, sur ses hanches lui faisaient intensifier le baiser, il était encore plus intense qu’hier soir, si c’était possible. Ils se séparaient, Cami descendait doucement ses baiser dans la nuque de Dorian. « Combien de temps ? Cinq à dix minutes ? On peut pousser jusque vingt non ? » Elle continuait de descendre ses baisers, descendant le long de son torse, doucement, elle disparaissait sous la couverture, ses mains trouvant la partie la plus intime de Dorian, le caressant doucement, elle sentait que lui aussi, en avait terriblement envie en ce matin de noël. C’était vraiment ses réveils favoris. Elle décidait ensuite de lui faire plaisir avec sa bouche, ses lèvres. Lorsqu’elle sentait qu’il était au bord du précipice, elle remontait vers son visage, essuyant sa bouche du bout de ses doigts, elle venait s’assoir sur lui délicatement, sentant son excitation pleinement, elle n’avait juste qu’à bouger d’un ou deux centimètres pour qu’il ne fasse plus qu’un. « Il ne faut pas faire de bruit mon amour.. Tu es sûr de pouvoir réussir ? » Elle se penchait, déposer un baiser passionnée sur ses lèvres. Alors qu’elle se positionnait, juste au-dessus de son anatomie, ils ne furent plus qu’un, elle s’apprêtait à bouger en rythme avec lui, la porte s’ouvrait en grand sur Suzanne. Cami n’osait même pas se tourner, elle rester figer pendant un instant. « On attend plus que vous en bas, descendez pour l’ouvertures des cadeaux. Et pas dans dix minutes, tout de suite. » Elle s’apprêtait à fermer, la porte, Cami pouvait entendre également le rire d’Owen, elle était mortifiée.

La porte se refermait, Cami ne cherchait même pas à croiser le regard de Dorian. Elle descendait si rapidement, se mettant de son côté de lit et mettant la couverture sur sa tête, elle ne sortirait plus jamais de cette pièce, c’était impossible. « OH MON DIEU. » Elle répétait cette phrase plusieurs fois à la suite, elle était si gênée, c’était horrible. Suzanne avait l’air si détendu, comment était-ce possible ? Comment pouvait-elle faire comme si de rien n’était alors qu’elle venait de surprendre son fils et sa nouvelle belle-fille sur le point de s’envoyer sauvagement en l’air sous son toit. ? Le matin de noël alors qu’elle venait de la rencontrer. Oh mon dieu, mais quelle image allait-elle avoir de Cami. Elle n’arrêtait pas d’imaginer des tonnes de scénarios, elle ne pouvait pas descendre, elle ne pouvait croiser le regard de sa belle-mère après ce qu’elle venait de vivre. Elle restait sous la couverture, honteuse. « Oh mon dieu.. Visiblement, elle ne connaissait plus aucun autres mots, c’est assez drôle finalement. Ta mère, c’était ta mère et elle nous a .. oh mon dieu, elle nous a vu entrain de .. oh mon dieu. » Bien qu’elle était sous la couverture et que personne ne pouvait voir son visage, elle posait ses mains dessus pour se cacher encore plus. « Ok, voila ce qu’on va faire. Elle lui parlait tout en étant sous la couverture. Tu vas descendre, et tu vas passer la journée avec ta famille, et tu vas leur dire, que j’ai du partir pour une urgence. Et moi, je vais t’attendre ici touuuuuute la journée et tu feras diversion quand il sera l’heure de partir pour l’aéroport. » Cela lui semblait être un bon plan. Elle ne pouvait pas descendre. Elle sentait Dorian qui tirait sur la couverture pour voir son visage, elle finissait par arrêter de lutter et croisait son regard, il souriait, pourquoi il souriait ? Elle ne trouvait pas cela drôle, pas du tout même. « Non, je ne descends pas Dorian. Pas la peine d’essayer de me convaincre. ET CE N’EST PAS DROLE. » Elle était vraiment mal à l’aise et le pire c’est que de base, elle se faisait un plaisir d’ouvrir les cadeaux de noel avec toute la famille de Dorian, elle avait même acheté des pyjamas de couples, ils auraient eu tous les deux, le même pantalon à carreaux rouge et noir avec un jolie t-shirt de blanc, ils auraient été si mignon, mais là, elle ne pouvait pas sortir, c’était impossible, jamais elle ne pourrait affronter le regard de Suzanne et des autres membres. En avait-elle parler à d’autres personnes ? Oh mon dieu. Elle regardait Dorian, enfin, elle essayait de ne pas croiser son regard mais ce n’était pas évident, une fois qu’elle capté son regard, elle n’arrivait pas à ne plus le regarder. Elle secouait la tête. « Non, Dorian, j’ai dit non. »

Quelques minutes plus tard, Cami descendait les escaliers dans son pyjama accordé à celui de Dorian, le jeune homme à ses côtés, il l’avait convaincu, tout aller bien se passer d’après lui. Elle n’en était pas si sur mais elle ferait l’effort. En bas des escaliers, c’est Suzanne qu’elle croisait en premier. « Enfin, vous êtes la. Les enfants n’attendaient plus que vous pour ouvrir les cadeaux. » Elle n’abordait pas le sujet, Cami ne le ferait pas non plus, elle ne dirait rien à ce sujet. Ils arrivèrent dans le salon, où tout le monde était présent. Cami lançait un bonjour général alors que la voix d’Owen s’élevait dans la pièce. « Tiens Cami, t’as retrouvé tes vêtements, ça y’est ? » Sa mâchoire se décrochait presque, elle n’en croyait pas ses oreilles. Les enfants étaient en train d’ouvrir leurs premiers cadeaux, Alex riait en entendant Owen, Emily donnait un coup de coude à Owen, et l’oncle de Dorian, lui faisait un clin d’œil et regardait Dorian avec un air qui voulait dire : bien jouer mon petit. Cami lâchait la main de Dorian, elle était encore plus mortifiée c’était horrible. Le frère d’Owen, éclatait de rire aussi, regardant Dorian avec un grand sourire qui voulait dire : j’en connais un qui à du passer une bonne nuit. Elle se décalait légèrement et se dirigeait vers la cuisine, elle devait s’échapper. Arrivant dans la cuisine, elle sortait une tasse de l’armoire et se servait une grande tasse de café, elle rajoutait un peu de sucre et un nuage de lait. Elle s’appuyait contre l’ilot centrale, ce n’est pas possible, comment allait-elle avoir la force de revenir dans le salon ? Tout simplement impossible. Elle entendant les cris des enfants s’émerveillant sur chaque cadeaux, c’était adorable.


@Dorian Kean (camian 7) we could leave the Christmas lights up 'til january. - Page 2 394614564 :fuhu: (camian 7) we could leave the Christmas lights up 'til january. - Page 2 270999781 (camian 7) we could leave the Christmas lights up 'til january. - Page 2 565115192 :wut:
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Message(#)(camian 7) we could leave the Christmas lights up 'til january. - Page 2 EmptyMer 24 Jan 2024 - 0:49

La nuit passée avait été des plus intenses, je ne savais pas si c'était la semaine de séparation qui faisait ça, ou bien si c'était l'effet noël, voir même mère noël, ou bien encore le fait que l'on ait passé un nouveau cap avec brio. Mais tout ça réuni nous avait fait passer une fin de soirée des plus exquises.  Et puis peut être que ce côté, où le silence était de rigueur, rajoutait un peu de challenge, un peu de piment à cette soirée. J'étais clairement incapable de lui résister de base, et encore moins résister à son corps et à son côté aguicheuse quand elle le voulait. J'étais complètement fou d'elle, et mon corps la réclamerait en permanence si je l'écouterais. La sentir vibrer, si fébrile, si affamé même, à chacune de mes caresses ou de mes baisers, ne faisait qu'agrandir mon envie et ma passion pour elle. Tout était toujours si bon, si incroyable, que ce serait fou de s'en priver plus longtemps à chaque fois. Et puis il fallait avouer que se sentir tout autant désiré, était extrêmement plaisant. A croire parfois que nos corps étaient faits pour se rencontrer de la sorte, et ne faire qu'un. La seule chose que je préférais à ces moments intimes, était ces petits instants aux réveils. C'était presque l'exact opposé, tout n'était que douceur, délicatesse et amour, mais c'était ce qu'il y avait de mieux pour commencer sa journée d'excellente humeur. Voir le visage de la personne que l'on aime le plus dès le réveil, sentir la chaleur de son corps contre le sien, la douceur de ses bras, c'était des moments tendres que je n'échangerais pour rien au monde. Entendre sa voix, voir son sourire, m'apaisait et me faisait me sentir bien et réaliser à quel point je tenais à elle. Je n'avais pas pu m'empêcher de sourire en l'entendant préciser qu'il s’agissait de notre premier noël, cette simple phrase avait beaucoup d'importance pour moi. Préciser qu'il s'agissait du premier, sous entendait qu'il y en aurait un tas d'autres, et c'était tout ce que je pouvais souhaiter. Je profitais du plus que je pouvais de ce baiser rempli de tendresse, j'aimerais que ce genre de moment soit toujours figé dans le temps. « J'ai dormi comme un bébé. » Il était vrai que mon sommeil c'était nettement amélioré depuis que je partageais mes nuits avec elle, il était beaucoup moins agité, et je dormais plus longtemps. Sa simple présence m'apaisait et me calmait énormément. Bon après peut être que le fait de s'envoyer en l'air juste avant de dormir y était un peu pour quelque chose dans la qualité du sommeil. Mais je préférais tout de même dire que c'était grâce avant tout à sa présence. Je m'étais très vite habitué à dormir avec elle, à tel point qu'elle me manquait toujours quand ce n'était pas le cas. Je souriais de nouveau en sentant ses caresses sur mon torse, c'était agréable, et j'étais plus que rassuré de l'entendre qu'elle avait beaucoup apprécié la soirée avec ma famille. « Absolument pas, j'avais peur de base que tout ça soit trop pour toi, mais je suis vraiment content que ça t'es plus et que tu te sois senti à l'aise rapidement. Tous ceux qui m'ont donné un retour t'ont vraiment adoré tu sais. Ils te trouvent gentille, très souriante, charmante, apparemment on peut très bien lire ton amour pour moi dans ton regard... » J'esquissais un petit sourire en continuant mes caresses le long de son dos. « Et pour le coup, ils t'ont tous trouvé vraiment très belle... Quelle chance j'ai. » Je la regardais avec un sourire des plus tendres et lui rendais son baiser amoureusement. J'avais été très content de tous ces compliments que j'avais reçus pour elle, et je devais avouer que je n'étais pas peu fier quelque part.

Je sentais nos baisers s’intensifier doucement, et mes caresses innocentes le devenait de moins en moins, cherchant automatiquement à la tenter toujours un peu plus. Je profitais de ses baisers qu'elle déposait sur mon cou et affichais un petit sourire en coin en l'entendant demander si on pouvait se permettre plutôt vingt minutes avant de descendre. « Ça dépend de ce que tu proposes pour ces vingts minutes... Mais je pense qu'on peut se le permettre oui. » Je sentais bien quelle petite idée elle avait derrière la tête, et ce n'était certainement pas moi qui allais la contre dire. Le simple effet qu'elle l'évoque, m'avait déjà convaincu et donné plus qu'envie, et je comprenais très vite qu'elle aussi, en avait très envie. Je fermais les yeux en sentant ses baisers descendre le long de mon torse, plus elle allait bas, plus mon corps frissonnais de plaisir, plus le désir montait en moi. Bon tout ça avait mis un terme à cet instant doux et délicat, mais je modifie ce que je disais plus tôt, les réveils crapuleux était clairement ce qu'il y avait de mieux. Je laissais échapper un soupir de plaisir en sentant d'abord ses mains au niveau de mon entre-jambe, puis encore davantage en y sentant sa bouche. Bon dieu pouvait-il y avoir meilleur réveil ? Elle s'arrêtait avant que je n'en puisse plus, mon rythme cardiaque et ma respiration c'étaient déjà accélérés, je la voyais remonter et s'installer à califourchon sur moi, déjà prête pour la suite des événements. Je la fixais avec une envie folle, mon excitation à son paroxysme, avec pour seul désir de lui offrir tout ce que je pouvais lui donner. Mais elle me ramenait quelque peu à la réalité en me rappelant qu'il ne fallait pas faire de bruit, doutant de cette capacité. J'esquissais alors un petit sourire. « Il n'y a qu'une seule façon de le savoir. » Je lui rendais son baiser avec la même passion et la même langueur, posant en même temps mes mains sur ses hanches. J'adorais quand je la voyais et la sentais prendre la situation en main, ça me rendait encore plus fou et me donnais encore plus envie d'elle. Quand nos corps ne faisaient enfin plus qu'un, c'était comme une délivrance, une vague de plaisir qui m’envahissait. Mais alors que je m'apprêtais à commencer mes mouvements, je sursautais en entendant et surtout en voyant la porte de la chambre s'ouvrir en grand.

Mes yeux s’arrondissaient en voyant ma mère dans l'encadrant de la porte, mon regard avait fait un aller retour entre elle, et nos corps parfaitement imbriqué. Heureusement, j'avais eu le réflexe de remonté un peu la couverture sur Cami, même si c'était trop tard. Ma bouche c'était ouverte comme pour dire quelque chose, mais rien ne sortait, tellement surpris de la voir là, à part un. « Maman ?! ». Pourtant elle, n'avait pas l'air surprise le moins du monde, et elle nous demandait simplement de descendre pour les cadeaux, en précisant bien tout de suite. Au cas où on n'aurait pas compris que continuer n'était pas une solution. « Euh d'accord... » C'était tout ce que j'avais réussi à répondre, n'en revenant toujours pas de ce qu'elle venait de faire, et surtout qu'il fallait bien que je lui réponde quelque chose pour qu'elle daigne bien de fermer cette porte. En la refermant, j’apercevais également le visage, et surtout le rire d'Owen derrière ma mère, sur le coup, je fermais les yeux, pensant un « et merde », réalisant bien qu'il allait me faire chier un moment avec ça. Pour la discrétion on repassera ! Une fois ma mère partie, Cami c'était littéralement jeté sous la couverture de son côté du lit, en répétant tout un tas de oh mon dieu. Je laissais alors échapper un soupir et passais une main sur mon visage. « C'est pas vrai, elle est pas croyable... » Je n'étais pas réellement gêné de ce qui venait de se passer, mais j'étais surtout surpris de jusqu'à où là non gêne de pas mère pouvait aller, elle arrivait encore à me surprendre après tout ce temps ! Je n'en revenais pas de ce qu'elle venait de faire, me laisser si peu d'intimité, même une fois bien adulte. Enfin si, c'était tout de même un peu gênant, mais étant donné que ce n'était pas la première fois qu'elle me faisait le coup, c'était déjà arrivé une fois aussi avec mon ex, mais j'aurais cru qu'elle aurait appris de ses erreurs. Je regardais Cami caché, et au final j'étais surtout plus gêné pour elle, ma mère qui la connaissait à peine, l'avait presque vu nue, et surtout il y avait aucun doute à avoir sur ce qu'on était en train de faire. « T'en fait pas Cami c'est pas aussi grave que ça en à l'air. » Connaissant ma mère, je savais très bien qu'elle s'en fichait royalement, elle n'a jamais été gêné par ce genre de chose, même plus jeune, elle nous en parlait avec une facilité déconcertante, c'était pour elle quelque chose de tout à fait normal. Tout ce qui lui déplaisait, c'était qu'on ramenait des gens qu'elle ne connaissait pas à la maison. Mais à partir du moment où elle connaissait nos copains ou copines et qu'elle les appréciait, il n'y avait aucun problème. Je n'avais pas pu m'empêcher de sourire en entendant Cami en boucle, et surtout en état de choc de ce qui venait de se passer. « Tu sais, elle se doute bien qu'on est pas pur et innocent et qu'on n'attend pas le mariage pour consommer hein. » Elle continuait de me parler en restant caché, prévoyant tout un plan pour ne pas avoir à descendre et à devoir affronter le regard de ma mère. Je laissais alors échapper un petit rire, de voir a quel point elle se prenait la tête pour si peu, c'était presque adorable même. J'étais certain qu'elle devait penser qu'elle allait faire mauvaise impression, donner une mauvaise image ou quelque chose dans le genre, alors que c'était totalement faux. Au contraire, je pense même que ma mère serait plus heureuse de savoir que je suis épanoui à tout point de vue. Je tirais alors sur la couverture en forçant un peu pour découvrir son visage, et lui souriait. « Alors désolé mais non, tu vas descendre avec moi. Alors ok je te l'accorde ça surprend, et je comprends que c'est affreusement gênant, mais je t'assure qu'elle s'en fiche mais comme jamais, ça la gêne pas elle ce genre de chose, elle a l'esprit très ouvert. Et puis elle le dira à personne hein... Surtout que si tu descends pas, ça sera encore pire tu sais ? » Elle n'en démordait pas, ne voulant absolument pas descendre. « Si désolé mais c'est quand même un peu drôle... » Je riais légèrement de nouveau. « Puis en vrai... ça va... ça aurait pu être pire. Elle aurait pu arriver genre deux minutes avant, là ça aurait été terriblement gênant. Ou bien elle aurait pu aussi arriver genre deux minutes après, une fois bien lancé ou dans une position beaucoup plus compromettante. Alors je trouve  qu'on s'en sort plutôt bien, il faut relativiser. » Mais rien n'y faisait, elle ne voulait toujours pas sortir de ce lit. Je faisais mine alors de réfléchir. « Mais du coup j'imagine que même si on reste là... c'est mort pour continuer ? » Je haussais un sourcil et la regardais d'un air amusé. « Bon ok j'arrête c'est pas drôle c'est vrai... » Je me pinçais tout de même les lèvres pour ne pas rire. Je préférais prendre ça à la plaisanterie car au final, je restais tout de même sur ma faim ! Clairement la venue de ma mère était plus que suffisant pour couper toute envie, et me laisser plus que frustré de ne pas avoir pu aller au bout des choses avec Cami. Clairement ce merveilleux réveil avait tourné à la catastrophe. Les ascenseurs émotionnels n'étaient pas pour moi. Je reprenais alors mon sérieux, le but étant quand même de la rassurer et de la convaincre de descendre avec moi. Je passais alors ma main sur sa joue. « Allez mon cœur... Je te promets que c'est certainement pas ça qui lui fera changer d'avis sur toi, ou qui fera qu'elle te verra autrement. Justement, elle sera surtout déçu si jamais tu ne descends pas ouvrir les cadeaux avec nous. » Je déposais ensuite un léger baiser sur ses lèvres en me penchant vers elle. « Et même, je pense que ça lui ferait plutôt plaisir de savoir que ça faisait partie de l’entraînement pour de possible futur petit enfants... Alors elle te jugera certainement pas sur ça, faut bien les faire hein. » j'affichais un nouveau sourire amusé, et me concentrais pour ne pas m'égarer. « Et puis je suis certain qu'elle le dira à personne, c'est clairement pas son genre pour le coup, ça tu peux me croire. ». Enfin elle ne le dirait pas d'elle même, mais ne contre dirait pas si on le lui demandait par contre, ça j'en étais sûr aussi. Je la regardais ensuite avec une petite moue en lui faisait les yeux doux. « Allez vient s'il te plaît mon cœur... je t'aime et j'ai vraiment très envie de te donner ton cadeau... » Bon c'était clairement du chantage affectif, mais au bout d'un moment j'étais prêt à tout pour la convaincre.

J'avais tout de même réussi par la convaincre, et qu'elle accepte de descendre avec moi. J'avais été plutôt surpris qu'elle m'avait acheté, ou du moins nous avaient acheté des pyjamas assortis. Je n'avais pas pu m'empêcher de trouver ça à la fois drôle et mignon, c'était une assez bonne idée, j'aimais plutôt ça je devais l'avouer. Une fois sortie du lit, et vêtu de nos magnifique spyjama a carreaux, je l'avais pris dans mes bras pour l'embrasser une dernière fois tendrement. « Allez une dernière ligne droite après on pourra être tranquille tout le deux chez toi pour le reste de la semaine... »Je mentais bien évidemment, et je déposais un autre bref baiser. « Et je reste avec toi t'inquiète, promis tout va bien se passer. » Je lui souriais pour la rassurer, puis lui prenait la main pour sortir de la chambre et descendre les escaliers. On croisait ma mère, nous indiquant que les petits nous attendaient pour les cadeaux, mais comme je le pensais, elle ne parlait pas, ni n'insinuait rien par rapport à ce qu'elle avait vu dans la chambre, ce qui était très bien. Par contre j'étais certain d'avoir peut être un petit sermon plus tard, quand je serai seul avec elle, du style, j'aurais pu me tenir quand même avec toute la famille présente, les faire attendre et tout. Mais bon, je ne regrettais clairement pas ces choix. Je hochais alors simplement la tête et entrait dans le salon, souriant et saluant tout le monde en leur souhaitant un joyeux noël. Tout avait l'air normal, jusqu'au moment où Owen avait pris la parole... Mon regard c'était figé sur lui, et mes yeux c'était une fois de plus arrondi de surprise. J'avais bien remarqué qu'il nous avait vu également, mais je n'aurais pas pensé qu'il aurait eu le culot d'afficher comme ça Cami devant toute la famille. J'aurais pensé qu'il m'aurait dit quelque chose à moi. Ma main c'était posé sur ma bouche, un large sourire amusé se dessinait sur mes lèvres, c'était plutôt nerveux. Car dans le fond, c'était réellement très drôle, le fait est, que ça concernait Cami, et que je lui avais promis que tout irait bien, et que personne ne dirait rien ! Elle allait me détester et être encore plus mal à l'aise! Tout le monde riait, il avait balancé l'info à tout le monde en descendant l'enfoiré. J'étais tout de même un peu gêné d'être autant au centre de l'attention, mais en même temps, clairement j'avais aucune honte de ce que je faisais avec Cami dans ce lit, au contraire même. Et puis au vu de leurs réaction, ça ne les choquait, ni ne les dérangeaient non plus. Je sentais Cami me lâcher la main et s'en aller, je lui parlait bas à son attention. « Nan Cami attends... » Mais c'était trop tard, et était déjà partie se cacher dans la cuisine. Je soupirais, comment j'allais réglé ça maintenant ? Je me retournais vers Owen, attrapait un coussin du canapé pour lui envoyé au visage. « T'es vraiment un enf... » Je me rendais compte qu'il y avait les enfants juste à côté. « Pas sympa ! Tu sais combien de temps j'ai mis déjà pour la convaincre de descendre ? »  Il avait l'air plutôt fier de sa blague, il en riait encore. « Ah c'est pour ça que vous avez mis autant de temps à descendre ? Je finissais par me dire que même l'intervention de ta mère ne vous avez pas arrêté. » Je me sentais obligé de rire quand même, il m'énervait mais en même temps j'aurais très bien pu lui faire le même genre de coup. « Arrête c'est pas drôle ! Elle va jamais vouloir revenir après, ni maintenant ni un autre jour, tu vas me la faire fuir avec tes conneries. » Je passais une main sur mon visage, réfléchissant à comment la faire revenir, ça allait clairement être impossible, elle voudra, sachant que maintenant tout le monde était au courant. « Oh mais je la taquine, ça va c'est rien ! Dis lui de s'y habituer en tout cas si elle compte revenir ! » J'espérais qu'elle allait s'y habituer, et comprendre qu'il ne fallait pas qu'elle soit gêné et encore moins fasse à lui, au contraire, plus il gênait les gens, plus ça l'amusait. « Bah laisse lui le temps de s'y habituer quand même la pauvre, elle vous connaît que depuis hier soir, bien sûr que ça la gêne... Bon je vais essayer de la faire revenir, mais plus un mot sur ça ok ? » Il levait les bras en signe d'approbation, et je tournais les talons. « Et au fait Dorian, ça va c'était sympa hier soir aussi? » Je me retournais, lui jetais un mauvais regard, avant d'afficher un sourire amusé. « Ferme là... » Il riait content de lui de nouveau, pendant que j'avançais vers la cuisine. Clairement c'était facile, on lui avait presque donné tout ce qu'il fallait pour nous afficher.

Arrivant dans la cuisine, je trouvais Cami adossé à l’îlot central, je la regardais avec un petit sourire désole en m'approchant d'elle doucement. « Je suis vraiment, vraiment, vraiment, désolé... Je pensais réellement que tout le monde ne serait pas au courant, et je pensais réellement qu'il n'oserait pas sortir un truc comme ça devant toi, ou devant tout le monde... » Je joignais mes mains, comme pour la supplier et me postais juste en face d'elle. « S'il te plaît ne me fais pas la tête, ne lui en veut pas, et surtout, ne part pas en courant le plus loin possible d'ici. » J'esquissais un petit sourire, et posais mes mains autour de sa taille. « Promis si tu veux, je ferais en sorte que tu le ne recroise pas avant un bon moment, mais sache que si il fait ça, c'est qu'il t'apprécie justement, c'est juste pour plaisanter avec toi, mais si tu ne trouve pas ça drôle, je lui dirai de ne plus faire ce genre de réflexion. » Je laissais un petit instant avant de reprendre. « Tu sais dans ce cas là sinon tu as deux solutions, soit tu l'ignores si ça te saoule, ou soit tu rentres dans son jeu et tu lui réponds un truc encore pire, hésite surtout pas... C'est un mec marié avec trois enfants, il est forcément frustré... Ne lui dit pas que j'ai dit ça. » Je laissais échapper un rire. Je prenais ensuite la tasse de cami des mains pour la poser à côté, juste pour pouvoir lui faire un câlin tendre. « Et puis pour le coup, dis toi qu'après ça, je ne vois pas ce qui pourrait t'arriver de pire, alors au moins, si tu réussi à surmonter ça et à passer au dessus, sans mauvais jeu de mot... Tu pourras surmonter tout le reste! » J'esquissais un sourire amusé avant de reprendre un peu plus sérieusement. « On y retourne alors ? On va tout loupé. T'a cas faire comme quand tu chantes, si quelque chose te gêne, tu l'ignores, et tu ne regardes que moi. Mais je pense que pour le moment ils ont compris, et il ne devrait plus y avoir de discussion autour de ça. » Je souriais en déposant doucement mes lèvres sur les siennes, dans l'espoir d'avoir réussi à la convaincre de revenir et de partager ce petit moment en famille.

On retournait peu de temps après ensemble dans le salon, la situation semblait s'être calmé, tout le monde étant concentré sur l'ouverture des cadeaux des enfants dans un premier temps. Ils étaient tellement émerveillés, avec un sourire jusqu'aux oreilles, qu'on ne pouvait que partager leurs joies. Nathan était tout de suite venu me chercher par la main pour me montrer ses gants de boxe que le père noël lui avait ramené. Je lâchais alors la main de Cami en lui lançant un regard un peu désolé de l'abandonner de nouveau et suivais Nathan, qui s’extasiait que j'allais enfin pouvoir lui apprendre.  Ce que bien évidement, lui avait promis avec grand plaisir et l'autorisation de ses parents. « Regarde tonton, c'est toi qui as le plus gros cadeau ! » Mia c'était exclamé en essayant tant bien que mal de me le rapporter, son frère était alors parti l'aider à me le ramener. « Ah oui ? J'ai vraiment dû être très sage cette année alors. » J'affichais un sourire amusé et fronçais tout de même un peu les sourcils en voyant la taille du paquet en effet plutôt imposante. Je remarquai qu'il était de la part de Cami, ce qui me rendait encore plus perplexe, j'avais relevé le regard vers elle, elle était de l'autre côté du salon, lui lançant un regard interrogateur, mais en gardant mon sourire fixé sur mes lèvres. Comment avait-elle ramené un truc aussi gros ici ? Elle était arrivé avec presque rien de l'avion. J'arrachais alors le papier, tout de même impatient de savoir ce qui se cachait à l'intérieur, pour le coup j'en avais strictement aucune idée. Une grosse boite, sans inscription était en dessous, je l'ouvrais alors délicatement, avant d'y trouver un étui à guitare à l'intérieur. Mes sourcils se fronçaient de plus en plus, étant de plus en plus perplexe, qu'est ce qu'elle avait fait ? Je posais alors l'étui sur mes genoux, pour me préparer à l'ouvrir. J'ouvrais doucement les loquets, avant d’ouvrir l'étui à la même vitesse. En soulevant la partie supérieur, mes yeux s'écarquillaient et je refermais la boite aussi tôt, relevant mon regard vers Cami, la regardant avec de gros yeux et un sourire qui s'agrandissait sur mon visage. Elle était folle de m'offrir un truc pareil. Je l'ouvrais de nouveau, et y admirais une magnifique guitare, signé de la main des membres du groupe Imagine Dragons, qui était clairement mon groupe favori depuis des années. Ce truc devait valoir une fortune. C'était incroyable, je n'osais même pas la sortir de son étui. Je me sentais réellement comme les gamins, tout aussi fou de recevoir ce cadeau de folie.  Alex qui était à côté de moi, regardait par dessus mon épaule, et était également plutôt impressionné du cadeau, elle en était presque jalouse. « Eh beh elle ce fout pas ta gueule au moins ! » J'esquissais un sourire amusé, avant de faire un signe de la main à Cami qu'elle était complètement cinglé. J'avais tout de même fini par la sortir rapidement, afin de la voir de plus près, et juste de passer mes doigts sur les cordes. Je la rangeais ensuite dans sa boite pour ne pas l’abîmer, et surtout la mettre à l'abri des enfants. Je me levais ensuite pour la rejoindre, un large sourire aux lèvres. La prenant dans mes bras et l'embrassant amoureusement. « T'es une vraie malade, je te le dis clairement... Je sais pas quoi dire, elle est incroyable. Je t'aime de tout mon cœur. » Je l'embrassais de nouveau, me fichant pour le coup du reste de ma famille, de toute façon bien occupé à ouvrir leur propre cadeau. « Je pense t'aurait pas pu taper plus juste, je pourrais te dire merci mille fois que ça serait pas suffisant. » Je reprenais ensuite un peu plus bas pour que seule elle entende. « Je te promets de te remercier comme il se doit une fois rentré... » J'esquissais un discret sourire en coin, avant de me détacher d'elle doucement. J'étais tellement content par ce cadeau que je pourrais littéralement lui sauter dessus pour ça.

Je regardais ensuite ma mère et ma sœur ouvrir les cadeaux que je leur avaient offert, j'avais pu leur faire bien plaisir grâce à la prime que j'avais touché avec ma mission. Elles en étaient plus que ravie, j'ouvrais également d'autres cadeaux m'étant destinés. Ma mère avait même fait un petit cadeau à Cami, pour ne pas qu'elle ne sente trop mis de côté, ce n'était pas grand chose, mais je trouvais ce geste de sa part vraiment adorable. Nathan arrivait ensuite vers Cami tout content, lui apportant le cadeau que je lui offrais. Je devais avouer que j'étais étrangement plutôt stressé, j'espérais que ça allait lui plaire, qu'elle n'allait pas trouver ça trop, mais j'avais également tellement hâte, depuis le temps que je préparais ça. Je lui avais préparé un voyage en amoureux, pour simplement elle et moi, quelques jours sous le soleil de Tahiti. Je voulais lui cacher la destination jusqu'au dernier moment, et la surprise était surtout que l'on partait déjà le lendemain, pour revenir juste avant le nouvel an. Alors j'espérais surtout qu'elle appréciait ce genre de surprise, c'était assez difficile de la sortir de son travail, alors c'est ce qui me faisait tout de même un peu douter. Je ne savais pas encore vraiment si elle appréciait qu'on lui change tout ses plans à la dernière minute, elle qui est toujours si bien organisé, avec tout de programmé au millimètre près. Mais j'étais sûr d'une chose, plusieurs jours, avec le minimum de vêtements, sur une plage paradisiaque, avec moi comme seule compagnie, ne pouvait que lui plaire. Je lui avais alors tout de même offert dans une boite, un maillot de bain assez sexy qui je pense lui plairais, en guise de petit indice, avec une petite note qui disait : «Mon cœur, fait tes valises dès ce soir, nous partirons demain pour une destination de rêve. Je t'enlève pour ces quelques jours, ton seul compagnon de voyage, ce sera moi. Une petite parenthèse rien que nous deux, loin de tout, pour profiter d'être ensemble tout simplement. Tu sais à quel point j'aime le temps qu'on passe ensemble, mais je trouve que ça fait longtemps qu'on ne c'est pas offert un petit moment hors du temps, qu'en penses tu ? J'ai hâte d'être dans cet avion avec toi, je t'aime. »


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Message(#)(camian 7) we could leave the Christmas lights up 'til january. - Page 2 EmptyDim 28 Jan 2024 - 1:05

La nuit avait été incroyable. Des parfaites retrouvailles, dignes des rêves les plus fou qu’elle avait pu avoir. En se réveillant ce matin, les caresses de Dorian lui remémoraient des tonnes de souvenirs, plus agréables les uns que les autres, plus intenses, plus fort, plus torride. Rien qu’avec le bout de ses doigts sur sa peau, elle frissonnait, elle pouvait presque ressentir son souffle chaud sur sa nuque, elle se souvenait de ses baisers sur chaque parcelle de son corps, de ses mains dans les siennes, de son corps contre le sien. Il ne lui fallut que quelqu’un instants, très court, pour avoir cette incontrôlable envie de lui, de le sentir, de partager un moment passionnée et intime avec lui. Rapidement, tout s’était enchainé, les baisers, les gâteries, les caresses et enfin, le moment tant attendu. Ils ne faisaient plus qu’un. Prêt à être en symbiose, en parfaite harmonie. C’était sans compter sur Suzanne, son intrusion et le honte monumentale que Cami ressentait. Elle ne voulait plus sortir de la chambre, pour cause, la mère de son petit-ami, qu’elle venait tout juste de rencontrer, venait de la surprendre, nu, dans une position plus que compromettante. C’était horrible, ce n’était pas possible, jamais elle n’oserait descendre et bien que Dorian trouvait cela drôle et arrivait à faire de l’humour là-dessus, elle, elle ne trouvait pas cela drôle du tout. C’était sa belle-mère, elle l’avait rencontré hier, il y a moins de vingt-quatre heures, et elle l’avait déjà vu sans ses vêtements. Elle était honteuse, et en plus, elle était également sur sa faim, elle avait été excitée à un point très haut et finalement, elle n’avait même pas eu le droit de le sentir pleinement et de transpirer à ses côtés – ce qui était surement la même chose pour lui, surtout après le petit plaisir qu’elle lui avait offert-. Toujours sous la couverture, bien qu’elle écoutait ce que Dorian lui disait, elle s’en fichait royalement, elle ne sortirait pas. Il en plaisantait, et bien-sûre que sa mère se doutait qu’ils n’étaient pas chastes et purs à attendre après le mariage pour s’envoyer en l’air mais il n’empêche que c’était gênant. Elle aimerait bien le voir si les rôles étaient inversés, si c’était Katherine Hasting, la reine mère qui les avaient surpris, pour cause, la réaction du jeune homme n’aurait certainement pas été la même. De plus, elle devait descendre et affronter toute sa famille. Sortant – enfin-, la tête de la couverture, elle lui donnait une tape sur l’épaule lorsqu’il lui demandait s’il était trop tard pour continuer. « Dorian.. Arrête, ce n’est pas drôle. » Honteuse, frustrée, gênée, elle ne voulait plus se sentir comme ça, et là, il ne l’aidait pas beaucoup. Ses yeux s’agrandissaient en entendant Dorian dire que sa mère serait ravie de savoir que c’était l’entrainement pour les petits enfants, Cami secouait la tête avant de reprendre. « Non, mais.. ne me dis pas que tu vas dire ça à ta mère. ? » Elle espérait grandement qu’il plaisantait, il ne pouvait pas avoir cette discussion avec sa mère. Elle fronçait les sourcils en l’entendant, il faisait maintenant le chantage affectif et naturellement, elle ne pouvait que craquer et acceptait de descendre en entendant ses mots. Elle le regardait, avec ses yeux pleins d’amours. « Tu as gagné.. C’est bon.. Je viens.. » Cami sortait du lit et se dirigeait vers sa valise. Tendant un pyjama qui matcher avec le siens à Dorian, elle se tournait vers lui un sourire aux lèvres. « Je t’aime aussi. »

Enfilant son pyjama, notre américaine souriait grandement en l’entendant, le programme de la semaine qui arrivait lui semblait plus que parfait, elle avait hâte de se retrouver dans son appartement, à ses côtés, ne quittant pas beaucoup son lit, hormis pour aller sous la douche, ou sur le plan de travail de la cuisine, le canapé était aussi une possibilité. « J’ai vraiment hâte de vivre cette semaine entière avec toi. » Maintenant, tout serait différent, elle essayait de ne plus y penser mais malgré tout, la dispute avait eu lieu et, ils ne se verraient plus autant qu’avant. Cami ne passerait plus ses nuits chez Dorian, sauf si son nouveau colocataire ne serait pas là. Alors, c’est tout naturellement, qu’elle avait hâte de passer une semaine à ses côtés, sans personne. L’avantage d’avoir fermé sa société pendant les vacances, elle serait tout à lui, sans aucune distraction, comme un retour à Nashville, presque cinq mois plus tard. Elle avait hâte. Descendant les escaliers mains dans la main avec Dorian, elle souriait en arrivant dans le salon, c’était surement un sourire de façade pour juger la tendance en bas. Tant qu’elle n’aura pas vu Suzanne, elle ne sera pas détendue, et malheureusement, elle ne serait pas détendue pendant un moment. L’intervention d’Owen, lui faisait perdre son sourire. Tous les yeux des membres de la famille Kean étaient tournés vers eux, les rires d’Axel et de l’oncle de Dorian s’élevaient dans les airs, Cami ne savait plus où se mettre, Emily tapait Owen sur l’épaule. Cami lâchait rapidement la main de Dorian pour s’enfuir loin de tout le monde, et même si elle l’entendait, qu’il voulait la retenir, elle ne pouvait rester avec toutes ses personnes qui venaient clairement de comprendre qu’elle aimait les matins crapuleux. Dans la cuisine, elle sortait tout ce dont elle avait besoin pour se préparer une bonne tasse de café. Elle en avait définitivement besoin.

Notre américaine, portait la tasse à ses lèvres, prenant une grosse gorgée. Elle la savourait, ce remémorant toute cette matinée. Elle ne savait plus quoi faire, elle savait qu’elle ne pouvait pas rester ici, enfermée, seule dans la cuisine, à boire du café, elle allait devoir y retourner, mais là, tout de suite, elle ne pouvait pas. La porte s’ouvrait sur le magnifique blond, qu’elle avait la chance d’appeler petit-ami. Elle lui esquissait un sourire, avant de secouait la tête en l’entendant. « Ce n’est pas ta faute Dorian, je ne t’en veux pas du tout.. Je n’ai aucune raison de t’en vouloir. Et je n’ai pas l’intention de fuir, tu es bloqué avec moi, pour très longtemps. Mais, je ne veux pas retourner dans le salon. Tu ne réussiras pas à me convaincre. » Elle était déterminée dans ce qu’elle disait, elle ne voulait pas y retournait et voir Owen, son oncle et Alex. Elle souriait en sentant ses mains autour de sa taille, le fait qu’il prenne sa tasse de café pour l’avoir au plus près d’elle, lui réchauffait le cœur, mais cela ne suffisait pas, et il le savait. « Mais non.. Ce n’est pas ça. » Elle voulait bien sur continuait de voir Owen et sa femme, même l’oncle de Dorian et bien sur qu’elle savait que ce n’était pas méchant mais ce n’était pas pour autant drôle. Peut-être s’il avait fait la blague quand il n’y avait eu qu’eux quatre, elle aurait ris, mais là, il l’avait affiché devant tout le monde, y compris la mère de Dorian, et ses oncles et tantes plus âgés. Elle ne les connaissait pas encore assez pour comprendre qu’ils trouveraient ça plutôt drôle qu’autre chose, mais elle, elle avait peur qu’il la trouve trop « facile ». Qu’est ce qui pouvait lui arriver de pire ? Elle n’en avait plus aucune idée, mais après tout ce qu’elle avait entendu hier, elle ne savait plus à quoi s’attendre. « Tu avais dit exactement la même chose hier, après les frasques de ton oncle et finalement, nous y re-voila, c’est comme si, chaque action que je fais, m’enfonce un peu plus. Elle soupirait doucement avant de reprendre, d’une voix calme. Ta famille ne vas pas avoir une bonne impression. Je suis la fille qui s’envoie en l’air avec son petit-ami, sous le toit de la maison familiale et qui se fait surprendre, c’est génial. » Elle n’osait même pas le regardait dans les yeux, elle se demandait presque, si lui, n’était pas gênée. « Je suis désolé.. de te faire honte devant ta famille. » Il voulait y retourner, et elle savait qu’elle ne pouvait pas y échapper. Elle entendait les enfants qui s’émerveillaient en ouvrant leurs cadeaux et elle s’en voulait que Dorian loupe cet instant de magie. Elle secouait la tête positivement, prête à retrouver la famille du jeune homme. Elle profitait de son tendre baiser, avant de reprendre sa tasse. Elle prenait une gorgée et se dirigeait avec lui dans le salon.

A peine arrivés dans le salon, les deux jeunes gens furent séparés par Nathan, impatient de montrer à Dorian ses nouveaux gants de boxe. Cami les regardait de loin, et elle ne pouvait s’empêcher de sourire face à cette image de Dorian et de son neveu. C’était si doux, si naturel, si mignon. Rien qu’avec cette image, elle savait qu’il serait un père parfait, attentionné, doux, présent, elle ne doutait pas un instant de sa capacité à être un mari parfait, un père aimant, la famille qu’elle rêvait, elle espérait pouvoir l’avoir à ses côtés. Assise aux côtés d’Emily, elles discutaient, tout en regardant les enfants qui ouvraient les cadeaux, la tonne d’emballage présent sur le sol du salon, montrait que le nombres de cadeaux étaient énormes, beaucoup trop de cadeaux. Cami regardait chaque personne qui ouvrait leurs cadeaux. Elle avait pris la peine de faire un cadeau à Suzanne, ainsi qu’à Alex. Pour sa nouvelle belle-mère, hormis les fleurs, elle lui avait pris une journée en compagnie d’Alex dans un institut thermal de la ville, elle allait pouvoir profiter de massage, de jacuzzi, de soins, d’un véritable moment de détente et quoi de mieux que de le passer avec sa fille ? Pour Alex, elle avait opté pour un sac à main qu’elle avait repéré dans un magasin de Brisbane, elle en avait parlé rapidement à Cami, et la demoiselle lui avait acheté. Même Loki avait le droit à son cadeau de sa part. La voix de Mia s’élevait dans le salon, demandant à Dorian de l’aider à porter son cadeau. Il avait visiblement le plus gros cadeau de la maison. Cami souriait, sachant parfaitement, qu’il s’agissait de son présent. Lorsqu’elle avait cherché le cadeau parfait pour l’homme qu’elle aimait, elle ne pensait qu’à une seule chose, la musique, c’était sa passion et elle voulait lui faire plaisir. Finalement, ce jour-là, quand elle avait eu l’idée de ce qu’elle voulait lui offrir, son nom de famille et ses contacts l’avaient aidé. Elle avait réussi à contacter le groupe favori de Dorian pour leur demander de dédicacer une guitare. Mais ce qui était encore plus magnifique dans ce cadeau, c’est qu’il s’agissait de la guitare du groupe, ils ont joué sur scène avec et maintenant, elle était dans les mains du jeune homme – enfin, bientôt dans ses mains -. Cami le regardait amoureusement, ne souhaitant loupé aucunes secondes de sa réaction, elle voulait voir si cela lui faisait vraiment plaisir. Quand il refermait tout aussitôt l’étui, Cami ne pouvait s’empêcher de rire, pourquoi faisait-il ça ? Visiblement, le cadeau lui faisait plaisir, et cela lui suffisait amplement. La remarque d’Alex la faisait sourire, mais en réalité, tout ce qu’elle voulait s’était comblé Dorian, comme il la comblait de bonheur depuis plusieurs mois désormais. Emily était partie s’occuper de Mia et Nathan, laissant Cami seule pendant quelques secondes seulement. Elle souriait à Dorian quand il arrivait et le prenait dans ses bras, passant ses mains autour de son cou tendrement. « Joyeux Noël mon amour.. Elle souriait en l’entendant, ses yeux étaient remplis d’amour, si pur, si sincère. Je t’aime encore plus. » Elle profitait de son baiser, de ses lèvres, contre les siennes. Personnes ne les regardaient, tous omnibulés par leurs cadeaux. « Tu n’as pas besoin de me remercier autant de fois, te voir sourire me suffit amplement. » Elle souriait, restant dans ses bras, se mordant la lèvre inférieure en entendant sa proposition, qu’elle savait assez sportive, intense mais tendre à la fois. La demoiselle, lui chuchotait à l’oreille. « J’ai le même ensemble qu’hier soir en noir qui t’attends à la maison.. Lançait-elle à son oreille, elle se décalait ensuite pour le regarder et voir sa réaction, elle lui faisait un clin d’œil coquin avant de reprendre. Mais.. Je sais comment tu peux me remercier.. Elle laissait un court instant de silence. Tu pourrais me jouer la chanson que tu m’as écrite avec cette guitare là ? » Depuis qu’elle l’avait entendu, elle attendait avec impatience, de l’entendre à nouveau. Cette chanson, il l’avait écrite pour elle et si elle pouvait, elle l’écouterait tous les jours.

Cami fut agréablement surprise lorsqu’elle recevait un cadeau de la part de Suzanne. Elle la remerciait de nombreuses fois avant de l’ouvrir, un magnifique bracelet en or, avec un petit pendentif ou était gravé la lettre D. C’était si mignon, un cadeau personnalisé qui plus est. La demoiselle attachait le bracelet à son poignet et le montrait avec un grand sourire à son petit-ami. « Tu seras avec moi, tout le temps maintenant. » Bien que ce n’était pas vraiment nécessaire, peut-importe où elle allait, Dorian était toujours avec elle, dans ses pensées, il était sa principale pensée, source d’inspiration. Dès le matin où elle ouvrait les yeux, au soir où elle les fermait, elle ne pensait qu’à lui principalement. Nathan arrivait tout sourire et lui tendait une boite. Cami se tournait vers Dorian, un sourire aux lèvres, elle avait reconnu son écriture sur la boite. « Merci, monsieur Kean. » Elle déposait un tendre baiser sur sa joue avant d’ouvrir la boite doucement, prenant soin de l’emballage, tel la maniaque qu’elle était. Elle regardait le maillot de bain et levait son regard vers Dorian avant de se mordre la lèvre inférieure. « J’ai hâte que tu me l’enlèves. » Au vu du maillot assez sexy qu’il venait de lui offrir, elle n’était même pas certaine qu’elle allait pouvoir le mettre plus de cinq minutes. Elle lisait le mot et tout ce qu’il lui disait, lui donné les larmes aux yeux. Elle l’aimait si fort, et c’était partagé, elle était tout à fait d’accord avec lui, cela faisait un moment qu’ils ne s’étaient pas retrouvé juste tous les deux. « Merci.. C’est le cadeau parfait.. Juste être avec toi, je ne pouvais rêver mieux.. Je t’aime. Elle venait déposer ses lèvres sur les siennes. Profitant d’un long et tendre baiser, sa main sur sa joue. Elle avait hâte d’être avec lui. « On part demain ? Elle avait des tonnes de questions à lui poser, et elle allait le faire. Donc, ce soir on dort à mon appartement et demain on repart ? Ta valise est déjà prête à toi ? Elle lui souriait avant de reprendre. On part où ? Elle savait très bien qu’il n’allait pas lui dire mais elle était prête à tenter tout de même. Tu sais, tu devrais me le dire, comment je sais ce que je dois prendre dans ma valise ? Je ne vais pas y aller toute nue quand même, si ? Elle savait que cela ne dérangerait pas Dorian, qu’elle passe ses journées nues à ses côtés mais devant d’autres gens cela le dérangerait forcement. J’ai hâte d’être dans l’avion avec toi aussi.. Tu penses que comme à notre retour de Nashville, on aura le temps de reprendre l’entrainement pour les futurs enfants ? Elle avait tellement envie de lui à ce moment précis. Si tu savais comme j’ai terriblement envie de toi à ce moment précis. » Elle se mordait la lèvre tout en le regardant de haut en bas.

Owen avait le don de toujours arrivé dans les plus mauvais moments et c’est ce qu’il faisait en arrivant vers Dorian. Il tapait sur l’épaule de son cousin avant de reprendre. « Alors cousin, Mia m’a dit que tu avais le plus beau et grand cadeau. Qu’est-ce que c’est ? Tu me le montres ? Et qui te la offert. Je sais que c’est pas un sous-vêtements, parce que vu la taille de ton engin, le paquet serait tout petit. » Il ne pouvait pas s’empêcher de faire des blagues à caractères sexuel, c’était dingue. Pendant ce temps là, Cami discutait avec Suzanne. « Merci d’être venue Cami, je suis ravie de t’avoir rencontré. Merci de rendre Dorian, si heureux, il est tellement apaisé, et si heureux depuis que tu es dans sa vie. » Cami souriait en entendant tous les compliments de Suzanne, cela la touchait au plus profond de son cœur, mais si seulement, elle pouvait se rendre compte que c’était tout l’inverse, que c’est Dorian qui avait sauvé Cami, c’était lui qui la rendait heureuse, qui lui avait fait comprendre, qu’elle aussi, elle était importante pour quelqu’un, il était incroyable. « Allez, tout le monde, le petit déjeuner est servi sur la terrasse. Les enfants, vous joueraient après avec vos jouets, tous à table. » Cami s’approchait alors de Dorian, tout le monde partait vers le jardin, Cami se mettait sur la pointe du pied pour lui chuchotait à l’oreille. « Et si on reprenait l’entrainement. Je ne pense pas pouvoir attendre plus longtemps.. Elle le regardait dans les yeux, se mordant la lèvre avant de reprendre. Une douche, ça te dirait ? » Elle déposait un baiser à la commissure de ses lèvres qui pouvait lui donner un avant-gout de ce qu’elle avait envie de lui faire dans la salle de bain.

@Dorian Kean (camian 7) we could leave the Christmas lights up 'til january. - Page 2 1150905828 (camian 7) we could leave the Christmas lights up 'til january. - Page 2 2279683226 (camian 7) we could leave the Christmas lights up 'til january. - Page 2 667269207 (camian 7) we could leave the Christmas lights up 'til january. - Page 2 394614564 (camian 7) we could leave the Christmas lights up 'til january. - Page 2 3956312242 (camian 7) we could leave the Christmas lights up 'til january. - Page 2 3956312242 (camian 7) we could leave the Christmas lights up 'til january. - Page 2 826475116
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Message(#)(camian 7) we could leave the Christmas lights up 'til january. - Page 2 EmptyMar 30 Jan 2024 - 21:39

La journée venait à peine de commencer, et voilà qu'elle prenait déjà une mauvaise tournure. Je devais une fois de plus tenter de convaincre Cami que tout allait bien, qu'elle n'avait fait rien de mal, et m'excuser du franc parlé de ma famille et de leur côté légèrement taquin. Owen l'avait clairement achevé en l'affichant ainsi devant toute la famille, faisant bien comprendre à tous nos inttentions matinale. Heureusement pour moi qu'elle était tout de même pleine de bonne volonté et de patiente, car elle faisait tout pour tenter de les comprendre et de les apprécier, malgré leur maladresse et leur remarque parfois déplacées. Elle faisait également des efforts pour se laisser convaincre par moi même à chaque fois, et ça je le voyais très bien et je lui en étais très reconnaissant. Même si je comprendrais tout à fait qu'elle voudrait qu'on attende un petit moment avant de réitérer l'expérience dîner en famille. J'étais tout de même rassuré de l'entendre me dire qu'elle n'avait aucunement l'intention de fuir, et qu'au contraire, que j'étais même bloqué avec elle pour très longtemps, elle n'était pas encore traumatisée, tout allait bien. J'avais beau lui expliquer que le pire était certainement passé, qu'elle avait toujours un contre argument, elle avait l'impression de tout faire de travers. « Hm personnellement je trouve quand même le coup de mon oncle hier, pire que le coup d'Owen de ce matin. Mais te prend pas la tête la dessus, c'est absolument pas de ta faute ça hein, c'est eux qui sont pas net, pas toi. » Lançais-je d'un air amusé pour tenter de la détendre un peu. C'était en soi la vérité, tout ce qu'elle avait fait depuis son arrivé ici, elle l'avait fait parfaitement, à chaque fois c'était quelqu'un de ma famille qui la mettait mal à l'aise, jamais l'inverse. Elle n'avait rien à ce reprocher, au contraire même, elle a été plus que géniale avec eux. Je lui relevais ensuite son visage vers moi pour qu'elle me regarde dans les yeux, voyant bien qu'elle n'appréciait pas l'impression qu'elle pensait donner à ma famille. « Et alors ? C'est pas bien grave, ça fera une anecdote amusante à raconter dans quelques mois, années même. Et puis ne t'en fait pas qu'ils vont surtout retenir que tu es la fille magnifique, qui me rend heureux et me comble entièrement, c'est génial aussi non ? » Elle ne pouvait pas s'empêcher de s'excuser, et je ne pouvais pas m'empêcher de lever les yeux au ciel en l'entendant penser qu'elle pouvait me faire honte devant ma famille. « Tu plaisantes j'espère ? Comment tu veux que j'ai honte de toi franchement ? Déjà tu n'étais pas toute seule à le faire d'une part. Et d'autre part, même si c'était un peu gênant, qu'importe la situation, je serais tout le temps fier d'être avec toi. Et puis quand bien même, ma famille peut bien penser ce qu'elle veut, la seule chose qui m'importe c'est toi. » Je lui souriais tendrement, profitant de ce délicat baiser, soulagé également d'avoir réussi à la convaincre de retourner profiter de ce matin de noël.

Tout le monde était très heureux de découvrir chacun des cadeaux présents sous le sapin, surtout les enfants d'ailleurs, qui n'arrêtaient pas de s'exclamer de joie à chaque ouverture. J'avais trouvé ça vraiment très gentil de la part de Cami d'avoir même fait un cadeau à ma sœur qu'elle connaissait à peine et à ma mère qu'elle n'avait encore jamais rencontré. En tout cas j'étais certain que ces choix allaient grandement leur plaire. Quant à moi, clairement j'avais imaginé un tas de chose, mais pour le coup j'avais été réellement très agréablement surpris par son cadeau. Il était tout simplement incroyable, inimaginable même pour moi. Cette guitare était magnifique, et rien que le fait de savoir qu'elle avait été certainement utilisé par les membres du groupe, me rendait aussi fou que ces gamins. Je n'avais pas pu résister à l'envie de la serrer fort dans mes bras et de l'embrasser avec tout mon amour. Je ne savais absolument pas comment la remercier d'un tel cadeau, c'était vraiment beaucoup pour moi. Enfin techniquement si, j'avais bien une petite idée, mais elle n'était pas vraiment réalisable ici, chez ma mère. Mais en tout cas, l'offre avait plutôt l'air de lui plaire, vu la réponse qu'elle m'offrait, me promettant en retour quasiment le même ensemble de sous vêtement si terriblement sexy qu'hier soir. Je la regardais alors d'abord un peu surpris, mais avec un air très intéressé et un petit sourire aguicheur au coin des lèvres. « Encore un cadeau ? Tu me gâtes trop. Je vais être beaucoup trop pressé de rentrer après... Mais de base, il me semble que c'est moi qui dois te remercier. » Noël n'allait donc jamais s'arrêter, quelle chance pour moi. Elle trouvait finalement comment je pourrais la remercier de ce cadeau, en lui jouant avec cette guitare la chanson que je lui avait écrite et chanter le jour du mariage. Je souriais en y repensant, et trouvais l'idée plutôt intéressante. « Hm je pense que ça doit pouvoir se faire oui... Ce serait un vrai plaisir de jouer cette chanson en toute première sur cette guitare de folie. Je le ferai dès que tu le souhaiteras, ici devant tout le monde, ou juste entre nous une fois rentré. » Je la regardais tendrement avant de déposer un nouveau baiser sur ses lèvres avec la même délicatesse. Il était vrai que j'avais grandement hâte de pouvoir jouer sur cette guitare.

Je souriais en voyant la surprise de Cami en se rendant compte qu'elle avait eu un cadeau de la part de ma mère. Elle avait absolument voulu que je l'aide à lui trouver une idée de cadeau, elle ne voyait pas ne rien offrir à sa nouvelle belle-fille tout de même. Je lui avais supposé l'idée d'un bijou, simple et efficace, et après elle c'était débrouillé d'elle même pour le choisir. J'attrapais doucement le poignet de Cami pour le regarder de plus près, il était vraiment très joli, elle avait fait un très bon choix. « Parfait ça alors. Et toi tu sera à moi tout le temps maintenant. » Je lui avais répondu avec léger air amusé, mais tendre à la fois. J'appréciais plutôt le fait de la voir porter quelque chose avec mon initiale dessus, et de voir que ça lui faisait en plus très plaisir aussi, cette femme était entièrement à moi. Je souriais ensuite à la voyant avec mon cadeau dans les bras, j'étais à la fois impatient mais aussi stressé qu'elle l'ouvre. « Ne me remercie pas encore, tu ne vas peut être pas aimer... » J'étais presque persuadé du contraire, mais j'aimais entretenir un peu de suspense. Je la regardais alors déballer la boite et était satisfait de sa réaction quand elle y trouvait en premier lieu le maillot de bain en la voyant se mordre la lèvre. Je feignais un léger soupir exaspéré en entendant sa remarque, qui en réalité, m'avait déjà traversé l'esprit plusieurs fois. « Tu ne sais même pas à quoi il va servir que tu veux déjà que je te l'enlève, t'es pas possible hein... » Ce maillot avait quand même pour but premier de servir pour les vacances, non ? Je la regardais ensuite attentivement lire la petite note qui accompagnait le paquet et qui était le véritable cadeau. Mon sourire s’agrandissait en me rendant compte que ça lui plaisait, en la voyant émue par ces quelques mots. Je la serais de nouveau dans mes bras, lui rendant son long et tendre baiser avec soulagement. Ça lui plaisait, je ne pouvais pas être plus heureux. « Je t'aime aussi. » J'avais encore plus hâte désormais de partir pour ces petites vacances bien méritées, loin de tout et de tout problème. « Exact, demain matin exactement, la nuit va être courte. » J'attendais le moment où elle allait me poser tout un tas de question, et il arrivait. « C'est ça, il faut juste qu'on passe rapidement à mon appartement y récupérer ma valise qui m'attend sagement, et après on retourne chez toi préparer la tienne. » J'esquissais un sourire amusé en l'entendant me demander où est ce qu'on allait partir. « Bien tenté, mais tu le sauras bien assez vite ne t'en fait pas. Si ça ne tenait qu'à moi, je te banderais les yeux tout le temps du voyage pour ne pas que tu le saches, mais ça risquerait de faire un peu long tout de même. » C'était une sorte de petit indice, elle saurait au moins que ce n'était pas tout à fait la porte à côté. Je riais doucement ensuite en l'entendant se demander comment elle allait faire sa valise sans connaître la destination, précisant qu'elle ne pouvait pas y aller nue. « Bah techniquement, il y a de grandes chances je pense, que tu le sois une bonne partie des vacances, je te le cache pas... Donc tu n'auras pas besoin de beaucoup de vêtement, ce maillot de bain et ton superbe ensemble dont tu m'as parlé suffira amplement... » Plaisantais-je un sourire amusé aux lèvre. Même si quelque part, c'était assez vrai. « Je t'aiderais pour ta valise, ne t'en fait pas pour ça, pas besoin de savoir du coup. » Finissais-je avec un sourire content de moi. Mon empressement de partir était déjà de plus en plus importante, et elle ne diminuait certainement pas en l'entendant parler de notre retour en avion de Nashville, me demandant si ça se passerait de la même manière pour ce voyage ci. Je lui lançais un regard alors plus qu'intéressé avec un petit sourire en coin. « Alors pour l’entraînement dans l'avion je ne suis pas certain que ce sera possible... Mais par contre une fois là bas... » Je préférais ne pas finir cette phrase, afin d'éviter de me rendre trop impatient, et de me donner déjà trop envie d'y être, et surtout trop envie tout court. Car rien que le fait de l'évoquer, me laissait imaginer tout ce qui pourrait ce passer là bas, tout ce que nous pourrions faire sans la moindre limite. Je n'allais pas le cacher, j'avais hâte d'y être. Que ce soit pour le côté romantique et incroyable du lieu, comme pour le côté intense qu'annonçaient ces paroles. Malgré que je tentais de résister et de réprimer cette envie qui avait commencé à grandir en moi, Cami m'achevait clairement en me partageant son envie pour moi, tout de suite maintenant. La voir me regarder ainsi, avec ce désir dans le regard, sa lèvre qu'elle se mordait, j'en oubliais presque l'endroit où nous étions. Mon regard c'était fait plus intense, partageant grandement cette envie soudaine, ma main se posant sur joue, avec une envie de l'embrasser comme un fou. Mais je me rendais tout de même compte que nous étions toujours chez ma mère, et toujours entouré de ma famille et toujours à noël avec des enfants aussi autour. Mes yeux s’arrondissaient alors en comprenant ce qu'elle venait de dire à voix haute et je posais une main sur sa bouche. Je lui parlais alors bas pour que seul elle entende. « Dis pas des choses comme ça, ça va pas bien. Ne fais pas ça avec tes lèvres, et ne me regarde pas comme ça... Je vais finir par craquer sinon... » Je lui faisais les gros yeux comme pour la disputer mais avec un petit sourire amusé aux lèvres, tout en vérifiant si personne d'autre que moi ne l'avait entendu. Bien sûr que j'en avais envie au moins autant qu'elle, mais c'était absolument ni le lieu ni le moment, même si j'avoue que c'était horriblement tentant. Je l'aimais tellement, mais clairement je la détestais de la désirer autant ici.

Peu de temps après, je lâchais Cami en sentant Owen me taper sur l'épaule, je ne saurais dire si c'était extrêmement au mauvais moment ou alors si il tombait à pic pour nous éviter un dérapage incontrôlé. Je souriais alors comme si de rien n'était en l'écoutant me questionner sur mon cadeau, et je n'avais pas pu m'empêcher de rire en entendant sa blague douteuse, s'attaquant gratuitement à la taille de mon engin comme il le disait si bien. « Tu plaisantes ? Le paquet là n'aurait jamais été assez grand pour un simple boxer. Je me fait livrer par camion monsieur. » Je riais avant de reprendre plus sérieusement. « Nan c'est Cami, elle m'a offert une guitare de folie. » Je me dirigeais d'ailleurs vers la dîtes guitare pour la lui montrer, en la sortant de son étui. « Dédicacé par les membres du groupe eux mêmes. Ça te troue le cul hein ? » Je savais qu'il en serait jaloux, il aimait beaucoup ce groupe également, on à d'ailleurs été à certain de leur concert ensemble déjà. Il me la prenait alors doucement des mains, comme si il portait son propre bébé, voir même avec plus d'attention peut être. « Elle est vraiment magnifique ! C'est dommage que tu rentres en avion, je vais te la garder en attendant alors, t'en fait pas pour elle. » Je la lui reprenais alors des mains, avec un sourire amusé. « Bah bien sûr, ne crois pas trop, elle rentre avec moi coûte que coûte celle là ! ». Je la rangeais alors délicatement à sa place en entendant ma mère nous demander d'aller sur la terrasse prendre le petit déjeuné, ça tombait bien, j'avais une faim de loup. Mais Cami m'arrêtait avant de sortir, je ne m'attendais pas à ce qu'elle en rajoute une couche et qu'elle continue de me tenter davantage. Je lui lançais alors un regard entendu, un sourire en coin. C'était réellement terrible, et c'était vraiment mal ce qu'elle faisait, on ne pouvait pas, ou du moins, on ne devait pas, surtout que ma mère nous attendait à l'extérieur. Et j'avais clairement aucune envie de lui dire non, au contraire, mon corps ne réclamait que ça de lui sauter dessus. « Cami on... » Je voulais vraiment lui dire que ce n'était pas possible, mais elle me coupait en me proposant une douche, tout en déposant un petit baiser au coin de mes lèvres. Je basculais alors ma tête en arrière, dépité d'être aussi faible, et me mordait l'intérieur des joues. Je ne pouvais m'empêcher de sourire et d'en avoir envie en la voyant aussi proche de moi, et aussi tentante. « C'est pas bien ce que tu fais... Tu le sais ça ? Tu me manipules par les sentiments... » Je lançais un regard vers la baie vitrée, avant de reposer mes yeux sur elle, la détaillant de haut en bas, j'étais en profond dilemme. Tout le monde allait remarquer notre absence... Mais est ce que c'était si grave que ça... ? Je posais mes mains sur ses hanches, les passant légèrement sous son t-shirt et approchant mes lèvres des siennes. « Ok, mais rapide alors. » J'esquissais un petit sourire avant de déposer un bref, mais plein d'envie, baiser sur ses lèvres. Puis je lui faisais faire un demi tour sur elle même avant de la pousser doucement et discrètement en direction des escaliers. « Vite dépêche toi ! » Lançais-je amusé pour lui faire presser le pas. Mais mon sourire disparaissait presque aussitôt en entendant la voix de ma mère derrière nous. « Dorian ? Ah parfait, tu peux ramener le jus de fruit s'il te plaît ? Je l'ai laissé sur la table de la cuisine. » Je m'étais directement arrêté dans mon élan vers l'escalier et m'étais retourné pour faire face à ma mère, qui me prenait un peu de court, perturbant une nouvelle fois mes plans. « Hein ? Euh oui... Bien sûr, je ramène ça tout de suite. » Je la voyais ressortir, et je laissais une nouvelle fois ma tête basculer en arrière dans un soupir exaspéré. Clairement là s'absenter serait beaucoup trop gros et vraiment impoli, ma mère m'en voudrait un peu pour le coup je pense. Je relevais alors mon visage vers Cami. « Bon... C'est clairement impossible de s'envoyer en l'air correctement dans cette baraque avec elle dans les parages. A croire qu'elle à un radar pour toujours intervenir au bon moment. » Je laissais tout de même échapper un sourire amusé, en soi c'était pas comme ci c'était grave, je savais qu'on allait avoir toute une semaine rien que pour nous, alors je pouvais relativiser. Même si depuis ce matin, j'attendais toujours de pouvoir enfin être rassasié ! « Je suis dégoûté en vrai... je suis désolé je ne pouvais pas lui dire : non désolé on va se laver on revient ! Je pense elle m'aurait tapé. » Je la prenais tout de même dans mes bras pour l'embrasser, car c'est tout ce qu'on aurait pour le moment, avant de me détacher d'elle. Je retournais alors vers la cuisine aller chercher le fameux jus. « Mais en tout cas ne perds pas cette énergie hein, je ne perds pas espoirs, il faudra bien aller se doucher à un moment ou à un autre... » J'esquissais un petit sourire en coin et déposais un baiser sur sa joue au passage, tout n'était que partie remise. « Bon allé vient on va manger, au moins notre estomac sera rassasié lui, c'est toujours ça de pris. » On retournait alors à notre tour à l'extérieur, prendre ce petit déjeuner, au plutôt même ce brunch vu l'heure, en famille. L'après midi allait être rythmé par les enfants qui allaient absolument essayer leurs nouveaux jouets, puis par le départ progressif de tout le monde. Il n'y avait que ma sœur qui allait rester encore un peu avec notre mère. Et Loki également, car c'était prévu qu'elle le garde le temps de nos vacances avec Cami, et qu'Alex me le rapporte à notre retour à Brisbane. Notre avion à Cami et moi, était en fin d'après-midi, on allait donc avoir un peu de temps pour profiter du reste de la famille, de cette douche, et de se préparer pour notre retour. Enfin et surtout, pouvoir ce soir, préparé notre départ de demain matin, tout allait s'enchaîner rapidement, mais je ne voulais pas perdre une seule minute. Sachant que nous devrons être de retour pour le nouvel an, afin de le passer avec les amis de Cami, qui venait spécialement de Nashville pour ça.



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