peace is in your arms.

trente décembre

Cristina, accablée par l'alchimie palpable entre James et Auden, ressent l'urgence de s'évader de cette atmosphère tendue. Le rire de son mari et de son amant résonne dans toute la maison comme une mélodie discordante, soulignant les complexités de leurs relations. Le besoin de retrouver Anthony, le seul capable de faire vibrer une corde sensible en elle, devient irrésistible. Silencieusement, comme une ombre furtive échappant à la lumière, Cristina quitte sa demeure. L'air glacial de la nuit la frappe, une brise cinglante qui contraste avec le tourbillon émotionnel qui fait rage en elle. Chaque pas qu'elle fait sur le chemin menant à la porte d'Anthony est une délibération intérieure, chaque pas une réaffirmation de sa décision de briser temporairement les chaînes qui la retiennent.

Lorsque Cristina se tient devant la porte d'Anthony, une hésitation palpable la submerge. Le monde extérieur semble suspendu dans un équilibre fragile, comme si le simple acte de frapper à cette porte pouvait déclencher des réactions en chaîne irréversibles. Chaque battement de son cœur résonne dans le silence de la nuit, amplifiant le poids de sa décision. Le seuil qui sépare le passé et le présent, la vie familière et les désirs inexplorés, repose sous ses doigts hésitants. La porte devient un symbole de choix, un point de bascule dans lequel elle doit décider de franchir ou non. Le monde qu'elle connaît et celui qu'elle désire s'affrontent dans cet instant d'indécision, et Cristina se retrouve à la croisée des chemins.

Finalement, elle décide de rompre le silence de la nuit en frappant à la porte d'Anthony. Chaque coup résonne comme un appel dans l'obscurité, un écho vibrant de son besoin profond de se reconnecter avec cet homme qui occupe ses pensées. Le son retentissant résonne dans le silence environnant, un rappel de la puissance de ses propres choix et du courage nécessaire pour briser les barrières érigées par le passé.

@Anthony Lewis  

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30 décembre 2023 Anthony est allongé dans son fauteuil. Bandit, le nouveau colocataire, est allongé dans son panier, le museau reposant sur le rebord. Tablette entre les mains, il est en train de vérifier quelques courriels des franchises situées en Asie. C’est le seul moment de libre qu’il a pu trouver ces derniers jours pour pouvoir se concentrer sur ces autres franchises. Sa soirée ressemblera donc à ça. Des courriels. Des bilans. Des factures et une tasse de thé. L’heure tourne et il est temps d’abandonner cette journée pour se jeter dans son lit, non ? Demain la journée sera longue, trop longue surtout qu’il devra donner un coup de main aux organisateurs de la soirée qu’il passera avec ses amis. Et, il sursaute presque quand il entend finalement taper à la porte de chez lui. Brosse à dents coincée entre les lèvres, il se redresse et jette un coup d’œil à son reflet, vérifiant de ne pas avoir perdu la tête. C’est le second et troisième coup sur la porte qui le font sortir de sa torpeur et se rendre sur le seuil de la porte. Bandit, lui, il n’a toujours pas bougé.

Quand il ouvre la porte et qu’il tombe nez à nez sur la frêle silhouette de Cristina, son cœur rate un battement. A cette vision, il n’était plus habitué et ne savait plus vraiment comment réagir. Mais son instinct semblait s’en souvenir. Ses lèvres forment un sourire à la fois ravi et surpris. « Cristina », souffle-t-il en ouvrant davantage la porte de chez lui, « entre », et il accompagne ses paroles en l’invitant à entrer. Hors de question de la laisser sur le pas de la porte. Hors de question de la laisser dans cette situation. Aucune question posée. Pas tout de suite. D’abord, il veut surtout s’assurer qu’elle prenne conscience qu’elle ne le dérange pas, qu’elle est évidemment la bienvenue. « Il s’est passé quelque chose ? », qu’il demande soudainement une once d’inquiétude dans le regard alors que ses mains viennent se poser sur ses épaules puis sur ses joues.

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trente décembre

Cristina, poussée par le tumulte émotionnel qui la tourmente, franchit le seuil d'Anthony avec une hésitation palpable. Le soulagement teinté de surprise éclaire le regard d'Anthony lorsqu'il découvre la silhouette familière devant sa porte. Son sourire, à la fois ravi et surpris, ouvre un espace accueillant dans lequel elle se sent libre de pénétrer. "Anthony", susurre-t-elle en réponse à son invitation, la chaleur de sa voix contrastant avec le froid de la nuit à l'extérieur. Elle entre à sa suite, emportant avec elle l'atmosphère chargée d'émotions qui flotte entre eux. Le confort de l'intérieur, éclairé par une lueur tamisée, offre un contraste apaisant avec le monde extérieur.

Une fois à l'intérieur, Anthony brise la glace avec une simplicité réconfortante, l'invitant à s'exprimer. "Il s'est passé quelque chose ?", demande-t-il, ses mains posées d'abord sur ses épaules puis sur ses joues, évoquant une inquiétude sincère. Le contact de ses mains, familières et rassurantes, crée une connexion tangible, une présence réconfortante au milieu du chaos émotionnel qui l'a conduite jusqu'à lui. Cristina, capturant l'intensité du regard d'Anthony, laisse échapper un soupir empreint de soulagement. "J'ai besoin d'être ici, Anthony", avoue-t-elle, une lueur de vulnérabilité dans ses yeux. "Il y a quelque chose dans l'air ce soir, quelque chose que je ne peux ignorer. J'avais simplement besoin d'être là où je me sens comprise, où chaque silence n'est pas chargé d'incompréhension." Les mots sortent avec une spontanéité désarmante, une tentative de partager ce qui pèse sur son cœur. Elle se laisse guider par Anthony vers le cocon réconfortant de son espace, où chaque recoin semble résonner avec la promesse de compréhension et de réconfort.

Cristina, observant le paisible sommeil du chiot dans un coin de la pièce, l'interroge avec curiosité. "Anthony, qui est ce petit compagnon adorable ?" demande-t-elle, un sourire naissant sur ses lèvres. "Il ajoute une touche de légèreté à l'atmosphère, et je ne peux m'empêcher de me demander comment ce petit bout de joie est arrivé dans ta vie."

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30 décembre 2023 «J'ai besoin d'être ici, Anthony » «OK », souffle-t-il dans un murmure. Pas besoin d’autre explication. Cela lui suffit amplement. Elle a besoin d’être là, avec lui alors il lui ouvre la porte et il sera là pour elle. Aussi simple que ça. «Il y a quelque chose dans l'air ce soir, quelque chose que je ne peux ignorer. J'avais simplement besoin d'être là où je me sens comprise, où chaque silence n'est pas chargé d'incompréhension. » Il acquiesce de nouveau d’un signe de tête tout en caressant avec cette éternelle tendresse ses joues. «Tu as bien fait de venir ici », confirme-t-il en déposant un chaste baiser sur son front et en faisant quelques pas vers l’intérieur, l’invitant à l’accompagner. La demeure du Lewis avait été sur le point de s’éteindre et Cristina venait rallumer la maison, y apporter un peu plus de lumière.

«Anthony, qui est ce petit compagnon adorable ? » Il tourne la tête vers Bandit, qui les regarde presque blasé. «Oh oui, c’est vrai, c’est Bandit », et il tend le bras vers le chien qui en entendant son nom relève la tête légèrement. « Il ajoute une touche de légèreté à l'atmosphère, et je ne peux m'empêcher de me demander comment ce petit bout de joie est arrivé dans ta vie. » «Hm… comment ? On s’est trouvés dans un refuge, Cameron m’y avait accompagné … l’ancien proprio est décédé … et ses gamins ne semblaient pas pouvoir s’en occuper. Un coup de foudre. Il est aussi dynamique que moi … », ironise-t-il alors qu’il avait passé la journée dans un parc avec son frère et leurs chiens. Un rêve d’enfants.

«Tu veux que je te serve quelque chose ? », qu’il demande tout en venant débarrasser le chaos qui avait pris place sur sa table basse. Il rassembles les papiers, les documents pour en faire une pile sur un coin de la table avant de relever la tête vers Cristina.

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trente décembre

Cristina, enveloppée par l'atmosphère apaisante de l'espace intime d'Anthony, accepte le réconfort de sa présence. "Merci, Anthony", murmure-t-elle, la gratitude scintillant dans son regard. Le baiser sur son front et l'invitation à l'accompagner à l'intérieur lui procurent un sentiment de sécurité, un refuge bienvenu. Alors qu'elle suit Anthony à l'intérieur, elle ne peut s'empêcher de sourire en observant Bandit, le chien qui semble être un rayon de lumière dans la vie d'Anthony. "Bandit, c'est un nom charmant", commente-t-elle, ses yeux se fixant avec affection sur le chien. "Il a vraiment l'air d'apporter de la joie ici." La conversation légère sur le chien offre une bouffée d'air frais dans la tension émotionnelle qui l'avait précédée. Cristina, s'installant confortablement, suit Anthony du regard alors qu'il range la table basse encombrée.

"Tu veux que je te serve quelque chose ?", propose-t-il, son attention pleinement tournée vers elle. Cristina, touchée par ce geste attentionné, répond avec un sourire sincère. "Un peu de thé serait parfait, merci, Anthony." Elle prend une profonde inspiration, appréciant le calme retrouvé dans cet espace partagé. La présence d'Anthony, le chien joyeux, et l'invitation à partager un moment intime deviennent un baume pour les blessures émotionnelles qui la hantent. Anthony, répondant à la demande de Cristina, se dirige vers la cuisine pour préparer le thé. Le bruit feutré des pas dans la pièce voisine accompagne le doux murmure de la bouilloire qui s'éveille. Cristina, pendant ce temps, observe le chiot, Bandit, qui semble curieux de la nouvelle venue. Ses yeux brillent d'une étincelle ludique, et il s'approche doucement, manifestant un intérêt chaleureux. "Salut, Bandit," dit-elle doucement, étendant sa main pour le laisser la renifler. La fourrure douce du chien sous ses doigts offre une texture réconfortante. Bandit, apparemment approuvant de cette nouvelle amitié, se love à ses pieds, créant une atmosphère encore plus décontractée dans la pièce.

Cristina, saisissant la tasse de thé entre ses mains délicates, relève les yeux pour rencontrer le regard profond d'Anthony. Un sourire tendre étire ses lèvres, reflétant la gratitude et la complicité qui s'installent entre eux. "Merci, Anthony," murmure-t-elle, le ton empreint d'une sincérité émotionnelle. Elle tourne la tasse entre ses doigts, capturant l'attention d'Anthony. "C'est étrange, cette sensation d'être ici avec toi, dans cet espace où les mots ne sont pas toujours nécessaires. On se comprend sans avoir à expliquer. C'est rare et précieux." Ses yeux plongent dans ceux d'Anthony, exprimant une connexion qui va au-delà des simples mots. "Ces instants deviennent des repères, des îlots de calme dans le tumulte de nos vies. Merci de me permettre de trouver refuge ici, Anthony. C'est comme si, à chaque rencontre, nous sculptons un petit coin d'éternité à nous." Un sourire complice danse sur ses lèvres, scellant l'intimité partagée entre eux dans cet espace hors du temps.

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30 décembre 2023 « Bandit, c'est un nom charmant » « Je ne voulais pas changer son nom alors on va dire que l’ancien propriétaire avait de bons goûts » dit-il en jetant un coup d’œil à son compagnon à quatre pattes. « Il a vraiment l’air d’apporter de la joie ici.» « C’est le cas, c’était plutôt une bonne idée que de franchir le pas … et ça me permet de trouver une excuse pour passer du temps avec mon cadet ... », il fronce les sourcils un instant, un aveu dit à haute voix pour la première fois, « donc on est désormais deux types avec leurs chiens qui se baladent dans les parcs … un magnifique cliché. » Un éclat de rire. A vrai dire, c’était ce qu’il préférait : pouvoir trouver un point de contact avec son frère cadet. Il le savait plus proche du petit dernier. Leur différence d’âge avait fait qu’il avait toujours été difficile de trouver un sujet de conversation et désormais, ils allaient pouvoir échanger, parler de leur tonne de problèmes en prétendant passer du temps avec leurs compagnons à quatre pattes. Malin.

« Un peu de thé serait parfait, merci, Anthony. » La commande est passée et il se dirige immédiatement vers la cuisine. Il ouvre les différents tiroirs et armoires pour sortir deux tasses et préparer de la camomille. N’est-ce pas le meilleur thé à cette heure de la journée ? Et il réapparaît en s’arrêtant deux secondes devant la scène, un sourire attendri. Apparemment, Bandit a su se déplacer de quelques mètres pour venir se caler sur ses pieds. « Merci, Anthony » dit-elle après qu’il lui ait donné sa tasse encore bouillante et il finit par prendre place à ses côtés, abandonnant sa tasse sur la table basse. « C'est étrange, cette sensation d'être ici avec toi, dans cet espace où les mots ne sont pas toujours nécessaires. On se comprend sans avoir à expliquer. C'est rare et précieux. Ces instants deviennent des repères, des îlots de calme dans le tumulte de nos vies. Merci de me permettre de trouver refuge ici, Anthony. C'est comme si, à chaque rencontre, nous sculptons un petit coin d'éternité à nous.» Sa main se pose sur sa cuisse. Un geste rassurant. « Tu sais que tu n’as pas à me remercier … » Sa main caresse doucement sa cuisse alors que son regard s’ancre dans le sien. « Moi, je suis ravi que tu sois venue ici, que c’est à ici que tu ais pensé quand tu as cherché un endroit où aller … » Un sourire se dessine sur ses lèvres. « Je suis là pour toi. Pour du thé. Pour parler. Pour ne pas parler. Pour absolument tout. » Une once de complicité.

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trente décembre

Cristina, sentant la chaleur de la main d'Anthony sur sa cuisse, se laisse bercer par ses paroles réconfortantes. Un frisson parcourt sa colonne vertébrale alors qu'elle plonge dans le regard profond et bienveillant d'Anthony. "Tu sais, Anthony, parfois je me demande si je ne suis pas égoïste," avoue-t-elle doucement, ses yeux reflétant une vulnérabilité qu'elle n'a pas l'habitude de montrer. "Se trouver près de toi, rechercher ce réconfort, alors que je suis liée à James d'une manière si compliquée... je m'en veux, tu sais ?" Elle laisse échapper un soupir, comme si le poids de ses propres choix pesait sur ses épaules. "Tu mérites tellement plus que d'être pris dans cette toile complexe de ma vie. Et pourtant, je reviens ici, comme si ton espace était un refuge de la tempête que je vis." Un regard empreint de regrets se mêle à l'expression de Cristina. "Je me suis posée tant de questions sur ce que je veux, sur ce qui est juste, mais je me sens souvent perdue. Et chaque fois que je te regarde, je ne peux m'empêcher de penser que je t'ai déjà fait souffrir, que je t'ai entraîné dans ma propre confusion." Elle serre doucement la main d'Anthony, comme si ce contact pouvait apaiser les remous de ses pensées. "Je ne veux pas te faire de mal, Anthony. Tu es une personne incroyable, et je ne veux pas être la source de douleur dans ta vie. Mais, égoïstement, j'ai besoin de cette échappatoire, de ce moment avec toi." Un voile de tristesse passe dans les yeux de Cristina, soulignant la complexité de ses émotions. "Je voulais simplement que tu saches... que je m'en veux, que je suis consciente de la façon dont cela peut te toucher. Et je ne veux pas te perdre à cause de mes propres tourments."

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30 décembre 2023 « Tu sais, Anthony, parfois je me demande si je ne suis pas égoïste, » il lève un sourcil, «se trouver près de toi, rechercher ce réconfort, alors que je suis liée à James d'une manière si compliquée... je m'en veux, tu sais ? » James. Le prénom réapparaît et il ne cille pas. Il le sait, il le savait. Ce prénom réapparaîtrait toujours. Tout le temps. Cristina ne vient pas sans James. C’est un fait. C’est son tribut. Il le sait. « Tu mérites tellement plus que d'être pris dans cette toile complexe de ma vie. Et pourtant, je reviens ici, comme si ton espace était un refuge de la tempête que je vis. Je me suis posée tant de questions sur ce que je veux, sur ce qui est juste, mais je me sens souvent perdue. Et chaque fois que je te regarde, je ne peux m'empêcher de penser que je t'ai déjà fait souffrir, que je t'ai entraîné dans ma propre confusion. » Les doigts d’Anthony pressent doucement sa cuisse, comme pour montrer son désaccord et la rassurer. « Je ne veux pas te faire de mal, Anthony. Tu es une personne incroyable, et je ne veux pas être la source de douleur dans ta vie. Mais, égoïstement, j'ai besoin de cette échappatoire, de ce moment avec toi. Je voulais simplement que tu saches... que je m'en veux, que je suis consciente de la façon dont cela peut te toucher. Et je ne veux pas te perdre à cause de mes propres tourments. » « Woh woh woh », finit-il par dire tout en venant se rapprocher d’avantage d’elle pour démontrer sa présence. « Si je t’ouvre ma porte, Cristina, c’est que je suis tout autant responsable. Je sais qu’il y a James, je sais qu’il y a toutes ces zones d’ombre. Je le sais et je prends quand même la décision de t’ouvrir ma porte, de t’avoir près de moi et de savourer ces instants qu’on partage ensemble. » Il porte sa main à ses lèvres pour y déposer un tendre et délicat baiser. « Tu n’as pas à te faire de souci pour moi, ok ? » Sa main quitte la sienne pour passer dans ses cheveux, sans la quitter du regard.

« Je répète, et je le répèterai aussi souvent que nécessaire, tu as bien fait de venir ici. »

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trente décembre

Cristina, recevant les paroles d'Anthony, ressent un mélange d'émotions. Son regard croise le sien, captant l'assurance réconfortante qui émane de l'homme assis à ses côtés. "Anthony, tu es bien plus généreux que je ne mérite," dit-elle doucement, ses yeux exprimant une gratitude mêlée de tristesse. Les gestes attentionnés d'Anthony, le baiser déposé sur sa main et ses mots apaisants, créent une bulle d'intimité qui semble tempérer les tourments qui l'habitent. "Je ne sais pas comment gérer tout cela parfois, et je crains de te faire entrer dans un tourbillon que je ne peux pas contrôler,"  avoue-t-elle, son ton teinté d'une vulnérabilité nouvelle. "Mais quand je suis ici avec toi, même au milieu de cette confusion, je ressens un calme que je n'arrive pas à trouver ailleurs. C'est comme si tu étais un ancrage dans ma tempête intérieure."  Elle prend une profonde inspiration, cherchant les mots qui pourraient exprimer la complexité de ses sentiments. "Je ne veux pas que tu penses que je prends cela à la légère, Anthony. Chaque moment partagé avec toi est précieux, et je suis reconnaissante pour ton ouverture et ta compréhension."  Un sourire tendre se dessine sur ses lèvres. "Peut-être que, quelque part dans cette obscurité, nous pouvons trouver un peu de lumière ensemble."

Cristina, laissant parler son cœur, glisse doucement sa main vers celle d'Anthony. Leurs doigts s'entrelacent, créant une connexion tangible, un lien qui va au-delà des mots. Son regard fixe le visage d'Anthony, une intensité émotionnelle évidente dans ses yeux. "Anthony,"  murmure-t-elle, sa voix empreinte de désir et de tendresse. Elle se rapproche davantage, effaçant les derniers vestiges de distance entre eux. Le contact de sa peau contre la sienne devient un langage silencieux, exprimant un besoin profond et sincère. Elle laisse sa main remonter doucement le bras d'Anthony, tracant un chemin révélateur vers son épaule. "Parfois, les mots ne suffisent pas,"  souffle-t-elle, sa voix presque un murmure. "Mais peut-être que cela peut."  Ses doigts glissent doucement sur la peau d'Anthony, exprimant à travers ce simple geste la manière dont elle a besoin de lui, combien il compte pour elle. C'est une danse silencieuse des émotions, une tentative de transcender les barrières de la conversation ordinaire. Cristina, empreinte de cette vulnérabilité partagée, s'approche encore, laissant son front se reposer contre celui d'Anthony. Les battements de leurs cœurs semblent fusionner, créant une symphonie discrète mais puissante. Dans ce moment, les silences parlent plus fort que les mots, et chaque contact de leur peau raconte une histoire d'amour qui cherche à se frayer un chemin à travers les ombres de leurs vies.

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30 décembre 2023 « Anthony, tu es bien plus généreux que je ne mérite. » Les sentiments pour la brune se sont développés au fil du temps et il en est devenu aveugle. Il ne se rend pas compte qu’il met sa vie sur pause pour elle. Il ne se rend pas compte qu’il passe sa vie à attendre un miracle qui ne se produira sans doute jamais. Et, puisqu’il ne s’en rend pas compte, il a la candeur de ne pas comprendre cette générosité dont elle fait mention. «Je ne sais pas comment gérer tout cela parfois, et je crains de te faire entrer dans un tourbillon que je ne peux pas contrôler. Mais quand je suis ici avec toi, même au milieu de cette confusion, je ressens un calme que je n'arrive pas à trouver ailleurs. C'est comme si tu étais un ancrage dans ma tempête intérieure. » L’histoire de sa vie. Il l’était pour tellement de monde depuis si longtemps que c’était devenu un trait de sa personnalité. Il était l’ami toujours présent, l’épaule sur laquelle on peut se reposer, la main tendue en plein chaos, le phare en pleine tempête. Il est cette sécurité. Un sourire s’ancre sur ses lèvres, ravi de l’entendre le lui dire.

« Je ne veux pas que tu penses que je prends cela à la légère, Anthony. Chaque moment partagé avec toi est précieux, et je suis reconnaissante pour ton ouverture et ta compréhension. Peut-être que, quelque part dans cette obscurité, nous pouvons trouver un peu de lumière ensemble. » Ses doigts se mêlent aux siens tout comme ses pensées. Une union physique et sentimentale. «Sans aucun doute », glisse-t-il avec cette voix calme et paisible et cet éternel sourire aux lèvres. Ils trouveront leur lumière. Une lumière éphémère mais éclatante. Une lumière éphémère car elle retournera chez elle, et il restera sur le côté, dans les coulisses, dans l’attente mais il profitera de la luminosité pour s’en nourrir … jusqu’à ce qu’elle revienne.


« Anthony, parfois, les mots ne suffisent pas, » elle capture son regard, son âme toute entière et il est accroché à la suite de ses paroles. « Mais peut-être que cela peut. » Front contre le sien, il a les paupières à demi-closes, le regard se fondant sur ses lèvres qui viennent de lui offrir les plus belles paroles. Son cœur bat un peu plus fort dans sa poitrine, pourtant il demeure calme. Car elle est là. Ici. Avec lui. Près de lui. «Tu es cette lumière, Cristina, ma lumière », murmure-t-il contre ses lèvres alors que ses doigts se posent sous son menton pour lui relever doucement la tête. Le regard se perd dans le sien et finalement il vient rompre cette distance pour prendre possession de ses lèvres. Un tendre baiser qui s’embrase en venant l’attirer davantage contre lui, oubliant ce thé encore chaud attendant d’être bu sur la table basse. Il préfère perdre son souffle dans ce baiser libérateur.

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trente décembre

 « Tu es cette lumière, Cristina, ma lumière » Cristina, ressentant la chaleur de la réponse d'Anthony, décide de s'abandonner complètement à ce moment d'intimité partagée. Ses lèvres répondent passionnément aux siennes, rompant les barrières de la retenue et de l'incertitude. Elle laisse sa garde baisser, permettant à ses émotions de s'exprimer à travers ce baiser ardent. Leurs corps s'ajustent naturellement, fusionnant dans une danse sensuelle qui transcende les mots. Cristina, guidée par le brasier qui les consume, laisse ses mains explorer doucement le dos d'Anthony, révélant le désir profondément ancré en elle. Les gestes deviennent un langage silencieux, une déclaration de la passion qui brûle entre eux. Le baiser, initialement tendre, s'intensifie, créant une connexion enflammée entre Cristina et Anthony. Les battements de leurs cœurs résonnent en harmonie, et chaque échange de souffle semble être un pacte tacite qui scelle ce moment d'intimité partagée. Cristina se perd dans cette étreinte, libérant ses émotions retenues dans le tourbillon de la passion partagée. Dans ce brasier dévorant, Cristina permet à Anthony de ressentir la profondeur de ses sentiments, laissant chaque caresse, chaque baiser, témoigner de l'authenticité de ce lien naissant entre eux. C'est un abandon mutuel, une immersion totale dans l'énergie qui les enveloppe, créant un souvenir indélébile de cette connexion palpable et vibrante.

Cristina, dans un moment de pause, émerge légèrement de l'étreinte passionnée. Son regard, empreint d'une intensité émotionnelle, cherche celui d'Anthony. Un besoin profond de clarté se dessine dans ses yeux, laissant entrevoir une vulnérabilité rare. "Anthony," murmure-t-elle, sa voix résonnant avec une douce intensité, "es-tu certain de vouloir partager cette route avec moi ?" Son pouls bat au rythme de l'incertitude, même si le brasier de la passion continue de crépiter entre eux. La quête de vérité dans son regard témoigne du désir de comprendre, de s'assurer que ce moment n'est pas seulement une échappatoire temporaire, mais le choix délibéré de cheminer ensemble malgré les ombres qui planent sur leurs vies.

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30 décembre 2023 Ce baiser les unit une fois de plus. Et quand il sent son corps se fondre contre le sien, le baiser ne fait que s’intensifier. Elle lui a tant manqué. Tout lui a manqué. La manière dont elle aiguise les émotions. La manière dont il se sent quand elle est dans ses bras. Il se sent à sa place. Il se sent « spécial », être quelqu’un. Sa main se perd dans ses cheveux pour appuyer ce baiser au cours duquel il est prêt à perdre son souffle. Il est prêt à se brûler les ailes. Avec elle. Oh oui, il est prêt, le fou. La folie le gagne et dirige désormais ses gestes, ses pensées. Alors, quand elle lui pose cette question, ce n’est pas son esprit qui est aux rênes de ses pensées. Loin de là. « Anthony, es-tu certain de vouloir partager cette route avec moi ? » Anthony ne connaissait pas les risques, ni les enjeux. Il ne savait pas ce que cela impliquait et impliquerait. Il ne connaissait pas les petites lignes écrites en fin de contrat. Mais il savait qu’il ne voulait surtout pas mettre fin à cet échange, cette parenthèse. « Je ne sais absolument pas où est-ce que nous allons, et ce qui se passera sur cette route … mais je suis certain de ne pas vouloir y mettre un terme », finit-il par dire avec le plus grand sérieux. « Tout ce que je sais, c’est que je te veux dans ma vie, Cristina. » Le regard est sincère. La voix est posée, calme et pourtant si sérieuse. Une vie sans elle est impensable et pourtant il y est parvenu, non ? C’est toujours cet effet quand elle réapparaît. Elle redevient son indispensable. Elle est son indispensable. La main posée sur sa joue suit la ligne de sa mâchoire.

« Est-ce que ça te suffit comme réponse ou est-ce que tu as besoin que je développe davantage », ajoute-t-il avec cette touche rieuse au fond de la voix. L’humour, l’issue de secours, toujours.

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trente décembre

Cristina, s'abandonnant dans les bras d'Anthony, savoure le mélange d'émotions qui la submerge. Chaque contact, chaque caresse, lui rappelle la profondeur de ce lien naissant. Elle explore sa peau avec une tendresse mêlée d'une passion qui ne demande qu'à s'épanouir davantage. Ses doigts glissent sur les contours de son visage, retrouvant chaque détail comme si c'était la première fois. "Anthony, tu es prêt à relever un défi ?" murmure-t-elle, son sourire taquin évoquant un défi implicite entre eux. Elle s'installe plus confortablement sur ses genoux, resserrant l'étreinte de leurs corps. Ses yeux captent les siens, une lueur espiègle brillant dans son regard. "Je suis curieuse d'entendre la suite, rien que pour t'embêter un peu," ajoute-t-elle, sa voix teintée d'une complicité légère. L'atmosphère autour d'eux devient une toile où se dessinent les contours d'une connexion plus profonde. Cristina, avec une audace empreinte de désir, reprend possession des lèvres d'Anthony. Leurs bouches s'entremêlent dans une danse passionnée, chaque baiser révélant une intensité grandissante. Ses mains explorent le territoire familier de son dos, une exploration qui évoque un besoin de redécouvrir et de se laisser emporter par cette alchimie particulière. Elle glisse ses doigts dans les cheveux d'Anthony, une caresse douce qui souligne l'intimité partagée entre eux. Leurs souffles se mêlent, créant un rythme syncopé qui résonne dans l'espace feutré. Cristina, au creux de cette émotion vibrante, se laisse porter par l'élan de ce moment, un moment qui transcende le temps et l'espace.

"Ça m’a tellement manqué," murmure-t-elle entre deux baisers, sa voix chargée d'une énergie sensuelle, Sa déclaration flotte dans l'air, teintée d'une promesse implicite qui résonne entre eux. Les mots pourraient ne pas tout dire, mais les gestes, les regards, tout concourt à tisser une toile complexe d'une connexion qui ne cesse de s'approfondir.

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30 décembre 2023 « Anthony, tu es prêt à relever un défi ? » En réponse un sourire complice alors qu’il accompagne son mouvement quand elle vient s’installer sur ses genoux. « Je suis curieuse d'entendre la suite, rien que pour t'embêter un peu. » Instinctivement, ses mains prennent leur place sur sa silhouette et il laisse échapper un éclat de rire sincère quand elle mentionne cette curiosité. « Tu sais bien que ça ne m’embête pas de parler de toi et de vanter tes louanges... », qu’il réplique d’une voix rieuse, « je pourrais y passer la nuit, te dire et répéter combien je suis accro. » Une once de légèreté. Ils en avaient besoin. Car, au milieu de ce chaos, ils parvenaient à trouver un havre de paix. Paix et simplicité. Ils se cachaient ensemble, loin de la complexité de la vie. Et, il perd la parole quand elle l’embrasse tout en ne dissimulant pas cette envie et ce désir qui les habitent depuis que leurs chemins se sont retrouvés. Les mains glissent dans son dos, la pression de ces dernières dans son dos accompagne le dos qui se cambre pour intensifier ce baiser dans lequel il voudrait s’éterniser. « Ça m’a tellement manqué. » Anthony sourit tout contre ses lèvres. « Alors, on va faire en sorte de ne plus s’en priver... », glisse-t-il contre ses lèvres avec gourmandise et amusement bien qu’il s’agisse d’une promesse. Une promesse de ne plus se séparer. Une éternelle promesse de ne plus s’éloigner l’un de l’autre. Il aimerait pouvoir s’y tenir. Il aimerait que les choses soient simples, plus simples qu’elles ne le sont.

Les corps se retrouvent. Le contact de sa peau contre la sienne. Sentir son regard s’ancrer dans le sien. Ses lèvres épouser les siennes. Il a le sentiment de pouvoir de nouveau respirer à pleins poumons. Un grand bol d’air. Si puissant qu’il en aurait la tête qui tourne. « Dis-moi que tu vas rester pour la nuit et que tu ne t’envoleras que demain ... », souffle-t-il tout en venant déposer une ribambelle de baisers dans le creux de son cou. Pouvoir s’endormir à ses côtés, la tenir contre lui, dans ses bras. Pouvoir se réveiller à ses côtés et pouvoir se dire « bonjour » tout en se regardant. Un semblant de routine. Un semblant de normalité. La gourmandise se fait néanmoins entendre dans cette demande, cette prière de ne pas la voir disparaître aussi vite … Il relève finalement la tête pour pouvoir l’observer.

peace is in your arms.

trente décembre

Cristina, imprégnée de l'énergie passionnée partagée avec Anthony, ressent chaque battement de son cœur comme une symphonie enchanteresse. Ses doigts continuent leur exploration délicate sur le visage d'Anthony, un parcours ponctué par des caresses légères. Le sourire taquin qu'elle esquisse en réponse à sa proposition reflète l'étincelle complice qui anime cet échange. Lorsqu'elle s'installe sur ses genoux, resserrant l'étreinte de leurs corps, une énergie électrique semble pulser entre eux. La réplique taquine d'Anthony, évoquant son adoration incommensurable, suscite un sourire radieux sur le visage de Cristina. "Tu sais bien que ça ne m’embête pas de parler de toi et de vanter tes louanges... Je pourrais y passer la nuit, te dire et répéter combien je suis accro," réplique-t-il avec une légèreté qui trouve un écho joyeux dans le cœur de Cristina. Un dialogue implicite s'installe entre eux, une danse verbale qui ajoute une note ludique à leur échange passionné.

Le baiser qui suit est une explosion d'émotions contenues, un mélange de désir et de retrouvailles qui transcende les mots. Les mains d'Anthony parcourent le dos de Cristina, une exploration familière qui révèle un besoin mutuel de redécouverte. Cristina, perdant momentanément son souffle dans cette étreinte ardente, se laisse emporter par la vague sensuelle qui les submerge. Chaque mot semble exprimer un manque profond, une absence ressentie jusqu'à ce moment précis de retrouvailles. "Alors, on va faire en sorte de ne plus s’en priver...", glisse Anthony contre ses lèvres, scellant ainsi une promesse implicite qui résonne dans l'intimité partagée. Leurs corps s'unissent dans une danse passionnée, une synchronicité parfaite qui évoque un besoin viscéral de connexion. "Dis-moi que tu vas rester pour la nuit et que tu ne t’envoleras que demain...", souffle-t-il, laissant transparaître une note de supplication dans sa voix. La requête d'Anthony résonne dans le cœur de Cristina, qui se retrouve partagée entre le désir de prolonger ce moment et la réalité de ses engagements. Cristina, consciente des complications de leur situation respective, prend une profonde inspiration. "Anthony, je ne veux être nulle part ailleurs ce soir. Rester près de toi est tout ce que je désire," déclare-t-elle avec tendresse, ses doigts caressant la joue d'Anthony. La mention de rester la nuit exprime un désir profond de partager plus que des instants fugaces. Cependant, elle ajoute avec un soupçon de taquinerie, "Je veux me perdre dans ce moment sans entraves, sans restrictions. James est avec celui qu'il désire depuis des années dans notre domicile, et moi, j'ai besoin d'être auprès de celui qui hante mon monde." Un sourire malicieux accompagne ces mots, cristallisant le désir de ne plus se freiner, de s'abandonner pleinement à cette connexion grandissante. Cristina, dans cet équilibre délicat entre passion et réalité, choisit l'audace d'exprimer ses désirs profonds. La nuit, teintée de leur étreinte, promet d'être une symphonie de sensations, une parenthèse où les contraintes du monde extérieur s'estompent, laissant place à une communion d'âmes en quête de réconfort et d'amour.

@Anthony Lewis