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premier janvier

Les notes suaves d'une valse nouvelle résonnaient dans la salle brillamment éclairée du cabinet juridique, où l'éclat des feux d'artifice à l'extérieur était éclipsé par l'aura étincelante de la soirée du Nouvel An. Des rires feutrés et des conversations animées emplissaient l'air, alors que les invités, vêtus de tenues élégantes, célébraient l'aube d'une nouvelle année. Pourtant, Juliet Rosenthal, en dépit de son sourire gracieux et de ses échanges sociaux polis, était agitée. À deux heures du matin, elle sentit une soudaine nécessité de s'éclipser, de s'échapper de cette scène de célébration superficielle. Les lumières éblouissantes et les rires étouffés ne faisaient que souligner le tumulte qui bouillonnait en elle. Le frôlement du tissu de sa robe élégante, Juliet glissa silencieusement hors de la salle de fête. Les couloirs du cabinet étaient calmes, contrastant avec le vacarme festif derrière elle. Ses pensées tourbillonnaient, déclenchées par la visite d'Anthony un peu plus tôt dans la soirée. Elle atteignit son bureau, un havre familier dans l'environnement professionnel étincelant. La ville célébrait le changement d'année, mais pour Juliet, c'était l'occasion de faire face aux questions non résolues, de démêler les fils complexes de sa vie sentimentale. Les yeux rivés sur la ville illuminée au-delà de la fenêtre de son bureau, elle sentit un frisson de nervosité. La discussion à venir avec Anthony était inévitable. Les retrouvailles de cette nuit avaient ravivé des flammes qu'elle avait tenté de garder sous contrôle. La liaison passionnée entre eux avait toujours été une danse imprévisible entre attraction et retenue, et cette nuit n'était pas différente. Les couloirs silencieux vibraient de la tension qui émanait de cette décision. Juliet savait qu'elle devait trouver Anthony, éclaircir les choses entre eux. La jalousie d'Alexander et les tourments émotionnels avaient transformé sa vie en un labyrinthe complexe, et il était temps de tirer les ficelles. Les pas délibérés de Juliet la conduisirent hors du bâtiment du cabinet. L'air frais de la nuit chatouillait son visage alors qu'elle avançait vers le lieu de rendez-vous convenu avec Anthony. Le silence de la rue contrastait avec le fracas des célébrations du Nouvel An, créant une bulle d'intimité où les questions non résolues allaient enfin être explorées. Deux hommes occupaient ses pensées – Alexander, son mari, et Anthony, l'amant passionné. La jalousie des deux hommes dans sa vie tourbillonnait dans son esprit, créant une tempête émotionnelle qu'elle devait apaiser. Cette nuit du Nouvel An marquait un tournant, une opportunité pour Juliet de prendre le contrôle de sa vie sentimentale, de définir les contours de son avenir. La rue déserte s'étendait devant elle, prête à accueillir les confessions et les vérités qui émergeraient de cette rencontre nocturne. La scène était prête pour une discussion qui allait résonner au-delà des feux d'artifice et des célébrations, sculptant le destin complexe de Juliet Rosenthal au fil des heures qui allaient suivre.

Le clair de lune éclairait discrètement la porte d'entrée de la résidence d'Anthony, créant des ombres mystérieuses dans le calme de la nuit. Les pas délibérés de Juliet résonnaient doucement dans l'allée, témoins silencieux de l'importance de ce moment. Une inspiration profonde pour rassembler son courage, et Juliet leva la main pour frapper à la porte. Chaque coup résonnait comme un battement de son propre cœur, une pulsation irrégulière qui accompagnait le tumulte émotionnel à l'intérieur d'elle-même. Le son des pas approchant de l'autre côté de la porte fit accélérer son pouls. La porte s'ouvrit lentement, dévoilant le visage d'Anthony. Son regard rencontra le sien, et dans cet échange silencieux, une myriade d'émotions non dites se révéla. "Anthony," articula Juliet, la tension suspendue dans l'air. Le poids de la jalousie d'Alexander et les tumultes émotionnels semblaient flotter dans l'espace entre eux.

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nuit du nouvel an.chez tone lewis. Fêter le passage à la nouvelle année avec des amis ... pour finalement se retrouver chez lui, seul, ou du moins avec son chien. Un regard dans la direction de Bandit. Il est seul ... pour un court instant car il attend Juliet. Elle va venir. Ils se sont mis d’accord pour se retrouver, se voir, passer un instant ensemble. Pour discuter ? Pour savourer la présence de l’autre ? Pour quoi exactement ? Il n’est plus vraiment certain de ce qui va se passer mais il sait une chose : il a hâte de la retrouver. Il a hâte de la voir débarquer de nouveau dans sa vie, sur le pas de sa porte. Quand il entend frapper à la porte, Anthony bondit presque de son canapé pour se diriger vers la porte d’entrée. Fond sonore, un vinyle qu’il a mis pour couvrir le brouhaha ambiant des voisins. Il passe les mains sur les poches arrière de son jean comme pour essayer de se détendre et surtout pour reprendre ses esprits. La porte s’ouvre et il sait que c’est elle pourtant son cœur bat un peu plus vite, un peu plus fort. Anthony. Ses lèvres s’étirent et la porte s’ouvre davantage pour l’inviter à entrer chez lui. Hi, dit-il en accompagnant son geste.  

Elle ne devrait pas être là. Sans doute aurait-elle dû rester avec son époux, près de son époux ... mais il ne va pas mentir et cacher la vérité, il est heureux qu’elle soit là, qu’elle soit venue jusqu’à chez lui. La porte se referme et les voilà qu’ils font les premiers pas. Doit-il l’embrasser et briser la distance qui les sépare ou doit-il demeurer distant, prudent ? Etrange que de se poser la question. Je n'étais pas certain que tu puisses te libérer , il avoue, mais il va de soi que je suis ravi de voir que tu y sois parvenue. Son sourire s'intensifie alors que son regard vient se perdre dans le sien. Elle est là. Cela signifie qu’il compte ... qu’ils comptent ou alors est-elle venue tirer un trait final ? Impossible.

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premier janvier

La nuit du Nouvel An s'était déroulée comme une mélodie chaotique, entre les rires et les feux d'artifice, mais tout convergeait vers ce moment, ce rendez-vous avec Anthony. Juliet avait quitté l'effervescence de la fête, se glissant dans la nuit pour rejoindre celui qui occupait ses pensées. Arrivant devant la porte d'Anthony, elle avait une fraction d'hésitation avant de frapper. Les battements de son cœur résonnaient comme le tic-tac d'une horloge, comptant les secondes qui les séparaient de cette rencontre. La porte s'ouvrit, et Anthony laissa entrevoir un sourire qui en disait long. "Hi," articula-t-il avec une invite à entrer. Le seuil franchi, la tension entre eux était palpable. La question muette planait dans l'air : pourquoi étaient-ils là ? Juliet cherchait des réponses dans les yeux d'Anthony, des yeux qui semblaient refléter une multitude de sentiments. Elle devait parler, briser le silence mais, Anthony fut plus rapide. "Je n'étais pas certain que tu puisse te libérer," admit-il. "Mais il va de soi que je suis ravi de voir que tu y sois parvenue." Juliet leva les yeux pour croiser son regard. Les émotions se bousculaient en elle, et elle ressentait la peur que tout cela puisse être une erreur. "Anthony, j'ai tellement de doutes en ce moment. J'ai peur que tu ne veuilles plus de moi dans ta vie, même si je ne suis pas prête à renoncer à toi. Je suis consciente que nous souffrons tous les deux, mais..." Elle hésita, cherchant les mots justes. "Je ne peux pas ignorer ce qui se passe entre nous, et je ne veux pas que cela soit un point final, mais... je ne sais pas comment gérer tout ça." Le temps suspendait son vol dans cet espace confiné, et Juliet ressentait le poids de l'incertitude. Elle s'approcha légèrement, comme pour briser la distance. "Peut-être qu'on devrait juste prendre ce moment, sans pression, et voir où cela nous mène. J'ai tellement peur, Anthony, peur de te perdre à nouveau, peur que ce soit trop tard. Mais je ne suis pas prête à renoncer à nous, même si c'est difficile." Son sourire était teinté d'une douceur sincère, mais il portait aussi le poids de la réalité. Les mots avaient jeté un pont entre leurs cœurs, mais c'était son geste suivant qui scella leur échange. Juliet combla le vide, se rapprochant davantage, et déposa un tendre baiser sur les lèvres d'Anthony. Un geste qui parlait bien plus fort que les mots, un doux espoir dans un moment d'incertitude.

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nuit du nouvel an. « Anthony, j'ai tellement de doutes en ce moment. J'ai peur que tu ne veuilles plus de moi dans ta vie, même si je ne suis pas prête à renoncer à toi. Je suis consciente que nous souffrons tous les deux, mais... Je ne peux pas ignorer ce qui se passe entre nous, et je ne veux pas que cela soit un point final, mais... je ne sais pas comment gérer tout ça. » Il l’écoute, acquiesce parfois mais surtout il ne détourne pas le regard. Un instant, il se demande si elle est en train de lui annoncer un au revoir. Un adieu. A-t-elle pris une décision ? la décision de le rayer de son existence. Peut-être était-ce une bonne idée ? arrêter de se faire souffrir et de se torturer dans tous ces interdits. « Peut-être qu'on devrait juste prendre ce moment, sans pression, et voir où cela nous mène. J'ai tellement peur, Anthony, peur de te perdre à nouveau, peur que ce soit trop tard. Mais je ne suis pas prête à renoncer à nous, même si c'est difficile. » Son sourire répond au sien alors qu’elle annonce ne pas vouloir renoncer à leur folie. Anthony n’a pas encore pris le temps d’analyser, de réfléchir à ce qu’il se passe entre eux tout comme penser aux conséquences que cela aura sur sa relation avec Pénélope. Il est l’épicurien, en train de vouloir profiter de l’instant présent, cet instant entre eux. Le ici et maintenant dans lequel ils se sont toujours sentis en sécurité. Son bras rejoint le sien pour que finalement sa main vienne retrouver sa joue, accompagnant le geste de la femme mariée qui vient sceller ses lèvres aux siennes dans un baiser tendre et si important. Le baiser s’intensifie et sa main glisse dans ses cheveux alors que l’autre vient glisser dans le creux de ses reins pour l’attirer davantage contre lui, souhaitant anéantir cette distance qui les avait séparés. Un baiser tendre qui s’embrase quand il la sent venir se blottir contre lui. Un baiser à en perdre le souffle, à en perdre la raison.

« Sans pression », confirme-t-il alors contre ses lèvres, se mentant à lui-même car il savait que dès qu’il y avait le charnel, il y avait la passion et dès que ces éléments étaient là, le chaos arrivait. Front collé au sien, il la dévore du regard et lui offre un sourire gourmand avant de venir déposer une ribambelle de baisers sur son cou, soufflant sur sa peau entre chaque baiser ces paroles, « Je ne pars. », les baisers glissant sur son épaule, sur la ligne de sa clavicule, « Je suis là, tu es là … » Son regard pétillant se plante dans le sien. Il aurait sans doute dû parler davantage, expliquer ce qu’il ressent, la situation dans laquelle il se trouve et ses véritables attentes et craintes. Mais, Juliet était la passion brûlante. Avoir une conversation était toujours compliqué quand elle le regardait de la sorte, quand elle l’embrassait de la sorte … quand elle respirait le même air que lui. Il perdait ses moyens.

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premier janvier

Les lèvres d'Anthony résonnaient encore doucement contre les siennes, un baiser qui semblait effacer temporairement les doutes et les craintes qui pesaient sur leurs épaules. Les paroles d'Anthony, murmurées entre chaque baiser, créaient un écho rassurant dans l'atmosphère chargée d'émotions. Juliet, plongea dans l'océan enivrant de sensations partagées. Leurs corps se rapprochaient davantage, abolissant la distance qui avait persisté trop longtemps. Chaque baiser était une promesse, chaque caresse une réconciliation avec le passé tumultueux qui les avait séparés. "Je ne pars pas," confirma Anthony, ses mots résonnant dans le creux de son oreille. Les gestes tendres et les mots rassurants étaient autant de boucliers contre l'incertitude qui menaçait de s'immiscer. Juliet sentait son cœur vibrer au rythme de l'échange, pris entre le désir de se laisser emporter par la passion et la réalité complexe de leur situation. Elle releva doucement le visage pour plonger son regard dans celui d'Anthony, un regard qui traduisait une lueur de gratitude mêlée à une touche d'incertitude. "Je suis là, tu es là," dit-il, les mots prenant une signification particulière dans l'intimité du moment. Un sourire tendre naissait sur ses lèvres, exprimant la volonté de savourer l'instant présent malgré les tourments qui les entouraient. Leurs lèvres se trouvèrent de nouveau dans un doux baiser, scellant l'accord tacite entre eux. C'était un début, une renaissance fragile dans le tourbillon de leurs sentiments entrelacés. Juliet se laissait emporter par l'ivresse de l'instant, espérant que ce lien, forgé dans l'étreinte de la nuit, puisse résister aux défis qui les attendaient.

Juliet sent son corps frémir au contact des lèvres d’Anthony sur sa peau, elle se laisse complètement aller. La passion entre eux a toujours été si forte, rien que sentir son corps contre le sien suffit à la faire chavirer. Elle sent son cœur battre plus fort dans sa poitrine. Sa respiration se fait plus lourde, la tête qui bascule en arrière pour accueillir ces lèvres. Sa main glisse dans ses cheveux bruns, ses lèvres qui capturaient les siennes avec avidité. Son corps réclamait le sien, sans jamais se lasser. Sa main glissa dans son dos, remontant son tee-shirt pour sentir la douceur de sa peau sous ses doigts. Le souffle coupé, le front contre le sien, Juliet plongea de nouveau son regard dans le sien. "Quand je suis avec toi, plus rien n’a de sens, je perds la notion du temps, de la vie. Y a rien d’autre qui compte."

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nuit du nouvel an. Le regard plongé dans celui de l’autre, c’est la porte vers le néant, vers le chaos. Le pire dans tout cela, il en est conscient. Il le sait. Mais, il n’y peut rien. Elle est cette sirène qui vous attire au cœur de la tempête. Les lèvres se retrouvent et le baiser devient brûlant. Il a attendu patiemment ce baiser depuis l’endroit où il était allé la rejoindre. L’étreinte se resserre pour pouvoir la garder un peu plus contre lui, un peu près de lui … car il sait que lorsqu’elle partira, lorsqu’elle le quittera, elle ne deviendra qu’un souvenir fou … « Quand je suis avec toi, plus rien n’a de sens, je perds la notion du temps, de la vie. Y a rien d’autre qui compte. » Ce ne sont pas vraiment les paroles rassurantes … ce sont plutôt les paroles qui sont la preuve de leur folie. Mais qu’importe ! Ses lèvres rougies par le baiser s’étirent en un sourire amusé, malicieux. L’égo du mâle est rassuré. Avec lui, elle oublie tout. Y compris l’alliance qui ne brille plus sous son tee-shirt. Peut-être. Sans doute. Il l’espère naïvement. « C’est plutôt pratique car je ne compte pas te laisser m’échapper trop vite », lâche-t-il d’une voix rieuse alors que son corps se retrouve de nouveau attirer par le sien, mu par la passion qui les unit depuis trop d’années.

Les baisers deviennent écho à chaque battement de cœur alors que ses doigts viennent se poser sur la fermeture éclair de sa robe. La passion. Le désir. Le manque que son absence avait crée et dont il prend de nouveau conscience. Il la désire. Il souhaite pouvoir vivre un instant la folle idée qu’elle soit sienne et c’est ce qu’il lui souffle au creux de l’oreille alors que ses doigts suivent la ligne de sa colonne vertébrale. Qu’elle soit sienne. La folie d’une nuit, obéissant simplement à ses pulsions qu’ils ne maîtrisent plus. Les lèvres quittent les siennes pour se poser dans son cou, soufflant au creux de son oreille combien il la désire et combien il a pensé à cet instant depuis qu’il a posé de nouveau son regard sur elle. Il se brûlera les doigts. Encore une fois.

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premier janvier

Ses lèvres contre les siennes, le monde semblait s'effacer autour de Juliet. Le baiser était brûlant, passionné, comme s'ils avaient attendu ce moment depuis une éternité. Elle se sentait emportée par cette étreinte, incapable de résister à la force irrésistible qui les attirait l'un vers l'autre. Les paroles d'Anthony, bien qu'imprégnées de folie, résonnaient en elle d'une manière indescriptible. Il exprimait ce qu'elle ressentait si intensément, cette sensation que tout s'effaçait quand ils étaient ensemble, que rien d'autre n'avait d'importance. La passion qui les unissait était une évidence, une force magnétique qui les liait indéfectiblement.

Son sourire malicieux lui fit chaud au cœur. Il était là, avec elle, et cela lui procurait une joie immense. "Rassurant, en effet," répondit-elle avec un brin de taquinerie dans la voix. Elle sentait que l'égo d'Anthony était flatté, mais elle-même était tout aussi éprise de lui. Les baisers se multipliaient, chaque battement de cœur s'accompagnant d'un écho sensuel. Les doigts d'Anthony se posèrent sur la fermeture éclair de sa robe, et Juliet frissonna à ce contact. Le désir, le manque, tout était là, ravivé par leur retrouvaille. Elle ne pouvait s'empêcher de désirer qu'il la possède, ne serait-ce que pour une nuit de folie. Les mots susurrés à son oreille résonnèrent comme une mélodie enivrante, et elle se laissa porter par cette vague de désir. Son souffle s'accéléra alors que les lèvres d'Anthony quittaient les siennes pour se poser dans son cou. Les sensations étaient électrisantes, et elle planta son regard dans le sien, lui laissant comprendre à quel point elle le désirait, à quel point elle avait pensé à cet instant depuis leur retrouvaille. La passion qui les unissait était plus intense que jamais, et Juliet était prête à se laisser emporter par cette urgence qui les poussait l'un vers l'autre.

La pièce était plongée dans une semi-obscurité, créant un écrin intime pour leur échange passionné. Les soupirs et les murmures de désir remplissaient l'air, créant une mélodie envoûtante qui les enveloppait. Les doigts d'Anthony continuèrent à parcourir lentement la fermeture éclair de la robe de Juliet, chaque centimètre gagné laissant sa peau nue et sensible à ses caresses. Les sensations étaient électriques, chaque effleurement faisant frémir Juliet et laissant échapper des gémissements de plaisir étouffés. Juliet ne pouvait plus attendre. Dans un geste empreint de désir, elle défit les premiers boutons de la chemise d'Anthony, révélant sa peau musclée et bronzée. Ses mains glissèrent sur son torse, explorant chaque contour, chaque muscle, comme si elle cherchait à se rappeler chaque détail de ce corps qui l'avait tant fait vibrer dans le passé. Leurs lèvres se retrouvèrent avec une passion dévorante, s'embrassant avec une intensité presque sauvage. La tension sexuelle entre eux était palpable, et l'urgence de leur retrouvaille se reflétait dans chaque geste, chaque baiser, chaque soupir. Juliet se sentait transportée par le désir, par le besoin irrésistible de sentir la peau d'Anthony contre la sienne. Elle murmura à son oreille, sa voix chargée de désir et d'émotion. "J'ai besoin de te sentir contre moi, Anthony. Maintenant." Ses mains tremblaient légèrement d'excitation alors qu'elle commençait à lui retirer lentement le reste de ses vêtements, couvrant sa peau de baisers passionnés à mesure qu'elle dévoilait chaque centimètre de son corps.

L'urgence de leur passion était telle qu'ils semblaient incapables de résister à cette attraction magnétique qui les poussait l'un vers l'autre. Ils étaient emportés par la fièvre de leur retrouvaille, prêts à se donner corps et âme à cette passion dévorante qui brûlait entre eux.

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nuit du nouvel an. Elle est chez lui, dans son environnement. Dans son univers. Un bonheur. Et l’euphorie de la soirée passée en ce soir du 31 décembre ne fait qu’accentuer les sensations et l’enthousiasme de Tony. Le parfum de la jeune femme l’enivre, l’emporte dans un tourbillon de souvenirs passionnés qu’il rêve de raviver. Ses lèvres s’étirent en un sourire contre sa peau quand il la voit venir le libérer de sa chemise pour venir effleurer du bout des doigts sa peau. Le contact l’électrise, ravive des sensations jusque-là endormies. La passion brûlante. L’interdit. La folie. La délicieuse folie, dirait-il avec un sourire gourmand. « J’ai besoin de te sentir contre moi, Anthony. Maintenant. » Les retrouvailles urgentes auraient pu s’étendre sur la durée, une douce torture mais la prière pressante de Juliet a raison de lui et ses mains accompagnent le mouvement de sa robe qui glisse le long de son corps. Délestée de sa robe, il vient enrouler un de ses bras autour de sa taille pour la soulever du sol et la prendre dans ses bras, venant davantage l’attirer contre lui. Minuscule, elle lui donne le sentiment d’être minuscule, de devoir la protéger. Ses lèvres capturent les siennes alors que son corps est animé que par une pensée, répondre à sa prière.

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nuit du nouvel an. L’urgence du contact de l’autre est présente. Palpable. Le besoin de se retrouver, de nouer, de s’unir. Encore et encore. Le regard plonge dans le sien, s’y noie avec volonté et envie. Les muscles se crispent. Les poils s’hérissent sur la peau des amants qui frissonnent et savourent. Le plaisir des corps. Le plaisir des cœurs. Et, un sourire est sur ses lèvres quand il vient capturer les gémissements de son amante au bord des lèvres. Ultime motivation pour pouvoir atteindre le nirvana, pour atteindre ce monde de coton où tout est oublié, où il n’y a qu’eux. Front collé au sien, il ferme les yeux un instant pour pouvoir s’imprégner de cette sensation de plénitude alors qu’elle a resserré son étreinte. Les paupières s’ouvrent de nouveau et il voit sa poitrine se soulever au rythme de sa respiration. Une scène qui l’a si longtemps hanté, qu’il avait presque oublié et qui désormais redevenait sa folie. Les corps se séparent mais les âmes demeurent liées alors qu’il vient se blottir contre elle, pouvant se laisser bercer par sa respiration, par les battements de son cœur. Une main se pose sur sa peau de porcelaine alors que son oreille est venue se poser près de sa clavicule. Les lèvres déposent un vague et délicat baiser sur sa peau. Un silence s’impose par nature et il se laisse bercer, porter par ce silence réconfortant. Elle est là. Elle est toujours là, près de lui. Il doit se focaliser sur cette pensée … car il sait, il sait que l’autre réapparaîtra …

Elle devra partir. Elle devra le rejoindre. Et il devra la partager. Telle est la règle. La main caresse la peau, suivant des dessins abstraits. Et, finalement, il reprend la parole : « Tu sais que commencer cette année de la sorte va me motiver à poursuivre l’année de la même manière … » La voix est amusée même s’il sait qu’il s’agit d’une folle idée. Parler n’a jamais été son fort. Parler de ce qu’il ressent, de ce dont il a envie, ça a toujours été une tare. Son plus gros défaut. Il relève doucement la tête pour capturer son regard, cet instant. « Ça m’a donné pas mal d’idées même … », qu’il ajoute en tendant davantage le cou pour pouvoir atteindre ses lèvres et y déposer un baiser brûlant.

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premier janvier

La douce chaleur de l'étreinte persistait, enveloppant Juliet dans un cocon de passion et de tendresse. Elle pouvait sentir le rythme apaisant du cœur d'Anthony, un rythme qui résonnait en harmonie avec le sien. Leurs âmes semblaient se fondre l'une dans l'autre, créant une connexion profonde et enivrante. Le baiser doux qu'il avait déposé sur sa peau lui avait fait frissonner le corps, provoquant une onde de désir qui pulsait en elle. Leur silence était un langage bien plus expressif que les mots, et elle chérissait ce moment de quiétude après la passion dévorante qu'ils avaient partagée. Les paroles taquines d'Anthony et son sourire espiègle avaient fait naître un rire complice chez Juliet. "Je suis prête à tout avec toi, Anthony. Cette année s'annonce prometteuse, si elle continue sur cette lancée." Son regard pétillait d'une lueur malicieuse alors qu'elle répondait à son baiser brûlant. Les heures semblaient s'écouler en un éclair, mais ils étaient perdus l'un dans l'autre, déterminés à vivre chaque instant intensément. La nuit était leur alliée, et ils ne laisseraient pas cette passion interdite s'éteindre facilement. C'était un précieux moment volé à la réalité, une évasion enivrante dans laquelle ils se noyaient avec délice, se promettant l'un à l'autre de profiter de chaque instant.

Le baiser brûlant d'Anthony avait allumé en Juliet un feu ardent de désir. Elle répondit avec la même intensité, fondant ses lèvres contre les siennes, s'abandonnant à la passion qui les consumait. Ses mains caressaient doucement la peau d'Anthony, explorant chaque courbe, chaque muscle, comme si elle voulait graver chaque détail dans sa mémoire. Elle se blottit contre lui, sentant leurs corps fusionner dans une étreinte ardente. Au milieu de cet échange passionné avec Anthony, une pensée troublante s'insinua dans l'esprit de Juliet. Alors qu'elle se perdait dans la chaleur de leur étreinte, une lueur d'inquiétude surgit dans ses pensées. Elle commença à se demander combien de temps ils avaient encore ensemble, si Anthony ne finirait pas par tomber amoureux d'une autre femme. Cette pensée la fit frissonner, brisant brièvement l'enchantement du moment. Elle se remémora les moments difficiles où ils avaient été séparés par les circonstances de la vie, par d'autres engagements et responsabilités. Les doutes surgirent. Peut-être était-ce naïf de penser qu'ils pourraient continuer à vivre cette liaison passionnée éternellement. Juliet ne pouvait s'empêcher de se demander si Anthony pourrait finir par rencontrer quelqu'un d'autre, quelqu'un qui deviendrait plus important pour lui. Cette incertitude la troubla, mais elle décida de la mettre de côté pour l'instant, préférant se laisser emporter par l'intensité de l'instant présent. Elle voulait profiter de chaque moment qu'elle pouvait avoir avec lui, même si elle savait que leur amour était voué à être compliqué et éphémère. "Tu en as encore d'autre de belles idées comme ça ?"

@Anthony Lewis

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nuit du nouvel an. « Je suis prête à tout avec toi, Anthony. Cette année s'annonce prometteuse, si elle continue sur cette lancée. » « Ça veut dire que je t’ai convaincu à me suivre dans cette folie … notre folie ? », qu’il demande avec un sourire amusé aux lèvres. Ils s’étaient convaincus, sans le moindre doute. Répéter à l’infini les mêmes erreurs. Les répéter jusqu’à s’étioler, jusqu’à s’auto-détruire. « Tu en as encore d’autre de belles idées comme ça ? » Un rire amusé s’échappe de ses lèvres et vient remplir le silence de la pièce. Il se redresse pour prendre appui sur un coude et poser son regard sur elle, main retenant sa tête pour ne pas s’écrouler. « J’en ai un paquet, ouais … » la remarque est prononcé avec malice alors que de sa main libre, il parcoure la peau de la jeune femme pour finalement suivre la ligne de sa silhouette et laisser sa main se poser sur sa hanche, glisser jusqu’à sa fesse pour l’attirer un peu plus vers elle, faisant en sorte qu’elle vienne enrouler sa jambe autour de sa hanche. « Je pourrais t’en donner un avant-goût mais je me dis qu’attiser ta curiosité pourrait également me permettre de t’attirer plus facilement dans mes filets, ici … » le sourire amusé s’étire davantage alors que son nez vient s’approcher du sien et qu’il dépose un chaste baiser sur la commissure de ses lèvres.

« Tu m’as manqué », il a la folie de le répéter. « Toi, tes lèvres » un baiser sur ses lèvres, « ton parfum », un baiser sur la peau fine de son cou, « tes mains, ta peau, », et il lui chuchote le reste de la ribambelle de ce qui lui a manqué au creux de l’oreille alors que sa main s’accroche à sa fesse, la maintenant ainsi dans cette position, près de lui, contre lui. « est-ce que j’ai l’autorisation de te faire perdre la notion du temps et de m’occuper de toi, de nous toute la nuit … ? », qu’il demande en faisant semblant de mordre sa peau mais il dépose un baiser sur son épaule. Le regard recroise le sien, il s’y accroche à son regard, à cette malice, cette complicité.

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premier janvier

Anthony et Juliet partagent un moment de complicité passionnée. Ils échangent des mots teintés de désir et d'excitation. Les mots d'Anthony résonnent dans la pièce, exprimant son envie de poursuivre cette aventure passionnée avec Juliet. Il se délecte de leur "folie" commune, de la passion qui les unit, et Juliet répond avec un sourire complice. La tension sensuelle entre eux est palpable. Les mots d'Anthony réveillent le désir et la curiosité de Juliet, qui se demande quelles autres idées folles il pourrait avoir en réserve. Le rire amusé qui suit laisse entrevoir leur complicité et leur connivence.

Juliet sourit de manière taquine en réponse aux mots d'Anthony. "Oh, tu m'as définitivement convaincue de te suivre dans cette folie, Anthony," dit-elle d'un ton complice. "Et si tu as d'autres idées aussi excitantes en réserve, je suis prête à les entendre. Je suis curieuse de voir où notre complicité nous mènera cette fois." Elle ressent l'excitation monter en elle alors qu'Anthony la caresse et l'attire davantage contre lui. "Tout ce que tu m'as décrit m'a aussi manqué," dit-elle d'une voix sensuelle, laissant sa main glisser doucement sur le torse d'Anthony. "Et tu as absolument l'autorisation de me faire perdre la notion du temps, de prendre soin de nous toute la nuit. C'est ce que je veux, Anthony." Son regard captivant rencontre le sien, rempli de désir et de complicité, tandis qu'elle se laisse emporter par l'intensité de leur étreinte passionnée.

Juliet, après un moment de tendresse et de complicité avec Anthony, finit par partager ses sentiments avec lui. "Tu sais, Anthony," commence-t-elle doucement, "ton absence a été insupportable pour moi. Le vide que tu as laissé dans ma vie m'a fait souffrir. Il n'y avait personne d'autre qui pouvait prendre ta place, personne qui pouvait remplir ce vide. J'ai eu l'impression de perdre une partie de moi-même." Elle continue, ses yeux cherchant les siens avec une sincérité profonde. "Je ne voulais pas admettre à quel point j'avais besoin de toi, à quel point tu étais essentiel dans ma vie. Mais c'est la vérité, Anthony. Tu m'as manqué d'une manière que je ne peux même pas expliquer. Et maintenant que tu es de retour, je ne veux plus jamais te laisser partir."

Les mains de Juliet continuent de parcourir lentement le corps d'Anthony, explorant chaque centimètre avec désir et passion. Elles glissent sur sa peau, suivant chaque contour, chaque courbe. Puis, avec une intensité grandissante, elle finit par capturer ses lèvres dans un baiser passionné et ardent. Leurs lèvres se rejoignent avec une urgence évidente, exprimant le désir brûlant qui les consume tous les deux. C'est un moment d'intimité intense où leurs corps et leurs âmes se fondent dans une étreinte passionnée.

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nuit du nouvel an. « Oh, tu m'as définitivement convaincue de te suivre dans cette folie, Anthony. Et si tu as d'autres idées aussi excitantes en réserve, je suis prête à les entendre. Je suis curieuse de voir où notre complicité nous mènera cette fois. » « L’amour du risque », glisse-t-il dans un murmure, un soupir. « Tout ce que tu m'as décrit m'a aussi manqué. Et tu as absolument l'autorisation de me faire perdre la notion du temps, de prendre soin de nous toute la nuit. C'est ce que je veux, Anthony. » Le sourire rayonne alors que son regard vient capturer le sien, ou est-ce l’inverse ? La gourmandise le contraint à passer le bout de sa langue sur ses lèvres avant de se les pincer. Oh comme il la désire. Encore plus maintenant qu’il sait qu’il a la possibilité de profiter davantage d’elle, de sa présence. Pas un passage en coup de vent. Non, une nuit.

« Tu sais, Anthony. Ton absence a été insupportable pour moi. Le vide que tu as laissé dans ma vie m'a fait souffrir. Il n'y avait personne d'autre qui pouvait prendre ta place, personne qui pouvait remplir ce vide. J'ai eu l'impression de perdre une partie de moi-même. » Il l’écoute et est désolé. Désolé d’entendre qu’elle ait autant souffert que lui de cette distance qu’ils s’étaient néanmoins sainement imposés. « Je ne voulais pas admettre à quel point j'avais besoin de toi, à quel point tu étais essentiel dans ma vie. Mais c'est la vérité, Anthony. Tu m'as manqué d'une manière que je ne peux même pas expliquer. Et maintenant que tu es de retour, je ne veux plus jamais te laisser partir. » L’étreinte se resserre alors qu’il ne pense qu’à une chose, venir se glisser en elle, pouvoir la sentir tout contre lui, tout autour de lui. En guise de réponse, il vient anéantir les millimètres qui les sépare pour prendre possession de ses lèvres, répondant avec la même passion à son baiser. Sa main quitte la courbe de sa fesse pour venir se poser dans le creux de ses reins. « Je n’ai pas l’intention de partir, ni l’intention de te laisser partir … », souffle-t-il contre ses lèvres, collant son front au sien, « tu sais que t’as pas besoin de me dire ce genre de choses pour me faire fondre … », une voix rieuse et sa main vient se glisser sous sa crinière rousse pour caresser doucement la peau de son dos, « il est hors de question que je sois celui qui te fasse souffrir. Je refuse d’être celui qui te fasse souffrir … » Un doux et délicat baiser sur le bord de ses lèvres puis un second … et il se laisse lui-même emporter par la course à la passion car c’est un baiser bien brûlant qui vient les unir.

Et son corps est un appel au sien. Le besoin de l’union. Vitale.

confidences for confidences.

premier janvier

Leurs paroles, empreintes de désir et de vérité, sont comme une symphonie de passion dans la douce mélodie de la nuit. Les gestes deviennent plus audacieux, leurs corps se rapprochent, et la tension sexuelle devient insoutenable. Anthony, ne pouvant plus résister à la tentation, l'attire encore plus près de lui. Leurs lèvres se rejoignent avec une ferveur avide, leurs langues dansant ensemble dans un baiser passionné qui évoque tous les souvenirs de leur histoire commune. Les mains d'Anthony parcourent son dos, descendant lentement, explorant chaque centimètre de sa peau douce. Il ne veut pas seulement la posséder physiquement, mais aussi la réconforter, lui montrer combien elle compte pour lui. Juliet répond avec une intensité égale, ses mains parcourant également le corps d'Anthony, ses doigts caressant sa peau brûlante. Elle se blottit encore plus contre lui, comme si elle cherchait à fusionner avec lui, à devenir une seule entité dans cet instant de passion dévorante. Pourtant, malgré le tourbillon de sensations qui les emporte, cette pensée inquiétante revient hanter Juliet. Elle se demande combien de temps ils auront ensemble, si Anthony finira par s'éloigner pour une autre femme. Cette pensée, bien que troublante, ne fait que renforcer son désir ardent de profiter de chaque instant qu'ils ont ensemble.

Leurs corps sont en parfaite harmonie, se mouvant l'un contre l'autre avec une synchronicité parfaite. Chaque contact électrise leur peau, chaque baiser enflamme leur désir. Le temps semble s'étirer, suspendu dans un moment éternel de pur plaisir. Les mains d'Anthony explorent chaque courbe, chaque creux de Juliet, tandis que les doigts de Juliet s'attardent sur chaque contour de son corps. Ils se découvrent à nouveau, explorant les zones les plus sensibles, ravivant les sensations qui les ont tant manquées. La tension sexuelle atteint son paroxysme, leurs soupirs et gémissements remplissent la pièce, créant une symphonie sensuelle qui ne laisse aucun doute quant à l'intensité de leur désir mutuel. Ils se regardent dans les yeux, capturant chaque émotion, chaque pensée, dans cet échange passionné. Leurs bouches se cherchent et se trouvent, les baisers deviennent plus voraces, plus affamés. La fusion de leurs corps devient imminente, mais ils savent que ce moment de communion ne fait que renforcer leur connexion profonde, qu'ils sont destinés l'un à l'autre d'une manière que personne d'autre ne peut comprendre.

Dans cet instant, tout ce qui compte, c'est eux deux, leur passion inextinguible et le désir brûlant qui les consume. La nuit promet d'être longue et exquise, et ils sont déterminés à en profiter pleinement, chaque seconde comptant comme une éternité de plaisir.

@Anthony Lewis