ÂGE : trente-cinq ans. SURNOM : (jaq) lonnie, pendant un temps - révolu désormais. constantine fera largement l’affaire sinon, s’il faut vraiment. STATUT : célibataire, parce-que c’est toujours plus simple que d’expliquer qu’il a préféré choisir l’addiction à l’autre amour de sa vie, et qu’elle a refait sa vie avec un autre alors qu’il porte toujours son alliance autour de son cou. il n'essaie pas de la reconquérir, il se contente d'apprendre à être présent pour leur fils - et c'est déjà beaucoup de travail. MÉTIER : ancien militaire mis à la retraite bien trop tôt. a troqué l'emerald hotel pour la mhi, promu chef de la sécurité là-bas (on dit merci les contacts); ce qui lui permet de ne plus travailler pour sa famille et de s'émanciper. parrain chez les na+aa où il garde un œil très attentif sur les nouveaux protégés (parce-qu'il est trop bien placé pour ce genre de rôle, malheureusement). donne des coups de main pour servir les repas avec homeless connect. occupé, très occupé - entre ça et risquer la rechute, le choix est rapidement fait. LOGEMENT : un deux-pièces mal isolé dans fortitude valley, où il est facile de suivre le programme télévision des voisins et leurs histoires de couple depuis son propre canapé (squatté temporairement par son frère ambrose le temps qu'il trouve autre chose). POSTS : 1940 POINTS : 80
TW IN RP : deuil, maladie, drogues/médicaments, addiction, overdose, idées noires/pensées suicidaires, perte de garde d’enfant. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
AVATAR : jack lowden. CRÉDITS : daylight (avatar) › harley (gifs) › stairsjumper (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 13/06/2021
« Ils ne t’ont jamais proposé un poste dans l’administratif ? » Il haussa un sourcil. « J’ai dû voir beaucoup trop de films, je pensais qu’au moins dans cette institution, on laissait sa chance à ceux qui ont donné de leur temps en ne les mettant pas à la porte comme des mal propres. » A cette remarque là, il eut un petit sourire - presque trop faible pour être qualifié de la sorte. Elle avait raison, sur une bonne partie du sujet en tous cas: il ne pouvait pas lui retirer ça. « Ils auraient pu. » Il inspira longuement. « Mais j’étais déjà plus apte à prendre un poste dans l’administratif. » C’était là une jolie façon détournée pour dire qu’il était déjà sous l’emprise de bien des choses qui n’étaient pas saines pour la santé et qui mettaient en péril une carrière pour que l’armée puisse lui offrir ce type de chance. « Et j’aurais refusé, de toutes façons. J’ai jamais eu envie de rester le cul sur une chaise toute la journée. » Il était un homme de terrain, d’action - il n’était pas formaté pour apprendre à connaitre les quatre coins d’un bureau par coeur. « Combien d’années tu y as passé ? » - « A l’armée ? » Il plissa le bout de son nez. « Huit ans sur le terrain. Dix officiellement, parce-qu’ils m’ont pas mis à la porte de suite, ils ont attendu de voir comment avançait la rééducation. » Mais cette dernière s’était transformée en d’autres problèmes et il avait été plus simple de lui indiquer le chemin jusqu’à la porte de sortie plutôt que d’essayer de travailler avec lui et de lui apporter l’aide dont il avait désespérément besoin.
« Tu me donnes vraiment l’impression de détester travailler ici. » Il eut un petit rire amer. « C’est pas qu’une impression. » Il avait l’impression de perdre son temps, ici. De faire un travail utile certains jours, certes - comme aujourd’hui avec Evelyn -, mais surtout de perdre son temps la plupart de ce dernier. « Tu ne penses pas à, je ne sais pas, envisager quelque chose d’autre ? Les trous dans ton CV doivent être comblés depuis le temps, non ? Ça fait combien de temps maintenant que tu travailles dans les parages ? » Et avant même qu’il n’ait pu faire le moindre commentaire, elle levait déjà les mains devant elle pour l’interrompre autant qu’elle s’interrompait elle-même en réalité. « Je m’excuse. Tu dois avoir l’impression de passer un interrogatoire. Promis, je ne travaille pas pour les services secrets, je suis juste curieuse. » Il eut un petit sourire accompagné d’un petit rire allant de pair avec. « J’ai pas peur des services secrets, donc c’est pas si grave si c’est le cas au pire. » Il préférait prendre l’option de l’humour pour ne pas appuyer sur un point qui semblait être dérangeant à ses yeux en cet intrant. Malone finit par hausser les épaules. « Tu sais, tu dois être la première personne qui me pose ces questions. Peut-être la deuxième, au pire. Donc c’est pas ennuyant. » Il ne soulignerait pas que cela faisait même du bien d’avoir quelqu’un face à lui qui semblait réellement s’intéresser à la conversation et aux réponses qu’il pouvait y apporter, mais il suffisait de lire entre les lignes et de voir le regard empli d’une touche de bienveillance qu’il posait sur les traits de son visage. Il reprit finalement: « J’ai pensé, à faire autre chose. Mais ça paie bien ici. Et je peux arranger mes horaires assez facilement pour mon fils. Et honnêtement, c’est assez rare d’avoir tout ça en même temps dans d’autres endroits. » Il haussa les épaules.
A ses commentaires, elle laissa échapper un petit rire et Malone ne put lui en vouloir: il avait une façon bien à lui discuter de tout ce qui les entourait. « J’aurais certainement dit les choses avec plus de tact que ça, mais crois-moi que sur le fond, je pense exactement la même chose. » Ce fut à son tour d’avoir un petit sourire, à défaut d’avoir un rire entier, amusé. « Tant mieux. » Il n’avait pas besoin que c’en soit autrement. « Je vais encore une fois utiliser une phrase toute faite pour résumer ton analyse, mais elle se prête plutôt pas mal à tout ça je trouve : l’argent ne fait pas le bonheur, c’est comme ça qu’on dit ? » Il haussa quelques instants les sourcils, comme pour souligner que c’était autant la vérité qu’une aberration; s’il avait réellement de l’argent, il savait qu’il serait bien plus heureux qu’il ne pouvait l’être aujourd’hui. « Il participe pas mal au bonheur quand même, le bougre. » Là était une véritable réplique de personne qui avait connu la différence entre avoir de l’argent sans s’en rendre compte et ne pas en avoir et être parfaitement au fait que ce soit le cas. « On peut être reconnaissant de quelque chose tout en se permettant d’être critique à ce sujet, ça ne fait pas de nous des personnes ingrates pour autant. De mon point de vue en tout cas. » Il pinça ses lèvres. « Si tu connais Cristina, tu connais surement James, son mari. Si tu pouvais lui répéter ça, ça jouerait en ma faveur. » Et à ses frères et soeurs aussi, par association, ça leur ferait du bien d’entendre cette version là des choses.
« Je monopolise ton temps sous un faux prétexte, on dirait. » Le regard d’Evie était apposé sur la table sans la moindre tasses devant eux, alors que la vie continuait de tourner autour. Malone eut un petit rire, balayant d’un revers de la main ses excuses dissimulées. « Personne est venu me chercher, ça veut bien dire que je suis pas indispensable. » Il savait qu’il ne l’était pas, mais c’était là une façon de le souligner de manière on ne pouvait plus évidente. « Et franchement, je préfère être là avec toi qu’à bosser. Pas que j’aime pas bosser, mais on a fait le tour de la question. » Il se pencha quelque peu en avant, et ajouta sur le ton de la confidence: « C’est le collègue que je peux le moindre blairer qui bosse avec moi aujourd’hui, alors de mon point de vue ça lui fait les pieds de se trouver seul un peu. Qu’il se débrouille. » C’était la différence avec l'époque où il était dans l’armée: il n’aurait jamais eu ce genre de réflexion ou de comportement, surtout; il y avait bien des gars qu’il ne pouvait voir en peinture, mais jamais il ne les aurait laissé en arrière, il aurait été à leurs côtés quoi que. « C’est plutôt moi qui doit utiliser ton temps alors que t’as surement d’autres choses à faire plus importantes. » Elle était forcément attendue à un autre endroit, à une autre réunion, pour un autre déplacement - il n’en savait trop rien, mais elle avait l’image de quelqu’un d’important, bien plus que lui.
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Alma Barton
le bonheur illusoire
ÂGE : 35 ans (03.09.1989) SURNOM : alma est à peine utilisé par son entourage qui s’obstine à l’appeler lola depuis sa plus tendre enfance. c’est comme ça qu’elle jauge la valeur qu’elle a dans le coeur des gens qui se trouvent en face d’elle. lorsqu’on l’appelle alma, ça la met en alerte, et elle reste sur ses gardes STATUT : elle compte ses années de mariage comme d’autres comptes leurs années de captivité. ils en sont à six avec jake, et pourtant elle a le sentiment d’en avoir subi davantage. ça aurait pu s’adoucir depuis qu’elle est devenue maman : c’est pire, bien pire encore MÉTIER : récemment promue nouvelle directrice artistique des bijoux du géant de la joaillerie, michael hill, elle a travaillé longtemps au sein de l’entreprise en tant qu’acheteuse de pierres précieuses. elle garde un pied dans ce domaine aujourd’hui, assumant fièrement sa double casquette, ne tenant pas en place, plus que jamais motivée à redorer le blason de cette maison à laquelle elle tient malgré la réputation sulfureuse qui la précède LOGEMENT : #99 st pauls terrace, spring hill, dans une villa de type hacienda construite juste après son mariage. elle aimerait sans doute cette maison si elle n’avait pas autant l’allure d’une cage ; son mari y est heureux, leur fille aussi, mais le sentiment n’est pas partagé, de ce fait elle la fuit dès qu’elle le peut POSTS : 10419 POINTS : 620
TW IN RP : accident de la route, délit de fuite, mensonges, manipulation, jeux de pouvoir, chantage, mention d’alcoolo-dépendance, mariage plus ou moins arrangé, déni de maternité (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : cubaine par sa mère ◦ nepo-baby ◦ ex-employée chez vogue australia, surtout ex-assistante de son éditorialiste phare, nicole greene, sa tante ; cousine de micah tomlinson ◦ carnet d’adresses aussi précieux que les pierres qu’elle déniche depuis 8 ans pour le compte de la mhi ◦ as des codes sociaux, pas contre d'utiliser son physique pour atteindre ses objectifs, adepte de l’opportunisme et de la manipulation ◦ épouse par dépit, mère par obligation ; n’aime pas son mari, déplore la naissance de leur fille, claudia ◦ alcoolo-dépendance tapie entre ses mensonges, sa culpabilité et son déniDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #7AA1D2 RPs EN COURS :
GREEDE ◦ so when i touch down call the amateurs and cut 'em from the team ditch the clowns get the crown baby i'm the one to beat cause the sign on your heart said it's still reserved for me honestly who are we to fight the alchemy?
MALONE ◦ what if i roll the stone away? they're gonna crucify me anyway what if the way you hold me is actually what's holy? if long-suffering propriety is what they want from me they don't know how you've haunted me so stunningly
JAKE ◦ i would've died for your sins instead i just died inside and you deserve prison but you won't get time you'll slide into inboxes and slip through the bars you crashed my party and your rental car (scénario libre)
Elle questionnait Malone sur son parcours depuis de longues minutes déjà, et ce sans savoir si elle en avait vraiment le droit. En tout cas, lui ne l’interdisait pas d’aller plus loin dans ses questions, y répondant chaque fois avec précision et gentillesse, ne repoussant aucunement l’offre tacite qu’elle lui faisait de se confier sur ses aspirations passées et futures. Il était généreux dans tous les sens du terme Malone, ainsi elle apprenait à le connaître au travers des réponses qu’il lui donnait sans tourner autour du pot, même s’il atténuait parfois son discours à propos de son addiction. Elle comprit toutefois que si l’armée ne lui avait pas proposé de poste dans l’administratif, c’était en partie parce qu’il était déjà au prise avec ses démons à l’époque, et elle ne voulut pas le questionner davantage à ce sujet, se contentant de hocher la tête en le regardant, la tête inclinée sur le côté. Elle eut un sourire en l’entendant lui préciser que de toute façon, il avait la bougeotte, et que rester assis derrière un bureau, trop peu pour lui. Elle n’était pas étonnée, il était un homme d’action qui n’aurait pas été efficace à tapoter sur un clavier d’ordinateur pour sûr. Il avait passé dix ans à l’armée, elle imaginait que l’amertume de se faire évincer avait dû être réelle, et elle lui demanda "Tu t’y étais préparé, à devoir partir, ou ça a été une surprise pour toi quand ils t’ont remercié ?" Non pas que ça avait une quelconque importance au fond, il avait de toute façon dû composer avec l’idée de devoir réorganiser sa vie, et ça n’avait pas dû être simple. D’autant qu’à l’entendre, l’armée était une vocation, pas une passade.
Pas comme son travail ici qu’il lui donnait le sentiment de détester, ce qu’il lui confirma dans la foulée. Evelyn ne sut pas comment réagir à ça, elle se contenta donc de lui sourire bouche fermée, désolée qu’il ressente ça alors qu’il passait le plus clair de son temps ici "Je trouve ça dommage que tu perdes ton temps ici." se justifia-t-elle pour expliquer davantage qu’elle le questionnait autant, se comportant comme un agent des services secrets en mission. Encore une fois, il ne donnait pas l’air d’être dérangé par la manière dont elle menait leur conversation, mais elle se jugeait tout de même suffisamment intrusive pour qu’à un moment où un autre, ça commence à l’ennuyer, aussi anticipa-t-elle en se sommant de se calmer. Leurs yeux se croisèrent, et elle lui demanda ensuite "Si demain, il te prenait une folie, et que tu décidais de démissionner, qu’est-ce que tu aimerais faire ? Et je parle de quelque chose qui te donnerait envie de te lever le matin, pas quelque chose qui te servirait juste à survivre et à payer les factures." La mise en garde était douce alors qu’elle l’incitait à rester honnête avec elle.
Elle ne jugeait pas qu’ils étaient ingrats de regretter de venir du milieu dans lequel ils avaient évolué, elle ne jugeait pas non plus ceux qui s’y complaisaient et versaient dans la facilité en se laissant bercer par la douce mélodie de la richesse. Ils avaient un point de vue différent sur l’argent, mais ce n’état pas suffisant pour qu’ils se déchirent à ce sujet, et elle passa bien vite sur la question, se rendant compte dans la foulée qu’ils étaient là, attablés, alors que Malone était supposé être en plein service "Je ne voudrais quand même pas que tu t’attires d’ennuis par ma faute, je devrais vraiment te laisser retourner à ton poste." Il lui avoua cependant préférer être ici avec elle, et ça lui fit pencher la tête sur le côté pour l’observer un instant de trop sans doute. Elle s’en rendit compte, et jugea bon chasser l’ange qui passa avec une blague qu’elle lui offrit comme moyen détourné de lui faire entendre que le sentiment était partagé "Je devrais me faire malmener plus souvent par les extrémistes, ça nous donnerait l’occasion de mieux apprendre à se connaître." Son regard s’illumina brièvement et elle ajouta "Ou alors, je devrais t’engager comme garde du corps, ce serait aussi une solution." Elle plaisantait sur l’instant, reprenant à la suite de ce qu’il lui disait sur son collègue "J’ose espérer que tu m’apprécies plus que ton collègue, tu subirais beaucoup moins tes heures de boulot à mes côtés." Faisant un petit mouvement de tête, elle lui sourit sincèrement, laissant cette idée de côté pour reprendre à la suite du jeune homme "En fait, non. Je dois simplement rejoindre le quartier des affaires pour retourner à mon bureau, valider le résumé de la réunion qui a eu lieu ici et que mon assistant est supposé avoir déjà envoyé sur ma boîte mail, et ma journée sera terminée." Elle remua sur sa chaise, prenant soin de se lever avec élégance alors qu’elle continuait "Contrairement à toi, je suppose, alors je ne vais pas abuser de ton temps plus longtemps."
they said the end is coming, everyone's up to something, i find myself running home to your sweet nothings. outside, they're push and shoving, you’re in the kitchen humming, all that you ever wanted from me was sweet nothing.
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Malone Constantine
le prix du vice
ÂGE : trente-cinq ans. SURNOM : (jaq) lonnie, pendant un temps - révolu désormais. constantine fera largement l’affaire sinon, s’il faut vraiment. STATUT : célibataire, parce-que c’est toujours plus simple que d’expliquer qu’il a préféré choisir l’addiction à l’autre amour de sa vie, et qu’elle a refait sa vie avec un autre alors qu’il porte toujours son alliance autour de son cou. il n'essaie pas de la reconquérir, il se contente d'apprendre à être présent pour leur fils - et c'est déjà beaucoup de travail. MÉTIER : ancien militaire mis à la retraite bien trop tôt. a troqué l'emerald hotel pour la mhi, promu chef de la sécurité là-bas (on dit merci les contacts); ce qui lui permet de ne plus travailler pour sa famille et de s'émanciper. parrain chez les na+aa où il garde un œil très attentif sur les nouveaux protégés (parce-qu'il est trop bien placé pour ce genre de rôle, malheureusement). donne des coups de main pour servir les repas avec homeless connect. occupé, très occupé - entre ça et risquer la rechute, le choix est rapidement fait. LOGEMENT : un deux-pièces mal isolé dans fortitude valley, où il est facile de suivre le programme télévision des voisins et leurs histoires de couple depuis son propre canapé (squatté temporairement par son frère ambrose le temps qu'il trouve autre chose). POSTS : 1940 POINTS : 80
TW IN RP : deuil, maladie, drogues/médicaments, addiction, overdose, idées noires/pensées suicidaires, perte de garde d’enfant. GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. CODE COULEUR : royalblue. RPs EN COURS :
AVATAR : jack lowden. CRÉDITS : daylight (avatar) › harley (gifs) › stairsjumper (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 13/06/2021
« Tu t’y étais préparé, à devoir partir, ou ça a été une surprise pour toi quand ils t’ont remercié ? » Faisant rouler ses lèvres l’une sur l’autre, son index jouant avec le bord de la table à laquelle ils étaient toujours assis, il plissa quelque peu le bout du nez. « J’aurais du, m’y être préparé. » Après tout, il était le propre initiateur de son comportent et personne ne l’avait poussé à agir comme ça; il avait vu les choses arriver. Cependant, il avait été bien plus simple de fermer les yeux sur ses propres agissements et ne pas prendre en compte le fait qu’il était en train de dériver. Il inspira quelque peu plus fortement. « Ca a quand même été une surprise. J’ai toujours pensé que je pourrais revenir assez en forme. » Parce-que sa blessure avait duré un peu plus longtemps que prévu, mais ce n’était qu’une blessure: il saurait s’en remettre. Et effectivement, il s’en était remis - mais il s’était détruit sur d’autres points en parallèle.
« Je trouve ça dommage que tu perdes ton temps ici. » Il trouvait ça bien dommage aussi, si son honnête avis était demandé une fois de plus. Mais la facilité était ce qu’elle était, et parfois avoir un peu de stabilité sans avoir besoin de sortir de sa zone de confort était presque appréciable. « Si demain, il te prenait une folie, et que tu décidais de démissionner, qu’est-ce que tu aimerais faire ? Et je parle de quelque chose qui te donnerait envie de te lever le matin, pas quelque chose qui te servirait juste à survivre et à payer les factures. » Le regard d’Evie soutenait quelque peu le sien, et peut-être que l’espace d’un instant il fut un brin déstabilisé; peu de personne le regardait vraiment, pour commencer, et ces dernières étaient encore moins nombreuses à s’intéresser à ce qu’il désirait. Il garda le silence pour lui encore un moment, avant de reprendre la parole. « Quelque-chose qui a vraiment un impact dans la vie de quelqu’un. Pas comme ici où les gens en ont pas grand chose à faire de qui est là ou non, tant qu’ils peuvent mener leurs affaires à l’abris des regards. » Parce-qu’il n’était qu’un élément de décoration dans un paysage qui apportait un faux semblant de sécurité. Il haussa les épaules. « Je sais pas quoi exactement, mais un truc où je me sentirais vraiment utile. » Parce-qu’il n’appréciait pas réellement être une plante verte; c’était déjà le cas avant, les expériences de vie n’avaient pas changé ce ressenti là.
« Je ne voudrais quand même pas que tu t’attires d’ennuis par ma faute, je devrais vraiment te laisser retourner à ton poste. » Il balaya de nouveaux ses excuses d’un revers de la main. « Maintenant que je sais que tu connais Cristina, je lui dirais que c’est ta faute si elle me reproche quelque-chose. » Il savait pertinemment que cela n’arriverait pas, mais il se permit d’ajouter là une touche d’humour malgré tout avec un petit sourire allant de pair avec ses mots. Il ne fut apparemment pas le seul à prendre l’option humour dans ses paroles. « Je devrais me faire malmener plus souvent par les extrémistes, ça nous donnerait l’occasion de mieux apprendre à se connaître. » Bien sur qu’un sourire fendit le visage de Malone en cet instant, juste avant qu’il ne secoue quelque-peu ce dernier. « C’est un peu extrême justement comme mesures. » Il y avait plus simple pour passer du temps pour apprendre à se connaitre - était-ce une autre idée plus mesurée qui lui passait par l’esprit, avec un tel regard ? « Ou alors, je devrais t’engager comme garde du corps, ce serait aussi une solution. J’ose espérer que tu m’apprécies plus que ton collègue, tu subirais beaucoup moins tes heures de boulot à mes côtés. » Et parce-que l’humour était de mise plutôt qu’autre chose en cet instant, bien sur qu’il se permit un petit rire. « Mes heures de travail seraient plus agréables, oui, c’est sur. » Contrairement à son collègue qui, il espérait, assurait son travail en ce moment, il appréciait la compagnie d’Evie. « Je sais pas si ton quotidien serait plus intéressant toi. Mais j’ai prouvé déjà que je savais venir à ton secours une fois. » Il gardait le ton amusé, parce-que dans son esprit c’était de cette sorte que les choses se passaient en cet instant. Même si l’espace d’un instant, Malone imagina cela être vrai - et effectivement, cela semblant rien qu’en jouant sur l’imagination bien plus amusant et intéressant que tout ce qu’il faisait ici au quotidien. Et puis, avoir cette brune là comme patron serait bien plus agréable que celle qui était aux commandes de l’hôtel.
« En fait, non. Je dois simplement rejoindre le quartier des affaires pour retourner à mon bureau, valider le résumé de la réunion qui a eu lieu ici et que mon assistant est supposé avoir déjà envoyé sur ma boîte mail, et ma journée sera terminée. » Au moins, Malone était assuré de ne pas être celui lui volant un temps qui aurait du être précieux pour autre chose. Si elle s’inquiétait dans un sens que ce soit le cas, c’était également le cas pour lui: il ne voulait pas qu’elle perde son temps à ses côtés. Il étira un petit sourire. « Tant mieux alors. » Et alors qu’elle se levait, il l’accompagna dans son geste, faisant de même de son côté. « Contrairement à toi, je suppose, alors je ne vais pas abuser de ton temps plus longtemps. » Il ne se répèterait pas: il avait déjà statué que son temps ici ne lui importait pas véritablement et que sa journée avait surement été sauvée par justement l’apparition malheureuse de la brune dans son champ de compétences. « Laisse moi te raccompagner au moins jusque l’entrée du bâtiment. » C’était sur son chemin, de toutes façons. « Que j’assure ta protection correctement jusqu’au bout. » Même si le problème du jour avait été écarté, et qu’il prononçait ces paroles là avec un petit sourire aux lèvres - il était malgré tout sérieux et comptait faire les choses bien jusqu’au bout.
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Alma Barton
le bonheur illusoire
ÂGE : 35 ans (03.09.1989) SURNOM : alma est à peine utilisé par son entourage qui s’obstine à l’appeler lola depuis sa plus tendre enfance. c’est comme ça qu’elle jauge la valeur qu’elle a dans le coeur des gens qui se trouvent en face d’elle. lorsqu’on l’appelle alma, ça la met en alerte, et elle reste sur ses gardes STATUT : elle compte ses années de mariage comme d’autres comptes leurs années de captivité. ils en sont à six avec jake, et pourtant elle a le sentiment d’en avoir subi davantage. ça aurait pu s’adoucir depuis qu’elle est devenue maman : c’est pire, bien pire encore MÉTIER : récemment promue nouvelle directrice artistique des bijoux du géant de la joaillerie, michael hill, elle a travaillé longtemps au sein de l’entreprise en tant qu’acheteuse de pierres précieuses. elle garde un pied dans ce domaine aujourd’hui, assumant fièrement sa double casquette, ne tenant pas en place, plus que jamais motivée à redorer le blason de cette maison à laquelle elle tient malgré la réputation sulfureuse qui la précède LOGEMENT : #99 st pauls terrace, spring hill, dans une villa de type hacienda construite juste après son mariage. elle aimerait sans doute cette maison si elle n’avait pas autant l’allure d’une cage ; son mari y est heureux, leur fille aussi, mais le sentiment n’est pas partagé, de ce fait elle la fuit dès qu’elle le peut POSTS : 10419 POINTS : 620
TW IN RP : accident de la route, délit de fuite, mensonges, manipulation, jeux de pouvoir, chantage, mention d’alcoolo-dépendance, mariage plus ou moins arrangé, déni de maternité (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : cubaine par sa mère ◦ nepo-baby ◦ ex-employée chez vogue australia, surtout ex-assistante de son éditorialiste phare, nicole greene, sa tante ; cousine de micah tomlinson ◦ carnet d’adresses aussi précieux que les pierres qu’elle déniche depuis 8 ans pour le compte de la mhi ◦ as des codes sociaux, pas contre d'utiliser son physique pour atteindre ses objectifs, adepte de l’opportunisme et de la manipulation ◦ épouse par dépit, mère par obligation ; n’aime pas son mari, déplore la naissance de leur fille, claudia ◦ alcoolo-dépendance tapie entre ses mensonges, sa culpabilité et son déniDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #7AA1D2 RPs EN COURS :
GREEDE ◦ so when i touch down call the amateurs and cut 'em from the team ditch the clowns get the crown baby i'm the one to beat cause the sign on your heart said it's still reserved for me honestly who are we to fight the alchemy?
MALONE ◦ what if i roll the stone away? they're gonna crucify me anyway what if the way you hold me is actually what's holy? if long-suffering propriety is what they want from me they don't know how you've haunted me so stunningly
JAKE ◦ i would've died for your sins instead i just died inside and you deserve prison but you won't get time you'll slide into inboxes and slip through the bars you crashed my party and your rental car (scénario libre)
Elle pensa à Rhett, Evie. Au parallèle étrange, mais facile, qu’elle fit entre lui et Malone qui, ayant connu une blessure lui aussi, avait terminé accroc au traitement qu’on lui avait donné pour gérer sa douleur — le supposait-elle, en tout cas, sautant peut-être trop hâtivement au conclusion à ce propos, elle préféra toutefois ne pas rentrer plus loin dans ses interrogations, connaissant ses propres limites —, et qui l’avait finalement contraint à endurer des épreuves pénibles, brisant ses rêves et ses espoirs, tout à la fois. Ça l’incitait à avoir davantage de compassion pour lui alors qu’il était évident qu’elle en avait déjà, et elle ne réussit pas tout à fait à déloger ses yeux des siens pendant une poignée de secondes quand il répondit à ses questions comme il le faisait depuis leur première rencontre : avec sincérité. Dans la foulée, elle l’interrogea sur ce qui pourrait le faire vibrer et le faire lever avec joie le matin, aujourd’hui, ses desseins dans l’armée ayant été réduits à bien peu de choses. Elle l’écouta attentivement, le plus sincèrement du monde intéressée par ce qu’il avait à lui répondre et qui ne la surprit pas en définitive ; ça collait parfaitement à la personnalité qu’elle lui devinait, cette dernière devenant de plus en plus distincte au plus ils discutaient, se côtoyaient, et devenaient moins des inconnus sans pour autant pouvoir se considérer comme des amis " Hm, je vois. Un peu comme tu fais lors des réunions au centre associatif." nota-t-elle avec un sourire qui faiblit juste un peu, mais pas par manque de conviction, simplement parce qu’elle concentra son regard sur Malone en plissant les paupières "En tout cas, ça te ressemble d’avoir ce genre d’ambition." lui dit-elle sans en ajouter davantage.
Il était temps pour elle de lever le camp "Tiens donc, on accuse les honnêtes gens pour se sauver soi-même ?" Elle joua le jeu de Malone, se préparant à se lever pour permettre au jeune homme de retourner à son poste. Même si elle le prétendait, elle espérait que sa prochaine fois à l’Emerald Hotel soit plus engageante que celle qui avait forcé Malone à intervenir, et visiblement, d’après ce qu’il disait en tout cas, il était d’accord avec elle. Elle lui offrit un léger rire, haussa les sourcils à ce qu’il ajouta, et avec un sérieux qu’elle emprunta au poste qu’elle occupait de son côté, elle répondit de nouveau avec humour au jeune homme à qui, pour l’heure, elle avait fait une fausse proposition de travail de rechange, partant de ses confessions au sujet de la manière dont il voyait celui qui le faisait vivre depuis quelques temps maintenant : comme une corvée "Et bien, s’il ne te faut que ça, je vais considérer ta candidature." lui glissa-t-elle en murmurant avec exagération, faisant courir cette blague entre eux tandis qu’elle se levait enfin de sa chaise pour s’en aller. Elle garda un instant le bout de ses doigts posés sur la table, affirma sa raison qui lui soufflait qu'il était en effet temps de laisser les gens travailler, elle-même ayant une journée passablement écourtée, et s’apprêta à souhaiter à Malone bien du courage pour terminer la sienne. Mais il la prit de court en lui proposant de la raccompagner, et elle ne sut faire autrement que d’accepter. Elle avait le sentiment d’abuser un peu de la gentillesse du jeune homme, aussi ses doutes la quittèrent alors qu’ils continuèrent à discuter, et qu’au fur et à mesure, l’incident qui les avait mis sur le chemin l’une de l’autre aujourd’hui ne devint plus qu’un mauvais souvenir.
rp terminé.
they said the end is coming, everyone's up to something, i find myself running home to your sweet nothings. outside, they're push and shoving, you’re in the kitchen humming, all that you ever wanted from me was sweet nothing.