@Valentina De Luca Ugo est un homme qui a toujours su contrôler ses émotions. Il est toujours parvenu à les enfouir, les dissimuler, les étouffer. Au travail, il est capable de porter un masque de glace tout en encaissant les plus mauvaises nouvelles. Il est capable de dissimuler un sourire amusé en apprenant une bêtise commise par un de ses enfants pour pouvoir prétendre être le paternel discipliné et strict. Avec une personne sur cette planète, il en est incapable. Il en est incapable depuis le jour où son regard s’est posé sur elle. Valentina est entrée dans sa vie pour ne jamais en sortir. Un regard, un sourire et elle avait pris possession de son âme et de son cœur. Il avait toujours eu le sentiment d’être à nu face à elle. Elle le connaissait et le comprenait. Elle savait lire derrière son masque de glace. Elle était capable de les faire sortir ses sentiments dissimulés … elle en avait été capable avant que leur mariage s’étiole et s’auto-détruise. L’italien avait eu la candeur de croire qu’elle avait perdu ce pouvoir au cours de leur divorce mais cet après-midi partagé ensemble, ce baiser échangé au milieu de nulle part … elle lui avait démontré combien rien n’avait changé. Elle était toujours celle qui pouvait « jouer » avec ses sentiments, celle qui avait le pouvoir sur lui … Ce baiser, il ne parvenait pas à l’oublier. Incapable de ne pas penser au tourment que cela avait provoqué en lui. Incapable de ne pas y associer les paroles sages de leur cadette qui avait elle-aussi mentionné qu’ils s’aimaient … et si la candeur de leur fille était la réalité non-avouée des adultes ? Et si …
Maya passe la soirée chez une amie. Bobby est seul à la maison, suffisamment grand pour pouvoir rester seul pendant que son père prenne la voiture. Prendre la voiture ? Il est vingt-trois heures un vendredi soir. Où va-t-il ? Aucune information n’est communiquée, il explique simplement à son fils qu’il doit partir pour la soirée, qu’il reste néanmoins joignable sur son téléphone au cas où … Bobby marmonne un « ok » sans détourner son regard de l’écran de télévision. Apparemment, il n’a pas prévu de grosse soirée en l’absence du paternel.
La voiture se gare dans l’allée derrière l’autre voiture. La portière claque derrière lui et c’est avec une certaine assurance et une impatience tout aussi grande qu’il finit par franchir les deniers pas pour arriver devant la porte de Madame De Luca. Ugo est en mode automatisme. Il agit sans vraiment réfléchir. C’est son instinct qui parle et qui le mène jusqu’à elle … L’index appuie sur la sonnette. Il est vraiment en train de débarquer chez elle en pleine nuit ? Pour lui dire quoi au juste ? Et si elle avait de la compagnie ? Et si elle dormait ? Ces questions … il ne se les pose même pas. Patiemment, il resonne une seconde fois pour finalement la voir apparaître sur le pas de la voiture. Pas le moindre doute : elle est surprise de le voir. Elle a tous les droits d’être surprise : il n’a rien à faire ici … surtout pas à une heure aussi tardive.
« Il faut qu’on parle --- et non, ça ne peut pas attendre », il y a mieux comme salutations, pas vrai ? La voix est posée, étrangement calme. Il désigne d’un signe de la main le hall d’entrée, « tu me laisses rentrer ? », qu’il demande avec un sourire qui se veut rassurant et rassuré … alors que son cœur bat un peu plus fort maintenant qu’il lui fait face.
Alyson Cartwright
le mouton noir
ÂGE : 32 ans (22/07/1992) SURNOM : Aly' ou Al' STATUT : célibataire et c'est très bien comme ça, c'est suffisamment le bordel dans sa tête pour y rajouter une histoire de coeur. MÉTIER : Community Manager de l'association Manzili & auteure de new romance (le premier livre a été un succès & le peuple attend le deuxième tome) LOGEMENT : #69 Kurilpa street à West end avec Jafar (le chat noir psychopathe) POSTS : 485 POINTS : 210
TW IN RP : grossiereté, tca, secrets de famille TW IRL : NCGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Demi finaliste Desserts Master Australia édition 2023 ◦ Auteure de New Romance qui bloque sur le deuxième tome de son roman à succès ◦ team petite ◦ têtue, dramaqueen, souriante, séductrice, malicieuse, fêtarde ◦ maman de Jafar le chat noir psychopathe ◦ bisexuelle assumée ◦ des TCA pas vraiment en sommeil, elle mange ses émotions ◦ Boxe & zumba, une vrai addictionCODE COULEUR : Aly dramatise en DarkKhaki ( #BDB76B ) RPs EN COURS : (02)Helen#1 ◦ Alyzan#1
Izan ◦ j’ai le pouvoir d'exaucer tes prières, je suis garanti, diplômé, certifié, tu as un génie comme chargé d’affaires. moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, ...1 ›
Mac ◦ la boss relou AVATAR : Selena Gomez CRÉDITS : avatar (Merenwen) - gifs (selenamgsources) - code RP (30Y) - signature (alaska) - crackships (brisounours) DC : Pénélope Danbury (Blake Parfaite Lively) PSEUDO : brisounours (Laura) INSCRIT LE : 16/02/2024
Try to separate them, it’s an illusion @Ugo De Luca ☆ Valentina
J’étais partie comme une lâche tout à l’heure. Je ne pouvais pas faire autre chose que m’enfuir parce que j’avais fini par céder. J’avais cédé face à Ugo, face à celui qui avait été mon mari et mon grand amour. Je le disais sans difficultés et je le pensais encore, malgré tout ce qui avait pu se passer : Ugo était l’amour de ma vie. Il avait été mon partenaire, mon mari, mon amant, mon meilleur ami, mon confident, mon équipier dans la vie … Il avait joué tous les rôles. Et aujourd’hui, nous étions divorcés et je l’avais embrassé … C’était pas bien. C’était une erreur, j’en étais consciente mais si c’était à refaire, je l’aurais fait. Et exactement de la même manière. Bien sûr, je n’oublierais pas le regard vide qu’il m’avait adressé mais son corps, lui, avait réagi. Il avait posé sa main dans mon dos et l’autre main sur ma joue. Il avait répondu à mon baiser ; ça je ne l’avais pas rêvé… N’est-ce pas ?
J’étais partie comme une lâche, sans même dire au revoir à mon fils. A peine arrivée chez moi, j’étais partie prendre une longue douche brûlante en espérant que ça me vide la tête. Comme une automate, je m’étais préparée un repas et la tentation avait été grande d’envoyer un message à Ugo pour prétendre prendre des nouvelles de Maya. Mais notre cadette dormait chez sa copine Soledad alors je m’étais simplement résignée à regarder un soap opera mexicain sur Netflix. Mon pêché mignon. J’étais, d’ailleurs, complètement obnubilée par un épisode, grignotant quelques fruits secs quand j’entends sonner à la porte. Fronçant les sourcils, je me dirige vers la porte d’entrée et quelle n’est pas ma surprise : « Ugo ?! Mais qu’est-ce que…. » Je demande tout en resserrant les pans de mon gilet autour de moi. J’étais en tenue décontractée, vêtue d’un short en coton, d’un débardeur et d’un gilet en maille. « Il faut qu’on parle --- et non, ça ne peut pas attendre » - « Mais il est 23h ! » j’insiste sans pour autour me décaler pour qu’il rentre. C’est trop tôt … pour moi. Je me pince les lèvres nerveusement. « tu me laisses rentrer ? » Je soupire longuement et finis par m’effacer de l’entrée. « Est-ce que j’ai le choix ? » demandais-je d’une voix un peu plus douce. Je referme la porte derrière nous et d’un signe de tête je l’invite à entrer et à se diriger vers le salon.
« Tu veux parler de quoi ? » Finis-je par lui demander en croisant les bras contre ma poitrine. « Oh attends ! » le coupais-je avant de saisir la télécommande et de mettre en pause ma série. « C’est un … soap opera mexicain, je suis devenue accro à ce genre d’émission. » précisais-je parce que là, j’étais prise la main dans le sac. « Qu’est-ce que tu veux ? » réitérais-je, « Il est 23h et je suis crevée alors … » Concrètement, j’essayais de lui faire comprendre qu’il fallait qu’il abrège…Et parce que je voulais aussi le fuir, je ne savais pas comment me comporter avec lui.
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@Valentina De Luca « Est-ce que j’ai le choix ? », elle demande avec prudence et il se contente de sourire en secouant la tête de droite à gauche. Non, elle n’a pas le choix. Il ne lui laisse pas le choix. Car il ne peut pas ignorer ce qu’il s’est produit tout comme il ne peut pas ignorer les questions qui se bousculent dans son esprit. Finalement, il entre chez elle et balaie les lieux du regard … juste histoire de vérifier qu’il ne dérange pas. Pas d’amant planqué dans l’armoire ou plutôt vautré dans le canapé car elle y avait le droit : avoir des amants. Après tout, elle ne lui devait plus rien. Elle était libre de faire ce qu’elle voulait. « Tu veux parler de quoi ? » Il se tourne vers elle, surpris par la question … car elle devait se douter de la raison de sa venue, non ? « Oh attends ! » Son regard la suit jusqu’à ce qu’elle se saisisse de la télécommande et son regard se pose sur l’écran, la tête penchée, un sourire amusé aux lèvres. « C’est un … soap opera mexicain, je suis devenue accro à ce genre d’émission », son sourire s’étire. « Qu’est-ce que tu veux ? Il est 23 h et je suis crevée alors … » « Tu veux vraiment faire comme si de rien était ? comment s’il ne s’était rien passé ? », demande-t-il en plissant les yeux, restant dans cette position tout en la fixant avec insistance … essayant de savoir ce qu’il se cachait derrière son air agacé et surtout pressé de le voir disparaître. « Parce que … moi … je peux pas vraiment l’ignorer » et il fait un pas vers elle alors que sa voix s’atténue légèrement. Il est désormais face à elle, la tête baissée vers elle pour pouvoir la regarder. Et à cette distance, il peut apercevoir le moindre détail de ses iris tout comme il peut se laisser emporter et enivrer par son parfum. « Alors, on a deux options, Val --- soit on en discute », ses mains viennent se poser sur ses côtes pour glisser sur ses hanches sans la quitter du regard, « soit … », et il ne finit pas sa phrase car il s’était davantage approché d’elle pour venir souffler contre ses lèvres ce « soit » … et il dépose un baiser brûlant sur ses lèvres, ces lèvres dont il pense depuis qu’ils se sont séparés.
Mauvaise idée. Très mauvaise idée. Il le sait. Mais il s’en moque. Son baiser s’intensifie alors que ses mains glissent sur les fesses de celle qui avait été sa partenaire de vie, sa compagne, son épouse ….
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ÂGE : 32 ans (22/07/1992) SURNOM : Aly' ou Al' STATUT : célibataire et c'est très bien comme ça, c'est suffisamment le bordel dans sa tête pour y rajouter une histoire de coeur. MÉTIER : Community Manager de l'association Manzili & auteure de new romance (le premier livre a été un succès & le peuple attend le deuxième tome) LOGEMENT : #69 Kurilpa street à West end avec Jafar (le chat noir psychopathe) POSTS : 485 POINTS : 210
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Izan ◦ j’ai le pouvoir d'exaucer tes prières, je suis garanti, diplômé, certifié, tu as un génie comme chargé d’affaires. moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, ...1 ›
Mac ◦ la boss relou AVATAR : Selena Gomez CRÉDITS : avatar (Merenwen) - gifs (selenamgsources) - code RP (30Y) - signature (alaska) - crackships (brisounours) DC : Pénélope Danbury (Blake Parfaite Lively) PSEUDO : brisounours (Laura) INSCRIT LE : 16/02/2024
Try to separate them, it’s an illusion @Ugo De Luca ☆ Valentina
Je sais que je suis lâche de fuir la situation. La vérité c’est que je n’ai pas su comment interpréter son comportement quand nous nous sommes embrassés à la fin du cours d’autodéfense. La vérité m’avait assailli. Ce n’était pas raisonnable. Et si Maya nous avait surpris ? Et si ? Et si ? J’avais voulu me persuader que j’avais fait le deuil de mon mariage, de mon mari et de nos années de bonheur. Le fait est que ce n’était pas le cas. Il suffisait que je vois revenir l’ancien Ugo pour être complètement désarçonnée. Le fait est que je me rendais compte que j’avais encore envie de mon ex-mari, que je le désirais encore … Désir que je croyais avoir disparu bien avant notre divorce d’ailleurs.
Je l’observe dans mon environnement et le surprend à balayer la pièce du regard comme s’il s’attendait à trouver quelqu’un d’autre dans mon salon. Je pourrais … avoir quelqu’un avec moi ce soir. C’était la semaine de garde d’Ugo et je ne lui devais aucun compte. Mais j’en avais pas envie. Surtout ces derniers temps. L’épisode de la piscine ou ce baiser échangé cet après-midi…. Ça avait suffi à réveiller le désir que j’avais pour lui. Il est évident que s’il n’avait pas stoppé ce baiser, je ne me serais pas arrêtée là … Et de nouveau cette culpabilité qui me tord le ventre. Je pense à nos enfants. Je pense aussi au qu’en dira-t-on.
« Tu veux vraiment faire comme si de rien était ? comment s’il ne s’était rien passé ? » Je lève ma tête vers lui et tombe sur ses yeux plissés. Ok, donc il est vraiment venu pour ça. Pour quoi d’autre serait-il venu sinon ? « Parce que c’était une très très mauvaise idée. » Lui répondis-je pour reprendre ses mots. J’étais piquante mais c’était ma façon de me protéger de tout ça. Je naviguais à l’aveugle … je ne savais pas comment gérer ça. « Parce que … moi … je peux pas vraiment l’ignorer » La surprise se lit dans mon regard et mon cœur rate carrément un battement à mesure qu’il se rapproche de moi. J’ai l’impression que son regard me transperce et qu’il peut lire dans mon regard comme un livre ouvert. Je me retiens de fermer les yeux parce qu’à cette distance – distance qu’il a décidé de réduire entre nous – je sens les effluves de son parfum. Le même qu’il avait cet après midi et que je ne peux m’empêcher de trouver envoûtant et enivrant. « Alors, on a deux options, Val --- soit on en discute » La surprise, une fois de plus, quand il tend le bras pour glisser ses mains sur mes hanches et mon corps qui répond à cette invitation en se rapprochant immédiatement de lui. « Hmm » ma voix n’est plus qu’un murmure parce que je suis incapable de lui répondre à partir du moment où je plonge mon regard dans le sien. « soit … » Inutile de discuter, pas quand il se trouve si près de moi et que son « soit… » est soufflé contre mes lèvres. Mes mains trouvent immédiatement et instinctivement place sur sa nuque tandis que nos lèvres se retrouvent enfin. Et je réalise que c’est ça que j’attendais depuis que nous nous sommes quittés sur la pelouse un peu plus tôt dans la journée. J’étouffe même un gémissement lorsque je sens ses mains glisser lentement sur mes fesses. Mes mains quittent sa nuque et passent lentement sur son torse, son ventre pour finir leur course sous son tee-shirt. J’ai besoin – un besoin vital - de sentir sa peau sous mes doigts. J’ai conscience que c’est une mauvaise idée mais nous venons déclencher un feu et nous connaissons tous les deux le seul moyen de l’éteindre.
« Soit … on va dans ma chambre. » lui murmurais-je d’une voix chaude même si je n’étais pas franchement convaincue par le fait de devoir faire quelques mètres de plus pour arriver à mon lit alors que nous avions le canapé à proximité. Je détache à regret mes lèvres des siennes pour finir de lui retirer son tee-shirt et en profite pour faire tomber mon gilet à mes pieds.
C’était une folie… Il en avait conscience… J’en avais conscience mais le désir était bien trop fort. Je ne me voyais pas m’arrêter là. Je me disais que si c’était la dernière fois que ça devait arriver, il fallait que ça finisse en apothéose…
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@Valentina De Luca « Soit … on va dans ma chambre. » Les lèvres se retrouvent. Les corps se retrouvent. Combien de temps déjà qu’ils ne se sont pas retrouvés de cette manière ? Combien de temps déjà qu’ils ne se sont pas embrassés de la sorte, qu’ils ne se sont pas désirés de la sorte ? Des mois ? Années ? Son cœur rate un battement avant de changer de rythme … brusquement. Son cœur bat trop vite, trop fort alors que l’italien retrouve le contact de ses mains sur sa peau … L’étreinte se resserre un instant et c’est l’urgence de l’union qui se fait ressentir. « Tu me feras un home tour plus tard … d’accord ? », dit-il d’une voix presque rieuse – sans doute l’excitation qui en est la cause – alors que ses lèvres déposent un baiser brûlant dans le creux de son cou et que ses mains viennent se glisser sous le tissu pour l’en débarrasser. L’écran de télévision est figé sur une scène de soap mexicain. L’histoire de leur vie est figée sur une scène de soap mexicain. Le couple divorcé se retrouvant avec la passion d’antan. Ils sont les personnages principaux de leur histoire, de leur propre série. Son regard se plante dans le sien quand il vient cueillir et recueillir les gémissements de celle qu’il avait aimé, qu’il aimait toute sa vie. Oui, il l’aime. C’est ce qu’il se dit, ce qu’il pense … il l’a aimé, il l’aime, il l’aimera toute sa vie. Il suffit de poser son regard dans le sien pour qu’il en prenne conscience …
Et, Ugo en prend de nouveau conscience quand elle est dans ses bras, quand il la tient dans ses bras et que son nez est enfoui dans son cou, que ses cheveux viennent chatouiller son nez. Du salon, ils ont finalement atterri dans sa chambre. Le regard de l’italien est rivé sur le plafond. Son cœur bat toujours la chamade, la respiration est saccadée. Une main est posée sur son ventre alors qu’il tourne la tête vers elle et qu’il retrouve la vue de son profil, les traits de son visage … dieu, qu’elle est belle, c’est ce qu’il se dit. Et sans vraiment savoir pourquoi, sans vraiment vouloir analyser ses gestes et ses pensées, il vient davantage se rapprocher d’elle et tend le cou pour déposer un baiser sur son épaule dénudée.
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ÂGE : 32 ans (22/07/1992) SURNOM : Aly' ou Al' STATUT : célibataire et c'est très bien comme ça, c'est suffisamment le bordel dans sa tête pour y rajouter une histoire de coeur. MÉTIER : Community Manager de l'association Manzili & auteure de new romance (le premier livre a été un succès & le peuple attend le deuxième tome) LOGEMENT : #69 Kurilpa street à West end avec Jafar (le chat noir psychopathe) POSTS : 485 POINTS : 210
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Izan ◦ j’ai le pouvoir d'exaucer tes prières, je suis garanti, diplômé, certifié, tu as un génie comme chargé d’affaires. moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, ...1 ›
Mac ◦ la boss relou AVATAR : Selena Gomez CRÉDITS : avatar (Merenwen) - gifs (selenamgsources) - code RP (30Y) - signature (alaska) - crackships (brisounours) DC : Pénélope Danbury (Blake Parfaite Lively) PSEUDO : brisounours (Laura) INSCRIT LE : 16/02/2024
Try to separate them, it’s an illusion @Ugo De Luca ☆ Valentina
« Tu me feras un home tour plus tard … d’accord ? » - « Oui plus tard… » Je sens que ma voix n’est plus qu’un murmure. Sans doute à cause de l’excitation du moment. Ma peau frissonne lorsqu’il dépose des baisers brûlants au creux de mon cou. C’était un peu surréaliste ce qui se passait. La passion d’antan qui réapparaissait ou, plutôt, qui semblait refaire surface. J’avais un peu de mal à réaliser mais les mains de mon ex-mari passant sous mon débardeur pour le retirer me ramenèrent vite à la réalité. Oublié le soap opéra mexicain que je regardais il y a encore quelques minutes pour tenter d’oublier ce baiser partagé aux olympiades. Ce qui se passait là, était un millions de fois plus intéressant. Plongeant mon regard dans le sien, je prenais également conscience qu’il n’y avait pas seulement le désir qui refaisait surface à travers ce qui était en train de se passer. Ça me paraissait beaucoup plus puissant qu’un simple instant charnel. Le désir, la passion … tout ça n’avait jamais réellement disparu, tout comme mes sentiments pour Ugo. Le divorce n’avait pas altéré les sentiments que j’avais pour lui. Il était et resterait l’homme de ma vie, je l’aimerais toujours. J’ignorais si la réciproque était vrai mais la seule certitude que moi, je l’aimais encore, suffisait à ce que je m’abandonne totalement dans ses bras.
D’un claquement de doigt, nous arrivons enfin dans ma chambre, plongée dans une douce pénombre où seule la lune et un lampadaire plus loin dans la rue éclairent faiblement la pièce. Sans détacher nos lèvres, je sentis ma jambe buter contre un pied de mon lit et me laissais tomber sur le matelas en compagnie du brun. Je tournais la tête au même moment que lui et mon regard couleur chocolat se plongea dans le sien. Le baiser qu’il donna sur mon épaule dénudée m’émut bien plus que je ne voudrais l’admettre. Je me tournais complètement vers lui, et collais mon buste contre lui, et posant ma main sur sa joue, je lui murmurais : « Juste … ce soir, on oublie les conséquences de nos actes Mi Amor. » Juste pour ce moment, oublions ce qui nous a séparé, c’était ma demande silencieuse. Et c’est presque timidement que je levais mon visage pour que nos lèvres se rencontrent en un chaste baiser, « s’il te plait. » Une demande, presque désespérée … parce que j’avais juste envie de retrouver ses lèvres, ses bras, sa tendresse … même si ce n’était que pour ce soir.
Le reste, on verra plus tard…
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@Valentina De Luca Il y avait eu des règles à suivre au sein du couple De Luca. Ne jamais s’endormir l’un à côté de l’autre après une dispute sans s’être réconciliés avant, réconcilier de quelque manière qui soit. Profiter du temps libre quand les enfants dorment ou sont chez leurs grands-parents ou amis. Savourer chaque instant de complicité, d’intimité malgré la parentalité. Les règles avaient été suivies avec assiduité les premières années … et avec le temps, les règles avaient été oubliées et ils s’étaient oubliés. Les De Luca se retrouvaient ce soir … après un divorce, après des tas de non-dits … ils étaient de nouveau ensemble, ici, au milieu de son lit, dans les draps de celle qui avait, à ses yeux, détruit son palpitant. L’étincelle de la passion brille au fond de leur regard et s’intensifie quand leurs regards se croisent. Un sourire gourmand apparaît sur les lèvres de l’un, quand on se rend compte toujours connaître sa ou son partenaire sur le bout des doigts. Des années de complicité, ça ne s’oublie pas … pas aussi vite. Il s’amuse à redécouvrir le corps de son ex-femme. Il s’amuse à la sentir frissonner sous ses baisers et se réjouit de toujours avoir cet effet sur elle, de la sentir se presser davantage contre lui cherchant toujours plus le contact, s’accrochant à lui comme si sa vie en dépendait. Il s’accrochait à elle, à ses lèvres parce qu’il savait, tout comme elle, que bientôt la réalité reprendrait le dessus … c’était un instant de pause, un havre de paix au milieu du chaos. Mais il fallait en profiter, n’est-ce pas ?
Alors, ils se laissent porter ensemble vers le paroxysme, le nirvana, l’instant où le temps s’arrête, les muscles se crispent et une bonne dose de dopamine se répand dans votre organisme. Les mains se resserrent sur les hanches de Valentina quand il attend son Nirvana, les paupières closes. Les muscles se relâchent. Un frisson parcoure son corps. Son cœur tambourine dans sa poitrine. Les paupières s’ouvrent de nouveau pour découvrir Valentina, c’est bien elle. Un bras se tend, une main se pose sur sa joue pour glisser dans sa nuque et l’attirer vers lui pour l’embrasser avec douceur … et enrouler ses bras autour d’elle. Il n’est pas encore prêt pour relâcher son emprise, pour se défaire de son étreinte. Il ne veut pas … tout comme il ne veut pas parler. Pas maintenant. Parler mettrait une fin à cet instant qu’il ne veut pas arrêter. Les doigts caressent la peau caramel de son ex-femme, et il ferme les yeux tout en se laissant bercer par sa respiration qui s’apaise …
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Izan ◦ j’ai le pouvoir d'exaucer tes prières, je suis garanti, diplômé, certifié, tu as un génie comme chargé d’affaires. moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, ...1 ›
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Try to separate them, it’s an illusion @Ugo De Luca ☆ Valentina
Je n’avais pas envie que ce moment s’arrête. Je n’avais pas envie de ce retour à la réalité. Je réalise que notre complicité n’est pas morte, qu’elle n’a même jamais disparue. Elle a été en sommeil un temps mais elle n’avait pas disparue. Nos yeux s’accrochent et j’y lis un éclat identique au mien : celui de la passion. Ce soir nous nous sommes redécouvert et je mentirais si je disais que je n’avais pas envie de recommencer encore et encore…. Mais je ne dois pas penser à ça. Mon souffle est court, ma peau caramel couverte d’un voile de sueur et pourtant, je n’amorce pas le moindre mouvement pour m’écarter. Au contraire, je me blottis un peu contre lui, laissant ses bras m’entourer en une étreinte rassurante. Ses doigts caressent doucement mon dos et c’est de cette manière que je finis par sombrer dans le sommeil, mon visage encore blottie dans son cou.
Lorsque je me réveille au milieu de la nuit, je peine à me souvenir où je suis et avec qui je suis. Mes jambes sont emmêlées à celles de mon ex-mari, ma tête posée sur son avant-bras et son autre main posée sur ma poitrine de manière à me tenir serrée contre lui. Je sens son souffle chaud sur ma nuque, et son torse musculeux dans mon dos. C’est une étreinte douce et familière … Je tends le bras derrière moi et ma main touche … les fesses d’Ugo. Je retire immédiatement ma main et je sens mon ventre se serrer. Je redoute le moment où il va se réveiller et, dans un même temps, ce serait plus sage qu’il parte. Précautionneusement, je retire sa main se trouvant sur ma poitrine pour me tourner vers la table de chevet où se trouve mon téléphone portable. Je regarde l’heure : 2h du matin. « Ugo … » Je parle doucement, ma voix n’est qu’un murmure et lorsqu’il ouvre enfin les yeux, je me surprends à avoir du mal à soutenir son regard. « Il est deux heures du matin. » Ne m’obliges pas à dire qu’il faut que tu partes parce que je n’en ai aucune envie.
I can buy myself flowers
Write my name in the sand, Talk to myself for hours, Say things you don't understand. I can take myself dancing and I can hold my own hand ( ☽☽ )
@Valentina De Luca Une voix se fait lointaine … mais il l’entend. On prononce son prénom. On essaie de le réveiller. « Ugo … » Les paupières s’ouvrent pour découvrir le visage de son ex-femme. Valentina. Il est venu chez Valentina. Il est venu jusqu’à elle et il a eu le malheur de se laisser bercer par sa respiration, se laisser enivrer par son parfum … merde ! Depuis quand dort-il ici, dans ses bras ? « Il est deux heures du matin. » Les informations se rassemblent dans son esprit. Il se souvient d’elle, de lui, d’eux mais il se souvient également de leur fils, qui était resté à la maison. Ugo lui avait parlé de sortir rapidement et non de passer la nuit ailleurs. « Oh », lâche-t-il simplement tout en enroulant un bras autour d’elle, comme à une ancienne époque … si lointaine. Les paupières se referment. Il est dans un entre-monde : il n’est pas encore arrivé dans notre monde actuel … il n'a pas encore pleinement pris conscience de ce qui était en train de passer, de ce qui s’était passé. Sa main caresse la peau de son ex-femme et c’est au bout de quelques secondes qu’il ouvre de nouveau les yeux. « Oh putain ! », pris de conscience. Ugo se redresse aussitôt sur ses coudes pour balayer la pièce du regard et poser son regard sur son ex-femme. Son profil est éclairé par la lumière de son téléphone et il a le sentiment d’avoir un vide considérable … comment ça se fait ? oh sûrement parce qu’il l’avait tenu contre lui pendant la nuit. Ugo avait toujours eu la fâcheuse tendance à la tenir tout contre lui, à se laisser bercer par les battements de son cœur.
« Comment est-ce que j’ai pu m’endormir ? Il va pas me lâcher quand je vais rentrer … », le « il », c’est leur fils qui va sans aucun doute lui poser des questions sur son escapade nocturne. Bobby a envie de voir son père refaire sa vie, sortir de nouveau ; il ne cesse pas de lui répéter qu’il est « pas trop mal » pour un vieux père et qu’il ferait mieux de se trouver quelqu’un avant de finir vieux et seul … géniale comme motivation. L’italien se redresse sur les coudes. « On avait pas prévu de parler ? », demande-t-il d’une voix beaucoup plus calme, amusée et rieuse même. Son regard se pose sur la silhouette nue de Valentina et il finit par se laisser de nouveau tomber sur le dos dans un éclat de rire. « C’était une conversation plus que constructive, pas vrai ? », ironise-t-il en tendant le bras vers elle pour retrouver un contact avec sa peau. « Va falloir que j’y aille, Val …? » Est-ce une question ou un fait ? On ne peut pas vraiment être certain du ton de sa question ou de son affirmation. Dans tous les cas, sa main est toujours posée sur elle, le pouce caressant doucement la peau et son regard cherchant le sien.
Alyson Cartwright
le mouton noir
ÂGE : 32 ans (22/07/1992) SURNOM : Aly' ou Al' STATUT : célibataire et c'est très bien comme ça, c'est suffisamment le bordel dans sa tête pour y rajouter une histoire de coeur. MÉTIER : Community Manager de l'association Manzili & auteure de new romance (le premier livre a été un succès & le peuple attend le deuxième tome) LOGEMENT : #69 Kurilpa street à West end avec Jafar (le chat noir psychopathe) POSTS : 485 POINTS : 210
TW IN RP : grossiereté, tca, secrets de famille TW IRL : NCGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Demi finaliste Desserts Master Australia édition 2023 ◦ Auteure de New Romance qui bloque sur le deuxième tome de son roman à succès ◦ team petite ◦ têtue, dramaqueen, souriante, séductrice, malicieuse, fêtarde ◦ maman de Jafar le chat noir psychopathe ◦ bisexuelle assumée ◦ des TCA pas vraiment en sommeil, elle mange ses émotions ◦ Boxe & zumba, une vrai addictionCODE COULEUR : Aly dramatise en DarkKhaki ( #BDB76B ) RPs EN COURS : (02)Helen#1 ◦ Alyzan#1
Izan ◦ j’ai le pouvoir d'exaucer tes prières, je suis garanti, diplômé, certifié, tu as un génie comme chargé d’affaires. moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, ...1 ›
Mac ◦ la boss relou AVATAR : Selena Gomez CRÉDITS : avatar (Merenwen) - gifs (selenamgsources) - code RP (30Y) - signature (alaska) - crackships (brisounours) DC : Pénélope Danbury (Blake Parfaite Lively) PSEUDO : brisounours (Laura) INSCRIT LE : 16/02/2024
Try to separate them, it’s an illusion @Ugo De Luca ☆ Valentina
« Oh putain ! » la prise de conscience de son côté. Putain … oui je m’étais dit la même chose. Comment avais-je pu laisser les choses déraper à ce point. « Comment est-ce que j’ai pu m’endormir ? Il va pas me lâcher quand je vais rentrer … » Le il étant notre fils aîné bien sûr … Et sans le vouloir, il nous balance en pleine figure cette réalité dans laquelle on est, cette réalité où ce qu’on a fait, n’était pas sensé arriver. Mais c’était fait et je sentais encore son odeur sur ma peau. Si je fermais les yeux, je pouvais encore sentir ses baisers parcourant ma peau, je pouvais encore sentir les frissons qui m’habitaient lorsqu’il posait ses mains sur moi. Ça ne devait plus arriver parce que nous étions divorcés désormais mais, bordel de merde, je voulais quand même recommencer. Contrairement à Ugo, notre fils ne m’encourageait pas à refaire ma vie, sans doute parce que, quand j’avais la garde mes enfants, je m’oubliais complètement et je devenais seulement une maman.
« On avait pas prévu de parler ? » - « Si je me souviens bien, TU voulais me parler. » soulignais-je non sans un certain amusement dans la voix, consciente que non, on ne parlerait pas. Qui avait-il à dire de plus ? Je tourne la tête au moment où il se laisse retomber dans mes draps et je ne peux m’empêcher de penser à quel point il est beau, là, comme ça, dans mes draps. Je ne peux m’empêcher de regarder son corps nu avec gourmandise même si je sais que je ne devrais plus m’autoriser ça. « C’était une conversation plus que constructive, pas vrai ? » Le contact de sa main sur ma peau, dans mon dos, m’arrache un frisson. « C’était surtout une folie. » Il le savait, je le savais … et pourtant mon regard disait le contraire.
« Va falloir que j’y aille, Val …? » Je déglutis avec difficultés et lève mon regard vers lui. Le sien semble indéchiffrable en cet instant. « Je sais. » Un long soupir de ma part. Je pivote alors complètement vers lui, ne me souciant pas le moins du monde de ma nudité ou de la sienne. Mon regard s’accroche au sien et c’est de manière naturellement que je reviens me placer à califourchon sur ses hanches. Mon bassin s’aligne parfaitement avec le sien, comme si nos corps étaient tout simplement fait pour s’imbriquer ensemble. « Mais pour que je te laisse partir, il va falloir que tu arrêtes de me toucher comme ça. » murmurais-je d’une voix chaude. Son pouce qui caresse doucement mon dos, ma hanche ou ma cuisse … C’était beaucoup trop familier pour que je ne pense pas à ce que j’avais perdu dans ce divorce.
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@Valentina De Luca « Si je me souviens bien, TU voulais me parler. » « Parce que nous devons parler », précise-t-il avec un sourire amusé alors que la situation est sérieuse, très sérieuse même. Mais comment être sérieux, parler de choses sérieuses quand on se retrouve dans ce contexte avec une femme comme Valentina ? « C’était surtout une folie. » Il n'acquiesce pas d’un signe de tête même s’il sait que c’est une folie mais est-ce qu’une folie peut être aussi délicieuse ? Les lèvres se pincent car il sait qu’après cette folie, la raison doit réapparaître et il doit retrouver sa villa, sa maison, son fils, la réalité. « Je sais. » Son regard retrouve le sien quand elle se tourne vers elle. Il s’accroche à son regard avec sans doute l’espoir de l’entendre lui crier de rester, de demeurer ici, avec elle juste pour quelques minutes … quelques minutes supplémentaires hors du temps, hors de leur univers, hors de leur réalité. Un monde où leur divorce n’existerait pas … Et en un battement de cils, elle se retrouve de nouveau sur lui et il ne peut pas cacher sa surprise, agréable surprise même. « Mais pour que je te laisse partir, il va falloir que tu arrêtes de me toucher comme ça. » Quand elle prononce ces paroles, ses mains se séparent et s’éloignent de sa peau … un instant. Il est pris la main dans le sac et pourtant, un sourire amusé prend place sur ses lèvres. Son regard s’égare sur la ligne de sa silhouette.
« C’est ce que tu veux ? », qu’il demande alors d’une voix tout aussi chaude. Un bras s’étend vers elle et ses doigts retrouvent sa joue qu’il caresse légèrement avant de se glisser dans ses cheveux pour attirer son visage près du sien et approcher ses lèvres des siennes : « Que j’arrête de te toucher ? » Son souffle se mêle au sien et son autre bras s’enroule autour d’elle pour la renverser et faire en sorte qu’elle se retrouve sur le dos et qu’il se retrouve au-dessus d’elle, un sourire amusé. Ses lèvres quittent les siennes. Un baiser sur son menton. Un baiser dans son cou. Sur sa clavicule. Sur la naissance de sa poitrine. Et à chaque baiser, son regard s’ancre dans le sien … Comment parvenait-elle à renverser la situation ? Comment parvenait-elle en quelques mots, un regard à mettre son monde sans dessus-dessous ? Il avait de nouveau gouté à ce qu’était Valentina et il en redevenait accro … ses lèvres s’aventurent sur sa peau tout comme ses mains qui se font malicieuses. « Hm ? », demande-t-il en arquant un sourcil, ses lèvres posées sur son nombril.
« On est toujours « ce soir », non ? », et il fait référence à ce qu’elle leur avait dit plus tôt. Une folie juste pour ce soir.
Alyson Cartwright
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ÂGE : 32 ans (22/07/1992) SURNOM : Aly' ou Al' STATUT : célibataire et c'est très bien comme ça, c'est suffisamment le bordel dans sa tête pour y rajouter une histoire de coeur. MÉTIER : Community Manager de l'association Manzili & auteure de new romance (le premier livre a été un succès & le peuple attend le deuxième tome) LOGEMENT : #69 Kurilpa street à West end avec Jafar (le chat noir psychopathe) POSTS : 485 POINTS : 210
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« Parce que nous devons parler » La situation est beaucoup trop sérieuse, il y a trop d’enjeux et pourtant, je suis là, il est là et aucun de nous n’a envie que ce moment prenne fin. C’était une folie. Une pure folie ce qui s’était passé. Et pourtant, je ne le regrettais pas un seul instant. La raison me criait que je devais le laisser partir, retrouver notre fils qui devait se demander où était son père …. Ou pas. J’espérais juste qu’il dorme profondément dans son lit. C’était notre deal avant. Attendre que les enfants dorment ou soient chez un copain ou les grands-parents pour se retrouver et ne pas être que des parents.
Je savais que j’aurais dû le laisser se lever quand il avait précisé qu’il devait y aller. Mais c’était comme si l’éclat de son regard faisait miroir avec le mien. Il n’avait pas envie de partir et je n’avais pas envie de laisser y aller … pas encore. L’air surpris qu’il afficha alors que je prenais place sur ses hanches m’arracha un gloussement satisfait. « C’est ce que tu veux ? » Il était là le vrai Ugo , celui dont j’étais tombée éperdument amoureuse, celui qui me faisait vibrer, celui me séduisait avec de simples paroles mais surtout des gestes. Ma peau se couvre de frissons lorsque ses doigts se posent sur ma joue, puis glissent dans mes cheveux en bataille pour attirer nos visages à quelques millimétrés l’un de l’autre. « Que j’arrête de te toucher ? » Oui, c’est ce que je devrais répondre parce que ça ne devait plus arriver pour tout un tas de raisons. Pourtant, j’hoche la tête négativement, plantant mon couleur chocolat dans le sien, presque noir. En une fraction de seconde, je me retrouve sur le dos, sourire amusé collé aux lèvres, prisonnière de ses bras et consciente que c’était là ma place. Il quitte mes lèvres, pour embrasser mon menton, mon cou, ma clavicule et la naissance de ma poitrine … Une douce torture. Et à chaque baiser il lève la tête vers moi pour ancrer son regard dans le mien, faisant monter chaque seconde un peu plus la température. Il savait y faire. Me rendre complètement folle de désir pour lui. « Hm ? » - « T’es diabolique. » Des paroles prononcées en un soupir. Quel répondant Val’ !. Mais en même temps, comment voulez-vous que je lutte alors que ses mains se font toujours plus audacieuse et que ses lèvres se posent sur mon nombril ? Un frisson d’anticipaion. Je ne suis qu’un être humain. Un être humain avec des désirs et cet homme me connaissait suffisamment pour me faire perdre la raison.
« On est toujours « ce soir », non ? » Je pourrais lui en vouloir qu’il reprenne mes paroles contre moi mais je vois seulement son regard se voiler, faisant écho à mon propre désir. « On est toujours ce soir. » confirmais-je. Un jour, je m’étais fait la réflexion qu’Ugo était comme de la drogue. Une fois que t’y avais goûté, tu ne pouvais plus t’en passer. Telle une toxico, j’y avais re-goûté, juste une fois, ouai juste ce soir et je me savais déjà perdue, foutue … « Me vuelves loco », le fameux tu me rends dingue que je lui répétais si souvent. Elle était là cette complicité d’antan. Pourquoi ? Oui, pourquoi on ne l’avait pas retrouvé avant ?
N’y tenant plus, je me relevais légèrement, en appuie sur mes coude et lui murmurais : « A mon tour… » De te rendre fou de moi… Les rôles s’inversaient, je me plaçais au-dessus de lui, dévorant son cou, puis son torse de baisers, un peu plus appuyés à chaque fois, levant de temps à autre le temps les yeux vers lui, même si le rythme de sa respiration me donnait une idée de l’effet que je lui faisais. Un dernier baiser sur son ventre avant de lui demander, taquine : « Hm tu disais ? »
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@Valentina De Luca « On est toujours ce soir. » Ses lèvres s’étirent dangereusement. Elle est aussi diabolique que lui. « Me vuelves loco » est une douce mélodie à ses oreilles. Ces quelques mots avaient souvent fait partie du décor de sa vie, du décor de leurs nuits endiablées. Il la rendait dingue tout comme il perdait la tête quand elle était dans les parages. « A mon tour … » L’italien se redresse, surpris mais fait mine de lever les mains en signe de reddition quand elle décide de prendre les rênes … pour son plus grand plaisir, il ne va pas mentir. La tête s’enfonce dans l’oreiller, les yeux se lèvent quand ses lèvres se déposent sur sa peau comme des brûlures passionnées. Son cœur se serre dans sa poitrine alors qu’il ouvre les yeux de nouveau pour pouvoir enregistrer cette image dans son esprit : Valentina. Son regard pétillant. Son sourire malicieux. Cette aura charmeuse. « Hm tu disais ? » Il ne disait pas grand-chose mais il pensait … beaucoup … beaucoup trop. Il pensait à elle, à eux. Il pensait aux matins sous les draps, à se câliner. Il pensait aux soirées passées l’un contre l’autre, à refaire le monde, à confier leurs craintes concernant les enfants et leurs envies pour leur avenir. Ils avaient tout détruit et en un clin d’œil, ils étaient séparés, divorcés. Une famille détruite. Ses lèvres se pincent alors qu’il plonge son regard dans le sien pour s’y perdre. « On parlera demain --- ou après-demain --- ça peut attendre --- », dit-il d’une voix rieuse alors qu’une flamme brille au fond de ses orbes. Il la dévore du regard. Il la dévore tout simplement. Dire qu’elle avait été son épouse, dire qu’elle avait été sa vie … à une époque. Aujourd’hui, il jouait le rôle de l’amant, l’homme de passage … car il allait devoir rentrer chez lui à un moment donné.