and you can't keep your hands off me, and your pants on
« Et toi ça va ? » J’hausse les épaules tout en me redressant dans le lit. Mon dos se retrouve à présent collé à la tête de lit alors que je tends le bras vers la table de chevet pour attraper ma cigarette électronique afin de m’aider à faire passer toute ma frustration dessus. « Oh oui, génial. Je vais super bien. » je réponds en soupirant mais rapidement, je me rends compte que ma frustration, je ne la dépose pas que sur ma cigarette mais aussi sur elle. « Excuse-moi bébé, je ne devrais pas te parler comme ça. » ma main libre vient rapidement trouver la sienne et mes lèvres se posent dans son cou. « Surtout que tu n’es en rien fautive. C’est vraiment entièrement de ma faute. Désolé. » Je m’excuse une dernière fois et cette fois mes lèvres trouvent rapidement les siennes. Je ne la mérite vraiment pas. « J'ai acheté une nouvelle bougie de massage, tu veux un massage ? » Tout en tirant sur ma cigarette électronique, de ma main libre j’entremêle nos doigts alors que mon regard vient trouver le sien. « C’est vrai ? » que je lui demande, un petit sourire aux lèvres. « Tu sais que j’aime tout particulièrement tes doigts de fée. » Ce n’est pas un secret, je lui ai déjà dit plusieurs fois et ce soir un massage de sa part pourrait grandement m’aider. « Mais je ne veux pas que tu te sentes obligée, je t’assure que ça va aller. » Ça ira mieux demain, en tout cas. Enfin je l’espère.
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Il s'est réinstallé dans le lit à mes côtés mais dès que je lui demande comment il va, il se redresse dans le lit, s'éloigne de moi, et s'installe contre la tête de lit pour fumer un peu. Sa cigarette électronique mais je comprends le message avant même qu'il ne parle. « Oh oui, génial. Je vais super bien. » Il soupire et j'ai envie de l'imiter parce que je suis surprise par sa réponse, je suis surprise par la manière qu'il a de me parler et de me répondre mais je me retiens de lui répondre et à la place je me lève à mon tour pour enfiler ma nuisette. A quoi bon rester nue s'il s'éloigne de moi ? Sentir sa frustration qu'il ne cache pas, me fait redescendre totalement sur terre. J'étais sur mon petit nuage, mais je ne le suis plus désormais. Je me réinstalle sur le lit sans un mot, je comprends sa frustration et je ne lui en veux pas mais je ne sais pas quoi dire ou quoi faire pour éviter d'alimenter sa frustration. Alors je ne fais rien, et je ne dis rien, ce qui en soit est plutôt pas mal venant de moi. Apprendre à me taire a prit du temps, et j'ai perdu bien plus d'une fois l'occasion de me taire, mais aujourd'hui je le fais. « Excuse-moi bébé, je ne devrais pas te parler comme ça. » Je lève les épaules en le regardant. Il s'excuse rapidement, et je sais qu'il ne s'excuse pas pour me faire plaisir mais qu'il le pense vraiment. Mais de toute façon je ne lui en voulais pas. Il s'excuse et ses gestes viennent ajouter un peu plus de saveurs à ses excuses. Lui qui avait mit fin à cette proximité physique est le premier à se rapprocher de moi à nouveau. « C'est pas grave, je sais que tu es frustré, je n'aurais pas du te poser cette question. » Je devais me douter qu'il n'allait pas bien de son côté. Voilà pourquoi ce soir nous n'aurions du rien faire finalement, parce que c'est sans doute encore plus frustrant pour lui. « Surtout que tu n’es en rien fautive. C’est vraiment entièrement de ma faute. Désolé. » Je ne sais pas s'il s'excuse pour ses mots quelques instants plus tôt ou encore pour sa panne, mais je ne veux pas qu'il s'excuse, ni pour ses mots, et encore moins pour sa panne. Il m'embrasse et avant de lui répondre je lui rends son baiser, comme un moyen pour moi de lui montrer que je ne lui en veux pas. « Arrêtes de t'excuser, vraiment tu m'as fais passé un super moment malgré que tu ne devais clairement pas avoir la tête à ça, je crois que tu ne réalises pas à quel point tu as été généreux avec moi ce soir et je pense pas qu'il existe beaucoup d'autres hommes qui pensent à leur femme avant eux dans ce genre de moment. » La totalité des hommes avec qui j'ai couché, et y'en a beaucoup, beaucoup trop, aucun n'aurait fait passer mon plaisir avant le sien. Aucun n'aurait pensé à mon plaisir alors qu'ils n'auraient pas pu ensuite profiter à leur tour. Aucun n'aurait été aussi altruiste, généreux et attentionné que Caleb ne l'a été ce soir et ce malgré les émotions négatives qu'il doit ressentir. Mais, ça je suis certaine qu'il est incapable de l'accepter. Pourtant c'est bien grâce à lui que j'ai pu avoir un moment de détente et de plaisir total. Je ne pourrais pas lui permettre de ressentir les émotions que j'ai ressenti grâce à lui, mais si je ne lui redemande pas comment il va, je n'ai pas besoin d'une réponse de sa part pour voir qu'il est tendu et frustré. L'utilisation de sa cigarette électronique montre bien l'état d'esprit dans lequel il est, et je doute qu'il soit prêt à dormir avec les émotions qu'il doit être en train de ressentir et à défaut de pouvoir lui donner du plaisir, je veux au moins essayer de l'aider à se détendre un peu et je lui propose un massage. « C’est vrai ? » Il retrouve son sourire et je secoue la tête de haut en bas avant de me redresser pour lui montrer que je suis sérieuse avec ma proposition. Je retrouve un peu de confiance sur le fait que peut-être je vais pouvoir lui faire passer une bonne soirée malgré tout. Enfin bonne peut-être pas mais au moins une soirée pas trop désagréable pour lui. Je me lève pour aller chercher au fond de mon dressing la bougie de massage dans un lieu caché de nos enfants ou je garde d'autres objets sur lesquels il ne faudrait surtout pas qu'ils tombent. Mais cette bougie n'a rien de très spéciale, si ce n'est sa provenance et son utilisation pour une expérience sensorielle érotique d'exception, selon les mots qui s'affichent sur la boite de la bougie. Je l'allume et je retrouve Caleb dans le lit en attendant qu'elle soit prête à être utilisée. « Tu sais que j’aime tout particulièrement tes doigts de fée. » Je lui souris à mon tour, je ne suis pas toujours douée dans les activités manuelles mais je pense me débrouiller avec mes mains pour certaines choses et les massages en font partis. Du moins c'est ce que Caleb me dit souvent. « J'aime quand tu me dis de telles choses, et j'ai encore plus envie de te prouver que tu as raison d'aimer mes doigts de fée. ». Je frotte mes mains l'une contre l'autre quelques secondes pour les réchauffer avant de venir les poser sur son avant bras et remonter doucement jusqu'à ses épaules. « Mais je ne veux pas que tu te sentes obligée, je t’assure que ça va aller. » Je secoue la tête avant de lui répondre. « Je ne me sens pas obligée, j'en ai envie, laisse moi essayer de te détendre un peu, c'est pour ta santé que je fais ça, tu vas bientôt inspirer ta cigarette électronique à ce rythme vu comment tu tires dessus. » Je me moque un peu de lui, enfin je le dis en riant un peu mais c'est plutôt vrai ce que je lui dis même si ce n'est pas pour ça que je lui ai proposé un massage, mais uniquement parce que j'en avais envie, envie de lui proposer quelque chose qui puisse l'aider à passer une bonne fin de soirée et à se détendre un peu. « Allonges toi, mets toi à l'aise et laisses mes doigts de fée travailler. » Je commence sans l'huile de massage en attendant que la bougie se consume un peu, mais je laisse mes mains commencer à masser ses épaules et sa nuque que je sens bien tendues. « Essayes de te détendre un peu et fermes tes yeux. » Je parle doucement, très doucement pour ne pas venir perturber le calme que je souhaite instaurer pour ce moment. Je veux juste qu'il se détende pour qu'il puisse s'endormir ensuite plus serein et moins stressé par cette soirée. J'éteins la bougie et je mets un peu de cire dans mes mains et après les avoir frotté les unes contre les autres je reprends le massage tout en restant vigilante aux réactions de Caleb pour m'assurer que le massage lui fait du bien et l'aide, parce que c'est bien ça le but pour ce soir. Juste lui faire du bien et l'aider à se détendre rien de plus et si habituellement mes mains se seraient balader un peu partout sur son corps, ce soir je reste sur les épaules et sa nuque pour qu'il ne pense pas que je veux plus ou qu'il ait l'impression que je ne fais ça que pour prolonger notre soirée et qu'il ressente de la pression à nouveau. Je fais attention à ça et je me retiens à plusieurs reprises de venir embrasser son corps, malgré mon envie.
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Les médecins m’ont demandé d’arrêter de fumer et cette fois, j’ai décidé de les écouter. C’est pour ma santé plus qu’autre chose. Pour rassurer Alex et pour mes enfants également et si l’absence de nicotine se fait déjà beaucoup ressentir je sais que sans ma cigarette électronique, je serais tout simplement incapable de tenir, c’est une certitude. Donc à défaut de pouvoir sortir et m’installer sur la terrasse pour allumer une cigarette et en savourer les sensations qu’elle me procure, c’est sur la vapoteuse que je me rabats. Alex veut savoir comment je vais et bien que j’aie totalement conscience de la bienveillance de sa question, il n’empêche qu’elle m’agace légèrement. Elle connait très bien la réponse à cette question. Elle sait que je ne vais pas bien et que je suis en train de m’auto-flageller mentalement pour me punir de ma nullité et de mon impotence de ce soir. En tout cas je pensais qu’elle le savait, mais sa question me prouve que ce n’est pas le cas, et malgré tout l’amour que je ressens pour cette femme je laisse la frustration parler à ma place. Sauf que c’est assez rapidement que je m’en veux, alors que je tire sur ma cigarette électronique à vitesse effrénée Alex se lève pour enfiler une nuisette et je me repasse en boucle ma réponse et surtout, ce ton rempli de sarcasme et en seulement quelques secondes me voilà à me détester pour ça en plus de mon impuissance. « C'est pas grave, je sais que tu es frustré, je n'aurais pas du te poser cette question. » Mes doigts s’entremêlent aux siens tandis que je secoue la tête. « Bien sûr que si tu pouvais me poser cette question... Excuse-moi. » Je repose ma cigarette électronique sur la table de chevet juste avant de me pencher vers elle pour embrasser avec délicatesse sa joue. « Désolé. Vraiment. » Pour la troisième fois, je m’excuse, ne voulant surtout pas devenir ce genre d’homme à passer sa frustration sur sa femme. « Arrêtes de t'excuser, vraiment tu m'as fais passé un super moment malgré que tu ne devais clairement pas avoir la tête à ça, je crois que tu ne réalises pas à quel point tu as été généreux avec moi ce soir et je pense pas qu'il existe beaucoup d'autres hommes qui pensent à leur femme avant eux dans ce genre de moment. » Honnêtement, je ne sais absolument pas si elle a raison ou non. Penser à son plaisir et à ce dont elle avait envie me semblait totalement normal et naturel. Il était pour moi hors de question qu’elle soit obligée de subir l’inefficacité mécanique de mon corps. Tout en récupérant ma cigarette électronique j’hausse doucement les épaules le regard un peu perdu dans le vide. Je ne pense pas mériter toute cette vague de compliments lancée par Alex, surtout pas ce soir mais si elle me dit penser que peu d’hommes auraient tout de même mis leur fierté de côté pour assouvir le désir de leur femme d’une autre manière, je décide de la croire. Alors que je recommence à tirer sans relâche sur la vapoteuse, mon autre main caresse le dos de la sienne avec tendresse jusqu’à ce qu’elle ne finisse par se lever pour partir en direction de son dressing pour ramener la bougie de massage. « J'aime quand tu me dis de telles choses, et j'ai encore plus envie de te prouver que tu as raison d'aimer mes doigts de fée. » Pour la première fois depuis que nous sommes sortis de la douche c’est un vrai sourire sincère qui accompagne ce léger rire qui traverse la barrière de mes lippes. « Oh, tu n’as plus rien à me prouver depuis bien longtemps mon amour. » que je lui réponds légèrement amusé. Et puis de toute façon, ce n’est pas comme si beaucoup de femmes m’ont déjà massé, la concurrence n’est pas rude pour elle à ce sujet – ni pour tous les autres, d’ailleurs. « Je ne me sens pas obligée, j'en ai envie, laisse moi essayer de te détendre un peu, c'est pour ta santé que je fais ça, tu vas bientôt inspirer ta cigarette électronique à ce rythme vu comment tu tires dessus. » Sa réflexion m’arrache un rire. « Là, maintenant, tout de suite, je pourrais tuer pour une cigarette. » Est-ce que je me justifie sur mon acharnement sur la vapoteuse depuis quelques minutes ? Un peu oui. Enfin je veux surtout lui expliquer les raisons qui me poussent à tirer dessus ainsi – bien qu’elle s’en doutait sûrement un peu. « Allonges toi, mets toi à l'aise et laisses mes doigts de fée travailler. » Sans un mot, j’acquiesce et avant de m’allonger je tire une dernière fois sur la cigarette électronique avant de la poser à quelques centimètres de mon visage. « Essayes de te détendre un peu et fermes tes yeux. » Un premier frisson me traverse l’échine au moment où ses mains entrent en contact avec ma peau, et je m’exécute. Les yeux fermés, je laisse ma tête venir se nicher au creux que mes bras. Ma concentration se porte uniquement sur ses mains, et ses doigts de fée comme j’ai pu lui dire tout à l’heure. « Si tu parviens à me faire oublier mon envie de fumer, tu vas devoir me faire des massages plus souvent. » C’est absolument sans aucun sérieux que je lui dis cela, jamais je ne me permettrais de l’obliger à quoique ce soit même si on parle d’un simple massage. Mais la douceur de ses doigts qui glissent avec précaution sur différentes parties de mon dos et de mes épaules me font frissonner et surtout me font beaucoup de bien.
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« D’accord. Très bien, tu as gagné. » Alors oui j'ai clairement gagné ce soir, enfin je suis celle qui a prit le plus de plaisir ce soir et la seule d'ailleurs, alors je me vois comme celle qui a gagné mais pour les compliments en revanche il n'y avait pas vraiment de gagnant ou de perdant. Et avec ces mots j'ai comme l'impression qu'il ne croit pas en mon compliment, mais il ne tente pas de refuser ce compliment. Il ne l'accepte pas non plus. Mais je ne suis pas étonnée, et je n'insiste pas plus ne voulant pas le mettre mal à l'aise ou du moins plus mal à l'aise qu'il ne l'est déjà et puisqu'il se réinstalle vers moi, je ne veux pas risquer de le faire quitter le lit et je le laisse se réinstaller avec sa cigarette électronique.
Je me doute qu'il n'est pas en train de vivre le meilleur moment de sa vie et qu'il doit être en train de s'en tenir rigueur et de se rabaisser et comme une conne je lui pose la question pour savoir comment il va. Je suis dans mon monde moi, sur un petit nuage, détendue et ma maladresse prends le dessus encore une fois. Une maladresse qui me vaut une remarque sarcastique et froide de mon mari, une chose bien inhabituelle qui jette un froid sur la situation et qui me refroidit bien vite. Le silence qui suit n'est que peu agréable, mais je suis aussi responsable que lui de ce silence, et j'en profite pour me rhabiller à mon tour. Je ne lui en veux pas, il s'en veut assez lui même, et je sais que ma question était conne et inappropriée. « Bien sûr que si tu pouvais me poser cette question... Excuse-moi. » Mes yeux se baissent vers nos mains qui s'entremêlent avant de le regarder poser sa cigarette électronique. Je lève les épaules, je ne lui en veux pas et c'est ce que je m'apprête à lui dire avant qu'il ne dépose ses lèvres sur ma joue et qu'il reprenne la parole. « Désolé. Vraiment. » Je le regarde et cette fois je lui souris, comme pour le rassurer. « C'est pas grave vraiment, je t'en veux pas et j'ai déjà oublié. » Et c'est vrai, je ne lui en veux pas, ni pour sa remarque, et encore moins pour sa panne ce soir. Il est le seul à se blâmer pour les deux choses et c'est ce que j'essaye de lui faire comprendre. Il a assuré ce soir, malgré son corps qui le lâche, il s'est concentré sur mon plaisir et il a assuré et ça le rends formidable à mes yeux. J'ai un mari prêt à tout pour me donner du plaisir et c'est clairement à ça que moi je pense et non à son impuissance du soir. Mais, je sens bien que mes mots n'ont que peu d'impact parce qu'il reprends sa cigarette électronique posée il y a quelques minutes à peine et il évite mon regard préférant fixer le mur devant lui. Je sais que ce n'est pas moi, que ce n'est pas ce que j'ai dis ou fais qui le met dans cet état mais je n'aime pas le voir comme ça. Je le sais dur avec lui même. Intransigeant et exigeant avec lui et je me doute que cette soirée et cette impuissance soudaine n'est pas quelque chose de simple à gérer pour lui mais je ne veux pas continuer à le voir se torturer l'esprit comme ça. Et encore moins continuer à décharger ses tensions sur sa cigarette électronique. Bon c'est toujours mieux qu'une cigarette mais je vois qu'il est tendu et pas bien et je n'aime pas ça. Alors l'idée du massage me semble parfaite. Une idée qu'il semble accepter et il me fait même des compliments. « Oh, tu n’as plus rien à me prouver depuis bien longtemps mon amour. » Les mots sont accompagnés d'un sourire, et même d'un rire et l'entendre rire a un effet immédiat sur moi, je ris avec lui et je lui souris, le regard tendre posé sur lui, j'aime le voir sourire, j'aime tellement ça. « Tu sais que toi non plus tu n'as rien à prouver, et juste comme ça, j'aime tellement quand tu souris, tu peux sourire encore pour moi s'il te plait ? » Mes yeux de biches, je tente de l'amadouer, de lui extirper un nouveau sourire, plus grand encore que le précédent. Je ne sais pas si ça fonctionne mais j'arrive à le faire rire à nouveau avec une autre remarque et ça me convient totalement. « Là, maintenant, tout de suite, je pourrais tuer pour une cigarette. » Je ris à mon tour. « Oh je sais ce que tu ressens, mais me tue pas chéri j'ai pas le goût de cigarette ça ne te soulagerai même pas. » Je plaisante et s'il y a bien une personne sur terre dont je n'aurais jamais peur ou dont je ne me méfierai jamais c'est bien Caleb. Bien trop gentil pour faire du mal à qui que ce soit et encore moins à moi. Je sais qu'il a besoin d'être un peu détendu et je l'invite à s'allonger et à se détendre. Je veux l'aider à trouver le calme avant de dormir et oublier son envie de cigarette ou même les émotions négatives qu'il ressent après cette soirée. Je sens son corps frissonner et je le sens surtout très tendu, je n'ai pas à beaucoup chercher pour sentir les points de tensions sur son corps. Il a bien besoin d'un massage, et il avait sans doute bien besoin de plus d'ailleurs mais ce soir il devra se contenter d'un massage et je vais tenter de lui donner le meilleur massage possible pour qu'il passe un moment relaxant. « Si tu parviens à me faire oublier mon envie de fumer, tu vas devoir me faire des massages plus souvent. » Je viens déposer un baiser sur sa joue tout en laissant mes mains glisser sur sa peau et masser son corps. « Je ferais tout ce qu'il faut pour que tu te sentes bien chéri, et quand je sens comme tu es tendu, je pense que tu es parti pour des séances de massages tous les soirs, c'est ma prescription tu n'auras pas le choix. » Il devrait sans doute aller voir un kiné ou un osthéo plutôt mais à mon niveau je sais que je peux l'aider à se détendre un peu et c'est bien ce que je compte faire, ce soir et les autres soirs s'il le faut parce que je veux le meilleur pour lui et je veux qu'il se sente détendu, serein et heureux. Heureux je pense qu'il l'est mais serein et détendu j'en doute énormément en ce moment alors si un massage tous les soirs peut l'aider je me ferais une joie de lui faire et c'est déjà ce que je compte faire ce soir, jusqu'à ce qu'il s'endorme ou qu'il en ait marre, parce qu'il mérite que je prenne soin de lui.
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