ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13373 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
lieu: galerie d'art, spring hill.(c): (gif), luleaby (codage).
***
Il sentit la façon dont Ambrose accueillit ses mains, et surtout comment il lui fit passer un message discret alors que tous les yeux étaient braqués sur eux. « Ruben, donc. » Il n’avait rien à faire ici. Ruben, oui d’accord, mais surtout Rose: il allait se retrouver au milieu d’un jeu qui allait lui l’affecter, mené de front par les deux autres personnes qui se côtoyaient déjà en dehors de ces lieux et qui allait forcément faire des tirs dans lesquels il allait se retrouver bloqué. Il n’avait rien à faire ici et cela peinait Ben.
Mais le jeu se devait d’être joué, qu’importaient les circonstances et les personnes présentes malheureusement. « Pourquoi, c’est plus le cas ? Pourtant, tout le monde a l’air de penser que tu fais bel et bien partie de notre famille, au point même de croire que c’est toi l’héritier direct de la lignée, alors ma place, tu l’occupes toujours un peu, quelque part, non ? » Si Leon eut un petit rire au commentaire de sa fille, Ruben eut beaucoup plus de mal à en laisser un s’échapper. Il jouait, mais ce n’était pas pour autant que le jeu lui plaisait énormément - il ne savait juste pas se retirer de la partie en cours de route et tiendrait jusqu'à sa la fin. « Certains nous voient presque comme des frères et soeurs, c’est pas un peu bizarre ? » Il se retint de ne pas faire résonner trop fort sa langue qui claquait contre son palais, alors que définitivement des rires de part et d’autres se faisaient entendre - oh, ce n’était pourtant pas drôle du tout. Et celui qui apposa sa main sur son épaule serait le premier à approuver l’idée que ce n’était pas tant amusant s’il connaissait les dessous de l’histoire. Ben dut d’ailleurs se retenir de ne pas se crisper sous les doigts de Leon s’enroulant sur son épaule, pour ne pas laisser transparaitre autrement que dans le regard qu’il accordait à Mavis à quel point il n’était en rien amusé. « Je ne sais pas de qui elle tient son humour, mais j’ai à coeur de penser que c’est de moi. » - « Je pense oui. » Il ne le vexerait pas. « Je pense surtout qu’il insinuait qu’on grandit tous trop vite, ça doit lui faire peur pour sa propre carrière. » Resserrant sa main, son mentor laissa un nouveau rire se faire entendre.
Au moins, cette partiel à était clôturée, puisque la balle partait dans un autre camp - lire ici que l’intérêt de Leon pour son poulain était déjà amplement satisfait tous les jours à se côtoyer, alors forcément que ce dernier allait se tourner dans la direction de la seule personne qui s’ajoutait à l’équation ce soir contrairement à d’autres occasions. « T’es pas obligé de répondre à la moindre question si t’en as pas envie. » Bien sur qu’elle venait à son secours. « J’ai l’habitude des questions, tu le sais. » - « D’autant que vous êtes supposés déjà le connaître. On se connait depuis des lustres tous les deux. » Ben se retint de lever les yeux au ciel - blablabla. « Tess adorait Ambrose à l’époque. Elle trouvait qu’on allait bien ensemble. » Au grand damn de Ben, ils allaient toujours bien ensemble. « Ce qui était vrai, il faut l’avouer. » Il ne réussit pas à garder un regard pour lui, le lançant en direction d’Ambrose: sérieusement ?.« Elle se serait souvenue de lui à l’instant où ses yeux se seraient posés sur lui. Elle sera tellement contente de savoir qu’on se côtoie à nouveau. » - « Je pourrais passer lui dire bonjour, un de ces jours. » Ca lui donnait envie de vomir.
« Mais c’est pas grave. C’est une soirée importante pour moi, je préférerais qu’on évite de la faire tourner en grand interrogatoire, vous pouvez faire ça pour moi ? » - « Je suis qu’un invité. Au fond, on est tous là pour Mavis, pas vrai ? » Ils allaient pas non plus s’y mettre tous les deux maintenant, ce n’était pas le but de cette soirée voyons; célébrer Mavis oui, en profiter pour enterrer Ruben non. « Je suis content d’être là pour elle maintenant. On s’est perdus de vue pendant si longtemps. » Et c’était bien, ce temps là. « On pourrait trinquer à ça, non ? A Mavis. » Docilement, sans avoir fait le moindre commentaire depuis bien longtemps - ça trahissait la façon dont il bouillonnait à l’intérieur en réalité, mais il ne pouvait se permettre de le montrer -, Ruben leva sa coupe à son tour et à l’initiative de Rose. « Trinquons à Mavis, tu as raison. » Leon se rappelait donc de temps à autres qu’il avait une fille; une deuxième fille. « Je peux sans doute m’avancer en disant qu’il faut profiter de chaque instant avec Ruben, parce qu’on ne sait pas quand est-ce qu’il risque de partir, et encore moins de revenir. » Il esquissa un sourire qui n’était en rien amusé mais qui s’adaptait parfaitement à la situation. « Ruben qui lève sa coupe de champagne pendant qu’il est encore ici oui, mais qui va surtout aller au bar chercher un verre sans alcool parce-qu’il est supposé être en train de travailler. » Il leva donc sa main une nouvelle fois en posant son regard sur le visage de Mavis; et sans lâcher ce dernier se leva de sa chaise. Il laissa ses yeux accrocher ceux de la jeune femme encore un instant, assez pour qu’elle puisse croire que cela était une invitation à son égard. « Tu m’accompagnes… » Avant que son regard ne dévie au dernier moment, pour lui couper l’herbe sous le pied et lui montrer que oui, bien sur qu’ils étaient tous là pour elle aujourd’hui mais qu’il prenait l’élément non-prévu en compte plutôt. « … Ambrose ? » Et ce n’était pas une question.
Il attendit d’être proche du bar pour se retourner et poser son regard sur le visage du brun - ils étaient assez loin pour que leur tablée pour qu’ils ne puissent pas être observé. « Comment tu t’es retrouvé là toi. » Une pointe trahissant la tendresse qu’il éprouvait à son égard se fit entendre dans sa voix. S’il menait de front le jeu avec Mavis, il n’était pas question qu’il en fasse de même avec lui. Sa question restait malgré tout véritable: il ne se doutait pas qu’il serait présent ce soir et s’en voulait de ne pas pouvoir changer ce paramètre là; pas de s’être présenté alors qu’il aurait pu se passer de venir ce soir, parce-qu’il ne fallait pas pousser de trop non plus, mais surtout que Rose ait à assister à cette géante mascarade. « Parce-que t’es dérangé que je sois là, je le vois Rose. » Dans son regard, dans ses gestes, dans ses postures.
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Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
Ruben Hartfield et Mavis Barnes adorent ce message
Parfois, il se demande s’il se serait tout de même rapproché de Ruben, s’il avait su. S’il savait qui il est pour Mavis ; si il savait qui Mavis est pour lui. Il se demande s’il aurait laissé ses sentiments devenir ce qu’ils sont aujourd’hui et s’il lui aurait laissé une telle place dans sa vie. Il se le demande parce qu’il sait que cela n’a rien de sain et tout aussi peu de quoi être viable, mais il se le demande surtout parce qu’il n’arrive pas à en venir à une réponse catégoriquement négative, même alors qu’il observe Mavis montrer les dents uniquement parce qu’elle est blessée et dos au mur. Lui, bien qu’à ses côtés, ne sait pas quel camp il prendrait si tant est qu’il devait en choisir un - il compte justement sur le fait qu’il n’aura pas à en choisir. « Certains nous voient presque comme des frères et soeurs, c’est pas un peu bizarre ? » Ambrose déconnecte du reste de la conversation, son regard se posant sur les différents interlocuteurs uniquement pour garder un semblant de politesse. Si les parents de Mavis n’étaient pas présents, il a à coeur de penser que la conversation serait différente. Tout du moins, cela ne lui coûte rien que de le penser.
Lorsque la lumière revient sur Ambrose sans qu’il l’ait demandé, c’est Mavis qui vient à son secours pour lui rappeler qu’il n’est pas forcé de témoigner. En réalité, il l’aurait fait de bon cœur si toute cette soirée n’avait pas autant des airs de procès. Un procès pourtant si doux, quand Mavis fait remonter à la surface autant de souvenirs d’enfance qu’ils ont en commun et que rien ni personne - pas même la mort de quelqu’un - ne pourrait assombrir. « Trinquons à Mavis, tu as raison. » Au moins un point sur lequel ils peuvent s’entendre sans que les concessions ne leur coûtent de trop, sauf peut-être au père de Mavis qui aurait sans doute eu pour réflexe de vouloir porter un toast à Ruben et non à sa propre fille. Le centre de toute son attention se contente de quelques gorgées de champagne mais annonce surtout qu’il ne boira pas davantage d’alcool, et le regard d’Ambrose se pose sur le patriarche en même temps qu’il récite un discours bien connu : Leon l’admire pour ces quelques mots, une fois de plus encore. « Tu m’accompagnes… Ambrose ? » Son regard se repose sur Ruben simplement par curiosité, mais il affiche une véritable surprise lorsqu’il comprend que le chirurgien parle à lui et non à Mavis. C’est d’ailleurs sur cette dernière qu’il finit par poser le regard, hochant imperceptiblement la tête pour lui assurer revenir rapidement. Ils sont venus ensemble, ils repartiront ensemble et il ne compte pas lui fausser compagnie, même pour les beaux yeux de Ruben qu’elle sait qu’il aime tout autant qu’elle. « On vous ramène à boire ? » Il interroge la famille Barnes dans son ensemble, sa voix filant avec simplicité, parce que c’est tout ce que la proposition de Ruben est aux yeux des plus âgés : une simple politesse, un moment pour apprendre à se connaître entre hommes.
« Comment tu t’es retrouvé là toi. Parce-que t’es dérangé que je sois là, je le vois Rose. » Comme on le verrait dans les films, Ambrose dédie son regard et son attention aux serveurs et non à Ruben, dont il sent le regard brûler sa nuque. Déjà, il fait un signe de la main pour attirer l’attention de l’un d’eux et passer commande. Avant qu’il n’arrive à leur hauteur, il répond. « Tu sais pourquoi, Ben. » Ce n’est pas tant le mensonge aux parents Barnes qui le dérange, pas du tout même : ce point ne le regarde pas et il ne s’en mêlera pas. Cela ferait du mal à Ruben et Mavis, et il ne le veut pas. « Vous vous tirez la bourre comme des ados vexés. » Alors qu’ils comptent beaucoup l’un pour l’autre et que lui-même peut le voir malgré les reproches et les différentes attaques plus ou moins voilées. « Tu peux pas avoir Mavis et son père dans la poche. » Mais il pense que si, et l’instant présent donne tort à Ambrose : le père est conquis, la fille l’est toujours malgré les dents qu’elle continue de lui montrer (il sait ce que c’est, il passe bien souvent par ce stade malgré ce qu’il en dit). « Pas comme ça. » Il va se prendre le pied dans ses mensonges, un jour, et Ambrose n’a pas envie de voir ça. « Excuse toi. Passe du temps avec elle. » Une telle idée lui creuse un trou dans le cœur, mais il continue de penser que Mavis mérite mieux que les miettes de chaque chose. Elle a dû s’en contenter dans sa famille, elle ne peut pas aussi le faire en amour. « On se verra un autre jour. » Et s’il fait de son mieux pour qu’elle ait une part du gâteau, il n’en oublie pas sa propre part non plus, comme toujours.
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Ruben Hartfield
le problème à trois corps
ÂGE : trente-deux ans (04.12). SURNOM : (rhube) ben. STATUT : nina et lui se sont dit 'oui' à l'abris des regards le 15 janvier - elle s'attendait au meilleur, il lui a offert le pire. MÉTIER : neurochirurgien exerçant au st vincent’s hospital, doit encore faire ses preuves auprès des grands malgré sa tendance à se penser déjà meilleur que bien d'autres. aspire à se spécialiser en neurotraumatologie sur les années à venir. met ses connaissances au service de la fondation pearson depuis plusieurs années. LOGEMENT : passe en coup de vent au #404 water(melon sugar) street, spring hill, pour nourrir les chats mais n'arrive pas à y retourner de façon pérenne en sachant qu'elle n'y met pas les pieds (et en sachant qu'on pourrait trop facilement le trouver pour lui casser les dents, aussi). garde le double des clefs de chez scarlett parce-qu'au moins, là-bas, il ne doit rendre de comptes à personne. se fait claquer la porte au nez à peu près partout ailleurs, maintenant. POSTS : 13373 POINTS : 1840
TW IN RP : deuil, avortement, adultère. ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : quatrième enfant de la fratrie Hartfield, a toujours tout fait pour exister par lui-même, loin de l’ombre de ses aînés › neurochirurgien récemment diplômé, il ferait tout pour protéger sa carrière, au dépend de ses proches › a été anéanti par la disparition de son grand frère Jackson début 2020, mais ne l’a montré à personne, préférant assumer une fausse culpabilité seul dans son coin › a fauté une nuit (deux) (peut-être plus finalement) (oops) avec une étudiante de la faculté (et pas que), et plutôt que d’assumer auprès de sa petite-copine, il l’a demandé en mariage.CODE COULEUR : steelblue. RPs EN COURS :
AVATAR : harry styles. CRÉDITS : loudsilence. (avatar) › harley (profil+signature gifs) › stairsjumper + paindep (userbars). DC : ezra beauregard, les adieux volés (ft. sam claflin) › damon williams, l'héritier du vide (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 04/02/2022
lieu: galerie d'art, spring hill.(c): (gif), luleaby (codage).
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Mavis aurait vu, elle aussi, la surprise dans le regard d’Ambrose mais ce n’était pas grave puisqu’elle était autant impliquée que ce dernier dans la conversation et la décision de Ruben que de demander au brun plutôt qu’à la blonde de l’accompagner jusqu’au bar. Ils échangèrent un regard, il se retint de lever les yeux au ciel - il se leva de sa chaise à contrario. « On vous ramène à boire ? » Ce ne fut pas Leon qui répondit mais sa femme, et cela fut assez surprenant pour que même Ruben jète un nouveau retard vers la tablée. « On a tout ce qui faut ici, merci quand même. » Et déjà, il pressait le pas.
Parce-que la conversation qu’il souhaitait avoir avec Rose n’était pas de celles qui pouvaient être entendues par tous les partis présents, cela restait l’évidence; et il voulait lui adresser un mot personnel, malgré tout ce qui se passait autour et entre eux. « Tu sais pourquoi, Ben. » Il pencha quelque peu sa tête sur le côté. « Ca ferait du mal à personne que tu l’expliques toi-même. » Autant pour qu’il lâche ce qui lui pesait alors qu’il peinait à juste le regarder, que parce-que Ben ne voulait pas qu’il y ait de quiproquo. « Vous vous tirez la bourre comme des ados vexés. » Bien sur qu’il leva les yeux au ciel - pourquoi cela devrait-il le déranger lui qu’ils agissent de la sorte, alors que ça pourrait avoir comme effet qu’il retrouve davantage l’un comme l’autre dans son camp après ce type de soirée. Ambrose n’était pas assez égoïste pour peser et voir les choses de cette manière là, malheureusement. « Une partie de moi est perpétuellement vexé avec elle, tu sais. » Parce-qu’elle savait malmener son égo comme peu de personnes sur cette planète et que ce n’était qu’à moitié quelque-chose qu’il appréciait - ou osait apprécier, surtout. « Tu peux pas avoir Mavis et son père dans la poche. » A ces mots là, Ruben fronça quelque peu les sourcils. « Pas comme ça. Excuse toi. Passe du temps avec elle. » Croisant ses mains alors que ses avants-bras étaient posés sur le bar en attendant que le serveur fasse son boulot, il tenta d’attraper au vol le regard qu’Ambrose refusait de lui offrir. « On se verra un autre jour. » Et avec grâce, il venait de le congédier. C’était pire que la joute verbale avec Mavis, d’entendre ça. « Je savais pas que tu serais là ce soir, Rose. Et tu sais à quel point j’aime pas te faire du mal. » cette partie là avait au moins toujours l’avantage d’avoir été véridique à travers les âges. « C’est pas pour te blesser toi que je suis venu ici. » Peut-être pour blesser la jeune Barnes un peu malgré lui, malgré tout; c’était là où les choses étaient floues. « Leon m’a vraiment invité à les rejoindre. » Cette partie là du discours initial était vraie; c’était les intentions derrière qui, effectivement, n’étaient pas celles présentées au public mais il n’apprenait rien à Rose. « Je savais pas par contre que ça t’intéressait de faire en sorte qu'elle et moi soyons en bons termes. » Et il trouvait cela presque étrange, même. « C’est pas dans ton intérêt. » Il se pencha quelque peu vers le jeune homme. « Je retiens qu’on se verra un autre jour par contre, ça tu peux être sûr. » Et tant pis pour le reste autour, Ben déposa un baiser sur sa joue qui s’il était observé, parlait de lui-même.
« Mais j’ai oublié d’être complètement idiot, je sais que ma présence est pas souhaitée. Tu veux que je parte. » Il s’était déjà reculé, avait commencé à s’éclipser de la situation se déroulant sous ses yeux. « La chance est de ton côté: j’ai un métier qui me permet d’avoir une excuse éternelle pour un départ inexpliqué. Et personne autour de la table pourra me contredire, alors… » Alors ce n’était pas lui qui serait le grand gagnant aujourd’hui. « Appelle moi, Rose, d’accord ? » Les mots de Ruben étaient sincères, ses intentions l’étaient tout autant; il n’avait juste pas notion que sa vie serait malmenée comme jamais auparavant dans les prochains jours alors que Nina allait découvrir une partie du pot aux roses. Pour le moment, il gardait cette part d’insouciance qui lui laissait la possibilité de sourire légèrement. « Sauf si tu me retiens, je passe les prévenir que je m’en vais. » Le retiendrait-il ou prendrait-il son conseil de profiter que la situation soit à son avantage, cette fois-ci, et qu’il pouvait en profiter ?
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Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
Ruben Hartfield et Mavis Barnes adorent ce message
« Ca ferait du mal à personne que tu l’expliques toi-même. » Au contraire, cela ferait du mal à beaucoup de personnes et il ne pense pas Ruben assez naïf pour croire ce qu’il dit pourtant lui-même. Ambrose lui décoche un regard de biais traduisant le fond de sa pensée autant que son manque d’entrain à faire du zèle : il n’en a déjà pas envie en temps normal et l’idée que cette soirée est importante pour Mavis ne fait que le conforter davantage dans son désir de faire bonne figure. Ce n’est pas ici ni maintenant qu’il parlera plus en détails de l’histoire qui les concerne tous les trois. « Une partie de moi est perpétuellement vexé avec elle, tu sais. » Il ne le savait pas avant aujourd’hui tant il avait pris soin à ne jamais s’intéresser davantage au lien qui les unit, mais il le comprend désormais sans mal. Les paroles de Ruben ne l’étonnent pas, son attitude encore moins. « Ça me regarde pas. » Il le précise tant pour l’inciter à ne pas lui partager les détails que pour lui faire comprendre que son attitude n’en est pas moins déplacée. « Je savais pas que tu serais là ce soir, Rose. Et tu sais à quel point j’aime pas te faire du mal. » Mais à quel point il continue encore et toujours de lui en faire, qu’il le veuille ou non. En effet, Ambrose connaît ce refrain par cœur alors que cette chanson est pourtant bien loin d’être sa préférée.
« C’est pas pour te blesser toi que je suis venu ici. » « Ben, c’est pas le sujet. »
Il souffle doucement, loin d’en faire un véritable reproche. Cela devrait en être un, mais il n’a pas envie que cette discussion puisse être qualifiée autrement qu’une simple discussion, justement. Ruben sait ce qu’il pense de lui, et il sait tout autant que Rose reviendra vers lui, blessé ou non. « Leon m’a vraiment invité à les rejoindre. » - « Je te demande pas des comptes sur ta venue mais sur ton attitude. » Ca, il ne peut pas laisser l’excuse ou la faute reposer sur autrui ou sur l’ignorance de sa présence - chose qu’Ambrose lui concède, parce qu’il ne lui a jamais précisé qu’il venait à la soirée. Ce qu’il lui reproche, c’est de montrer les dents alors qu’il comprend que sa chasse gardée ne l’est finalement pas tant que ça, gardée. « Je savais pas par contre que ça t’intéressait de faire en sorte qu'elle et moi soyons en bons termes. » L’utilisation du terme intéresser tire à Ambrose un rire certain tant il la trouve mal placée et mal venue, surtout de la part de Ruben. « J’ai l’air intéressé ? » Il rétorque alors, tranchant, quoiqu’à bien y repenser il pourrait effectivement y trouver un certain intérêt à se placer au cœur d’une relation apaisée à défaut d’être saine. « C’est pas dans ton intérêt. » - « Je veux juste qu’elle soit heureuse. » Mais il n’en oublie pas pour autant son propre intérêt, comme le pense pourtant Ruben. Il se dit simplement que Mavis peut-être heureuse sans qu’il ne soit trop loin ; et il se dit aussi que si Ruben n’est pas trop loin, il serait d’autant plus heureux à son tour. Le plan est un véritable château de cartes prêt à s’effondrer à tout instant mais il ne lui paraît pourtant pas si impossible, étonnament. « Je retiens qu’on se verra un autre jour par contre, ça tu peux être sûr. » Il ne comptait pas le lâcher sur ce point, mais il se retrouve surtout un instant figé par le baiser qu’il dépose sur sa joue. Ce n’est pas l’existence même de ce baiser qui provoque une telle réaction chez lui - il y en a eu bien d’autres avant et il ose bien espérer qu’il y en aura bien d’autres à venir encore - mais le fait que Ruben ose un tel geste dans un tel lieu bondé, si bien qu’Ambrose navigue entre rancoeur et admiration à son égard. Comme toujours. « Tu sais pas t’en empêcher. » Il le murmure avec un sourire en coin au même moment où il se retourne en direction du bar pour porter son verre à ses lèvres et ainsi cacher en partie sa réaction.
« Mais j’ai oublié d’être complètement idiot, je sais que ma présence est pas souhaitée. Tu veux que je parte. » Des mots qu’ils n’auraient jamais cru entendre de sa part, et qu’il n’aurait jamais pensé être incapable de nier : il veut qu’il parte, oui, tout comme il aurait sans doute préféré qu’il ne vienne jamais. Comme il le dit lui-même, il peut au moins profiter de l’excuse de son métier pour ne pas susciter le doute à aucun moment, ce qui serait bien la dernière chose dont ils auraient tous besoin. « Appelle moi, Rose, d’accord ? » - « C’est promis. » Et il sait que sur ce point, il n’a pas à s’en faire un seul instant. Ambrose l’appellera dès qu’il sera seul et il n’attendra pas de l’être pour lui envoyer de messages avant toutes choses. Cela a toujours été le cas et ne changera pas. « Sauf si tu me retiens, je passe les prévenir que je m’en vais. » Ambrose déserte lentement sa place près du bar pour passer près de Ruben et laisser sa main glisser contre son dos puis son avant-bras. « Va-t-en Ben. » C’est la meilleure solution pour tout le monde, et il le sait lui-même. « Je vais leur dire que tu as eu une urgence. » Ce que tout le monde comprendra, parce que toute la tablée comprend bien mieux le métier que ce n’est le cas d’Ambrose. Il ne laisse d’ailleurs pas davantage le choix à Ruben et se rapproche à nouveau de la table pour annoncer sobrement le départ du Hartfield et poser son regard dans les prunelles rassurantes de Mavis. « Tu veux qu’on sorte un peu ? » Il propose d’un air entendu, l’excuse étant toute trouvée pour échapper un instant au regard paternel et prendre le temps de souffler à deux.
Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2677 POINTS : 380
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
Autant dire qu’elle fulminait, Mavis. Restée à la table de ses parents, elle serrait les mâchoires à s’en faire péter les dents, s’échinant tout de même à sourire parce que les apparences, ça restait important, surtout dans ces conditions. Le pire, c’était qu’elle en avait autant après Ruben qu’elle en avait après Ambrose. L’autre se comportait comme le Roi des crétins, mais elle n’était pas plus surprise que ça, c’était même plus que commun à ce stade : pour tromper sa femme pas avec une, mais deux personnes, il fallait non seulement avoir un sacré problème de conscience, mais en plus de ça être profondément stupide. Elle s’était figuré de ça depuis longtemps, elle admettait que désormais, elle se moquait pas mal de comprendre pourquoi Ruben se comportait aussi bêtement alors qu’il avait le parcours académique qu’il avait. Celui qui la surprenait le plus en revanche, c’était Ambrose. Il avait accepté de le suivre, et si elle pouvait parfaitement saisir pourquoi il l’avait fait, le charisme de Ruben étant ce qu’il est, elle n’était pas moins vexée qu’il se soit de bon gré joint à la partie qu’ils jouaient tous les deux avant que Ruben ne décide de renverser le plateau, et de n’en faire qu’à sa guise.
Elle avait les oreilles qui sifflaient, ça l’empêchait de suivre ce qui était en train de se passer autour d’elle. Concentrée que sur une seule chose, ce qui se passait dans son dos, quelque part près du bar, elle s’imaginait ce qu’ils se disaient, ne tirait même pas une seule goutte de satisfaction de l’idée qu’ils parlaient d’elle, assurément ; ils auraient pu le faire à table pour qu’elle soit sûre que c’était bel et bien le cas, au lieu de pencher vers les messes basses de cour de récréation. Ruben était un idiot, c’était une évidence, il était pourtant assez malin pour avoir trouvé une tactique parfaite pour la mettre en boule tout en la piégeant, empêchée de réagir comme elle l’entendait à cause de la proximité de ses parents. A eux, elle n’entendait pas leurs voix, elle n’en avait rien à faire d’eux à ce moment-là, de toute façon ; ils ne s’adressaient pas à elle dans tous les cas, leur centre d’intérêt s’étant dissous à la seconde où il avait décidé d’emmener Ambrose plus loin. Elle se retint de ne pas se retourner pour voir ce qu’ils étaient vraiment en train de faire. Raide comme un piquet, assise sur sa chaise à attendre que ça se passe, contrainte et forcée de subir ce cinéma stupide, elle posa ses deux mains sur ses cuisses et recroquevilla ses doigts pour les enfoncer très fort dans sa peau.
C’est à ce moment-là qu’Ambrose décida de revenir. Elle répondit à son regard doux par une oeillade fixe, sombre et menaçante "Où est-ce qu’il est ?" lui demanda-t-elle abruptement, et ce sans délai. Elle entendit Leon demander la même chose, faisant rouler les yeux de sa fille qui répondit à la question d’Ambrose en se levant de sa chaise sans plus de cérémonie, bien décidée à reprendre le contrôle de la partie, et à ignorer son paternel "Je reviens dans une petite minute." Je reviens, ce qui ne pouvait signifier qu’une seule chose, Ambrose le saurait bien assez tôt. Telle une princesse, elle remonta doucement l’un des côtés de sa robe qui empêchait ses mouvements d’être fluides, saisit la main du jeune homme pour le contraindre à la suivre, et finit par déambuler au milieu des convives pour mieux s’arrêter à bonne distance de la galerie. Mavis le lâcha presque brusquement "Je veux que tu t’en ailles." Il paierait pour Ruben, elle n’avait même aucune scrupule à le penser de cette façon, à le lui imposer encore moins ; il paierait aussi pour lui avoir fait l’affront de l’abandonner alors qu'il était supposé être là pour elle, et il paierait pour avoir accepté de venir alors qu’elle lui avait maintes fois donné une sortie de secours pour ne pas le faire. Il avait attendu qu’une opportunité plus alléchante pour lui se présente pour le faire, et ça lui était insupportable, tout simplement. Elle ne quitta pas ses yeux des siens, ne comptant pas les baisser qu’importe ce qu'elle verrait briller dedans, et enfonça le clou avec une fermeté digne de la vexation qu’elle ressentait — de la vexation et de la trahison, les deux à la fois "Le plus vite sera le mieux, Ambrose. On m’attend." C’était faux. Ses parents de fichaient d’elle, exactement comme Ambrose et Ruben.
no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
:
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
Elle fulmine et il n’a pas besoin de forcer la moindre analyse pour le savoir. Cela se lit aisément dans son regard autant que dans la simple intonation qu’elle donne à ses mots ; et dans ses mots eux-mêmes, par ailleurs. Elle est vexée qu’il soit parti avec Ruben et c’est une idée qu’il avait anticipée, sans pour autant avoir été capable de lui trouver la moindre solution. Lui aussi, il sait qu’il veut le beurre et l’argent du beurre, qu’il veut tout et son contraire. Elle aussi. Ruben aussi. Personne ne devrait avoir le droit d’en vouloir aux deux autres sur ce point précis, et pourtant c’est bien ce à quoi ils occupent leur temps. "Je reviens dans une petite minute." Et après avoir été traîné d’un côté par Ruben, il est traîné de l’autre par Mavis, toujours avec aussi peu de surprise. "Je veux que tu t’en ailles. Le plus vite sera le mieux, Ambrose. On m’attend." Il a pour réflexe de marquer la négation de ses mouvements de tête, anticipant par la même occasion la réponse qu’il s’apprête à donner à la jeune femme. « Il a demandé à ce que je reste avec lui et j’ai refusé. » Ambrose reprend d’un ton égal, lui faisant le récit d’une conversation qu’elle n’a pas pu entendre là où elle était. « Je suis venu pour toi et tu le sais. » Et il s’est éclipsé quand Ruben a joué de ses cils une seule seconde, certes, mais c’est un point que Mavis connaissait déjà, qu’il lui avait aussi déjà expliqué. Elle sait que Ruben est important pour lui et qu’il ne lui est pas indifférent. « Mave, agis pas comme si j’avais calculé tout ça. » Il ne lui dira pas qu’elle n’a pas le droit de lui en vouloir, parce que lui dicter ses droits serait très sûrement contre-productif, mais il n’en pense pas moins. Il est là pour elle, il le lui a dit et il pense avoir assez agi pour le lui prouver. Il mérite de ce fait une meilleure considération de sa part, pour ne pas dire simplement de la considération.
Il prend une simple inspiration, parcours l’assemblée du regard avant de le reposer sur Mavis. « J’ai pas envie de te laisser seule avec tes parents. » Elle aura à répondre de la disparition d’Ambrose en plus de celle de Ruben - et en plus de tout le reste - ce qui est une idée qui n’a absolument rien de plaisante. « Je m’en vais si tu préfères. » Il n’a ni l’envie ni la force de lutter contre elle ce soir, et il sait au moins que si Mavis ne veut pas de lui, il trouvera une occupation pour la soirée en compagnie de Ruben - et puisqu’il a insisté pour rester à ses côtés, il ne s’en voudrait pas le moins du monde de changer de fusil d’épaule.
Mavis Barnes
la pomme de la discorde
ÂGE : 25 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben) MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 2677 POINTS : 380
TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it endsDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair) RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
Elle eut un léger rire à ce qu’Ambrose lui dit à propos de sa décision de revenir à la table plutôt que de partir avec Ruben. Elle ne lui dit pas qu’il aurait dû refuser de s’éclipser avec lui, tout simplement ; qu’elle, elle l’aurait fait ne serait-ce que par respect pour lui, à défaut d’en avoir pour ses parents qui se ficheraient bien de tout ça dans quelques minutes à peine. Elle ne lui dit pas non plus à quel point ça lui faisait du mal qu’il insiste sur le fait qu’il soit venu pour elle, mais qu’à la seconde où il avait eu une autre opportunité, il l’avait abandonnée à son sort sans se demander un seul instant ce que ça lui ferait. Elle avait fait sa vie sans lui pendant dix ans, elle pouvait aisément se passer de sa présence sans ressentir le moindre manque, le moindre regret, la moindre culpabilité, et c’est ce qu’elle comptait faire parce qu’elle n’en pouvait plus Mavis, au fond, d’être toujours celle qu’on choisit le temps de trouver mieux. Elle continuait de le fixer, elle continuait de sourire aussi, ne s’autorisant pas un seul instant à montrer qu’il venait de lui infliger une blessure qu’il ne saurait pas soigner, alors à quoi bon accepter qu’il reste à ses côtés ? Elle finit par secouer la tête et par lui dire, venimeuse "T’es venu pour moi, mais à la seconde où t’as eu l’occasion de prendre la tangente, tu t’en es pas privé." Ça voulait tout dire, et qu’il lui soutienne le contraire, s’il osait. Elle affronta ses yeux sans ciller "T’es gentil Ambrose, mais t’es loin d’être un petit agneau non plus." lui fit-elle remarquer. Elle fit un pas en arrière, décidée à marquer la distance entre eux pour qu’il ne soit pas tenté de lui prendre la main ou le bras. Elle rit à nouveau à ce qu’il ajouta, lui faisant en retour "Et toi agis pas comme si j’avais tort de réagir comme je suis en train de le faire. J’étais prévenue, hm ? Comme lui m’a prévenu au sujet de Nina." Ce serait toujours l’autre qu’ils choisiraient, jamais elle.
Elle déglutit, tira sur les tendons de son cou pour forcer la boule qu’elle avait dans la gorge à se noyer ailleurs que dans ses émotions, et puis elle dévia son regard de celui d’Ambrose qui, grand seigneur, lui fit part de son envie de ne pas la laisser seule avec ses parents "Et moi j’ai pas envie que tu sois là, c’est plus clair comme ça ?" Que ce le soit ou pas, elle s’en fichait pas mal, et comme ultime point qu’elle voulait donner à leur discussion, elle passa outre ses derniers mot pour lui donner les siens, et lui faire en se préparant à partir sans un regard de plus "T’as qu’une envie, c’est de le rejoindre, alors fais-le, et oublie-moi." Pour ce soir, pour demain, pour plus tard encore, elle ne le précisa même pas, n’attendant pas plus longtemps pour rejoindre la table de ses parents qui ne lui accordèrent pas la moindre attention, happés par le début des festivités que Mavis avait envie de fuir plus que jamais.
no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.
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Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
"T’es venu pour moi, mais à la seconde où t’as eu l’occasion de prendre la tangente, tu t’en es pas privé." Et si c’est comme ça qu’elle le voit, il refuse de se battre davantage sur ce point. Qu’elle le voit donc de cette manière ; il n’a aucun désir de se battre pour se défendre sur un tel sujet. "T’es gentil Ambrose, mais t’es loin d’être un petit agneau non plus." - « Comme nous tous. » Gentils, mais loin d’être des agneaux. Lui, Mavis, Ruben. Personne n’est tout blanc, ils ne peuvent pas être qualifiés comme tels, même si Ruben le premier a bien du mal à comprendre qu’il n’est pas parfait. Ambrose l’a accepté avec le temps, il l’a compris aussi après voir fait du mal à autant de personnes proches de lui. Il est perfectible mais il n’a aucune envie de faire des efforts sur certains points et sur certains sujets. Si c’était à refaire, il prendrait simplement la décision de partir avec Ruben plutôt que de choisir de rester pour Mavis et se le voir reproché. "Et toi agis pas comme si j’avais tort de réagir comme je suis en train de le faire. J’étais prévenue, hm ? Comme lui m’a prévenu au sujet de Nina." Mais ce reproche en particulier, il en accuse le coup, et il fait à son tour un pas en arrière. « T’es pas mon amante, à moi. » Et il refuse qu’elle le compare à ce que fait Ruben face à la femme qu’il aime soit-disant, mais qu’il a malgré tout pris la peine de demander en mariage. Ambrose a dit à Mavis qu’il l’aimait bien et il ne reviendra pas sur ces mots ni sur cette idée, mais il ne la considère pourtant pas comme son amante et trouve injuste qu’elle lui demande de choisir entre elle et Ruben comme si l’histoire pouvait être aussi simple. « Ce que je t’ai dit, je l’ai fait par amitié pour toi, pas parce que je te le devais. » Ce qu’il lui a partagé au sujet de Ruben, il aurait tout simplement pu ne jamais le faire, voilà ce qu’il en dit. Avec le recul, il pense surtout qu’il aurait dû choisir ce plan et cette idée, moins énergivores.
"Et moi j’ai pas envie que tu sois là, c’est plus clair comme ça ?" « C’est clair. »
Il ne cherche pas à négocier sa présence, et il n’a aucune raison de rester si ce n’est plus pour Mavis. "T’as qu’une envie, c’est de le rejoindre, alors fais-le, et oublie-moi." Il serre les dents, refuse de lui répondre dans un premier temps, ne cherche pas davantage à se censurer dans un second. « Tu le pourrais aussi si t’avais moins d’ego. » Qu’elle ne lui tienne pas rigueur de ce point, parce qu’ils sont dans le même bateau et si elle ne mettait pas autant d’énergie à repousser le chirurgien, Ambrose pense sincèrement qu’elle aurait recueilli son intérêt bien plus que cela n’a été le cas pour lui. Il a pourtant accepté depuis longtemps l’idée que ramasser les miettes n’était pas une situation aussi terrible qu’on pourrait le penser et, de fait, ne cherche plus à se battre. Mavis veut une vraie relation, une meilleure relation, ou un quelconque autre adjectif mélioratif mais ce n’est plus ce à quoi il aspire et il se contentera de ce qu’on veut bien lui donner. La seconde partie de soirée lui convient maintenant que Mavis vient de le chasser manu militari et qu’il ne cherche pas à la supplier, la blonde déjà en chemin pour retrouver ses parents qui ne se doutent de rien.