ÂGE : trente ans (04.05.94). SURNOM : ash pour tous les autres, ashou pour sa petite soeur. STATUT : célibataire, ne lui parler plus jamais d'amour. MÉTIER : chanteur, guitariste & claviériste du groupe de rock Hollow Shout. il donne également des cours de guitare au conservatoire. LOGEMENT : il habite au #24 Sherwood Road, Toowong avec sa petite soeur pour le moment en attendant de rebondir. POSTS : 1971 POINTS : 1010
TW IN RP : crise d'angoisse, dépression, mention de perte d'appétit importante. TW IRL : politique, cruauté envers les animaux.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : déficit d’attention et possède quelques tocs comme le fait de bouger sa jambe de manière incontrôlée et de replacer sans arrêt des objets lorsqu’il est nerveux › doté d’un sourire solaire (se cache derrière celui-ci désormais telle une carapace face à sa douleur) › grand romantique, il ne cache pas son amour pour les films à l’eau de rose › s’adonne à la course depuis plusieurs mois pour s’aérer l’esprit › a le vertige › il possède plusieurs tatouages › il a gardé son accent anglais malgré ses 18 années sur le sol Australien › eclipse est comme son enfant (petit chat noir hyperactif)DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #666699 RPs EN COURS : because i need you like the flowers need the rain i need you like the sun when the clouds turn grey oh you're like the blood runnin through my veins(aubrey)
hey brother, if the sky comes falling down, for you there's nothing in this world I wouldn't do(akira)
Le temps semblait s’être arrêté. Dès qu’ils avaient franchi l’entrée de la fête foraine, l’anglais avait cette impression de vivre désormais dans une petite bulle. Il avait tout oublié de sa propre vie, de ses obligations, de ses craintes et de ses peurs. Il n’y avait que la présence de cet homme qui l’importait. Il n’y avait que ses paroles, sa main dans la sienne qui comptait. Il ne savait plus réfléchir, comme s’il avait été ensorcelé par le beau brun. Il aurait voulu rester ici pour l’éternité, à se perdre dans les iris dorés de l’australien. Le monde au-delà de l’entrée de la fête foraine ne l’intéressait plus. Il n’y avait que les possibilités de le revoir qui lui importait. ’’Je ne crois pas qu’il y ait un piano, ici. Peut-être une prochaine fois.’’ lui mentionna Izan et Ash ne put s’empêcher de lâcher un petit rire gêné. Il y allait de soi, mais désormais, ils avaient une raison de se revoir. C’était tout ce qui comptait pour lui, revoir le beau brun. L’écouter jouer d’un instrument qu’il affectionne tout particulièrement était l’occasion parfaite. Il s’imaginait déjà l’observer durant des heures, se laissant guider par les douces mélodies que ses doigts parfaits pouvaient interpréter. Il n’avait aucun doute qu’il soit un prodige.
La nacelle, qui pourtant vacillait au gré du vent, représentait désormais un petit cocon rassurant qu’il n’avait pas envie de quitter. Asher lui mentionna sincèrement qu’il était doué pour lui changer les idées et sa réplique le fit autant sourire que grimacer. Ashouille, ce surnom qui n’allait pas quitter les lèvres du beau brun dans les prochains mois, allait l’irriter au départ, mais il n’allait plus pouvoir s’en passer. Il aurait pu le surnommer n’importe comment qu’il l’aurait accepté immédiatement. En sa présence, il avait des vertiges (et ce n’était pas lié au fait qu’ils étaient très haut dans les airs). Plongeant toujours son regard dans le sien, son corps s’était irrémédiablement rapproché de celui du beau brun. Ses doigts s’étaient mis à effleurer tour à tour ses joues puis ses lèvres. Son cœur lui donne l’impression de vouloir sortir de sa poitrine. Le paysage autour d’eux s'efface encore plus, les laissant seul dans l’infini. Ash ne put s’empêcher d’exprimer à voix haute ses pensées et ses désirs. Leurs lèvres sont si proches désormais. Les frissons lui parcourent l’échine et il ne peut se retenir plus longtemps. ‘’L’altitude, peut-être…’’ avait prononcé le beau brun contre ses lèvres, ce qu’Ash perçut comme l’invitation qu’il lui manquait. Les quelques millimètres qui lui restaient à franchir disparurent et le semblant de distance entre eux fut réduit à néant. Au départ, ce fut un petit baiser tendre, un de ceux hésitant qui prend de plus en plus de confiance à mesure que les secondes défilent. Mais Ash a besoin de plus, toujours plus. Sa main droite est désormais dans les cheveux soyeux du beau brun et il le presse contre lui, ne voulant plus le laisser partir. Il ne peut plus respirer, mais prolonge le contact le plus longtemps qu’il le peut, le laissant sans souffle. « Oui, l’altitude peut visiblement nous faire faire des folies… » lui dit-il, d’un sourire amusé, contre ses lèvres tentant de reprendre pied dans la réalité, leur réalité désormais. Mais il ne voulait pas que leurs lèvres ne se quittent. Il ne veut pas rompre le contact. Il souhaite en découvrir plus d’Izan, comme un besoin primaire. La nacelle recommença cependant à bouger et ce fut le grincement de la machine qui le fit s’éloigner du beau brun, mais de quelques centimètres à peine. Il ne sait pas ce que tout cela signifie, alors qu’il le connaît toujours à peine. Mais il souhaite bien le découvrir. « Tu avais raison, c’est vraiment une vue splendide ici…» mais évidemment, il ne parlait pas de paysages, parce qu’il n’avait jamais pris conscience de la vue imprenable sur Brisbane, n’ayant d' yeux que pour son interlocuteur.
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1305 POINTS : 2170
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home RPs TERMINÉS :
first sight, we love without reason @Asher Thornhill - ♬ - crédit/maxbegone
fin août 2023
Quoique le surnom, hautement risible et saugrenu, qui vient de s’extirper de ses lèvres, a éclot sur la langue du pianiste avec la seule volonté de détourner l’attention du décor vertigineux, il provoque à la fois une grimace et un sourire au visage de son interlocuteur, en signant la défaite de son coeur. Il ne s’était jamais laissé corrompre par les sentiments amoureux avant aujourd’hui, parce qu’il s’est longtemps défié, le coeur du musicien, parce qu’il s’est dérobé à l’attachement qu’il pouvait tisser envers autrui, il s’est caché derrière le voile de l’indifférence, brandissant l’idée qu’il ne savait pas quoi faire de tous les sentiments qui pouvaient le traverser, parce qu’on ne lui a jamais vraiment appris, parce qu’il se sait trop nuisible pour les autres, parce que sa mère lui a suffisamment répété qu’il ne méritait rien pour le croire, et qu’il était plus rassurant de le garder pour soi, ce coeur qu’il pensait atrophié. Mais il n’est pas atrophié, son coeur. Il le sait à présent, et il le sait parce qu’il le sent se débattre avec une force inouïe dans sa poitrine, très précisément, au moment où le visage de Ash se mélange dans une drôle d’expression, et qu’il se murmure l’idée qu’il le trouve bien plus beau ainsi, à sourire et à rire, sans masque pour l’opprimer, sans gêne, sans retenue. Il aime les plissures aux coins de ses yeux quand ses joues se rehaussent sous son air mutin, il aime son petit nez qui se fronce sous l’amusement presque enfantin qu’il exprime, et il aime davantage sa bouche, piquée d’un grain de beauté, semblable à une petite planète isolée dont il aimerait embrasser les contours encore et encore. C’est une drôle d’idée, non ? Elle est pourtant là, l’idée, et ses yeux la suivent puisqu’ils contemplent sa bouche tracée avec gourmandise, et s’il tâche de dévier les yeux, il n’y arrive pas. L’idée s’est installée, elle s’est imposée autant dans son esprit que sur son coeur, et elle ne semble pas vouloir en être délogée : il se sait foutu, Izan, et s’il a toujours eu un don particulier pour s’attirer des problèmes, il ne peut s’empêcher de songer que, lui, c’est bien le plus beau.
Il s’est entendu parler, mais il ne sait plus vraiment ce qu’il a dit tant son esprit est étourdi par la présence de celui qui se tient à ses côtés, et dont les lèvres viennent capturer les siennes dans un élan audacieux, achevant d’annexer son coeur qui fond tout en poursuivant sa course intrépide dans sa cage. C’est une sensation bien curieuse, qu’il ressent, semblable à une nuée de picotements qui chutent de sa nuque tout en partant de son ventre, et ses pensées s’emmêlent dans un brouillon d’idées avant de se taire puisque, sa main libre venant se déposer contre la joue lisse de son compagnon, il répond à leur premier baiser avec une tendresse presque timide, au départ, comme s’il craignait de faire éclater la bulle construite autour d’eux, comme s’il avait peur de le voir disparaître. Leur baiser s’enhardit, animé par une passion aussi dévorante qu’évidente, passion née de cette attraction inévitable, la combustion de leurs regards qui se sont accrochés à l’un à l’autre sitôt qu’ils se sont croisés ; là, contre ses lèvres, suspendu à son souffle, bercé par l’odeur qui s’échappe de sa peau, le musicien sait déjà qu’il ne pourra plus se passer de lui. En ouvrant de nouveau les yeux pour le regarder, il entend tout juste le « Oui, l’altitude peut visiblement nous faire faire des folies… » qui le fait sourire à son tour, et il revient chercher ses lèvres pour les emporter dans un baiser certes bref mais tendre, après lequel il murmure ’’J’aime bien cette folie, moi.’’ elle est douce, euphorisante, suave… Il lui apparaît alors nettement qu’il ne ressent cette sensation que lorsqu’il est derrière un piano, et que jamais personne n’avoir réussi à reproduire cette émotion en son coeur, avant lui. « Tu avais raison, c’est vraiment une vue splendide ici… » puisqu’il balaye machinalement le décor autour d’eux, on peut aisément deviner qu’il ne comprend pas tout de suite le sens caché de cette phrase, et il lui faut soutenir le regard de son interlocuteur pendant quelques secondes pour réaliser que c’est sa propre personne qui est visée ’’Faut croire que j’ai eu une bonne idée en venant ici, avec toi.’’avec toi, surtout presque avec hésitation, il revient saisir sa main pour entrelacer leurs doigts et, en ayant besoin de rassembler ses esprits avant, il sort de la nacelle en l’entraînant avec lui, son coeur continuant de palpiter à toute vitesse, si bien que cela en devient presque douloureux. ’’Qu’est-ce que tu veux faire, maintenant ?’’ il a oublié les bonbons, oublié son rendez-vous manqué, oublié Lynda qui doit le maudire sur son répondeur, oublié l’endroit où ils se trouvent et même le fait qu’il ne sait rien de l’homme qu’il garde contre lui. Il le dévore des yeux sans pouvoir s’en empêcher, sans même vraiment réalisé que ses iris ne se détachent pas de son visage, mais en sentant que des courants électriques traversent le haut de son torse comme une rivière indocile. Il y a des éclairs, dans son coeur, mais il ne sait pas réellement pourquoi les tonnerres grondent, Izan, et n’a pas envie de savoir d’où provient la (le coup de) foudre.
Ash est là, pour l'instant. Et c'est tout ce qui compte.
c'est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, je suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j'm'en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, non, j'ai tout raté, je l'atteste.
Asher Thornhill
les accords vagabonds
ÂGE : trente ans (04.05.94). SURNOM : ash pour tous les autres, ashou pour sa petite soeur. STATUT : célibataire, ne lui parler plus jamais d'amour. MÉTIER : chanteur, guitariste & claviériste du groupe de rock Hollow Shout. il donne également des cours de guitare au conservatoire. LOGEMENT : il habite au #24 Sherwood Road, Toowong avec sa petite soeur pour le moment en attendant de rebondir. POSTS : 1971 POINTS : 1010
TW IN RP : crise d'angoisse, dépression, mention de perte d'appétit importante. TW IRL : politique, cruauté envers les animaux.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas. PETIT PLUS : déficit d’attention et possède quelques tocs comme le fait de bouger sa jambe de manière incontrôlée et de replacer sans arrêt des objets lorsqu’il est nerveux › doté d’un sourire solaire (se cache derrière celui-ci désormais telle une carapace face à sa douleur) › grand romantique, il ne cache pas son amour pour les films à l’eau de rose › s’adonne à la course depuis plusieurs mois pour s’aérer l’esprit › a le vertige › il possède plusieurs tatouages › il a gardé son accent anglais malgré ses 18 années sur le sol Australien › eclipse est comme son enfant (petit chat noir hyperactif)DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #666699 RPs EN COURS : because i need you like the flowers need the rain i need you like the sun when the clouds turn grey oh you're like the blood runnin through my veins(aubrey)
hey brother, if the sky comes falling down, for you there's nothing in this world I wouldn't do(akira)
L’anglais avait du mal à reprendre ses esprits, parce qu’il était encore sous l’emprise du baiser qu’il avait partagé avec le beau pianiste. Il ne pouvait pas dire qu’il avait embrassé beaucoup de personnes dans sa vie, parce que ce n’était pas son genre de butiner à gauche et à droite, mais aucun d’entre eux n’était arrivé à la cheville de ce que Izan lui avait fait vivre. Non seulement, il n’avait plus de souffle, mais son corps en redemandait encore et encore. Il fut agréablement surpris de sentir que le beau brun était réceptif à leur étreinte. Sa main contre sa joue l’avait presque fait défaillir. Il savait que si ça avait été le cas, Izan aurait été là pour le retenir. Sans que ça n’ait été prémédité, leur destin était désormais lié l’un à l’autre. Et Ash n’avait aucune envie de le laisser filer. ’’J’aime bien cette folie, moi.’’ lui avait dit le beau brun tout contre ses lèvres. Son odeur était si enivrante qu’Ash oublia presque de répondre. « Moi aussi…» souffla-t-il. Il eut ensuite un petit sourire tendre en entendant son interlocuteur lui mentionner avoir eu une bonne idée en venant ici avec lui. « Je n’étais pas certain que tu aies la possibilité d’avoir de bonnes idées….» commença par dire Ash, amusé, faisant référence au fait que ce dernier avait volontairement abandonné une femme sur le bord de la route « mais je dois avouer qu’en effet, tu as eu la meilleure des idées. Je ne regrette absolument pas de t’avoir suivi…» ajouta-t-il suivi d’un sourire gêné. Sa peau pâle démontrait facilement ses émotions, puisque celle-ci virait au rouge au gré de celles-ci.
Asher n’avait aucune idée de ce qui avait bien pu se passer. Il n’avait rien prémédité lorsqu’il avait accepté cette course de Uber. Il n’avait jamais pensé partir à l’aventure avec un inconnu. Lorsqu’il s’était levé ce matin-là, il se sentait seul, même s’il ne le montrait à personne. Izan avait été le soleil de sa journée et il souhaitait qu’il le reste pour longtemps. Le visage de l’anglais s’éclairait dès que son regard croisait le sien et ce, malgré le peu de temps passé avec lui. ’’Qu’est-ce que tu veux faire, maintenant ?’’ avait demandé l’australien. Ash n’en avait aucune idée, mais il ne voulait pas le quitter, pas tout de suite. « N’importe quoi, tant que c’est avec toi….» lui souffla-t-il. La réponse était floue, tout comme leur avenir ensemble, mais l’anglais allait profiter de toutes les secondes possibles pour partager le même air qu’Izan parce que désormais il était sa raison de vivre.
Son cœur lui était ouvert et il allait laisser les sentiments l’envahir. Ash était complètement sous son charme.