ÂGE : vingt-neuf ans (avril 1995) SURNOM : depuis toujours, on t'appelle "mo". plus court, plus facile à retenir que Mokare. STATUT : célibataire, tu n'arrives pas à t'engager longtemps. tu ne vis que des aventures, par-ci par-là. MÉTIER : désormais en formation en tant que garagiste au garage d'Ezra, nouveau guitariste du groupe Hollow Shout auprès d'Asher, Raileigh et Blaize, et tu donnes des cours de danse à Maeve, un peu gratuitement quand même LOGEMENT : tu as squatté chez Lewis tout le mois de Juillet, tu as trouvé une nouvelle colocation avec Charlie, à logan city POSTS : 176 POINTS : 320
TW IN RP : abandon de sa sœur jumelle à la naissance ORIENTATION : J'aime tout le monde. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : MOKARINA #2 › you missed to my life and i found you back (#1)
MOMEÏ #1 › #2 ~ you can't see, but i can see the true you
dog days are over près d’opalton – fin juin 2024 crédit gifs(emziess) @catarina welch
Tu fermes ton journal intime dans un mouvement un peu brusque. La tristesse et la colère t’animent toujours, malgré les semaines qui ont passé depuis l’enterrement de ta mère. L’incompréhension continue de se mêler aux deux autres émotions houleuses qui envahissent ton esprit dès que tu te réveilles le matin. C’est difficile, pour toi, d’accepter la mort de ta figure maternelle. Ce qui est le plus difficile à ignorer, c’est que ta mère se savait malade et qu’elle a jugé bon de ne pas t’avertir. Elle n’a pas voulu t’inquiéter, elle n’a pas voulu être la cause de ton retour ici, alors que ton rêve depuis tout petit a toujours été de voyager à travers l’Australie. Décision égoïste, c’est la première chose que tu t’es dite. Tu lui en veux terriblement d’avoir été si individualiste dans ce choix, de ne pas t’avoir demandé ton avis sur la question. Aujourd’hui, tu es là, dans ce village qui t’a vu grandir, depuis maintenant trois mois. Par sa faute, justement. Tu l’as pourtant, ce sentiment d’être de retour au bercail. Sauf que ta mère est morte, et tu n’as eu l’occasion de profiter de derniers instants à ses côtés. C’est culpabilisant de lui en vouloir, alors qu’elle n’est plus là physiquement. Tu aurais tellement aimé pouvoir lui dire au revoir. Entendre sa voix, la voir écrire dans son journal… tout ça, une dernière fois.
Toutes ces émotions, tu essaies de les libérer dans ton propre journal. Tu arriveras à dépasser cette vive douleur causée par la perte d’un être cher. Il va juste te falloir du temps. Tu prévois d’ailleurs de repartir prochainement, car le village te fait beaucoup trop penser à ton enfance… et donc, inévitablement à ta mère. Il te faut encore annoncer la nouvelle à ton père, cela risque d’être compliqué. Il va se retrouver complètement seul. Mais tu ne t’imagines pas une seule seconde rester toute ta vie ici, même pour combler la solitude de ton dernier proche. Ce n’est pas ce qu’elle, elle aurait voulu. Tu en es persuadé. Tout à coup, une voix te tire de ta rêverie. Alors que tu songes à ta prochaine destination, un membre du village se précipite vers toi, au moment où tu t’apprêtais à rentrer dans ta tente : « Mo… il faut que tu viennes voir tout de suite. » Tu l’interroges du regard, les sourcils froncés. Tu ne comprends pas sa précipitation, tu ne comprends pas sa surprise. Tu imagines tout de suite le pire. « Il s’est passé quelque chose ? C’est mon père ? » Il ne manquerait plus qu’il n’arrive quelque chose à ton père. L’idée t’inquiète aussitôt, tu amorces un geste incertain et tu fais tomber ton journal au sol. Tu le vois hocher négativement de la tête, et ton cœur rate un battement de soulagement. Cette peur de perdre un être cher est si vive désormais en toi. « Il y a cette fille… elle ressemble à ta mère. » Ton cœur s’emballe désormais. Est-ce qu’un membre de ta famille vient d’apprendre le décès de ta mère ? Une tante ? Une cousine ? Tu n’as jamais eu connaissance de tes proches. Il a prononcé le mot ‘fille’, et non ‘femme’. Elle est jeune ? Bien que tu sois né en Australie, ce n’est pas le cas du reste de ta famille. Tu te baisses pour récupérer ton journal, et tu le suis sans répondre quoique ce soit. De toute manière, tu ne sais pas quoi dire, tu es aussi surpris que lui. Sur les quelques mètres qui vous séparent du campement principal, tu t’imagines tout un tas de choses. Mais lorsque ton regard tombe sur le visage de la brune, c’est tout ton monde qui s’écroule. Tu la fixes, intensément. Tu n’as pas à vocation d’être impoli en maintenant son regard, mais tu ne peux faire autrement. Le choc se lit probablement sur ton visage, et ton corps tout entier est figé, incapable de bouger d’un milimètre. A ce moment-là, tu sais. Tes doigts s’accrochent à ton médaillon et tu comprends tout.
ஃ Days, gone by, Come back as the morning light. A colourless demise rises and the only shelter I used to know, is gone lost out of sight. ஃ
Spoiler:
Catarina Welch
ÂGE : 29 ans, Avril 1995 SURNOM : Carina, Rina STATUT : Célibataire depuis 2022. Relation toxique qu'elle a préféré occulter. MÉTIER : Propriétaire d'un salon de thé "L'Atelier du Thé" qui propose une partie lecture qui se trouve à Spring Hill LOGEMENT : West-End, dans un loft qui se situe au 319 Montague Road. POSTS : 420 POINTS : 40
TW IN RP : Violence verbale et physique GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle devait être kinésithérapeute équin, mais a tout quitté après avoir été violenté par son ex petit ami • Elle fait du cheval au Wattle Creek Equestrian Center qui se situe a 30 min au Nord-Ouest de Brisbane • Elle a ouvert un compte pro sur instagram pour le salon de thé et un compte perso plus récemment • Veux prendre des cours de photographie CODE COULEUR : #802F1F RPs EN COURS :
Welch gang ≈ #1
(abandon) Rhy ≈ Allen ≈ Juliet ≈ Jordan ≈ Noor ≈ #Catastonconvo • Cataston2AVATAR : Fivel Stewart CRÉDITS : showmeyouricons & Morfydd’s Clerk - Firefly(Cataston) DC : Joaquin et Ella PSEUDO : Elinor INSCRIT LE : 16/01/2024
@Mokare Unaipon ENTRE OPALTON ET LONGREACH- 29 JUIN 2024 - 14H00
Elle a décidé de réitérer l’expérience, Catarina. Elle a décidé de se refaire un petit week-end sac-à-dos dans un village aborigène. Cette fois, elle a décidé de se rapprocher un peu plus de Longreach, un peu plus de ses origines. La brune sait qu’elle est née quelque part entre Opalton et Longreach. Elle sait qu’elle doit aller là-bas si elle veut en savoir plus. Alors, la brune a pris un billet d’avion pour se rendre au ranch Welch et voir ses parents dans un premier temps. Elle leur doit la vérité, elle doit leur dire qu’elle cherche à connaître ses racines. Après tout ce qu’ils ont traversé ces derniers temps. La mort de la grand-mère Welch et la vérité sur ses préférences qui a éclaté a fini de convaincre la brune. Alors, elle se montre honnête, comme elle l’a toujours été. Si elle voit un brin de tristesse dans les yeux de sa mère, elle comprend aisément que celle-ci la soutient dans sa démarche et son père en fait autant. Le vendredi soir, Rina dort dans son ancienne chambre. Le samedi matin, elle prend un petit déjeuner et emprunte la jeep de son père. Elle remonte la route qui relie les deux villes et s’arrête dans chaque ville qu’elle croise. En milieu d’après-midi, elle arrête la jeep près de ce qui ressemble à un campement. Ça lui fait penser au village qu’elle a visité en début d’année et elle décide de s’y arrêter. La brune s’aventure, à pied, dans l’enceinte du village. Les gens la dévisagent et rapidement elle fait l’objet de messes basses. Catarina ne s’offusque pas le moins du monde. Elle est une étrangère ici. Elle espère, pourtant, qu’elle croisera quelqu’un qui voudra bien lui parler. La brune s’arrête au milieu d’une rue tandis qu’une jeune femme la pointe du doigt. Elle fronce un peu les sourcils et commence sincèrement à se dire qu’elle a fait une erreur. Rina toujours sur elle-même, essayant de capter un regard. Lorsqu’elle finit par en accrocher un, son coeur manque un battement.
La brune fronce les sourcils tandis qu’elle observe un visage familier. C’est, presque, comme si elle se regardait dans un miroir. Sa respiration est légèrement saccadée et ses pieds commencent à avancer doucement dans sa direction. La brune se rapproche inévitablement de son reflet, pourtant il n’y a pas de miroir devant elle. Plus elle s’approche, plus elle voit les différences qui existent entre elle et celui qu’elle observe. C’est un homme, elle est une femme, son visage est un peu plus long, mais leurs pommettes, leurs yeux, leurs nez, tout est similaire et c’en est plus que perturbant.
- Qui… » Commence-t-elle tandis qu’elle a considérablement réduit la distance qui les séparait. Il tient quelque chose dans la main qu’il a porté à son cou. La main de Catarina vient trouver le chemin jusqu’au visage du brun, touchant, de ses doigts, la joue de l’inconnu, comme si elle avait besoin de s’assurer qu’il était réel. « Qui êtes-vous ? » Dit-elle, déglutissant difficilement, les yeux brillants. Une idée se fraye un chemin jusqu’à son cerveau, mais elle est incapable de l’accepter pleinement.
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Carina ☼ lorem ipsum
Mokare Unaipon
le gré du vent
ÂGE : vingt-neuf ans (avril 1995) SURNOM : depuis toujours, on t'appelle "mo". plus court, plus facile à retenir que Mokare. STATUT : célibataire, tu n'arrives pas à t'engager longtemps. tu ne vis que des aventures, par-ci par-là. MÉTIER : désormais en formation en tant que garagiste au garage d'Ezra, nouveau guitariste du groupe Hollow Shout auprès d'Asher, Raileigh et Blaize, et tu donnes des cours de danse à Maeve, un peu gratuitement quand même LOGEMENT : tu as squatté chez Lewis tout le mois de Juillet, tu as trouvé une nouvelle colocation avec Charlie, à logan city POSTS : 176 POINTS : 320
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Votre ressemblance est flagrante, c’est indéniable. Toi-même tu sais que tu es lié à cette jeune femme, alors que tu ne la connais ni d’Eve ni d’Adam. Pourtant, tu sens ton cœur s’emballer. Il s’emballe, parce qu’il ressent ce vide éternel se remplir petit à petit. Il se gonfle et atténue ce manque qui t’as toujours tenu à la gorge. Cela fait vingt-neuf années que tu sens qu’une pièce est manquante dans ta vie, mais tu n’as jamais su mettre des mots sur sa nature. Cela fait vingt-neuf ans que tu as le sentiment d’être en symbiose dans le vide, comme si quelqu’un faisait la même chose que toi au même moment, mais sans savoir qui est ce quelqu’un. Quand tu regardes l’étrangère, tu comprends tout de suite qu’il s’agissait d’elle. Tu la vois se rapprocher de toi, tes jambes continuent de ne pas répondre. Tu la laisses faire, tes lèvres restent muettes. « Qui… » La brune est plus proche que jamais. Seuls quelques centimètres séparent vos deux corps, et l’évidence tombe encore une fois. Ses traits sont si semblables aux tiens. Tu as l’impression de te voir dans un miroir, à l’exception qu’elle est une femme et toi un homme. Mais elle est toi, et tu es elle. Tes doigts serrent si fort ton médaillon, tu as l’impression que la chaîne va céder sous ta force. Tandis que la pulpe de ses doigts à elle s’approche de ton visage, tu sens ta peau s’électriser à son contact. Il te réveille, et t’invite à t’écarter de surprise, tout en douceur malgré tout. « Qui êtes-vous ? » Les sentiments te submergent. Tu dois déjà encaisser la perte de ta mère. A cela s’ajoute cette rencontre inattendue, c’est très intense pour ton cœur déjà meurtri. Es-tu capable d’entendre ce qui va suivre ? Es-tu capable d’entendre que ta mère t’a probablement menti toute ta vie, et qu’elle ne pourra pas rétablir elle-même la vérité ? « Mokare… » Souffles-tu. Ton prénom ne donne aucune véritable indication quant à ton identité. Mais tu comptes dire quoi d’autre ? L’évidence est certes là mais tu repousses l’inévitable. Tu laisses davantage de temps s’écouler pour pouvoir digérer la nouvelle. « Vous ressemblez énormément à ma mère… c’est très perturbant. » Elle te ressemble aussi tellement, dis-le. Tu tiens toujours ton médaillon, tu essaies de t’accrocher tant bien que mal à la réalité qui était encore la tienne il y a de ça cinq minutes. Pourtant tu sais qu’il contient lui aussi un mensonge de plus à ta vie, mais tu ne veux pas le lâcher. Tu n’es pas encore prêt à te laisser envahir par l’inconnu… Car aujourd’hui marque le début de ta nouvelle vie. « J’ai l’impression de vous connaître… » Quel euphémisme. Ressent-elle la même chose que toi ? A-t-elle aussi compris que tu manquais également à sa propre vie, toi aussi ? Tu ne t’imagines pas un seul instant lui sauter dans les bras et accepter trop facilement qu’on t’ait arraché d’elle si longtemps, mais tu n’as pas envie qu’elle s’éloigne de toi. Plus jamais. Alors, dans un geste désespéré, tu relâches ton médaillon et tes doigts s’accrochent cette fois-ci à son poignet. Ce nouveau contact te bouleverse, faisant naître de l’eau dans tes yeux.
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Catarina Welch
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@Mokare Unaipon ENTRE OPALTON ET LONGREACH- 29 JUIN 2024 - 14H00
Cette idée folle qui se fraye un chemin et qui s’installe, elle la rejette violemment. Pourquoi n’arrive-t-elle pas seulement à accepter l’évidence ? Elle qui a toujours ressenti un vide en elle et ce depuis toujours ? Malgré la présence d’Angelo qui l’a, en partie, comblée ? C’est sûrement trop dur pour elle d’imaginer qu’on a pu la séparer ainsi d’un être dont elle a tant partagé depuis sa confection jusqu’à sa naissance… L’idée même qu’on ait pu lui arrâcher une partie d’elle la révulse et pourtant… Elle doit se rendre à l’évidence. Il y a trop de ressemblances, trop de similitudes entre les deux pour que ce ne soit qu’une simple coïncidence. Une sorte de lourd silence s’est installé dans tout le village, comme si la vie s’était arrêtée lorsque ces deux-là s’étaient retrouvés. Elle avance, Catarina. Elle avance jusqu’à ce qu’il n’y ait que quelques mètres qui les séparent, jusqu’à ce qu’elle puisse lever son bras et venir toucher du bout des doigts la joue de ce garçon qui se tient là, face à elle. Il est réel. Aussi vrai que la terre qu’elle a sous ses pieds, que le vent qui s’engouffre dans ses cheveux, que les rayons du soleil qui caressent son visage. Il est réel. Difficilement, elle réussit à ouvrir la bouche et à prononcer des mots, demandant à l'inconnue qui il est…
- Mokare… » Qu’il lui répond dans un souffle. Mokare qu’elle se répète dans sa tête, inlassablement. Mokare. Mokare. « Vous ressemblez énormément à ma mère… c’est très perturbant. » Catarina cligne des yeux, ne comprenant pas la remarque qu’il lui fait. C’est tout ? Elle ne ressemble qu’à sa mère ? Pourtant ce n’est pas ce qui la frappe en premier, elle. Et puis l’information monte jusqu’à son cerveau déjà au ralenti depuis qu’elle a posé ses yeux sur le garçon. Catarina ressemble à la mère de Mokare. Catarina ressemble a Mokare. La mère de Mokare ne peut donc être que sa… Même son cerveau marque une pause, le regard de Catarina descendant sur ses propres pieds, vérifiant qu’ils sont bien ancrés… La mère du garçon est aussi la sienne… « J’ai l’impression de vous connaître… » Qu’il lui dit et alors qu’elle a l’impression que ses pieds ne vont plus la soutenir, qu’elle relève les yeux vers l'inconnu, que sa respiration se fait de plus en plus rapide et saccadée, le contact de la main du garçon qui se referme sur son poignet la ramène à la réalité dans une sorte d’électrochoc. Ses yeux se portent sur la main du brun et elle ne cherche même pas à se défaire de l’emprise de celui-ci. Une première larme vient perler sur sa joue.
- Comment… » Demande-t-elle. « Pourquoi… » Parce qu’elle ne comprend pas. Elle a beau avoir l’évidence sous ses yeux, elle ne comprend ni comment, ni pourquoi elle vient seulement de découvrir qu’elle a toujours eu cette partie qui lui manquait tant à seulement quelques kilomètres de chez elle… C’est étrange comme elle ressent le besoin de le prendre dans ses bras et elle ne résiste pas longtemps. Venant placer ses bras autour de lui, le serrant contre elle, aussi fort qu’elle le peut, comme pour essayer de combler ce vide qu’elle a ressenti pendant si longtemps. Et là, l’espace d’un instant, le temps de cette étreinte, Catarina se sent complète.
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Tu as le sentiment que le monde s’est mis sur arrêt. L’environnement qui t’entoure ne t’intéresse plus, il n’y a que ses deux billes noires semblables aux tiennes qui t’emportent dans une autre dimension. Le contact de tes doigts contre la peau de la jeune femme devant toi t’électrise à nouveau. Ton corps réclame plus car il sait que la chaleur de l’inconnue à manquer toute ta vie, depuis vingt-neuf ans. Tes yeux se remplissent de larmes, mais tu essaies de maîtriser ton émotion. Tu sais qui elle est, elle n’a pas besoin de te le dire. Elle sait aussi désormais qui tu es. Il n’y a aucun doute à avoir. Cette jeune femme lui ressemble tellement, et elle s’avère être tellement le portrait de ta mère qu’il serait stupide de nier l’évidence. Tu veux l’accueillir à bras ouverts, mais c’est difficile pour toi d’accepter qu’on ait pu te mentir si longtemps. Tu vois la brune pleurer, tu te mords l’intérieur de la joue pour ne pas l’imiter. « Comment… Pourquoi… » L’émotion, l’incompréhension, la joie, la souffrance de réaliser que vous avez été séparés tant d’années ; tout cela est en train de vous submerger tous les deux. Une tornade de sentiments s’abat sur vous. Et elle n’a pas fini de te faire tourner la tête, car la jeune femme cède finalement la première à une étreinte de retrouvailles. Lorsqu’elle passe ses bras autour de ta taille et qu’elle te serre, tes yeux ne peuvent plus retenir tes larmes. Dans un sanglot étouffé, tu réponds à son étreinte… soulagé, peiné, heureux, ému. Tu poses ton menton contre le haut de son crâne, et tu respires pleinement son odeur. A chaque inspiration, tu sens ton cœur battre furieusement. C’est comme si, après des années à suffoquer, tes poumons se mettaient désormais à fonctionner le plus naturellement possible. Tes mains s’accrochent si fort à son tee-shirt, tu n’es pas prêt à reculer et à mettre fin à ce câlin. Les villageois doivent vous regarder d’un œil étrange, il connaisse tous ton identité ici, pas la sienne. Mais pour toi, cette étreinte est devenue vitale à ta survie. Tu n’as pas envie de la quitter, car tu as l’impression qu’elle va t’échapper de nouveau si tu la laisses s’éloigner de toi. « J’ai toujours senti qu’il me manquait quelque chose… » Souffles-tu, en reniflant discrètement. Ce quelque chose s’avère être quelqu’un. Ta sœur. Ta sœur jumelle. Ce lien qui t’unis à elle, il te transcende. Ce lien entre jumeaux, souvent inexplicable aux yeux des autres. Tu sais qu’elle est plus qu’une simple sœur. Elle est cet autre fœtus qui a partagé ta cohabitation dans le corps de votre mère, pendant près de neuf mois. Maintenant que tu l’as retrouvé, tu as des dizaines et des dizaines de questions qui s’entrechoquent dans ta tête. Tu veux la connaître toute entière, même si la peur de se retrouver face à une personne totalement différente de toi à cause de votre séparation s’empare de toi. Vingt-neuf ans sans intéragir ensemble, sans se voir évoluer, sans partager des moments de complicité, ça allait forcément avoir un impact sur votre relation. Mais la première chose que tu veux savoir, c’est : « Tu peux me dire ton prénom ? » Tu veux désormais penser à ta sœur avec son prénom, que tu arrêtes de songer à elle comme « l’étrangère ».
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Catarina Welch
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@Mokare Unaipon ENTRE OPALTON ET LONGREACH- 29 JUIN 2024 - 14H00
Elle est donc bien là, l’explication à cette impression de vide que Catarina a ressenti toute sa vie. Ce lien qui lui a été arraché à la naissance sans qu’elle ne sache qu’il existait. Pourtant, elle l’a toujours senti et c’est sûrement pour ça qu’elle s’est autant attaché à Angelo, son frère d’adoption, à partir du jour où elle a mis les pieds chez les Welch. Il avait son âge et c’était tellement plus facile de le suivre partout. On a trouvé ça adorable qu’ils s’entendent si bien, si rapidement, que Catarina trouve sa place aussi facilement au sein de la famille. Il était son jumeau de substitution, son ancre, sans douter un seul instant qu’il existait, non loin du Ranch, cet être qui grandissait loin d’elle. C’est l’évidence même lorsque leurs regards se croisent, lorsqu’ils se voient, finalement, pour la première fois. Parce qu’ils ont beau avoir partagé un utérus pendant des mois, avoir senti la présence de l’autre, ils ne se sont jamais vus.
Elle est la première à céder Catarina, tandis qu’elle passe ses bras autour de sa taille pour venir se blottir contre lui. Il cède peu de temps après, lui rendant son étreinte et elle se sent bien. Si bien. Catarina s’imprègne de l’essence de son frère, se laissant totalement envelopper par son aura, tandis que les énergies s’équilibrent enfin.
- J’ai toujours senti qu’il me manquait quelque chose… » Souffles-t-il, comme un écho aux pensées de la brune. Sans se quitter, il ajoute : « Tu peux me dire ton prénom ? » Un rire s’échappe des lèvres de Catarina. Elle renifle légèrement et s’écarte, à contre-coeur, du garçon. La brune vient porter ses mains à ses joues pour essuyer les larmes qui y ont coulées.
- Je m’appelle Catarina… » Qu’elle lui répond alors. « C’est celui qu’ils m’ont donné à l’orphelinat… » Oui, parce que, visiblement la mère de la jeune femme n’avait même pas daigné lui donner un prénom avant de l’abandonner. Et puis la brune ferme les yeux, ne comprenant pas quelque chose. Une information lui échappe. « Elle est là ? » Qu’elle lui demande, les sourcils froncés, la douleur se matérialisant sur son visage. Il l’a connaît ? Il a grandi avec elle ? La gorge de la brune se serre à nouveau. Pourquoi l’ont-ils abandonné elle et pas eux deux ? « Tu as grandi avec eux ? » Les émotions passent sur le visage de la brune, entre l’incompréhension, la peine et la douleur. Pourquoi ? Se répète-t-elle en permanence. Qu’est-ce qui les a poussés à se séparer d’elle ? Pourquoi lui avoir infligé cela ? Elle n’a pas mal vécut Catarina, elle a même été plutôt comblée tout au long de sa vie parmi les Welch, elle est d’ailleurs très fière de porter leurs noms, mais qui est assez cruel pour séparer des jumeaux et en abandonner un ?
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Tu as désormais envie de connaître son prénom, pour l’appeler autrement que ‘l’inconnue’ dans ton esprit. Tu n’envisages pas que tu puisses aussi l’appeler de vive-voix, car tu ne sais pas ce que l’avenir vous réserve. Est-ce que cette rencontre marque le début de retrouvailles véritables et durables ? Ou allez-vous vous rendre compte que vous êtes désormais bien trop différents aujourd’hui pour vous apprécier ? Seras-tu prêt à lui laisser une place dans ta vie, même si tu sens qu’elle vient comblée ce manque qui te fait suffoquer depuis toutes ces dernières années ? Le choix vous reviendra à tous les deux, tu n’es pas encore certain du tien. Les émotions te submergent tellement, que finalement tu t’obliges à ne penser qu’à l’instant présent, dès maintenant. « Je m’appelle Catarina… » Catarina, Catarina. Tu imprimes le prénom de ta sœur jumelle, le marquant au fer rouge dans ta mémoire. C’était donc elle, Catarina, qui t’as manqué jusqu’à aujourd’hui. « C’est celui qu’ils m’ont donné à l’orphelinat… » Tes lèvres s’entrouvrent de surprise à l’évocation de l’orphelinat. Alors tes parents l’ont abandonné lâchement dans un endroit aussi triste, sans même te donner un prénom ? Comment avaient-ils pu faire une chose pareille ? Tu n’arrives toujours pas à le croire… « Ils t’ont laissé à l’orphelinat… ? » Tu as tellement envie de t’excuser, pourtant tu n’y es pour rien dans cette décision pleine d’égoïsme et d’horreur. Ce n’est pas toi qui à demander à ce que tes parents te gardent toi, au détriment de ta sœur jumelle. Mais tu commences déjà à imaginer, toutes les horreurs qui peuvent marquer en grandissant dans un tel endroit. En général, tu as conscience que les enfants qui se retrouvent là-bas ne baignent pas forcément dans le bonheur et l’amour… « Elle est là ? » Ton corps se fige, ton cœur rate un battement. Tu sais que Catarina parle d’elle, de votre mère à tous les deux. Inconsciemment, tu serres de nouveau le médaillon qu’elle t’a offert à l’âge de tes six ans et tu restes muet… tu ne sais pas quoi dire. Comment peux-tu annoncer la mort de sa mère, alors que vous venez tout juste de vous retrouver ? « Tu as grandi avec eux ? » Tu es soulagé qu’elle te pose une nouvelle question, ce qui te permet d’esquiver la première. Mais tu sais que tu ne gagnes que quelques minutes, avant que Catarina ne comprenne véritablement que votre mère n’est plus de ce monde depuis plusieurs semaines maintenant. « Oui, je… j’ai grandi avec eux, oui. » Tu bredouilles, tu es gêné de l’avouer alors que tu n’avais pas conscience de cette chance d’avoir pu grandir auprès de tes parents biologiques durant toutes ces années. « C’est ici qu’on est né… » Précises-tu, car tu t’imagines bien que des milliers de questions elle en a, alors si tu peux lui donner les informations dont elle a besoin pour réaliser davantage ce qui est en train de vous arriver. « … le 14 avril 1995, enfants de Hinata et Warab Unaipon. » Même si tu ne souhaites pas aborder de nouveau le sujet de votre génitrice, tu tiens à lui faire connaître son prénom. C’est sûrement très important pour elle, et tu le respectes. « Je suis prêt à répondre à toutes tes questions… et j’en ai des milliers qui me traversent la tête aussi… » Dis-tu, alors que les doigts de ta main libre se loge dans ses cheveux dans un geste tendre et affectueux. Tu as besoin de contact, tu as besoin de sentir Catarina près de toi pour réaliser que tu l’as enfin retrouvé, ce morceau manquant à ta vie. « …est-ce que tu préfères qu’on s’installe quelque part d’autre ? » Tu songes à la tente qui se trouve tout près de celle de ton père, mais au fond tu te demandes si c’est une bonne idée de les faire se rencontrer maintenant… Même si ce dernier est retourné travailler malgré la mort récente de ta mère et que rien ne garantit que Catarina le croise, tu lui laisseras néanmoins le choix de décider de ce qu’elle souhaite elle. « On m’a installé dans une tente près de la leur, c’est très simple à l’intérieur car je ne vis plus ici depuis longtemps… mais on y serait tranquille. » Le choix lui est donné, tu attends sa réponse avec impatience et appréhension, car tu veux la connaître tout entière, Catarina.
ஃ Days, gone by, Come back as the morning light. A colourless demise rises and the only shelter I used to know, is gone lost out of sight. ஃ
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Catarina Welch
ÂGE : 29 ans, Avril 1995 SURNOM : Carina, Rina STATUT : Célibataire depuis 2022. Relation toxique qu'elle a préféré occulter. MÉTIER : Propriétaire d'un salon de thé "L'Atelier du Thé" qui propose une partie lecture qui se trouve à Spring Hill LOGEMENT : West-End, dans un loft qui se situe au 319 Montague Road. POSTS : 420 POINTS : 40
TW IN RP : Violence verbale et physique GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle devait être kinésithérapeute équin, mais a tout quitté après avoir été violenté par son ex petit ami • Elle fait du cheval au Wattle Creek Equestrian Center qui se situe a 30 min au Nord-Ouest de Brisbane • Elle a ouvert un compte pro sur instagram pour le salon de thé et un compte perso plus récemment • Veux prendre des cours de photographie CODE COULEUR : #802F1F RPs EN COURS :
Welch gang ≈ #1
(abandon) Rhy ≈ Allen ≈ Juliet ≈ Jordan ≈ Noor ≈ #Catastonconvo • Cataston2AVATAR : Fivel Stewart CRÉDITS : showmeyouricons & Morfydd’s Clerk - Firefly(Cataston) DC : Joaquin et Ella PSEUDO : Elinor INSCRIT LE : 16/01/2024
@Mokare Unaipon ENTRE OPALTON ET LONGREACH- 29 JUIN 2024 - 14H00
C’est l’instinct de la brune qui parle, qui prend le dessus tandis qu’elle vient se blottir dans les bras de ce brun qu’elle ne connaît pas. Pourtant, elle a l’impression d’y être à sa place. Elle a l’impression d’être enfin complète et c’est si étrange alors qu’elle a toujours pensé qu’elle l’était déjà grâce à tout l’amour qu’elle avait reçu et grâce au lien qu’elle avait tissé avec Angelo… C’est si différent comme sensation. Il vient lui demander son prénom et la brune s’écarte à contre-coeur. Elle lui donne son prénom et lui explique que c’est celui qu’elle a eu à l’orphelinat.
- Ils t’ont laissé à l’orphelinat… ? » Il semble perturbé par la nouvelle et Rina enchaîne.
- J’y ai passé quatre ans. » Elle ne sait pas si ça va le rassurer, mais sa voix se veut rassurante en tout cas. Pourtant, elle oublie bien vite tout ça parce qu’elle pense immédiatement à sa mère et demande à Mo si elle est là avant de demander si il a grandi avec eux.
- Oui, je… j’ai grandi avec eux, oui. » Bredouilles-t-il. Elle met sa gêne sur le fait qu’ils ne se connaissent pas encore, qu’ils soient dans une situation un brin complexe. « C’est ici qu’on est né… » Catarina regarde autour d’elle. Ce village aborigène l’a vu naître, donc… « … le 14 avril 1995, enfants de Hinata et Warab Unaipon. » C’est soudain et ça arrache de nouvelles larmes à la brune. Le 14 Avril. Elle n’a jamais connu la date exacte et c’est bête comme ça lui fait du bien de la connaître. Elle sent son coeur qui bat à tout rompre dans sa cage thoracique lorsqu’elle connaît enfin les prénoms et le nom de ses parents biologique. Elle n'imaginait pas un seul instant ressentir toutes ces émotions, pour dire, elle n’imaginait pas pouvoir jouir de ces informations un jour… « Je suis prêt à répondre à toutes tes questions… et j’en ai des milliers qui me traversent la tête aussi… » Dis-t-il en venant poser sa main dans les cheveux de la brune. « …est-ce que tu préfères qu’on s’installe quelque part d’autre ? » La brune attrape la main de son frère et regarde autour d’elle. Ce serait sympa d’avoir un peu plus d’intimité pour discuter de tout ça c’est certain. « On m’a installé dans une tente près de la leur, c’est très simple à l’intérieur car je ne vis plus ici depuis longtemps… mais on y serait tranquille. »
- Allons-y… » Qu’elle lui répond simplement. Elle le suit alors, déambulant dans le village, sa main toujours dans la sienne. Effectivement, c’est sommaire, mais elle s’en contentera. Rina se contente de peu et n’est pas du genre a exiger le confort d’un hôtel de luxe chaque fois qu’elle va quelque part, loin de là. Elle s'assoit où elle peut et ce silence, imposé par la marche, est difficile à briser. « J’ai été recueilli par une famille à l’âge de quatre ans. Ils habitent Longreach et possèdent un ranch… » Commence-t-elle alors. « Ils ont toujours été aimants avec moi, je n’ai manqué de rien… » Elle espère que ça le rassurera un minimum. « J’arrive pas à croire qu’on ait grandi à si peu de distances, finalement… » Son regard se pose sur les objets qui se trouvent dans la tente, c’est sommaire et elle se demande si c’est parce que ce sont les seules choses qu’il possède ou si c’est parce que, comme il l’a dit, il n’a pas vécu ici depuis longtemps.
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TITRE
Carina ☼ lorem ipsum
Mokare Unaipon
le gré du vent
ÂGE : vingt-neuf ans (avril 1995) SURNOM : depuis toujours, on t'appelle "mo". plus court, plus facile à retenir que Mokare. STATUT : célibataire, tu n'arrives pas à t'engager longtemps. tu ne vis que des aventures, par-ci par-là. MÉTIER : désormais en formation en tant que garagiste au garage d'Ezra, nouveau guitariste du groupe Hollow Shout auprès d'Asher, Raileigh et Blaize, et tu donnes des cours de danse à Maeve, un peu gratuitement quand même LOGEMENT : tu as squatté chez Lewis tout le mois de Juillet, tu as trouvé une nouvelle colocation avec Charlie, à logan city POSTS : 176 POINTS : 320
TW IN RP : abandon de sa sœur jumelle à la naissance ORIENTATION : J'aime tout le monde. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : MOKARINA #2 › you missed to my life and i found you back (#1)
MOMEÏ #1 › #2 ~ you can't see, but i can see the true you
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Tu essaies de t'imaginer la vie dans un orphelinat et il n'y a que des images tristes qui te viennent en tête. Tu imagines ce lieu froid, vide d'amour, de tendresse, de rire. Savoir que Catarina a vécu dans un tel endroit te rend si désolé, car tu as eu la chance de vivre aux côtés de tes parents. Ils étaient certes très pauvres, vous ne pouviez pas toujours manger à votre faim, dormir dans des endroits luxueux, mais au moins tu étais entouré de ta famille. Enfin, presque, car finalement l'absence de sa sœur jumelle n'a pas véritablement fait de vous une véritable famille, au fond... « J'y ai passé quatre ans. » Seulement ? Enfin, seulement... tout est relatif, bien entendu. Catarina a-t-elle été adopté ? A-t-elle fugué ? Tu as envie de savoir plus. Sauf que tu sens que ce n'est pas le lieu pour apprendre à vous connaître davantage. Ce n'est pas assez intime, alors que vos retrouvailles le sont. Vous allez partagé des choses qui ne concernent que vous, alors tu lui proposes de vous rendre dans la tente que le village t'a temporairement installé, pour pouvoir te poser le temps de l'enterrement de ta mère. « Allons-y… » Tu es rassuré qu'elle accepte de se retrouver dans un cadre plus privé, rien que toi et elle. Ta confiance, elle semble déjà l'avoir, et ça fait gonfler ton cœur, car tu as aussi la sienne. Ta main dans la sienne, tes doigts contre les siens, vous vous dirigez vers ta tente qui n'a rien d'extraordinaire. Elle est très banale, mais cela te suffit comme pied à terre. De toute manière, tu comptais t'en aller très bientôt. « J’ai été recueilli par une famille à l’âge de quatre ans. Ils habitent Longreach et possèdent un ranch… » Catarina reprend très vite la parole, pour répondre juste à la question que tu te posais tout à l'heure. Tu l'écoutes, attentivement, tandis que tu t'installes en face d'elle. « Ils ont toujours été aimants avec moi, je n’ai manqué de rien… » Tu ne peux t'empêcher d'acquiescer silencieusement durant ses explications, heureux qu'elle se soit retrouvé dans une si bonne famille. « J’arrive pas à croire qu’on ait grandi à si peu de distances, finalement… » En effet, Longreach n'est qu'à quelques kilomètres finalement. Tu y as d'ailleurs déjà mis les pieds, une fois. Les circonstances paraissent incroyables, mais pourtant vraies. Deux jumeaux séparés à la naissance, grandissant qu'à quelques kilomètres l'un de l'autre. « Nous avons pas mal vadrouillé avec les parents. On n'avait pas beaucoup d'argent, alors on se rendait là où il semblait facile d'en avoir... on restait quelques semaines, puis on repartait. » Finalement, peut-être que Catarina a vécu dans un plus grand confort que lui. Néanmoins, tu te doutes bien que ça ne valait pas l'envie de connaître ses origines et ses parents biologiques, ou de pouvoir grandir à leurs côtés. « Finalement on est revenu ici quand j'avais 16 ans, et nos parents ne sont jamais repartis. » Tu essaies de lui partager ces informations tout en veillant à ne pas diriger la conversation vers votre mère décédée. Tu n'es pas encore prêt à lui annoncer, alors que vous ne vous êtes retrouvés que depuis quelques minutes. « A ma majorité, je suis parti. Je voulais découvrir l'Australie, alors j'ai énormément voyagé depuis, je me pose très rarement. » Ce côté baroudeur de tes parents, il est en toi. Tu aimes découvrir de nouveaux lieux, de nouvelles personnes. C'est ce qui t'anime. « Tu vis toujours chez ta famille, à Longreach ? » Une autre question te brûle les lèvres, tu n'es pas certain de pouvoir ressentir légitimement un peu de jalousie en y pensant. « Tu as des frères et sœurs ? » Tu n'es pas responsable de leur éloignement, mais au fond tu as vécu seul avec tes parents, sans la présence de la personne qui a partagé le creux du ventre de votre mère, alors tu te demandes si elle a pu combler ce manque avec un membre de sa fratrie adoptive...
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Catarina Welch
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@Mokare Unaipon ENTRE OPALTON ET LONGREACH- 29 JUIN 2024 - 14H00
Elle indique à son frère le nombre d’années qu’elle a passé à l’orphelinat, comme pour le rassurer. Il lui propose alors de se rendre dans sa tente afin de pouvoir profiter d’un peu plus d’intimité pour discuter de tout ça. Catarina ne refuse pas l’invitation. Elle a envie de connaître son frère, d’en apprendre plus sur sa famille. En venant par ici, elle ne s’attendait pas à croiser quelqu’un partageant son ADN, elle souhaitait seulement se reconnecter à ce qu’elle était… Il passe sa main dans la sienne et l'entraîne vers l’endroit où il vit. Le contact de ses doigts est chaud et a quelque chose de rassurant. Ils entrent, s’installent l’un en face de l’autre et c’est Catarina qui brise le silence en terminant de lui expliquer pourquoi elle n’a passé que quatre années dans l’orphelinat, finalement. Elle termine en s’étonnant d’avoir grandis à si peu de distance de lui.
- Nous avons pas mal vadrouillé avec les parents. On n'avait pas beaucoup d'argent, alors on se rendait là où il semblait facile d'en avoir... on restait quelques semaines, puis on repartait. » Elle s’étonne, ne s’attendant pas à ce que sa famille biologique ait autant voyagé. En réalité, elle n’imaginait trop rien, préférant garder en tête que les Welch l’avaient adoptés et qu’ils lui donnaient tout l’amour dont elle avait besoin, elle avait des grandes-soeurs, des frères, un être complémentaire à ce vide qu’avait créé cet abandon. « Finalement on est revenu ici quand j'avais 16 ans, et nos parents ne sont jamais repartis. » Seize ans. Ça veut dire qu’ils auraient pu se croiser depuis treize ans… Certes, elle était partie de Longreach pour étudier à Brisbane, mais elle était revenue très souvent vers les siens. « A ma majorité, je suis parti. Je voulais découvrir l'Australie, alors j'ai énormément voyagé depuis, je me pose très rarement. » Catatina se pince les lèvres. Il a dû voir tant de choses… Ce n’est pas de la jalousie, juste une certaine admiration. Elle qui a toujours voulu voyager sans jamais sauter le pas… « Tu vis toujours chez ta famille, à Longreach ? Tu as des frères et sœurs ? »
- Non, je vis à Brisbane, il faudra que tu viennes ! » Qu’elle ajoute spontanément. « Enfin, si tu le souhaites… » Reprend-t-elle rapidement, ne voulant rien lui imposer. « J’ai quitté Longreach pour intégrer l’université de Brisbane où j’ai fait sept années d’études pour devenir kinésithérapeute équin. » Elle sourit malgré elle. « J’ai grandi dans un ranch, entourée de chevaux. » Qu’elle précise, comme pour justifier son choix de carrière. « J’ai cinq frères et soeurs… » Finit-elle par répondre. « Trois grandes soeurs, un frère d’un an de plus que moi qui a été adopté également et… » Elle hésite un instant, parce qu’Angelo a pris la place vacante de Mokare et elle ne veut pas le blesser. Elle a eu la chance d’avoir quelqu’un pour combler un tant soit peu ce vide. « Et il y a Angelo, nous avons le même âge tous les deux… » Elle ne sait pas si il va comprendre l’importance qu’il a pour elle et n’ose pas le lui avouer. Elle baisse les yeux un instant, hésitant à lui poser une question. « Tu n’as pas répondu tout à l’heure quand j’ai demandé si notre mère était là… » Elle relève la tête vers lui. « Est-ce qu’ils sont là ? » Le visage de Catarina exprime ses émotions contraire : entre tristesse, appréhension et excitation…
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ÂGE : vingt-neuf ans (avril 1995) SURNOM : depuis toujours, on t'appelle "mo". plus court, plus facile à retenir que Mokare. STATUT : célibataire, tu n'arrives pas à t'engager longtemps. tu ne vis que des aventures, par-ci par-là. MÉTIER : désormais en formation en tant que garagiste au garage d'Ezra, nouveau guitariste du groupe Hollow Shout auprès d'Asher, Raileigh et Blaize, et tu donnes des cours de danse à Maeve, un peu gratuitement quand même LOGEMENT : tu as squatté chez Lewis tout le mois de Juillet, tu as trouvé une nouvelle colocation avec Charlie, à logan city POSTS : 176 POINTS : 320
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Depuis tout à l'heure, une pensée traverse ton esprit mais tu te résous à ne pas la laisser t'envahir... même si au fond, ce n'est que la vérité. Sans la mort de ta mère, Catarina et toi, vous ne vous auriez peut-être jamais retrouvé ici. Toi, et elle, vous étiez au bon endroit, au bon moment. Tu prévoyais de te rendre ici pour fêter ton anniversaire auprès de tes parents, mais tu es persuadé que tu serais parti depuis bien longtemps s'il n'y avait pas eu l'enterrement et ton père dont tu souhaitais t'occuper avant de repartir vagabonder. D'ailleurs, tu étais bientôt sur le départ. Si Catarina s'était rendue dans le village une semaine plus tard, tu n'aurais jamais croisé son chemin. Comme quoi, la vie était bien faite... perdre un être cher, et en trouver un autre. « Non, je vis à Brisbane, il faudra que tu viennes ! » Catarina manifeste son envie de te voir vivre près d'elle, et ça te rassure... mais en même temps, cela te fait peur. Emménager à Brisbane ? Tu as dû y faire un saut il y a quelques années, mais peu longtemps, car tu préfères les villes à plus petite échelle. Pour ta sœur jumelle, tu te sens prêt à déplacer des montagnes, tout à coup. Y retourner ne te semble donc pas insurmontable. « Enfin, si tu le souhaites… » « Oui, c'est faisable... Enfin, oui, j'en ai envie. » Tu ne veux pas laisser croire que tu fais ça pour lui faire plaisir uniquement, alors que tu partages cette envie d'être désormais près de ta sœur. « J’ai quitté Longreach pour intégrer l’université de Brisbane où j’ai fait sept années d’études pour devenir kinésithérapeute équin. » Tu es impressionné par son cursus scolaire, Catarina a l'air d'être studieuse... ce qui n'a jamais été ton cas. « J’ai grandi dans un ranch, entourée de chevaux. » Précise-t-elle, ce qui te permet de comprendre un peu mieux le choix de cette branche d'études. « Wow, je suis impressionné... Les études, ça n'a jamais été mon truc. J'ai quitté l'école dès que j'ai pu pour voyager. » Mais pour autant, tu es fier de tout ce que tu as accompli. Toutes tes voyages t'ont appris des choses. Tu es débrouillard, tu as exercé plein de petits boulots qui t'ont permis d'acquérir des connaissances dans plein de domaines. Ce choix, tu ne le regrettes pas. « J’ai cinq frères et soeurs… » Ton cœur se serre un peu à cette réponse. Ce n'est pas la faute de Catarina, mais tu ressens tout à coup un peu de jalousie en toi. « Trois grandes sœurs, un frère d’un an de plus que moi qui a été adopté également et… Et il y a Angelo, nous avons le même âge tous les deux…» Tu as senti cette pause marquée avant d'évoquer son frère Angelo, et ta jalousie s'accentue. Tu as peur qu'il ait pris ta place dans son cœur, alors même que vous n'aviez pas cette certitude d'avoir un jumeau ou une jumelle. Mais, encore une fois, tu sais faire la part des choses. Ce n'est pas de votre faute, alors tu es capable de comprendre qu'Angelo ait une place particulière dans la vie de Catarina, en tant que frère de cœur. « Tu as grandi très entourée... est-ce que tu me les présenteras ? Je suis curieux de connaître la famille qui a vu grandir ma sœur. » Puisque toi, on t'a retiré ce droit là. « Tu n’as pas répondu tout à l’heure quand j’ai demandé si notre mère était là… Est-ce qu’ils sont là ? » Tu pensais avoir réussi à éviter le sujet, mais bien entendu qu'il revient sur la table si rapidement... il s'agit de ses parents biologiques, l'envie de les connaître doit être très forte. Tu te râcles la gorge, ne sachant pas comment annoncer à ta sœur jumelle que tu viens de retrouver, que votre mère n'est plus de ce monde, et qu'elle n'aura jamais la chance de la rencontrer. Tu t'empares de sa main, ce qui ne laisse évidemment rien présager de bon quant à la suite de votre conversation. « Je n'ai pas voulu t'annoncer la nouvelle en pleine rue... » Tu la fixes un moment, avant de fuir son regard. Tu n'as pas envie de revivre la perte de ta mère à travers ses yeux. « Maman est morte au mois de Mars, d'un cancer du sein. » Tu ne peux pas l'empêcher, une larme coule le long de ta joue. Cela fait trois mois, c'est encore tout frais. Il faut dire que ça t'a semblé tellement soudain, que tu peines encore parfois à réaliser. « Je suis désolé... j'aurais tellement aimé que tu la rencontres, c'était une femme merveilleuse. » Comme à chaque fois que tes émotions te submergent, tu t'accroches à ton médaillon. Ce cadeau offert par ta mère... « Elle m'a offert ce médaillon quand j'avais 6 ans. Toutes ces années, j'ai cru qu'elle y avait glissé une photo de moi bébé... mais maintenant, je suis persuadé que c'était toi. » En même temps que tu prononces ces mots, tu relâches sa main pour venir détailler le collier autour de ton cou. Tu ne le retires jamais, et le poids de la chaine en moins contre ta peau te donne une drôle de sensation. Tu l'ouvres et lui dévoile la photographie, espérant que cela puisse diminuer un peu sa peine.
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@Mokare Unaipon ENTRE OPALTON ET LONGREACH- 29 JUIN 2024 - 14H00
Elle répond aux questions de son reflet. Lui parle de la famille qui l’a adopté, sa famille, ses frères et soeurs, Angelo… Elle lui dit qu’elle vit à Brisbane depuis quelques années maintenant et qu’elle aimerait qu’il vienne, si il le veut bien sûre.
- Oui, c'est faisable... Enfin, oui, j'en ai envie. » Qu’il rectifie. Elle sourit. Ça lui fait du bien d’entendre ces mots, d’entendre qu’il a envie de venir la voir. Parce que la rencontre pourrait s’arrêter là finalement. Peut-être qu’il avait besoin de savoir, mais derrière qu’il n’avait aucune envie de la connaître plus. Parce qu’ils ont vécut l’un sans l’autre, qu’ils ont chacun leur vie. Il avait peut-être prévu de repartir en voyage puisqu’il semble indiquer qu’il voyage beaucoup quand elle lui parle de son cursus scolaire et de son choix de carrière. « Wow, je suis impressionné... Les études, ça n'a jamais été mon truc. J'ai quitté l'école dès que j'ai pu pour voyager. » Les études c’est impressionnant, oui, mais elle aussi beaucoup d’admiration pour le choix qu’il a fait. C’est courageux de quitter l’école et de partir à l’aventure, quitter sa maison, son confort. Lorsqu’elle était partie de Longreach pour Brisbane, la jeune femme avait eu du mal à se faire à sa nouvelle vie. « Tu as grandi très entourée... est-ce que tu me les présenteras ? Je suis curieux de connaître la famille qui a vu grandir ma sœur. » Elle acquiesce. Elle ne sait pas quand, mais elle le fera. Elle a presque envie de garder cette découverte égoïstement pour elle, rien que pour elle. Mais elle sait pertinemment que le soir-même, elle appellera Angelo pour lui en parler. C’est bien trop gros pour qu’elle puisse le garder pour elle et ne pas en parler à celui qu’elle a toujours considéré comme sa moitié. Et puis elle lui demande si sa mère est là, si ses parents sont là. Parce qu’elle le lui a demandé un peu plus tôt et qu’il n’a pas répondu, mais c’est quelque chose qu’elle veut savoir, qu’elle a besoin de savoir. Il attrape sa main et la jeune femme comprend que cela n’augure rien de bon. « Je n'ai pas voulu t'annoncer la nouvelle en pleine rue... » Il la fixe avant de détourner le regard, fuyant. Elle fronce les sourcils. « Maman est morte au mois de Mars, d'un cancer du sein. » C’est un double choc, triple même. Sa mère est morte, d’un cancer et elle ne connaîtra donc jamais celle qui l’a abandonnée… Ses émotions sont contradictoires. Elle ressent de la peine, bien évidemment, mais il y a aussi beaucoup de colère. Colère face à la mort de celle-ci, colère face à sa mère, colère face au fait qu’elle ne pourra jamais entendre de sa bouche la raison pour laquelle elle a abandonné son enfant… « Je suis désolé... j'aurais tellement aimé que tu la rencontres, c'était une femme merveilleuse. » Elle sent l’amour que Mokare a pour elle, l’affection qu’il ressent, la tristesse face à la perte de celle-ci. C’est trop difficile pour elle de se montrer compatissante, alors elle reste murée dans son expression de choc. « Elle m'a offert ce médaillon quand j'avais 6 ans. Toutes ces années, j'ai cru qu'elle y avait glissé une photo de moi bébé... mais maintenant, je suis persuadé que c'était toi. » Il retire le médaillon de son cou pour l’ouvrir. Il y a bien une photo d’un bébé et si ce que Mokare dit est vrai, il s’agit d’elle. Qu’est-ce que cela veut dire ? Qu’elle a toujours gardé Catarina dans son coeur ? Qu’elle ne l’a jamais oublié ? Qu’elle l’aimait, malgré tout ? Alors quoi ? Ça doit excuser son geste ?
- Je comprends que tu sois triste qu’elle ne soit plus de ce monde, mais j’arrive pas à partager ta peine… » Qu’elle lui avoue. Elle reste triste de ce constat, parce qu’il y aura peut-être toujours ce sujet qui les opposera tous les deux. « Peut-être que ça changera avec le temps, mais j’arrive pas à comprendre le choix qu’ils ont fait de m’abandonner et de te garder… » Les mots sortent, abrupts, mais c’est comme elle les ressent. Elle est entière, Catarina, elle exprime ses émotions le plus généralement. « Ils auraient pu nous garder tous les deux… » Les mots se coincent dans sa gorge et elle passe ses mains sur ses joues tandis que les larmes se mettent à couler. « Je suis désolée si ça te semble dur… » Parce qu’elle ne veut pas le blesser ou le braquer. Elle n’a pas envie de voir son frère disparaître alors qu’elle vient de le retrouver. Si il y a bien un innocent dans cette histoire, c’est bien lui. « Et notre père ? » Qu’elle demande alors, pour changer de sujet, parce que celui-ci lui fait bien trop mal pour le moment.
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TITRE
Carina ☼ lorem ipsum
Mokare Unaipon
le gré du vent
ÂGE : vingt-neuf ans (avril 1995) SURNOM : depuis toujours, on t'appelle "mo". plus court, plus facile à retenir que Mokare. STATUT : célibataire, tu n'arrives pas à t'engager longtemps. tu ne vis que des aventures, par-ci par-là. MÉTIER : désormais en formation en tant que garagiste au garage d'Ezra, nouveau guitariste du groupe Hollow Shout auprès d'Asher, Raileigh et Blaize, et tu donnes des cours de danse à Maeve, un peu gratuitement quand même LOGEMENT : tu as squatté chez Lewis tout le mois de Juillet, tu as trouvé une nouvelle colocation avec Charlie, à logan city POSTS : 176 POINTS : 320
TW IN RP : abandon de sa sœur jumelle à la naissance ORIENTATION : J'aime tout le monde. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : MOKARINA #2 › you missed to my life and i found you back (#1)
MOMEÏ #1 › #2 ~ you can't see, but i can see the true you
dog days are over près d’opalton – fin juin 2024 crédit gifs(emziess) @catarina welch
Comment pourrais-tu laisser partir ta sœur jumelle, après l'avoir retrouvé ? Sa présence, tu ressens qu'elle va devenir indispensable à ta vie future. Tout ce que tu souhaites, c'est que vous vous entendiez bien. Même si tu n'as jamais aimé te poser bien longtemps quelque part, tu as envie de faire cet effort pour elle. Vivre à Brisbane te semble correct. En fait, peu importe où elle te demande d'emménager, tu sais que tu es capable de la suivre dans la ville de son choix. Tu espères juste que tu pourras compter sur elle pour te guider dans cette nouvelle étape de ta vie... tu as bon espoir. Vous en parlerez au moment opportun, qui n'est pas maintenant puisque Catarina te pose une nouvelle question au sujet de votre mère. La tristesse monopolise ton visage, le souvenir de ta génitrice t'envahit et tu regrettes de nouveau tellement sa présence. Les images de moments complices passés à ses côtés te reviennent en mémoire, surtout ceux où vous écriviez en même temps dans votre journal. Tu aurais tellement aimé que Catarina apprenne à la connaître, à condition qu'elle arrive à lui pardonner le fait qu'elle avait été abandonné par ses deux parents, dès la naissance... Tu te rends compte que tu ne voulais pas la rendre triste tout à l'heure, mais peut-être qu'elle ne le sera jamais, puisque ta sœur jumelle n'avait aucun lien avec elle. Tu penses que lui parler de ton médaillon est une bonne idée, tu le montres avant tout parce que tu as réalisé tout à l'heure que ce n'était pas toi sur la photo, mais elle. Dans un sens, tu souhaites lui montrer que tu as toujours été à ses côtés, sans qu'elle n'en sache rien, et toi non plus. « Je comprends que tu sois triste qu’elle ne soit plus de ce monde, mais j’arrive pas à partager ta peine… » Tu essuies la larme qui coule le long de ta joue, et tu acquiesces, car tu comprends son point de vue. Tu ne peux pas lui en vouloir... au contraire, la colère de Catarina est plus légitime que la tienne. « Peut-être que ça changera avec le temps, mais j’arrive pas à comprendre le choix qu’ils ont fait de m’abandonner et de te garder… Ils auraient pu nous garder tous les deux… » Avec regret, tu ne peux pas répondre à cette question. Tu ne sais pas pourquoi tes parents l'ont abandonné, tu ne sais pas pourquoi elle, plutôt que toi. Tu aimerais pouvoir lui répondre, mais tu ne veux pas faire fausse route, et propager le mensonge. « Je suis désolée si ça te semble dur… » Tu bouges la tête de droite à gauche en baissant de nouveau le nez, pour lui montrer que ce n'est rien. « Je comprends... j'aimerais pouvoir répondre à tes questions, mais moi-même je n'ai pas les réponses... » Un jour peut-être, ils les auront, ces réponses... « Et notre père ? » Tu relèves la tête, et tu croises son regard qui veut dire que le sujet de votre mère doit être clos. « Il vit dans une caravane, pas loin d'ici. Il travaille sur l'un des gisements d'opale du coin. » Tu ne précises pas que c'est difficile pour lui en ce moment, mais ça tombe sous le sens d'après le ton que tu emploies. « Tu voudrais le rencontrer ? » Aujourd'hui, plus tard, jamais, la décision lui revient à elle, pas à toi. Peu importe sa décision, tu es là pour l'accompagner, si elle a besoin de toi. « Enfin, t'es pas obligée, et je pourrais comprendre que tu n'en as pas envie... » Et puis, peut-être qu'il serait bon de prévenir ton père, aussi ? Pour lui éviter la crise cardiaque, même si tu t'imagines qu'il est au courant d'avoir une fille qui lui est inconnue. « Mais si un jour c'est le cas, je serai à tes côtés, si tu le souhaites. » Plus tu parles, et plus tu te dis que c'est une proposition plutôt précipitée. Par conséquent, tu essaies à ton tour de changer de sujet. « Je suis curieux... qu'est-ce qui t'amènes ici ? C'est rare d'avoir de la visite dans le village. » Et c'était pour cette raison qu'on était venu te chercher aussi vite, très certainement... car la ressemblance était si flagrante, qu'elle n'avait pu échapper aux membres du village.
ஃ Days, gone by, Come back as the morning light. A colourless demise rises and the only shelter I used to know, is gone lost out of sight. ஃ
Spoiler:
Catarina Welch
ÂGE : 29 ans, Avril 1995 SURNOM : Carina, Rina STATUT : Célibataire depuis 2022. Relation toxique qu'elle a préféré occulter. MÉTIER : Propriétaire d'un salon de thé "L'Atelier du Thé" qui propose une partie lecture qui se trouve à Spring Hill LOGEMENT : West-End, dans un loft qui se situe au 319 Montague Road. POSTS : 420 POINTS : 40
TW IN RP : Violence verbale et physique GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle devait être kinésithérapeute équin, mais a tout quitté après avoir été violenté par son ex petit ami • Elle fait du cheval au Wattle Creek Equestrian Center qui se situe a 30 min au Nord-Ouest de Brisbane • Elle a ouvert un compte pro sur instagram pour le salon de thé et un compte perso plus récemment • Veux prendre des cours de photographie CODE COULEUR : #802F1F RPs EN COURS :
Welch gang ≈ #1
(abandon) Rhy ≈ Allen ≈ Juliet ≈ Jordan ≈ Noor ≈ #Catastonconvo • Cataston2AVATAR : Fivel Stewart CRÉDITS : showmeyouricons & Morfydd’s Clerk - Firefly(Cataston) DC : Joaquin et Ella PSEUDO : Elinor INSCRIT LE : 16/01/2024
@Mokare Unaipon ENTRE OPALTON ET LONGREACH- 29 JUIN 2024 - 14H00
Elle la sent et elle la voit la peine, la douleur et la tristesse qui se peignent sur les traits de Mokare à l’évocation de leur mère, lorsque celui-ci lui annonce qu’elle est décédée quelques mois plus tôt d’un cancer du sein. Pourtant, Catarina n’arrive pas à ressentir la même chose que lui et c’est sûrement ce qui les séparera le plus à l’avenir parce que la brune est incapable de concevoir de ressentir de la tristesse d’avoir perdu une femme qui l’a abandonnée… La première chose qui traverse, d’ailleurs, l’esprit de la brune c’est qu’il va falloir qu’elle fasse des examens en retournant à Brisbane… Parce qu’elle a deux fois plus de risque de développer un cancer du sein puisque sa mère biologique en est morte… Ces mots doivent être d’une violence lorsqu’elle annonce à son jumeau qu’elle n’arrive pas à partager la peine de celui-ci… Elle s’en veut, mais n’en rougit pas puisque c’est la réalité et qu’il serait difficile de demander à n’importe quel enfant abandonné d’éprouver de la peine pour celleux qui les ont abandonnés… Elle s’exprime, s’explique. Peut-être qu’un jour ça changera, peut-être qu’elle arrivera à pardonner à cette femme et peut-être qu’elle sera triste un jour de ne pas l’avoir rencontré, mais pour l’instant c’est loin d’être le cas. Il semble pourtant comprendre, ou en tout cas le prétendre, il essuie une larme qui coule sur sa joue et Rina se mord l'intérieur de la joue. Elle s’excuse une nouvelle fois pour la dureté de sa réaction et il secoue la tête négativement, comme pour montrer que ce n’est rien.
- Je comprends... j'aimerais pouvoir répondre à tes questions, mais moi-même je n'ai pas les réponses... » Elle espère qu’il comprend vraiment, parce que c’est bien la dernière chose qu’elle souhaite : le froisser. Elle veut le connaître, réellement, c’est un besoin quasiment vital maintenant qu’ils se sont retrouvés… La brune demande après leurs père et il relève la tête. « Il vit dans une caravane, pas loin d'ici. Il travaille sur l'un des gisements d'opale du coin. » La brune tourne la tête pour poser son regard derrière Mokare, comme si la tente se trouvait juste derrière et qu’elle pouvait la voir. « Tu voudrais le rencontrer ?[/color] » Elle reporte aussitôt son attention sur lui et il ajoute : « Enfin, t'es pas obligée, et je pourrais comprendre que tu n'en as pas envie... » Elle réfléchit encore à ce qu’elle veut, là, tout de suite. Non, elle n’a pas envie pour le moment. Elle préfère attendre un peu, elle ne sait pas quand, mais ça viendra, sûrement. « Mais si un jour c'est le cas, je serai à tes côtés, si tu le souhaites. » Elle acquiesce et lui sourit, reconnaissante de sa proposition. Elle ne pourra pas le rencontrer seule, c’est certain, elle n’y arrivera pas, elle en est persuadée.
- Pas tout de suite, mais je veux bien que tu m’accompagne le jour où je serais prête… » Qu’elle répond.
- Je suis curieux... qu'est-ce qui t'amènes ici ? C'est rare d'avoir de la visite dans le village. » Le changement de sujet apporte une porte de sortie plutôt bienvenue et Rina ne se force pas pour répondre.
- J’ai fait un voyage il y a quelques mois dans le Sud de Brisbane, un petit week-end dans une tribus aborigène et j’ai trouvé ça tellement enrichissant… » Commence-t-elle. « La seule chose que je sais sur mes origines c’est qu’elles sont aborigènes et j’avais envie d’en savoir plus sur cette communauté… » Explique la brune, un peu plus en détail. « Je sais aussi que je suis née entre Opalton et Longreach donc je m’étais dit que j’allais remonter la route et voir si je tombais pas sur un bout de mon histoire… » Elle détourne le regard, un peu gênée. « Je cherchais pas forcément à retrouver mes parents biologiques, mais j’avais besoin d’en savoir plus sur mes origines, je crois… » C’est un peu flou dans sa tête, ça fait partie d’un processus qu’elle a entamé sans vraiment en connaître le but. Tout est fait au feeling dans cette histoire. « Je ne m’attendais absolument pas à tomber sur toi… » Elle est heureuse d’apprendre qu’elle a un frère jumeaux, mais tout est si déroutant dans cette histoire puisqu’elle a envie de le connaître, mais pas d’en apprendre plus sur ses géniteurs…
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Carina ☼ lorem ipsum
Mokare Unaipon
le gré du vent
ÂGE : vingt-neuf ans (avril 1995) SURNOM : depuis toujours, on t'appelle "mo". plus court, plus facile à retenir que Mokare. STATUT : célibataire, tu n'arrives pas à t'engager longtemps. tu ne vis que des aventures, par-ci par-là. MÉTIER : désormais en formation en tant que garagiste au garage d'Ezra, nouveau guitariste du groupe Hollow Shout auprès d'Asher, Raileigh et Blaize, et tu donnes des cours de danse à Maeve, un peu gratuitement quand même LOGEMENT : tu as squatté chez Lewis tout le mois de Juillet, tu as trouvé une nouvelle colocation avec Charlie, à logan city POSTS : 176 POINTS : 320
TW IN RP : abandon de sa sœur jumelle à la naissance ORIENTATION : J'aime tout le monde. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP RPs EN COURS : MOKARINA #2 › you missed to my life and i found you back (#1)
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@catarina welch - près d’opalton – fin juin 2024 ¤¤¤ crédits gifs (emziess) / code (boté du sud )
Être triste et vulnérable devant Catarina ne te dérange pas, tu as le sentiment qu'elle est à même de comprendre la douleur que tu ressens en évoquant la mort de votre mère, même si elle ne l'a pas connu. Tu sens qu'elle est capable d'empathie, et de mettre ses ressentiments, ses incompréhensions face à son abandon vingt-neuf ans plus tôt. Et c'est ce qu'il se passe, ta sœur jumelle n'est pas surprise de voir la tristesse déformer ton visage, elle comprend ta peine et tente de te consoler comme il faut, tout en te faisant également part de son ressenti à elle. Tu aimerais pouvoir répondre à cette question de : pourquoi elle, et pas toi ? pourquoi abandonner un enfant sur deux ? pourquoi séparer deux êtres dont le cœur battait à l'unisson dans un même ventre ? C'est frustrant, mais tu sais que ton père sera certainement à même de répondre à cette question, puisque la décision n'était certainement pas que du ressort de votre mère. Tu proposes d'ailleurs à Catarina de le rencontrer, après sa journée de travail. La décision lui revient, tu ne l'obligeras en rien à faire sa connaissance maintenant, sachant que la nouvelle brutale de vos retrouvailles vous remue certainement déjà beaucoup tous les deux. « Pas tout de suite, mais je veux bien que tu m’accompagnes le jour où je serais prête… » Evidemment, tu hoches de la tête de haut en bas pour marquer ton accord. « Bien sûr » Souffles-tu, heureux qu'elle évoque un futur où tu en fais déjà parti. Si Catarina ne souhaite pas encore rencontrer ton père, ce qui est normal, tu sens qu'elle t'intègre déjà à son quotidien, à sa vie, et ça te comble de joie. « J’ai fait un voyage il y a quelques mois dans le Sud de Brisbane, un petit week-end dans une tribus aborigène et j’ai trouvé ça tellement enrichissant… La seule chose que je sais sur mes origines c’est qu’elles sont aborigènes et j’avais envie d’en savoir plus sur cette communauté… » Tu apprécies le côté 'aventurière' de ta sœur jumelle, qui n'hésite pas à voyager pour en apprendre plus sur ses origines. Tu as tellement hâte de savoir si vous avez des points en commun, ou si vous êtes totalement différent, toi et elle. « Je sais aussi que je suis née entre Opalton et Longreach donc je m’étais dit que j’allais remonter la route et voir si je tombais pas sur un bout de mon histoire… » Elle fait naître un nouveau sourire sur tes lèvres, car le bout de son histoire, elle l'a trouvé en toi. « Je cherchais pas forcément à retrouver mes parents biologiques, mais j’avais besoin d’en savoir plus sur mes origines, je crois… Je ne m’attendais absolument pas à tomber sur toi… » Tu lâches un rire discret, car tu peux lui retourner la remarque. « Moi non plus... et d'ailleurs, j'étais censé partir bientôt. Une semaine plus tard, et on ne se retrouvait pas... comme quoi, le destin fait bien les choses. » Même si tu trouves un côté ironique à ta phrase, puisque le destin a quand même attendu vingt-neuf ans pour te mettre sur sa route et te permettre de la retrouver. « Si tu veux tout savoir, notre patrimoine génétique est très riche. On a des origines d'un peu partout... Japonaise, chinoise, coréenne grâce à maman, et c'est papa qui nous a offert le côté aborigène. Ca explique la particularité de nos traits, j'imagine. » Ces traits si semblables que vous partagez tous les deux. Beaucoup de tes camarades se sont moqués de toi, mais tu as toujours montré une certaine fierté à ne pas ressembler comme tous les autres enfants. Cela a fait ta force, et tu es aujourd'hui encore plus fier d'avoir une sœur jumelle qui rayonne de beauté grâce à ces traits atypiques. « Tout à l'heure, tu parlais de venir à Brisbane. Tu es sérieuse ? Enfin, je veux dire... » Tu essaies de trouver les bons mots, pour être certain de ne pas être déçu de l'issue de cette rencontre si chère à tes yeux. « On ne se parle que depuis une heure, mais je sais déjà que je veux tout savoir de toi, et que tu fasses partie de ma vie. » Tu ressentirais une immense tristesse si Catarina ne voulait finalement pas de toi... la retrouver, pour finalement à jamais la quitter, le choc serait rude. « Je suis prêt à m'installer près de toi si c'est ce que tu veux vraiment, aussi. » Ton sac est déjà prêt, de toute façon tu voyages toujours léger, alors ce n'est pas ça qui va te prendre un temps fou... plutôt la recherche d'un appartement, d'un nouveau travail. Mais tu es prêt à te lancer dans cette nouvelle aventure aux côtés de ta sœur jumelle, si elle est d'accord.
ஃ Days, gone by, Come back as the morning light. A colourless demise rises and the only shelter I used to know, is gone lost out of sight. ஃ