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 The past always comes back in different forms. (scarlett #1)

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AuteurMessage
Lincoln Reddington
Lincoln Reddington
le maestro de l'image
Présent
ÂGE : 31 ans (01.10.1992)
STATUT : Être célibataire, c'est pouvoir écouter des vieux tubes ringards dans son appartement sans que personne ne nous critique.
MÉTIER : Avocat pénaliste & expert en relations publiques
LOGEMENT : Une villa au 240 edward street (spring hill)
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POSTS : 358 POINTS : 740

TW IN RP : Psychologie/santé mentale
TW IRL : Aucun
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime tout le monde.
PETIT PLUS : La mort change un homme
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
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RPs EN COURS : Lara #1 ; Jayden #1 ; Axel #1 ; Bran #1 ; Phoebe #1 ; Helen #2 (SMS) ; Izan #2 ; Mokare #1 ; Jesse #1 ; Coloc #1 ; Harper #2 ; Scarlett #1
RPs EN ATTENTE : shane
RPs TERMINÉS : Helen #1 (flashback) ; Izan #1 ; Harper #1 (SMS)
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CRÉDITS : gainsboro (avatar) solosand (signa)
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PSEUDO : Barcyoda
Homme (il/lui)
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The past always comes back in different forms. (scarlett #1) Empty
Message(#)The past always comes back in different forms. (scarlett #1) EmptyVen 13 Sep 2024 - 17:38

Comme le disait Honoré de Balzac, le passé, toujours prêt à refaire surface, était l’ennemi du présent. Le passé de Lincoln n’était pas totalement enfoui et il le savait. Non pas qu’il le cachait d’ailleurs, simplement, il préférait éviter le sujet et s’il pouvait ne pas en parler, cela lui allait très bien. Après tout, ce n’était pas chose facile que de parler de la mort de ses propres parents non ? Surtout que ces derniers avaient été tués par leur propre enfant, le frère de Lincoln. Une sombre histoire qu’il avait essayé de laisser dans son passé. Mais de temps à autre, la vie semblait s’amuser avec l’avocat et lui rappeler que cet événement s’était passé. Il y avait quelques semaines, l’avocat avait reçu la visite d’une sorte d’enquêtrice qui venait des Etats-Unis, lui expliquant qu’elle avait suivi une piste concernant son frère qui l’avait amené à Brisbane. Autant dire que ce jour-là, l’avocat était tombé des nues. Depuis, il n’avait pas eu de nouvelles, se disant qu’elle n’avait pas dû avoir de nouveaux éléments dans ses recherches. Et cela semblait convenir parfaitement à Lincoln, ce dernier ne voulant pas davantage d’informations sur le sujet, ayant fait un trait dessus. Même si une part de lui voulait bien savoir si son frère se trouvait encore en ville ou pas. Pour être sûr. Cependant, en se levant ce matin pour se rendre à son cabinet, il ne s’attendait pas à ce que son passé refasse une nouvelle fois surface, et ce coup-ci, non pas par le biais d’une personne qui l’attendait dans son bureau. Lincoln arriva sur son lieu de travail et salua, comme à son habitude, sa secrétaire qui afficha une mine bizarre sur son visage, comme si quelque chose la dérangeait. « Que se passe-t-il ? On dirait que vous avez appris une mauvaise nouvelle. » Celle-ci répondit simplement « non » avant de se remettre à son travail. Haussant les épaules, l’avocat pénétra dans son bureau et le journal du jour l’attendait sur la table qu’il avait pour diverses réunions de travail qui demandaient d’installer un certain nombre de personnes. Lincoln feuilleta distraitement le journal, son esprit vagabondant entre les dossiers épars et le grondement de la pluie contre les fenêtres. L’odeur familière du cuir des fauteuils et du café froid n’avait plus rien de réconfortant. Le bruit du papier froissé lui apporta une brève distraction, une échappatoire à sa routine monotone d'avocat. Mais ses yeux s'arrêtèrent net sur un titre qui semblait lui sauter au visage. « Mystère non résolu : le meurtre tragique de la famille Reddington. » Son souffle se coupa. Ses mains, jusque-là tremblantes d’ennui, se crispèrent autour du papier. Le nom de famille… Reddington… C’était celui de ses parents, le sien également. Ce n’était pas possible. Cela faisait des années que cette histoire était enterrée, autant dans les pages jaunies des archives que dans les profondeurs de la mémoire collective. Il avait essayé de la fuir, de l’enterrer, d’ignorer cette plaie béante qu’il portait depuis la fin de ses études de droit. Pourtant, là, devant lui, en lettres noires et indélébiles, tout remontait à la surface, une nouvelle fois. Il se pencha, le cœur battant à tout rompre. Ses parents avaient été assassinés. Froidement. Brutalement. Et à ce jour, personne n’avait été condamné. Il le savait mieux que quiconque. Ce meurtre impuni était devenu son plus grand fardeau. Mais là, dans ce maudit journal, on osait rouvrir la plaie. Comme si le monde entier se liguait contre lui pour l’empêcher de tourner la page, pour le forcer à revivre ce cauchemar qu’il tentait de refouler. « Le suspect en fuite. Qu’est-il réellement arrivé cette nuit-là ? » Lincoln sentit une rage sourde monter en lui, mêlée à une tristesse si lourde qu'elle menaçait de l'écraser. Il serra les dents, fermant les yeux un instant, mais chaque mot semblait se graver dans sa tête. Il voyait de nouveau leurs visages, ceux de ses parents, figés dans la douleur et l’incompréhension, comme la nuit où il les avait trouvés. La scène ne le quittait jamais vraiment, même dans ses rêves. Le monde autour de lui s’effondra. Il se leva brutalement, renversant sa chaise, et lança le journal à travers la pièce. Le journal heurta la bibliothèque avec un bruit sourd, mais cela ne soulagea pas sa colère. Il ne se sentait qu’impuissant, prisonnier d’une tragédie qu’il ne pouvait jamais vraiment fuir. Le vide, l’injustice, l’absence. Un cri lui échappa, un mélange de frustration et de douleur. Pourquoi maintenant ? Pourquoi ces détails resurgissaient-ils des années après, alors qu'il croyait avoir appris à vivre avec ce poids dans sa poitrine ? Son souffle devint irrégulier. Il s’agrippa au bureau, ses doigts blanchissants sous la pression. Il se sentait piégé dans son propre corps, étouffé par le torrent d’émotions qu'il n’avait jamais su canaliser. Lincoln avait bâti une carrière solide, porté des masques pour se convaincre qu’il pouvait avancer. Mais tout cela n'était qu'une façade fragile, qui venait de se fissurer sous l'assaut inattendu du passé. Et, au milieu du chaos dans sa tête, une pensée terrifiante s'imposa à lui : il ne pourrait peut-être jamais vraiment oublier.

Jetant un regard sur sa secrétaire qui tourna rapidement sa tête pour se concentrer sur l’écran de son ordinateur, l’avocat reprit son calme et sortit de son bureau pour aller voir celle avec qui il travaillait depuis le début de cette aventure, depuis l’ouverture du cabinet. « Désolé si vous m’avez vu m’emporter. Je sais que c’est inhabituel de ma part, mais vous devez savoir pourquoi. D’où votre silence lorsque je suis arrivé. Sincèrement désolé. Dit-il avant de retourner dans son bureau et de fermer la porte derrière lui. S’installant sur sa chaise, il regarda l’extérieur du bâtiment à travers la fenêtre, il essaya de remettre ses idées en place et commença, dès lors, à se poser la question : qui avait pu faire en sorte que cet article sorte ? Non pas que les informations étaient confidentielles car tout le monde pouvait les trouver sur internet, mais encore fallait-il savoir que cette histoire existait et qu’elle était reliée au passé de Lincoln. Car des Reddington, il y avait plusieurs familles portant ce nom. Alors cela voulait donc dire que c’était quelqu’un qui lui en voulait ? Ou bien un coup bas contre lui par un concurrent car il devenait dérangeant ? Et en se basant sur cette deuxième hypothèse, plusieurs noms lui vinrent en tête. Dont celui de Scarlett Bridgers qu’il connaissait bien pour avoir partagé un lit plusieurs fois et avoir appris avec elle tout ce qui touchait aux relations publiques. Jusqu’à qu’il décida de se lancer lui-même dans ce domaine avec son cabinet. Et peut-être que le fait d’avoir été son élève en quelque sorte et d’être maintenant son concurrent ne semblait pas lui avoir plu finalement. Mais Lincoln avait quand même un doute que ce soit elle car même si une rivalité s’était installée entre eux, pouvait-elle vraiment aller aussi loin et mettre en lumière un événement douloureux de son passé ? Il l’ignorait. Peut-être ne la connaissait-il pas finalement ? Se tromper sur des personnes, cela lui arrivait. Rarement, mais cela lui arrivait. Et peut-être était-ce le cas ? Demandant à sa secrétaire d’appeler son chauffeur, Lincoln ne tarda pas à quitter son bureau bien décidé à confronter Scarlett à ce qu’elle avait potentiellement fait. Très forte probabilité et durant tout le trajet, plus il pensait à cette possibilité, plus elle lui semblait crédible. Le trajet fut de courte durée vu que les bureaux de la demoiselle se trouvaient non loin des siens. Et après plusieurs longues minutes de réflexion, de pensées tristes et une colère qu’il n’avait pas ressentie depuis bien des mois, voire des années. Peu de choses pouvaient le faire sortir de ses gonds. Peu de choses sauf sa vie privée, son passé. Une fois arrivé, il sortit de la voiture en prenant le journal qu’il avait ramassé par terre dans son bureau, en refermant la porte de la voiture derrière lui, disant au chauffeur de l’attendre car il n’allait pas à en avoir pour longtemps. Se rendant alors à l’étage où se trouvait le bureau de Bridgers, il passa avec facilité sa secrétaire, bien que cette dernière lui affirma que Scarlett était occupée. Ce à quoi Lincoln répondit : « Oui, elle est occupée avec moi. » Il pénétra sans le bureau de la responsable de relations publiques et en arrivant à la hauteur de son bureau, balança le journal à la page où on parlait de son histoire sur le bureau de la demoiselle. « Désolé de cette interruption quelque peu brutale, j’en conviens. Mais je ne pensais pas que tu pouvais te rabaisser à de telles manœuvres. Surtout toi Bridgers. » Lincoln la laissa regarder alors le journal, essayant de se calmer en faisant les cent pas dans la pièce.

@Scarlett Bridgers :l:


Ne pleurez pas votre passé car il s'est enfui à jamais. Ne craignez pas votre avenir car il n'existe pas encore. Vivez votre présent et rendez le magnifique pour vous en souvenir à jamais.
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