catastrophe party
@Pénélope Danbury  ☆ Tony
Gif par Swear Trek

(outfit)« J’ai rien fait du tout… » Je ne peux pas m’empêcher de sourire de manière idiote, me retenant de balancer une remarque concernant cette robe boule de disco qui avait finalement eu raison de ma raison et m’avait un peu rendu trop fou d’elle. Mais en voyant son index se dresser vers sa prochaine victime, je me dis que ce n’est pas le moment de tenter l’humour. Il ne manquerait plus que sa foudre ne s’abatte sur moi. « Et je te signale mon cher John que je l’ai connu bien avant toi, Tony alors c’est pas comme si je découvrais qui il était. C’est pas un moine, je suis pas une sainte non plus. » « Je suis même bien plus sage qu’elle --- », dis-je en la pointant du doigt, la voix rieuse. Est-ce que j’essaie de calmer le jeu et d’éviter une troisième guerre mondiale ? sans aucun doute ! Comme quoi, je ne sais pas garder mon sérieux trop longtemps … surtout quand la situation m’échappe. « Arrête-moi si je me trompe mais t’étais un chaud lapin avant de rencontrer ta femme et je suis sûre qu’elle aussi, elle pourrait nous étonner... Tu lui as reproché sa vie d’avant ? Et elle t’a reproché la tienne ? hm ? » « Ce n’est pas que je n’aime pas être au centre de l’attention --- tout le monde sait ici que c’est ce que j’aime le plus au monde --- mais ça serait pas mal si on se focalise sur la soirée. Alors, si vous êtes intéressés par un achat, tenez-nous au courant … Penne vous fera un prix d’amis », je souris, angélique, battant presque des cils, « et vu que vous avez parlé un peu trop longtemps de Super-Tony, je suis obligé de quitter mon virgin mojito pour un rhum cola !» Boissons des Andrew Sisters. Je chante toujours quand je commande … un truc qui me suit depuis mes études … aucune idée d’où ça vient mais ça reste. Je tape dans mes mains pour recentrer la fine équipe sur l’essentiel de cette soirée : s’amuser.

Je repose mon attention sur Penelope, ma main posée sur sa cuisse la caressant tendrement. « Si je bois quelques verres --- tu sais que tu vas devoir conduire --- ou on se prend un taxi ? » que je lui dis en approchant mes lèvres des siennes pour y déposer un doux baiser. « Ou on se prend un verre et on disparaît --- on se planque quelque part avec la voiture pour se tripoter en paix et on rentre à la maison … », je dis en retenant un éclat de rire, déposant de nouveau un chaste baiser sur ses lèvres, le regard plongé dans le sien. Je n’avais d’yeux que pour elle.

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@Anthony Lewis ☆ Pénélope

(outfit) C’est plus fort, je ne peux pas m’empêcher d’attaquer quand nos amis émettent des doutes sur nous, ce qu’on est avec Tony…. Je sais qu’ils ne mesurent pas ce que nous avons traversé ces derniers mois mais ça m’agace et je ne peux pas m’empêcher de nous défendre. Je suis plus maligne que ça en temps normal, plus calme mais ces derniers mois m’ont rendu très mama bear on dirait. « Ce n’est pas que je n’aime pas être au centre de l’attention --- tout le monde sait ici que c’est ce que j’aime le plus au monde --- mais ça serait pas mal si on se focalise sur la soirée. Alors, si vous êtes intéressés par un achat, tenez-nous au courant … Penne vous fera un prix d’amis » Je lève brièvement les yeux au ciel et marmonne : « Hors de question, je veux les faire banquer ! » que seul le brun sera en mesure d’entendre. Je lui jette un clin d’œil tout en pinçant les lèvres pour ne pas rire. « et vu que vous avez parlé un peu trop longtemps de Super-Tony, je suis obligé de quitter mon virgin mojito pour un rhum cola !» Le fameux rhum coca qu’il commande à chaque soirée depuis la nuit des temps. Sonia en profite pour se rendre au bar et commander un mojito ainsi que la boisson de Tony.

Le reste du groupe nous a un peu lâché, John vient se coller à une Rebecca qui me fait la gueule mais je m’en fiche bien en cet instant. « Si je bois quelques verres --- tu sais que tu vas devoir conduire --- ou on se prend un taxi ? » Me demande Tony alors qu’il se penche pour déposer un chaste baiser sur mes lèvres et que sa main caresse tendrement ma cuisse. « Ou on se prend un verre et on disparaît --- on se planque quelque part avec la voiture pour se tripoter en paix et on rentre à la maison … » J’éclate de rire mais cette deuxième proposition est sans aucun doute la plus alléchante des deux. Une fois de plus, il pose chastement ses lèvres sur les miennes tandis que mon regard se plonge dans le sien. « C’est la meilleure idée de la soirée ça. On prend un verre et on s ‘échappe …  » Lui soufflais-je. Je pose ma main sur sa joue et capture ses lèvres dans un baiser que j’approfondis un peu … En tout cas, juste assez pour nous laisser sur notre faim. Je suis aussi frustrée que lui lorsque nos lèvres se séparent. « Je vais me chercher un Mojito. » Lui dis-je. Je dépose un rapide baiser sur ses lèvres avant de me lever comme un ressort et m’approcher du bar. Je prends le rhum coca que Sonia allait apporter à Tony ainsi que mon verre. J’en sirote une gorgée tout en revenant vers la table. « Voilà votre verre Mr Lewis ! » dis-je avec malice tout en lui tendant son verre. Cependant, je ne prends pas la peine de m’asseoir parce qu’une chanson que j’adore, retentit et que Sonia me prend la main pour qu’on fasse quelques pas de danse.

Ça me donne une impression de déjà vu tout ça. Un peu comme à l’anniversaire de Tony quand la tension était montée entre nous, que la soirée avait fini par être une torture parce que je ne voulais pas le presser mais qu’en même temps, j’avais vraiment envie de lui sauter dessus. Là, alors que je riais aux éclats avec Sonia tout en me déhanchant sur la musique qui passait, Tony avait le même regard … Et j’avais sûrement le même regard que j’avais eu à son anniversaire toute la soirée.  

Ok, j’avais vraiment envie de m’échapper de cette soirée et qu’on se retrouve tous les deux dans la voiture. C’était comme revivre un deuxième début de relation avec la tension et l’excitation d’autant plus forte parce qu’on savait que rien ne pourrait nous interrompre quand on se retrouverait tous les deux et qu’on allait être un couple comme les autres … tant qu’on ne rentrait pas à la maison retrouver nos responsabilités de jeunes parents. On avait bien le droit de s’amuser un peu non ?

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@Pénélope Danbury  ☆ Tony
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(outfit)« C’est la meilleure idée de la soirée ça. On prend un verre et on s’échappe … » « Oh vraiment ?! », dis-je presque surpris. La convaincre aussi facilement, une première. Mais après tout, ça fait quelques temps (mois !) que nous ne sommes pas retrouvés à deux, tony et penelope. Sans un discours concernant la maternité, la parentalité, les enfants, les biberons, les couches, le boulot, la maison, rien que nous. « Je vais me chercher un Mojito. » « Entendu », j’acquiesce et la libère pour me tourner sur John et Becca. « J’t’assure que Pen, c’est la bonne --- », je souffle à mon ami qui roule des yeux, « j’étais aveugle bien trop longtemps pour me rendre compte qu’elle avait toujours été là. » « Ça te va bien, Tony --- le bonheur, ça te va bien. fais juste gaffe à toi, buddy. » Je lui adresse un sourire complice même si je sais qu’il s’inquiète toujours un peu et qu’il veillera à ce que je ne comporte pas de manière trop … enthousiaste.

Finalement, Penelope revient avec ma boisson et je lève les mains au ciel. « Voilà votre verre Mr Lewis ! » « La meilleure ! » Je glousse avant de m’emparer de mon verre pour en boire une gorgée, une longue gorgée. En un battement de cils, Penelope se fait happer par la foule … par Sonia et se retrouve sur la piste de danse pendant que j’ai les fesses toujours vissées sur ma banquette. Avec un rhum cola, ça va être encore plus compliqué de me faire bouger. Mais même si je ne bouge pas, je garde le regard posé sur elle. Nous échangeons quelques regards. Je suis juste heureux de la voir rire aux éclats, retrouver son amie, ses amies, se retrouver aussi un peu … elle est toujours plus belle quand elle rit, Penne. Mon rhum cola se descend plus vite que prévu – je pars du principe qu’il fait chaud, que j’ai soif et que je viens de boire ma boisson comme s’il s’agissait d’un soda.

Je crois que je l’ai perdu du regard lorsqu’on attire mon attention et m’invite dans une conversation. Le temps passe … et c’est le parfum de Penelope qui me fait me redresser puis ce sont ses bras qui s’enroulent autour de mon cou, derrière moi. Je tourne la tête dans sa direction, un sourire amusé aux lèvres. Un de mes bras se tend vers l’arrière pour poser ma main sur sa jambe. « On rentre ? », que je lui demande à voix basse, je bouge uniquement les lèvres sans élever la voix. Juste pour qu’elle comprenne que si elle voulait, on pouvait mettre les voiles.

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@Anthony Lewis ☆ Pénélope

(outfit) Mon mojito en main, je tends son rhum-coca à Tony et la seconde suivante, Sonia m’embarque sur la piste de danse en riant. Je passe un bon moment, je rie, je danse avec une amie et je retrouve un peu l’insouciance d’avant … pour quelques temps. Du coin de l’œil, je vois Tony en grande conversation avec nos amis et je suis soulagée de voir qu’il s’amuse autant que moi alors je lui adresse un petit clin d’œil malicieux. J’ai l’impression de refaire un bond dans le temps – un an en arrière – à la différence que les regards que nous échangeons avec mon meilleur ami n’ont plus la même saveurs. Parce que ce soir, c’est dans ses bras que je m’endormirais et que, bientôt, on aménagera dans notre maison à nous.

Quand la musique change de rythme, avec Sonia nous nous éloignons de la piste de danse pour retrouver notre table. Je suis un peu pompette – il faut dire que je n’ai pas bu une goutte d’alcool depuis de longs mois, ça plus la fatigue … - alors je glousse en enroulant mes bras autour du coup du Lewis. Je dépose une traînée de baisers brulants de son cou et je ris carrément quand il me demande : « On rentre ? » et qu’il pose sa main sur ma jambe. « On est impatient Mr Lewis ? » Lui soufflais-je chaudement à l’oreille. Moi je le suis et j’estime m’être suffisamment amusée avec amis ce soir. « On nous a assez vu ici. » Je rajoute en plantant un dernier baiser dans son cou avant de me relever. Je m’avance vers Rebecca et John pour les saluer et leur dire aurevoir. « Merci pour cette soirée et j’espère que vous profiterez bien de notre cadeau, mais on doit y aller. » L’excuse était toute trouvée : les enfants ! Mais je n’ai même pas à le rajouter. Rebecca me salue un peu froidement – elle me fait encore la tête je crois – et s’en va plus loin. John semble beaucoup moins rancunier et je l’étreins une dernière fois. J’en profite pour me montrer transparente avec lui parce que ça me fait de la peine qu’il puisse – lui et d’autres de nos amis – penser que je profite de Tony. « Tu me connais depuis suffisamment longtemps pour savoir que je gâcherais pas ma plus belle et surtout la plus précieuse de mes amitiés pour m’envoyer en l’air pas vrai ? » je demande tout en le gardant dans mes bras et je le sens acquiescer, « je sais que t’es d’abord ami avec Tony, mais je t’assure que je veux que son bonheur, c’est le bon, je le sais c’est tout.» - « Putain qu’est-ce que vous êtes devenus niais tous les deux. » se moqua gentiment John alors qu’on se sépare. Je tape son épaule en riant puis je leur fais à tous un signe de la main.

J’attends que Tony ait dit au-revoir à tout le monde pour que mes doigts s’enroulent naturellement avec les siens et nous nous faufilons à travers la foule. Il fait une chaleur étouffante dans la boîte de nuit et c’est avec un sacré soulagement que nous retrouvons la fraicheur de la nuit et notre voiture. Je sens ses lèvres se poser sur ma nuque et je me retourne juste après pour capturer ses lèvres. Mes mains se posent sur sa nuque pour le garder contre moi et entre deux baisers, je lui demande, comme une plainte : « T’étais sérieux à combien de pourcent quand tu parlais de se tripoter dans la voiture avant de rentrer à la maison ? » Je glousse parce que j’espère vraiment qu’il était sérieux.

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@Pénélope Danbury  ☆ Tony
Gif par Swear Trek

(outfit)L’ambiance est bien plus détendue à cette heure de la nuit et c’est tant mieux. Un rhum cola uniquement pour moi car il ne me faut pas plus de deux secondes pour reconnaître l’air pompette de ma meilleure amie. Il y a des signes qui ne trompent jamais, pas vrai ? Nous nous retrouvons et nous accordons sur un départ imminent. Décollage imminent. Je me lève et salue les personnes présentes. Des étreintes, des high five à l’ancienne (comme ça qu’on les appelle) et c’est main dans la main que nous passons par les vestiaires et retrouvons ma voiture. J’agite mes clefs pour lui faire comprendre que je suis le pilote ce soir. « T’étais sérieux à combien de pourcent quand tu parlais de se tripoter dans la voiture avant de rentrer à la maison ? » Je ne peux pas m’empêcher de rire à cette question. « A peu près, 100% », dis-je en faisant « comme ci comme ça » avec ma main.

La voiture traverse Brisbane de nuit. Les mains sur le volant, je jette parfois quelques coups d’œil à Penelope pour m’assurer qu’elle ne s’est pas endormie … elle serait capable de s’endormir alors que j’essaie de nous conduire dans un endroit tranquille à l’ancienne … quoique … c’est plutôt avec d’autres personnes que ce genre d’anecdotes se sont produites. Penne, ce sera une première. La voiture est garée au milieu de nulle part, à l’extérieur de la ville. Le moteur est coupé. Je me tourne vers elle, une main venant se poser sur sa cuisse. Cette dernière remonte sous sa robe au même rythme que mes lèvres s’approchent des siennes, « t’as même idée depuis combien de temps je pense à pouvoir me glisser sous ta robe --- » Un rire amusé. Et ce rire s’étouffe au cours de ce baiser qui devient l’introduction de cet exercice de coordination pour pouvoir nous retrouver. Insouciants, inconscients, un peu fou … sans doute mais c’est la preuve que nous sommes vivants.

C’est donc plus que de bonne humeur que nous rentrons à la maison, en silence. Un passage éclair dans la salle de bain. Un passage moins éclair dans la chambre des jumeaux après avoir remercié ma mère. Je viens me blottir contre elle quand elle se glisse finalement sous les draps, contre moi. « Tu trouves aussi qu’on est affreusement niais ? », je lui demande en déposant un baiser sur son épaule pour qu’elle se tourne et se retrouve allongée sur le dos. Je me redresse sur un coude pour l’observer. « Qu’on est comme ces couples dont on se moquait à une époque --- ? » Véritable question et mes lèvres s’étirent en un sourire quand je la vois réfléchir … j’écarquille les yeux. « Oh non ! » Je me retiens de rire pour finalement me laisser tomber à mon tour sur le dos, à côté d’elle. Une main se cale sous ma tête alors que je fixe le plafond une seconde et tourne la tête vers elle.

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@Anthony Lewis ☆ Pénélope

(outfit) Il vaut mieux que ce soit lui qui conduise ce soir parce que je suis encore un peu pompette quand nous arrivons à hauteur la voiture. Et à entendre son rire quand je lui demande à combien de pourcent il était sérieux quand il parlait de se tripoter dans la voiture, je comprends qu’il a bien saisi mon état. « A peu près, 100% » J’éclate de rire en même temps que lui et lui vole un baiser avant de rentrer dans la voiture. Le trajet me semble interminable parce que je suis impatiente qu’on se retrouve tous les deux. Je m’amuse même à taquiner le brun en caressant sa cuisse alors qu’il se gare dans un coin tranquille, hors de la ville. J’ai l’impression d’être une ado en cet instant mais j’aime beaucoup trop l’idée de vivre ça avec lui. Il coupe le moteur  et seules les lumières au loin et celle de la pleine lune viennent nous éclairer. Mon regard croise celui du Lewis, sa main se pose sur ma cuisse et remonte sensuellement le long de ma jambe, je lui souris malicieusement et nos lèvres s’unissent enfin. « t’as même idée depuis combien de temps je pense à pouvoir me glisser sous ta robe --- » J’étouffe un éclat de rire et me pince la lèvre inférieure, mes escarpins glissent de mes pieds … C’est comme ça que nous nous retrouvons, à l’arrière de la voiture, entre rires, gémissements et mains baladeuses… Insouciants comme deux ados, ou comme un jeune couple qui se découvre et qui veut découvrir des endroits improbables.

Lorsque nous rentrons à la maison, nous sommes d’excellente humeurs, joyeux et c’est dans le silence – nous sommes devenus les rois du silence depuis la naissance des jumeaux – que nous faisons un rapide passage dans la salle de bain. J’ai les pieds en compote parce que j’ai beaucoup dansé ce soir et je n’ai qu’une hâte, c’est aller me coucher. Je remercie 1000 fois la mère de Tony pour le service qu’elle nous a rendu et passe un temps beaucoup trop long dans la chambre des jumeaux avant d’aller me coucher. Quand j’arrive dans la chambre, j’ai troqué ma robe pour un débardeur et un short et je me glisse sous les draps en veillant bien à me blottir contre le brun, mon dos collé à son torse. Je n’ai pas sommeil, je suis bien là, blottie dans ses bras. Il se penche d’ailleurs pour embrasser mon épaule, « Tu trouves aussi qu’on est affreusement niais ? » Je fronce les sourcils un instant puis je finis me mettre sur le dos pour lui faire face. « On s’en fout de l’opinion des autres, non ? » Et puis, on avait déjà établi qu’on avait parfois le droit d’être niais non ? Il se redresse sur un coude et j’en profite pour caresser son avant-bras du coup des doigts. Oui je suis niaise et en plus je suis devenue très très tactile, … un vrai cliché !. « Qu’on est comme ces couples dont on se moquait à une époque --- ? » Cette fois, je me pince les lèvres pour m’empêcher de rire, faisant mine de réfléchir … Un échec parce que je vois ses lèvres s’étirer en un sourire que je trouve très sexy, surtout quand il a cette petite fossette… Il écarquille les yeux et ça ne fait qu’accentuer mon hilarité : « Oh non ! ». Il se laisse retomber sur le dos, calant une main sous sa tête. Il fixe le plafond une seconde avant de tourner la tête vers moi. J’en profite pour tourner de son côté, me redressant sur mon coude : « Est-ce que tu trouves que c’est niais d’avoir attendu autant de temps pour se mettre ensemble ? Et puis, on fait tout à l’envers tous les deux, on peut pas être si clichés que ça non ? » je lui demande avant de grimacer et de poser ma main sur son ventre en m’esclaffant : « J’ai bien peur qu’on soit devenus comme ces couples dont on se moquait à une époque. » lui dis-je avec une voix exagérément théâtrale.