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 (mine #34) i wish we stayed just like we were up there

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Jo Carter
Jo Carter
la folie des grandeurs
la folie des grandeurs
  
(mine #34) i wish we stayed just like we were up there MTtf4TM Présent
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie
STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024)
MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas
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POSTS : 10245 POINTS : 810

TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : #A4508B
RPs EN COURS :
(mine #34) i wish we stayed just like we were up there 5c953f317a3937162e191f0bf27014c01d7a275b
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
(mine #34) i wish we stayed just like we were up there E57cb698023adbe437469fd4b2ea21ceb402aaba
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
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JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so

mabel#8 ◦ isabel (fb 2018)midas#34megan#14cleo#2pennyninamicah#10harleenkendall

RPs EN ATTENTE :
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LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
(mine #34) i wish we stayed just like we were up there 5kwj
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
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JERRY ◦ my boy only breaks his favorite toys i'm queen of sand castles he destroys 'cause it fit too right puzzle pieces in the dead of night i should've known it was a matter of time oh oh my boy only breaks his favorite toys (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : alexa demie
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©lomapacks (gif jerry) ◦ ©astra (code)
DC : mavis barnes & alma barton
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/02/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t28932-jo-it-s-a-me-myself-kinda-attitude
https://www.30yearsstillyoung.com/t29075-jo-you-know-i-m-no-good
https://www.30yearsstillyoung.com/t42752-jo-carter

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Message(#)(mine #34) i wish we stayed just like we were up there EmptySam 21 Sep 2024 - 22:01

Midas Sterling adore ce message



- i wish we stayed just like we were up there -
@Midas Sterling ↣ crédits gifs/rampld & ssoveia

"Il descend au même hôtel que toi." Jo jurerait avoir entendu ses cervicales craquer sous la torsion rapide de son cou qu’elle tend en direction de Stefani, son assistante. Elle ne lui demande pas de qui elle parle, elle ne lui demande pas non plus comment elle le sait, elle ne fait que la fixer pendant un bon moment en la suppliant silencieusement qu’elle en vienne vite aux explications, lesquelles ne soulageront certainement pas les battements effrénés de son coeur, mais elle s’en fout. Elle est véritablement suspendue à ses lèvres, à attendre qu’elle daigne les actionner de nouveau "La prod s’est chargée des réservations. Ils choisissent toujours le même hôtel pour les invités, et il n’est pas exigeant au point de négocier ce genre de détails, je t’apprends rien." Elle remue la tête pour lui indiquer qu’elle sait, ouais, et ressent une angoisse curieuse entremêlée à une lueur d’espoir dont elle ignore la provenance. Une chose est sûre : l’information n’est pas tombée dans l’oreille d’une sourde, elle l’obsède même jusqu’à ce qu’elles y arrivent, à ce foutu hôtel "Tu sais s’il est déjà là ?" Stefani attend un instant avant de lui répondre, finit par lui dire que non, malheureusement, mais qu’elle peut se renseigner pour elle si ça lui fait plaisir. Jo refuse d’un froncement de sourcils résolu et se dirige droit vers l’ascenseur après avoir entendu le numéro de sa propre chambre être prononcé par la réceptionniste. Elle s’engouffre dans la cabine, résiste à l’envie de prendre son téléphone portable pour s’amuser de la coïncidence auprès de Midas, ne fait qu’en triturer les angles dans la poche de sa veste qu’elle porte de guingois, comme souvent. Elle laisse la jeune femme s’occuper de tout ce qui la concerne, et se laisse tracter vers les chambres en silence, espérant au fond qu’elle contredira ses ordres pour filer à la pêche aux infos qu’elle lui donnera plus tard, quand elle aura l’impression de ne pas risquer sa place.

Elle n’a pas envie d’être là, elle sait que ça va être une torture. Seulement, c’est contractuel, ce tournage de deux jours pour la production de X Factor qui attend de ses anciens gagnants qui flirtent avec les sommets de venir dispenser leurs conseils à des gamins dont ils vont sucer le sang jusqu’à la moelle, alors a-t-elle vraiment le choix ? Elle ne se pose pas la question, elle est triste et désabusée. Elle n’a pas la force de refuser quoi que ce soit à qui que ce soit. Depuis le début de sa tournée, elle fait ce qu’on lui demande, et si ce n’est les plaies béantes qu’elle laisse suinter à plusieurs endroits de son être, elle serait prête à dire que tout se passe bien pour ses premières dates australiennes. Elle chante, elle danse, elle donne absolument tout ce qu’on attend d’elle, et c’est d’une perfection telle qu’on se demande comment son label a pu douter d’elle. Sauf qu’elle pleure beaucoup aussi, qu’elle dort toujours aussi mal, qu’elle ne mange pas assez, et qu’elle n’est que regrets et angoisses, et ça, personne ne s’en rend véritablement compte ; elle préfère encore retomber dans ses vieux schémas, faire bonne figure, rester forte et droite, que de confirmer les rumeurs qui courent au sujet d’elle et de Midas. Ça ne fait plus vraiment de doute cependant, ça paraît même plutôt évident depuis que, lors de sa propre tournée, Midas a été surpris les yeux baignés de larmes. Mais le déni aussi, c’est plus confortable que l’officialisation de quelque chose provoqué, et à peine consenti de la part de l’un et de l’autre.

Elle fait le plancton devant la porte de sa suite, rumine sur l’idée que sans doute, celle de Midas sera située au même étage, et c’est immédiat : ça lui tord les entrailles. Elle tourne la tête à droite, à gauche, croise mentalement les doigts pour le voir débarquer sans savoir comment elle réagira le cas échéant — si elle évitera son regard, fuira ou restera là, comme une pauvre conne, à espérer croiser ses yeux pour déterminer si c’est aussi pire que ça, ce qu’il ressent, lui aussi.  Elle ne voit que Stefani se diriger vers elle après quelques longs instants durant lesquels elle mûrit une idée certainement un peu idiote, toutefois toute cette situation l’est finalement, que risque-t-elle vraiment ? Le pire est déjà arrivé, elle ne fait que se nourrir de craintes qui trouvent racines dans le fait avéré que c’est sa faute, putain "Pour info, il devrait arriver en fin d’après-midi." Jo reste derrière elle, attend qu’elle utilise la carte magnétique pour ouvrir la porte en battant la mesure avec son pied tout contre la moquette du couloir. Elle emmagasine, elle se mord l’intérieur des joues, s’impatiente un peu, puis lui passe devant pour entrer, et sans crier gare, lui demande en effectuant un tour  précipité sur elle-même "T’as un stylo sur toi ?"

***

Elle a rédigé une note ; une putain de note de quelques mots à peine, sur une feuille provenant du bloc-notes qu’elle a déniché dans sa table de chevet après avoir chapardé son stylo de pétasse à Stefani — une proposition qui prend des allures d’ordre : rejoins-moi au Pellegrino 2000 à 21h. C’est tout, elle n’a même pas signé, elle sait qu'il reconnaîtra son écriture. Elle n’a aucun moyen de savoir si Midas saisira la perche qu’elle lui tend, elle tente quand même parce qu’elle a peur de ce qui va se passer pendant le tournage, demain, et qu’elle veut en discuter avec lui le plus rapidement possible. Ça, c’est la version murmurée par sa fierté. La vraie raison, celle qui lui fait du mal rien que d’y penser, c’est qu’elle crève d’envie de le voir, de lui demander comment il va, et que le seul moyen de s’en assurer, de savoir s’il ne lui ment pas, c’est de l’avoir devant elle, pas dissimulé derrière un écran qu’elle craint plus encore que les mots qu’il serait susceptible de lui décocher par rancune. C’est pour ça, la note : elle préfère encore qu’il refuse de la lire en disant à la réceptionniste à qui elle confié la tache de la lui remettre d’aller se faire foutre, qu’il lui dise, à elle, d’aller se faire foutre par texto. Ce n’est pas son genre, mais rien n’est rationnel dans ce qui lui fait mal depuis leur dispute, alors maladroitement, elle tente de se protéger.

Mais elle a la trouille. Elle s’en rend compte quand elle arrive au petit italien qu’elle a choisi parce qu’elle a toujours aimé Surry Hills, que le quartier est joli, branché, et qu’à défaut d’être heureux ensemble, elle aura pris soin de dorloter leur peine en le conviant à un beau petit dîner dans un endroit mignon, cosi, pas très fréquenté à l’heure où elle a réservé elle-même, congédiant Stefani en lui disant merci, quand même, d’avoir désobéi. Ça lui fait de la peine de ressentir les choses de cette façon, de considérer qu’elle leur fait un cadeau de rupture — il a parlé de pause, les deux mots sont aussi laids l’un que l’autre, elle ne le supporte pas même si là encore, elle ne peut s’en prendre qu’à elle-même — en faisant les choses de cette manière, et elle sent son coeur se serrer sous le décolleté raisonnable de sa petite robe à fleurs, toute simple, plutôt discrète même. Ça en particulier, ça ne dure pas, c’est anesthésié par les trop longues minutes qu’elle passe toute seule, à retourner toutes les possibles réactions qu’elle aurait si Midas décidait de ne pas venir, et qu’il l’abandonnait là, comme elle le mérite, après lui avoir brisé le coeur.


    - i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more. i was grinning like i'm winning, i was hitting my marks, cause i can do it with a broken heart -












    :sing::
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Midas Sterling
Midas Sterling
la nuit des temps
la nuit des temps
  
(mine #34) i wish we stayed just like we were up there IAeu3cF Présent
ÂGE : 30 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion
STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.)
MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre.
LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville.
(mine #34) i wish we stayed just like we were up there SA3wm
POSTS : 1873 POINTS : 190

TW IN RP : ras.
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018
DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible
CODE COULEUR : royalblue.
RPs EN COURS :
(05)
cassie #4ninajo #34oscarharleen #2

(mine #34) i wish we stayed just like we were up there 0e52d1ebe0b1dcceb8f357e7305d9fecfb3e38c7
mine #34 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 12345678910111213141516171819202122232425262728293031323334

(mine #34) i wish we stayed just like we were up there 111
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.

(mine #34) i wish we stayed just like we were up there QNZIW5l
olive #8 & nina #1 & oscar #1 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.

(mine #34) i wish we stayed just like we were up there SteSR
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.

RPs EN ATTENTE : lucas

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.

― statistiques RP ―
2024 ☆ 20232022

AVATAR : Leo Woodall
CRÉDITS : cheekeyfire (avatar), harley (gif profil) rampld2 (gif signature), blondewhoregifs (gif jo), fuckyougifs (gif harleen), harley (gif sterling & cassie)
DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 17/08/2022
https://www.30yearsstillyoung.com/t45772-midas-hide-away-your-sons-and-daughters
https://www.30yearsstillyoung.com/t45785-midas-there-are-times-when-i-don-t-like-myself
https://www.30yearsstillyoung.com/t46660-midas-sterling

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Message(#)(mine #34) i wish we stayed just like we were up there EmptyMer 25 Sep 2024 - 18:00

Jo Carter adore ce message


sur la route

i wish we stayed just like we were up there
Midas Sterling & @Jo Carter ☆ crédit/ssoveia

Le contrat que j’ai signé avec la chaîne qui produit toute la franchise X-Factor m’interdisait de me défiler et d’annuler ma venue à cet événement. J’ai vérifié la clause, j’ai demandé à Marley, l’assistante qui m’a été mise dans les pieds suite au départ de Cassie, de vérifier toutes les écritures en petit caractère et me dérober à cette obligation aurait engagé une procédure judiciaire qui me donne mal à la tête rien que d’y penser. Pourtant, rien que de penser à ce fichu plateau de télévision me donne mal au crâne. Synonyme de souvenirs tout sauf simple, l’émission est surtout l’un des symboles de ma relation avec Jo et bien que je continue à penser à une pause lorsqu’il est question de mon couple, je ne suis pas assez idiot pour me voiler entièrement la face. La brune m’a quitté et je l’y ai encouragé. Si je considère encore aujourd’hui que ma réaction concernant son projet était légitime, j’aurais voulu que les choses ne dégénèrent pas comme elles l’ont fait. J’aurais voulu que nous arrivions à nous écouter plus et à communiquer mieux, mais je ne suis toutefois plus assez naïf ou aveugle pour porter seul la responsabilité de ce foutu gâchis. Je continue en grande partie de la trouver immature et injuste en ce qui concerne Harleen, mais ses propos m’ont travaillé et je suis venu à la conclusion que ce serait hypocrite de refuser d’admettre que j’ai été un peu con à ce sujet. Que mon ex soit indéboulonnable est une chose, mais qu’elle soit aussi à l’aise lorsqu’il est question d’investir mon quotidien en est une autre. Mal à l’aise, j’ai pris les choses en main avant de partir en tournée : j’ai tenté de poser à l’insouciante un certain nombre de limites saines, normales, mais qui arrivent certainement trop tard. Auraient-elles suffi à elle-seule à étouffer la jalousie de Jo et éviter le drame ? J’en doute, puisque je doute que son attitude lorsqu’il est question de Tomlinson aurait été différent et c’est bien là le problème ; je peux faire tous les efforts du monde de mon côté, si Jo n’en fait qu’à sa tête du sien nous allons droit dans le mur.

Alors je suis partie en tournée sans un mot à son égard. Sur scène, j’ai interprété cette foutue chanson exclusive que j’avais écrite lorsque tout allait bien, lorsque nous étions ensemble, et j’ai senti des putains de larmes me monter aux yeux. Plus tard, interrogés par mes proches, mon manager ou mon assistante à ce propos après que les extraits de mon concert soient devenus viraux, j’ai répondu d’un grognement. Tout le monde se doute du pourquoi, ai-je vraiment besoin de le vocaliser ? Deux concerts, trois, puis j’ai cessé d’interpréter ce fichu titre, et c’est tout ce dont il a eu besoin pour exploser sur les plateformes de streaming, battant les scores de démarrage de la plupart de mes titres à l’exception de We don’t talk anymore. La chanson est un franc succès, tout le monde se félicite mais, moi, je ne peux même plus l’entendre sans me mettre profondément et véritablement en colère. En colère contre ceux qui célèbrent cette ode à quelque chose qui n’existe plus, en colère contre les paparazzis et journalistes qui n’ont qu’une seule question à la bouche, en colère contre moi-même et en colère contre Jo. Puis son clip est sorti. J’ai d’abord refusé de le regarder mais, puisque personne n’est venu me parler de l’implication de ce connard d’acteur, j’ai fini par le lancer avec appréhension. J’ai découvert que la chanteuse l’avait soit coupé au montage, soit fait machine arrière, le résultat étant le même : je n’ai pas eu à être confronté à sa gueule de con. A-t-elle changé d’avis pour moi ou à cause de moi ? Cette distinction n’existe peut-être pas aux yeux de beaucoup, mais pour moi elle compte, mais je me suis empêché de lui envoyer un message pour lui poser la question.

En revanche, j’en ai pianoté un à son intention en fin d’après-midi, le jour du lancement de sa tournée. Je lui ai dit que j’étais fier d’elle, et je l’ai fait avec sincérité. Les quelques messages que nous nous sommes adressés m’ont laissé sur ma faim et désireux de plus mais la retenue de Jo m’a encouragé à rester sobre. A rester à ma place, a savoir pas grand-chose.

Mais quand, à l’accueil de l’hôtel, on me tend une note pliée en deux laissée pour moi, et que j’y reconnais l’écriture de Jo qui me donne rendez-vous pour le diner dans un restaurant de la ville, je suis à la fois excité et terriblement nerveux. Nous nous sommes quittés sur des mots difficile, si bien que je suppose que l’on peut difficilement m’en tenir rigueur. Toutefois, je n’hésite pas un instant ; je jette un coup d’œil à ma montre pour jauger le temps qu’il me reste, m’installe rapidement dans la suite réservée à mon nom, prends le temps de troquer mon t-shirt noir contre une chemise blanche et grimpe dans la berline qui m’attends au pied de l’établissement luxueux.

Elle est déjà là. Mon regard est immédiatement aimanté par la silhouette de Jo qui attend seule assise à une table, et je sens toute ma combativité – le peu qu’il m’en restait encore depuis notre dernière discussion – s’envoler immédiatement. Je marche jusqu’à elle comme un idiot jusqu’à la potence, à moitié hypnotisé par son apparition dans mon champ de vision. J’arrive jusqu’à elle sans même prendre conscience que je marche et, lui faisant face sans oser m’asseoir, je prends mes mains l’une dans l’autre pour contenir ma nervosité. « T’es… » Je m’assène une gifle mentale vouée à me rappeler que je ne suis pas un adolescent. « T’es ravissante. » Elle l’est toujours et le mot me paraît même trop faible. « Je… Je peux m’installer ? » Je me jette à l’eau et dénoue mes mains pour désigner la chaise en face d’elle, comme si je n’étais pas ici pour ça, comme si elle ne m’avait pas invité et que je doive lui demander la permission.    




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MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas
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ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
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MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
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CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
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JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so

mabel#8 ◦ isabel (fb 2018)midas#34megan#14cleo#2pennyninamicah#10harleenkendall

RPs EN ATTENTE :
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LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
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DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
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JERRY ◦ my boy only breaks his favorite toys i'm queen of sand castles he destroys 'cause it fit too right puzzle pieces in the dead of night i should've known it was a matter of time oh oh my boy only breaks his favorite toys (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : alexa demie
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©lomapacks (gif jerry) ◦ ©astra (code)
DC : mavis barnes & alma barton
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/02/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t28932-jo-it-s-a-me-myself-kinda-attitude
https://www.30yearsstillyoung.com/t29075-jo-you-know-i-m-no-good
https://www.30yearsstillyoung.com/t42752-jo-carter

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Message(#)(mine #34) i wish we stayed just like we were up there EmptyJeu 26 Sep 2024 - 10:58

Midas Sterling adore ce message



- i wish we stayed just like we were up there -
@Midas Sterling ↣ crédits gifs/rampld & ssoveia

Jo regrette de ne pas avoir pris son téléphone. C’est de la superstition de bonne femme, elle s’est dit que sans ça, elle n’appellerait pas le mauvais sort en vérifiant toutes les trente secondes son écran à l’affût du message de Midas qui lui annoncerait qu’il ne viendrait pas. Ça fait que là, elle est dans un flou artistique qui la ronge durant de longues minutes. Elle tente de rester optimiste, elle pense aux messages qu’ils ont échangés, surtout au fait qu’il a fait le premier pas. C’est peut-être qu’au fond, malgré la manière dont s’est terminée leur précédente discussion — dispute — en face-à-face, il n’est pas totalement fermé à l’idée de lui adresser la parole ? Elle n’en sait rien, il ne lui a pas donné grand-chose de plus après qu’elle soit partie de chez lui, évitant le débat autour de Harleen en installant définitivement l’impression qu’elle a toujours eu que tout ce que lui ressent vaut mieux que ce qu’elle ressent. Ce n’est rien, elle n’est pas là pour ressasser, elle n’en a sincèrement pas la force, l’envie encore moins, même si elle sait qu’une discussion posée ne leur ferait pas de mal. Elle préfère laisser ça de côté, se retirer cette pression des épaules, elles pèsent déjà bien trop lourd, d’aperçoit-t-elle, quand elle se redresse légèrement pour tendre le cou et jeter un oeil à l’entrée du restaurant. Elle ne sait même pas quelle heure il est, et elle n’a pas envie de s’en informer auprès de qui que ce soit, même pas auprès du petit serveur d’une vingtaine d’année qui vient lui déposer une assiette d’antipasti sous le nez en lui indiquant avec un sourire que c’est un cadeau de la maison. Elle s’en fout de la bouffe, elle n’est pas venue là pour ça — elle picorera à peine plus tard, et ne prendra même pas de dessert alors que c’est ce qu’elle préfère. Elle le remercie quand même, et continue d’attendre en se torturant l’esprit et en se triturant les doigts, tournant et retournant les bagues qu’elle porte, replaçant les lignes fines des bracelets coûteux qui ornent ses bras. Il n’y a pas grand-monde autour, ce soir, elle se sent tout de même un peu oppressée par l’idée qu’on la reconnaisse — c’est déjà le cas, le serveur n’est pas venu la rincer avec sa charcuterie et son fromage parce qu’il la trouve jolie, de toute évidence.

Elle n’a pas le temps de méditer sur ça étant donné qu’elle voit Midas arriver. Elle s’entend relâcher une petite colonne d’air coincé dans sa poitrine, elle sent son coeur manquer une palanquée de battements, luttant pour retrouver le bon rythme, et sa gorge se serre sans qu’elle ne sache si c’est parce qu’elle est contente de le voir, ou si c’est parce que ça lui fait du mal de songer qu’il va s’avancer, arriver devant elle, et choisir de rester à une certaine distance, puisque c’est de cette façon qu’ils doivent se comporter l’un avec l’autre maintenant. Pas d’étreinte, pas de baiser, à peine un sourire que Jo est la première à lui adresser lorsqu’enfin, il se retrouve devant elle. Elle évite de s’arrêter sur sa mine, même si ses yeux ne réussissent à rien faire d’autre qu’à dévorer la moindre miette qu’il lui laisse en terme d’expression, et la conclusion est aussi douloureuse que le reste : il n’a pas l’air au mieux de sa forme. Il reste beau à crever, le débat n’existe pas, mais il l’aurait plus été encore s'il n’avait pas paru aussi abattu. Elle cligne des yeux, sent le poids de son mascara sur ses cils qui chassent le voile humide qui brouille brièvement sa vue, et se recentre sur sa voix. Mais ça aussi ça lui fait du mal, et finalement elle se demande si ce dîner est une bonne idée. Elle finit par accentuer un peu son sourire au compliment qu’il lui fait, se somme de dire quelque chose, n’importe quoi, qui éviterait au moins un peu de la faire passer pour une pauvre conne "Mer…" Sa voix se brise au milieu, trahie par l’émotion que lui procure son arrivée. Ce n’est pas douloureux, c’est juste gênant, alors elle force une toux légère, regrette le verre qu’elle a refusé tout à l’heure au serveur qui aurait sans doute lubrifié ses cordes vocales qui finissent par coopérer après une seconde "Merci." réussit-elle à dire enfin. Pas de sarcasme, pas de boutade graveleuse, pas de t’es pas mal non plus qui aurait été bien sage en comparaison à ce qu’elle pense vraiment de lui. Non, Jo reste droite et sur la retenue, hochant la tête lorsqu’il lui demande s’il peut s’asseoir "Bien sûr. Je t’attendais." Dans l’intervalle, celui dont il a besoin pour s’asseoir, elle dégage ses cheveux pour les coincer à deux mains derrière ses oreilles en attendant qu’il relève la tête pour le regarder, et lui dire, dans un substitut de rire léger qui accompagne ses paroles "Je suis désolée pour la note, ça a dû te paraître un peu exagéré." Elle laisse un très court temps de latence, puis elle continue de se justifier en baissant les yeux cette fois, poussant vers lui l’assiette d'antipasti qu’elle, elle ne touchera pas "J’aurais juste pu t’envoyer un texto, mais j’avais pas envie de te déranger pendant ton trajet." C’est à moitié vrai. Seulement, elle ne veut pas lui avouer qu’elle craignait le rejet. En revanche, elle peut bien lui avouer autre chose qu’elle annonce en glissant ses mains sous la table, les posant sur ses genoux, pour ne plus être tentée de jouer avec ses bagues, ses yeux retrouvant les siens pendant quelques secondes de silence qu’elle brise donc, timidement "Ça me fait plaisir que tu sois venu."


    - i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more. i was grinning like i'm winning, i was hitting my marks, cause i can do it with a broken heart -












    :sing::
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Midas Sterling
Midas Sterling
la nuit des temps
la nuit des temps
  
(mine #34) i wish we stayed just like we were up there IAeu3cF Présent
ÂGE : 30 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion
STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.)
MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre.
LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville.
(mine #34) i wish we stayed just like we were up there SA3wm
POSTS : 1873 POINTS : 190

TW IN RP : ras.
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018
DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible
CODE COULEUR : royalblue.
RPs EN COURS :
(05)
cassie #4ninajo #34oscarharleen #2

(mine #34) i wish we stayed just like we were up there 0e52d1ebe0b1dcceb8f357e7305d9fecfb3e38c7
mine #34 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 12345678910111213141516171819202122232425262728293031323334

(mine #34) i wish we stayed just like we were up there 111
money #2 ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.

(mine #34) i wish we stayed just like we were up there QNZIW5l
olive #8 & nina #1 & oscar #1 ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.

(mine #34) i wish we stayed just like we were up there SteSR
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.

RPs EN ATTENTE : lucas

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.

― statistiques RP ―
2024 ☆ 20232022

AVATAR : Leo Woodall
CRÉDITS : cheekeyfire (avatar), harley (gif profil) rampld2 (gif signature), blondewhoregifs (gif jo), fuckyougifs (gif harleen), harley (gif sterling & cassie)
DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 17/08/2022
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Message(#)(mine #34) i wish we stayed just like we were up there EmptyVen 27 Sep 2024 - 20:04

Jo Carter adore ce message



i wish we stayed just like we were up there
Midas Sterling & @Jo Carter ☆ crédit/ssoveia

J’ignore si je suis à l’heure ou si je passe la porte du restaurant en retard. J’ai fait aussi vite que j’ai pu mais, dans mon empressement, j’ai négligé de jeter trop de coups d'œil à mon téléphone. Il a perdu tout intérêt pour moi à la seconde où une petite note sur une note estampillée du logo de l’hôtel m’a fait miroiter une autre perspective de soirée que de m’enfermer seul dans ma chambre. Et quelle perspective. Je n’ignorais pas que je croiserai la Jo dans le cadre du tournage de l’émission supposée donner le départ de la nouvelle saison de l’émission qui nous a tous les deux révélés - nous sommes après tout toujours en couple pour le grand public et on aurait attendu de nous que nous nous comportions comme si nous en étions encore un - mais, en toute honnêteté, je ne m’attendais pas à un pas dans ma direction. J’ai été celui qui a initié tous nos -rares - échanges des semaines passées, Jo s’est contentée de s’enfermer dans un mutisme qui m’a interrogé. Avant la sortie de son clip, j’en avais déduit qu’elle avait tiré un trait définitif sur notre relation et qu’elle ne répondait à mes quelques textos que par correction et politesse. Sur le chemin du restaurant, je tente de faire en sorte de tempérer mes attentes par rapport à ce soir. J’explore toutes les hypothèses pessimistes pour ne pas prendre le risque de rêver trop fort. Je me dis qu’elle veut simplement que nous discutions pour être tous les deux à l’aise sur le plateau demain. Que nous accordions nos violons pour ne pas attirer l'œil scrutateur du public sur notre pause - ou rupture, selon les points de vue. Je dresse la liste de toutes les raisons qui auraient pu la pousser à me proposer de nous retrouver ce soir, d’autres que tu me manques, je veux te retrouver. Qu’en ferions nous seulement de cette affirmation ? Je lui dirais qu’elle est réciproque - c’est le cas - mais après ? Se manquer ne change rien à nos désaccords. Jo s’imagine certainement toujours que je la diabolise et que j’ai scruté ses moindres actes ces derniers mois dans l’attente d’une erreur qui me permettrait de la pointer du doigt. Cette hypothèse ferait de moi un putain d’hypocrite et, si j’ai des défauts, je ne crois pas être nanti de celui-là.

Elle m’adresse un sourire et j’ignore à quel point j’ai le droit de le lui retourner. Bien sûr, mon cœur loupe un battement. Qu’elle ait l’air fatiguée et triste ne change rien au fait qu’elle est à mes yeux radieuse. Je me décide pour un rehaussement du coin de ma lèvre pour lui signifier à quel point elle m’a manqué, à quel point je m’éclaire rien que parce qu’elle est là dans mon champ de vision, mais prouvant aussi que j’ignore quel genre de réaction j’ai le droit d’avoir étant donnée l’état de notre relation aujourd’hui presque inexistante. Nous n’avons plus de couple que le nom, pourtant, ni l’un ni l’autre n’avons officialisé quoi que ce soit auprès des médias. Ai-je le droit d’en tirer l’espoir qu’elle n’en veuille pas plus que moi, de cette rupture que les polaroïd annoncent déjà en prétendant tirer leur source d’un "proche du couple" qui n’existe que pour vendre leur feuille de chou ? « Merci. » Mon sourire s’agrandit un peu et je me permet même de poser mes deux mains sur le dossier de la chaise vide face à elle. Je ne prends toutefois pas place, pas sans son invitation. « Bien sûr. Je t’attendais. » Un léger hochement de tête, puis je tire la chaise pour m’installer. Mes mains ne prennent pas place sur la table, elles restent sur mes genoux, dissimulées par la table tandis que je joue nerveusement avec mes doigts. « Je suis désolée pour la note, ça a dû te paraître un peu exagéré. J’aurais juste pu t’envoyer un texto, mais j’avais pas envie de te déranger pendant ton trajet. » - « Non, c’est pas grave. Ton initiative m’a fait plaisir. J’espère que je suis pas trop en retard, on a décollé plus tard que prévu, je pensais arriver à l’hôtel en fin d’après-midi. » Et non pas en début de soirée. Le jet a manqué le créneau prévu pour son décollage et le pilote a dû en attendre un autre, tandis que j’attendais patiemment sur mon siège de luxueux. Décidément, les problèmes liés à l’aviation semblent récurrents dans notre couple. « Ça me fait plaisir que tu sois venu. » Nous voilà résolu à échanger somme toute des banalités que, même au début de notre relation, nous n’avons pas échangées. Je ne lui jette pas la pierre : je ne suis pas plus à l’aise qu’elle ne l’est. « J’ai même pas envisagé de pas le faire. » La seule chose que j’ai envisagée, c’est de monter me changer le plus rapidement possible pour ne pas risquer qu’elle s’impatiente et ne reparte du restaurant avant que je ne passe la porte d’entrée. « J’ai suivi un peu le début de ta tournée. » Je lui fais cette confession sur le bout des lèvres. Gêné, jôte mes mains de mes cuisses pour les poser sur la table. D’un main, je triture les cuticules de l’autre en bénissant le public de n’avoir rien à faire de ce genre de détail chez un homme. « C’est vraiment chouette, l’énergie que tu dégages sur scène. C’est très pro, le résultat est superbe. » Je le pense et je ne mens pas : j’ai réellement regardé la majorité des rediffusions que j’ai pu trouver sur les réseaux. « C’est tout ce que t’imaginais ? Comment tu vis le rythme ? »




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Jo Carter
Jo Carter
la folie des grandeurs
la folie des grandeurs
  
(mine #34) i wish we stayed just like we were up there MTtf4TM Présent
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie
STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024)
MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas
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POSTS : 10245 POINTS : 810

TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : #A4508B
RPs EN COURS :
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MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
(mine #34) i wish we stayed just like we were up there E57cb698023adbe437469fd4b2ea21ceb402aaba
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
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JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so

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Message(#)(mine #34) i wish we stayed just like we were up there EmptySam 28 Sep 2024 - 14:39

Raelyn Blackwell adore ce message



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@Midas Sterling ↣ crédits gifs/rampld & ssoveia

"Non, t’es à l’heure. C’est moi, je suis arrivée beaucoup trop en avance." L’excès de politesses échangées entre eux lui donne envie de s’éclater la tête contre un mur. Ce n’est pas naturel, c’est franchement poussif, complètement ridicule même, mais c’est appelé par le sentiment de gêne qu’ils ressentent tous les deux à un niveau presque égal. Elle le regarde s’installer, elle reste sage, ses mains se glissant sous la table pour se poser sous ses genoux qu’elle serre par souci réel de ne pas empiéter sur son espace. La table est petite, ses dimensions n’aident pas à garder un certain recul sur son interlocuteur, ça fait qu’elle sent sa chaleur se réverbérer contre sa peau, qu’elle sent son odeur aussi, la bouffée qu’elle reçoit de son côté tandis qu’il s’assoit lui arrivant soudain en plein visage. Elle est faite pour un couple d’amoureux, cette table, ce qu’ils ne sont plus vraiment même si la manière dont le coeur de Jo bat dans sa poitrine lui dit absolument le contraire. Elle ne réussit pas à détacher ses yeux de Midas, elle l’observe, elle essaye de tirer des conclusions de ce qu’il laisse transparaître, mais c’est douloureux, alors au bout d’un moment, elle baisse la tête en ne sachant pas si elle va réussir à le regarder à nouveau de tout le dîner. Elle en a envie, elle veut s’accrocher à son regard, s’y plonger et s’y perdre sans envie de remonter à la surface une seule seconde, puisant son oxygène en lui et en ce qu’il représente pour elle, mais elle se souvient que la dernière fois qu’elle l’a fait, ce qu’elle y a lu l’a obligée à se poser des questions sur les raisons qui le faisaient rester avec elle tant elle réalisait en même temps qu’il semblait vivre ça comme une véritable torture d’être amoureux d’elle. A nouveau, elle force une toux légère pour donner l’impulsion nécessaire à sa voix d’être claire, mais elle sort plus rauque que d’ordinaire. Elle ne s’en soucie pas, même si elle le regrette, intervient au milieu de la phrase de Midas qui lui parle de l’heure prévue de son arrivée à l’hôtel et hoche doucement la tête "Hm, je sais." Elle pourrait se justifier, lui dire que c’est Stefani qui a fourré son nez dans ses affaires et qu’elle n’est pas responsable de ça pour éviter qu’il s’imagine qu’elle le traque en se tenant au courant de ses moindres faits et gestes, seulement elle ne le fait pas. La vérité, c’est que ça l’a bien arrangée d’avoir cette info, et que c’est grâce à elle que maintenant, ils se retrouvent là tous les deux, à ne pas savoir comment se comporter l’un envers l’autre, mais peu importe.

La succession de banalités continuent. Ça parait évident qu’elle est heureuse qu’il soit là, mais elle le lui dit, et sa réponse comble quelque chose en elle qui ressemble à une lueur d’espoir qu’elle n’a pas envie d’alimenter. Elle sait, qu’ils sont coincés dans quelque chose de plus important qu’une mauvaise passe. Les premiers jours après que lui soit parti en tournée, elle est revenue chez lui pour vider toutes les étagères qu’il avait libéré pour elle, scellé tous les cartons qu’elle avait défait quelques semaines plus tôt, et fait en sorte de libérer tous les espaces qu’elle avait occupé avec ses affaires pour qu’une fois de retour, il reprenne possession de sa maison sans se soucier de la voir débarquer un jour pour récupérer ce qui lui appartient. Elle a parqué tout ça dans un garde-meuble qu’elle a loué à la dernière minute, pris une chambre hors de prix à l’Emerald Hotel pour ne perturber ou n’inquiéter personne, refusant de retourner chez sa grand-mère à qui elle n’a pas expliqué grand-chose, et s’est promis de se trouver un endroit où vivre une fois sa propre tournée terminée ; elle n’en a pas envie, mais elle le fera en temps et en heure. En attendant, elle lui est silencieusement reconnaissante de saisir la perche qu’elle lui a tendu, et se contente d’un léger sourire et d’un nouveau hochement de tête pour lui faire comprendre qu’elle l’a entendu et que ça la touche que l’hésitation n’ait pas fait partie de ses options lorsqu’il a lu sa note.

Elle ne sait pas comment enchaîner. C’est rare chez elle, ce silence gêné, alors encore un peu, elle lui est reconnaissante de savoir comment entamer les choses. Il choisit la facilité : sa tournée sur laquelle il semble garder un oeil et dont il la félicite sans qu’elle ne doute un seul instant qu’il le pense pour de vrai. Ça lui serre le coeur, remet en perspective l’idée que, si elle est plus ou moins heureuse de comment ça se passe, elle avait espéré avoir le coeur plus léger lorsqu’elle serait sur les routes. Ce n’est pas le cas. C’est terrible, elle déteste, et ironiquement, elle ne supporte pas l’attention à laquelle elle a droit alors qu’elle l’a voulu absolument toute sa vie. Elle prend un temps de réflexion, finit par hausser les épaules dans un sourire en demi-teinte, ses mains sortant de leur cachette pour se poser, jointes par le bouts de ses doigts, sur la table "Pas exactement." Elle ne lui dira pas qu’elle s’était attendue à pouvoir débriefer de chacune de ses dates avec lui, de se languir de celles sur lesquelles il l’aurait rejointe pour rendre fous leurs fans, de trouver un moyen de le rejoindre à la moindre occasion pour le voir, de pouvoir longuement réfléchir à comment ils passeraient leurs vacances après qu’ils auraient accomplis toutes les dates de leur tournée respective. Vivre tout ça seule, c’est ce qui l’avait angoissée dès le début, alors y être confrontée en temps réel, ça appuyait juste le fait qu’elle avait eu raison de se faire des noeuds au ventre à ce propos. Mais elle essaye d’en tirer du bon, ne serait-ce parce qu’elle n’a pas envie qu’il culpabilise de quoi que ce soit, ainsi elle ajoute après un instant "Mais c’est pas si mal au fond, je peux difficilement me plaindre." Tout le monde a l’air ravi à côté de ça, ça contente le besoin qu’elle a toujours eu d’impressionner son monde. En ce sens, elle continue, et se risque à poser ses coudes sur le bord de la table pour appuyer la pointe de son menton dans les paumes de ses mains, ses yeux cherchant un point d’ancrage autre que ceux de Midas. Elle finit par regarder ses doigts qu’il triture, retient l’envie de lui faire arrêter de tirer sur les petites peaux autour de ses ongles en lui prenant la main "Le premier soir, je me suis rendue compte d’à quel point c’est bruyant, 1500 personnes entassées dans la même petite boîte." La capacité des salles dans laquelle elle se produit est loin des stades que Midas remplis, mais ça reste impressionnant quand on a eu l’habitude des plateaux de télévision et des scènes amateur. Elle a fait quelques festivals, c’est vrai, mais c’est différent ; dans un endroit fermé, on prend toute la mesure de la folie que ça représente d’être là, regardée par des gens qui scandent votre nom et chantent vos chansons. Elle a eu besoin de faire le point un instant quand, encouragée par ses musiciens à retirer ses oreillettes, elle avait entendu la clameur du public l’envelopper de toute part. Elle avait repensé au message de Midas qui lui disait qu'il était fier d’elle, et elle a eu les larmes aux yeux. Elle le lui avoue d’ailleurs "Ça m’a bouleversée de réaliser que c’est pour moi qu’ils étaient là. Je crois que j’ai eu mon I made it moment plus tôt que je l’imaginais, c’était un peu bizarre." Bizarre parce qu’elle n’avait pas pu lui en parler, le prendre dans ses bras pour s’en féliciter avec lui, et qu’elle aurait aimé lui demander quand est-ce que lui, il l’avait ressenti, ce fameux moment où on réalise que le travail paye et qu’on a réussi. Elle sent sa gorge se serrer, se redresse pour laisser son dos reposer contre sa chaise et après une courte inspiration, elle reprend brièvement "En comparaison, le silence de ma chambre d’hôtel, ça a été…" l’enfer. Elle ne le dit pas, mais les faits sont là : elle n’a pas dormi, ce soir-là.

Et si elle passe vite à autre chose, c’est parce qu’encore une fois, elle ne veut pas qu’il ressente le moindre sentiment de culpabilité à ce sujet-là. Elle laisse une seconde passer, et puis à son tour, elle se somme de se jeter à l’eau. Elle le fait, la tête doucement inclinée sur le côté, la bouche entrouverte, hésitante, jusqu’à ce qu’elle se dise qu’elle l’a invité, qu’elle se doit de se comporter comme l’adulte qu’il doit surement toujours penser qu’elle n’est pas. Elle commence "J’ai envie de te demander comment tu vas, mais je veux pas que tu crois que je me moque de toi." C’est loin d’être le cas. Pour toutes explications, elle poursuit en continuant de soutenir son regard — avec un peu plus d’instance cette fois "J’ai vu les vidéos." Avant de les voir, on lui en a parlé, on les lui a envoyées surtout. Elle a reçu des milliers de messages, certains commençant par des qu’est-ce que tu lui as fait, espèce de salope, d’autres se terminant par j’espère que tu vas crever, sale pute, de rares fois se composant de conseils du type tu devrais t’en tirer une dans la bouche, pouffiasse — le contraste est saisissant de violence entre les vagues d’amour qu’elle reçoit tous les soirs et celles contraires qu’elle essuie chaque fois qu’elle ouvre ses réseaux sociaux qu’elle a fini par ne plus ouvrir du tout d’ailleurs, laissant à Stefani le loisir d’y poster ce qu’elle a envie. En parlant de ça "J’ai écouté ta chanson aussi." Elle tente un nouveau très léger rire, hausse les sourcils en se réinstallant un peu plus droite sur sa chaise "Je l’entends partout, en fait. Elle tourne bien, elle est immanquable." Et ce n’est pas une critique, le prouve ce qu’elle ajoute "Tu m’as pas menti quand tu m’as dit que tu tenais quelque chose de différent." De différent, de beau, de bouleversant aussi — surtout. Elle n’a rien manqué des paroles, et c’est peut-être bien pour ça que c’est douloureux. Elle cligne des paupières, baisse finalement les yeux, les siens grouillant de picotements alarmants "Ça te va bien. Ta voix est —" A défaut de trouver le bon mot, elle pose ses deux mains à plat sur sa poitrine, sent son coeur dessous, mais ne dit rien de plus avant de les reposer sur ses genoux et de compléter "Tu devrais continuer à la chanter." Elle a entendu dire qu’il ne le faisait plus depuis quelques dates, alors elle l’encourage innocemment, même si au fond d’elle, elle comprend que c’est difficile, qu’il prend de la distance parce que lui aussi, il s’était imaginé les choses différemment.


    - i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more. i was grinning like i'm winning, i was hitting my marks, cause i can do it with a broken heart -












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Midas Sterling
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la nuit des temps
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ÂGE : 30 ans (15.10.1993) - balance ascendant lion
STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher. (le déni de leur "pause" est réel.)
MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre.
LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville.
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PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018
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Message(#)(mine #34) i wish we stayed just like we were up there EmptyMar 1 Oct 2024 - 15:52

Jo Carter adore ce message



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Midas Sterling & @Jo Carter ☆ crédit/ssoveia

« Hm, je sais. » Un sourire s’étire sur mes lèvres mais il est discret, léger, il semble presque désolé d’être là. Soucieux de ne pas me faire des idées – voire de sembler prétentieux – je garde à l’esprit la possibilité que toutes ces infos lui soient parvenues sans qu’elle ne le désire, à la façon de parasite lui rappelant ma présence alors qu’elle aurait préféré que nous restions loin l’un de l’autre, pour son bien à elle. Le mien, il n’existe pas loin d’elle et alors que nous sommes séparés. Il n’est plus d’actualité et je me contente de m’immerger de la tête aux pieds dans un déni qui, à défaut d’être confortable, me donne au moins le sentiment de ne pas avoir perdu ce à quoi je tiens le plus au moindre après ou avec ma petite fille.

J’ignore si, sur scène, Jo pense à nous. Je n’ai jamais remis en question la force de ses sentiments à mon égard mais face au public, sont-ils renversés par la vague d’attention et de sollicitations qu’elle reçoit ? Au contraire, est-elle comme moi ? Le manque de l’autre est-il amplifié chez elle par la pratique de cet art qui nous a rassemblé à l’origine ? Toutes mes chansons ou presque parlent d’elle. Pendant six ans, j’ai réussi à me retrouver face à des stades entiers remplis de fan m’écouter chanter sans ciller mais, désormais, chaque soir me semble être une épreuve. Un rappel constant de ce que j’ai perdu. Je pense qu’avant de réellement l’avoir, elle avait à mes yeux ce statut de fantasme, de rêve inaccessible et duquel je parvenais une fois sur scène à me détacher, la femme de mes chansons me paraissant presque fictive. Mais elle ne l’est plus du tout, à présent. Pas alors que je l’ai tenue dans mes bras, que je l’ai embrassée et que je lui ai fait l’amour plus de fois que je ne peux le compter. Mais pour elle qui vit tout ça pour la première fois, qu’en est-il ? Parvient-elle à en profiter comme elle le mérite ? « Pas exactement. » Je suis sincèrement désolé – le mot est faible – pour elle. Lorsque je lui ai affirmé qu’elle méritait de vivre toutes ces premières fois survoltantes libre de toute attache ou de tout compte à rendre, je le pensais sincèrement. J’étais prêt à me retirer de l’équation sans faire d’histoire au nom de l’injustice de la situation ; moi j’ai eu le droit à tout ça. On peut difficilement dire que j’en ai profité – Harleen était une exception, pas une généralité, je n’ai pas fini dans les bras d’une jeune groupie à chaque date et chaque concert – mais j’ai pu vivre l’expérience comme je voulais la vivre ou en grande partie. « Mais c’est pas si mal au fond, je peux difficilement me plaindre. » - « Pour ton prochain album, tu auras le droit à quelque chose de plus grand. » Etant donné le succès de sa tournée actuelle, son label doit même se mordre les doigts de ne pas avoir vu plus gros avec elle. « Je suis certain que ça compensera. » A défaut d’avoir vécu les choses en grand dès son premier album, elle les vivra, c’est tout ce qui compte. Décidé à ne pas me faire d’illusion, je me borne à supposer que ce n’est que de ça qu’il s’agit, que ce serait prétentieux d’imaginer que c’est en partie à cause de moi ou plutôt de notre séparation. « Le premier soir, je me suis rendue compte d’à quel point c’est bruyant, 1500 personnes entassées dans la même petite boîte. Ça m’a bouleversée de réaliser que c’est pour moi qu’ils étaient là. Je crois que j’ai eu mon I made it moment plus tôt que je l’imaginais, c’était un peu bizarre. » - « Tu sais ce que j’en pense. Tu l’aurais mérité plus tôt encore. » Dieu que c’est étrange que d’énoncer des paroles convenues – certes sincères – mais qui n’ont pas la profondeur des discussions que nous pouvions avoir lorsque nous étions un couple. Elle mériterait plus de monde, d’ailleurs, et le public mériterait plus d’elle. Je sais que les billets pour la voir s’arrachent et qu’elle aurait pu remplir des salles plus grandes. Je ne le dit pas – lorsqu’elle a appris qu’elle ne ferait pas la tournée qu’elle avait imaginé, je me suis mordu les doigts de lui avoir mis des étoiles dans les yeux – mais je sais qu’elle se produira dans un avenir proche dans des stades entiers. Son talent est sans borne – en toute objectivité – et elle a pris une direction artistique qui certes m’interroge parfois, mais me semble toute désignée et dans l’air du temps. « En comparaison, le silence de ma chambre d’hôtel, ça a été… » - « Ouais… Je sais ce que c’est. » Et pas uniquement parce que j’aimerais l’avoir auprès de moi dans les miennes. « Tu passes de journée où tout le monde hurle ton nom, où tout le monde essaie d’être près de toi, de te toucher – » Autrement dit : où tous les sens sont sur-sollicités. « – A des chambres d’hôtel vides et silencieuses. C’est pas un sentiment agréable. La première année, j’étais incapable de m’endormir sans la télévision allumée. » Le programme importait peu : je regardais aussi bien des documentaires animaliers que le premier film abrutissant qui me tombait sous la main, l’objectif étant simplement de briser ce silence angoissant à cause de ce qu’il tranchait avec mes journées. Maintenant, j’ai appris à apprécier le calme après la tempête. Bien sûr, c’est indépendant du fait qu’elle me manque tous les soirs. Pour ça, je n’ai pas de solution toute trouvée.

« J’ai envie de te demander comment tu vas, mais je veux pas que tu crois que je me moque de toi. » Je ne l’aurais pas cru, dans les faits. Elle ne m’a pas habitué à recevoir le sarcasme méprisable dont elle a fait preuve lors de notre dispute. Elle le réservait à d’autres : moi, j’étais épargné et protégé de ce trait de caractère là. « J’ai vu les vidéos. » Bien sûr que je sais de quoi elle parle, il s’agit même de la raison pour laquelle mon regard fuit le sien. Tout le monde ne parle que de ces foutue vidéo qui ont contribué à rendre mon nouveau titre viral. Etant donné le cœur que j’y ai mis, les espoirs que j’ai placés dans cette production différente de ce que je fais habituellement, le goût de son succès est un peu amer. La chanson cartonne, mais pas pour la bonne raison ; j’aurais voulu que mon désarroi ne soit pas détourné par toute les tiktokeuses la génération Z. « Je l’entends partout, en fait. Elle tourne bien, elle est immanquable. Tu m’as pas menti quand tu m’as dit que tu tenais quelque chose de différent. » - « On est pas obligés de parler de cette vidéo. » A quoi bon ? La chanson parle d’elle, elle le sait forcément, et mes yeux n’étaient pas embués de larmes de bonheur. Qui a-t-il à dire de plus ? Ne me suis-je pas assez ridiculisé ? « Ça te va bien. Ta voix est… » Plus tard, je saisirai la portée de ce compliment qui me fera chaud au cœur. Pour l’instant, tout ce qui se rapporte à ce titre me file la migraine. J’ai écrit une chanson sur un homme heureux et terrifié à l’idée de perdre la composante principale de ce bonheur. Je l’ai perdue avant même de la performer sur scène pour la première fois. « Tu devrais continuer à la chanter. » - « Tu sais que je peux pas. » Tout comme je ne parviens pas à chanter notre duo un soir sur deux. Je l’imaginais à mes côtés, à l’occasion d’apparitions surprises. Chanter ses parties m’arrache le cœur, en passer une version pré-enregistrée me donne envie de quitter la scène et d’arrêter la prestation. Parfois, je parviens à débrancher mon cerveau, mais la majorité des soirs j’en suis incapable. Elle non plus ne chante pas we don’t talk anymore, elle doit au moins se douter de ce que je ressens. « Le label a poussé la sortie. » Foutue ironie, que ce soit eux qui se retrouvent à m’encourage à sortir ce titre différent de ce que je fais habituellement quand j’ai passé des années à les convaincre que je pouvais faire autre chose que la pop classique et entendue à laquelle j’étais cantonné. « J’aurais préféré attendre, mais elle était déjà virale sur les réseaux après que je l’ai faite en live, ils voulaient surfer sur la vague. » Et à leurs yeux, seuls les chiffres comptent.




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Jo Carter
Jo Carter
la folie des grandeurs
la folie des grandeurs
  
(mine #34) i wish we stayed just like we were up there MTtf4TM Présent
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie
STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024)
MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas
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POSTS : 10245 POINTS : 810

TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : #A4508B
RPs EN COURS :
(mine #34) i wish we stayed just like we were up there 5c953f317a3937162e191f0bf27014c01d7a275b
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
(mine #34) i wish we stayed just like we were up there E57cb698023adbe437469fd4b2ea21ceb402aaba
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
(mine #34) i wish we stayed just like we were up there 8d627d8c728930629f9a32540521788cd1a0bd36
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so

mabel#8 ◦ isabel (fb 2018)midas#34megan#14cleo#2pennyninamicah#10harleenkendall

RPs EN ATTENTE :
(mine #34) i wish we stayed just like we were up there Eb5602d06ee5f3b382f45b87b6feb42d85162dcb
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
(mine #34) i wish we stayed just like we were up there 5kwj
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
(mine #34) i wish we stayed just like we were up there 3b2ae8580c66cd938666a10764be7e9f5141e4cd
JERRY ◦ my boy only breaks his favorite toys i'm queen of sand castles he destroys 'cause it fit too right puzzle pieces in the dead of night i should've known it was a matter of time oh oh my boy only breaks his favorite toys (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : alexa demie
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, joseegan, dafne) ◦ ©rampld (gif mine), ©xcertifiedgifsx (gif carson), ©corneliagifs (gif leroy), ©lomapacks (gif jerry) ◦ ©astra (code)
DC : mavis barnes & alma barton
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/02/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t28932-jo-it-s-a-me-myself-kinda-attitude
https://www.30yearsstillyoung.com/t29075-jo-you-know-i-m-no-good
https://www.30yearsstillyoung.com/t42752-jo-carter

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Message(#)(mine #34) i wish we stayed just like we were up there EmptyMar 1 Oct 2024 - 22:10

Midas Sterling est ému.e par ce message



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@Midas Sterling ↣ crédits gifs/rampld & ssoveia

Plus la conversation avance, plus Jo se dit que c’était une mauvaise idée, cette invitation. Elle sent Midas en retrait, et si elle en comprend les raisons, n’étant pas la dernière à ressasser les mots durs qu’ils ont échangé lors de leur dispute, elle estime en même temps que s’il n’était pas prêt à la voir, il aurait simplement dû refuser de venir pour les dispenser de supporter ce qui flotte entre eux à ce moment-là, entre retenue et embarras. Ils parlent de choses qui comptent pour eux certes, c’est d’un mécanisme à rendre triste, aussi robotique que les lieux communs dont il l’alloue en rebondissant sur ce qu’elle partage avec lui en pensant qu’ils vont réussir à se détendre pour entamer le plus gros de la conversation qu’ils devront avoir à un moment ou à un autre. Elle a voulu être une adulte, faire le premier pas, et instaurer un climat positif malgré les circonstances : elle obtient à peine l’attention pleine et entière de Midas qui n’est certes pas froid, qui n’est pas franchement chaleureux non plus. Elle ne s’attendait pas à des effusions de sentiments, elle n’est pas aussi niaise pour croire qu’une invitation à dîner effacera tout ce qui s’est passé, mais elle s’attendait au moins à un regard, un vrai. Tout ce qu’elle a, c’est un sourire discret, léger qui lui fait du mal autant parce qu’il la conforte dans l’idée qu’elle ne mérite pas plus que ça, que parce qu’elle comprend un peu plus que, quoi qu’elle décide de faire, il ne semble jamais totalement convaincu.

Elle glisse de nouveau ses mains sous la table, enfonce le bout de ses doigts dans ses paumes pour sentir l’entaille pointue de ses ongles dans sa peau qui se marque immédiatement. Ça lui fait à peine oublier les picotements qu’elle ressent dans sa gorge et les aiguilles qui lui lacèrent le coeur à intervalles rapides, son rythme cardiaque s’accélérant au fur et à mesure qu’elle se répète qu’elle a été conne de croire que c’était la meilleure chose à faire, de l’inviter à dîner. Elle n’ose pas le contredire, sa voix terrée quelque part, elle ne sait où, et lui dire qu’elle ne parle pas de la taille de sa tournée, du standing de son décor, du designer de ses tenues, ou elle ne sait quoi encore putain, mais bel et bien de ce à quoi elle aspirait en étant avec lui comme ils l’étaient encore il y a quelques semaines de ça. Jo ne lui a pas menti quand, il y a plus d'un an de ça, à Adelaide Hills, elle lui avait dit que chaque fois qu’elle s’imaginait vivre tout ça, elle se voyait avec lui à ses côtés ; ça vaut encore plus aujourd’hui qu’à l’époque, mais elle a un doute quant au fait qu’il s’en souvienne, ou si c’est le cas, qu’il l’ait cru. Sortir un deuxième album ne changera rien au mal qui lancine quand elle se rappelle qu’elle ne pourra pas lui raconter son concert du soir, ou le tanner pour qu’il la rejoigne dans le dos de son équipe. A vrai dire, vu comme ils sont partis, elle ne peut même pas se consoler avec l’idée que ça s’arrangera forcément, que ce n’est qu’un mauvais moment qu’ils passent, et que dans quelques temps, ils reviendront à leur normalité. Là, plus rien ne lui semble normal, même les certitudes qu’il lui offre du bout des lèvres, elles ont le goût de la réplique apprise par coeur, récitée sans conviction, et ça lui fait monter les larmes aux yeux.

Mais elle prend sur elle. Elle essaye, en tout cas. Elle relève la tête pour se concentrer sur ce qui n’engage pas grand-chose en terme de sentiments tandis qu’il appuie celui qu’elle nourrit à l’encontre de ses nuits solitaires dans les chambres d’hôtel qui lui sont réservées dans chaque ville dans lesquelles elle fait une halte. Doucement, précautionneusement, elle s’éclaircit la voix, chasse le voile de larmes qui baignent ses yeux d’un battement de cils, et retire ses mains de sous la table pour lui faire, la voix enrouée "C’est pour ça que j’aurais préféré le tour-bus. On a moins de chance de se sentir seul dans un endroit aussi étriqué qui accueille autant de monde." Elle garde de bons souvenirs des weekends passés avec ses frères dans le van de son père. Le confort ne fait pas partie des exigences de Jo, elle aurait pu supporter la proximité de ses musiciens, de ses danseurs, sans aucun problème ; être la seule fille de sa fratrie, ça lui a donné des super-pouvoirs en la matière. Mais sur ce coup-ci, ses tourneurs ont décidé de la traiter comme une princesse qu’elle est à peine, reine autoproclamée de son royaume depuis des années, et elle a droit à la totale : au luxe, au room-service, et au sentiment de ne servir à rien une fois la porte de sa suite fermée à double tour. Elle se risque à relever à nouveau ses yeux vers Midas, sait qu’elle ne trouvera pas les siens, mais s’encourage tout de même à faire une note d’humour pour affirmer, qu’elle aussi, elle a besoin d’un fond sonore pour trouver le sommeil "Je passe toutes mes nuits avec Kim et ses demeurées de soeurs en ce moment. Je peux pas dire qu’elles sont de bonne compagnie, mais c’est toujours mieux que les docus sur les tueurs en série." Elle se retient de dire que les Kardashian sont de bien moins bonne compagnie que lui, qu’elle ne retrouve pas la chaleur réconfortante de ses bras dans les conneries qu’elles débitent avec l’accent des pouffiasses de Calabasas, mais elle le pense au point que son cerveau vrille un moment sur la fréquence de ses souvenirs qu’elle tente de repousser pour faire un pas de plus vers lui.

Ça ne prend pas "D’accord." Il ne veut pas discuter de la vidéo dont elle parle, ils n’en parleront pas. Elle, elle ne veut pas qu’il se sente obligé de le faire, la pensée la met particulièrement mal à l’aise, surtout depuis qu’il lui a dit qu’il se sent contrôlé par les décisions qu’elle pense prendre pour le meilleur. La rebuffade est douce, mais elle la braque suffisamment pour que, pendant une longue seconde, elle se somme de ne pas éclater en sanglots au milieu de ce putain de restaurant. Elle s’y efforce, elle regarde à droite, à gauche, se mord la lèvre inférieure avec une force de damnée en se demandant si, à un moment donné, sa peau va percer sous ses dents et se mettre à saigner. Elle s’arrête bien avant et lui fait, sans agressivité, mais avec détermination "Mais du coup, ça veut aussi dire que j’ai pas droit à une réponse ?" À propos de comment il va. Elle déteste la position dans laquelle son attitude la met, à grappiller la moindre miette parce qu’elle se sent minable à propos de toute cette histoire, qu’elle regrette, qu’elle ne sait pas comment s’y prendre pour au moins faire amende honorable. En fait, ça la rend encore plus minable d’ajouter, sa tête se baissant pour chercher ses yeux par-dessous ses longs cils "Ou à un regard ? Je sais pas, à quelque chose ?" Elle le lui demande pour de vrai, sans aucune espèce d’ironie dans le ton ou dans sa façon de se mouvoir, se recalant sur son siège d’un léger bond, authentiquement interdite "On en est vraiment là ?" Elle l’entend déjà lui répondre la faute à qui ? Ainsi, elle prend les devants, et encore une fois, le ton plus gorgée de désespoir que de brutalité, ses yeux se mouillant, elle répond rapidement à ce qu’il lui répond au sujet de sa chanson qu’elle lui a conseillé de continuer à chanter malgré les circonstances — il ne le peut pas, elle comprend pourquoi "Je sais, oui." C’est sincère, mais puisqu’elle a le sentiment que rien ne prend, que ce qu’elle tente de faire prend l’eau, et elle avec, elle lui fait en secouant la tête "Je suis désolée, c’était pas une bonne idée." Dépitée, elle pose ses coudes sur le bord de la table. Résignée à mettre un terme à tout ça, elle entend que ça sonne aussi faux que ça lui fait de la peine, de faire des efforts qui ne trouvent pas racine chez celui qui lui a reproché de ne pas en faire ; elle reprend après s’être astreinte à ravaler la boule qu’elle a dans la gorge pour laisser place à un sourire plein de regrets, aussi compatissant qu’à nouveau, elle n’est pas en colère, juste profondément accablée par la réalisation qu’elle vient de faire et qui la frappe à plusieurs endroits à la fois "Tu peux rentrer maintenant si t’en as envie, je t’en voudrais pas." Vraiment pas "Je comprends. C’est trop tôt, et je t’ai pris au dépourvu." Encore une fois, est-elle tentée de compléter, sentant une vague de culpabilité et de larmes l’envahir quand finalement, elle secoue de nouveau la tête en fermant les yeux. Elle ne veut pas pleurer, et elle ne le fait pas. Elle devient juste celle qui soustrait son regard au sien, son visage tenu dans ses mains, elle termine en fronçant les sourcils et en souriant légèrement à la fois "C’est pas grave. Merci d’avoir essayé, t’étais pas obligé." Elle exige d’elle-même de rouvrir ses yeux qui brillent toujours très fort, se hasarde à déplier l’un de ses coudes pour tendre la main dans sa direction et effleurer la sienne dans une caresse rapide sur ses doigts pour lui faire comprendre que même si elle est meurtrie sur l’instant, elle conçoit d’avoir fait les choses trop rapidement pour lui.


    - i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more. i was grinning like i'm winning, i was hitting my marks, cause i can do it with a broken heart -












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