ÂGE : Trois décennies, mais l'temps c'est comme le vent; de vivre, y a qu'ça d'important. (Trente trois) SURNOM : Arsi', Sisi, Sinoé - don't call her, it's easier this way. STATUT : le radeau de la Méduse - de l'espoir à l'abandon, it comes and goes in waves. MÉTIER : illégitime d'Asclépios (medicine student - diagnostic crew, St Vincent's hospital), Hygie défibrille (volunteer paramedic) - bénévole au dispensaire, danseuse ponctuelle de cabaret et chapardeuse noctambule (l'aumône pour les pauvres) LOGEMENT : l'exil, la bohème (foyer social) - pourrait squatter ton canap' un d'ces quatre. POSTS : 111 POINTS : 40
TW IN RP : Langage vulgaire, instabilité émotionnelle, noyade, phénomènes climatiques meurtriers, gang & violence associée, meurtre, alzheimer, drogues (addiction), TCA, sexe, hallucinations.. Liste amenée à évoluer. TW IRL : Aucun, mais discutons-en.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : se déplace essentiellement à moto, ou en rollers ☼ trimballe souvent une perruche sur son épaule, Harley ☼ possède un nécessaire de secours dans son sac.. et des outils d'effraction ☼ clean depuis plus de six mois, effrayée par l'idée d'replonger ☼ aime sauter dans les flaques d'eau ☼ rêve d'une belle histoire d'amour, mais demeure convaincue que personne ne saurait la supporter ☼ joue du piano, essentiellement dans les lieux publics ☼ multi-tatouages, option longues dreads et septum en prime ☼ active aux soupes populaires et évènements communautaires ☼DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS :
Une flasque de rhum a été nécessaire pour que cesse le compte des jours depuis la fameuse soirée. Un joint, aussi. Terrible, celui-ci - le premier depuis huit mois, au bas mot. Peu chargé et pourtant si efficace, transformant l'écume nostalgique en petites bulles rieuses, flottant jusque dans le ciel étoilé. La chute du lendemain fut vertigineuse : la nausée, de nombreux vertiges et la certitude, désormais actée, que sa piètre résistance à la tentation n'était qu'une grosse mascarade. L'addiction profite déjà de sa désillusion pour revenir s'installer; les travers sont de retour, et Arsinoé lutte contre ce reflet branlant qu'offre le miroir, terrorisée à l'idée de n'être plus qu'une ombre de nouveau.
Un séjour chez Sloane, puis des gardes multipliées. L'ambulance où elle trouve son compte, semble-t-il, puis une randonnée, qu'importe le manque de sommeil et les crampes qui inondent son organisme. Une nuit sous l'orage, en solitaire; quelques arbres pour l'abriter, pour noyer la potentialité d'éclaircir son visage à la bougie d'une cigarette. Puis le cabaret, et la danse; le remue-ménage des chorégraphies, les notes du piano, quelques regards échangés avec un habitué et un flirt qui s'installe avec une danseuse. Elle était aveugle, dirait-on, ou peut-être n'avait-elle d'yeux que pour elle. Sa liberté, qu'elle exhibe d'un sourire au triomphe fallacieux, retentit tout de même chez les autres : le hardi l'invite à dîner, mais les hommes ont tendance à l'effrayer, et la bahamienne s'excuse maladroitement avant de filer. Elle n'est pas indifférente par besoin d'être attirante, convoitée, alors qu'elle se fout, au fond, de savoir qui est ce maestro.
La danseuse - sa partenaire - a plus de chance : c'est foudroyant, ça n'a pas de sens tant cela déchire l'obscurité, et ça respire un manque à combler. Le passage des phalanges à la taille ne se fait pas sans un sourire complice, ni une pression supplémentaire - viens me chercher, quémande-t-elle tacitement, pour exorciser ce qu'une autre n'a su lui donner. Et c'était facile, jusque là. Arsinoé volait entre les mains d'une autre, s'oubliant ensuite dans des verres de vodka. C'était simple, jusqu'à ce soir-là. Une représentation annexe, dans un bar partenaire de la ville. Une broutille, rien de folichon. Puis, un fantôme dans la salle, en arrière plan, derrière les tables du premier rang. Une éclipse qui a, d'un seul regard, éteint l'audience, le public, se propulsant au centre de l'attention - la sienne, tout du moins - sans bouger d'un pouce. Elena. Qu'est-ce qu'elle fout là ? A peu de choses près, peut-être la même chose qu'elle. Arsinoé n'avait rien à lui prouver, la messe ayant déjà été dite. L'avait-elle vraiment été ? On a oublié toute une partition, tout un pan de notre mélodie. voulait-elle croire, indignée par la facilité avec laquelle le silence s'était réinstallé entre elles.
Enfin, elle souhaita l'impressionner. La danse, c'était son monde d'avant, et l'étoile qu'elle n'avait pas su devenir. Pourrait-elle briller dans son regard ? Putain, elle allait offrir sa meilleure performance, digne d'un oscar anonyme, pour celle qui, avec un peu de chance, saurait s'accaparer toute l'énergie déployée. La flamme qui lui brûlait le cœur et faisait pétiller ses jambes, c'était elle. As-tu seulement encore le droit de te réclamer à mes bras ? Joyce la supplanta d'une pirouette, pour conclure la soirée sur une scène improvisée, que Sinoé elle-même n'avait pas vue venir. Un baiser, sur scène, ses deux mains encadrant son teint halé, se laissant porter jusqu'à entendre la dernière note mourir à leurs oreilles. C'était beau, et terrible à la fois.
Quittant précipitamment l'estrade, Arsinoé vira ses pointes sans cérémonie, avant d'attraper ses clopes, un briquet, et de traverser la salle pour se réfugier à l'extérieur, sans daigner parler ou offrir le moindre regard à qui que ce soit. Son corps trembla, sans qu'elle ne puisse le contrôler - la nicotine se chargerait de détendre ce qui pouvait l'être, et le trottoir où elle s'assit se chargerait de la maintenir en place. Elle n'était pas prête pour ça; un baiser, une Joyce qu'elle ne pourrait que mal aimer et Elena, témoin de ce bordel, aimée trop fort sans ne plus pouvoir l'approcher. - Hey ! You know what ? FUCK YOU ! un passant l'observa, comme s'il était visé, lui répondant par un majeur levé avant de poursuivre son chemin. Putain, c'était une bonne soirée.
code par EXORDIUM. | Images par Oblivion
such a beautiful mess
she's in the clouds, heavy and dark, waiting to fall like rain ¤ she was both love and storms of pain, all heartbeats and hurricanes .•°¤ Mags.
Elena Esteves
le cygne noir
ÂGE : 29 ans (19/01) SURNOM : el, lena, "l'autre trouduc à la machine à café" STATUT : refait ses armes sur les apps, c'est pas joyeux. MÉTIER : agente spécialisée en psyops pour l'ASIO : c'est 90% de temps dans un bureau à pas savoir de quoi on parle, et c'est beaucoup moins fun qu'elle ne l'aurait pensé, mais au moins ça paie. LOGEMENT : à west end, avec mateo et maisie. sa maison lui sert de gros garage à souvenirs qu'elle n'a pas envie de vendre. POSTS : 401 POINTS : 0
TW IN RP : alcoolisme parental, forces de l'ordre, violence, ancienne relation toxique TW IRL : age gaps majeur/mineur romancésGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : culmine à 1m84, il fait beau là-haut merci | porte des appareils auditifs, baisse le son à 0 si vous la faites chier | sa couverture civile, c'est gratte-papier d'un tribunal de proximité | gym-bro-himbo-wholesome | énorme nerd.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS : DINA › what a beautiful night, i wish you were here to see it, we'd sit on the porch and laugh about the things we said wrong, and i would forgive you for all the tears and the years we missed out on as we count all the leaves of autumn as they fall.
CAMERON › i just keep on proving nothing is quite true when everything is fluid. i'm treading muddy waters, i'm not what you wanted, but i've been through this before.
AKIRA › the brother of my heart lives in you, i know; as long as they beat, i will always have a safe retreat.
ARSINOE › when the ocean drinks the sky and the city winks its eye, when the night is done, you'll vanish in the sun, will I hold you when the night is over?
DANAE ›
8/5 - full archi full (mais bon proposez quand même)
maxine#1 ; andy#1, dina#2 ; nathan ; mateo ; aubrey ; arsinoé ; danaë#2. RPs EN ATTENTE : izan ; RPs TERMINÉS : jiyeon ; dina#1 ; simon#1 ; arsinoé#1 ; danaë ; AVATAR : laysla de oliveira CRÉDITS : ava (c) harleystuff, crack (c) harleystuff aussi, gif (c) ca vient. DC : mac sutherland, sloane jarecki, eden veliz. PSEUDO : princesse mononoprix INSCRIT LE : 18/07/2023
La musique est nulle à chier, les cocktails sont à un smic par millilitre et l’éclairage lui donne envie de se planter un couteau dans la rétine : Elena ne saurait dire si c’est sa mauvaise humeur qui vient gâcher la soirée, ou si celle-ci est déjà suffisamment nulle pour venir teindre son moral en retour. L’alcool s’évacue à grands coups de poignet jusqu’à sa gorge au même rythme que son compte en banque se vide, et ce soir, elle a envie de réfléchir à tout, sauf ça ; à moins qu’elle n’ait envie de réfléchir à rien, maintenant que toute pensée est trop douloureuse et confuse pour être réellement honorable. C’est précisément pour ces raisons, qu’Elena n’aime pas boire : pour le peu qu’elle le fait, c’est quasi-systématiquement dans la déraison, sinon dans l’auto-sabotage, et ces dernières semaines, ça s’est toujours terminé avec une inconnue au bras qui finissait par s’endormir à côté d’elle avant même qu’elles ne commencent à enlever une chaussette, ou alors avec des SMS quasi-envoyés aux personnes qu’elle voulait le moins contacter une fois sobre. Heureusement pour elle, le syndrome des gros doigts propre à l’alcool la faisait se tromper systématiquement de destinataire, pour un message de toute manière assez cryptique pour être sans conséquences.
La cuite en elle-même était finalement la pire à vivre : les basses résonnaient trop fort à ses oreilles, si bien que même une fois son appareil enlevé, elle avait toujours l’impression d’avoir pris une barre dans le front et d’avoir le coeur logé dans la gorge. Elle est prête à se laisser choir là en compagnie du compagnon d’infortune croisé dans le bar : à peu près dans le même état qu’elle, Konstantin (il a dit s’appeler comme ça, elle a de gros doutes) passe une main bagouzée à l'excès sur son crâne tatoué pour signifier une lassitude égale à la sienne. Il est plus jeune qu'elle, pour sûr ; il avait le regard brillant et le sourire contagieux, et l'espoir sans doute de trouver l'amour dans une boîte de strip-tease, si bien qu’Elena a dû l’éloigner de trois soupirantes beaucoup trop sobres et âgées pour lui. Voilà comment ils se retrouvent comateux sur des canapés mal rembourrés, tête renversée vers le ciel pour l’un et regard vitreux en direction de la scène pour la seconde. C’est officiellement le pire moment pour croiser quelqu’un qu’elle connaît.
Et c’est donc absolument infernal de rencontrer le regard d’Arsinoé.
Ca la réveille d’un coup, façon douche froide coupée à l’acide et au champagne qui colle des reflux gastriques ; elle se relève brusquement dans son siège, alertant Konstantin qui retourne son regard sur scène. Il dit un truc ; elle ne l’entend pas, regard rivé sur la jeune femme, la danse qu’elle effectue, leurs regards qui s’effleurent avec autant d’envie sous coupe que de rancoeur jamais digérée. Son coeur se contracte aussi douloureusement que son bas-ventre, tout pue l’inachevé ; elle la regarde danser, et elle jurerait que c’est pour elle. L’instant se brise aussi violemment qu’il s’est formé dans l’espace confiné qu’elle s’était créé : une danseuse embrasse une autre, et c’est un peu trop long, un peu trop puissant pour être anodin. Elena, elle, est trop éméchée pour être frappée par le constat : il la caresse et repart d’office pour mieux revenir dans son subconscient, une fois qu’elle n’aura plus aucun pouvoir dessus. Arsinoé sort, pourtant, et elle a la présence d’esprit de la suivre ; le regard embué passe sur trois silhouettes avant de reconnaître la sienne sans marge d’erreur. Finalement, c’est peut-être surtout l’injure, qui lui permet de la situer. « Euh, d’accord », marmonne-t-elle un peu bêtement en retour à celle-ci, soudain pas très certaine de sa présence : peut-être vaudrait-il mieux qu’elle parte, qu’elle commande un Uber pour Konstantin et qu’elle dorme dans sa salle de bains en attendant de retrouver ses esprits. Ca la frôle un instant avant qu’elle ne décide plutôt, sans grande réflexion, de s’asseoir un mètre à côté de la jeune femme, attentive à ne pas être trop proche, trop facile à absorber dans le champ gravitationnel d’Arsinoé. « Tu bosses ici ? » finit-elle par demander, après ce qui semble être une éternité. Ce n’est pas accusateur, pas plus que lorsqu’elle demande : « L'hôpital, c'est un truc en plus ou…? » Et pourtant, elle lui en veut presque à l’idée qu’elle lui ait menti. Elle lui en veut peut-être un peu pour le baiser, aussi, à moins que ce ne soit que confusion. Elle aurait mieux fait de rentrer, en fin de compte. Réfléchir est trop pour elle.
who are you to ask for anything else? the thing you should be asking is for help. you'd like a light to shine on you, and every book you take and you dust off from the shelf has lines between lines between lines that you read about yourself -- but does a light shine on you? (c)flotsam.
Arsinoé Quinzel
la vilaine petite tornade
ÂGE : Trois décennies, mais l'temps c'est comme le vent; de vivre, y a qu'ça d'important. (Trente trois) SURNOM : Arsi', Sisi, Sinoé - don't call her, it's easier this way. STATUT : le radeau de la Méduse - de l'espoir à l'abandon, it comes and goes in waves. MÉTIER : illégitime d'Asclépios (medicine student - diagnostic crew, St Vincent's hospital), Hygie défibrille (volunteer paramedic) - bénévole au dispensaire, danseuse ponctuelle de cabaret et chapardeuse noctambule (l'aumône pour les pauvres) LOGEMENT : l'exil, la bohème (foyer social) - pourrait squatter ton canap' un d'ces quatre. POSTS : 111 POINTS : 40
TW IN RP : Langage vulgaire, instabilité émotionnelle, noyade, phénomènes climatiques meurtriers, gang & violence associée, meurtre, alzheimer, drogues (addiction), TCA, sexe, hallucinations.. Liste amenée à évoluer. TW IRL : Aucun, mais discutons-en.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : se déplace essentiellement à moto, ou en rollers ☼ trimballe souvent une perruche sur son épaule, Harley ☼ possède un nécessaire de secours dans son sac.. et des outils d'effraction ☼ clean depuis plus de six mois, effrayée par l'idée d'replonger ☼ aime sauter dans les flaques d'eau ☼ rêve d'une belle histoire d'amour, mais demeure convaincue que personne ne saurait la supporter ☼ joue du piano, essentiellement dans les lieux publics ☼ multi-tatouages, option longues dreads et septum en prime ☼ active aux soupes populaires et évènements communautaires ☼DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS :
C'est un enfer qu'elle a provoqué, sans le vouloir certes, mais dont elle se tient pour responsable. Le scénario s'est déjà rejoué cent fois dans sa tête, pour une même conclusion : elle aurait dû s'excuser, plutôt que d'emprunter le schéma classique de la fuite. Ce n'est pas faute de savoir que la communication est primordiale - et d'autant plus à chier entre elles, qu'il aurait été préférable de rembobiner plutôt que de tourner les talons. Encore une fois, Arsinoé accuse cette brillante idée après coup, lorsque le mal est déjà fait.
Elle regrette, sans savoir comment rattraper, sans savoir s'il y a quelque chose à faire pour changer la donne, pour surmonter ce coup de massue; c'est d'autant plus pénible d'avoir continué sur sa lancée de décisions stupides, et de le payer cash sur scène, avec une femme qui n'a strictement rien demandé. Tout le monde pâtira pour ses conneries, et Arsinoé ne sait plus sur quel pied danser pour espérer retrouver son chemin. L'alcool dicte souvent la conduite - c'est malheureux, et seule son activité à la caserne la dissuade encore de retoucher aux joints. Elena l'a rendue faible, se dit-elle, ou peut-être l'aime-t-elle simplement trop fort pour qu'une "rupture" ne devienne une blessure anodine; c'est pire maintenant que tout ce qu'elle a pu expérimenter à Détroit, et ça la tue d'être sur le même continent sans avoir la possibilité de la côtoyer librement. That's on me.
Aussi tente-t-elle de s'écarter, d'aller libérer ce mal-être qui pollue son organisme, et cela passe par une insulte exposée au vent, à défaut de pouvoir s'en prendre à une entité tangible - pour ne pas dire elle-même. Joyce viendra sans doute lui réclamer des comptes après son numéro en solitaire, et elle n'a aucune envie de devoir justifier ses actes; comment expliciter le besoin du flirt en qualité de relation pansement, sans la blesser à son tour ? Autre élément dans son équation : Elena. Parce qu'elle est là, sa cavalière attitrée, celle qui, d'un regard, avalerait le monde pour ne laisser qu'une bulle de coton, cette idylle chimérique dont Sinoé se plait encore à rêver. Elle est là. Un mètre, à peine un bras de distance. C'est trop loin, jamais assez proche à son goût. C'est probablement suffisant, vu les circonstances. - Non, c'est juste.. Une prestation. le visage s'incline un instant, tant elle voudrait pouvoir lui expliquer le pourquoi de sa passion. - L'hôpital, c'était mon job, et ça, c'est censé être un "plus". aujourd'hui, elle ne sait plus trop; le regard cherche finalement le sien, au risque de crever dedans, de la supplier tacitement de se rapprocher. - J'ai choisi de bosser en caserne.. ça m'apporte plus d'action. confie-t-elle, comme si une conversation banale pouvait remodeler une case départ et leur permettre d'avancer. - Et toi, qu'est-ce que tu fais là ? ça parait évident, mais ce serait encore plus bête de laisser un silence s'installer, sous prétexte de deviner les réponses de l'autre. Après tout, peut-être est-elle accompagnée. - Tout ça.. C'était pas prévu. Je m'y attendais pas, c'était pas voulu. impossible d'avouer qu'elle flirtait avec Joyce, quand bien même Arsinoé n'aurait peut-être jamais été plus loin. Est-il encore temps de s'excuser ? Devrait-elle profiter de l'opportunité pour tenter de remettre les choses à leur place ? Tell me what to do, so I can come back to you.
code par EXORDIUM. | Images par Oblivion
such a beautiful mess
she's in the clouds, heavy and dark, waiting to fall like rain ¤ she was both love and storms of pain, all heartbeats and hurricanes .•°¤ Mags.