ÂGE : 23 SURNOM : Bel - mieux vaux éviter Isabel si vous voulez qu'elle réponde. Pas Isa, ni Izzy d'ailleurs, par pitié STATUT : Entre l’obsession pour Danaë, l’amitié ambiguë avec Mia et la rancoeur envers Gina… c’est le bordel sentimental. MÉTIER : (en burn-out) Barmaid à l'Octopus la moitié du temps, assistante de Lena Edwards l'autre moitié LOGEMENT : modeste appart en coloc' avec Mia au #101 Oxlade Drive (Fortitude Valley) POSTS : 416 POINTS : 1630
TW IN RP : période dépressive, homophobie familiale, mention de violence domestique et alcoolisme, (ex)relation prof-élève (age gap de 5 ans), relations amoureuses toxiques, perspective très négative de la religion TW IRL : aucun a priori - demandez-moi si vous hésitez sur un trucGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : sens de la répartie aiguisé • fouineuse invétérée • parle couramment le flirt • deux pieds gauches • tête brûlée • asthmatique • fana de véhicules en tout genre, surtout les motos • humour noir • n’accepte de danser qu’après trois verres • la mauvaise habitude des clopes pour faire passer l’anxiété • allergique aux conversations superficielles • maître du silence inconfortable • va droit au but • café noir, sans sucre, à toute heure du jour • fan de True Crime • s’endort souvent en lisant des recueils de poésieDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Bel lâche des piques en #ff3366 RPs EN COURS : yasmin #2 ❀ (the secrets)
mac #1 ❀ (the confessions) RPs EN ATTENTE : Yasmin RPs TERMINÉS : Liste et chronologie à jour sur ma fiche de liensAVATAR : Jenna Ortega CRÉDITS : minasurtad4, tumgik, luomistaide, hoodwinkme, jofridapettersen, fassylovergallery cheekeyfire, artemidosgifs, lionheart-ress, kaceyrps, koala volant DC : Phenix Monroe, le rossignol en blouse bleue PSEUDO : Love INSCRIT LE : 28/08/2024
I'm not a girl, not yet a woman. All I need is time, a moment that is mine while I'm in-between. feat. @Jo Carter
Mars 2018, 00h12, Electric Playground. 17 ans.
J'me rappelle pas ce que j'ai bu. Mais dans le lot, y avait un truc vert qui pétillait. Ça donne le tournis... en plus d'une sensation euphorique qui me fait sans cesse lever les yeux vers les étoiles. J'me sens connectée au cosmos. Et dire qu'on est que des minuscules particules qui s'agitent dans tous les sens sur une planète recouverte d'eau à 70%. C'est fou. On se croit si importants avec nos histoires débiles, nos joies et nos tragédies. Alors qu'en fait on est insignifiants. J'ai chaud tout à coup, alors je me penche pour enlever mon pull, mais le mouvement me fait perdre l’équilibre. "Bel ? Qu'est-ce que tu fous, accroupie sur le trottoir ?" m'interpelle Jane. Je pose les mains sur le macadam pour m'appuyer - beurk - mais une force phénoménale me maintient au sol. Y a de la glu par terre ou quoi...?
"J'suis coincée." Roulant des yeux, Jane me tire les bras pour me décoller du trottoir comme un vieux chewing-gum. "Merci. T'es une vraie pote, toi." Je veux l'enlacer pour lui témoigner ma gratitude mais elle me repousse d'un geste agacé. "Tu pues la tequila." Ah oui, on a vu de la tequila aussi - pardon, bu. La rondelle de citron, le sel sur la main, tout ça. Me laissant en plan, elle rejoint les autres qui se dirigent dans la file d'attente.
"Bel ? Viens, enfile mes shoes," ordonne Ana en retirant ses platform-shoes violet fluo pour me les tendre.
"Quoi, t'es sérieuse ?" Je lorgne les talons d’un œil suspect comme s'ils allaient me sauter au visage.
"Oui. Ça ajoutera quelques centimètres à ton gabarit de schtroumpf. File-moi les tiennes. Et le vigile aura moins de chance de capter que t'as pas encore tout à fait 18 ans." J'abdique dans un soupir. Je suis la seule du lot à ne pas encore être majeure, et j'ai pas super envie de me faire refouler à l’entrée alors qu'on vient de marcher pendant vingt-cinq minutes pour arriver ici. Je glisse mes pieds dans les godasses, qui détonnent un peu avec le reste de ma tenue : short en jean et débardeur noir. Mais c'est vrai que ça me donne direct l'air d'avoir trois ans de plus... si encore je savais marcher droit avec ça aux pieds. "Va falloir me tenir." Jane attrape mon bras et on se presse vers l’entrée. Le videur nous zieute chacune de haut en bas avant de demander à voir nos cartes d’identité. Les filles sortent leurs papiers, qu'il leur rend après un rapide coup d'œil. Je lui tends la mienne en lui servant mon plus beau sourire... et il l'inspecte un peu plus longuement que celles des autres. Juste au moment où je crois que c'est foutu, il me repasse la carte, coincée entre son index et son majeur. "Bonne soirée."
Les filles et moi passons derrière le cordon, attendant d’être à l’intérieur pour nous extasier. Un coup de bol que le videur de ce soir ne soit pas super bon en maths : je n'aurai 18 ans qu'en août ! "On va au bar !" s’écrient mes potes en me lâchant comme Bambi sur la banquise. Quoi ? Mais j'peux pas marcher si vite, moi ! Hé, mais... elle m'a même pas rendu mes chaussures, la voleuse ! "Attendez !" Oh shit... je dois me retenir au mur pour ne pas me casser la gueule. Je m'appuie quelques secondes, le temps que mes yeux s'habituent aux flashes lumineux et mes tympans à la musique beaucoup trop forte.
Un trio de mecs, vingtaine passée, se glisse à mes côtés dans l’obscurité. "Salut, toi. J'te paie un verre ?" propose l'un d'entre eux avec un regard intéressé. "Nan merci, ça ira. J'attends mes copines." "Ah ouais, et elles sont mignonnes tes copines ?" J'essaie de me décoller du mur mais le sol tangue sous mes pieds. Le mec me rattrape par le bras. "Ouh là... on dirait que t'as déjà un p'tit coup dans le nez. Tu veux danser un peu ?"
J'ai pas le temps de répondre qu'il m'attire déjà sur le dance-floor.
I'm walking away... from all the troubles in my life, I'm walking away towards a better day ☾☾
:
on my mind:
Dernière édition par Isabel Flores le Mar 1 Oct - 15:54, édité 6 fois
Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
-i'm not a girl, not yet a woman - @Isabel Flores ↣ crédits gifs/jofridapettersen & ssoveia
lieu: hors du temps (flashbacks) - Brisbane - 2018.
Jo vient de prendre son service. Elle est déjà dans sa tenue d’apparat : robe moulante, talons vertigineux, queue de cheval haute, très haute, créoles argentées, et peau luisante d’huile parfumée. Si on passe outre sa mine de blasée de première, elle est plus bonne que la majorité des clientes du club, et Mac, le patron des lieux, s’en félicite. Parfois, il a envie de jouer sur le fait qu’elle est passée à la télé en la vendant comme l’attraction du club. Il pourrait proposer des bookings dans le carré VIP, la faire poser pour des photos avec des clients prêts à payer cher pour pouvoir ne serait-ce que la toucher avec les yeux, ce serait un bon plan, non ? Non. Rapidement, il se rappelle qu’elle pourrait aussi lui faire bouffer ses couilles par le nez, alors il s’abstient de lancer l’idée et de la mettre en pratique, se contente de partager équitablement les pourboires qu’elle lui ramène en prenant soin de lui glisser un billet de plus de temps en temps parce qu’elle soulève plus de fric que les autres, cette pute — ses mots, ceux de personne d’autre. Pas grâce à son charmant tempérament, c’est une évidence dont elle se cogne complètement, ici pour se donner bonne conscience et tourner la page, celle de sa carrière qui n’a jamais décollé et qu’elle a enterré en même temps que ce putain de trophée qu’elle n’a pu que caresser des yeux. Il lui reste ses gains partagés par Midas, le bon Samaritain, roi du monde depuis que son nom est ressorti des votes des téléspectateurs, mais elle n’y touche pas. C’est comme de l’argent sale, elle a l’impression que si elle pioche dedans, ça va lui souiller l’âme, elle préfère encore bosser comme une dingue, à des heures de dingue pour un salaire de misère plutôt que de vivre sur le compte d’un type dont elle n’a plus aucunes nouvelles. Mais à qui elle pense souvent, c’est quand même ballot.
"Hé, bouge-toi de là, toi, t’es sur mon chemin." Elle aboie par-dessus la musique. Elle n’est pas sympa avec les clients. Il paraît qu’ils sont rois, mais c’est qu’une rumeur qu’elle laisse filer, elle-même souveraine du monde dans lequel elle vit et sur lequel elle règne, très peu disposée à laisser quiconque lui dicter quoi faire. Elle se fera virer un jour, elle en est sûre, mais elle s’en fout ; elle a appris que tout est éphémère et qu’il faut se préparer à rebondir. C’est ce qu’elle fait, ayant appris à survivre plutôt qu’à vivre, elle fait ce qu’elle peut pour y arriver. Le type qu’elle a houspillé se décale pour la laisser passer, et en le faisant, elle voit ses potes autour d’une gamine qu’elle est certaine de n’avoir jamais vu ici. Surement parce qu’elle est trop jeune puisque le demeuré de videur à les yeux qui vrillent et qu’il n’est pas foutu de savoir lire une date de naissance sur une carte d’identité ; il fait rentrer des gosses plus souvent qu’à son tour, et après Mac fait la gueule quand il apprend qu’il se passe des trucs pas nets et que son club est impliqué — définitivement pas ses oignons, à Jo, elle a d’autres chats à fouetter. Elle titube quand même pas mal, la petite, elle le remarque en jetant un oeil par-dessus son épaule tandis que ses accompagnateurs l’emmènent sur la piste de danse. Une alerte se met en route dans son système, elle se fige "Attendez." Tout à coup, elle fait demi-tour sur ses chaussures à talons, puis très vite quelques pas dans le sens inverse pour arrêter les trois bonhommes sur leur lancée en se plaçant entre eux et la petite brune dont elle capte les yeux et attrape le bras. En le faisant, elle enlève la main de l’un des types qui ronchonne. Elle ne s’en soucie pas, elle demande à la fille "Tu les connais ?"
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
:
Isabel Flores
la belle épine
ÂGE : 23 SURNOM : Bel - mieux vaux éviter Isabel si vous voulez qu'elle réponde. Pas Isa, ni Izzy d'ailleurs, par pitié STATUT : Entre l’obsession pour Danaë, l’amitié ambiguë avec Mia et la rancoeur envers Gina… c’est le bordel sentimental. MÉTIER : (en burn-out) Barmaid à l'Octopus la moitié du temps, assistante de Lena Edwards l'autre moitié LOGEMENT : modeste appart en coloc' avec Mia au #101 Oxlade Drive (Fortitude Valley) POSTS : 416 POINTS : 1630
TW IN RP : période dépressive, homophobie familiale, mention de violence domestique et alcoolisme, (ex)relation prof-élève (age gap de 5 ans), relations amoureuses toxiques, perspective très négative de la religion TW IRL : aucun a priori - demandez-moi si vous hésitez sur un trucGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : sens de la répartie aiguisé • fouineuse invétérée • parle couramment le flirt • deux pieds gauches • tête brûlée • asthmatique • fana de véhicules en tout genre, surtout les motos • humour noir • n’accepte de danser qu’après trois verres • la mauvaise habitude des clopes pour faire passer l’anxiété • allergique aux conversations superficielles • maître du silence inconfortable • va droit au but • café noir, sans sucre, à toute heure du jour • fan de True Crime • s’endort souvent en lisant des recueils de poésieDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Bel lâche des piques en #ff3366 RPs EN COURS : yasmin #2 ❀ (the secrets)
mac #1 ❀ (the confessions) RPs EN ATTENTE : Yasmin RPs TERMINÉS : Liste et chronologie à jour sur ma fiche de liensAVATAR : Jenna Ortega CRÉDITS : minasurtad4, tumgik, luomistaide, hoodwinkme, jofridapettersen, fassylovergallery cheekeyfire, artemidosgifs, lionheart-ress, kaceyrps, koala volant DC : Phenix Monroe, le rossignol en blouse bleue PSEUDO : Love INSCRIT LE : 28/08/2024
I'm not a girl, not yet a woman. All I need is time, a moment that is mine while I'm in-between. feat. @Jo Carter
Je me laisse entraîner parce que j'ai pas trop le choix : si j'interromps ma lancée, je suis sûre à approxivatim... ap-pro-xi-ma-tivement 90% que je vais m’étaler par terre et atterrir les quatre fers en l'air. C'est seulement quand on atteint le milieu du dancefloor que le type me lâche et qu'il se met à gigoter, croyant sans doute que sa choré est le summum de la coolitude. Je plaque une main sur ma bouche pour réfréner un fou rire. Ses deux potes nous rejoignent rapidement et je me retrouve au centre, cernée de chaque côté, enfin... piégée, plutôt. "Tu danses pas ?" me demande le frisé. "Moi ? J'sais pas danser. Et je vous ai dit que j'attendais... mes potes... elles doivent me chercher." Je jette un coup d'œil circulaire à la salle mais même les platform shoes ne suffisent pas à me donner assez de hauteur pour réellement voir grand chose à part un océan de têtes chevelues qui se secouent au rythme de la musique.
"J'peux t'apprendre, si tu veux" glisse le plus grand - un peu trop près de mon oreille à mon goût, assez près pour que l'effluve acide de son haleine qui empeste la vodka s'infiltre dans mes narines. "Sans façon." Lâchez-moi. "Tu veux bien t’écarter, s'te plaît ?" Il ricane, se penchant de nouveau pour me répondre au lieu de bouger. "Oh allez, reste un peu, j'suis sûr que tes copines pourront t'attendre deux minutes ! J'te paie un verre ? Tu veux quoi ?" Je réfléchis deux secondes. J'ai pas de thunes... peut-être que je pourrais profiter de sa générosité avant de les laisser en plan ? Me voyant hésiter, il insiste, "Tes copines sont au bar, non ? On a qu’à aller les retrouver. Venez les gars, on va se chercher à boire !" D'un mouvement collectif, ils m’entraînent à nouveau dans leur lancée, le grand saisissant encore une fois mon avant-bras.
J'savais pas que j'allais me transformer en bout de viande en mettant les pieds dans une discothèque, bordel. Sa main est immédiatement écartée et remplacée par une autre à la poigne tout aussi ferme - celle d'une nana - et elle a l'air inquiète ? Furax ? Un mix des deux, à vrai dire. "Nan... mais il veut me payer un verre." Je hausse bêtement les épaules. "J'ai perdu mes copines," j'avoue à la brune, pas beaucoup plus grande que moi. "Mais p'têtre qu'elles ont fait exprès d'me perdre. Ce serait pas la première fois que ça arrive." Je lâche un petit rire pathétique. C'est notre première sortie en boîte, mais on a déjà fait quelques soirées ensemble, et à chaque fois, j'me retrouve soit à les chercher partout soit à tenir leurs cheveux en arrière pendant qu'elles dégobillent dans les toilettes - ou ailleurs. Ce soir, j'avais envie que les choses se passent différemment. J'avais envie d’être celle qui boit, celle qui se lâche et dont on se soucie. C'est raté. En fait je crois que... qu'elles en ont rien à foutre. Ça expliquerait leur hostilité de ce soir : elles ont dû se rendre compte que j'allais pas être opérationnelle comme d'habitude, et donc... que je leur servirais à rien.
J'ai les yeux qui se remplissent de larmes, soudain. Putain, fait chier... Y a que moi pour être pitoyable au point de se mettre à chialer sur une piste de danse !
hj:
sorry j'ai ajouté une petite scène quand ils sont déjà sur le dancefloor pour donner un peu plus de matière au RP mais si ça te perturbe tu peux ajuster dans ta rép précédente en disant qu'ils l'emmenaient vers le bar plutôt que sur la piste
I'm walking away... from all the troubles in my life, I'm walking away towards a better day ☾☾
:
on my mind:
Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
-i'm not a girl, not yet a woman - @Isabel Flores ↣ crédits gifs/jofridapettersen & ssoveia
Jo en connaît pas mal des types qui se sentent pousser des ailes quand ils veulent mettre le grappin sur une mineure. Parce que la gamine qu’elle a dans le viseur, elle ne peut être que ça, et personne ne lui fera gober le contraire. Ça l’alerte, bien sûr que ça l’alerte. Elle la regarde danser avec ceux qui l’entourent, et ça fait naître un sentiment de mal à l’aise en son for intérieur. Elle aussi a été jeune — elle l’est toujours, on s’entend, osez dire le contraire, ses ongles sont limés pour blesser, vous ferez pas semblant de pas être au courant quand elle vous atteindra avec —, et si elle n’a pas été assez conne pour se laisser conter fleurette par des connards dans leur genre, elle a fait des conneries qui l’ont menées à regretter certains de ses choix, surtout certaines de ses actions. Ainsi, s’attribuer le contrôle total de son corps, c’est venu avec de la complaisance qu’elle n’a plus aujourd’hui, indépendante au point de maîtriser chaque désir induit par son statut de femme libre qui s’assume, mais qui lui donne des frissons quand elle la détecte chez les autres. Et la petite là, elle est le cliché parfait de la gosse qui se fait surprendre par l’imprévu et qui ne sait pas comment s’en dépêtrer. Si quelqu’un n’intervient pas, il peut ne rien arriver, mais il peut aussi tout lui arriver, et ça la dégoûte, alors sans réfléchir davantage, elle s’avance et elle agit.
Elle lui répond que non, elle ne connait pas ceux qui l’entourent, et ce qu’elle argue pour la rassurer, ou du moins pour lever le voile sur ce qui est en train de se passer, ça la fait lâcher un très léger rire qui ne dure qu’une nanoseconde, son regard envoyant une oeillade peu amène aux bonhommes qui les encerclent toutes les deux maintenant. Elle regarde chacun d’eux sans ciller, les jauge, les trouve repoussants, et leur fait "Tu m’en diras tant. C’est si aimable de leur part, bravo les gars." Elle lui lâche le bras, s’adresse maintenant directement aux types qui sont obligés de baisser la tête pour la regarder. Ça ne change rien au fait qu’elle les domine, les désignant d’un signe du menton agressif, déterminée à les faire fuir en leur faisant entendre qu’on ne la lui fait pas, à elle "Et qu’est-ce que vous comptez mettre dans son verre exactement ?" Continuer de se bercer d’illusions en prétendant que le monde de la nuit est safe, c’est pas se fourrer seulement le doigt dans l’oeil, mais le bras tout entier. Elle soutient le regard de l’un d’entre eux, ne compte pas une seule seconde le baisser avant qu’il le fasse — et il s’y astreint parce que la fille vers qui elle se tourne à nouveau reprend la parole.
Jo la pousse du bout des doigts pour quelle fasse un pas en arrière, lui dit en même temps "On va les retrouver." Ses copines dont elle parle "Vous êtes combien à être entrées ce soir ? T’as quel âge ?" Elle ne va pas lui faire la morale. Elle fait ce qu’elle veut, mais tant qu’elle, elle peut préserver sa conscience en lui évitant de se faire victimiser par des bâtards dans le genre de ceux que Jo gratifie d’un majeur surplombé d’une rangée de strass, c’est tout ce qui compte. Elle retourne son attention sur la brune, voit ses yeux briller sous les stroboscopes qui ne cessent de changer de couleur. Merde. Non-non-non, faites qu’elle ne se mette pas à chialer. En une inspiration profonde, elle pose ses mains sur ses épaules "Hé, c’est quoi ton nom ?" Elle le lui demande en cherchant son regard, ignore les mecs derrière qui n’existent déjà plus pour elle, et se concentre sur son interlocutrice "Respire, OK ? Tout va bien, on va chercher tes copines toutes les deux, et te mettre hors de la portée de ces demeurés." Elle réfléchit vite, finit par lui demander en s’inclinant très légèrement sur elle pour que sa question ne soit perçue que par la principale concernée "Ils t’ont pas touchée ? T’as qu’un mot à dire si c’est le cas." La sécurité du club reste efficace malgré l’incompétence du videur à l’entrée.
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
:
Isabel Flores
la belle épine
ÂGE : 23 SURNOM : Bel - mieux vaux éviter Isabel si vous voulez qu'elle réponde. Pas Isa, ni Izzy d'ailleurs, par pitié STATUT : Entre l’obsession pour Danaë, l’amitié ambiguë avec Mia et la rancoeur envers Gina… c’est le bordel sentimental. MÉTIER : (en burn-out) Barmaid à l'Octopus la moitié du temps, assistante de Lena Edwards l'autre moitié LOGEMENT : modeste appart en coloc' avec Mia au #101 Oxlade Drive (Fortitude Valley) POSTS : 416 POINTS : 1630
TW IN RP : période dépressive, homophobie familiale, mention de violence domestique et alcoolisme, (ex)relation prof-élève (age gap de 5 ans), relations amoureuses toxiques, perspective très négative de la religion TW IRL : aucun a priori - demandez-moi si vous hésitez sur un trucGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : sens de la répartie aiguisé • fouineuse invétérée • parle couramment le flirt • deux pieds gauches • tête brûlée • asthmatique • fana de véhicules en tout genre, surtout les motos • humour noir • n’accepte de danser qu’après trois verres • la mauvaise habitude des clopes pour faire passer l’anxiété • allergique aux conversations superficielles • maître du silence inconfortable • va droit au but • café noir, sans sucre, à toute heure du jour • fan de True Crime • s’endort souvent en lisant des recueils de poésieDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Bel lâche des piques en #ff3366 RPs EN COURS : yasmin #2 ❀ (the secrets)
mac #1 ❀ (the confessions) RPs EN ATTENTE : Yasmin RPs TERMINÉS : Liste et chronologie à jour sur ma fiche de liensAVATAR : Jenna Ortega CRÉDITS : minasurtad4, tumgik, luomistaide, hoodwinkme, jofridapettersen, fassylovergallery cheekeyfire, artemidosgifs, lionheart-ress, kaceyrps, koala volant DC : Phenix Monroe, le rossignol en blouse bleue PSEUDO : Love INSCRIT LE : 28/08/2024
I'm not a girl, not yet a woman. All I need is time, a moment that is mine while I'm in-between. feat. @Jo Carter
Cette fille dégage une audace et une confiance que je rêverais d’avoir. Elle a ce truc, cette aura qui l'enveloppe et qui attire les regards sans qu'elle ait à lever le petit doigt. Les mecs la jaugent avec une drôle de lueur dans les yeux, un mélange d'irritation et d'intimidation, comme s'ils ne savaient pas s'ils devraient la défier ou se tasser. Malgré sa petite taille, elle prend de la place. Une de ces nanas à qui on ne donne pas d’ordre, et surtout, à qui on ne cherche pas de noises. Ça se sent dans l’air, ce respect qu’elle impose naturellement, rien qu’en étant là, avec sa posture bien droite et ce regard franc qui les fixe sans vaciller. C’est hallucinant à quel point personne n’ose la toucher, même par accident. Mais moi ? Je dois dégager tout l'inverse. J’ai l’air d’une proie facile, ou quoi ? T’es là, chancelante, mineure et toute seule, ma belle – c’est loin d'arranger ton cas.
Même s’ils sont agacés qu’elle s’interpose, qu’elle fasse barrière entre eux et moi, ils battent en retraite. Comme s'ils savaient qu'il y avait une frontière à ne pas franchir avec elle. Ça doit être si satisfaisant de savoir que tu peux imposer le respect juste comme ça, sans même élever la voix. Le soulagement me submerge quand elle me décroche enfin du trio. "On est quatre. Je crois qu’elles sont parties chercher à boire." Elle me zieute ensuite, un peu comme une grande sœur énervée. "Et euh… j’ai dix-huit ans, pourquoi ?" Ça aurait probablement sonné un peu plus crédible si j'avais pas glissé ce "euh" au milieu.
J'suis même pas sûre d’avoir envie de les retrouver, tout à coup. C’est vrai, si c’étaient de vraies copines, elles m’auraient jamais abandonnées comme ça, pas vrai ? Elles s’éclatent ailleurs, pendant que moi je patauge dans le grand bain. Ça fait mal de se dire que je pourrais disparaître dans la foule, et elles ne s’en rendraient même pas compte. J’étouffe un sanglot, essayant de garder un semblant de contrôle. "Isabel," je réponds, ma voix tremblante alors que les larmes menacent de percer. Elles sont là, coincées dans ma gorge, et je sais que je ne vais pas pouvoir les retenir très longtemps. Ça me serre, ça m’étrangle. Je secoue la tête, catégorique – manquerait plus que mes potes me voient comme ça. La honte, putain ! "Nan, je viens juste d’arriver," j'ajoute rapidement, la voix de plus en plus instable. "Il s’est rien passé. Je… j’ai juste besoin d’air." Et d'une cigarette, accessoirement. Mais c'est Jane qui a le paquet qu'on se partage. "T'as pas une clope ?" Je dois avoir l'air tellement lamentable, avec ma voix qui flanche et les yeux bordés de larmes. Faut que j'me ressaisisse... mais j'y arriverai pas sans un passage à l’extérieur, au calme.
I'm walking away... from all the troubles in my life, I'm walking away towards a better day ☾☾
:
on my mind:
Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
- i'm not a girl, not yet a woman - @Isabel Flores ↣ crédits gifs/jofridapettersen & ssoveia
C’est son père qui lui a légué son autorité. Jo est au courant, elle n’en est pas spécialement fière étant donné qu’elle vient avec la violence. Elle n’a pas peur de se faire mal, elle le cherche même parfois, et se met dans des états qui annihilent l’idée qu’en collant des beignes, elle soulage les blessures qui vivent en elle et qu’elle dissimule sous ses strass, ses paillettes — surtout sous son caractère de merde, qui plus le temps passe et qu’elle s’enferme dans la solitude, devient de pire en pire. Elle pourrait camper devant ces types et les encourager à la cogner, sauf qu’elle sent la détresse de la gamine qu’elle vient de soustraire à l’attention d’un troupeau de mâles en chasse, alors elle laisse tomber. Elle est sur son lieu de travail qui plus est, et d’accord ça ne l’a jamais empêchée de surréagir, mais puisqu’elle se sent légèrement sur la tangente, elle préfère éviter de précipiter sa déchéance, ne tenant pas de sitôt à être reléguée à une place peu enviable. Elle se cabre donc, bat en retraite avec la fille qu’elle questionne pour créer un lien qui disparaîtra sitôt qu’elle dégagera d’ici. Vu ce qui brille dans ses yeux et la loyauté branlante de ses copines, elle se dit qu’elle est la seule donnée relativement rassurante au milieu d’une horde d’individus pas tous hostiles, c’est vrai, mais bien trop tournés vers leur petite personne pour considérer ça utile de venir en aide à une brebis égarée.
"Putain, tu penseras à changer de copines quand tu sortiras d’ici." Le conseil est lancé avec dédain, son attention portée sur la brune qu’elle toise, examine, garde dans son sillage pour ne pas donner l’envie aux gars derrière de revenir à la charge "Elles connaissent pas la règle numéro un du code des copines, ces bouffonnes ?" Ne pas laisser l’une d’entre elles errer seule en boîte de nuit. Ce code n’existe surement pas, elle s’en cogne, arquant un sourcils face à l’air dubitatif qu’elle lui offre lorsqu’elle lui demande son âge "Je sais pas, parce que t’as l’air d’avoir 12 ans ?" Et encore, elle est sympa "Et que, vu la situation de laquelle je viens de te tirer, c’est peut-être pas l’idée du siècle de te pointer dans un endroit comme celui-là en pensant que c’est aussi safe qu’à Disneyworld ?" Juré, elle essaye d’être gentille, mais chez elle, depuis quelques années maintenant, ça sort enrubanné d’une bonne épaisseur d’impertinence qu’elle ne regrette pas d’offrir à son prochain, franchement pas assez patiente pour supporter qu’on la prenne pour une conne — pas assez patiente pour supporter qu’on lui chiale dans les bras non plus cela dit, c’est pour ça qu’elle tente de faire diversion en demandant son prénom à "Isabel" qu’elle répète, sûre qu’elle ne s’en souviendra pas dans cinq minutes. Peu importe "OK, tant mieux." lui fait-elle, rassurée qu’aucune sales pattes ne se soient égarées ailleurs que sur ses bras. Jo lâche ses épaules qu’elle a attrapé pour attirer son attention, regarde à droite, puis à gauche, en jaugeant un peu ses options, lorsque ses yeux retombent sur Isabel qui lui demande une clope "Nan, et même si j’en avais : fumer c’est cool que dans les clips de Lana Del Rey." Tout est relatif. La clope, ça donne le cancer, mais ça pue aussi, y a que les fumeurs pour ne pas s’en rendre compte "Allez, viens." Elle ne veut pas qu’elle continue à lui offrir des yeux à la Bambi, brun profond, larmoyants et bordés de longs cils noirs qu’elle voit en ombre sous les lumières du club. Du coup, elle avance en quinconce de la silhouette d’Isabel, lui adresse un regard par-dessus son épaule, et lui fait "Tu préfères pas sortir un moment avant de retrouver tes copines ?" C’était pour ça, la clope, elle en est sûre, alors elle lui demande quand même, même si elle ne compte pas trouver le moyen qu’elle s’intoxique en dénichant sa merde auprès de quelqu’un d’autre.
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
:
Dernière édition par Jo Carter le Lun 7 Oct - 13:49, édité 1 fois
Isabel Flores
la belle épine
ÂGE : 23 SURNOM : Bel - mieux vaux éviter Isabel si vous voulez qu'elle réponde. Pas Isa, ni Izzy d'ailleurs, par pitié STATUT : Entre l’obsession pour Danaë, l’amitié ambiguë avec Mia et la rancoeur envers Gina… c’est le bordel sentimental. MÉTIER : (en burn-out) Barmaid à l'Octopus la moitié du temps, assistante de Lena Edwards l'autre moitié LOGEMENT : modeste appart en coloc' avec Mia au #101 Oxlade Drive (Fortitude Valley) POSTS : 416 POINTS : 1630
TW IN RP : période dépressive, homophobie familiale, mention de violence domestique et alcoolisme, (ex)relation prof-élève (age gap de 5 ans), relations amoureuses toxiques, perspective très négative de la religion TW IRL : aucun a priori - demandez-moi si vous hésitez sur un trucGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : sens de la répartie aiguisé • fouineuse invétérée • parle couramment le flirt • deux pieds gauches • tête brûlée • asthmatique • fana de véhicules en tout genre, surtout les motos • humour noir • n’accepte de danser qu’après trois verres • la mauvaise habitude des clopes pour faire passer l’anxiété • allergique aux conversations superficielles • maître du silence inconfortable • va droit au but • café noir, sans sucre, à toute heure du jour • fan de True Crime • s’endort souvent en lisant des recueils de poésieDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Bel lâche des piques en #ff3366 RPs EN COURS : yasmin #2 ❀ (the secrets)
mac #1 ❀ (the confessions) RPs EN ATTENTE : Yasmin RPs TERMINÉS : Liste et chronologie à jour sur ma fiche de liensAVATAR : Jenna Ortega CRÉDITS : minasurtad4, tumgik, luomistaide, hoodwinkme, jofridapettersen, fassylovergallery cheekeyfire, artemidosgifs, lionheart-ress, kaceyrps, koala volant DC : Phenix Monroe, le rossignol en blouse bleue PSEUDO : Love INSCRIT LE : 28/08/2024
I'm not a girl, not yet a woman. All I need is time, a moment that is mine while I'm in-between. feat. @Jo Carter
La règle numéro un de... quoi ? Ah ouais... ces fameuses injonctions tacites qu’on est supposé respecter sans même en parler ? Genre, "avec mon ex, tu ne coucheras pas," ce genre de trucs ? En toute honnêteté, je doute que mes potes soient au courant de son existence, et même si c'est le cas, je parie qu'elles s'en cognent royalement. Y a déjà pas mal de règles qui ont volé en éclats depuis longtemps. Les commérages derrière le dos, les coups bas, et quelques petits couteaux plantés vicieusement entre les omoplates - c'est un peu la norme. Mais j'y ai jamais prêté trop d'attention… Peut-être parce qu’elles m'ont acceptée dans leur bande, et pour quelqu’un comme moi, qui passait toujours son temps dans son coin, m'inclure dans le lot était un peu comme me faire une faveur ou me rendre service. Mais j'me suis bien foutu le doigt dans l'œil. Elles m’ont jamais vraiment intégrée. J’suis juste leur potiche bien docile, leur petit chien qui attend sagement contre le poteau pendant qu'elles s'amusent… et je... j'en ai ma claque.
J'ai rien à lui rétorquer, à la marquise des strass. D’abord parce que je sais qu’elle a raison, et ensuite parce que si j’ouvre la bouche maintenant, je sens que je vais craquer - ou vomir, j'suis pas trop sûre. Douze ans, douze ans… elle exagère pas un peu, non ? Et voilà qu’elle se met à me faire la morale, comme si elle avait jamais fait de conneries elle-même. Elle se prend pour qui, à me sortir un sermon digne d’une daronne sur les dangers de la nicotine alors qu'elle a cinq ans de plus que moi à tout casser ? Comme si c'était ça, le problème. Peu importe. Je vais gérer ça toute seule, comme d’hab.
Je lui lance un regard bref avant de lâcher un, "Si. J'vais sortir." J'ignore si elle compte me suivre dehors - elle va probablement me larguer à la première occasion, elle aussi, alors je me dirige vers la porte surmontée du signe vert fluo EXIT sans vérifier si elle m'accompagne ou non. Ça tangue dangereusement sous mes pieds… Le sol me paraît difforme, instable, et comme si ça ne suffisait pas, voilà que mon diaphragme me trahit avec un hoquet retentissant. Si quelqu’un doutait encore de mon état d’ébriété, là, c'est bon, c'est réglé. J’aurais aussi bien pu porter une étiquette "bourrée" collée en plein milieu du front. Je me penche pour retirer les godasses, que je maintiens à bout de bras. Ah, bordel, ce que ça fait du bien d’être pieds nus !
... nan, j'ai rien dit, en fait. Ça colle sous mes orteils, c'est dégueulasse. Mais je m'en fiche - tout ce qui m'importe c'est d'atteindre la sortie avant l’éruption.
I'm walking away... from all the troubles in my life, I'm walking away towards a better day ☾☾
:
on my mind:
Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
- i'm not a girl, not yet a woman - @Isabel Flores ↣ crédits gifs/jofridapettersen & ssoveia
Jo roule des yeux en voyant Isabel entamer son chemin seule vers l’extérieur. Son esprit de contradiction lui souffle de ne pas la suivre, de la laisser dans sa merde cette gosse insouciante. De toute façon, y a pas d’autre façon d’apprendre la vie que de se prendre des coups dans la gueule — elle croirait entendre les sarcasmes de son père, ça lui fait l’effet d’un coup de jus qu’elle contre en se redressant sur ses talons vertigineux. Finalement, elle se souvient le nombre de fois où elle s’est retrouvée seule, elle aussi, à se dire qu’elle aurait bien voulu que quelqu’un lui tape sur l’épaule pour lui dire que tout va bien, que ce n’est qu’un mauvais moment à passer. Elle avait cru trouver ça avec sa grand-mère quand elle a emménagé chez elle, acceptant de s’occuper de ce qu’on lui a trouvé quelques mois après qu’elle-même se soit vautrée dans ses rêves de gloire, sauf qu’elle n’avait encore aucune idée de ce que ça impliquait, d’avoir le cerveau bouffé par une maladie comme Alzheimer. Contrainte et forcée, elle s’était endurcie sans jamais plus nourrir le besoin d’être dolortée, mais une partie d’elle savait combien ça pouvait faire du bien, et un sentiment de pitié pour cette fille l’envahie insidieusement, grignotant ses réserves de mauvaise foi qui lui disent pourtant de camper sur ses positions. Elle roule des yeux encore une fois, la voit tituber de loin, et lâche un gros soupir qui se perd dans les remixes passés par Ray qui se fait un plaisir de massacrer des classiques pour faire danser les clients du club qui s’en tapent au fond, sur quoi ils dansent. Elle se mord l’intérieur de la joue, jette un coup d’oeil aux alentours pour vérifier que Mac ne soit pas dans les parages, à surveiller si elle a bien pris son service, et elle fait volte-face pour suivre la gamine qu’elle retrouve à l’extérieur.
"T’es sûre que ça va ?" Elle le lui demande sans attendre de réponse. Elle a l’air dans un état second, et depuis tout à l’heure, elle ne lui adresse finalement que très peu de paroles. Mais à nouveau, en s’enquérant de son état, Jo soigne sa conscience. Au fond, qu’est-ce que ça peut lui foutre qu’elle aille bien ou pas ? Elle baisse les yeux sur ses chaussures qu’elle a enlevées, ne lui fait pas remarquer que c’est par là qu’on chope une pneumonie, et suit ses mouvements en restant à proximité sans savoir si elle va gerber ou chialer — la grimace qu’elle a sur le visage peut bien prévenir de l’un ou de l’autre, alors autant rester à distance pour ne pas risquer une giclée d’aucun fluide qui soit. Son minois se fronce, son menton lui offre un léger coup dans sa direction quand elle ajoute "T’habites dans le coin ? Tu veux que je te commande un Uber ?"
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
:
Dernière édition par Jo Carter le Lun 7 Oct - 13:48, édité 1 fois
Isabel Flores
la belle épine
ÂGE : 23 SURNOM : Bel - mieux vaux éviter Isabel si vous voulez qu'elle réponde. Pas Isa, ni Izzy d'ailleurs, par pitié STATUT : Entre l’obsession pour Danaë, l’amitié ambiguë avec Mia et la rancoeur envers Gina… c’est le bordel sentimental. MÉTIER : (en burn-out) Barmaid à l'Octopus la moitié du temps, assistante de Lena Edwards l'autre moitié LOGEMENT : modeste appart en coloc' avec Mia au #101 Oxlade Drive (Fortitude Valley) POSTS : 416 POINTS : 1630
TW IN RP : période dépressive, homophobie familiale, mention de violence domestique et alcoolisme, (ex)relation prof-élève (age gap de 5 ans), relations amoureuses toxiques, perspective très négative de la religion TW IRL : aucun a priori - demandez-moi si vous hésitez sur un trucGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : sens de la répartie aiguisé • fouineuse invétérée • parle couramment le flirt • deux pieds gauches • tête brûlée • asthmatique • fana de véhicules en tout genre, surtout les motos • humour noir • n’accepte de danser qu’après trois verres • la mauvaise habitude des clopes pour faire passer l’anxiété • allergique aux conversations superficielles • maître du silence inconfortable • va droit au but • café noir, sans sucre, à toute heure du jour • fan de True Crime • s’endort souvent en lisant des recueils de poésieDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Bel lâche des piques en #ff3366 RPs EN COURS : yasmin #2 ❀ (the secrets)
mac #1 ❀ (the confessions) RPs EN ATTENTE : Yasmin RPs TERMINÉS : Liste et chronologie à jour sur ma fiche de liensAVATAR : Jenna Ortega CRÉDITS : minasurtad4, tumgik, luomistaide, hoodwinkme, jofridapettersen, fassylovergallery cheekeyfire, artemidosgifs, lionheart-ress, kaceyrps, koala volant DC : Phenix Monroe, le rossignol en blouse bleue PSEUDO : Love INSCRIT LE : 28/08/2024
I'm not a girl, not yet a woman. All I need is time, a moment that is mine while I'm in-between. feat. @Jo Carter
Je pousse la lourde porte des deux paumes, inspirant aussitôt la brise nocturne à pleins poumons. L'air est frais, mais il n'a pas l'effet revigorant que j'espérais. Il me traverse sans me rafraîchir, comme si rien ne pouvait vraiment m'apaiser. À droite, la sortie, une vision rassurante. À gauche, la zone fumeurs, délimitée par des barrières métalliques. Quelques silhouettes y traînent, les cigarettes projetant des éclats rougeoyant sur leurs visages dissimulés par l'ombre. J'opte pour cette dernière, pas encore sûre de vouloir abandonner complètement le navire. Mon dos rencontre la froideur du mur de briques, contraste brutal avec la chaleur de mes joues brûlées par l'humiliation.
Je m'efforce de respirer lentement, mais l'air peine à sortir de ma gorge. Partir maintenant serait... un échec, quelque part. Une première sortie dans la cour des grands totalement gâchée, un mauvais souvenir à jamais gravé dans mon esprit. Le genre de moment qui te hante, où tu te demandes pourquoi t'as pas fait mieux, dit quelque chose, réagi autrement. Et même si, là tout de suite, je déteste mes potes autant que je me déteste moi-même, j’hésite.
Pourquoi c'est si difficile de dire "non" ou "merde" quand les autres profitent de moi ? Pourquoi je me laisse entraîner, pourquoi j’espère encore des choses de personnes qui ratent chaque occasion de prouver qu'elles tiennent à moi ? J'devrais m'endurcir. Prendre exemple sur la nana qui vient de me sortir de là. Celle qui, sans hésitation, a agi quand moi je restais figée.
Et d'ailleurs, la voilà qui me rejoint. La vision de son visage inquiet fait naître une nouvelle vague de chaleur au creux de ma poitrine. C'est débile... Elle doit sûrement se sentir obligée, impliquée maintenant qu'elle m'a vue dans cet état. Mais ça me fait du bien, parce que c’était ça que j'espérais ce soir. Qu'il y ait au moins une personne qui m'accorde un peu d'attention, même si c'est seulement par un sens du devoir. De pas me sentir entièrement invisible, pour une fois.
"J'sais pas... j'ai la tête qui tourne. Mais ça fait du bien d’être dehors. J'habite pas trop loin, une vingtaine de minutes à pied. Faut juste que je récupère... mes chaussures. Ma pote m'a filé les siennes pour que... enfin parce qu'elle avait mal aux pieds." Hem, changeons de sujet. Tu... tu bosses ici ?" Ça expliquerait son insistance à ne pas me lâcher. La menace des sanglots et de la nausée s'estompe, apaisée par le calme ambiant. Je l'observe à la lumière du lampadaire, plissant les paupières lorsqu'une impression de déjà-vu percute ma conscience engourdie. "Hé mais... j'te connais. Ouaiiiiiis ! T’étais dans une de ces émissions, là..." Je décolle mon dos du mur, secoue la tête en claquant des doigts jusqu’à ce que l'image me revienne. "The Voice ? Nan... The X Factor ! Ma mère était à fond, elle était trop contente qu'une Latina figure parmi les finalistes. Putaiiiiin, j'y crois pas, c'est toi, non ? Jo quelque chose ?" L'alcool qui circule encore dans mes veines donne à ma voix une cadence traînante et des accents suraigus - j'dois avoir l'air d'une hystérique, passant des larmes à l'enthousiasme débordant en moins de cinq minutes.
I'm walking away... from all the troubles in my life, I'm walking away towards a better day ☾☾
:
on my mind:
Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
- i'm not a girl, not yet a woman - @Isabel Flores ↣ crédits gifs/jofridapettersen & ssoveia
Ça paraît évident qu’Isabel va rentrer sans ses copines. Elles sont sans doute quelque part dans le club à se foutre de sa gueule, si tant est qu’elles se souviennent encore qu’elles l’ont amenée avec elle. Jo ne sait pas ce que ça fait d’être laissée pour compte, pas dans ces circonstances en tout cas. Elle est celle qui prend le lead dans même chercher à savoir si quelqu’un d’autre le veut, et une chose est sûre, elle ne lâche pas ses copines. Elles les motivent, elles les guident, mais jamais elles ne les laissent tomber, c’est dans son propre code d’honneur. De toute façon, elle n’en a pas, des copines, comme ça au moins, elle est tranquille. Elle en a eu, mais elle préfère traîner avec des bonhommes, elle l’admet. C’est peut-être des restes de son éducation passée avec cinq garçons, elle n’essaye pas de rationaliser, même si une partie d’elle lui fait dire qu’elle préfère leur compagnie tout simplement parce qu’elle sait comment les mener par le bout du nez. Elle s’en moque, elle n’est pas très chaude à l’idée de faire son procès ce soir. Son attention est toujours dirigée vers la brune qui s’est appuyée contre le mur du coin fumeur. Elle la rejoint, et sa tête se baisse pour regarder à nouveau ses pieds. Le sol est plus que frais, ça lui fait retenir un frisson qui se transfuse dans tout son corps sans qu’elle ne le montre, raide sur ses talons, et puis ses yeux remontent sur le visage d’Isabel "Je veux pas te faire de la peine, mais je crois pas que tu récupéras tes chaussures ce soir." Ce qui vient à dire que ouais, Jo va lui commander un Uber. Même si ce n’est qu’à vingt minutes d’ici, rentrer chez elle en pleine nuit, dans cette tenue et pieds nus ? C’est peut-être trendy dans les nouvelles d’Emma Cline, ça l’est moins dans la réalité où des meutes de relouds comme ceux qu’elle a mis à l’amende tout à l’heure n’attendent qu’une seule chose.
Elle détourne l’attention, et trop soudainement, elle s’intéresse à elle. Jo ne trouve pas ça particulièrement désagréable, c’est vrai ; elle se redresse, pointe son menton vers l’extérieur et arc un sourcil pour affirmer la confiance qu’elle a en elle. Elle sait ce qu’elle suscite, elle sait ce qu’elle provoque, et une fois sur deux, ça lui fait une belle jambe. Elle prenait plus de plaisir à ça avant, mais maintenant elle se dit juste que personne n’est spécial à la trouver belle ou intrigante : c’est dans l’ordre des choses, et qu’importe que cette pensée la fasse passer pour la pire grosse tête de l’univers, savoir ce qu’elle vaut, c’est encore l’un de ses défauts les moins pires "J’ai l’air de faire quoi d’autre ?" A part bosser ici, qu’est-ce qu’elle foutrait dans un endroit pareil ? La musique est dégueulasse, la déco l’est encore plus, et le patron est un gros con. Pour s’amuser, elle a plus de standing que ça, et en plus, ça n’implique pas de devoir se frotter à des pervers qui puent l’alcool et la sueur. Elle en tirera les conclusions qu’elle veut, la petite, Jo ne compte pas faire moins de sarcasme, même quand, à nouveau de façon presque trop soudaine, elle semble avoir un éclair de génie qui lui fait plisser ses paupières paillettées et enchaîner sans se départir de son éternelle mine pince-sans-rire "Donc t’es trop bourrée pour par réussir à marcher droit, mais tu l’es pas assez pour reconnaitre une meuf qui, y a deux ans, est passée tous les weekends sur une chaîne nationale pendant trois mois ?" Wouah, qu’elle souffle, théâtralement "C’est un coup à te faire examiner, c’est fascinant." Elle reste étonnamment sérieuse sous tout le grotesque que ça lui inspire, mimant d’être impressionnée en faisant prendre à sa bouche le sens inverse d’un sourire qu’elle aurait pu lui offrir pour lui montrer qu’elle est flattée d’avoir fait de l’effet à sa daronne. Sauf que vu qu’elle n’est pas trop branchée délire communautaire à la con, ça la laisse plutôt indifférente au fond. Elle préfère qu’on lui dise qu’on l’a reconnue à cause de son talent qui n’a pas d’égal — à part Midas du coup, c’est lui qui a gagné, après tout, et juré qu’elle pense de ton son coeur qu’il l’a mérité. Mais quand même, elle aussi, elle le méritait — que parce que sa mère est mexicaine et que son père à moitié portoricain "The X Factor. Carter, le nom." lui fait-elle, ne perdant pas de son dédain qui va avec le personnage qu’elle s’est crée "T’étais à ça d’un sans faute. Tu veux un petit selfie ? Je les fais pas payer, t’inquiète." Elle peut se le carrer profond là où elle veut son selfie cela dit. Mais ça, elle ne le lui dit pas, passant sur l'occasion de briller au sujet de son parcours dans l'un des télécrochets les plus célèbres du globe. C’est humiliant, en vrai, d’être reconnue dans ces circonstances alors qu’elle est là, à bosser de nuit, dans une tenue qui laisse peu de place à l’imagination, à servir des gens qui doivent parfois la reconnaitre et se demander pourquoi l’autre à réussi, et pas elle ; peut-être qu’eux aussi, ils se foutent de sa gueule, mais ça ne l’empêche pas de dormir, c’est comme ça qu’elle se console. Elle a la chair de poule, tout à coup. Elle a les boules aussi en se demandant ce que Midas fait et où il se produit ce soir ; ça aurait pu être elle, ça aurait dû être elle. Elle ressasse brièvement, les yeux rivés sur Isabel tandis qu’elle accuse le coup et qu’elle reste droite sur ses appuis en lui demandant "J’ai des pompes de rechange dans mon casier, si tu me promets de me les ramener en bon état, je te les file pour rentrer. Ce sera pas sans condition par contre." Rien de bizarre : elle ne veut juste pas qu’elle rentre seule et à pinces.
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
:
Isabel Flores
la belle épine
ÂGE : 23 SURNOM : Bel - mieux vaux éviter Isabel si vous voulez qu'elle réponde. Pas Isa, ni Izzy d'ailleurs, par pitié STATUT : Entre l’obsession pour Danaë, l’amitié ambiguë avec Mia et la rancoeur envers Gina… c’est le bordel sentimental. MÉTIER : (en burn-out) Barmaid à l'Octopus la moitié du temps, assistante de Lena Edwards l'autre moitié LOGEMENT : modeste appart en coloc' avec Mia au #101 Oxlade Drive (Fortitude Valley) POSTS : 416 POINTS : 1630
TW IN RP : période dépressive, homophobie familiale, mention de violence domestique et alcoolisme, (ex)relation prof-élève (age gap de 5 ans), relations amoureuses toxiques, perspective très négative de la religion TW IRL : aucun a priori - demandez-moi si vous hésitez sur un trucGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : sens de la répartie aiguisé • fouineuse invétérée • parle couramment le flirt • deux pieds gauches • tête brûlée • asthmatique • fana de véhicules en tout genre, surtout les motos • humour noir • n’accepte de danser qu’après trois verres • la mauvaise habitude des clopes pour faire passer l’anxiété • allergique aux conversations superficielles • maître du silence inconfortable • va droit au but • café noir, sans sucre, à toute heure du jour • fan de True Crime • s’endort souvent en lisant des recueils de poésieDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Bel lâche des piques en #ff3366 RPs EN COURS : yasmin #2 ❀ (the secrets)
mac #1 ❀ (the confessions) RPs EN ATTENTE : Yasmin RPs TERMINÉS : Liste et chronologie à jour sur ma fiche de liensAVATAR : Jenna Ortega CRÉDITS : minasurtad4, tumgik, luomistaide, hoodwinkme, jofridapettersen, fassylovergallery cheekeyfire, artemidosgifs, lionheart-ress, kaceyrps, koala volant DC : Phenix Monroe, le rossignol en blouse bleue PSEUDO : Love INSCRIT LE : 28/08/2024
I'm not a girl, not yet a woman. All I need is time, a moment that is mine while I'm in-between. feat. @Jo Carter
Mouais, j'me fiche pas mal de récupérer mes pompes ou non - une vieille paire de bottines noires complètement déglinguée puisque j'en ai pas changé depuis cinq ans. "Tant pis. Ça forcera p'têtre ma daronne à m'en acheter de nouvelles." Parce que faut vraiment qu'il y ait un trou dans le textile ou la semelle pour qu'elle considère qu'il est temps d'aller faire du shopping. J'dois bien avouer que l’idée de rentrer soit en platform shoes, soit pieds nus, ne m'enchante pas des masses, même s'il s'agit que de vingt minutes. Mais j'ai tellement l'habitude de me démerder toute seule et avec pas grand chose que la perspective ne me paraît pas si délirante que ça. J'sais serrer les dents et sacrifier ma dignité quand il le faut. Ça doit être cette éducation catholique qui ressort : boucle-la, sacrifie-toi et souffre en silence parce qu'il y a des gens qui ont une vie beaucoup plus craignos. Quoi ? C'est le genre de truc que j'entends depuis ma naissance. J'crois que ma mère a un peu fait un remix de la Bible, pour ne garder que les trucs qui l'arrangent - ce serait pas la première.
Woops, j'crois que je l'ai insultée, la star du télécrochet. Elle a pas l'air super contente d’être là, et j'peux imaginer pourquoi. Après avoir frôlé la gloire de si près, se retrouver à bosser dans un club pourrave, c'est ballot. T'as l'air de bouffer des filles comme moi au p'tit-déj, que j'ai envie de répondre à sa rhétorique, mais je m'abstiens, parce qu'il y a un dragon qui a l'air de sommeiller au fond de ces pupilles noires comme l’abîme. "Pas ma faute si ta tronche était sur ma télé tous les weekends et que ça m'a assez traumatisée pour que je m'en souvienne !" J'sais pas pourquoi j'la cherche alors qu'elle est déjà clairement remontée. On avait dit quoi par rapport au dragon, déjà ? Lui souffler dessus pour voir s'il crache vraiment du feu ? Non ? Faut croire que j'aime vivre dangereusement, parfois. J'ai envie de la provoquer, de pousser ses limites comme une cadette s'amuserait à emmerder sa grande sœur. Parce que je l'admire autant que je l'envie, et que la voir si sûre d'elle et audacieuse me ramène juste à ma propre piètre image de moi.
Un sans faute ? C'est-à-dire qu'elle va me coller une note, à la fin ? J'aurais sûrement courbé le dos, en temps normal. Mais l'alcool a brûlé le filtre "bonne élève" et people-pleaser qui me colle habituellement au train. Et puis j'ai tellement la rage que j'me fiche de tout, là tout de suite. Quand elle me parle de selfie, j'peux pas m’empêcher d'me demander si ça vaudrait quelque chose, un autographe d'une starlette déchue. Y a bien des gens qui seraient prêt à payer pour ça, non ? Tout se vend, de nos jours. Les cheveux, les photos de pieds... Putain ça craint d’être pauvre.
Je croise les bras machinalement, ma posture de gamine insolente préférée. "C'est quoi, la condition ? J'dois te lécher les bottes et te dire que t'as une trop belle voix ?" Ta gueule, Bel, ta gueule. Mais c'est trop tard : c'est sorti de ma bouche sans passer par la case cerveau. Elle va sûrement me les balancer à la tronche, ses godasses. J'fous vraiment tout en l'air dès que quelqu'un essaie de m'aider. Comme si je voulais lui donner une raison de me laisser en plan, elle aussi. De me dire que c'est ma faute, parce que j'suis qu'une petite pétasse ingrate avec une trop grande gueule. Quitte à ce que tout parte en vrille, je préfère autant me dire que c'est parce que je l'ai mérité.
I'm walking away... from all the troubles in my life, I'm walking away towards a better day ☾☾
:
on my mind:
Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
- i'm not a girl, not yet a woman - @Isabel Flores ↣ crédits gifs/jofridapettersen & ssoveia
Elle l’entend parler, et elle la trouve jeune, tellement jeune. Elle a encore besoin de sa mère pour s’acheter des fringues ou des pompes, et Dieu que ça lui fait mal au ventre de repenser à la scène de tout à l’heure quand là, elle démontre rien d’autre qu’une profonde naïveté. Jo a bien agi, c’est ce qu’elle se dit en les regardant, elle et ses pieds nus sur le sol froid de la rue. De là à dire qu’elle s’en serait voulu de ne pas lui venir en aide, il ne faut pas quand même pas exagérer — pas que ça à foutre, franchement —, mais penser à la gamine qu’elle-même a été, ça la force à vouloir se comporter avec celles qu’elle rencontre comme elle aurait voulu qu’on se comporte avec elle à l’époque : avec bienveillance, même si la sienne est enrobée d’une bonne couche de sarcasme et de mauvaise foi. Reste qu’à côté de ça, elle fait quelque chose pour éviter à une gosse de faire les conneries qu’elle a faite à son âge, et plus jeune encore, et qui ne sont pas toutes mignonnes.
Jo n’est pas remontée — si elle l’était, ça s’entendrait, ça se verrait encore plus. En revanche, elle répond aux questions qu’elle lui pose en se demandant comment une môme dans son genre puise dans ses réserves de matière grise pour se souvenir de la tronche d’une semi-célébrité alors qu’elle ne réussit même pas à marcher droit. Mais soit. Elle lui a dit qu’elle avait 12 ans, ça a dû égratigner son amour propre qui a failli déborder de ses yeux tout à l’heure, alors qu’elle se faisait lamentablement abandonner par ses potes. Elle peut tenter de l’asticoter comme elle a envie, Isabel, Jo a suffisamment confiance en elle pour savoir que, quand elle traumatise quelqu’un, c’est parce qu’elle lui a collé son poing dans la figure, et certainement pas parce que son visage est apparu sur l'écran de sa télévision.
Elle se contente de rouler des yeux. Elle assez immature pour répondre à ce genre de connerie, mais dans la présente, elle n’en a pas envie. En revanche, elle lui fait une proposition qu’elle prendra ou non, au final, Jo n’insistera pas de toute façon ; elle vérifiera les nouvelles demain pour vérifier qu’aucun corps n’a été retrouvé, ça c’est aussi sûr que, quand elle reprend la parole, elle lui rétorque "Te donne pas cette peine, je sais que j’ai une belle voix." Elle n’a pas attendu de passer à la télé pour le savoir, et elle n’a pas non plus besoin d'avoir fait carrière pour savoir que c’est de l’or qu’elle a dans la gorge ; c’est le peuple qui n’en est pas digne, c'est tout, fin de l’histoire. Echouer ne l’a pas fait douter sur ses capacités, ça lui a juste montrer que pour y arriver, avoir de l’audace, c’est bien, mais il faut savoir faire des concessions, et elle n’a jamais vraiment été prête pour ça, sans doute même qu’elle ne le serait jamais. Elle ne peut s’en prendre qu’à elle-même au fond, c’est bien pour ça que c’est plus dur certaine fois, quand elle songe à tout ce qu’elle a vécu et à la manière dont elle y a cru ; elle se dit que si elle avait été plus comme Midas, à jouer le jeu, à ne pas moufter et à faire ce qu’on lui demande, elle ferait peut-être autre chose de sa vie que de baby-sitter des morpionnes du genre d’Isabel. Enfin, elle reprend "Ma condition c’est que tu rentres ni seule ni à pied. T’appelles qui tu veux, je m’en cogne, mais j’ai une conscience, et elle me dit que si je te laisse filer dans cette tenue alors qu’il fait nuit noire, tu vas te faire choper au coin de la rue." Elle poursuit sur le même ton ; plutôt monocorde, sans donner l’impression qu’elle réfléchit à quoi que ce soit qui sort de ses lèvres qui remuent, brillantes de gloss "Je veux pas te vexer, mais vu l’état dans lequel tu t’es mise tout à l’heure pour quatre connards qui te tournaient autour, je donne pas cher de ta peau contre un crève la dalle qui cherche son snack de minuit dans les ruelles sombres."
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
:
Dernière édition par Jo Carter le Jeu 10 Oct - 13:03, édité 1 fois
Isabel Flores
la belle épine
ÂGE : 23 SURNOM : Bel - mieux vaux éviter Isabel si vous voulez qu'elle réponde. Pas Isa, ni Izzy d'ailleurs, par pitié STATUT : Entre l’obsession pour Danaë, l’amitié ambiguë avec Mia et la rancoeur envers Gina… c’est le bordel sentimental. MÉTIER : (en burn-out) Barmaid à l'Octopus la moitié du temps, assistante de Lena Edwards l'autre moitié LOGEMENT : modeste appart en coloc' avec Mia au #101 Oxlade Drive (Fortitude Valley) POSTS : 416 POINTS : 1630
TW IN RP : période dépressive, homophobie familiale, mention de violence domestique et alcoolisme, (ex)relation prof-élève (age gap de 5 ans), relations amoureuses toxiques, perspective très négative de la religion TW IRL : aucun a priori - demandez-moi si vous hésitez sur un trucGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : sens de la répartie aiguisé • fouineuse invétérée • parle couramment le flirt • deux pieds gauches • tête brûlée • asthmatique • fana de véhicules en tout genre, surtout les motos • humour noir • n’accepte de danser qu’après trois verres • la mauvaise habitude des clopes pour faire passer l’anxiété • allergique aux conversations superficielles • maître du silence inconfortable • va droit au but • café noir, sans sucre, à toute heure du jour • fan de True Crime • s’endort souvent en lisant des recueils de poésieDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Bel lâche des piques en #ff3366 RPs EN COURS : yasmin #2 ❀ (the secrets)
mac #1 ❀ (the confessions) RPs EN ATTENTE : Yasmin RPs TERMINÉS : Liste et chronologie à jour sur ma fiche de liensAVATAR : Jenna Ortega CRÉDITS : minasurtad4, tumgik, luomistaide, hoodwinkme, jofridapettersen, fassylovergallery cheekeyfire, artemidosgifs, lionheart-ress, kaceyrps, koala volant DC : Phenix Monroe, le rossignol en blouse bleue PSEUDO : Love INSCRIT LE : 28/08/2024
I'm not a girl, not yet a woman. All I need is time, a moment that is mine while I'm in-between. feat. @Jo Carter
J'ai beau titiller sa patience avec mes petites remarques piquantes, Jo ne se laisse pas démonter pour autant. À croire qu'elle a vu des vertes et des pas mûres avant moi. Elle conserve cette imperturbabilité, comme si tout ce que je disais glissait sur elle sans laisser de trace. J'me félicite tout de même d'avoir réussi à la faire lever les yeux au ciel : c'est une de mes spécialités. Je pourrais même pas la qualifier d'arrogante, puisqu'elle déclare ça avec tout le naturel du monde. "Bah ouais j'suis géniale, pas besoin qu'on me le rappelle." Ça doit être grisant de se sentir si confiante dans ses capacités sans chercher l'approbation de quiconque.
À mon tour de rouler des yeux. Roh là là... j'suis peut-être naïve ouais, pas super dégourdie et bien imbibée d'alcool, mais pas stupide au point de me laisser entraîner dans une ruelle sombre par un vieil ivrogne. D'autant que le trajet vers chez moi n'est qu'une longue ligne droite où les passants circulent jusque tard dans la nuit. Cela dit... c'est mignon, qu'elle s’inquiète comme ça. Même si c'est que lié à son job et au sens du devoir qui l'accompagne, je trouve ça attendrissant qu'elle persiste. Y en a plein qui m'auraient renvoyée chez moi avec un salut de la main et un "bonne chance !" lancé au gré du vent. Je soupire longuement, ma posture plus détendue. "J'ai personne à appeler." Triste et véridique constat - mes pseudo-potes sont toutes ici, et mes parents... eh bien un des deux s'est fait la malle avant que j'apprenne à rouler au vélo et l'autre me hurlerait dessus si j'osais interrompre son sommeil pour venir me chercher à un club mal famé. Et dans le meilleur des cas, elle me priverait de sorties jusqu'à mes trente ans pour avoir osé désobéir et faire le mur. "J'veux bien que tu me commandes... un taxi."
Je déglutis difficilement, mes yeux se promenant sur les fêtards autour de nous et la fumée qui dessine des volutes blanchâtres dans l'air nocturne. Pourquoi j'suis pas capable de m'amuser, comme eux, de profiter du moment présent sans me poser dix-mille questions ou m'apitoyer sur mon sort ? Les larmes remontent, revenant border mes cils. J'ai plus envie de rire, ni de m’énerver. J'suis juste lasse, mes paupières lourdes de fatigue et mes pieds engourdis par la fraîcheur des pavés. "Où est-ce que je te rapporte tes pompes ? Je peux passer demain." Mon esprit brumeux ne réalise pas encore que je vais probablement me réveiller avec une gueule de bois carabinée au petit matin, mais j'ai cette envie de lui prouver que je suis quelqu'un de fiable, malgré tout. Même si on se connaît à peine et qu'elle me doit absolument rien. "J’espère que tu chausses pas du 42," j'ajoute, espérant anéantir l’émotion qui monte dans ma gorge d'un petit rire sec.
I'm walking away... from all the troubles in my life, I'm walking away towards a better day ☾☾
:
on my mind:
Jo Carter
la folie des grandeurs
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer (dans le déni de la PAuSe since août 2024) MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : n’a plus aucune adresse fixe, crèche à l’emerald hotel depuis début août, n’a pas eu le temps de se chercher un endroit à elle avant de partir en tournée, ayant quittée le château de midas après quelques semaines à peine après avoir emménagé avec lui ; elle s’en chargera quand elle sera rentrée pour de bon. en attendant, ça fait très chic, très star qui claque son fric dans des options à la con pour retrouver un semblant d’impression d’être chez elle, mais ça l’emmerde bien comme il faut d’en être réduite à traîner son boule qui chamboule dans un peignoir qui ne lui appartient même pas POSTS : 10984 POINTS : 2510
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifère) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we're all here the lights and noise are blinding we hang back it's all in the timing it's poker he can't see it in my face but i'm about to play my ace we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
DAFNE ◦ when i grow up i wanna be famous i wanna be a star i wanna be in movies i wanna see the world drive nice cars i wanna have groupies be on tv people know me be on magazines fresh and clean number one chick when i step out on the scene (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
- i'm not a girl, not yet a woman - @Isabel Flores ↣ crédits gifs/jofridapettersen & ssoveia
"Ta mère t’achètes tes chaussures, mais elle est pas foutue de venir te chercher quand t’en as besoin ? T’as un téléphone au moins ?" Dans le doute, elle lui pose la question, et pas parce qu’elle veut juger son niveau de vie, mais parce qu’avoir un téléphone sur soi, ça change la donne quand on est une jeune femme qui traîne seule dans la nuit. Elle n’épilogue pas, de toute façon. Jo et les parents, c’est toute une histoire qu’elle n’a pas le temps de raconter. Elle pourrait dire que les siens sont des gens biens, qu’ils ont donné à elle et ses frères une maison propre, des assiettes bien remplies, et des cadeaux à chacun de leur anniversaire — tout est vrai, rien n’est romancé —, sauf qu’au-delà de la façade de la parfaite petite famille d’immigrées bien intégrée à la bourgade dans laquelle ils ont décidé de s’installer se cachent des secrets qui l’ont rendue dure, froide, et prompte à l’emportement. Du coup, en effet, inutile de s’attarder. Isabel ne le fera peut-être pas au sujet de sa propre mère, elle ne lui en voudra pas, et lui répond seulement, bonne Samaritaine qu’elle a décidé d’être ce soir "C’est déjà prévu, t’en fais pas. Me dis pas merci." Elle pourrait pousser le bouchon, lui dire que le seul remerciement dont elle aura besoin, c’est de la savoir en sécurité et en vie, mais merde à la fin, elle a décidé d’être sympa, pas de se comporter comme une sainte non plus.
D’un signe de tête, Jo lui fait signe de la suivre. Elle la guide, lui évite de marcher dans des flaques à l'aspect et à l’odeur suspicieuses, et contourne la devanture du club pour passer par l’entrée des employés histoire de rejoindre l’arrière-boutique où se trouve le petit coin réservé à elle et ses collègues. Il fait plus chaud à l’intérieur, ça la fait réagir par un soupir d’aise qu’elle meut en réflexion quand, s’avançant vers son casier, elle répond à la gamine "T’as qu’à passer ici demain vers 16h30, je serai déjà sur place." A passer un savon au mec de l’entrée pour avoir laissé entrer une gamine qui a clairement menti sur sa date de naissance. Elle a presque hâte, elle a de la frustration et de la colère à décharger — c’est toujours le cas depuis cette finale de l’enfer, celle où le pays tout entier l’a vu se décomposer en comprenant que ce qu’ils s’étaient la veille avec Midas, ça avait une date butoir, et qu’elle prenait effet à l’instant où on a mis le trophée dans les mains du jeune homme. Elle se recentre, s’interdit d’y penser, et ferme son casier dans un bruit sourd, métallique, avant de tendre à Isabel une paire de tennis toutes simples, presque quelconques, pour les afters où elle marche jusqu’à chez elle pour rentre. Elle, elle a arrêté de craindre les allées sombres depuis bien longtemps "Après je t’avoue que j’y tiens pas particulièrement, alors si elles te plaisent, gardent-les, elles me manqueront pas." Elles ne les portent pas en dehors de ces moments-là dans tous les cas. Elle mesure largement moins d’un mètre soixante et elle a un ego gros comme une montgolfière ; bien sûr que c’est obligatoire pour elle de porter des talons, ça va avec le personnage qu’elle joue, ainsi non, cette paire de pompes aussi plates que la Terre sur laquelle vivent les adeptes aux théories du complots ne lui manquera pas. Elle l’encourage d’un signe du menton à les prendre, répond à sa boutade qu’elle prend pour ce qu’elle est sans doute possible : une tentative de dédramatiser une situation dans laquelle est plutôt vulnérable. C’est une gosse, ça la touche malgré tout "C’est du 36. Force un peu, ton 45 finira bien par passer au bout d’un moment." Elle ravale un ça va aller, mais dans la manière qu’elle a d’insister pour qu’elle les prenne, ces chaussures, il y a clairement de ça qui transparait.
i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.
:
Isabel Flores
la belle épine
ÂGE : 23 SURNOM : Bel - mieux vaux éviter Isabel si vous voulez qu'elle réponde. Pas Isa, ni Izzy d'ailleurs, par pitié STATUT : Entre l’obsession pour Danaë, l’amitié ambiguë avec Mia et la rancoeur envers Gina… c’est le bordel sentimental. MÉTIER : (en burn-out) Barmaid à l'Octopus la moitié du temps, assistante de Lena Edwards l'autre moitié LOGEMENT : modeste appart en coloc' avec Mia au #101 Oxlade Drive (Fortitude Valley) POSTS : 416 POINTS : 1630
TW IN RP : période dépressive, homophobie familiale, mention de violence domestique et alcoolisme, (ex)relation prof-élève (age gap de 5 ans), relations amoureuses toxiques, perspective très négative de la religion TW IRL : aucun a priori - demandez-moi si vous hésitez sur un trucGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : sens de la répartie aiguisé • fouineuse invétérée • parle couramment le flirt • deux pieds gauches • tête brûlée • asthmatique • fana de véhicules en tout genre, surtout les motos • humour noir • n’accepte de danser qu’après trois verres • la mauvaise habitude des clopes pour faire passer l’anxiété • allergique aux conversations superficielles • maître du silence inconfortable • va droit au but • café noir, sans sucre, à toute heure du jour • fan de True Crime • s’endort souvent en lisant des recueils de poésieDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Bel lâche des piques en #ff3366 RPs EN COURS : yasmin #2 ❀ (the secrets)
mac #1 ❀ (the confessions) RPs EN ATTENTE : Yasmin RPs TERMINÉS : Liste et chronologie à jour sur ma fiche de liensAVATAR : Jenna Ortega CRÉDITS : minasurtad4, tumgik, luomistaide, hoodwinkme, jofridapettersen, fassylovergallery cheekeyfire, artemidosgifs, lionheart-ress, kaceyrps, koala volant DC : Phenix Monroe, le rossignol en blouse bleue PSEUDO : Love INSCRIT LE : 28/08/2024
I'm not a girl, not yet a woman. All I need is time, a moment that is mine while I'm in-between. feat. @Jo Carter
Franchement, vaut mieux qu'on cesse de parler d'ma mère : je crois que Jo comprendrait pas. C'est le genre de truc qu'on ne peut comprendre qu'en ayant eu la même éducation que moi, celle où tu mouftes pas, où tu fais tout le temps semblant que tout va bien, et où tu racontes bobard sur bobard pour éviter à tes darons de péter un câble à la moindre occasion. "Euh ouais... j'ai Uber aussi. Sauf que j'ai pas de sous sur mon compte... actuellement. "Actuellement" c'est-à-dire, les trois quarts du temps. J'sais même pas pourquoi j'ai cette appli, vu qu'elle me sert à rien et que je m'en suis servi une seule fois, quand une de mes potes était tellement déchirée que c’était soit un taxi qui allait nous ramener à la maison, soit une marche d'une heure en pleine tempête. "J'peux avoir ton numéro ? Juste... au cas où ?" Au cas où quoi, j'en sais rien. Si le chauffeur de taxi s’avère être un psychopathe dangereux, peut-être ? Mais je sais que j'abuse : cette meuf m'a déjà bien trop accordé de son temps ce soir, et j'vois bien qu'elle doit avoir hâte de se débarrasser de moi.
Je la suis dans les coulisses du club, réalisant vaguement que j’étais en train de me les geler dehors quand la porte se referme derrière nous et qu'une vague de chaleur un peu humide nous enveloppe. Jo me file des baskets et même si c'est juste une paire tout à fait banale, je les accepte comme si elle présentait un banquet à une affamée. Sa blague m'arrache un rire sincère alors que j'enfile les godasses qui, incidemment, me vont parfaitement. En vrai... ça m'arrangerait bien de les garder. Celles que j'utilise pour les cours de sport sont complètement mortes. "T'es sûre ? J'voudrais pas te priver de ces merveilles." Avisant une poubelle dans un coin, j'y balance les platform shoes violettes comme on se débarrasserait d'une vieille pomme pourrie. Allez, ciao ! Doit y avoir une sorte de symbolique derrière ce geste. C'est peut-être ces amitiés toxiques auxquelles je dis Adieu, finalement. Fallait sûrement en arriver là pour que je regarde la réalité en face. C'est pas parce que des gens t'acceptent dans leur petit cercle privé qu'ils te veulent du bien. C'est dans les actes qu'on voit vraiment qui en a quelque chose à cirer. Et en une seule soirée, cette inconnue vient de me montrer qu'elle en se soucie davantage de mon sort que des nanas que je côtoie depuis plusieurs mois. "T'aurais dû gagner. Et j'dis pas ça pour te lécher les bottes. C'est la vérité. L'autre, là, il était mignon mais il avait pas ta présence sur scène." Parce qu'à force d'avoir cette émission à la con sur mon écran de télé, j'ai fini par me sentir investie, moi aussi. Elle m'a dit de ne pas la remercier, mais c'est peut-être comme ça que j'ai envie de lui dire merci, sans vraiment prononcer le mot.