Tomás ☆ I can feel you fade away

(#)Ven 11 Oct 2024 - 8:25

Tomás Oliveira

Every life has a measure of sorrow, and sometimes this is what awakens us.

Pièce d'identité

NOM ≈ Oliveira PRÉNOM(S) ≈ Tomás ÂGE ≈ 30 ans LIEU DE NAISSANCE ≈ Viana de Castelo, Portugal. STATUT SOCIAL ≈ Célibataire MÉTIER ≈ Responsable commercial ORIENTATION SEXUELLE ≈ Bisexuel GROUPE ≈ 30 ans, sinon rien. AVATAR CHOISI ≈ Sergio Carvajal CREDITS GIFS ≈ M & Wattpad

Les informations en vrac

TW : Dépression, enlèvement, burn-out, TCA, troubles du sommeil, disparition, homophobie banalisée, peur de l'abandon, PTSD

Tomás n'a aucune notion de la vie de couple. Il n'arrive pas à s'attacher aux gens, que ce soit en amour ou en amitié, sans savoir pourquoi, parce qu'il aime sa famille plus que tout. Pourtant bisexuel, il n'est vaguement sorti qu'avec des filles, pour ne pas se fâcher avec son père. Il a bien vu ce que ça avait pu donner avec son frère le plus jeune. Mais en soi, il ne le vit pas SI mal, il se sent juste terriblement seul. ≈ S'il y avait un mot qui pouvait le définir, ce serait protecteur. Envers sa famille, surtout. Même pour ses parents et son grand frère, il est aux petits soins. En effet, Tomás est très famille. Il a des photos d'eux partout chez lui, et il est reconnaissant chaque jour de les avoir dans sa vie. Très tactile avec eux, il n'hésite pas à venir leur faire des câlins, même sans aucune raison. Fallait-il vraiment une raison à l'amour de toute façon ? ≈ Il n'aime pas l'alcool, mais il apprécie un bon verre de vin avec son dîner ou une bière avec ses collègues. Ce qu'il n'aime pas surtout, c'est la sensation d'ébriété. Il aime rester maître de son corps et de ses paroles. D'ailleurs, il n'a jamais touché à la drogue de toute sa vie, pas même une taffe sur un joint. ≈ Il n'arrive pas à s'endormir dans le silence. La plupart du temps, il a toujours un livre audio dans les oreilles, ou, le cas échéant, une vidéo d'ASMR ou de bruits ambiants, du type feu de cheminée ou open space. ≈ La disparition de son frère l'a détruit, tant physiquement que psychologiquement. Même si maintenant il est de retour, il porte encore des stigmates de sa disparition. Quand il est chez lui, il vérifie au moins deux ou trois fois par nuit s'il est toujours là et s'il respire encore. Il regarde mal chaque personne qui pose ses yeux sur un membre de sa famille, sans pouvoir le contrôler. Et surtout, il s'arrange pour prendre des nouvelles de ses proches chaque jour, et leur rappelle au quotidien qu'il les aime. ≈ Il n'aime pas voyager. Certes, il vient de loin, mais il préfère le confort de son appartement à un voyage sur une île paradisiaque. Prendre l'avion, c'est pas son truc. Le bateau, pareil. Au mieux, il peut aller quelque part en Australie, mais ça ne le tente pas. ≈ Il va peut-être bientôt adopter un animal, mais il ne sait pas s'il veut un chat, un chien, un rongeur ou un reptile. Il y réfléchit souvent, mais il n'arrive pas à prendre de décision. Et clairement, il ne se sent pas d'en avoir plusieurs. Même s'il est en télétravail et sort très peu, il a trop peur que son animal soit malheureux, alors pour le moment, c'est encore en réflexion. ≈ Il a une grande passion dans la vie, c'est la lecture. Dès qu'il a cinq minutes, un rendez-vous chez le médecin, un temps dans les transports en commun, il sort un bouquin. Il en a toujours un dans son sac à dos, et ce depuis le collège. Il rêve d'écrire un roman un jour, mais il n'arrive pas à franchir le pas. Il pense qu'il n'a ni assez d'imagination, ni assez de talent pour faire ça. ≈ Il va faire du sport une fois par semaine. Ca l'aide à garder un rythme, qu'il a perdu quand il a fini l'université. Ca lui fait du bien et ça l'entretient. Parfois, quand il a envie, il y va plus souvent. Mais souvent, il garde ce rythme pour la salle, et le reste du temps, il va marcher ou courir. ≈ Il est amoureux de son travail, surtout depuis qu'il est passé responsable et qu'il est en télétravail 100% du temps. Il s'est aménagé tout un espace pour travailler dans son grand salon, et étonnamment, il aime encore plus son appartement depuis qu'il a ce bureau d'installé. Il l'a décoré de partout, s'étant fait un vrai espace de travail comme s'il était sur place. Quand il y est posé, il est tellement concentré qu'il lui arrive de finir le travail en retard, juste parce qu'il n'a pas vu le temps passé.

Le joueur derrière l'écran

Sur le net, on m'appelle Nilvenia, mais appelez-moi Audrey. J'ai 25 ans, et je viens de France. J'ai découvert 30YSY grâce à RavenKlas, comme toujours, et j'ai cédé à m'inscrire parce que je suis beaucoup trop influençable. Pour me faire ma place, j'ai pas besoin d'un parrain ou d'une marraine. Malgré mon emploi du temps chargé, je pourrai tout de même être présent(e) quasiment tout le temps. Mon personnage est un inventé. Je suis content(e) de vous rejoindre dans l'aventure et j'espère me plaire ici.

Pour recenser votre avatar

Code:: <pris>Sergio Carvajal ≈</pris> @"tomás oliveira"

à remplir si vous acceptez le doublon de prénom

Code:: <scena>Tomás</scena>

à remplir si vous refusez le doublon de prénom

Code:: <pris>PRÉNOM DU PERSONNAGE</pris>

(#)Ven 11 Oct 2024 - 8:26

Il était une fois, mon histoire

The greatest loss is what dies inside us while we live.

TW : Dépression, enlèvement, burn-out, TCA, troubles du sommeil, disparition, homophobie banalisée, peur de l'abandon, PTSD

C'est sous le soleil du ciel portugais que tu as vu le jour, il y a... Trente ans maintenant. Trente ans. Si on t'avait dit que tu tiendrais jusque là, que tu resterais debout malgré tout, tu n'y aurais pas cru. Mais on n'en est pas encore là. Alors que tu fermes les yeux pour souffler tes trente bougies, c'est comme si toute ta vie repassait en vitesse accélérée sur tes paupières closes. Et tu en as vécu, des choses...

Ton enfance, elle a été heureuse, entourée de tes parents, tu es l'enfant du milieu d'une fratrie de trois garçons. La place de cet enfant, bien que dure à trouver, tu l'as tenue avec succès. D'abord petit frère de l'un, puis grand frère de l'autre, tu t'es tout de même imposé en protecteur, tout en pouvant compter sur ton grand frère pour t'épauler.

C'est à l'âge de dix ans que tu emménages à Brisbane avec toute ta petite famille. Le Portugal te manque, mais tu sais qu'ici, tu auras une vie heureuse, tu en es persuadé. Après tout, tu viens d'une famille aisée avec qui tu t'entends à merveille, tu n'as aucun mal à te faire des amis, tu es plutôt sérieux à l'école... Tu es cet enfant discret mais drôle, que tout le monde apprécie plus ou moins. Cependant, tu n'as pas vraiment d'ami proche, de confident. Tu t'enfermes un peu dans le travail, surtout maintenant que tu arrives au collège. Tu es exigent avec toi-même, tu détestes avoir de mauvaises notes. Et puis, tu as des responsabilités, ton grand frère et toi devez montrer l'exemple à votre petit frère.

Le lycée arrive bien vite, tu as toujours de bonnes notes, tu travailles bien, et as régulièrement les félicitations et les encouragements de tes professeurs. Tu fais maintenant partie d'un petit groupe d'amis. Va savoir pourquoi, tu t'entends mieux avec les personnes qui sont moins populaires, moins dans le paraître. Tu les trouves plus honnêtes, travailleurs, sympa, et tu as des points communs avec. En effet, tu adores lire et passer du temps à simplement se poser dans un parc, en écoutant de la musique, allongé dans l'herbe. Quand tu y repenses, ça fait partie de tes meilleurs souvenirs. Vous partagiez plus ou moins tout ensemble. Ou du moins eux avec toi. Parce que toi, tu étais plus discret, plus renfermé, sans réussir à vraiment t'attacher à qui que ce soit. Pourquoi tu n'arrivais pas à t'attacher, comme tout le monde ? Avoir un ou une meilleur.e ami.e ? Le groupe dans lequel tu es, tu apprécies leur compagnie, mais... Sans plus, quoi. Tu ne dis rien, mais au fond, ça te rend triste. Tu te sens seul même en étant entouré, tu as l'impression que personne ne peut te comprendre, alors tu n'en parle pas. De toute façon, tu ne te comprends pas toi-même, alors comment ils le pourraient ?

Ces amis, tu les as plus ou moins perdus de vue quand tu es rentré à l'université, mais tu es toujours en contact avec. Tu as fait des études de commerce, c'est un domaine que tu aimes beaucoup. Tu l'as découvert un peu par hasard. L'idée plaisait à tes parents, ils se sont sûrement dit que tu pourrais reprendre l'affaire familiale, alors tu as juste suivi cette voie, par défaut, et tu as trouvé ta carrière. Ou plutôt, c'est elle qui t'a trouvé. C'est pendant une soirée de réseautage que tu t'es fait remarquer par l'homme qui deviendra ton futur patron. Tes professeurs n'ont eu de cesse de répéter à quel point tu étais sérieux, travailleur et fiable. En même temps, en étant major de ta promotion, ce n'était pas étonnant. Mais c'est aussi à cette période que tu as commencé à avoir du mal à te lever le matin, à dormir tout le week-end, et à te sentir mal en allant en cours. Pourquoi ? Aucune idée. Tu adores ce que tu fais, alors tu ne comprends pas. Tu ne vois pas que tu passes un nombre indécent d'heures à travailler sur tes cours, négligeant ton sommeil. Et personne ne le voit non plus, puisque tu passes une grande partie de tes journées et de tes nuits enfermé dans ta chambre.

Ce fameux patron, il t'a pris comme employé commercial en alternance après la fin de ta première année d'études. Ca t'a permis de pouvoir quitter le cocon familial et te prendre ton propre appartement, pour la première fois, à dix-neuf ans. Rien d'immense ni de très luxueux, tu as insisté auprès de tes parents pour être complètement indépendant. Tu as donc loué un petit trois pièces, censé servir uniquement le temps de tes études, et tu te sens tellement bien dedans que tu ne l'as jamais quitté. D'ailleurs, il n'y a guère que là que tu te sens vraiment bien. Quand tu es seul avec toi-même, ou avec l'un de tes frères venu squatter. Tu as tout pour être heureux à présent. Tu as un job que tu aimes, tu es en très bons termes avec ta famille, tu as un salaire plus que correct et un bel appartement décoré selon tes goûts. Alors c'est quoi cette sensation qui t'envahit dès que tu lèves les yeux de tes bouquins cinq minutes ? Cette boule dans ton ventre quand tu dois te lever le matin pour aller au travail ? Pour aller en cours ? T'en sais rien, et tu continues ta vie, en te disant que ça va passer.

Alors que tu vivais (presque) paisiblement ta vie, maintenant que tu travailles à temps plein, l'un de tes pires cauchemars arriva. Tu avais toujours eu peur de perdre l'un de tes frères avec lesquels tu t'entendais si bien. Et Tulío, ton petit frère, celui que tu as toujours voulu protéger envers et contre tout, a disparu. Il a été enlevé. Et pour toi, ça a été la descente aux enfers. Déjà que tu te sentais mal chaque jour, tu avais l'impression d'avoir échoué dans ton rôle de grand frère. En plus de l'inquiétude que tu ressentais pour lui chaque jour. Tu as pris quelques jours de congé quand tu as appris la nouvelle, pour soutenir ta famille et conduire des recherches, mais il fallait bien que tu retournes travailler... Et ça, c'était la goutte d'eau. Cette boule au ventre que tu ressentais depuis tant d'années en allant travailler s'était transformé en torrent interminable de larmes. Tu ne pensais qu'à lui, à Tulío, à ce qu'il pouvait être en train de vivre. Tu n'étais plus capable de rien. Tu ne dormais plus, ne mangeais plus. A tel point que c'est ton patron qui t'a convaincu de te rendre aux urgences.

Là-bas, tu as parlé à un psychiatre pour la première fois de ta vie. Tu en avais tellement sur le coeur que tu as passé l'après-midi entier à lui raconter ta vie, mais surtout celle de ton frère. Tu lui as parlé de ta solitude, de ton incapacité à t'attacher vraiment aux personnes autres que ta famille, de ton estime de toi si faible, de ces sentiments qui prennent possession de toi dès que tu as quelque chose à faire... Et de tes idées noires depuis la disparition de ton frère, ta tristesse sans fin. Et là, le diagnostic et tombé. Tu es en plein burn-out. C'est un trop plein pour toi, un trop plein de tout. Et en plus de ça, d'après le psychiatre, tu souffres d'une dépression latente et non traitée depuis des années. Tu es resté en observation quelques jours, tu as été réhydraté et on t'a donné un traitement. Tu te sens un peu mieux, mais ce n'est pas gagné. Tu as cependant été autorisé à retourner chez toi. Pour être honnête, tu as préféré passer une partie de ton arrêt de travail chez tes parents, ne cessant de chercher ton frère. Tu souffres toujours, mais tu n'as plus tant envie de mourir, pour un peu que tu prennes ton traitement correctement.

Cependant, le temps a passé, tu as bien vite dû reprendre une vie normale, bien que tu ne perdes jamais espoir de retrouver Tulío un jour. Tu appelles le commissariat chaque semaine pour que l'enquête soit relancée, pour apprendre s'il y a du nouveau, sans grand succès. En attendant, tu as dû reprendre le travail en présentiel, et... Tes vieux démons refirent bien vite surface. L'homme sérieux et discipliné que tu étais autrefois n'était que l'ombre de lui-même. Tu as alors commencé à travailler à mi-temps, puis, après une longue discussion à ton patron, vous avez décidé de tenter le temps plein en télétravail. Mais un commercial en télétravail... Bon. Alors tu as été promu. A l'essai, bien sûr, mais promu. Tu es devenu responsable commercial. De chez toi, devant ton ordinateur et avec ton téléphone, tu diriges les équipes, tu rappelles les clients, tu fais du mailing, tu gères la facturation... Et tu as l'impression de revivre. Cette pression qui pesait sur tes épaules chaque fois que tu devais aller au travail disparaît, peu à peu, et tu reprends goût à cet emploi que tu aimais tant.

Puis, un jour, l'appel inespéré tombe. Ta mère qui t'appelle au milieu de la journée ? Ce n'est pas normal, tu réponds immédiatement. Puis tu cours. Tu pars de chez toi en abandonnant ton travail sans rien dire à personne. Tu t'expliqueras avec ton patron, il comprendrait. Tulío avait été retrouvé, il était rentré ! A l'hôpital, dans un sale état, mais bien vivant ! Tu fonces sur la route au détriment de toute règle, de toute loi. Tu veux juste retrouver ton frère. Et tu te retrouves donc assis auprès de lui alors qu'il dort sur son lit d'hôpital, et tu restes jusqu'à ce qu'il se réveille. Ensuite, tu viens le voir tous les jours sans exception, avant ou après ton travail selon tes horaires. Il est là, tu l'as retrouvé, tu es le plus heureux des hommes. Et tu ne le lâches plus.

A présent, il squatte régulièrement chez toi pour ton plus grand bonheur. Tu as toujours un pincement au coeur quand tu le vois partir, même trois ans après qu'il soit revenu. Et à chaque fois, tu le serres dans tes bras, tu lui rappelles que tu l'aimes et que tu l'aimeras toujours. Que tu le protégeras envers et contre tout. Tu as eu tellement peur de le perdre que tu en es traumatisé, même si tu ne l'avoueras jamais. Tu lui fais souvent la morale sur son mode de vie, et tu t'en veux pour ça, mais tu veux simplement son bien. Et tu espères de tout coeur qu'il le comprend comme ça.

Depuis peu, tu as arrêté tous tes traitements, en accord avec ton psychiatre. Tu en as toujours en réserve, au cas où, en cas de phase basse. Ton médecin t'a bien expliqué les tenants et les aboutissants d'une dépression, qu'elle peut être cyclique, qu'elle peut toujours revenir... Tu vois toujours ton psy régulièrement, une fois par semaine. Tu sais que tu en as besoin, même si tout est rentré dans l'ordre, il y a toujours des petites choses, de toutes petites choses dont tu te fais une montagne. Dont le fait que tu n'arrives pas à t'attacher aux gens, d'autant plus depuis ce qui est arrivé à ton petit frère. Tu n'as encore jamais été en couple. Du moins, pas vraiment. Tu es sorti avec des filles, des femmes, en te disant que l'amour viendrait comme ça, mais ce n'est jamais arrivé. Tu aurais pu essayer avec des hommes aussi, mais clairement, ce serait t'attirer les foudres de ton père. Alors tu es juste un célibataire plus ou moins épanoui. En ce moment, tu réfléchis à adopter un animal. D'après ton psychiatre, c'est une bonne idée. Mais tu es conscient qu'il s'agit d'une grande responsabilité, et tu ne sais pas encore si tu en es capable, en dépit de ta vie qui est redevenue plus que normale.

Maintenant, tu as trente ans. Tu es trentenaire, et tu as encore toute ta vie devant toi. Tu es auprès de ta famille, tu as retrouvé l'amour de ton travail, peut-être que tu auras bientôt un animal... Alors tu ouvres les yeux, et tu souffles ces bougies, avec un grand sourire.

(#)Ven 11 Oct 2024 - 8:29

Bienvenue parmi nous Tomás ☆ I can feel you fade away 206649278

Bon courage pour la rédaction de ta fiche.

i'm a real tough kid, i can handle my shit. they said, babe you gotta fake it 'til you make it, and i did. lights, camera, bitch smile, even when you wanna die ; he said he'd love me all his life. but that life was too short, breaking down, i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting more.

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(#)Ven 11 Oct 2024 - 8:31

Merci beaucoup Tomás ☆ I can feel you fade away 826475116

(#)Ven 11 Oct 2024 - 8:39

Bienvenue îci !!! :!: J’aime beaucoup le prénom !! Et quelle bouille ! Bon courage pour ta fiche !

Penses-tu qu'j'suis responsable

Je suis complètement normal, complètement banalJe suis complètement normal, je suis con, tellement maladeJe suis complètement normal, complètement banalJe suis complètement normal, je suis con, tellement malade+ aeairiel.

Tomás ☆ I can feel you fade away Duni6bp

Tomás ☆ I can feel you fade away PXe5CWF

Tomás ☆ I can feel you fade away CWRZ1Ra

Tomás ☆ I can feel you fade away Lbjcusp

Tomás ☆ I can feel you fade away LpHzda0

Tomás ☆ I can feel you fade away B19NuoU

Tomás ☆ I can feel you fade away 9RVLDab

Tomás ☆ I can feel you fade away PTEHy9C

(#)Ven 11 Oct 2024 - 8:40

Oh mais que de compliments !! Merci pour ton accueil ! Tomás ☆ I can feel you fade away 1949770018

(#)Ven 11 Oct 2024 - 8:42

Bienvenue à la maison et bonne chance pour ta fiche Tomás ☆ I can feel you fade away 1949770018

Tomás ☆ I can feel you fade away 6BqPlug

Tomás ☆ I can feel you fade away 4SqQibD

Tomás ☆ I can feel you fade away B1S5hBl

Tomás ☆ I can feel you fade away 1pppgqW

Tomás ☆ I can feel you fade away SEgv4rm

Tomás ☆ I can feel you fade away CZpoHoZ

(#)Ven 11 Oct 2024 - 8:45

Tomás a le même métier que moi IRL je lui souhaite bien du courage Tomás ☆ I can feel you fade away 613854477

Bienvenue à toi :l:

always had high, high hopes

Had to have high, high hopes for a living, Shooting for the stars when I couldn't make a killing, Didn't have a dime but I always had a vision, Always had high, high hopes Had to have high, high hopes for a living, didn't know how but I always had a feeling I was gonna be that one in a million-byendlesslove

Tomás ☆ I can feel you fade away 5Hp0cUE

Tomás ☆ I can feel you fade away RhAmSZr

(#)Ven 11 Oct 2024 - 8:47

Bienvenue parmi nous ! Bon courage pour rédiger ta fiche ! Tomás ☆ I can feel you fade away 662981832

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(#)Ven 11 Oct 2024 - 8:48

Bienvenue par ici Tomás ☆ I can feel you fade away 1336066658

(#)Ven 11 Oct 2024 - 9:04

bienv'nue à toi ^^

you and i — i have galaxies hidden between my bones and i will love you until the stars burn out

(#)Ven 11 Oct 2024 - 9:17

Bienvenue à la maison :l:

i'm stronger now

Pretending now that we don't care but tension cuts, cuts the air we're more than scared so lost inside our eyes. We're terrified. Letting my fears show 'til I can face 'em. Letting my tears go 'til I can taste them hell, what do I know where you and I go? Damn it, I hope you come back home..

Tomás ☆ I can feel you fade away IxF5I0R

Tomás ☆ I can feel you fade away 6HUpqPL

Tomás ☆ I can feel you fade away VG9ZN4L

Tomás ☆ I can feel you fade away HdQ2sxM

Tomás ☆ I can feel you fade away XqaXC5h

Tomás ☆ I can feel you fade away ScQI7k3

Tomás ☆ I can feel you fade away OrZ6iae

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(#)Ven 11 Oct 2024 - 9:33

Bienvenue parmi nous Tomás ☆ I can feel you fade away 1949770018

Bon courage pour terminer ta fiche et n’hésite pas à nous contacter si tu as la moindre question ! Tomás ☆ I can feel you fade away 206649278

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(#)Ven 11 Oct 2024 - 9:45

Bienvenue par ici et bon courage pour ta fiche ! :l:

Dans ma tête Il y a trop de facettes. Au fond qui me connaît ? Je suis quelqu'un d'honnête qui peut être un connard. Parfois un peu givré, toujours imprévisible. Mais au moins j'suis moi-même.©️ endlesslove.

Tomás ☆ I can feel you fade away G5CJ3cs

Tomás ☆ I can feel you fade away 7hbkQSw

Tomás ☆ I can feel you fade away 2QUF2Zq

Tomás ☆ I can feel you fade away 8OnwP7Y

Tomás ☆ I can feel you fade away DiGyckr

Tomás ☆ I can feel you fade away UePyWTN

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(#)Ven 11 Oct 2024 - 10:03

Yep. Bienvenue à toi Tomas I love you

Tomás ☆ I can feel you fade away Ehhm0fy

Tomás ☆ I can feel you fade away DZxrChs

Tomás ☆ I can feel you fade away G2GqQRP

Tomás ☆ I can feel you fade away TFLYVJD

Tomás ☆ I can feel you fade away P9jODWm

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