ÂGE : 30 (!!!) - 05/05/1994 SURNOM : Didi, évidemment STATUT : another day, another night, stuck in my own head but you pull me out MÉTIER : résident en onco-hématologie pédiatrique au St Vincent's hospital LOGEMENT : #17 fortitude valley en attendant de pouvoir s'offrir Spring Hill, il jalouse Alma POSTS : 1786 POINTS : 870
TW IN RP : homophobie (familiale+intériorisée) / deuil / mort d'un enfant / cancer (leucémie) TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne s'est jamais vraiment remis d'avoir choisi d'annoncer la mort de Maria à Sara en premier > il noie son deuil et sa bisexualité dans le travail (ça ne fonctionne pas) > il jure en espagnol et clame haut et fort ses origines mexicaines > a adopté le chiot errant blessé que lui a ramené Cesar. Il s'appelle Tulum et il met un peu de piment et beaucoup de bazar dans sa vieDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Diego minaude en medium purple RPs EN COURS : [09/08]
Maego #12 ft Mamà#13 • took a breath, let it go, felt the moment settle so i couldn't wait to tell you why i'm standin' here with this awkward smile and that's because i could drown myself in someone like you, i could dive so deep I never come out, i thought it was impossible but you make it possible
CeCe #3 • the world would be a lonely place, without the one that puts a smile on your face so hold me 'til the sun burns out, i won't be lonely when i'm down 'cause i've got you to make me feel stronger
Dimery #4 • we couldn't turn around 'til we were upside down, i'll be the bad guy now but, no, i ain't too proud. i couldn't be there even when i tried, you don't believe it, we do this every time, seasons change and our love went cold.
Son imprudence lui avait joué des tours dans un contexte où il se sentait presque tout puissant. Il était du bon côté de l’expérience, avait franchi les étapes les plus difficiles et n’avait plus qu’à surveiller les dinosaures et à les gérer de la manière dont le Dr E. Vile le souhaitait. Diego se sentait apaisé, dans son élément, au point de baisser sa garde et de continuer l’expérience avec une certaine désinvolture. Il s’était intéressé aux animaux essentiellement, en avait presque oublié les survivants, et c’était ainsi qu’il s’était retrouvé à leur merci. A peine était-il arrivé en se bouchant le nez à cause de l’odeur nauséabonde que déjà Diego était agacé, levant les yeux au ciel. « Je suis passé par là pour pas qu’on se fasse repérer alors évite ton cinéma » Il n’avait aucune envie d’être ici mais Izan semblait certain d’avoir quelque chose de compromettant le concernant qui pourrait mettre sa place en péril alors il faisait de son mieux pour rester calme en sa présence et faire ce qu’il souhaitait. Les marécages étaient un passage bien plus sûr, à l’abri des regards, pour rejoindre l’enclos des raptors sans se faire repérer par le bunker. Bien sûr, Diego y faisait des allers retours récurrents mais il n’était absolument jamais accompagné d’invités ne faisant pas partie du personnel de l’expérience. Il risquait sa place, et il espérait que le survivant en était conscient. « Avant qu’on avance vers l'enclos, qu’est-ce-que tu sais ? » Un doute s’était emparé de lui depuis que ce survivant-là l'avait interpellé alors qu’il sillonnait la plage, exprimant des demandes extrêmement précises et le menaçant presque. A bien y réfléchir, une seule chose pouvait mettre en péril sa position sur l’île et c’était la relation qu’il entretenait avec Mateo, qu’ils dissimulaient de plus en plus difficilement. Diego le toisait du regard, les bras croisés, tentant de paraître sûr de lui alors qu’il était terrifié à l’idée d’entendre sa réponse, d’être aperçu avec un survivant alors qu’il devrait les éviter comme la peste et d’être obligé d’aller plus loin encore en l’emmenant dans cet enclos, son but étant probablement de se faire accepter par ces animaux. Une fois ceux-là, les plus dangereux, dans la poche, un survivant augmentait considérablement ses chances de survie mais également la possibilité de mettre l’expérience en péril. Il n’avait aucune patience, ni pour ses jérémiades, ni pour la façon dont il avait tourné autour du pot jusqu’à maintenant - si proche du but, les cris des raptors déjà perceptibles au travers du clapotis de l’eau des marécages.
always had high, high hopes
Had to have high, high hopes for a living, Shooting for the stars when I couldn't make a killing, Didn't have a dime but I always had a vision, Always had high, high hopes Had to have high, high hopes for a living, didn't know how but I always had a feeling I was gonna be that one in a million-byendlesslove
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1305 POINTS : 2170
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home RPs TERMINÉS :
Le chantage n’a jamais été un biais par lequel Izan obtenait ce qu’il voulait, principalement parce que, d’ordinaire, il n’en a pas besoin. Il sait être convaincant quand il veut obtenir quelque chose, il sait comment persuader les autres d’abonder en son sens et il n’éprouve que rarement la sensation de perdre une négociation, trop peu habitué à ce qu’on lui résiste, lui et sa belle gueule, lui et sa rhétorique qui fait aussi bien rire que grincer des dents. Même durant ses années de médecine, il ne s’est jamais abaissé à pareils vices et, pourtant, les études qu’il a entamé sont largement connues pour être compétitives, ouvrant la voie à toutes les bassesses possibles entre étudiants qui veulent être les premiers, qui veulent être les meilleurs. Il n’a jamais eu besoin de ça pour être parmi les plus doués de sa promo, et il ne pensait pas qu’il pourrait tomber si bas un jour mais, force est d’admettre que les choses ont changé. Être ici, désespérément coincé sur cette île perdue au milieu de nulle part, infestée par des créatures que l’on croyait éteintes depuis des siècles, comment ne pas basculer ? Où est la limite quand la survie entre en jeu ? Comment rabattre la carte de la morale quand on a vu des corps estropiés, lacérés, les hurlements dans la nuit, quand on sursaute de peur dans son sommeil, quand « demain » est un projet incertain ?
Il n’a plus de sens morale parce que le bien et le mal n’existent pas : là, tout de suite, il se contrefout de ce qui peut arriver à Diego, il s’en balance royalement de ses états d’âme et de son idylle en péril, et encore plus de son expérience cruelle et débile. Plus rien ne compte sinon vivre. Et qu’importe si cela implique de mettre à mal la vie du scientifique — qu’il aille au diable, ouais. « Je suis passé par là pour pas qu’on se fasse repérer alors évite ton cinéma » il le toise en se tenant à bonne distance, pas franchement enclin à lui faciliter la tâche si c’est ce qu’il attend. ’’Navré que tu doives emprunter ce chemin au lieu de déambuler dans votre complexe à la con’’ ça l’emmerde de passer par les marécages alors que les survivants — ceux qui restent — doivent se rouler dans la poussière et lutter pour manger, le paroxysme du culot atteint son sommet mais Izan n’en est pas vraiment surpris, plutôt écoeuré de se rendre compte que le pseudo scientifique n’a vraiment aucun acquis de conscience avec l’horreur qu’il leur fait subir « Avant qu’on avance vers l'enclos, qu’est-ce-que tu sais ? » voilà qui devient intéressant, pense-t-il en penchant son menton sur le côté, courbant ses lèvres avec un sourire presque provocateur tandis qu’il se rapproche d’un pas, curieusement satisfait de savoir qu’il a les cartes en mains, cette fois. ’’Quelque chose qui te couterait ta place, je pense…’’ sa voix pleine de sous-entendus roule presque dans des accents suaves pendant que, faisant encore quelques pas, il frisonne discrètement en sentant le contact de la lame froide contre la peau de sa cheville ; avant qu’il n’abandonne le camp pour rejoindre Diego, Helen lui a donné son couteau « au cas-où », même s’il doute que le scientifique en vienne à cette extrémité. Quoique. ’’…Enfin, je comprends. Il est plutôt mignon, Mateo’’ il a volontairement appuyé sur les syllabes du prénom masculin en plantant ses billes mordorés dans les siennes, le menton légèrement incliné sur le côté comme pour mieux sonder son expression à cette révélation. ’’Mais je me demande si ton grand manitou sera du même avis que moi. Remarque, je peux peut-être aller lui demander, comme ça on sera fixés ?’’ s’il avait vraiment voulu, c’est ce qu’il aurait fait ; il ne souhaite guère punir aveuglement car il est bien plus intelligent que cela, désirant plutôt gagner des avantages et de quoi assurer sa survie, mais aussi celle d’Helen. ’’Et si jamais il te vient l’idée folle de me faire disparaître, sache que si je ne rentre pas au camp, quelqu’un se chargera de porter le message.’’ donc autant dire qu’il n’a pas vraiment le choix, Diego.
c'est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, je suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j'm'en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, non, j'ai tout raté, je l'atteste.
Diego Gutiérrez
le schtroumpf coquet
ÂGE : 30 (!!!) - 05/05/1994 SURNOM : Didi, évidemment STATUT : another day, another night, stuck in my own head but you pull me out MÉTIER : résident en onco-hématologie pédiatrique au St Vincent's hospital LOGEMENT : #17 fortitude valley en attendant de pouvoir s'offrir Spring Hill, il jalouse Alma POSTS : 1786 POINTS : 870
TW IN RP : homophobie (familiale+intériorisée) / deuil / mort d'un enfant / cancer (leucémie) TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne s'est jamais vraiment remis d'avoir choisi d'annoncer la mort de Maria à Sara en premier > il noie son deuil et sa bisexualité dans le travail (ça ne fonctionne pas) > il jure en espagnol et clame haut et fort ses origines mexicaines > a adopté le chiot errant blessé que lui a ramené Cesar. Il s'appelle Tulum et il met un peu de piment et beaucoup de bazar dans sa vieDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Diego minaude en medium purple RPs EN COURS : [09/08]
Maego #12 ft Mamà#13 • took a breath, let it go, felt the moment settle so i couldn't wait to tell you why i'm standin' here with this awkward smile and that's because i could drown myself in someone like you, i could dive so deep I never come out, i thought it was impossible but you make it possible
CeCe #3 • the world would be a lonely place, without the one that puts a smile on your face so hold me 'til the sun burns out, i won't be lonely when i'm down 'cause i've got you to make me feel stronger
Dimery #4 • we couldn't turn around 'til we were upside down, i'll be the bad guy now but, no, i ain't too proud. i couldn't be there even when i tried, you don't believe it, we do this every time, seasons change and our love went cold.
Il s’était mis en danger mais était bien trop imbus de sa personne pour l’admettre, même si le faire aurait pu lui apporter des solutions. A la place, il s’engouffrait dans une succession de davantage de problèmes et l’un d’entre eux se tenait fièrement devant lui. Il comprenait assez à qui il avait à faire, puisqu’Izan laissait paraître une assurance similaire à la sienne, et s’il partait de ce postulat, Diego savait qu’il gagnerait du temps à aller dans son sens. ’’Navré que tu doives emprunter ce chemin au lieu de déambuler dans votre complexe à la con’’ Pinçant les lèvres, il était venu saluer la bassesse de ses propos, ignorant la désagréable sensation que lui procurait le fait d’entendre quelqu’un dénigrer ce qui était devenue sa maison. Ignorant la provocation, Diego en était venu au fait, posant une question dont la réponse ne pouvait plus se faire attendre. ’’Quelque chose qui te coûterait ta place, je pense…’’ Cet indice suffisait à rapprocher Diego toujours un peu plus de la vérité, parce qu’il n’y avait aucun écart de conduite de sa part, si ce n’était cette fichue relation qu’il avait entamée avec son collègue. ’’…Enfin, je comprends. Il est plutôt mignon, Mateo’’ « Comment tu connais son prénom ? » Devant la surprise des informations qu’il possédait, son sourcil s’arquait déjà, mais Diego s’était finalement raclé la gorge en constatant qu’il venait d’avouer à demi-mots. Ignorant une nouvelle fois les sentiments qui le rongeaient, particulièrement celui-ci qui ressemblait à s’y méprendre à de la jalousie, il avait tenté de poursuivre pour chasser les doutes, se faisant doubler par Izan. ’’Mais je me demande si ton grand manitou sera du même avis que moi. Remarque, je peux peut-être aller lui demander, comme ça on sera fixés ?’’ « T’as des preuves de ce que t’avances ? » Il devait utiliser ce qui lui restait de répartie et de dignité pour avancer ses pions parce qu’il n’était pas en train de seulement sauver sa peau, la place de Mateo était également en jeu et s’il avait parfois montré qu’il ne comptait pas, Diego avait bien du mal à être à l’aise avec cette situation. ’’Et si jamais il te vient l’idée folle de me faire disparaître, sache que si je ne rentre pas au camp, quelqu’un se chargera de porter le message.’’ « Faut pas avoir peur comme ça. Faut être bien sûr qu’on est à la hauteur avant d’entamer un chantage pareil. » Son sourire s’était fait un peu plus narquois, alors qu’il pouvait percevoir une certaine hésitation chez le survivant qui devait bien avoir en tête qu’il ne parlait pas avec n’importe qui. « Je nourris pas mes animaux n’importe comment, t’en fais pas. » Il ne valait même pas la peine de terminer en en-cas pour les raptors. Il avait enfin entamé les derniers mètres les séparant de l’enclos, parce que l’idée de le voir paniquer face aux dinosaures et mettre un peu plus de chances de son côté pour se sortir de là paraissait être une bonne idée. Malgré tout, il se plierait volontiers à la demande d'Izan, parce que sur ce terrain, mieux valait ne pas prendre de risques, décevoir Vile pourrait s'avérer... problématique. « Bonjour les garçons. Donne-moi ça, toi. » avait-il lancé en attrapant le morceau de tissu imprégné de son odeur qu’il avait fait savoir à Izan d’apporter - s’ils s’en imprégnaient, il aurait une chance.
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Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1305 POINTS : 2170
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home RPs TERMINÉS :
Quelle tête à claques celui-là c’est ce qu’il se dit en l’observant presque jouer les martyrs au milieu des marécages, visiblement incommodé par le sentier qu’ils doivent emprunter — quelqu’un pour lui rappeler qu’ils sont des dizaines à lutter pour survivre pendant qu’il est on-ne-sait-où à faire on-ne-sait-quoi dans son laboratoire ? Évidemment, il enrage, l’étudiant en médecine. Il est frustré de devoir jouer le jeu abject du chantage, c’est peut-être ce qu’il déteste le plus dans toute cette histoire : il a en horreur la personne qu’il est obligé d’être pour assurer sa survie, ainsi que celle d’Helen. Mais les circonstances ne lui laissent pas d’autres choix et, en ce sens, il ne perd pas de temps pour faire comprendre à son interlocuteur qu’il détient les cartes ; reste à savoir comment il compte les distribuer. « Comment tu connais son prénom ? » la satisfaction d’obtenir des aveux — trop impulsif, le Diego — lui fait arquer un sourcil à son tour mais, contrairement au scientifique, ce n’est pas par étonnement ou crainte ; c’est de la jubilation, une victoire qu’il savoure sans en laisser paraître le charme. Il redresse son sourcil en même temps que son menton, ne prenant même pas la peine de lui répondre puisque, Diego sait très bien qu’il vient de se griller tout seul. « T’as des preuves de ce que t’avances ? » - ’’J’ai engagé le meilleur détective privé de l’île, il ne devrait pas tarder à m’envoyer les photos par mail.’’ qu’il balance d’un ton purement sarcastique en balayant les alentours d’un regard méfiant, n’ayant pas tellement envie de jouer plus longtemps à ce jeu des questions-réponses. ’’Et si on évitez de perdre notre temps ?’’ pas parce qu’il a autre chose à faire de ses journées — son emploi du temps s’est étrangement allégé depuis quelques jours, mais faudrait pas qu’il soit encore dans les parages à la nuit tombée. Helen le tuerait (c’est son passe-temps favori, heureusement elle ne le pratique pas beaucoup) mais en plus il serait capable de se perdre dans l’obscurité et, il n’a que moyennement envie de tomber sur un dinosaure en chemin.
« Faut pas avoir peur comme ça. Faut être bien sûr qu’on est à la hauteur avant d’entamer un chantage pareil. » parce qu’il le prévient que ce n’est pas la peine de jouer aux petits malins ? Izan souffle un petit rire ironique du fond de sa gorge, se retenant de préciser que, dans leur situation actuelle, il serait bien con de ne pas se méfier. ’’C’est sûr que t’as l’air de quelqu’un digne de confiance, ouais.’’ c’est pas comme s’il restait immobile face à des gens qui meurent tous les jours parce qu’ils sont de l’autre côté de la barrière, n’est-ce pas « Je nourris pas mes animaux n’importe comment, t’en fais pas. » ‘’mes animaux’’, mais c’est que Diego aurait presque de l’affection pour les monstres qui peuplent l’île — une pensée grotesque, tout bonnement immonde, qui le fait grimacer pendant qu’il se tient dans le dos de Diego « Bonjour les garçons. » la scène lui paraît tellement irréelle qu’il secoue son menton de gauche à droite en écarquillant les yeux, incapable de comprendre comment l’autre fait pour ne pas penser aux victimes dont les dépouilles sont absolument partout sur l’île. « Donne-moi ça, toi. » Diego avait demandé un bout de tissu mais Izan lui en donne deux : l’un porte son odeur, l’autre celle d’Helen. Il est hors de question qu’il l’abandonne à son triste sort. Ils sont venus ensemble, ils repartiront de la même façon. ’’Comment tu fais pour ne pas penser à leurs victimes ?’’ le ton est froid, mais pas foncièrement prononcé comme un reproche puisqu’il doute de pouvoir éveiller la culpabilité chez Diego. Il cherche peut-être à comprendre, réellement, comment il peut autant se préoccuper de choses aussi futiles que sa relation amoureuse quand il participe à faire souffrir des gens qu’il ne connaît même pas.
c'est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, je suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j'm'en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, non, j'ai tout raté, je l'atteste.
Diego Gutiérrez
le schtroumpf coquet
ÂGE : 30 (!!!) - 05/05/1994 SURNOM : Didi, évidemment STATUT : another day, another night, stuck in my own head but you pull me out MÉTIER : résident en onco-hématologie pédiatrique au St Vincent's hospital LOGEMENT : #17 fortitude valley en attendant de pouvoir s'offrir Spring Hill, il jalouse Alma POSTS : 1786 POINTS : 870
TW IN RP : homophobie (familiale+intériorisée) / deuil / mort d'un enfant / cancer (leucémie) TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne s'est jamais vraiment remis d'avoir choisi d'annoncer la mort de Maria à Sara en premier > il noie son deuil et sa bisexualité dans le travail (ça ne fonctionne pas) > il jure en espagnol et clame haut et fort ses origines mexicaines > a adopté le chiot errant blessé que lui a ramené Cesar. Il s'appelle Tulum et il met un peu de piment et beaucoup de bazar dans sa vieDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Diego minaude en medium purple RPs EN COURS : [09/08]
Maego #12 ft Mamà#13 • took a breath, let it go, felt the moment settle so i couldn't wait to tell you why i'm standin' here with this awkward smile and that's because i could drown myself in someone like you, i could dive so deep I never come out, i thought it was impossible but you make it possible
CeCe #3 • the world would be a lonely place, without the one that puts a smile on your face so hold me 'til the sun burns out, i won't be lonely when i'm down 'cause i've got you to make me feel stronger
Dimery #4 • we couldn't turn around 'til we were upside down, i'll be the bad guy now but, no, i ain't too proud. i couldn't be there even when i tried, you don't believe it, we do this every time, seasons change and our love went cold.
L’endroit n’était pas celui qu’il préférait sur l’île, il n’y mettait même jamais les pieds, les rejets verdâtres de l’endroit s’accordant très mal avec le blanc immaculé de sa blouse de travail. Mais puisqu’il s’agissait d’un endroit déserté par la plupart des employés, il était également sécurisé et permettait à ces deux-là d’avancer leurs pions de la manière dont ils le voulaient, à l’abri des regards. ’’J’ai engagé le meilleur détective privé de l’île, il ne devrait pas tarder à m’envoyer les photos par mail.’’ La façon dont il avait secoué son visage pour regarder le ciel indiquait à quel point ses tentatives d’humour l’ennuyait, tout autant que cette façon qu’il avait de garder une sorte de confiance quand Diego avait le pouvoir. Et pourquoi tant de confiance ? ’’Et si on évitez de perdre notre temps ?’’ C’était audacieux, de le présenter ainsi, comme s’il était celui qui perdait du temps ici alors qu’il avait expressément demandé la rencontre et que Diego avait une pile de tâches à effectuer ce jour qui ne diminuerait pas en parlant avec un des survivants. Il se demandait comment tout avait pu déraper, incapable de se déclarer coupable de tout cela. A peine avait-il pu déceler une once de crainte chez son interlocuteur que Diego s’était infiltré dans la brèche pour le provoquer à son tour, initiant un jeu puéril dont il n’était guère un habitué. ’’C’est sûr que t’as l’air de quelqu’un digne de confiance, ouais.’’ Izan se tenait là, sûr de son plan pourtant extrêmement bancal, et s’il avait peur de lui, son aplomb n’était autre chose que de la poudre aux yeux.
Il n’avait rien à craindre parce qu’aucun employé n’était autorisé à agir sur l’expérience en amenant sciemment à la mort un survivant. Mais ce point là, Diego n’était pas obligé de le dévoiler à quelqu’un qui en savait déjà bien plus qu’il n’aurait dû. ’’Comment tu fais pour ne pas penser à leurs victimes ?’’ « C’est mon travail. » Et il le faisait sans broncher, sans aucun remords car il croyait fermement qu’une nouvelle ère était possible, même inévitable, et que mieux valait s’y préparer même si certains devaient se sacrifier pour cela. « Et toi tu t’es demandé pourquoi on faisait tout ça ? » Les morceaux de tissu en mains, Diego les tenaient haut au travers des énormes barreaux d’acier qui composaient la cage des raptors qui reniflaient tranquillement. « On a ressuscité des dizaines et des dizaines d’espèces pour permettre au monde de les observer. Que vous le vouliez ou non, les dinosaures sont de retour, et si t’es pas capable de comprendre qu’on doit faire en sorte que la race humaine puisse vivre avec, je ne peux rien pour toi. » Mais il devait commencer à le comprendre et à lui-même bien plus participer à l’expérience qu’il ne le pensait - Diego le lui avait suggéré en lui rendant les deux morceaux avec un sourire. « C’est possible de vivre avec eux, la preuve. Les pertes ne sont dûes qu’à une négligence de votre part… » Et c’était un spectacle plutôt amusant, depuis le bunker.
always had high, high hopes
Had to have high, high hopes for a living, Shooting for the stars when I couldn't make a killing, Didn't have a dime but I always had a vision, Always had high, high hopes Had to have high, high hopes for a living, didn't know how but I always had a feeling I was gonna be that one in a million-byendlesslove
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1305 POINTS : 2170
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home RPs TERMINÉS :
Il observe la scène avec un mélange de dégoût et de mépris, n’ayant aucun attrait pour les créatures immondes qui, derrière l’enclos, semblent avoir attisé l’affection (ou quelque chose de semblable) du scientifique. Il ne comprend pas, Izan, comment Diego peut abattre cette tâche sans même sourciller ou se questionner, sans plier sous la culpabilité et les remords, sans se sentir comme un monstre, un meurtrier ayant le sang d’innocentes victimes sur les mains… Il ne pourrait pas, lui. Le simple fait d’être auteur d’un chantage abject lui confère un sentiment de malaise intérieur qu’il parvient à endiguer par miracle, alors être responsable de la souffrance et de la mort de dizaines de personnes… L’idée lui arrache un frisson terrible, et il détourne le regard en fronçant les sourcils, sans trop savoir quoi regarder tant le décor verdâtre lui sort par les yeux — comme tout le reste. « C’est mon travail. » c’est tellement minable comme excuse qu’il émet un ricanement désabusé en baissant le menton, venant pincer le milieu de son nez entre son index et son pouce. Ce n’est qu’un prétexte pour qu’il se donne bonne conscience, Diego : si son travail l’exige, c’est qu’il n’a pas le choix, pas vrai ? Ce n’est pas sa volonté, ce sont les ordres ; il dirait presque que ce n’est pas lui qui décide. ’’N’importe quoi.’’ - « Et toi tu t’es demandé pourquoi on faisait tout ça ? » il relève le menton, laisse retomber sa main le long de sa cuisse en prenant une fine inspiration pour calmer les effusions de révolte qui grondent à l’intérieur de son corps ’’Rien ne justifie ce que vous faîtes.’’ il abat la sentence froidement, se hasardant à risque un regard en direction des raptors, sans jamais de considération les concernant. « On a ressuscité des dizaines et des dizaines d’espèces pour permettre au monde de les observer. Que vous le vouliez ou non, les dinosaures sont de retour, et si t’es pas capable de comprendre qu’on doit faire en sorte que la race humaine puisse vivre avec, je ne peux rien pour toi. » ça ne le convainc pas le moins du monde, car il reste persuadé que condamner arbitrairement des gens ne revient pas à se hisser au rang de héros ; d’assassin et de connards, oui, en revanche ’’Pour les observer… Fous-toi de ma gueule. Si tu trouves votre idée si merveilleuse, dis-moi pourquoi vous n'êtes pas logés à la même enseigne que nous ?’’ il récupère les bouts de tissus en les arrachant presque de ses mains, n’attendant même pas de réponse avant de commencer à se détourner de lui tant il n’a aucune envie de s’attarder à son contact. Ses mots le dégoutent et son sourire le répugne. « C’est possible de vivre avec eux, la preuve. Les pertes ne sont dûes qu’à une négligence de votre part… » ça l’oblige à interrompre ses pas pendant qu’il presse ses lèvres dans une moue nerveuse, ayant bien envie de lui cogner son poing dans la figure, juste histoire de vérifier si ça peut réveiller quelques neurones ou pas. Il a trop d’espoir le concernant, ouais. Ça lui soulève le coeur avec le vent de la colère, cette phrase, ce blâme tout à fait ignoble qui voudrait que la mort des survivants soit de leur faute ; mais peut-être est-ce ce qu’il cherche, Diego, à le provoquer ? ’’Est-ce que je vais devoir croiser de nouveau ta sale gueule ou c’est bon ?’’ ça l’arrangerait de rester loin du scientifique mais, il a comme l’impression qu’une seule session ne va pas suffir.
c'est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, je suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j'm'en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, non, j'ai tout raté, je l'atteste.
Diego Gutiérrez
le schtroumpf coquet
ÂGE : 30 (!!!) - 05/05/1994 SURNOM : Didi, évidemment STATUT : another day, another night, stuck in my own head but you pull me out MÉTIER : résident en onco-hématologie pédiatrique au St Vincent's hospital LOGEMENT : #17 fortitude valley en attendant de pouvoir s'offrir Spring Hill, il jalouse Alma POSTS : 1786 POINTS : 870
TW IN RP : homophobie (familiale+intériorisée) / deuil / mort d'un enfant / cancer (leucémie) TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne s'est jamais vraiment remis d'avoir choisi d'annoncer la mort de Maria à Sara en premier > il noie son deuil et sa bisexualité dans le travail (ça ne fonctionne pas) > il jure en espagnol et clame haut et fort ses origines mexicaines > a adopté le chiot errant blessé que lui a ramené Cesar. Il s'appelle Tulum et il met un peu de piment et beaucoup de bazar dans sa vieDISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : Diego minaude en medium purple RPs EN COURS : [09/08]
Maego #12 ft Mamà#13 • took a breath, let it go, felt the moment settle so i couldn't wait to tell you why i'm standin' here with this awkward smile and that's because i could drown myself in someone like you, i could dive so deep I never come out, i thought it was impossible but you make it possible
CeCe #3 • the world would be a lonely place, without the one that puts a smile on your face so hold me 'til the sun burns out, i won't be lonely when i'm down 'cause i've got you to make me feel stronger
Dimery #4 • we couldn't turn around 'til we were upside down, i'll be the bad guy now but, no, i ain't too proud. i couldn't be there even when i tried, you don't believe it, we do this every time, seasons change and our love went cold.
Il n’était pas là à discuter avec Izan par gaieté de cœur, bonté d’âme ou même par envie, il se tenait devant lui pour sauver sa peau et à ce niveau là, ils étaient égaux. Il ne cherchait pas à lui faire entendre raison, bien conscient que jamais ils ne partageraient le même point de vue sur la mission qui était la sienne et découlait du projet bien plus important du Docteur Vile. Diego n’avait aucun mal à être solitaire, ayant assez confiance en lui pour ne nécessiter aucun suiveur. ’’N’importe quoi.’’ Il avait haussé les épaules, acceptant volontiers sa prise de position car la recevoir avec agacement aurait signifié lui donner une quelconque importance qu’il n’avait pas. Il était un pion, un numéro dans la gigantesque équation que les survivants formaient. ’’Rien ne justifie ce que vous faîtes.’’ Izan avait au moins la capacité de lui enlever tout remords, tant sa personnalité l’exaspérait et lui coupait toute potentielle empathie. Diego avait tenté, une dernière fois, de lui faire comprendre l’importance de se plier à leurs règles plutôt que de se débattre de manière aussi grotesque, mais il s’exprimait en vain. ’’Pour les observer… Fous-toi de ma gueule. Si tu trouves votre idée si merveilleuse, dis-moi pourquoi vous n'êtes pas logés à la même enseigne que nous ?’’ « Je te laisse faire tes propres déductions. » avait-il répondu d’un ton enjoué, avec un sourire exprimant toute l’arrogance dont il faisait preuve en prononçant ces mots. Les chercheurs en valaient la peine, eux beaucoup moins, et c’était une règle vieille comme le monde. La preuve en était, leur incapacité à mettre leurs cerveaux en fonction et à s’associer pour trouver des manières de survivre : leur fatalité, ils se la créaient eux-mêmes. Ce point avait eu raison d’Izan qui avait repris le bout de tissu, et Diego n’avait pu s’empêcher de déglutir car lui tenir tête était une chose, risquer son secret en était une autre. ’’Est-ce que je vais devoir croiser de nouveau ta sale gueule ou c’est bon ?’’ « Ça peut suffire mais ça dépend des cas. Je peux pas te garantir qu’ils soient déjà habitués à ton odeur. » Laisser planer le suspens pour voir la peur dans ses yeux, de la même façon qu’il avait généré la sienne, était une revanche appréciable. « Si j’ai l’assurance que tu fermeras ta grande bouche, je pourrais continuer seul avec les échantillons que tu m’as donnés. » Et avant qu’il pense pouvoir le tromper. « Et j’ai aussi le pouvoir d’annuler l’opération, ou pire, de l’inverser, pour qu’ils te traquent toi et tes amis en particulier. A toi de voir. » Il avait haussé les épaules : il était à sa disposition pour continuer l’expérience ou non, resterait sur ses gardes et saurait comment se venger si cela devenait nécessaire.
always had high, high hopes
Had to have high, high hopes for a living, Shooting for the stars when I couldn't make a killing, Didn't have a dime but I always had a vision, Always had high, high hopes Had to have high, high hopes for a living, didn't know how but I always had a feeling I was gonna be that one in a million-byendlesslove
Izan Da Silva
l'orfèvre des émotions
ÂGE : trente-deux ans (24.12) SURNOM : connu comme ’’le poète du piano’’ mais aussi comme l’emmerdeur de service, parce qu’il est relou sur les bords mais les bords sont larges, voyez STATUT : sentimentalement contrariant et contrarié, célibataire qui devrait le rester MÉTIER : pianiste émérite mondialement reconnu, compositeur et interprète, vagabonde sur les touches blanches et noires pour faire taire ses pensées trop bruyantes LOGEMENT : il a gracieusement donné son appart à helen et sa nouvelle maison est en travaux, alors il a élu domicile dans une suite luxueuse de l’emerald hotel en attendant de pouvoir devenir officiellement le voisin de jayden POSTS : 1305 POINTS : 2170
TW IN RP : crise d'angoisse et de panique, pression familiale, désamour et rejet parental, burn-out, stress professionnel, langage vulgaire et cru, décès, accident de voiture, stress post-traumatique. TW IRL : maltraitances animales.GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : en guerre juridique contre toute sa famille, merci de ne pas aborder le sujet ¤ cynophobe depuis l’âge de six ans ¤ les bonbons acidulés en intraveineuse ¤ ambidextre, il n'y est pour rien mais c'est une grande fierté ¤ insomniaque et sujet aux crises d’angoisse ¤ insulte les gens en espagnol ¤ mauvais conducteur, pour ne pas dire danger public ¤ ne se sépare jamais du bracelet que son petit-frère lui a offert avant de mourir, le fait tourner autour de son poignet quand il est stressé ¤ papa de deux chats, sol & lunaDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #6f282e RPs EN COURS :
IZEN 12 ¤ lean on me when you're not strong and i'll be your friend, i’ll help you carry on, i'm right up the road, i’ll share your load if you just call me, call me if you need a friend. if there is a load you have to bear that you can't carry, i’m right up the road, i’ll share your load
JAYZAN#5 ¤ and i'll be there for you when the rain starts to pour, i'll be there for you like i've been there before. no one could ever know me, someone to face the day with, make it through all the mess with, someone i'll always laugh with, even under the worst i'm best with you
DA SILVAS #1 ¤ u.c
SAMZAN#3 ¤ if i was dying on my knees you would be the one to rescue me, and if you were drowned at sea i’d give you my lungs so you could breathe. though we don't share the same blood you're my brother and i love you that's the truth
ALYZAN#1 ¤ moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, moi je me frotte le dos
SIERRA(scénario) ¤ i went as far as i could, i tried to find a new face, there isn't one of these lines that i would erase. i lived a million miles of memories on that road with every step i take, i know that i’m not alone. you take the home from the boy but not the boy from his home, these are my streets, the only life i’ve ever known, who says you can't go home RPs TERMINÉS :
Il mentirait s’il disait ne pas avoir espérer que ses mots provoquent un soupçon d’humanité chez son interlocuteur, puisque le futur médecin a beaucoup de mal à envisager des motivations aussi cruelles et dénudées de compassion, et rien de ce qu’on pourra lui dire ne rendra cette situation légitime. Il éprouve un profond dégoût et un mépris tout aussi important pour l’homme qui se tient devant lui, qui l’aide seulement parce qu’il y est contraint, et non pas parce que sa culpabilité l’empêche de dormir la nuit ; à vrai dire, Izan est persuadé que Diego dort sagement sur ses deux oreilles. « Je te laisse faire tes propres déductions. » Pauvre con, qu’il pense en soufflant un air agacé par le nez, son visage oscillant légèrement sur la négative tandis qu’il détourne le regard pour zieuter en direction des monstrueuses créatures dans l’enclos, qui sauront prochainement les tueurs sanguinaires qu’ils devront fuir. Est-ce que l’un d’entre eux qui va le tuer ? Est-ce qu’il contemple présentement la gueule qui va couper son corps en deux d’ici quelques semaines — s’il survit jusqu’ici ? Encore une question que Diego ne se pose sûrement pas. Maintenant qu’il s’est fait une idée précise concernant le scientifique, et que sa volonté a été accomplie autour des bouts de tissu, il espère bien foutre le camp puisque rien, dans cette situation chaotique, le rassure. Sur l’instant, il a surtout hâte de retrouver Helen, le camp et les autres survivants. Oui, dans cet ordre. « Ça peut suffire mais ça dépend des cas. Je peux pas te garantir qu’ils soient déjà habitués à ton odeur. » l’incertitude ne lui plaît pas, et il le fait savoir en fronçant ses sourcils au-dessus de ses yeux braqués sur le visage de son interlocuteur, lèvres pincées pour montrer qu’il n’a pas vraiment envie de jouer à ce petit jeu tordu. Mais s’il veut paraître froid, d’une expression fermée pour appuyer l’idée qu’il est en position de force — une position qu’il sait précaire — il est aisé de deviner la peur qui commence à s’emparer de lui quand le scientifique poursuit « Si j’ai l’assurance que tu fermeras ta grande bouche, je pourrais continuer seul avec les échantillons que tu m’as donnés. Et j’ai aussi le pouvoir d’annuler l’opération, ou pire, de l’inverser, pour qu’ils te traquent toi et tes amis en particulier. A toi de voir. » autant dire que c’est déjà tout vu, mais qu’admettre qu’il se plie au chantage qu’on lui soumet lui donne l’impression d’être grandement diminué — un sentiment qu’il n’apprécie que moyennement si jamais vous vous posez la question. Il passe la pointe de sa langue sur ses dents du haut, lance un regard mauvais en direction des monstres puis du scientifique, qu’il aimerait bien balancer dans l’enclos pour le voir être dévoré lui-même par ses maudites bêtes. ’’On va dire qu’on a un deal, alors.’’ il maintient le contact visuel pendant encore quelques secondes avant de tourner les talons pour s’éloigner, traversant les marécages sans se retourner. Il ignore si Diego va honorer sa part du marché, mais il n’a pas vraiment d’autres choix, et c’est peut-être ce qui l’agace le plus : remettre sa survie entre les mains d’un tocard pareil.
c'est vrai j'ai des problèmes, des défauts par centaine, je n'ai pas le sens de vos valeurs humaines, moi, je suis comme la vie, j'fais jamais de cadeau, je sais qu'c'est pas jolie, mais moi non plus j'suis pas beau. j'm'en fous si on me déteste, personne jamais ne m'aimera moins que moi, non, j'ai tout raté, je l'atteste.