ÂGE : 39 ans (04/01/1985) SURNOM : eli, simple et efficace STATUT : cœur autrefois brisé, désormais jalousement gardé, mais dont l’armure ne cesse de se craqueler face à une adorable petite souris MÉTIER : architecte au sein du walker group, et chargé du cours de recherche en environnement et durabilité à la faculté d'architecture de l'université du queensland. LOGEMENT : un penthouse lumineux à spring hill, qu’il partage avec son chat siamois zelda et ses deux nouvelles recrues félines, safflina et drogon - ou plutôt dans lequel il est autorisé à rester tant qu’il n’oublie pas de remplir leur gamelle POSTS : 2694 POINTS : 20
TW IN RP : ex-toxicomanie GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : né à Brisbane, il a sillonné les plus belles régions du globe une fois sa majorité atteinte puis s’est installé à New York avant de revenir dans la ville qui l’a vu grandir fin 2021 ✵ aîné de la fratrie Walker ✵ architecte depuis plus de dix ans, il excelle dans son travail ✵ un passé riche d’excès en tous genres, le seul vice ayant persisté au travers des années étant la cigarette ✵ (trop) honnête, il préfère une vérité blessante à un mensonge confortable ✵ très sociable, doué avec les mots et le sourire facile, sa façade s’effondre lorsque l'interaction devient trop réelleCODE COULEUR : eli se pavane en #00B464 RPs EN COURS :
WALKER ✵ we don't talk much, not anymore. broken bottles and slammin' doors, but we still care about each other, say we care about each other. i know life took us far away, but I still dream 'bout the good old days. when we took care of each other, we were livin' for each other.
ELIORA ✵ gimme what you got - your talk is incredible, so, so, so unusual. you taste like surfing videos. i'm going to read your mind, who you hiding? you fake your shyness, i just wish that i could see through you... hot glue, vape juice, hit undo, how the hell are you so cool?
Depuis l’enclenchement du terrifiant compte à rebours qui mènerait inexorablement à cet instant précis, Elijah était passé par une multitude d’émotions, exacerbées par le manque croissant de sommeil : des semaines durant, il avait oscillé entre la curiosité, la réticence, l’indifférence, l’enthousiasme, l’agacement, pour finalement connaître un état proche de la panique la veille du jour J. L’héritier, qui ne s’était jamais investi pour la moindre cause ni visé le moindre objectif au cours de sa vie dénuée de sens, n’avait, une fois de plus, pas dû fournir le moindre effort pour se retrouver au cœur de l’expérience unique en son genre, et sans aucun doute révolutionnaire pour l’avenir de l’humanité, dont le portefeuille d’actions de son père lui avait ouvert les portes sans qu’il n’ait eu à le demander. Et sans aucun doute se serait-il largement abstenu de faire la moindre demande pour se retrouver ici si la décision lui était revenue – l’idée de passer les prochaines semaines sur cette île aux côtés de créatures absolument terrifiante ne l’enchantait guère, quand bien même son ego se retrouvait-il largement flatté par l’idée d’être un véritable pionnier dans cette aventure sans précédent.
Ce matin-là, Elijah s’était réveillé bien avant la sonnerie stridente de l’alarme réglée à l’aube, et son cœur ne cessa de palpiter frénétiquement tandis qu’il se prépara, aux côtés de ses collègues infiltrés en devenir, à rejoindre le groupe de rescapés dont il allait devoir feindre de faire partie. Son esprit vagabonda de rumination en rumination durant le briefing qui précéda le départ du bunker, et il n’eut pas vraiment l’impression d’être maître de son corps lorsqu’il se joignit au petit groupe qui ne tarda pas à prendre la direction de l’épave. Elijah se demanda à plus d’une reprise s’il était fou ou idiot de continuer à jouer à ce jeu aussi malsain que dangereux, avant de se résoudre à cesser de réfléchir – tout se passerait mieux dès qu’il accepterait de s’impliquer pleinement dans sa mission, et il avait tout intérêt à l’appréhender d’un œil positif s’il tenait à ne pas perdre la tête.
Contre toute attente, Elijah ne peina finalement pas à incarner le rôle qui semblait avoir été taillé sur mesure pour lui. Son objectif était de se faire remarquer suffisamment pour exercer une influence sur ses nouveaux congénères, mais pas assez pour avoir à endosser des responsabilités trop critiques. Elijah crut d’abord que son charisme inné avait suffi à conquérir le groupe de rescapés qu’il était parvenu à convaincre de construire un camp à un emplacement stratégiquement identifié dans la jungle environnante – mais il ne tarda pas à constater que des binômes s’étaient spontanément formés en vue de s’atteler aux tâches qui s’étaient rapidement présentées à eux, et qu’aucun de ces duos ne semblait tendre à l’y inclure. Celui qui n’avait jamais cru manquer de popularité mais qui, surtout, s’était toujours convaincu de son propre caractère indispensable aux autres sans chercher à comprendre si c’était la réalité ou sa propre arrogance qui avait guidé ce constat, se retrouva tristement seul et, par conséquent, brièvement désœuvré. Elijah ne s’octroya toutefois pas un instant pour s’apitoyer sur son propre sort ; son regard perçant balaya les environs jusqu’à repérer une petite brune qu’il avait déjà aperçue près de l’épave, et qui, elle, ne semblait pas se diriger vers quiconque pour faire équipe. Elle apparaissait étrangement immobile au milieu de toute cette frénésie, et il n’hésita pas une seconde supplémentaire avant de l’approcher. « Hey – tu veux qu’on fasse équipe pour aller chercher du bois ? », s’enquit-il d’un ton qui se voulut aussi affable qu’austère au vu de la situation qui se voulait parfaitement traumatisante. Il esquissa un sourire qu’il s’employa néanmoins à ne pas rendre trop joyeux, avant de tendre la main tout en se présentant. « Je m’appelle Elijah », annonça-t-il, le regard mêlant douceur et détermination, aussi charmeur qu’il en était capable. « L’un de nous pourrait faire le repérage, et l’autre, se charger de ramasser et porter – je te laisse l’honneur de choisir quelle tâche tu préfères », suggéra-t-il avec une pointe d’humour, à peu près certain du rôle qu’elle choisirait d’endosser si elle acceptait de faire équipe avec lui.
crédit gif - comicbookfilms & jvh1988
❝oh my lungs are begging me to beg for you❞ all of these highs and all of these lows don't keep me company. i've been breathing you in and drinking you down, you're the only remedy. say you're gonna hold my head up, say you're gonna break my fall ; say you're gonna stay forever, baby, this is all i want. cause all my bones are begging me to beg for you, begging me to beg for your love.
velociraptor party (eliora #22)
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