ÂGE : 35 ans (01.02.1989) SURNOM : Jude, Judy STATUT : célibataire, pas faute d'essayer pourtant MÉTIER : développeuse de contenu narratif dans les jeux vidéos LOGEMENT : 203 - Fortitude Valley, ça fait 3 ans qu'elle y habite et deux ans et dix mois qu'elle dit qu'elle va bientôt déménager. Elle n'investie pas son appartement parce qu'elle n'aime pas y rester. Aucun décoration particulière, c'est austère et fait fuir tout le monde. POSTS : 266 POINTS : 4220
TW IN RP : on est feel good nous GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : collectionneuse de nouveaux hobby - touche à tout et à rien - a tenté d'être une arnaqueuse dans la vie mais ne sait pas comment s'y prendre sans se faire chopper - dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas, pas toujours à bon escient - déborde de créativité - est quelqu'un d'extremement sociable, très entourée et pourtant se sent terriblement seule. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Judy pense tout haut en #996699 RPs EN COURS : Nicola#1
L'experience au sens où Judith l'entendait commençait à l'ennuyer. Si elle n'était jamais déçue de ses bébés, elle trouvait les sujets particulièrement vide d'intérêt. A part se faire croquer les uns après les autres avec un manque de courage et un sens de survie proche de zéro, elle se demandait où était le vrai challenge dans tout ça. Qu'allait-elle y gagner au fond ? Elle n'avait qu'une hate, que E. Vile obtienne enfin les autorisations pour introduire les dinosaures sur le continent et qu'ils retournent sur leurs terres originelles. Ces animaux majestueux n'étaient pas fait pour être cantonnés à une si petite île, ils méritaient leur liberté. Bien plus que tous les humains qui se trouvaient sur ce camps et qui avaient survécus au crash. Il fallait déjà être bien crédule pour se laisser embarquer dans un voyage qu'on aurait gagné. Comme le dit le dicton, si c'est gratuit, c'est que vous êtes le produit. A quel moment n'ont ils pas pensés une seconde à la supercherie? L'humain était vénale, à la recherche sans cesse de sensation forte, de belles images à partager, nourrie d'une fausse vie remplie de faux objectifs. A quoi bon? L'autodeterminisme et l'individualisme étaient les cancers de cette société. L'homme était mauvais, Judith n'avait aucun scrupule à les donner en pâture à des animaux incroyablement intelligent et dont le système social était bien mieux pensés et égalitaire que celui des hommes.
"Qu'est ce que vous avez fait?" elle s'approcha en courant, elle avait vu la scène sur les écrans dans le bunker et quand elle avait vu ce pterodactyle à terre alors qu'il n'avait eu aucun comportement déviant selon le protocole, elle s'était précipité dans la forêt à quelques dizaines de mètres du Bunker. Elle s'adressait au garde qui avait lancé le tranquillisant.
tu regardes le papier peint vieillir et tu veux toujours t’éblouir, dans des nuits si longues que les jours devaient rétrécir, oui tu ne les as pas vu venir, c’est peut-être le moment de s’enfuir
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Jayden Holmes
la vie en coulisses
ÂGE : Trente-cinq ans (Né le 12.09.1990 vraie) (24.05. 1990 pour le public et les journalistes) ne posez pas de questions. SURNOM : Jay, J, Microbe (mais que par son frère ainé) STATUT : Once upon a time, the planets and the fates and all the stars aligned MÉTIER : Acteur, réalisateur LOGEMENT : Bayside, une villa qu'il a acheté avec le salaire de son premier vrai succés. "Le nom secret des nénuphars" POSTS : 2830 POINTS : 1240
TW IN RP : maltraitance dans l'enfance, tendance dépressives. TW IRL : Parlons enGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Il est dans le placard et il va pas à Narnia celui là.DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible RPs EN COURS :
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Ooh, you make me live. Whatever this world can give to me. It's you you're all I see. Ooh, you make me live now, honey. Ooh, you make me live. Oh, you're the best friend that I ever had. I've been with you such a long time You're my sunshine and I want you to know. That my feelings are true. I really love you. Oh, you're my best friend
J'ai attrappé un coup de soleil, un coup d'amour, un coup d'je t'aime, j'sais pas comment, il faut qu'j'me rappelle, si c'est un rêve, t'es super beau. J'dors plus la nuit, j'fais des voyages. Sur des bateaux qui font naufrages. J'te vois toute nu sur du satin. Ça y est, c'est sûr, faut qu'j'me décide. J'vais faire le mur et j'tombe dans l'vide. J'sais qu'tu m'attends près d'la fontaine. J't'ai vu descendre d'un arc-en-ciel Charlie#2
Jayden en avait vraiment ras-le-bol. Il trimballait son matériel, une carabine prête à calmer un troupeau d’éléphants dopés, à travers des buissons trop denses et des sentiers boueux. Les insectes lui tournoyaient autour, mais il les ignorait. Son attention était fixée sur une poule géante, une aberration génétique qui n’aurait pas dû être revenu à la vie. Un ptérodactyle. Son employeur lui avait pourtant bien précisé : Ne t’occupe pas des créatures, elles ne sont là que pour tester nos sujets. Seulement, Jayden n’en pouvait plus. Il ne supportait plus ni les ordres absurdes ni l’inefficacité des dirigeants. Tout ça, c’était de leur faute. Ces idiots étaient persuadés de tout contrôler, mais lui savait bien qu’ils n’avaient même pas les moyens de suivre la moitié de leurs « bestioles », encore moins de maîtriser celles qui leur échappaient. Aujourd’hui, Jayden avait franchi une limite. Il en avait assez d’être le pantin de scientifiques arrogants, enfermés dans leur petit monde de statistiques et de tubes à essai, convaincus qu’ils maîtrisaient tout. Alors qu'en réalité, il savait bien qu'un simple dysfonctionnement pouvait transformer cette île en cauchemar vivant. Et s’ils ne pouvaient même pas gérer une « poule géante », que feraient-ils face à un troupeau de raptors affamés ? Un sourire s’étira sur ses lèvres à cette pensée. L’idée de couper leurs générateurs et de les laisser savourer leur propre médecine lui plaisait de plus en plus. Il se surprit à imaginer leurs visages, déformés par la terreur, fuyant à toutes jambes une horde de créatures prédatrices… la douce ironie. Allez donc voir si vos diplômes vous protègent ! pensa-t-il, jubilant.
Il reporta son attention sur le ptérodactyle au-dessus de lui, son véritable objectif. La créature, planait en larges cercles, comme pour mieux le narguer. Mais il était prêt. Jayden épia chaque mouvement de l’animal, ajustant sa prise sur la carabine. D’un battement d’ailes puissant, la créature gagna encore de l’altitude, un cri rauque perçant l’air humide. Sans hésiter, Jayden aligna sa cible, prit une longue inspiration, et tira. La détonation claqua, suivie d’un silence lourd, puis d’un bruit sourd quand la bête s’écrasa au sol dans un nuage de poussière. Il contempla un instant sa proie inerte, un sourire de satisfaction tordant ses lèvres. Et sans résister à la tentation, il murmura presque pour lui-même : « Yippee-ki-yay, motherfucker. »
Mais, comme toutes les victoires, celle-ci aussi eut son prix. À peine la créature touchait-elle le sol qu’une voix froide et féminine retentit dans son dos, un soupir exaspéré suivit de près par des mots acides : « Qu'est-ce que vous avez fait? » Il ferma brièvement les yeux. « Je régule, » répondit-il avec un calme calculé, en faisant claquer le mécanisme de sa carabine pour bien appuyer ses mots. « J’aidais un groupe de survivants. » Un silence tendu s'installa.
Que la chasse commence
Zorya
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Jayden #1
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