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 #23 Guess I'd rather hurt than feel nothing at all [Kylio]

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Message(#)#23 Guess I'd rather hurt than feel nothing at all [Kylio] - Page 2 EmptyMar 8 Déc 2015 - 9:36


Guess I'd rather hurt than feel nothing at all.
Kyrah & Elio



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Je lui impose mon petit jeu, me doutant bien qu’il ne va pas refuser. Je commence à le connaître maintenant, à savoir que son côté joueur n’est pas moins fort que le mien. Alors ce petit jeu tombe à pic. Je sais bien que nous n’avons pas besoin de ça pour faire monter la pression, mais ça m’amuse, je suis curieuse de voir s’il peut tenir longtemps ou si je vais devoir craquer en premier. « Prépares toi à perdre alors… » Je lui adresse un sourire malicieux qui en dit long sur mes intentions. Je ne compte pas le laisser gagner, c’est certain. Là, sur lui, je reprends doucement mes mouvements, avant d’accélérer un peu, mais je suis à deux doigts de me prendre à mon propre piège tellement le plaisir s’invite un peu plus en moi. Alors que je l’embrasse d’une passion sans nom, Elio nous fait chavirer pour reprendre le dessus, et je ne vais pas m’em plaindre. Délicatement, il laisse glisser ses baisers sur mon corps, et je sais déjà ce qu’il s’apprête à faire, je ne compte surtout pas le freiner. Au moment où nos corps se séparent, je ressens comme un manque, un vide, une envie d’encore. Mais au moment où il vient embrasser l’intérieur de mes cuisses, je sens une douce chaleur s’emparer de moi. Un élan de lucidité me fait agripper les draps fermement pour palier à l’envie de glisser mes doigts dans ses cheveux. Je me cambre un peu, levant mes fesses légèrement pour rapprocher mon entre-jambes de sa bouche comme pour lui faire comprendre que je ne peux plus attendre. C’est alors que sa langue vient me caresser et cette fois je ne peux retenir le grognement qui menaçait de s’échapper depuis de longues minutes. « Oh mon dieu… » Je resserre mes doigts pour serrer le drap un peu plus fort alors qu’il intensifie ses mouvements. Généralement, les hommes ne sont pas très doués pour ce genre de chose. Les femmes sont bien plus fortes à ce petit jeu, sachant exactement où se diriger pour trouver le point qui nous fera chavirer. Evidemment, c’est plus facile pour une femme qui connaît exactement son propre corps, de donner du plaisir à une autre. Ce n’est pas pour rien qu’en général, j’ai toujours préféré faire l’amour avec des femmes. Mais clairement, Elio est en train de chambouler tout ce en quoi je croyais. A l’instant où sa langue trouve le point crucial, je me cambre d’un seul coup lâchant cette fois un gémissement impossible à retenir. Un premier orgasme. L’avantage d’être une femme, par rapport à une homme, c’est qu’on peut avoir plusieurs orgasmes d’affilée, et ne pas être obligées d’attendre un laps de temps pour se remettre en selle. Au contraire. Et le mieux, c’est que le plaisir n’est que grandissant. Les hommes sont bien moins chanceux de ce côté là, et il faut souvent user et abuser de stratagèmes pour ne pas faire monter la pression trop vite. Doucement, il revient se positionner sur moi et j’enroule très vite mes jambes autour de son bassin, retrouvant sa chaleur en moi alors qu’un râle de plaisir s’échappe de mes lèvres. Il m’est impossible de retenir mes gémissements désormais, surtout qu’il accélère la cadence. Je meurs d’envie de poser mes mains sur lui, le caresser, m’agripper à lui, mais je me fais violence, le jeu en vaut la chandelle. Nos regards se croisent et le feu que j’y lis me fait un bien fou. Le sentir en moi, ajouté à ça le frottement de son corps sur la partie la plus érogène du mien est un combo gagnant, et très vite je sens un nouvel orgasme pointer le bout de son nez mais il ralentit la cadence, ce que je ne peux supporter, si près du but. Il peut pas me faire ça. Alors je prends le relais, ondulant à mon tour mon bassin sous son corps pour reprendre un rythme plus soutenu mais ses mains viennent se poser sur mes hanches avec fermeté pour m’en empêcher plus longtemps. « Kyrah… » J’ai du mal à respirer, la frustration s’invite l’espace d’un instant, jusqu’à ce que je me rende compte qu’il vient de perdre à notre petit jeu. Mon sourire s’élargit, je viens de gagner la partie. « J’imagine qu’il va falloir que tu me trouves un gage. Tu as de la chance que je ne sois pas mauvais perdant. » Je souris à nouveau avant d’attraper sa lèvre inférieure entre mes dents doucement avant de passer ma langue dessus et de la lâcher. « En même temps, pour ce que je te réserve, tu ne peux pas être mauvais perdant ! » J’arque un sourcil alors qu’il vient prendre mon visage entre ses mains pour m’embrasser avec ardeur. Mon coeur reprend sa course folle et nos mouvements de bassin s’accélèrent doucement, à l’unisson. Il est temps d’en finir, je ne tiendrai pas plus longtemps, et je sais que lui non plus. Alors sans même en parler, d’un commun accord de nos corps, nos bassins ondulent comme deux serpents parfaitement à l’unisson, jusqu’à atteindre cette fois, et pour de bon, le septième ciel. Mes ongles se plantent dans son dos et mon dernier gémissement, à moitié étouffé dans son cou, a sûrement réveillé la moitié du voisinage. Je ne peux m’empêcher de lâcher un petit rire tout à fait adorable alors qu’Elio s’allonge près de moi sur le lit. Je lui laisse quelques secondes de répit pour respirer, et très vite, je viens me remettre sur lui, un sourire coquin au coin des lèvres. « Il est temps d’honorer ton gage ! » Je le regarde arquer un sourcil et je ris un peu. « Le temps que tu reprennes du poil de la bête, tu vas devoir refaire ton petit manège de tout à l’heure, et me prouver que tu es le meilleur à ce jeu là… » Je me mords la lèvre et viens me pencher un peu plus sur lui pour murmurer à son oreille. « Il parait que le record d’orgasmes pour une femme est de 160 en une heure. T’as encore du boulot ! » Je remets mon visage à son niveau et viens l’embrasser doucement alors que je sens qu’il reprends doucement un souffle normal. « On t’a jamais dit que l’appétit sexuel d’une femme enceinte est sans limite ? ».

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Message(#)#23 Guess I'd rather hurt than feel nothing at all [Kylio] - Page 2 EmptyMer 9 Déc 2015 - 13:12


Guess I'd rather hurt than feel nothing at all.
Kyrah & Elio



(Toujours cachés les yeux  #23 Guess I'd rather hurt than feel nothing at all [Kylio] - Page 2 4251317097  )



Je voudrais que ça dur encore – toujours. Que ce contact charnel qui nous unit ne cesse jamais parce qu’il est le seul instant où nous semblons exactement sur la même longueur d’onde. Parce que cet instant de partage peut faire s’envoler toutes les difficultés. Parce que le simple contact de sa peau contre la mienne me fait simplement me sentir bien – me sentir moi. Je n’ai pas besoin de me cacher ou de me forcer. Juste de ressentir et d’apprécier. Alors non je ne voudrais pas que ce moment finisse et pourtant il semble évident que mon corps va bientôt venir à bout de moi pour me donner l’orgasme que je redoute autant que je le désire. « En même temps, pour ce que je te réserve, tu ne peux pas être mauvais perdant ! » Ces mouvements de bassins contre les miens me perdent déjà alors que je sens l’extase monter, prendre possession de tout mon corps en même temps que le sien au dessus de moi. Nous partageons cette jouissance ensemble alors que sa tête vient se nicher dans mon cou pour étouffer un gémissement. Je ne cache pas mieux mon plaisir qu’elle et ne doute plus maintenant que sa pauvre amie doit être réveillée. Après l’orgasme je sens mon corps se détendre, mes bras vont se refermer sur elle quelques secondes avant que je ne quitte son étreinte pour aller me poser à côté d’elle. Mon souffle est court et j’ai de la peine à me remettre de cette jouissance qui semble avoir totalement possédée mon corps… « Je… Whouaaa… » Je n’ai pas de mot. Je n’en ai jamais eu après nos ébats car ce qu’elle fait à mon corps est bien plus fort que ce que je n’ai jamais vécu et qu’il est impossible pour moi de mettre des mots là dessus. Je pense que mon souffle coupé et le regard que nous échangeons en dit bien assez de toute façon. Nous restons quelques secondes comme ça, dans le silence. Il est plutôt agréable je dois bien l’avouer et je me laisse englober de ce confort étrange que je ressens à ces côtés. Puis elle revient se placer au dessus de moi et à son sourire en coin je devine qu’elle n’en a pas fini avec moi. « Il est temps d’honorer ton gage ! » De toute évidence ça n’était pas une blague, elle compte bien me donner un gage et je redoute déjà de savoir ce qu’elle a en tête. « Je n’ai même pas le droit à un temps de repos ? » Je souris légèrement posant mes mains sur ces cuisses avec plus de tendresse cette fois. « Le temps que tu reprennes du poil de la bête, tu vas devoir refaire ton petit manège de tout à l’heure, et me prouver que tu es le meilleur à ce jeu là… » Je suis presque vexé… Est ce que je dois comprendre que je n’ai pas assuré ? Il me semble pourtant qu’elle y a pris du plaisir… « Il parait que le record d’orgasmes pour une femme est de 160 en une heure. T’as encore du boulot ! » Cette fois je vois mieux où elle veut en venir et je rigole légèrement. « Je vois que madame à des exigences… » Il est plus qu’évident que j’aurais de la peine à battre ce record, mais je peux toujours m’y atteler. « Tu sais comment j’appelle ça moi ? De l’esclavagisme sexuel. » Je rigole évidement et alors qu’elle se penche un peu plus vers moi je murmure à son oreille. « Heureusement pour toi c’est le genre d’esclavagisme que je suis prêt à supporter… » Je laisse un petit instant de silence pour la regarder avant d’ajouter d’une vois assurée. « Mais juste pour toi. » Je crois qu’elle pourrait obtenir de moi tout ce qu’elle veut maintenant vu l’état dans lequel elle m’a mis.   « On t’a jamais dit que l’appétit sexuel d’une femme enceinte est sans limite ? » J’embrasse ces lèvres avec douceur, caressant ces cuisses du bout des doigts et profitant de cet aparté un peu plus calme pour me remettre. « Sans limite vraiment ? » Je hausse légèrement un sourcil alors que je me sépare un peu d’elle. « Et si on en reparlait quand j’aurais exécuté mon pari ? » Maintenant que je suis à bout je peux m’occuper d’elle uniquement et c’est de toute évidence ce qu’elle veut. Evidement c’est un peu frustrant de savoir qu’elle va pouvoir avoir bien plus d’orgasmes que moi, mais j’aime partager le plaisir avec elle et quand je vois que je lui en donne c’est presque aussi jouissif. Pour autant je la fais un peu patienter, mes mains glissent dans ces cheveux avec lenteur alors que j’embrasse ces lèvres tendrement nous faisant rouler sur le côté. Allongés tous les deux face à face sur le lit j’agrippe son corps pour le serrer un peu plus contre mois continuant à jouer avec sa langue. Le désir est toujours aussi présent bien que mon corps ne suive plus la cadence. Je n’ai pas envie de me séparer de ces lèvres alors sans arrêter mes baisers je commence par faire glisser ma main entre nous pour venir la caresser. Elle me laisse volontiers la place pour venir me glisser entre ces jambes, de mes doigts caressant ces parties les plus sensibles, d’abord avec lenteurs puis sentant son corps en demander plus mes mouvement se font plus rapides, plus appuyés alors que son corps se crispe déjà dans mes bras pour m’indiquer que mon petit manège a porté ces fruits. Je lui laisse à peine le temps de reprendre ces esprits que déjà je viens ouvrir ces jambes pour jouer de ma langue sur son intimité. Elle est encore sensible de ce dernier orgasme et j’y vais en douceur lui laissant le temps de reprendre un peu ces esprits pour profiter pleinement de la suite. C’est elle qui m’indique que c’est le moment, venant glisser ces mains dans mes cheveux elle me guide. Je me laisse faire conscient qu’elle connaît son corps bien mieux que moi et sera guider mon ascension pour lui donner le plus de plaisir possible. Je joue avec ma bouche, osant tout juste mordiller légèrement pour regarder sa réaction puis à nouveau ma langue prend le relais s’aventure dans son intimité, légère et affamée. Je sens les mains de Kyrah se resserrer dans cheveux ce qui m’indique qu’elle n’est pas loin de l’extase et décide de la faire patienter un peu. Ma langue dévie, venant s’occuper des autres parties de son corps et la laissant dans cet état d’attente qui semble la rendre folle. Ca ne dure pas longtemps, j’ai envie autant qu’elle de sentir son corps de crisper de plaisir et je finis par revenir pour finir mon travail. Ce dernier orgasme semble parcourir tout son corps et je me délecte du léger tremblement que je viens de lui offrir et qui semble pour elle aussi sonner la fin. Entre ces jambes je remonte pour venir m’étendre sur elle. Mes coudes prennent position sur le lit pour ne pas l’écraser de tout mon poids. « Alors qu’en est-il de ton appétit maintenant ? » Honnêtement en parlant d’appétit c’est plutôt mon ventre qui semble vide. Je n’ai rien mangé depuis des heures trop occupé à angoisser puis à quitter Olivia. Lentement je me laisse glisser à côté d’elle, ma main passant sur son ventre pour s’y arrêter et le caresser avec douceur. « Il va bien n’est ce pas ? » Je sais bien que les ébats sexuels ne sont pas supposés faire de mal à un bébé en gestation mais ce n’est pas que pour cette raison que je m’inquiète. Aussi, pour cette nuit où transi de froid elle était venue devant ma porte, pour ces fois où Kyrah semblait en mauvais état, mais surtout parce que je suis entrain de comprendre ce que c’est que de devenir père. Et à quel point je risque de m’inquiéter pour cet enfant… Toute ma vie.  
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Message(#)#23 Guess I'd rather hurt than feel nothing at all [Kylio] - Page 2 EmptyMer 9 Déc 2015 - 14:37


Guess I'd rather hurt than feel nothing at all.
Kyrah & Elio



#23 Guess I'd rather hurt than feel nothing at all [Kylio] - Page 2 3180130893  #23 Guess I'd rather hurt than feel nothing at all [Kylio] - Page 2 3180130893  #23 Guess I'd rather hurt than feel nothing at all [Kylio] - Page 2 3180130893  #23 Guess I'd rather hurt than feel nothing at all [Kylio] - Page 2 3180130893  #23 Guess I'd rather hurt than feel nothing at all [Kylio] - Page 2 3180130893  #23 Guess I'd rather hurt than feel nothing at all [Kylio] - Page 2 3180130893

Nous avons repoussé au maximum l’instant où le plus haut palier du plaisir allait arriver. Mais nous ne pouvons pas le laisser planer plus longtemps, au bout d’un moment, nous laisser aller est la seule solution. J’essaie de ne pas trop crier malgré le plaisir qu’Elio me donne, mais c’est vraiment compliqué. Maintenant, si j’avais des doutes quant au sommeil de Kelya, il est désormais certain qu’elle ne dort plus. Et à vrai dire, je m’en fiche. Il y a un temps pour profiter de la vie, et un temps pour rendre des comptes. « Je… Whouaaa… » Je ne peux m’empêcher de sourire, parce que ce n’est pas grand chose, mais ça résume tout. Et puis, si une femme peut encore simuler un orgasme, pour un homme il est difficile de mentir, son corps parle pour lui, et clairement, je sais que son plaisir a été aussi important que le mien. Arriver à l’orgasme en même temps qu’une femme, c’est plutôt facile, mais y arriver en même temps qu’un homme, c’est beaucoup plus difficile, d’ailleurs, il n’y a qu’avec Elio que j’ai réussi cette prouesse, pour la simple et bonne raison que le jeune homme est attentif à chacun de mes soupirs, chacun de mes gémissements, chacune de mes envies. Mais très vite, avant même qu’il n’ait eu le temps de souffler vraiment, je lui remets le grappin dessus. Je ne perds pas le nord, et en tant que bonne somnambule que je suis, je n’ai aucune envie de dormir. Il y a des gens pour qui faire l’amour endort, moi à l’inverse, ça me réveille. Surtout quand je sais qu’Elio me doit un gage, je ne vais pas le laisser filer. « Je n’ai même pas le droit à un temps de repos ? » Je souris d’autant plus et secoue la tête d’un air amusé. Il n’a pas l’air à l’agonie non plus, faut pas exagérer. Sans plus tarder, je lui demande ce que je veux, le faisant passer pour étant son gage, et ça m’arrange bien. Si son corps ne peut pas assumer de repartir sur les chapeaux de roues dès maintenant, le mien n’attend que ça. Alors en attendant, à lui de me montrer de quoi il est capable. « Je vois que madame à des exigences… » Je souris et penche un peu la tête avec un air de canaille. « Tu sais comment j’appelle ça moi ? De l’esclavagisme sexuel. » Je me redresse un peu pour me mettre vraiment en position assise, alors que ses mains caressent délicatement mes cuisses, je pose mes mains sur son torse et ses muscles saillants par l’effort fourni. Il est tellement beau. Je ne peux m’empêcher de me repencher sur lui pour venir l’embrasser. « Heureusement pour toi c’est le genre d’esclavagisme que je suis prêt à supporter… » Je me mords la lèvre et plonge mon regard dans le sien avec un sourire ravageur. « Mais juste pour toi. » « J’espère bien ! ». Je laisse échapper un petit rire, et lui parle de l’appétit sexuel d’une femme enceinte. Parce que non, ce n’est pas un mythe ! Et je me rends bien compte que les hormones provoquées par ma grossesse me donnent d’autant plus envie de lui. « Sans limite vraiment ? » Il hausse un sourcil et je penche un peu la tête sur le côté pour lui dire que je pense bien que oui. « Et si on en reparlait quand j’aurais exécuté mon pari ? » « Vendu ! » Je le laisse reprendre possession de mon corps, je m’offre à lui, littéralement, sans concession. Qu’il fasse de moi ce qu’il désire, ou plutôt, ce que je désire. Il nous fait rouler sur le côté et alors que ma jambe du côté du lit reste en place, mon antre jambe vient se placer sur celle d’Elio, histoire de le sentir encore plus près de moi. Notre baiser langoureux me fait presque tourner la tête, mon dieu, personne ne m’a jamais embrassé comme lui. Sa main glisse entre nos corps et arrive à l’endroit tant convoité, m’arrachant un grognement tout contre ses lèvres. A mesure que ses caresses se font plus intenses, j’ai de plus en plus de mal a continuer de l’embrasser, du mal à respirer. Les yeux clos, ma main glisse dans son cou, sa nuque, jusqu’à venir agripper ses cheveux, et je me crispe à nouveau sentant arriver à nouveau le 7ème ciel. Il commence à me connaître, bien, trop bien. Je me laisse tomber sur le dos cette fois, essayant de reprendre ma respiration, mais Elio ne me laisse pas le temps de quoi que ce soit, il vient déjà prendre place entre mes jambes et je sens sa langue titiller l’endroit le plus sensible de mon anatomie. Je me cambre directement, prise de spasmes à chaque fois qu’il passe sur le point d’une sensibilité extrême, surtout après tout le plaisir qu’il m’a déjà donné plus tôt. Je ne réfléchis plus, les gémissements qui sortent de mes lèvres traduisent clairement l’adresse de mon partenaire. Il est foutrement doué. Mes doigts glissent dans les cheveux d’Elio alors que je touche au but, mais celui-ci ne semble pas l’entendre de cette oreille. « Elio… nan… j’t’en supplie… » Je pousse un peu sur mes jambes pour relever mon bassin et lui faire comprendre que je ne peux plus attendre, qu’il ne peut pas jouer comme ça avec moi, c’est un réel supplice. Il finit enfin son travail et cette fois, c’est l’apogée, un truc hallucinant. Ma tête tourne tellement qu’heureusement que je suis allongée, sinon je pourrai bien tomber. Je viens poser mes mains sur mon visage alors que mon corps se relâche doucement, ma respiration à un rythme encore effréné. Elio remonte entre mes jambes et s’allonge sur moi, alors que je découvre mon visage pour venir prendre le sien délicatement entre mes doigts fins. « Alors qu’en est-il de ton appétit maintenant ? ». « J’ai une faim de loup ! » Je ris un peu, ne répondant à sa question qu’à moitié. Il vient s’allonger près de moi alors que, les yeux clos, j’essaie de reprendre une respiration convenable. La main d’Elio vient se poser sur mon ventre et je tourne la tête dans sa direction avec un mince sourire, complètement détendue. « Il va bien n’est ce pas ? » Je hoche doucement la tête. « J’ai rien senti ou vu d’anormal en tout cas. Et vu comme j’ai faim pour deux, je pense qu’il va bien ! » Je lui souris de plus belle et me redresse avant de lui voler un baiser au passage. « Je vais nous chercher un truc à grignoter, bouge pas de là ! » Je passe par dessus lui pour quitter le lit et enfile son débardeur, sans rien en dessous, et quitte la chambre pour descendre dans la cuisine. Sauf que là, je tombe nez à nez avec Kelya. Par réflexe, je tire un peu sur le débardeur d'Elio pour me cacher un peu plus, même si de toute manière, Kelya m'a déjà vue nue plus d'une fois. « Tu… » « Non, je ne dors pas. C’est un peu compliqué avec le vacarme que vous faites ! » Je me mordille la lèvre inférieure et baisse la tête un peu honteuse, mais à la fois amusée. « Pardon. » Elle se racle un peu la gorge. « C’est qui ? » « Elio. » Elle secoue un peu la tête d’un air dépité. « Je crois que vous pouvez écrire un bouquin avec vos histoires ! » Je laisse échapper un petit rire et la regarde avec complicité. « Rassure-moi, t’as un peu exagéré ? » Je la regarde droit dans les yeux, pour être sûre d’avoir bien compris ce qu’elle me demande. Visiblement, j’ai bien compris. « T’es en train de me demander si je simule ? » Je ris, nerveusement cette fois. « Non… c’est bien le problème avec Elio. J’ai essayé de pas faire trop de bruit mais c’est mission impossible. Je suis désolée. » Elle sourit et secoue la tête d’un air désespéré. « Bon… bon appétit ! » « Merci ! » Je la regarde passer près de moi pour remonter à l’étage alors que je fais les provisions, pour remonter à mon tour dans la chambre. Je dépose les paquets de gâteaux sucrés et salés sur le lit. « J’ai croisé Kelya. » Je me mords la lèvre inférieure avant de m’agenouiller sur le lit, mains sur les cuisses. « Elle m’a demandé si j’avais simulé ! » Je lâche un rire tellement con, on dirait une gamine. « Je lui ai répondu que tu étais juste un dieu vivant… » Je viens m’approcher de lui pour l’embrasser tendrement. Ce moment a quelque chose de planant, d’hors du temps, c’est juste hallucinant.

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Message(#)#23 Guess I'd rather hurt than feel nothing at all [Kylio] - Page 2 EmptyMer 9 Déc 2015 - 23:52


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Kyrah & Elio


Ce moment d’après sexe est particulier, plus doux et léger. « J’ai une faim de loup ! » Je rigole un peu alors que ma main va se poser sur son ventre. Je le caresse tendrement laissant mon regard glisser sur ce petit bidon où il y a notre enfant. Je me sens inquiet pour lui – ou pour elle. Pour cette petite chose qui est entrain de grandir sans savoir ce qui l’attend dans le monde extérieur. Il est bien protégé là dedans – du moins c’est ce dont j’essaye de me convaincre. « J’ai rien senti ou vu d’anormal en tout cas. Et vu comme j’ai faim pour deux, je pense qu’il va bien ! » Je me sens rassuré et je profite du baiser rapide que Kyrah pose sur mes lèvres avant de quitter mon corps « Je vais nous chercher un truc à grignoter, bouge pas de là ! » Etre séparé d’elle me provoque déjà un manque et je la regarde enfiler mon T-shirt avec un sourire. « Ca te va bien… » Elle me jette un petit regard adorable et je ne décroche pas mes yeux d’elle. « Reviens vite… » Elle a déjà disparu me laissant seul. Je devrais profiter de cet instant pour me remettre de l’état dans lequel ce moment avec elle ma mis. Mais au lieu de ça mon esprit divague déjà. Je me lève pour prendre le temps d’observer sa chambre, pas de photos rien qui ne laisse penser qu’elle c’est vraiment installée ici – que c’est son endroit. Cette pensée me tord le ventre, je sais que rien ne la retient ici – qu’elle pourrait partir à n’importe quel moment. Je dois lui faire confiance pour ne pas le faire – c’est tout ce que je peux faire – lui faire confiance. Quand Kyrah revient dans la chambre j’ai repris ma place sur le lit. Elle dépose plusieurs biscuits sur le lit et je me relève doucement pour regarder ce petit butin. « J’ai croisé Kelya. » « Hem… Oups ? » Je la regarde un peu amusé et elle se mord la lèvre comme une gamine ce qui m’attendrit.   « Elle m’a demandé si j’avais simulé ! » Mes yeux s’arrondissent légèrement en l’entendant prononcer ces mots. « Et ? » Je n’ai pas pensé une seule seconde qu’elle pouvait être entrain de simuler mais j’imagine que c’est ce que les femmes font assez bien pour que l’on ne s’en rende pas compte.   « Je lui ai répondu que tu étais juste un dieu vivant… » Elle vient m’embrasser et je glisse mon bras dans son dos pour la garder un peu plus longtemps contre moi. « Quelle baratineuse tu fais… » Je rigole contre sa bouche et elle en fait de même. Je me sens apaisé et heureux simplement. Je me lève un peu sur mes bras et jette un coup d’œil à la nourriture. « Le dieu vivant meurt de faim. » Elle se défait un peu et nous nous plaçons autour de la nourriture. Attrapant un biscuit je le croque non sans quitter son regard et elle en fait autant, son petit sourire malicieux me fait fondre et bien vite je ne peux m’empêcher de lui sauter dessus à nouveau. Au final je ne suis pas idiot, je sais bien que c’est aussi un moyen d’éviter toute conversation qui pourrait devenir trop sérieuse, que j’ai peur de ce qu’on pourrait se dire, bon ou mauvais. Nos gestes dégagent une tendresse que l’on a peu souvent connue, nos baisers se font plus tendres, presque amoureux alors que mes mains caressent son corps avec douceur. Elle finit par venir poser sa tête sur mon torse et je passe ma main dans ces cheveux, les caressant avec lenteur. « Je devrais peut-être rentrer… » Je n’ai aucune envie de rentrer je dois bien l’avouer. Je voudrais rester là encore – toujours ne jamais que cet instant finisse. « Ca serait bizarre demain… » Je parle pour nous mais aussi pour son amie qui de toute évidence est restée réveillée à cause de nous. Je me vois mal la croiser demain au petit déjeuné. « Est ce que… » Je n’ai aucune idée de comment aborder la question sans que s’en suive une conversation trop houleuse qui nous amènerait à nous quitter en fracas… « Est-ce qu’on est bien ? Toi et moi on est… On est bien ? » Au final ma phrase ne veut rien dire. Je voudrais juste être sur qu’il n’y  a pas de malaise, qu’on va s’en sortir. Trouver une solution même si nos deux cerveaux sont dans le brouillard. 
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Message(#)#23 Guess I'd rather hurt than feel nothing at all [Kylio] - Page 2 EmptyJeu 10 Déc 2015 - 9:14

[quote="Kyrah Malikov"]

Guess I'd rather hurt than feel nothing at all.
Kyrah & Elio


« Reviens vite… » Sa phrase reste dans mon oreille tout le temps que je suis en bas avec Kelya. Et puis, j’ai vraiment envie de le retrouver, sa présence me manque déjà. Je ne sais pas trop ce qui a changé entre nous, mais une chose est sûre, les choses ne sont plus les mêmes. Lorsque je remonte, Elio n’a pas changé de place, ou du moins, il est au même endroit, nu, allongé sur le lit. Le spectacle est très plaisant, et mon regard qui glisse sur sa nudité semble aussi gourmand qu’à l’idée de manger tous ces gâteaux. Je le rejoins sur le lit et lui raconte que je viens de croiser Kelya, et qu’elle m’a demandé si j’avais simulé. « Et ? » Il en doute ? Je penche la tête un peu sur le côté et lui souris avant de lui faire le plus beau compliment qu’un homme pourrait avoir après avoir fait l’amour à une femme. Je viens l’embrasser et je le sens m’agripper comme pour que je reste là un peu plus longtemps. « Quelle baratineuse tu fais… » Je ris un peu contre ses lèvres, en même temps que lui. « Le dieu vivant meurt de faim. » Je me recule alors et ouvre un paquet, le laissant prendre ce qu’il veut. Ça me permet un peu aussi d’apprendre à connaître ses goûts. Nos regards ont du mal à se quitter, et j’ai tout autant de mal à ne pas lui sourire. Parce que depuis longtemps, je me sens bien, à ma place, et je n’ai ni envie de fuir, ni envie d’être ailleurs. Je voudrais que cet instant dure une éternité, dans le silence parfait qui s’est installé. Après un petit sourire malicieux, Elio semble ne pas résister à venir me sauter dessus, alors que mon rire résonne dans la pièce. Ses caresses sont douces, ses baisers tendres, nous connaissons ce genre de moment pour la première fois, et j’avoue que c’est plaisant. Jusqu’à présent, je n’avais pu vivre ce genre de chose qu’avec des femmes, parce que la tendresse fait partie de ce que nous sommes et encore. Je n’ai jamais été ce genre de fille débordant de tendresse. Mais avec Elio, tout semble différent. Sur toute la ligne à vrai dire. Je m’installe alors la tête sur son torse, alors que ma jambe vient remonter sur la sienne, mon index dessine le contour de ses abdominaux trop, beaucoup trop bien dessinés. Sa main dans mes cheveux m’arrache un frisson et je remonte un peu les épaules pour accueillir cette sensation avant de me décontracter. « Je devrais peut-être rentrer… ». Ma main se pose sur son torse, d’un seul coup, arrêtant mes caresses. Mon coeur se serre un peu, moi qui pensais qu’il allait rester là, que j’allais pouvoir profiter de ses bras toute le restant de la nuit. Il n’est pas bien là ? « Ca serait bizarre demain… » Les mots sont coincés dans ma gorge, les émotions sont décuplées depuis que je suis enceinte, et là, j’ai presque envie de pleurer. Je reste alors silencieuse, profitant qu’il ne voit pas mon regard pour comprendre ma déception. « Est ce que… Est-ce qu’on est bien ? Toi et moi on est… On est bien ? » Je ne comprends pas sa phrase. Je ne comprends pas ce qu’il me demande. Je n’ai pas envie de réfléchir à nous, j’ai trop peur de ne pas être à la hauteur de ce qu’il attend de moi. S’il veut quelque chose d’officiel, d’exclusif, de ‘normal’ en somme, je ne suis sûrement pas celle qui lui faut. S’il attend que je sois sa nouvelle Olivia, ce n’est pas la peine d’attendre après moi. Je ne suis pas un animal qu’on met en cage. Qu’on apprivoise tout au plus, mais j’ai beaucoup trop besoin de ma liberté. « T’as raison, il faudrait que tu rentres. » Je me redresse doucement et me sépare de lui, alors qu’un froid s’est déjà installé, et par la même occasion, une boule dans ma gorge. Je ne le regarde pas, il ne vaut mieux pas. J’essaie de faire mine que tout va bien, mais j’ai du mal. Je quitte le lit et retire son t-shirt pour le poser sur le lit près de lui, et j’enfile ma nuisette qui se trouve près de la porte, avant de me retourner vers lui. Il est déjà habillé, et se tient debout devant moi. Je le regarde et mes yeux se mettent à briller. Putain, pourquoi j’ai autant de mal avec mes sentiments…? Je m’approche de lui et empoigne doucement son t-shirt, les yeux rivés sur ma main, le tissus entre les doigts. Et puis, doucement, je relève le regard pour le plonger dans le sien. « Reste, s’il te plait. J’ai pas envie de dormir seule cette nuit. » Je le supplie presque du regard. Je dois apprendre à me laisser aller, à laisser les sentiments inonder mon coeur. « Kelya part bosser à 9h, il suffit juste qu’on descende déjeuner quand elle sera partie… » J’esquisse un mince sourire, espérant de tout mon coeur qu’il dise oui.

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Message(#)#23 Guess I'd rather hurt than feel nothing at all [Kylio] - Page 2 EmptyJeu 10 Déc 2015 - 20:37


Guess I'd rather hurt than feel nothing at all.
Kyrah & Elio


Ma question était maladroite et je sens directement le corps de Kyrah se crisper sous mes caresses. Je n’aurais pas du le dire comme ça je le sais, lui donner l’impression que je veux partir, la laisser seule, parce que ça n’est pas le cas. Je voudrais ne jamais me séparer d’elle. Je ne sais pas ce que nous sommes l’un pour l’autre, et même si je voudrais que  ça n’ait pas d’importance – que je devrais juste profiter de ce que nous avons sans me poser de questions ça me semble compliqué. Kyrah me donne cette impression fugace que je ne peux pas tout à fait compter sur elle, qu’elle n’aurait aucun mal à m’écraser si il le fallait. C’est peut-être faux, du moins la partie d’elle qu’elle m’a dévoilé aujourd’hui montrait bien autre chose et pourtant – pourtant je ne peux m’empêcher d’avoir cette boule étrange dans le ventre quand je tente de voir plus loin que ces quelques minutes de bonheur avec elle. Et comme pour me prouver que j’ai raison de m’inquiéter elle se détache déjà de moi. « T’as raison, il faudrait que tu rentres. » Je fais légèrement la moue mais je ne dis rien de plus. Je suis chez elle et si elle veut que je m’en aille alors je ne vais pas rentrer dans l’argumentation. « D’accord… » Ma voix laisse transparaitre la déception mais de toute façon Kyrah ne me prête plus attention elle est déjà loin. Elle enlève mon T-shirt pour me le laisser et je comprends le message. Je dois me rhabiller. Je le fais aussi vite que possible, la situation me met un peu mal à l’aise maintenant et j’ai envie de partir. Quand j’ai fini d’enfiler le dernier de mes vêtements je me dirige vers elle – ou plus précisément vers la porte ne sachant pas vraiment comment lui dire au revoir. Je vais me placer face à elle et bien qu’elle ne me regarde pas il me semble voir ces yeux briller. Est-ce que c’est moi ? Je l’ai blessé avec ma maladresse ? Elle attrape mon t-shirt et je me laisse faire sans pour autant bouger cherchant son regard qui est fuyant. « Reste, s’il te plait. J’ai pas envie de dormir seule cette nuit. » « Je… » Je ne sais plus quoi faire, je voudrais rester et en même temps je ne suis pas sûr qu’on se fasse du bien en agissant comme ça. Pas sûr d’avoir envie qu’elle me jette demain parce qu’elle aura changé d’avis. Mais son regard se posant dans le mien je ne me pose plus de questions. Je veux être là avec elle. « Kelya part bosser à 9h, il suffit juste qu’on descende déjeuner quand elle sera partie… » J’esquisse un mince sourire en réponse au sien et ma main va caresser tendrement son visage. D’un geste doux je vais déposer un baiser sur ces lèvres comme réponse. Puis je me détache d’elle pour me séparer au plus vite de mon pantalon et de mon T-shirt qui volent dans la pièce alors que je saute comme un gamin dans le lit pour aller m’y étendre. Elle me regard amusée et je lui fait mon plus beau sourire. « Tu fais ta timide ? » C’est ma façon de l’inviter à me rejoindre et de lui confirmer que je vais rester. Je sais bien que Kyrah est tout sauf timide. Elle vient d’ailleurs déjà sauter dans le lit à coté de moi et je l’attire à moi pour déposer un baiser au coin de ces lèvres comme un amoureux timide. Puis je me penche un peu en arrière pour éteindre la lampe de chevet et nous nous installons tous deux enlacés comme deux pièces d’un même puzzle. Je serre son corps au plus proche contre le mien alors que je sens enfin la fatigue s’occuper de moi. La journée a été mouvementé et mon corps me réclame enfin ces heures de sommeils qu’il semblait m’empêcher d’avoir jusque là… Juste avant de sombre dans le sommeil je murmure un vague. « Bonne nuit Kyrah… » Puis ma main glisse sur son ventre et j’ajoute un presque inaudible… « Et bébé… » Et c’est le noir de la nuit qui s’empare de mon corps pour me donner un repos bien mérité. 
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