Elle l'avait regardé un moment dormir. Et puis, elle avait eu besoin de bouger. Alors, elle s'était habillée. Et elle avait été dans le jardin. Avec Eina. Ouais, bon, elle pouvait pas trop sortir non plus et se balader en ville puisqu'elle était, normalement, malade. Mais dans le jardin, elle ne risquait rien. Et puis, Eina avait besoin qu'on s'occupe un peu d'elle. Elles passaient beaucoup de temps toutes les deux. Et la petite chienne était adorable avec l'irlandaise. Oh, bien sûr, parfois, elle avait envie de déniapper quelques trucs et de foutre le bordel avec son coussin, le trimbalant à droite, à gauche. Mais en règle générale, elle était plutôt sage. Et Eireen n'avait pas à se plaindre. Et surtout, quand Kaleb revenait, il savait que sa petite chienne allait bien et qu'on s'occupait bien d'elle. Enfin, passons. Après s'être occupée un moment, Eireen s'était installée à la table, dehors, avec quelques dossiers qu'elle pouvait avoir emmené. Ca lui arrivait, parfois, de ramener du boulot à la maison. Elle n'aimait pas faire ça. Mais ça l'avançait parfois. Et là, ça lui permettait d'avancer un peu. Tout en attendant que la belle au bois dormant se réveille. Façon de parler, of course. Mais elle savait qu'il avait besoin de repos. Et le réveiller ... Non, ça n'aurait pas été bien. Du tout. "Bon, alors, tu vois Eina ..." Ouais, ouais, ça lui arrivait de parler avec la husky. Et alors ? Sauf que lorsqu'elle tourna la tête, plus d'Eina. Sans doute qu'elle avait dû rentrer pour boire un coup. Ou se poser dans son panier. Eireen haussa des épaules tandis que Kaleb se rapprochait d'elle. "Euh ... Ouais ... Regarde, j'travaille." Un petit bisou. Oui, elle travaillait, pas au bureau. Le pilote lui posa une question, sur le fait qu'elle devrait être au boulot. Elle prit un air faussement malade et fit mine de téléphone. "J'ai pas dormi de la nuit... J'sais pas si c'est une indigestion ou autre chose ... Si ça va mieux, j'passerais dans l'aprem, sinon, demain." Elle eut un hochement de la tête. "Et c'est passé comme une lettre à la poste. Bon, d'accord, j'en suis pas bien fière. Mais bon ... j'avais pas envie de te laisser." Elle secoua la tête et prit son air de chat potté.

Et oui, elle bossait sur des dossiers, et ce même si elle n'en avait pas forcément envie. Mais elle ramenait du boulot à la maison. C'était pour les étudier. Vérifier qu'elle n'avait pas loupé quelque chose. Qu'ils avaient tout pour ... Et bien, qu'ils avaient tout pour gagner l'affaire. Parce que oui, elle voulait gagner. Même si, parfois, ça lui faisait mal au coeur. On ne défend pas toujours des innocents. Elle l'avait appris. Elle avait été commise d'office à quelques reprises maintenant. Et ça l'embêtait de défendre un client dont elle savait qu'il n'était pas honnête ou bien qu'il ou elle avait fait ce qu'on lui reprochait. Mais elle n'avait pas vraiment le choix à dire vrai. C'était comme ça qu'elle se ferait une renommée et qu'elle choisirait, par la suite, les affaires qu'elle défendrait. Ou pas. "Non, pas très intéressant. Je suis en train d'essayer de trouver la petite bête qui me permettra de gagner." Et parfois, c'était prise de tête. "Et quand j'en ai marre de faire ça au boulot et que je sais pas quoi faire les soirs, quand je rentre chez moi, et bien, j'ramène des devoirs à la maison. C'est moche, hein ?" Ouais, c'était très moche. Mais elle faisait des pauses parfois. Et quand elle avait besoin de faire une pause, elle passait du temps avec Eina. Oh, y'avait pas que Eina. Y'avait aussi des humains après tout. Enfin, passons. En tout cas, Eireen en vint à lui dire quel subterfuge elle avait utilisé pour rester à la villa avec lui. Il lui demanda si elle pensait consulter un médecin. "Oh ... je sais pas ... J'connais quelqu'un qui a des doigts magiques ... mais c'est pas vraiment un médecine ... J'pense qu'il pourrait m'aider." avait-elle ajouté dans un sourire. Kaleb jugea qu'elle était bonne actrice. Elle se contenta d'hausser les épaules. "Et bien, voilà quelque chose dont tu es au courant maintenant." C'était une bonne cause. Une très bonne cause. Il s'était rapproché d'elle pour un nouveau baiser. "J'espère bien que ça te fait plaisir." Elle s'était levée, après avoir fermé le dossier qu'elle était en train de regarder, et elle était carrément venue s'installer à califourchon sur Kaleb. Pour un baiser bien plus agréable. Pas furtif Plus langoureux. Plus passionné. "T'as pu dormir cette nuit ?" lui demanda-t-elle en collant son front contre le sien.

Un dossier pas drôle. Eireen pencha la tête sur le côté. "Tu sais ... On choisit malheureusement pas toujours ses affaires." Ouais. Et c'était pas marrant. "Du moins, pas tant que j'aurais pas fait mes preuves ... Donc, non, c'est pas un dossier que j'ai choisi." Ca l'embêtait ? Un peu. Mais elle ferait avec. "Mais d'ici quelques années, je suis sûre que ce genre de choses, ça ne m'arrivera plus. Il faut juste que je me montre patiente." Ce qui n'était pas gagné d'avance mais elle n'avait pas vraiment le choix à dire vrai. Quant à ramener du boulot à la maison, elle trouvait que c'était moche. Comme si c'était des devoirs. "Je crois que tu commences à me connaître. J'me dis qu'un jour, j'ramènerais plein de dossiers mais que ça sera pour la bonne cause cette fois-là." dit-elle en souriant. Ouais. Tout vient à point à qui sait attendre. Ca finirait par arriver, un jour ou l'autre. Enfin, elle l'espérait. Pour en revenir à la suite, elle lui avait fait sa petite comédie, lui expliquant comment elle avait réussi à négocier sa journée. Et pourquoi elle était là, avec Kaleb, et pas au bureau. Et Eireen avait fini par lui parler de ce médecin aux doigts magiques qui pourrait peut-être l'aider. "Il aurait pas vraiment de raisons de refuser de m'aider. Enfin, je ne pense pas." dit-elle en secouant la tête. Est-ce qu'elle avait ce petit air coquin ? Peut-être bien. En tout cas, elle avait laissé ses affaires de côté et elle préférait venir s'installer sur Kaleb. C'était plus intéressant. Elle l'avait embrassé. Et lui demanda s'il avait pu se reposer un peu. Il s'excusait par la même occasion. Elle eut un sourire. "J'ai bien compris que t'étais fatigué et que t'avais besoin de repos. A aucun moment, j'ai pensé que ce que je te disais était barbant pour toi." Elle avait préféré croire, justement, que c'était pas la fatigue. Et pas la deuxième option. "Je ne sais pas ... Est-ce que c'est pardonnable ?" Elle pencha la tête sur le côté. "Est-ce qu'il y a au moins quelque chose à pardonner ?" Et elle l'embrassa. "Moi j'crois ... que y'a rien à pardonner." Non. Du tout.

Elle haussa des épaules. "J'ai pas trop le choix en même temps ... j'veux dire ... C'est soit j'accepte que j'aurais pas toujours des cas que je ne peux pas choisir. Soit je change de boulot ... Et comme j'viens tout juste de commencer, ça serait dommage de changer aussi rapidement." Bon, si elle changeait, ça lui permettrait, peut-être, de passer un peu plus de temps avec Kaleb. Mais elle aurait l'impression de vivre à son crochet et ça, non, elle n'en avait pas envie non plus. "J'suis patiente pour certaines choses. D'autres moins." Comme le fait de rester une semaine voire deux semaines à l'hosto pour des examens débiles. Ouais ... Elle l'avait encore mauvaise à cause de cette hospitalisation inutile qui l'avait transformée en pelote de laine. Et qui l'avait fâché d'ailleurs avec Kaleb. Quoi que ... C'était pas à cause de l'hospitalisation. Plutôt ... Enfin, elle y pensait plus trop. C'était derrière elle. Pas oublié. Mais derrière elle. "Bah ouais ... Ca sera mieux d'ici quelques années. Ou pas." Elle haussa des épaules. L'avenir le lui dirait. Est-ce qu'elle était pressée de le découvrir ? Pas vraiment. En tout cas, pour en revenir à sa maladie imaginaire ... Oui, probablement que le pilote pouvait l'aider avec ça. Même si ... Elle n'avait clairement pas désigné Kaleb comme étant le remède miracle. Il l'avait compris tout seul. Il était loin d'être idiot. Parfois, elle avait l'impression qu'ils se comprenaient sans qu'ils aient réellement besoin de se parler. Sur la même longueur d'ondes. Pas toujours. Mais là, c'était plus ou moins le cas. "C'est mieux d'être à la villa quand toi tu y es." Parce que c'était moins drôle quand elle était toute seule ou bien avec Eina. "C'est bien aussi d'y être quand Lou me prend trop la tête." La peste ... Lou était un problème. Avec un grand P. Mais que pouvait faire Eireen ? Elle voulait pas y penser maintenant. Oh que non. Elle préférait rester avec Kaleb et penser à autre chose qu'à cette chipie. Pour le lapin de la veille, ou plutôt, le lapin de la nuit et cette conversation qu'ils n'avaient pu finir, Kaleb était prêt à se faire pardonner. Il avait une recette magique. "Ah oui ?" Elle se pinça les lèvres tandis que les mains du pilote valsaient sur le corps de la brune. Mais il n'y avait pas que ses mains. Il usait également de ses lèvres. "J'crois qu'en effet ... t'as des choses à te faire pardonner." Et elle avait eu un sourire très coquin tandis que ses lèvres cherchaient celles de Kaleb. Ils allaient devoir rentrer. Du moins, ça serait mieux. A moins que le pilote ait d'autres idées en tête.

Elle était contente. Elle était plutôt contente qu'il soit là. Certes, il avait laissé sa team dans le flou et il était parti sans un mot, sans rien dire. Mais Eireen était plutôt contente qu'il soit dans les parages et qu'il soit venu la voir. Elle ne lui dirait sans doute pas pour éviter de le faire culpabiliser ou bien des choses dans le genre. Mais il lui manquait. Souvent. Elle arrivait à supporter l'éloignement, mais c'était quand même dur. C'était, sans doute, le temps de s'habituer. Ou du moins, c'était ce que l'irlandaise pensait. Avec un peu de chance, elle finirait ... oui, elle finirait par s'y habituer. Elle l'espérait en tout cas. "Faut pas pour autant que ça nuise à ton travail avec ton équipe. Même si j'apprécie." Ouais. Mais elle voulait qu'il garde en tête qu'elle était ... secondaire, en quelque sorte. Ca, elle ne se faisait aucune illusion là-dessus. Pour le moment, et pour Kaleb, c'était la moto. Et pour Eireen, c'était son boulot en tant qu'avocate. Mais peut-être qu'un jour ou l'autre, si ça collait bien entre eux, leurs priorités seraient redéfinies. Qui sait ? Les mains de Kaleb s'attardaient sous son débardeur, cherchant à défaire son soutien-gorge. Il avait envie de passer à autre chose, pour sûr. "On a toujours ... quelque chose ... à se faire pardonner." avait-elle dit dans un hochement de la tête tandis qu'elle l'embrassait à nouveau. Il lui rappela, alors, ce qu'elle avait pu lui dire la veille. Su les rêves qu'elle avait pu faire. "Oui, c'est vrai." Elle avait rêvé de lui. Elle rêvait souvent de lui. Et de ce qu'ils pouvaient faire. Parfois habillés, des rêves tout à fait normaux. Et parfois, des rêves plus ... intimes. Pouvait-elle appeler cela des fantasmes ? Peut-être bien. "Possible ... mais y'en a certains qu'on pourra pas faire ... On n'a pas les déguisements pour." Est-ce qu'elle venait de trop en dire ? Peut-être. Ses baisers se faisaient plus poussés. Plus passionnés. Et Eireen s'attardait sur le haut de Kaleb. Oh, bien sûr, elle fut obligée de se séparer des lèvres du pilote pendant un petit moment afin de lui enlever son haut. Mais qu'importe. Parce qu'elle se rattrapa bien vite.

Elle pencha la tête sur le côté. Bien sûr, qu'il soit là, elle était ravie. Mais elle ne voulait pas que ça foute le bordel entre sa Team et lui. Et selon Kaleb, non, ça ne posait pas problème entre lui et son équipe. Du tout. Parce que tout le monde allait partir. Elle eut un sourire. "Bien alors. Me voilà rassurée." Parce qu'elle savait que piloter, c'était important pour Kaleb. Elle savait que c'était ce qu'il faisait le mieux. Outre passer du temps avec elle, bien sûr. Et il savait que piloter était une grande partie de sa vie et qu'il ne pouvait pas laisser ça derrière lui. Et elle ne voulait pas l'influencer. Ou bien qu'il se retrouve à faire des choses qu'il n'avait pas envie de faire. Comme délaisser son job pour elle. Elle s'était mise à sourire. Un peu à rire tandis que Kaleb lui faisait comprendre qu'elle était un eu une girouette et qu'elle changeait d'avis comme de chemise. "Oui, j'avoue. Tu veux me mettre la fessée, c'est ça ?" dit-elle en lui tirant la langue. Eireen n'irait pas jusqu'à dire qu'elle n'attendait que cela mais bon. Y'avait différentes sortes de punition. Pour sûr. Il eut un drôle de regard tandis qu'elle avait abordé le fait que ... et bien, oui, que certains de ses rêves érotiques se faisaient avec des déguisements. Mais elle n'en avait pas dit plus. "Et encore ... j'pense pas que t'aies entendu le pire." Elle secoua la tête. Y'aurait plein de choses à dire sur ses rêves érotiques. Mais là, pour le moment, ils n'avaient pas forcément le temps ... Ou l'envie de parler de ces rêves. Non, ils pouvaient très bien ... agir ... "J'suis tout à fait .... d'accord ... avec toi ..." Sa phrase avait été entrecoupée par différents baisers qu'elle pouvait donner. Eireen avait fini par se lever. Et attraper la main de Kaleb. Parce que non, ils n'allaient pas rester sur la terrasse. Rhoo, elle se fichait des voisins. Enfin, pas tant que ça. Mais elle préférait ... éviter qu'on les surprenne. Quoi qu'en Malaisie, ils avaient fait pire mais bon.

Peut-être qu'elle était comédienne au final. Rien à pardonner et dans la minute qui suivait, elle changeait d'avis et lui disait que y'avait peut-être quelque chose à pardonner. Ca amusait Kaleb. Et de toute manière, valait mieux en rire qu'en pleurer. N'est-ce pas ? "Ah ... parce que tu serais tenté ?" Elle pencha la tête sur le côté. "J'suis pas trop en fantasme sado-maso. Pas aujourd'hui en tout cas." Bon, elle se doutait que ça serait une fessée toute gentille. Mais autant l'éviter. Pour aujourd'hui du moins. Peut-être un autre jour, qui sait ? En tout cas, les baisers étaient passionnées. Remplis de fougue. Et Eireen avait une folle envie de passer à autre chose. Mais pour se faire, autant ... rentrer. Ca la gênait pas tant que ça de le faire dehors. Après tout, ils avaient fait pire en Malaisie, comme dit. Surtout lorsqu'ils étaient dans la réserve naturelle et qu'ils avaient décidé de se baigner. Kaleb avait cherché à lui faire peur avec les petites bêtes qui pouvaient la manger. Mais c'était lui qui l'avait dévorée. Enfin, façon de parler. Il l'avait dévorée plus d'une fois pendant qu'ils étaient en Malaisie. Accro au corps de l'autre ? Peut-être bien. Ou tout simplement, Eireen se sentait bien avec Kaleb. Depuis qu'elle n'était plus avec Camael, depuis qu'elle avait rompu ses fiançailles avec lui, elle avait connu quelques hommes. Rien de sérieux. Et elle s'était jamais sentie aussi bien depuis cette rupture douloureuse. Comme quoi. On s'remet de tout avec le partenaire idéal. Mais pour en revenir à ce qui nous intéresse, ils étaient donc rentrés. Le débardeur de la belle avait ... disparu. Son petit doigt lui faisait se dire que sa jupe n'allait pas tarder à prendre le même chemin. D'ailleurs, ce fut même Eireen qui initia l'action. Puisqu'elle avait porté ses mains à sa jupe et elle l'avait fait glisser le long de ses hanches. En deux mouvements, peut-être trois, plus de jupe. Et Eireen comptait bien en faire de même avec le bas de Kaleb. Parce qu'il ne lui restait plus grand chose sur le corps. A contrario du pilote. Mais entre deux ou trois baisers, les pendules seraient vite remises en ordre.

Chaud, chaud, chaud ! Ca devenait chaud entre les deux amants. Lentement, sûrement, ils rentraient à l'intérieur. Parce que le faire dehors, alors qu'il y avait les voisins et tout le reste, non. Et puis, sait-on jamais. Kaleb était rentré. Les journalistes devaient avoir eu vent qu'il était revenu dans les parages. Ou peut-être pas. Mais Eireen préférai ne pas pendre le risque. Elle n'avait pas envie de retrouver son joli petit minois dans les journaux dans une position ... enfin, voilà quoi. Peut-être qu'un jour elle se retrouverait dans les journaux en compagnie de Kaleb. Fallait qu'elle se fasse à l'idée après tout. Autant que ça reste le plus longtemps possible leur petit truc à eux. Leur relation à eux. Et à personne d'autre. Enfin, passons. La porte était fermée. Eina ne pourrait pas rentrer pour demander de l'attention. Ils seraient tranquilles. Dans les bras de l'un et de l'autre. A s'embrasser. Et à faire des petites choses bien plus intéressantes. Sa jupe ? Exit la jupe. Ne lui restait plus que sa culotte. Kaleb, lui, avait encore un peu de travail avec ses fringues. Fringues qui disparaîtraient assez rapidement. Elle lui avait pas raconté ses rêves érotiques. Mais Kaleb prenait la décision qu'il était temps d'inaugurer ... la cuisine. Elle s'était retrouvée le cul sur el marbre. C'était un peu froid. Est-ce que ça la dérangeait ? Pas vraiment à dire vrai. Ca passerait vite à son humble avis. Surtout qu'il faisait muy caliente entre tous les deux. Entre les échanges de baisers. Les coups de langue. Les mains d'Eireen qui exploraient le corps de Kaleb, corps qu'elle commençait à plutôt bien connaître. Est-ce qu'elle s'en laissait ? Jamais. Elle ne se lassait pas de ses baisers. Elle ne se lassait pas de ses mains qui s'attardaient au niveau de sa poitrine ou bien ailleurs. Elle ne se lassait de rien en lui. Elle eut un sourire à la question de Kaleb. "C'est ... sur la liste." Elle ne s'était pas mise à rire. Elle s'était contentée d'un sourire coquin. D'un sourire très coquin. Elle avait laissé Kaleb l'attirer à lui. Et elle en avait profité pour venir joindre ses lèvres aux siennes une nouvelle fois. Le pilote menait la danse. Et elle le laissait volontiers mener la danse.