Peut on dire que j’ai un style de femme en étant sérieux un instant ? Honnêtement je ne pense pas avoir de style, je le fais au feeling. La preuve j’ai eu des relations sexuelles avec pas mal de jeunes femmes et très peu se ressemblent, alors effectivement il est vrai que ce qui revient souvent ce sont les blondes : Ashley, Lauren, Max notamment et encore plein d’autres, mais j’ai aussi fait certaines choses avec des rousses ou des brunes, aussi bien des métisses. Sur ce point de je ne suis pas quelqu’un de compliqué et je ne juge pas sur des critères comme ça par rapport aux cheveux ou la taille de la jeune femme, non je m’occupe voir ses traits de visage pour ensuite pouvoir me faire un avis et lorsque celle-ci est mignonne, je n’hésite pas à le dire.
Aujourd’hui pour la peine, je vais essayer de ne pas me reporter sur une blonde afin que l’on ne pense pas que c’est mon style de femmes car je ne veux pas qu’Ashley ni même Lauren se fassent des films. Elles sont deux à vouloir me changer mais c’est impossible et elle insiste à tenter de me montrer que je suis plus que cet homme qui va un peu partout. Non je suis toujours et je resterai cet homme et je vais le prouver ce soir, et pour pas que l’on me dise que je me voile la face et que je me fais plaisir avec une fille qui ressemble à l’une de ces deux dernières, je vais changer mon fusil d’épaule et ne pas porter d’attention particulière aux blondes présentent ce soir dans le bar.
Quand j’arrive là bas bien entendu comme par hasard aujourd’hui que je me refuse d’avoir ne serait ce qu’un contact physique avec une blonde, et bien ce sont ces dernières qui viennent à moi pour me draguer et j’essaye de les éviter un maximum, mais alors que je fuyais le regard de ces dernières, je remarque au loin une métisse magnifique et je n’ai pas les mots vraiment. Pour la peine je me lève et me dirige vers cette dernière et je m’installe là bas. La blonde me regarde alors que je tourne la tête vers elle, puis je repose mon attention sur la métisse en lui faisant un sourire gêné
-Excuse moi, je viens ici parce que je t’ai vu toute seule et derrière il y a cette blonde qui comment dire … me lâche pas
Je rigole avant d’arquer un sourcil tout en la regardant. Bien entendu que si je l’aurais vu plus tôt, je serais venu tout aussi bien à sa table pour parler et la draguer car l’un n’empêche pas l’autre et peut être et même surement que je vais faire la même chose maintenant, mais avant ça je dois savoir certaines choses sur elle afin de ne pas me manger un râteau
C’est rare pour moi de me rendre dans mon bar favori seul, mais j’ai une certaine envie de décompresser aujourd’hui. Le salon fonctionne à merveille, ce qui nous oblige, mon équipe et moi à être d’autant plus canaliser sur le nombre de client qui grandit peu à peu chaque jour. J’ai aussi droit à un acheteur de propriété véreux qui me mets peu à peu la pression pour pouvoir racheter le salon et le transformer en je ne sais pas quel bureau encore, comme si les bureaux n’étaient pas assez florissant en ville. Bien sûr, je m’efforce de refuser à chaque fois, car je ne veux pas vendre ce que ma mère a mis des années à mettre en place. Elle est morte aujourd’hui et c’est ma manière de lui rendre hommage en refusant de vendre son établissement. C’est pourquoi après une énième pression de sa part et une journée riche en rebondissement, j’ai besoin de me détendre, de ne plus penser à ça et l’alcool est dans ses cas-là mon meilleur ami pour me faire oublier le stress d’une journée. C’est donc accoudé au bar du Canvas, offrant mon plus beau sourire au barman qui a l’habitude de me voir maintenant, depuis les années, je suis super une habituée de longue date. Faut dire que je suis une fille assez fêtarde et que pouvoir sortir dès que je peux, c’est mon crédo. « Un sex on the beach, s’il te plaît. » lui dis-je, en me penchant sur le bar, histoire de lui glisser ses paroles dans l’oreille, le bar étant assez bondé et la musique assourdissante. Il me pose mon cocktail en face de moi et me fait un clin d’œil pour me faire comprendre qu’il est offert. Je le gratifie d’un énorme sourire et commence à siroter mon verre, que je trouve encore meilleur maintenant que je sais qu’il est gratuit.
Je continue donc de boire lorsqu’un type se pose à côté de moi. Je le détaille rapidement, aimant bien ce que je vois, je lui offre donc un petit sourire charmeur comme je sais si bien le faire. Peut-être que l’alcool m’aide à oublier, mais il y a aussi une autre manière de me faire penser à autre chose : la compagnie d’un homme. Non pas pour tout une vie, mais pour une nuit ça me semble pas mal. Il m’explique qu’il m’a repéré, comme le font souvent les hommes, il repère leur proie, mais il ajoute qu’une blonde ne le lâche pas du regard. Je penche ma tête pour regarder derrière lui et je remarque comme il m’a dit une blonde qui semble avoir totalement accroché sur le physique avantageux du garçon qui porte donc le nom d’Alejandro. Je souris à pleine dent, avant de lui attraper la nuque et de lui offrir un baiser digne des grandes comédies romantiques, j’ouvre les yeux afin de regarder et je vois l’air déçue de la blonde qui finit par se retourner. Je décolle donc mes lèvres des siennes et continue de sourire. « Voilà, rien de plus facile. Je suis Berlioz » J’ai toujours été très direct et embrasser un garçon que je ne connais pas n’est pas une chose que je trouve très compliqué à faire, j’ai dû le faire plusieurs fois dans ma vie et puis faut dire que c’est jamais déplaisant d’embrasser un beau garçon. Je continue à siroter mon cocktail, avant de fixer de nouveau Alejandro. « Je t’offres à boire ? » J’aurais aimé être direct et lui dire de sauter les présentations pour finir par faire ce qu’il attend et ce qui ne me dérangerait pas non plus, sauf que pour une fois j’ai envie de prendre mon temps et d’y aller en douceur.
Je ne peux pas nier que j’aime jouer de mon physique afin de draguer les jeunes femmes que je trouve relativement mignonne, mais lorsque cela devient un peu trop persistant et plutôt lourd de l’autre parti, je me sens un peu moins à l’aise et je trouve ça tout de suite plus démotivateur. Non pas que je n’aime pas cela car par moment je préfère aller droit au but, mais ce soir j’ai vraiment tout mon temps et je ne suis pas en manque alors je vais bien réfléchir avant de choisir ma cible. Malheureusement cette blonde toute aussi mignonne qu’elle peut être, ne semble pas comprendre cela et continue à me faire du rentre dedans. Au début c’est plaisant mais après c’est blasant et moins intéressant alors je la fui pour m’installer à côté d’une métisse extrêmement sexy je dois avouer. Cette dernière me sourit en voyant que je m’assieds à ses côtés et je fais de même. Je lui explique un peu ma situation et donc qu’elle ne doit pas prendre ma venue comme une technique de drague car ça n’en est pas une bien qu’elle me plait totalement. Elle regarde alors vers la blonde et sourit avant de poser sa main dans mon cou et de m’embrasser fougueusement afin de faire fuir la jolie blonde. Je suis surpris car ce n’est pas ce que je lui demandais mais j’apprécie ce moment et j’approfondis afin que ce baiser paraisse réel. La blonde part vers d’autre personnes en voyant que pour moi elle pouvait y faire une croix et la jolie métisse se présente à son tour et elle se nomme Berlioz ce qui je trouve est un jolie prénom original, mais je ne vais pas lui faire le coup de la blague du musicien car elle doit suffisamment l’entendre et ça ne serait pas m’aider à la draguer non plus
-Bonne technique que tu peux recommencer quand tu veux ce soir. Enchanté
Je lui souris malicieusement avant de lui faire un clin d’œil puis alors qu’elle se met à boire un coup, elle repose son regard dans le mien puis me propose de me payer quelque chose à boire et je souris grandement avant de même rire légèrement
-C’est gentil, mais pour ton aide c’est à moi de payer
Je demande alors au barman de lui mettre la même chose et pour moi de me mettre ce qu’il veut car je lui fais confiance. Il me fait un pouce afin de me montrer que j’ai eu raison de le faire, puis je repose mon attention sur la belle métisse du nom de Belioz qui est toujours là devant moi. Je lui donne mon plus beau sourire charmeur dont j’ai le secret
-Par contre t’embrasse plutôt bien je dois dire
Je me mordille légèrement la lèvre inférieure avant de passer automatiquement ma main dans les cheveux afin de me recoiffer et puis c’était une sorte de petit tic que j’avais attrapé depuis que je fais un peu de mannequinat en dehors du sport
Alors que je pensais passer ma soirée seule, voilà qu’un beau jeune homme a décidé de me rejoindre et je me dis que m’amuser un peu ne peut pas me faire de mal, j’oublierais pendant un laps de temps mes soucis du quotidien. Je rends d’ailleurs service au brun qui semble ne pas savoir comment se débarrasser d’une blonde un peu trop collante, je colle donc mes lèvres contre les siennes, il en profite d’ailleurs pour approfondir le baiser, le rendant beaucoup plus réaliste, ce qui n’est pas pour mes déplaire. Il n’a pas un physique horrible, bien au contraire, je comprends bien ce que la blonde lui trouve, même si je n’ai jamais compris le comportement désespéré des filles qui courent après des mecs. Ça les fait plus fuir qu’autre chose, la preuve. Lorsque nos lèvres se décollent, il a l’air ravi de ce que je viens de lui offrir. Il me dit d’ailleurs que si je veux recommencer durant la soirée, je n’hésite pas. « Je garde ça dans un quoi de ma mémoire. Enchanté également. » Je lui propose alors un verre, car après tout, la soirée ne fait que commencer et je suis sûr qu’on va bien s’entendre lui et moi. A partir du moment où c’est un beau garçon, je suis sûr de passer une bonne soirée. Surtout qu’il n’a pas l’air aussi innocent que son visage enfantin le fait croire. Il refuse et me dit que c’est à lui de payer, je hausse donc les épaules et n’insiste pas. Si ça peut lui faire plaisir, alors autant le laisser faire. Je finis donc à peine mon cocktail, que j’enchaîne déjà le prochain que viens de me déposer le barman que je remercie silencieusement, avant de remettre la paille à ma bouche. Je vais peut-être le regretter demain matin au réveil, en reprenant le travail. Je ne comptais pas avaler autant d’alcool ce soir, mais bon, je préfère vivre l’instant sans me soucier de ma journée et mes problèmes de demain. Il me complimente alors sur ma manière d’embrasser et j’ai cet air de séductrice qui s’installe sur mon visage malgré moi. « Je sais, merci. » Ce n’est pas de la prétention, je suis simplement sûre de moi et je sais que je n’ai aucun problème à ce niveau-là, mes divers partenaires ont toujours aimé mes baisers. Je rajoute alors « Toi également, j’ai même faillit me laisser berner comme la petite blonde. » Je ris un court instant, le dévorant des yeux alors qu’il se mord de la lèvre et qu’il passe sa main dans les cheveux, ce qui a tendance à le rendre pas mal sexy. Il me demande alors ce que je fais ici. Je prends un air un peu plus sérieux. « Je décompresse d’une journée de boulot éreintante. Quoi de mieux qu’un bon verre d’alcool et une bonne compagnie ? » Je lui fais un clin d’œil après ce compliment caché, avant d’enchainer : « Et toi ? » Car après tout, il est également seul ce soir et doit avoir une bonne raison.
Je comptais passer une bonne soirée dans un bar en bonne compagnie, et c’est alors que cette blonde était intervenue et bien qu’au début tout me semblait parfait, elle était vraiment trop agressive et c’était plus flippant qu’autre chose, alors j’ai simplement fui ce soucis le plus tôt possible. Il me fallait donc trouver une autre compagnie et un alibi pour la fuir sans qu’elle ne revienne à la charge et c’est alors que je remarque cette belle métisse au loin et toute seule, donc je me dis que c’est ma chance de redémarrer une autre soirée et en même temps ma porte de sortie. Très rapidement cette dernière m’embrasse ce qui décourage la blonde et je l’en remercie tout en lui signalant que si elle veut recommencer je suis tout à fait ouvert et elle me répond que dans ce cas cela restera dans un coin de sa tête et je ne peux m’empêcher de sourire sans pour autant lui répondre. Maintenant que nous étions proche à cause ou grâce à ce baiser, autant profiter de ce moment ensemble et apprendre à se connaitre et voir si l’on est compatible. Autant dire que la compatibilité dans la vie de tous les jours ne m’intéresse pas, mais j’espère juste que ça va bien matcher entre nous sur le point un peu plus chaud, mais vu ce qu’il s’est passé je n’en doute pas. Elle me propose donc un verre mais je lui dis que c’est moi qui paye ma tournée en guise de remerciement puis je la complimente sur sa manière d’embrasser et la belle brune à la beau mat me répond qu’elle le sait et je vois immédiatement qu’elle est sûre d’elle et j’aime bien ça, puis elle finit par me rendre ce compliment et me dire qu’elle a bien finit par y croire et je rigole immédiatement
-Je sais et moi aussi, mais tu sais on peut se laisser aller au jeu. Après tout ce n’est que des baisers et aucune promesse n’est faite
Elle se met à rire tout en me regardant d’une telle manière que je pensais qu’elle voulait me déshabiller tout de suite maintenant alors à mon tour je fais monter la température en me mordant la lèvre et passant la main dans mes cheveux tout en la regardant de la même manière et en lui demande ce qui l’amène ici et elle m’avoue venir décompresser autour d’un verre et en bonne compagnie ce qui m’arrache un sourire avant qu’elle ne me demande ce qu’il en est pour moi. Je la regarde malicieusement et sans perdre le contact visuel avec cette dernière je défais mes deux boutons de chemise afin de lui laisser apercevoir une partie de mon torse
-Honnêtement ? Je suis venu chercher de la compagnie dans le bar car la vie n’est que plus excitante lorsqu’on partage sa soirée avec quelqu’un … et surtout la fin de soirée
Je lui fais un petit clin d’œil et honnêtement j’avais déjà envie de lui sauter dessus à cause de mes pulsions mais je me retiens, sauf que lorsqu’une musique du genre caliente commence, je vrille immédiatement et je me lève tout en allant sur la piste et je lui fais signe du doigt de venir pour se laisser aller au rythme endiablé de cette musique. Autant que je commence à découvrir ses formes tout de suite pour m’y habituer et ainsi prendre mes marques
Le jeune homme du nom de Alejandro avec qui je discute semble avoir les mêmes envies que moi. Pour faire clair, on n’est pas simplement là pour discuter et reprendre chacun nos chemins, loin de là, on ressent dans nos attitudes l’envie de se déshabiller et de se sauter dessus tout simplement. Mais on reste civiliser et notre conversation avance doucement, curieux de savoir chacun comment on est arrivé ici, seul. Il joue de ses charmes, regardez-le jouer avec ses lèvres et puis à passer ses mains dans ses cheveux. Je me doute qu’il a l’habitude de séduire les filles de cette façon et même si je trouve très flagrant, j’ai clairement envie de tomber dans le panneau. Je me laisserais volontairement me séduire, même si je suis sûr d’être simplement une de plus à son tableau de chasse. Ce qui ne me dérange pas tant que ça, car après tout se serait exactement la même chose pour lui, il ne sera qu’une personne de plus à ajouter sur mon propre tableau de chasse qui est déjà pas mal rempli. Il m’explique alors ce qu’il fait ici seul et sa réponse est très honnête, ce qui me surprend. Les gens ne sont pas si honnêtes d’habitude lorsqu’il s’agit de leur venu dans un bar, même si on sait tous ce qui les motive. « Au moins, tu es honnête. » lui dis-je, il sait ce qu’il attend de cette soirée et moi aussi maintenant. Et alors que je m’apprête à lui sortir autre chose, une musique comme j’aime est diffusé dans le bar. Certains sont déjà en train de danser et il faut dire que j’ai envie de les rejoindre. Je perds du regard pendant un instant Alejandro et je le retrouve très rapidement sur la piste. Il m’offre un sourire charmeur dont il a apparemment le secret et m’invite à le rejoindre sur la piste. Mon air surpris se transforme en un air de séductrice, car je sais que je ne vais pas le décevoir. Après tout, je suis danseuse et je sais très bien ce qui va pouvoir lui plaire. J’avance d’une démarche féline jusqu’à lui, approchant mon visage près de son oreille. « Tu ne vas pas être déçu. » Et alors que la musique continue, mes mouvements s’enchaînent d’eux même, je me tourne alors pour déposer mon fessier sur son bas ventre. Mes hanches ondulent contre lui, satisfaite de voir sa réaction, puis je me retourne m’accrochant à lui toujours en mouvement, avant que l’envie irrésistible et la chaleur montante de cette danse endiablée ne me donne envie une nouvelle fois de l’embrasser. Je dépose donc mes lèvres contre les siennes, alors que nos deux corps sont toujours en mouvement. Je retire mes lèvres, afin de reprendre ma respiration et je souris de plus belle. « Je crois, que toi comme moi avons envie de la même chose. C’est indéniable. » Et je repars dans un mouvement, cette fois pour me décoller histoire qu’on ne fasse pas un porno devant l’ensemble des personnes présentes dans le bar. Il faut savoir se contenir même quand l'envoie est véritablement présente, des deux côtés.
Je pense que la compatibilité entre nos deux êtres est maximale puisque nous avons aussi bien l’un que l’autre les mêmes envies pour ce soir et d’un côté c’est tant mieux car je sais à quoi m’attendre et je ne risque pas d’être déçu de cette dernière. J’ai toujours eu de bonne sensation en général lorsque je suis dans un lit en bonne compagnie, mais avec les métisses je ne saurais décrire ce qu’il se passe, mais il y a un petit truc en plus. Je ne sais pas si les gênes et le fait qu’elles aiment bouger joue pour beaucoup mais le fait est que je me suis toujours bien amusé et ce soir ne risque pas d’échapper à la règle car bien discrètement nous nous chauffons mais le résultat est le même que ce soit discret ou non. Par la suite, je me montre directement cash en lui expliquant la raison de ma venue ici, et bien qu’au début elle semble surprise, au final son sourire en dit long sur ce qu’elle en pense. J’ai donc à présent la confirmation de mes suppositions à propos de son égard. C’est la même que moi, elle est mon reflet au féminin. Je n’ai pas le temps d’en dire plus, que la musique change et passe d’un air doux à un autre plus remuant comme j’aime et quelque chose me dit que c’est le cas de Berlioz aussi, alors je vais sur la piste et je lui fais signe de venir me rejoindre. Elle est surprise d’abord de ne plus me voir et lorsqu’elle me remarque, elle se dirige vers moi telle une tigresse vers sa proie et je la laisse faire. Elle me murmure à l’oreille que je ne regretterai pas cette danser, et je n’en doute pas.
-Toi non plus crois moi
Les métisses ont la musique et le rythme dans la peau, mais les espagnols aussi et je vais lui montrer cela si elle en doute. Elle se tourne alors pour se mettre dos à moi et commence à coller nos deux corps et notamment ses fesses sur la partie basse de mon ventre afin de faire monter la température et je dois avouer que ça monte d’un cran. Je pose mes mains sur ses hanches, et je me calque sur son rythme. La jolie brune se retourne instantanément et se saisit de mes lèvres pour cette fois un vrai baiser que l’on désirait réellement tous les deux. Nous poursuivons malgré ce baiser notre danse et quand elle retire ses lèvres pour reprendre notre respiration, elle me confirme que l’on se désire l’un et l’autre et qu’il n’y a rien à faire et je ne peux pas nier cela
-On assouvira nos désirs ensemble il n’y a pas de doute là-dessus, mais pour le moment mettons le feu sur la danse. Nos corps ne demandent que ça d’être en contact
Je lui souris avant de reprendre notre danse mais cette fois elle est face à moi. Je vois que tout le monde nous regarde et je m’approche encore plus de cette dernière jusqu’à ce que la distance entre nos deux corps soit réduite à néant. Je place ma jambe gauche entre ses jambes et sa jambe gauche entre les miennes, puis nous commençons à nous déhancher de nouveau. Je garde mes mains ses hanches et par moment je me laisse aller en les posant sur ses fesses bien rebondi. Je n’oublie pas plus de l’embrasser tout en continuant de danser de la manière la plus hot possible sans aller trop loin non plus et à la fin de cette dernière, je trépigne d’envie pour la jolie métisse que j’emmène dehors. Je la plaque contre le mur et je commence à mordre sauvagement sa lèvre tout en levant l’une de ses jambes que je colle contre mon bassin
La danse se poursuit de manière très sensuel, je sens ses mains glissés le long de mon corps et parfois s’arrêter sur mes fesses qui continuent d’onduler au rythme de la musique. Je continue simplement à faire monter le désir entre nous et faut dire que je me piège à mon propre jeu, ne pouvant me passer à cette seconde de ses baisers, là, au milieu de la piste de danse. Je n’ai jamais été aussi rapide avec un homme, mais nos intentions à tous les deux sont très claires, on attend de passer une merveilleuse nuit dans les bras l’un de l’autre, sans sentiment et où nos deux chemins se sépareront du lendemain sans remord ni attente aucune. Il n’y a plus le moindre espace entre nos deux corps, on se déhanche avec toute la sensualité possible, je sais que les gens autour nous fixent, mais finalement, j’adore ça. Si ça peut en emmerder quelques-uns, comme la petite blonde un peu trop collante du début. Il danse bien, ce que j’apprécie, car j’aurais pu tomber sur un garçon arrogant qui n’aurait pas su placer deux pas correctement sans m’écraser les pieds. C’est pourquoi on fait continuer ce délicieux moment jusqu’à la fin de la musique. On échange encore quelques baisers qui dévoilent notre désir de plus en plus prononcé. La musique se termine et je le sens complètement bouillant. Il tire sur mon bras afin que je lui suive à l’extérieur, dans un éclat de rire je m’exécute. On se retrouve à l’extérieur et afin de ne pas faire dans le voyeurisme, on va sur le côté du bar où le nombre de passage est très limité. Il me plaque contre le mur, d’une manière brutale qui me fait déjà grogner de plaisir. Il a l’air de vite savoir comment me plaire, celui-là. Il me mord la lèvre tout en caressant ma jambe qu’il soulève près de son bassin. Cette position n’est pas des plus agréable, mais j’oublie bien tout ça, me perdant dans les baisers fougueux qu’on s’échange, ma main glisse dans ses cheveux que je tire avec une certaine douceur, tandis que mon autre main se glisse sous son t-shirt pour sortir un torse bien musclé et chaud. Si l’on n’avait pas été dans la rue, je lui aurais très certainement retiré le haut comme le bas sans plus attendre, mais je ne peux simplement pas finir complètement nue dans une ruelle. Un peu de décence tout de même. Je le repousse alors, gardant toujours cet air de prédatrice et je secoue alors mon doigt de gauche à droite. « Il va falloir patienter Don Juan, on va bientôt pouvoir faire l’amour comme des bêtes, mais un peu de pudeur. » Je le saisi alors par le bras comme il l’a fait quelques minutes auparavant et j’avance jusqu’au parking où se trouve la plupart des taxis en attente de clients qui auraient un peu trop bu et qui ne peuvent simplement plus conduire. J’ouvre la porte arrière du taxi, où Alejandro me suit et je regarde un instant le chauffeur. « Conduisez-nous à l’hôtel le plus proche. » Je me fiche bien de savoir comment me fixe ce chauffeur qui doit bien se demander comment notre génération a autant pu être aussi dégénéré, que déjà à l’arrière de la banquette, je replonge mes lèvres sur celle de Alejandro, tandis que ma main indiscrète remonte le long de sa cuisse, avant de se poser sur son entrejambe que je me mets à caresser à travers son jeans que je trouve gênant, mais je ne pourrais malheureusement pas lui retirer tout de suite ou on risque simplement de se faire chasser par le chauffeur du taxi.
Notre petite virée nocturne en dehors du bar est des plus chaudes et honnêtement si j’aurais été dans un endroit un peu plus intime, je n’aurais pas attendu pour lui sauter dessus et la déshabiller de tout son long et je pense que c’est pareil pour elle ou du moins c’est ce que j’arrive à lire dans ses yeux de braise. Je ne résiste pas et je mets de nouveau nos lèvres en contact après l’avoir plaqué contre le mur et mon petit doigt me dit qu’elle aime ça lorsque c’est sauvage et pas doux et attentionné, donc c’est tout ce que j’aime et je compte bien le lui donner tout comme elle me rendra ça bien à n’en pas douter. Après notre baiser des plus passionné et sauvage en même temps, cette dernière me repousse en me montrant son doigt qu’elle remue de gauche à droite en m’expliquant que l’on va attendre encore un peu parce que nous ne sommes pas dans un endroit adéquat pour cela. Je souris et je mordille avec mes dents le bout de son doigt
-Dans ce cas faisons vite !
Effectivement il faut faire vite là parce que nous avons suffisamment attendu et je n’en peux plus, je ne désire qu’une seule chose c’est d’être nu avec cette dernière dans un lit ou n’importe ou ailleurs afin de faire des folies. Elle me saisit alors par le bras pour m’emmener dans un taxi et je la suis volontiers avec un grand sourire sur les lèvres. Je la regarde se déhancher avec beaucoup d’envie et je me perds même dans ses balancés de hanches ainsi que dans ses fesses sans mentir. Elle ouvre alors la porte arrière du premier taxi venu et je la suis immédiatement à l’intérieur. Elle demande au chauffeur de nous déposer à l’hôtel le plus proche. Ce dernier la regarde assez surpris de sa demande et mets un peu de temps avant de démarrer. Nous ne prenons pas la peine de nous attacher et cette dernière me caresse l’entre jambe à travers mon jean et je ne peux que frissonner tout en ayant des bouffées de chaleur
-Et très rapidement !
Elle m’excitait de plus en plus et là je serais prêt à la déshabiller dans ce taxi en me fichant de la présence du chauffeur, mais un peu de tenue et de respect tout de même car ça reste une femme. Je la couche alors sur la banquette arrière et je me mets au dessus d’elle tout me collant le plus possible à cette dernière. Je passe ma main sous sa jupe et je caresse sa petite culotte qui est d’ores et déjà humide et je n’en suis que plus fou de savoir cela. Je commence à me saisir de sa jambe et je lui donne quelques baisers, et alors que j’arrive à la jointure entre sa cuisse et son entre jambe, la voiture s’arrête et nous sommes arrivés à destination. Je paye le taxi en lui laissant un pourboire pour ne pas nous avoir dérangés tout en lui signalant de garder la monnaie et je sors. Une fois arrivé dans l’hôtel je commande une chambre le plus vite possible sans m’occuper réellement du prix de cette dernière du moment que le confort y est, et lorsqu’elle me donne les clés que je saisis, je les tends à Berlioz avant de la porter. Je garde mes mains posées sur ses fesses et j’en profite pour lui donner des baisers à la naissance de sa poitrine. Une fois que l’on arrive devant la porte de la chambre je la garde dans mes bras, mais je me baisse afin qu’elle puisse mettre la clé dans la serrure et la tourner
-Dépêche toi, ouvres cette porte et après je suis tout à toi ma belle métisse
Tout s’enchaîne très vite dès la sortie du bar. Notre excitation est à son comble, la danse nous a tous les deux mis en appétit, c’est pourquoi à l’extérieur, une bestialité sans nom se propage dans notre corps et nous sommes à deux doigts de céder chacun à nos pulsions aux yeux de passants. Heureusement, on se contrôle un minimum et je prends les rênes, en me dirigeant jusqu’au taxi où la température ne fait qu’augmenter encore et encore. Je me demande si le chauffeur a déjà eu droit à des gens aussi sans gêne que nous, mais pour le coup je m’en moque bien. Alors que je joue avec l’entrejambe gonflé d’Alejandro, qui ne demande qu’à se défaire de ce pantalon. Je remarque immédiatement l’effet que ça lui procure, car il demande au chauffeur d’accélérer ce qui me fait rire un court instant, sauf que je suis surprise par le retournement de situation alors qu’il se retrouve au-dessus de moi, glissant ses doigts sous ma jupe. Je me mords la lèvre inférieure afin de retenir les quelques soupirs de plaisir provoqué par ce contact. Il enchaîne avec quelques baisers sur ma cuisse qui me font tourner la tête et je supplie intérieurement pour qu’on arrive très rapidement à ce fichu hôtel. Mon souhait est exaucé lorsque le taxi freine pour ne plus redémarrer. Alejandro paye bien avant que j’ai le temps de fouiller dans mon sac à la recherche de ma monnaie, il m’extirpe d’ailleurs très rapidement de l’habitacle du véhicule, ce côté agité et impatient chez lui n’est pas pour me déplaire. On pénètre dans l’hôtel où encore une fois il me devance pour ce qui est du règlement. Je fronce légèrement les sourcils, n’aimant pas être dépendante d’un homme même si c’est simplement pour une nuit, il faudra que je pense à revenir sur sa plus tard, mais lorsqu’il me prend dans ses bras, je suis quelques peu surprise et je me mets à rire. Mes deux jambes s’enroulent autour de sa taille alors qu’il dépose des baisers sur ma poitrine. Ma tête bascule un peu en arrière, sous l’emprise d’un plaisir charnel. Il me donne les clefs de la chambre et j’essaye de l’ouvrir lorsqu’on se retrouve en face de la porte, avec beaucoup de difficulté, dû à ma position pas très pratique et l’alcool qui trouble un peu ma vue. Pourtant une fois fait, Alejandro pénètre rapidement à l’intérieur, je le vois refermer la porte à l’aide de son pieds et avant même qu’on ait le temps d’admirer la chambre, il me jette sur le lit où l’on va enfin pouvoir assouvir nos désirs. Je n’attends pas son consentement, je suis déjà en train de retirer mon t-shirt pour me retrouver en soutien-gorge, mais je m’arrête pour lui laisser le plaisir d’enlever le reste. Lorsqu’il me rejoint dans le lit, je retire également très rapidement son t-shirt où j’admire le temps de quelques secondes son torse qui doit sûrement en faire baver plus d’une. Et j’ai la chance de pouvoir en profiter moi-même. « Dépêche toi de tirer tout ce tas de vêtement qui nous gêne ! » ma voix trahie ce désir ardant qui brûle tout mon corps.
Par moment nous rencontrons des personnes avec qui l’ont couche juste comme ça pour se vider très clairement, et d’autre fois il y a réellement une attirance et en un rien de temps l’envie ainsi que la température monte. Avec Berlioz c’est la seconde option et c’est tant mieux car cela donne de l’intérêt à la nuit et elle ne peut en être que plus mouvementée comme ça. Dans la voiture nous sommes déjà à deux doigts de passer aux préliminaires mais nous arrivons juste à temps et une chose est sûr c’est que dans quelques secondes nous allons pouvoir profiter l’un de l’autre dans une partie de jambes en l’air qui s’annonce torride. Une fois que nous avons les clés de la chambre en notre possession nous nous empressons de partir vers celle-ci et je suis tellement pressé que je la porte. J’en profite donc pour lui donner quelques baisers bien placé au niveau de sa poitrine alors que cette dernière enroule ses jambes autour de mes hanches. Quand nous arrivons devant la porte, je ne sais pas si elle fait exprès ou si elle n’y arrive pas, mais le fait est qu’elle met un certain temps avant d’ouvrir cette foutue porte. Lorsqu’elle s’ouvre, je m’empresse de rentrer dedans et je claque cette dernière avec mon pied et je jette sauvagement tout en gérant malgré tout, Berlioz sur le lit. Je serre les dents en me mordant l’intérieur des joues et elle enlève immédiatement son haut afin de me montrer ses petites tenues. Je remarque qu’elle a une poitrine plus que généreuse. Je la rejoins sans plus tarder et je la laisse m’enlever mon T-Shirt à moi puisqu’elle est dans sa lancée et ce qu’elle me demande immédiatement, me fait sourire et je ne me fais pas prier.