Je caressais son torse sans savoir quoi faire et où aller... C'était la première fois que je touchais un torse d'homme de cette manière et c'était... agréable. J'aimais le toucher il était si brûlant, si musclé, si... réconfortant. Pourtant j'osais à peine le toucher du bout de mes doigts, sentant mes joues rougir à ce simple touché. Je continuais mes simples caresses jusqu'à qu'il m'attrape délicatement la main. Sur le coup je sursautai... Qu'avais-je fait de mal? Il n'aimait pas? Paniquée, mes yeux étaient remontés vers lui pour comprendre ce qu'il voulait mais son regard en était des plus déstabilisants. Alors, je lâchais sa peau, laissant ma main emprisonnée dans la sienne, je ne bougeais même plus jusqu'à qu'il bouge de lui-même ma main, pour la baisser encore plus... Je tremblais malgré moi, j'étais nerveuse, pourtant j'en avais envie... Mais ça allait être ma première fois et j'étais tétanisée à l'idée de décevoir Colin ou bien alors d'avoir mal... Je devais agir en adulte responsable, en "vraie femme" et arrêter de penser en... brebis qui ne demandait qu'à être sauvée.
Sa main me guida jusqu'à la boucle de sa ceinture, il me faisait comprendre de l'aider à la défaire... Je m'exécutai en baissant mes yeux vers sa ceinture. Je déglutissais aussi en ne sachant pas trop ce qu'il aimerait que je fasse, que je lui fasse mais je voulais lui faire plaisir. Je me mordais ma lèvre inférieure, défaisant sa boucle de ceinture à l'aide de mes doigts pour finir par défaire les boutons de son jeans et à peine ce geste fait, je vis encore plus son boxer bombé par l'érection qu'il avait. Je déglutissais encore et ma main restait là, près de son sexe. Je ne savais pas où la poser, avait-il envie que je le caresse... là? Je me trouvais ridicule avec toutes ces questions, mais lui savait où il voulait aller.
Son visage s'était rapproché du mien, ses lèvres étaient si proches... Je sentais son souffle chaud faire des ricochets sur mon visage et j'en frissonnais, laissant mes tétons devenir plus visibles sous ma nuisette. J'aurais pu avancer encore plus et l'embrasser mais j'avais bien trop peur d'être maladroite ou pas assez... douée. Quand sa main remonta le long de ma cuisse, je tremblais encore, sentant mon souffle s'accélérer et mon coeur exploser à l'intérieur. Il devait voir ma poitrine se soulever encore et encore mais je ne voulais pas qu'il arrête... Bien au contraire. Alors quand il vint poser sa main sur mon bas ventre pour insérer sa main dans ma culotte un bref petit gémissement de stupeur m'échappa et je regardais sa main sous ma faible couche de tissu me caressait.
J'en frissonnais davantage, remontant doucement et instinctivement mes jambes tandis que je les écartais rien qu'un peu. C'était si étrange mais si apaisant. Je sentais comme quelque chose me démangeait à l'intérieur de moi, c'était brûlant et puissant mais une sensation totalement inconnue à ce jour. Donc quand il finit par me redemander si j'étais sûre de moi, je n'étais même pas apte à répondre de suite tant j'étais concentrée sur ses doigts sur mon clitoris et mes grandes lèvres qu'il titillait doucement. Tout mon sang me remonter à la tête et j'avais tellement chaud.
Je fis un "oui" d'un signe de tête, mes yeux remontant vers les siens. On était face à face, ses lèvres à quelques centimètres de moi.
- Oui... Je veux que tu me fasses l'amour...
Il avait peur de ne pas comprendre sans doute, alors en plus de mes mots, la main qui était encore près de son sexe, vint se poser dessus. Tout délicatement... Je le caressais de toute sa longueur et je le sentais si serrée sous son boxer mais s'il voulait une approbation, je devais lui montrer que je ne disais pas cela "juste comme cela". Ma main gauche le touchait doucement, je le palpais et je le découvrais malgré le boxer qui devait l'empêcher de bien respirer et de mon autre main de libre, je vins la poser dans son cou, venant embrasser la commissure de ses lèvres. J'étais bien trop timide pour oser l'embrasser aussi directement même si je n'attendais que ça... Je lâchais juste quelque soupir de bien être sous la malice de ses doigts sur mon entre-jambe, écartant un petit peu plus mes cuisses pour lui laisser plus d'accès, sentant mon vagin s'humidifier peu à peu même si c'était déjà le cas.
La maladresse était de rigueur ce soir. Déjà que je n'étais pas forcément très doué avec les femmes, alors avec un peu d'alcool dans le sang, j'avais encore plus de mal. Mais pour une fois, j'avais plus l'impression d'être celui qui savait plus où il allait. En même temps, ça paraissait logique, Essence est une jeune femme réservée qui n'avait jamais eu de relation avec un homme, et si on n'en avait jamais parlé ouvertement, il y a de fortes chances pour qu'elle soit vierge. Alors pourquoi je continuais ? Pourquoi ça n’existait autant ? Sûrement parce que lorsque j'avais son âge, j'étais encore pire, inexpérimenté et incapable de savoir m'y prendre. Aujourd'hui, je savais très bien où aller, et avoir les rôles inversés, ouais, je trouvais ça encore plus attrayant. Elle est totalement attirante par elle-même et j'étais totalement sous son charme, mon corps ne pouvait pas dire le contraire. Une fois libéré, j'avais eu besoin d'être sûr et de commencer ces hostilités dont j'avais vraiment envie depuis à peine quelques instants. C'était une gamine, j'étais en couple, et pourtant j'avais envie de la pénétrer comme jamais. Ce sont mes doigts qui sont partis à l'aventure dans un premier temps, histoire d'être sûr qu'on voulait la même chose. L'incertitude s'atténua considérablement quand je sentais ses jambes s'écarter sous mes caresses. Et quand elle me susurra qu'elle voulait vraiment de moi, c'était le soulagement. Même si bien sûr, j'aurais respecté son choix. Passer la nuit à la caresser, en ayant une trique d'enfer, j'aurais pu. Un peu de souffrance ça peut faire du bien parfois. Mais là, je n'allais clairement pas me faire prier. Sa main devint alors assez entreprenante pour certainement bien me prouver que ses paroles étaient sérieuses, et ses caresses me firent un bien fou et m'excitèrent encore plus. Ses lèvres étaient même venues se coller au coin des miennes, sans vraiment oser faire quoi que ce soit. Je gardais ma main dans sa culotte, continuant de la faire mouiller au maximum avant de songer à quoi que ce soit d'autre, pour finalement oser venir l'embrasser, de façon bien plus franche, de façon bien plus langoureuse. Mon souffle s'accéléra de façon bien plus vive et là je sentais que mon corps serait incapable de se contrôler davantage. Même si j'avais clairement intérêt à calmer mes ardeurs, devinant l'inexpérience de la jolie brune. Ma main entreprenante remonta alors sous sa nuisette et la deuxième main vint l'aider pour caresser son ventre et venir enfin à la rencontre de sa poitrine qui était bel et bien généreuse. Mais je remontais encore plus pour lui enlever cette partie de tissu qui me gênait grandement. J'en profitais pour retirer également mon jean qui était vraiment devenu superflu. En revenant, je me plaçais directement sur elle, l'admirant un certain temps avant de finalement lui sourire et de revenir l'embrasser à pleine bouche. Je me collais de tout mon corps contre elle, entre ses jambes, lui caressant chaque parcelle de son corps, bien trop envieux de lui faire l'amour.
Je caressais son sexe du bout de mes doigts si fins, j'aimais le caresser aussi étrange soit-il pour... moi-même. Je n'avais jamais touché un homme ainsi et cette curiosité me faisait du bien. Je le touchais délicatement avant de le palper pour le serrer entre mes doigts, Colin était bien... fait. Trop sans doute. J'avais peur de ne pas être prête pour... Et si j'avais mal? Non, je ne devais pas penser à ça... Je devais oublier cette "petite fille" pour enfin grandir, j'en avais marre de cette carapace, de cette image si pure... de cette image d'enfant... J'en avais marre et enfin aux yeux de quelqu'un je me voyais comme une jeune femme de mon âge, âgée de 23 ans, non comme une petite à protéger... Timidement j'embrassais le coin de ses lèvres puis sa mâchoire et je me décontractais sous ses caresses... Il y allait doucement mais ça faisait du bien. Mon vagin me tourmentait vraiment et je me sentais comme humide... Pas... beaucoup mais... je l'étais. Ou alors peut-être était-ce juste la "dose" normale? Je n'en savais rien... On ne m'avait jamais poussé ... à bout sexuellement parlant, je ne connaissais rien à la réaction de mon corps ou de mes limites mais je voulais les découvrir avec Colin. Il était expérimenté et savait où il allait et je voulais le suivre. Je le caressais encore en accélérant inconsciemment mes gestes sur son sexe tandis que je sentais ses doigts sur mon vagin légèrement... trempe. J'écartais encore plus mes cuisses et là il vint m'embrasser. Franchement, directement. Je fermais les yeux et je laisses ses lèvres humides se presser contre les miennes, son souffle chaud ricocher sur ma peau. Je ne savais même pas si j'embrassais bien ou non... Je me contentais de me laisser guider par les gestes de Colin. Il embrassait bien, un mélange de tendresse et de désir.... Je gémissais doucement contre lui lorsque sa main quitta mon entre-jambe à peine humidifiée. Je ressentais déjà comme un manque mais quand ses mains remontèrent, des frissons parcoururent mon corps et je sentais mes tétons bien pointus. C'était si dérangeant mais.. pas d'une mauvaise façon. Je le laissais remonter ma nuisette, sentant mon souffle se faire saccader. J'arrêtais de l'embrasser quelques secondes lorsque ses mains arrivèrent à ma poitrine qu'il caressait doucement. Je me sentais encore plus vibrer et frissonner juste avec ce simple toucher. Je souriais en coin en regardant Colin dans les yeux malgré la faible luminosité de la pièce pour finir par lever les bras pour l'aider à enlever ma nuisette qui finissait je ne sais où dans ma chambre. J'étais désormais presque nue face à lui mais je ne me sentais pas si gênée que ça... j'avais envie qu'il me touche encore plus. Je le regardais enlever son jeans qu'il m'avait fait déboutonner, admirant encore plus son sexe tendu sous son boxer. A peine avait-il fini d'enlever son jeans qu'il vint se placer sur moi. Mes mains vinrent sur son torse puissant que je caressais de mes mains pour finir aux creux de son cou que je caressais, laissant mes jambes entourer maladroitement son bassin. Je le regardais me regarder... Pas moi dans mes yeux non mais... mon corps. Je le laissais faire et quand je le vis sourire je souriais encore plus. Aimait-il ce qu'il voyait ? Il avait l'air... Et là il m'embrassa encore. Je le laissais me guider dans ses gestes, l'embrassant à pleine bouche. Je sentais sa langue venir titiller la mienne avec tant de sûreté et d'envie. J'avais peur d'embrasser horriblement mais ça n'avait pas l'air de... le dégoûter. Du moins j'espérais. Je mis une de mes mains dans ses cheveux et l'autre main caressait son bras musclé puis le haut de son dos. Moi aussi je voulais le caresser et le découvrir... Je n'avais jamais touché un homme ainsi, jamais... Alors oui... Je voulais en savoir plus, comprendre... Mes tétons frottaient son torse et c'était encore plus dérangeant mais si... excitant. Je gémissais encore un peu contre ses lèvres, sentant son sexe raide contre ma culotte. Etait-ce normal de pointer autant? Je n'avais jamais pointé ainsi même l'hiver quand je mourais de froid... Je me posais trop de questions, beaucoup trop... Alors maladroitement, une de mes mains vint sur un de mes seins. Même pas pour me caresser juste car cette sensation de "peau contre peau" me faisait trop frissonner et je ne comprenais pas cette.... sensation.
Cette façon d'être avec Essence était loin d'être prévue. Et pourtant, depuis que j'avais atterri dans ce lit, j'étais quasiment sûr que j'allais avoir envie d'elle. C'était peut-être de l'instinct que j'avais eu quand j'avais refusé de venir dans son lit plus tôt tout à l'heure. Mais à présent c'était trop tard, j'étais bien trop sous l'emprise de l'alcool et du désir pour réfléchir au fait que ce n'était pas du tout bien de ma part de me donner autant envie et surtout de partager cette envie, de la toucher ainsi alors qu'elle n'avait certainement jamais été touchée de sa vie vu comment elle réagissait. Oui, elle voulait que je lui fasse l'amour, mais n'était-ce pas simplement parce que je lui avais donné envie ? Ne voulait-elle pas attendre de trouver un vrai petit copain presque aussi peu inexpérimenté ? Je pense que non au fond, ça doit être comme nous les hommes, pour les premières fois, on aurait tous préféré une femme plus expérimenté. A la place, on le fait avec notre première petite copine, comme le premier baisé. Là, j'avais l'opportunité de donner de l'expérience à une jeune demoiselle qui ne semblait vraiment pas en avoir du tout, et qui pourtant avait tout pour elle. Son corps semblait vraiment parfait, sans aucun défaut. Je ne pouvais pas en être certain vu le manque de lumière mais j'aurais pu mettre ma main à couper. Et il est évident qu'une fois presque entièrement dénudée, elle me donnait encore plus envie. Et pourtant non, ce n'était pas prévu. Je l'embrassais de nouveau, je bandais comme jamais, sentant sa poitrine se durcir de plus en plus et pourtant je devais arrêter. J'étais clairement pas prudent. D'abord j'avais bien trop peur de lui faire mal et surtout j'avais absolument rien pour me protéger. La dernière fois que je ne l'ai pas fait, j'ai eu des jumeaux. Je ne parle même pas des maladies. Je n'ai jamais été un queutard et je sais qu'avec Essence je n'aurais pas de problème, mais je ne pouvais tout de même pas prendre ce risque. Alors plutôt que de la désillusionner, je préférais opter pour une autre solution. Mes baisers descendirent tout doucement le long de son cou, m'attardant clairement sur sa poitrine où elle avait d'ailleurs posé une de ses mains, pour venir sucer l'un de ses tétons tout en les prenant bien en main, avant de finalement descendre le long de son ventre si joliment plat et d'arriver de nouveau vers sa petite culotte. Je n'attendais aucun feu vert et je la lui retirais à l'instant même. Elle risquait de pas comprendre ce que j'allais faire, mais une chose est sûre, c'est que ça allait être bien moins douloureux pour elle et je me sentirais moins coupable.
Ses baisers étaient si agréables, si délicieux, sucrés, chauds... Je pourrais passer la nuit à juste l'embrasser c'était exquis. Pourtant je n'y connaissais pas grand chose aussi mais il me donnait confiance alors je le laissais me guider et ça venait presque automatiquement. Je caressais son bras musclé de ma main de libre tandis que l'autre compressait un de mes seins... Je ne comprenais toujours pas pourquoi. Je ne me touchais pas... C'était juste la sensation de mon téton durci contre sa peau qui me... perturbait. Etait-ce cela l'excitation ? Sentant son souffle chaud sur ma peau, je frissonnais. J'étais si bien contre son corps chaud, lui me dominant de toute sa hauteur... Mes cuisses nues caressaient sa peau, je ne savais même pas où me placer avec les draps qui me gênaient. Sauf que plus ça allait et plus je sentais mon bas ventre se tordre et ma respiration s'accélérer. Je ne paniquais pas mais je ne savais pas comment... contrôler mon corps et ses pulsions instinctives. Une main dans ses cheveux sentant ses lèvres dévier. Il vint embrasser ma machoire, puis mon cou. Je fermais les yeux, laissant ma main de libre sur ses épaules que je touchais du bout de mes doigts et quand je le sentis descendre un gémissement de "surprise" m'échappa. Je ne savais pas pourquoi c'était sorti mais je me mordais ma lèvre inférieure pour me taire. Il n'avait encore rien fait... Je le regardais descendre et quand il prit entre ses lèvres mon téton libre, je lâchais mon autre téton caché par ma main. Ca me picotait et je le sentais se durcir sous les lèvres de Colin tandis qu'il malaxait ma poitrine de ses grandes mains agiles. C'était si... plaisant. Je m'en voulais de ne pas le toucher, je me sentais bête de ne rien faire, je ne savais pas quoi faire de mes mains... Je me contentais de faire ce que je faisais depuis tout à l'heure, le caresser... Je posais mes mains sur ses cheveux, le caressant doucement tandis qu'il découvrait ma poitrine, titillant mes tétons, je les sentais de plus en plus durs et pointés. Un souffle chaud s'échappa de mes lèvres puis je fermais les yeux de bien être tandis que mes cuisses se resserraient autour de lui et je sentais comme ma culotte... humide. J'en avais honte. Ca m'avait fait rouvrir les yeux alors qu'il lâchait mes seins pour embrasser mon ventre et je le vis descendre... encore et encore. Je le fixais, sans broncher je le laissais faire, laissant mes seins à sa portée sans chercher à les cacher. Il se redressa légèrement, prenant ma culotte entre ses doigts pour me l'enlever. Je paniquais... Je voulais qu'il continue mais il allait me voir... Entièrement. Je ne savais même pas à "quoi" je ressemblais en bas... Rien. Il allait mieux me connaître que moi je me connaissais. J'essayais de rester calme, levant juste mes jambes pour l'aider à enlever ce dernier bout de tissu qu'il me restait. Les draps et la couette glissaient presque du lit tant Colin les avait déplacé sur son passage, je voyais son pénis si compressé dans son boxer, il était bel et bien... bien construit. Je pensais encore à la douleur, aux fameux saignements dont on m'avait parlé... Non, non, je devais me décontracter et arrêter de penser mais là j'étais juste entièrement nue, allongée sur mon lit, Colin me fixant. Me trouvait-il toujours à son goût tandis que j'étais nue? Je ne savais vraiment pas quoi faire... Peut-être attendait-il que je fasse quelque chose aussi, mais quoi? Alors, je me relevais un peu pour revenir l'embrasser. J'étais stupide, peut-être aurait-il aimé... autre chose? Mais je ne me voyais pas le... lui faire une fellation, j'avais peur de très mal m'y prendre voir pire le blesser, je n'en savais rien. Sauf que sous sa force et ma faiblesse sous... l'excitation je retombais sur mes coudes sur le lit, gémissant contre ses lèvres tout en écartant instinctivement mes cuisses pour le reloger dans leur centre. Je posais une de mes mains sur son torse que je caressais de ses pecs à ses abdos... Il était charnu, musclé, si... homme en fait. Alors d'une main maladroite, je vins passer ma main dans son boxer. Je ne le touchais pas mais je me contentais de le baisser... Pour qu'il se retrouve... comme moi, nu. Je le forçais à se redresser pour que je sois quasiment assise sur le lit pour mieux lui baisser. A peine avais-je fait ce geste que je vis son sexe en érection sortir. Il était... imposant. Peut-être était-il dans la moyenne, je n'en savais rien, je ne m'étais jamais renseignée... à ce niveau. Je déglutissais en regardant son sexe avec curiosité et... désir avant de lui faire comprendre qu'il devait m'aider à l'enlever.
- Faut que tu m'aides...
Paroles prononcées maladroitement sans doute. Je me reculais un peu, restant toujours assise, mes jambes écartées, attendant qu'il enlève cette dernière couche de tissu et là mon côté "médecin" ressortit. Avait-il un préservatif sur lui? Je ne prenais pas la pilule vu que je n'avais... aucun rapport. Mais il avait l'air de savoir ce qu'il faisait. Donc oui, quand il finit d'enlever son boxer, je vins embrasser son cou, remontant sur sa machoire pour venir retrouver ses lèvres et timidement... ma main gauche se posa sur son pénis que je caressais, encore mais si... maladroitement sans doute. Il devait m'en vouloir... Mais tout à l'heure aurait-il aimé aller plus loin quand il avait fini par embrasser mon ventre? Me faire un.... cunnilingus ? Beaucoup de femmes aimaient comme d'autres non mais moi... j'allais aimer? Non je pensais trop. Mes petits mouvements s'accélérèrent sur son sexe et d'une de ses mains, je le forçais à la poser sur mon vagin humidifié. J'avais aimé ce qu'il m'avait fait tout à l'heure, alors peut-être qu'avoir plus... j'aimerais encore davantage. Je devais essayer... Je le voulais.
Pas le temps de m'attarder plus longtemps sur sur ses lèvres qu'elle semblait déjà avide de mon propre sexe. Je ne pouvais pas lui en vouloir, après tout elle était déjà bien trempée et j'étais toujours aussi surpris de voir l'effet que je lui faisais. J'avais l'impression que son corps entier, sa poitrine, ses jambes, son bas ventre, faisait tout pour m'appeler. Alors que j'avais juste la trouille de lui faire mal ou même de la forcer. Je voulais juste lui faire du bien, à elle, moi je ne le méritais clairement pas. Mais je n'avais pas la force de le lui dire, j'étais bien trop pris dans l'élan de ces câlins imprévus qui me donnaient bien plus d'adrénaline qu'une simple bière. Elle voulait que je sois nu à mon tour et la sentir me caresser me donnait aussi envie qu'elle le fasse librement sans aune parcelle de vêtement. Alors oui, je venais l'aider à me retirer mon caleçon. On avait à présent plus rien pour se protéger l'un de l'autre, aucun vêtement, aucune couette, seulement nos corps chauds qui étaient inévitablement attirés l'un par l'autre. Malgré ses doigts inexpérimentés, elle me fit avoir des râles de plaisir, tellement que mes lèvres se perdirent de nouveau dans le creux de son cou et mes mains sur sa poitrine si généreuse et si douce. Sauf qu'elle semblait bien plus pressé que moi, bien moins anxieuse, elle venait coller mon membre contre ses lèvres et un rien m'empêcher de rentrer. Rien ne m'en empêcher à part moi. Comment j'allais faire ? J'étais clairement pris entre deux feux. Je n'avais plus qu'une solution, je ne pouvais clairement plus faire demi tour, descendre de nouveau et lui donner un orgasme différent, elle me voulait en elle, c'est évident, elle voulait devenir une vraie femme. Non, elle avait déjà eu un premier homme, c'est pas possible. Sauf qu'on n'en avait jamais clairement parlé et je n'étais sûr de rien. Plus je réfléchissais, plus j'étais paumé. Autant passé à l'acte. Même si ça risque d'être assez compliqué si mes soupçons sont bons. Je tâtais davantage le terrain, essayant de rentrer un peu, sans vraiment forcer, commençant à nous donner ce plaisir intense. Mais comme je m'en doutais, ça n'allait pas être une mince affaire.
Je continuais de le caresser... Son membre était si dur que ça en était presque déstabilisant. Je ne stoppais pas mes vas et viens, si fébriles, tremblants, j'avais si peur de tout mais je voulais rester près de lui tandis qu'il agrippait ma poitrine. Je l'entendais gémir et je n'en revenais pas de lui faire autant d'effet alors ça me poussait à ne pas m'arrêter. Ses lèvres étaient aux creux de mon cou, je le sentais de plus en plus proche quitte à sentir le bout de son sexe prêt à me pénétrer. Je le voulais oui, j'en avais marre d'être si... fragile, si enfantine. Je voulais perdre ma virginité. J'en avais marre... Alors quand je le sentis me pénétrer légèrement, un gémissement de surprise m'échappa et un peu douloureux à la fois. Ce n'était que le début mais la surprise a fait que.... Je m'étais braquée à la seconde alors que je me sentais trempe et il devait le sentir aussi. Je lâchais son sexe en plaquant mes mains sur le lit, m'appuyant dessus pour écarter encore plus mes jambes, peut-être que m'aiderait à avoir... Moins mal. Je déglutissais, il fallait que ça arrive.... Je le sentais si hésitant pourtant.... Et moi je jouais avec le feu. Mais je le voulais... Je voulais en finir avec l'enfant qui était en moi. Alors sans rien dire, je me contentais de prendre son visage d'une main, restant en équilibre juste sur ma main droite, pour venir l'embrasser... tendrement. Juste du bout de mes lèvres, caressant sa joue puis son cou et j'avançais encore plus mon bassin pour le sentir un peu plus en moi... Petit à petit. Sauf que plus son sexe me pénétrait, plus je sentais les parois de mon vagin s'écarter et me tirailler. Je lâchais un petit gémissement de douleur en grimaçant... Mais honteuse, je cachais mon visage dans son cou que j'embrassais encore. Pourquoi hésitait-il tant? Ne voulait-il plus de moi? J'avais fait quelque chose de mal? Regrettait-il tout?
- Colin?
L'interrogeais-je sans trop savoir où j'allais. J'avais l'impression que je devais le rassurer.... Il semblait douté de.... tout. Je pris alors son visage entre mes mains et je m'allongeais sur le lit, le forçant à s'allonger sur moi sauf qu'à peine avec ce geste je le sentis encore plus... Je serrais mes dents et je me concentrais de l'embrasser délicatement sur le bout de ses lèvres. Il pouvait dire stop à tout moment, s'il regrettait...
- Si tu veux arrêter....
Je ne voulais pas mais je le sentais si... perdu... pensif. Il était moins tactile alors oui, j'avais l'impression que c'était à mon tour de le rassurer, comme tout à l'heure quand je lui caressais juste le bras en lui racontant ma stupide histoire. Je picorais ses lèvres de quelques baisers, j'étais accroc à ses lèvres, c'était officiel. Ca faisait tellement du bien d'embrasser quelqu'un... De l'embrasser lui en l’occurrence. Je remontais juste mes cuisses autour de ses hanches, caressant sa peau du bout de mes pieds venant embrasser son cou pour finir par caresser ses cheveux.
Le peur de lui faire mal m'empêcher d'y aller franchement. Et pourtant, elle avait bien les jambes écartées, prête à m'accueillir. J'hésitais, pour beaucoup de raisons, et pourtant moi non plus je ne faiblissais pas. Je me sentais même grossir plus je me retenais. C'était une sensation pas forcément agréable et si j'avais simplement débandé la question aurait pu être réglée bien plus vite. Mais j'en étais incapable, je la regardais et j'avais envie d'elle comme jamais. Dépuceler une gamine, jamais je n'aurais cru ça possible. Et quand elle prit mon visage dans sa main, j'ai bien cru que les rôles s'étaient de nouveau inversés. Depuis que je suis arrivé dans son lit, cet air enfantin je ne le voyais plus et je voyais une vraie femme, une vraie belle femme qui me donnait vraiment envie d'elle. En attendant ce fut elle qui fut les derniers mouvements pour que je me retrouve en elle. Elle était tellement serré, j'en avais perdu l'habitude. Je ne me souvenais même pas d'avoir ressenti une telle sensation. C'était si serré que j'aurais pu resté au bord pour jouir. Mais elle me voulait, et je n'allais clairement pas me laisser avoir si facilement, parce que non, je n'allais pas m'arrêter en si bon chemin. J'étais allongé sur elle quand elle me confiait justement que je pouvais arrêter, alors qu'elle n'arrêtait pas de m'embrasser délicatement, comme si mes lèvres étaient devenues une addiction pour elle. J'essayais justement de me contrôler pour qu'elle n'en devienne pas une. Sauf que c'était peine perdue. Clairement pas. Lui répondais-je au creux de son oreille avant de venir l'embrasser bien langoureusement pour réveiller encore plus le plaisir, pour qu'elle se détente encore plus et que le reste de mon membre puisse rentrer bien plus facilement sans qu'elle n'éprouve trop de douleur. Mes mains descendirent le long de son corps, mon torse contre sa poitrine, je caressais ses hanches, passant par son fessier et finalement attraper sa jambe et la remonter pour rentrer plus aisément en elle. Et le plaisir était tellement intense que ça allait être dur de se retenir pour être silencieux. Je rentrais doucement, mais sûrement pour finalement venir lui demander avec un peu trop d'inquiétude Ca va ? C'était con, mais nécessaire pour savoir si je pouvais continuer.
Je voulais être sûre de pouvoir aller plus loin mais si pour x ou y Colin ne voulait plus, je ne pouvais pas… Je ne pouvais pas le forcer. Oui ça m’aurait fait mal, je n’aurais jamais imaginé cela comme « première fois ». Être nue devant lui m’était si difficile que je me serais sentie salie par la suite. Je n’avais jamais été aussi loin avec quelqu’un, jamais, alors me sentir repoussée à un stade si avancé m’aurait clairement détruite.
Il était allongé sur moi, je sentais ma poitrine dure frotter contre son torse charnu. Mes caresses ne se stoppèrent nullement, ses cheveux, ses épaules, le haut de son dos… Ses lèvres que je cherchais encore et toujours. Surtout je le sentais un peu en moi… De quelques centimètres à peine, ça me faisait mal mais bien à la fois… Je ne voulais pas me stopper ainsi, je voulais devenir une femme quitte à serrer mes dents et souffrir en silence. Je voulais croire en Colin, je savais qu’il savait ce qu’il faisait, il était expérimenté, je voulais me donner entièrement à lui et qu’il prenne du plaisir malgré mon inexpérimentation. Il était si dur que je pensais lui procurer un minimum de sensation, je le souhaitais… Alors quand il vint me susurrer près de l’oreille qu’il ne voulait clairement pas arrêter, je souriais davantage. Je tournais ma tête pour retrouver ses lèvres et son baiser fut un des plus passionnés. Voir même le plus passionné de tous.
Je me laissais aller dans cette cadence sensuelle, flirtant avec sa langue mais quand je le sentis encore plus me pénétrer, j’étouffais tant bien que mal un gémissement de douleur. J’espérais qu’il ne voit rien. Je mis une de mes mains à plat sur le lit, serrant les draps de mes doigts fins, tandis que l’autre restait agripper dans ses cheveux. Je déglutissais et j’essayais de me détendre. Plus je me braquais et plus mon vagin allait se resserrer et n’allait pas me faciliter la tâche. Je me sentais pourtant si humide… Je me devais de respirer alors je préférais me perdre dans les baisers de Colin et quand il vint poser sa main sur ma cuisse pour la relever davantage, je le sentis entrer plus en moi. Je me cambrais sous cette sensation nouvelle en gémissant contre ses lèvres. Je me sentais si étroite mais il le fallait. Mes jambes se ressérèrent autour de ses hanches et j’agrippais plus fermement les draps de ma main de libre.
- Oui.. Ca va…
J’avais la voix tremblante et je bougeais un peu plus mon bassin pour l’aider à se frayer un chemin. Les premiers vas et viens allaient être douloureux mais après ça irait mieux… Oui ça ira mieux.
- N’aies pas peur… Tu peux y aller…
Genre c’est moi qui le rassurait… Peut-être qu’à travers mes mots je voulais me rassurer moi-même. Je levais alors plus haut mes jambes, le sentant se faire une place dans mon vagin. Ma respiration s’accélérait et j’essayais de penser à tout sauf à la douleur sauf que j’avais peur qu’il arrête s’il voyait que ça me tirait trop… Alors je devais être plus stratégique et me perdre entre ses lèvres semblait une bonne solution… Ou alors peut-être devait-il me stimuler ailleurs pour que mon cerveau se concentre sur le bien être effectué sur mon corps et non sur la douleur ? Je repris son visage entre mes mains pour le forcer à se reculer du mien. Je voulais qu’il revienne sur mes seins, les embrassant et les titillant comme tout à l’heure… Avant qu’il ne m’enlève ma culotte. Je pris une de ses mains entre mes doigts, la guidant jusqu’à mon sein gauche, tandis que de mon autre main je lui fis comprendre de baisser sa tête d’un cran. J’espérais qu’il comprenne le message, ne voyant rien à mes grimaces de douleur.
Malgré l'envie intense que j'avais pour elle et son corps, je ne voulais aucunement lui faire du mal, et c'est tout ce que j'avais l'impression de faire. Je savais pourtant que c'était le plus dur moment pour les femmes à passer et qu'après ce n'était qu'un instant de plaisir. Je le savais bien, je l'avais vécu avec Evelina. Mais c'était différent, on était tous les deux inexpérimentés et faut dire aussi que j'avais l'impression d'avoir bien pris de la masse depuis mes premières fois. C'était peut-être le cas, ça faisait longtemps que je ne m'étais pas mesuré. Même si j'avais eu des doutes quant à mes performances quand mon ex-femme ne voulait pas qu'on partage un tel moment d'amour. Au final, l'amour n'avait jamais été que dans un sens. Au final, qu'est-ce que je faisais ? La même chose qu'elle. A croire que l'adultère m'a toujours pendu au nez. Faut croire que je suis vraiment paumé en ce moment. Et pourtant, j'ai mes deux adorables amours dans ma vie à présent. A croire que ça ne me suffisait pas. Il fallait que j'ai terriblement envie de dépuceler une jeune femme. Et je préférais me concentrer sur ça, et seulement cette tâche plutôt que de divaguer de la sorte. Après tout, j'étais à présent en elle et même s'il restait encore quelques mouvements douloureux à passer pour elle, je pense que le pire était passé. Enfin, je n'en sais trop rien, je ne fais que supposer. Elle me disait qu'elle allait bien, mais je sentais une certaine crispation dans sa voix. J'hésitais, malgré tout le reste de son corps qui me montrait qu'elle avait envie de moi. Comment m'arrêter en si bon chemin ? Elle m'indiquait même la voix de sa poitrine, me mettant une main dessus, je ne pus que me laisser distraire par une telle beauté et inconsciemment tout en la caressant et en venant l'embrasser à cet endroit-là, je me suis mis à bouger en elle, bien que c'était assez compliqué vu son ouverture toujours aussi resserrée. Je ne m'arrêtais pas pour autant, je lui donnais quelques petits coups de bassin, doux et léger mais bien présent. Et c'était largement suffisant pour me procurer un plaisir intense, tellement que je serrais la mâchoire au maximum pour m'empêcher de gémir. Encore heureux que j'avais des seins à m'occuper. Mais mes baisés, mes sucions, les caresses étaient entrecoupés de respirations qui faisaient tout pour me contrôler. Ma tête repartait dans sa poitrine et ainsi de suite, perdant toute notion du temps, me concentrant bien plus qu'autre chose, pour éviter de trop lui faire mal.
Je déglutissais, ma respiration s'accélérait, mon vagin se contractait et se décontractait... Mais lorsqu'il vint enfouir son visage dans ma poitrine, recommençant à titiller mes tétons. J'entrouvris la bouche et des gémissements de bien être s'en échappèrent. Honteuse, je me mordais ma lèvre inférieure... J'avais peur de paraître ridicule à gémir... Peut-être était-ce trop tôt? Non je pensais encore... trop. Mes deux mains caressaient ses cheveux, sentant toujours son souffle chaud faire des ricochets sur ma peau. Mes tétons étaient super sensibles et un simple baiser me faisait cambrer jusqu'à qu'il commence de petits vas et viens. Mes jambes se resserraient autour de lui et je me sentais de plus en plus humide jusqu'à sentir son sexe me pénétrer davantage jusqu'à le sentir entièrement à l'intérieur au fil de ses coups de reins. J'essayais de rester calme mais quand il était en moi, un seul coup de rein me fit cambrer plus sévèrement et un gémissement sec m'échappa sur le coup. Sur ce cambrement assez brut, j'avais sentir ses lèvres me tiraient plus sèchement un de mes tétons, j'étais horriblement sensibilisée. Gênée, je lâchais sa tête, mettant une main sur ma bouche. Je ne le quittais pas des yeux, laissant ma main sur ma bouche revenir sur sa joue que je caressais. Le plus dur devait être fait et après quelques vas et viens j'allais me dilater et me sentir plus à l'aise avec la chose. Alors une fois en moi et ses mouvements commençaient je voulais de nouveau retrouver ses lèvres. Je pris son menton entre mes fébriles doigts, le forçant à lever la tête et je l'embrassais délicatement... très délicatement. Je lui faisais comprendre de laisser une main sur un de mes seins mais j'enroulais mes deux bras autour de lui pour venir caresser son dos du bout de mes ongles. Je souriais même par moment en le sentant gémir à son tour près de mes lèvres, sentant sou souffle s'accélérer et son corps brûlant contre moi. Sauf que plus ça allait et plus je sentais mon vagin se relaxer, laissant ma cyprine envahir son sexe pour l'aider dans ses mouvements que c'était dur de contrôler mon souffle. Je stoppais de l'embrasser, laissant ma tête tomber sur l'oreiller. Je le regardais droit dans les yeux, caressant sa joue puis son cou, remontant encore plus mes jambes pour mieux le sentir en moi et par curiosité mes yeux se baissèrent sur.... nos sexes réunifiés. Ca devait sembler pervers mais je voulais voir... Je voulais le voir.... Mais je ne me sentais pas dans la meilleure position pour ressentir des choses. C'était la position de base pourtant mais peut-être que pour atteindre le point G... Non, je le laissais faire, il savait ce qu'il faisait. Pour me décontracter encore plus, je pourrais me toucher le clitoris sans doute, mais j'avais aussi peur qu'il me juge à cet acte. Me trouvant perverse, maladroite... Comme si lui seul me suffisait pas et qu'il fallait que je me stimule encore plus.... Je déglutissais encore plus, revenant sur ses lèvres pour faire taire mes pensées. Je mis une de mes mains sur celle qu'il avait sur mon sein et je la guidais jusqu'à sur mon bas ventre, comme lui m'avait guidé tout à l'heure pour que je vienne le déshabiller. J'espérais ne rien faire de maladroit, continuant de me nourrir de ses lèvres si tièdes et si sensuelles. Il embrassait comme un Dieu.
Elle était la troisième femme à qui je faisais l'amour. Cela n'a jamais été mon truc de coucher à droite à gauche, la preuve en est avec mon faible nombre de femme avec qui j'avais couché. Et pourtant, je me sentais bien plus qu'expérimenté avec elle. Faut dire aussi qu'avant Selina, je n'ai jamais eu de vraies expériences sexuelles. Même si les fois où on le faisait avec ma femme, c'était merveilleux. Au moins les bons souvenirs restaient aussi. Mais je ne voulais me concentrer sur rien d'autre qu'à part sur elle et son plaisir. Oui, le mien aussi, mais elle était tellement serré qu'un rien me procurait du bien. Le plus important était son expérience. Parce que doué comme je suis, je serais capable de tout faire foirer. Et pourtant jusqu'à présent, j'avais l'impression de ne faire aucun faux pas. Avec elle bien sûr. Parce que là, j'étais clairement en train de tromper Selina. J'aurais mieux fait de me tenir aux caresses sur le bras, m'endormir ainsi. Il avait fallu que je me réveille davantage à avoir follement envie d'elle. J'allais très certainement regretter tout ça, mais le temps n'était pas à ça. Je profitais de sa généreuse poitrine, de son vagin si serré et si mouillé pour autant. J'aurais pu m'y perdre encore de longues minutes si elle n'avait pas voulu que je revienne vers ses lèvres, que je venais embrasser de nouveau avec envie, avec sensualité, alors que nos respirations se faisaient tellement fortes que les gémissements étaient durs à contenir. Je la voyais ensuite regarder nos corps fusionnaient et je ne pus m'empêcher de faire la même chose. Chose qui m'excita encore plus horriblement. Mauvaise idée, très mauvaise idée. Il fallait que je souffle, je ralentisse un peu, même si j'étais déjà au niveau le plus faible. C'est pas vrai. On dirait un vrai puceau. Je m'étais un peu plus redresser, espérant donner davantage de plaisir à la demoiselle et surtout pour pouvoir me faire patienter quand même un peu plus, jusqu'à ce qu'elle me guide mes doigts jusqu'à son bas ventre. Que voulait-elle ? J'eus un instant de doute avant de comprendre qu'elle voulait très certainement essayer de se détendre autrement. La position n'était pas idéale mais je faisais en sorte de caresser son clitoris à sa guise, essayant d'agrandir un peu plus la marge de manœuvre. Et malgré son manque d'expérience, elle était horriblement sexy et me contenir devenait de plus en plus un supplice.
Quand je sentis ses doigts sur mon clitoris un autre gémissement sortit de mes lèvres. J'avais beau l'embrasser, le gémissement n'avait pas pu être étouffé. Je m'en voulais, j'avais peur. Peur de faire trop de bruit et que ma mère débarque ou alors d'être... tout sauf sexy et de dégoûter Colin. Je ne savais pas ce qu'il aimait après tout. J’aurais aimé lui faire plaisir, être "une femme" avec lui mais j'étais trop pensive, perdue.
Ses doigts titillant mon antre, je les sentais trempés à leur tour tandis que son sexe entièrement en moi faisait de lents vas et viens. J'étais si serrée que cela devait l'empêcher d'aller plus vite ou alors avait-il peur de me blesser s'il osait accélérer rien qu'un peu? Cela ferait si mal s'il accélérerait? Trop faible pour me taire, je posais ma tête au creux de son cou, me mordant très fort ma lèvre pour taire tout cela... Si ma mère débarquait et casserait tout, il allait me détester. Sauf que lui aussi n'était pas... silencieux. D'un geste maladroit sans doute, je vins poser ma main sur sa bouche, rapprochant mes lèvres de son oreille.
- Shhht....
Impossible de dire un mot en entier, une phrase ou autre, impossible, j'en étais incapable. Je voulais qu'il accélère et que je vois quelle sensation ça pouvait me procurer mais la position ne devait pas être confortable pour lui... Sa main sur mon clitoris.... Devais-je changer de position? Mais comment? Laquelle? Je n'y connaissais rien.... Alors je me contentais d'enrouler son bassin de mes jambes, caressant ses fesses bien rebondies et si douces de mon mollet. Je voulais encore le découvrir.... Je dévorais sa peau de mes lèvres, y déposant de multiples baisers... Son cou, ses épaules... Sa pomme d'adam... Pour revenir picorer ses lèvres tout en caressant ses cheveux et le haut de son dos.
Je voulais lui faire comprendre qu'il pouvait passer la seconde... Si ça faisait mal je lui dirais d'arrêter mais je voulais qu'il prenne du plaisir et... si c'était trop lent j’avais peur qu’il s’ennuie.. Alors, doucement, je commençais à bouger mon bassin, à l'inverse de ses coups de reins. Le sentant encore plus en moi tandis que ses doigts sur mon clitoris me procuraient des vagues de plaisir, me sentant si fragile et fébrile à ce niveau.
Déjà que c'était loin d'être évident de coucher pour la première femme, alors avec une jeune femme inexpérimentée et qui dormait juste à côté de la chambre de sa mère, c'était encore plus difficile. Je n'avais pas eu beaucoup de femmes dans ma vie, donc forcément, je n'avais jamais connu pareil cas, ou du moins qui s'en rapprochait. On n'avait pas eu ce genre de problème avec Evelina, on avait su s'organiser, on avait pris le temps. Sauf que là, avec Essence, c'était sur le feu et impossible de faire demi-tour, maintenant que j'étais en elle, que je commençais enfin à lui procurer du plaisir avec mes doigts, je n'allais pas abandonner en si bon chemin. Elle semblait désireuse de mon corps, de plus en plus, sentant sa bouche partout dans mon cou, je ne pouvais qu'être encore plus envieux d'elle et forcément mes gémissements se faisaient de plus en plus forts. Et j'eus un léger rire quand elle me plaqua la main sur la bouche pour me faire taire. Je continuais à me mouvoir en elle, le plus discrètement possible, même si c'était clairement la tâche la plus compliquée que j'ai jamais eu à faire, et je sentais qu'elle se détendait enfin un peu. Elle était également bien moins serrée et je ne savais pas trop si je pouvais aller un peu plus vite. Je ne savais pas si elle se sentait prête et je ne savais pas si j'allais pouvoir me contrôler surtout. Mais quand elle bougea son bassin à l'inverse du mien, je pouvais comprendre qu'elle s'en sentait capable. Alors forcément j'accélérais la cadence, tout en l'embrassant pour éviter d'être trop bruyant. Mais l'envie de me redresser était bien trop présente. Ma main libre se plaqua contre son ventre et je la fis remonter le long de son corps jusqu'à sa poitrine que je caressais de nouveau. Mais le plaisir me rendit encore plus fou et l'alcool ne m'aidait certainement pas à garder ce côté très respectueux et doux que je peux avoir parfois, puisque je lui fis passer une jambe par dessus moi pour qu'elle puisse rejoindre sa jumelle. Oui, j'avais terriblement envie de la prendre par derrière, et je venais donc m'allonger derrière elle, serrant son corps contre le mien, tout en venant de nouveau lui donner quelques coups de bassins, tout en plaquant ma main sur sa poitrine, la malaxant un temps avant de venir titiller son clitoris, vu qu'elle semblait vraiment apprécier ça. Je venais poser mes lèvres dans son cou pour venir le mordiller quelque peu tellement le désir me semblait incontenable.
J'entendais son petit rire quand je lui avais fait signe de se taire, pourquoi riait-t-il? J'avais été si maladroite? Mes yeux revenaient se poser dans les siens et il m'embrassa une nouvelle fois comme pour se forcer à se taire. Je le laissais faire, répondant à son baiser tandis que je sentais mon clitoris se gonfler sous ses doigts, bougeant mon vagin selon les mouvements qu'il exerçait sur ce dernier. Je sentais mes joues devenir rouge et mon sang me monter à la tête. Pourquoi j'avais honte? Je me forçais à me de ne pas gémir, mais plus il me touchait et plus mes jambes autour de lui se crispaient. Il accélérait ses coups de reins et me retenir était bien trop dur. J'avalais ma salive, je me concentrais sur ses lèvres mais j'étais décidément trop sensible à cet endroit... Le clitoris. J'avais limite envie de lui dire d'arrêter tant je ne savais pas ce que je ressentais. J'avais l'impression d'exploser intérieurement... Un gémissement brutal m'échappa mais je bloquais tout en embrassant le cou de Colin. Mes mains quittèrent son corps pour caresser le lit, agrippant les draps et quand sa main de libre vint caresser mon ventre, je me cambrais légèrement, sentant ensuite cette main caresser mes seins. Je ne m'avais jamais vu pointer autant et quand mes tétons passaient sous ses mains expertes, j'avais envie de plus... Voulant encore mes tétons entre ses lèvres, comme tout à l'heure... C'était normal? Pourquoi j'avais envie de ça? Jamais je n'avais jamais eu envie d'une telle sensation et là j'en étais déjà en manque sauf que Colin avait une autre idée derrière la tête.... Je le laissais me manipuler mais je n'avais aucune idée d'où il voulait en venir. Je ne le quittais pas du regard, sentant nos corps se détacher l'un de l'autre, il me mis sur le côté, me collant ensuite à lui. Voulait-il me...? Me faire l'amour ainsi? J'étais de nouveau un peu crispée, je ne savais pas comment ça marchait dans cette position mais dès qu'il revint en moi un autre bruit sec m'échappa. J'enfouie ma tête dans mon oreiller, agrippant mes draps d'une poigne sèche tandis que son sexe se refaisait une place en moi. La sensation était toute autre et je ne savais pas si je devais aimer cela... J'essayais de me décontracter, mordant fermement ma lèvre inférieure pour taire mes gémissements. J'avais dit à Colin de se taire et là c'était moi qui déraillait. Je mis ma main de libre sur ma bouche sauf que plus ça allait, moins je sentais les réactions de mon corps liaient à mon cerveau. Colin plaça une main sur ma poitrine et instinctivement, ma main sur ma bouche vint coller sa main sur mon sein comme pour le forcer à me peloter toujours plus sauf que ça ne dura qu'un temps. D'un geste primaire il revint sur mon clitoris tandis que ses lèvres vinrent mordiller mon cou. Ma bouche était entrouverte, mon corps vibrer et je me sentais totalement instable. Je ne me reconnaissais plus. Ma main de libre se posa sur le bras où était accroché sa main qui me torturait le clitoris. Je gémissais encore, cachant ma tête dans l'oreiller que j'agrippais comme une acharnée, ma respiration était saccadée et j'avais comme des sortes de spams musculaires sous chaque mouvement circulaire qu'il exerçait sur mon clitoris. Ses mouvements de bassin étaient plus secs et rapides et je commençais à aimer cette position, je le sentais encore plus en moi ainsi, son sexe encore plus gonflé qui redoublait d'effort... Mes doigts s'agrippèrent par la suite à son avant-bras et j'y plantais mes ongles malgré moi. Je fermais les yeux en arrivant pas à fermer cette fichue bouche toujours entrouverte. Ma respiration se faisait entendre même si je faisais tout pour m'empêcher de gémir. C'était atroce de se retenir... A croire que plus je me retenais et plus j'explosais. Puis sans trop comprendre pourquoi, son prénom sortit d'entre mes lèvres. Je pensais tellement à lui que ça m'avait échappé. Ma main quitta son avant bras que j'avais empoigné pour venir se poser sur sa main qui était toujours sur mon clitoris. J'appuyais ses mouvements me sentant encore plus humide mais je lâchais tout d'un trait, étouffant mon visage dans cet oreiller alors que je sentais le souffle chaud de Colin dans mon cou qu'il visitait encore et encore...