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 The REAL after party - #206 Spring Hill

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Message(#)The REAL after party - #206 Spring Hill EmptyMar 13 Fév 2018 - 4:52



Vous avez fini par être libéré au petit matin. Tu bosses pas alors t’es partant pour l’after prison party chez Ryleigh. T’as bizarrement passé une très bonne soirée dans l’ensemble et la faire durer un peu plus longtemps ne te dérange pas. Surtout que t’étais pas mal proche de Jin sur la fin dans cette cellule. Assis l’un à côté de l’autre, tu lui glissais des petites remarques à l’oreille dès que l’occasion s’y prêtait. T’as fait beaucoup d’allusion à vos précédentes rencontre tous les deux, surtout à celle où vous vous êtes mangé la bouche. T’as fait pas mal de sous entendu sur vous deux vous embrassant et t’as niché ton nez contre sa tempe, ses cheveux, plus d’une fois aussi. Bref, t’es chaud pour pécho du Jin. Surtout qu’il a pas l’air réticent.

Une fois chez Ryleigh, t’essaie de te retrouver à côté de lui de manière stratégique mais tu échoues. Alors quand Jin se lève pour filer à la salle de bain d’après ses dires, tu sautes du canapé pour le suivre de manière très peu discrète. Tu l’empêches de fermer la porte complètement et tu entres à sa suite. Tu fermes la porte derrière vous, à clé. Tu n’as plus envie de pisser, t’as du le faire dans la cellule parce que t’en pouvais plus.

Jin devant le lavabo, tu vas te placer derrière lui, posant tes mains sur sa taille. Tu le regardes dans le miroir. T’as plus ta couronne de fleurs autour du cou, tu l’as jeté alors que t’étais encore dans la cellule. Tu rapproches ton visage du sien.

« Besoin d’aide ? »

T’as des idées plein la tête.

« Je suis à ton entière disposition. »

Tu fais glisser ton nez dans ses cheveux alors que tu colles ton torse à son dos. Tes bras s’enroulant à présent autour de lui. Tu étais venu dans la salle de bain dans l’idée de rester sage, mais t’arrives juste pas.


Dernière édition par Andy Rivera le Jeu 15 Fév 2018 - 5:44, édité 1 fois
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Message(#)The REAL after party - #206 Spring Hill EmptyMar 13 Fév 2018 - 6:30

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sausage fest

Comment ils se sont retrouvés chez elle tous les six ? Enfin, tous les cinq plus Tad ? Il faut une seconde à Ryleigh pour se rappeler que c'est elle qui, dans un élan de spontanéité, a invité tout le monde à finir la nuit (ou commencer la journée) chez elle. Le regard de Robert quand elle passe, visiblement amochée par la nuit en taule, accompagnée de ses cinq comparses la fait se sentir coupable une seconde. C'est une sensation étrange qui s'empare d'elle et elle est obligée de l'accueillir comme si elle disait : Toc toc ! Qui est là ? Mala. Mala qui ? Mal à l'aise. Elle essaie de passer outre et de penser qu'à la maison il y a la douche, il y a l'alcool et il y a le confort. Tout ce qui manquait dans la cellule dont elle sort, à l'exception de la douche, mais Zelda a été la seule à en « profiter ». Si tôt entrée dans l'appartement Ryleigh lance un : « Faites comme chez vous, il y a de quoi boire dans le bar, champagne et whisky Egerton parce que bon... placement de produit oblige. Vin rouge, gin, vodka, rhum... you name it. Et si vous voulez mélanger ça avec des softs, il y a des jus de fruits bio dans le frigo. » puis elle détalle dans sa chambre, se déshabille après avoir fermé la porte et saute sous le jet d'eau puissant de la douche à l'italienne qu'elle utilise quand elle est pressée. L'eau lave la transpiration et toute l'humiliation d'avoir était foutue en prison sans gommer l'excitation. Après une douche exfoliante parce que mine de rien, elle a l'impression de coller, elle se rince les cheveux et les noue dans un chignon complexe.  Profitant du calme de sa chambre, elle enfile un soutien-gorge qui la met en valeur sans la faire passer pour une allumeuse, une culotte suffisamment couvrante pour ne pas attraper froid et un kimono de soie qui lui tombe jusqu'à mi-cuisse. En sortant de sa chambre elle voit SJ et Andy s'enfermer dans la salle de bain d'invités et sourit amusée. « Les garçons les capotes sont dans le tiroir gauche du vanity. » dit-elle suffisamment fort pour être entendue même s'ils sont déjà en train de s'embrasser à pleine bouche. Mieux vaut être prudente. Débarquant dans le salon elle tombe sur une scène qu'elle n'était pas sûre d'être prête à voir, Charlie et ses amis. Un retour à la réalité de tout ce qu'elle a manqué qui ne dure que quelques secondes. S'approchant de la rousse, elle attrape une bouteille de blanc de blanc du vignoble champenois de Papa et une cannette de bière. « Ariane, tu devais pas prendre un bain ? » demande-t-elle, un regard entendu lancé en direction de Tad. Elle veut être seule avec Charlie. Rapidement.


Dernière édition par Ryleigh Egerton le Dim 18 Fév 2018 - 20:35, édité 3 fois
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Message(#)The REAL after party - #206 Spring Hill EmptyMar 13 Fév 2018 - 11:59

Les discussions fusèrent dans la limousine et continuèrent tout aussi joyeusement chez Ryleigh. Sans que je sache trop comment, Tad avait ramené des fesses. Je devinais pas trop difficilement que c'était Ariane qui l'avait appelé, vu qu'ils se retrouvèrent directement collé ensemble. Moi, je ne su dire non à l'appel de l'alcool. Je me fis pas prier pour aller prendre des bouteilles que je ramena pour partager avec le petit groupe. Je m'enfonçais dans le fauteuil, me servant un verre de vodka que je bus cul sec, pour faire partir la douleur qui était toujours aussi présente sur mon visage. J'avais encore le maillot de Wendy collé sur mon arcade et je pensais vaguement qu'il allait falloir que je lui rende. Si je me souvenais à qui ça appartenait, une fois que j'aurai dormi. Les traumatismes crâniens et l'alcool, ce n'était pas connu pour aider la mémoire. Okay, j'exagérais peut-être sur le traumatisme mais j'avais quand même un superbe bleu sur la face.

Je finis par me lever pour aller dans la salle de bain. Je commençais à me sentir et le mélange de sueur et de bière n'était clairement pas mon parfum préféré. J'allais à la salle de bain, me disant que j'allais manquer à personne, vu que je fus beaucoup plus silencieux une fois chez Ryleigh. Mon cerveau nageait toujours autant dans la semoule. Il semblerait que je manquais effectivement à quelqu'un, car Andy vint me rejoindre dans la salle de bain. J'entendis le clic de la serrure qui se verrouillait et je le regardais dans le miroir, comprenant un peu plus pourquoi il était ici. J'entendis à peine Ryleigh qui parlait d'un truc dans le vanity. J'espère que c'était pas trop important. D'un autre côté, c'était entièrement ma faute, vu que je n'avais pas repoussé une seule fois ses avances et j'en avais même engagé plusieurs. A ma défense, il était là, m'avait tenu compagnie pendant tout mon after battle et il était là, avec sa stupide belle face. Je crois que mes arguments se répétaient mais mon mal de tête et l'alcool ne m'aidaient pas à pousser mes réflexions très loin.

Je me laissais faire, appréciant son contact et répondit très au premier degré à sa question. Je me tournais vers lui, passant une main sur son bras: " que tu t'occupes de soigner mon visage, j'apprécierais. J'ai beau être cute et badass, j'aime pas regarder le résultat."

Je me détachais de lui et ouvrit l'armoire à pharmacie, sachant que chez les riches ont trouve toujours tout. Je chopai une boite d'antidouleur et me pris deux cachets que j'avalai d'un coup. Les effets mêlés à l'alcool, je m'en contrefichais. Je voulais juste que la douleur cesse, même si j'étais dans le gaze après. Puis je trouvai sa trousse à pharmacie et la tendit à Andy, avec un sourire séducteur, faisant une tentative de clin d'oeil que je regrettais immédiatement, car mon oeil me fit super mal. Je le fis une grimace de douleur à la place, beaucoup moins sexy puis posai mes fesses sur le comptoir de la salle de bain. Rapprochant mon visage du sien, ma voix empreint d'humour, je lui murmurai: "Si tu as des fantasmes de jouer au docteur, c'est ton jour de chance. Je suis sûr que je fais un bon patient" Ça m'amusait de sortir cette phrase bien clichée, parce que je voyais pas dans quelle autre circonstance j'aurai pu lui sortir ça. Cependant, je m'attendais réellement à ce qu'il fasse de quoi avec ma blessure, parce qu'une fois la maillot-pansement enlevé, c'était pas super joli à voir. J'avais l'air d'un boxeur, avec mon oeil entouré de noir et l'arcade du sourcil légèrement fendu. Enfin pas de point de suture qu'a-dit Wendy. J'espère que Ryleigh avait des pansements corrects, pas des trucs à fleurs ou d'autres machins du genre.


Dernière édition par Seung-Jin Lee le Mar 13 Fév 2018 - 14:48, édité 1 fois
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Message(#)The REAL after party - #206 Spring Hill EmptyMar 13 Fév 2018 - 12:41



the real after party
Je n’avais pas la moindre idée de comment je m’étais retrouvé dans cette situation, un peu hébété face à la tournure qu’avaient pris les événements et après la nuit blanche que nous avions tous traversé, à l’exception de Tad. C’était tous en un morceau (plus ou moins vaillants selon les cas) que nous étions arrivés dans l’appartement de Ryleigh au petit matin. C’était étrange de me retrouver de nouveau dans ce salon où j’étais venu chercher asile après une soirée un peu trop alcoolisée quelques semaines plus tôt. J’avais observé SJ et Andy disparaître rapidement pour aller je ne savais trop où finir ce qu’ils avaient commencé des heures plus tôt dans cette cellule de prison au cours de la nuit. Assis sur le canapé, les cheveux en bataille et la désagréable impression de sentir le bouc, j’observais Ariane et Tad qui se trouvaient face à moi, avec un petit sourire en coin mi amusé mi incrédule. « J’y crois pas. » avais-je soufflé, profitant enfin d’être seul à seul avec eux (Ryleigh ayant disparu bien avant les deux garçons) pour les questionner sur ce qui me titillait depuis que Tad s’était joint à notre bande de délinquants du dimanche. « Ça fait combien de temps de que vous avez remis le couvert tous les deux ? » Parce que ça ne faisait aucun doute qu’ils se fréquentaient de nouveau, rien qu’à voir la vitesse avec laquelle mon meilleur ami avait rappliqué aussitôt que la rousse l’avait appelé en lui demandant de bien vouloir venir nous chercher au poste de police. Si je ne remettais pas en cause la loyauté de mon ami, je doutais que ce soit mes beaux yeux et la perspective de m’observer derrière les barreaux sans qu’il ne soit là pour me tenir compagnie, qui l’aient poussé à sortir de son lit à une heure pareille. Et j’étais content pour eux, ayant toujours trouvé qu’ils faisaient une jolie paire malgré les tares qui sévissaient dans leur couple à l’époque. J’espérais juste que les choses ne redeviendraient pas aussi compliquées qu’elles l’avaient été après leur séparation. Et alors que je regardais toujours Ariane et Tad d’un regard définitivement espiègle, une silhouette familière en arrière-plan attirait mon attention, volant aussitôt la vedette à mes amis. Ryleigh, sublime et à moitié nue de toute évidence, dans une robe de chambre qui dissimulait à peine ses formes féminines et gracieuses que je devinais sans peine d’un simple coup d’œil, venait de faire irruption dans le salon. Et cette simple vision suffisait à me griller quelques neurones, me transportant à des lieues de l’instant présent alors que je me perdais dans mes pensées. « Ariane, tu devais pas prendre un bain ? » C’était la voix de l’anglaise qui me ramenait brutalement à la réalité, alors que je me redressais aussitôt pour échapper à cette vision perturbante, allant me servir un verre de ce whisky que je ne connaissais que trop bien. « Y a pas déjà SJ et Andy qui explorent les fonctionnalités de ta salle de bain ? » demandais-je, finalement après avoir pris une gorgée de whisky et daignant de nouveau faire face à ma jumelle Egerton, refusant d’accorder un seul regard à Ariane, devinant sans peine ses prunelles qui pesaient sur moi.
©BESIDETHECROCODILE


Dernière édition par Charlie Hazard-Perry le Mer 14 Fév 2018 - 17:08, édité 2 fois
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Message(#)The REAL after party - #206 Spring Hill EmptyMar 13 Fév 2018 - 15:23

Si ça n’avait été que de moi, j’aurais laissé à Tad la surprise de recevoir au réveil un nude pris en direct de la cellule de dégrisement pour le remercier en bonne et dûe forme de passer au poste nous libérer au petit matin. Le truc, c’était que l’autre officier qui avait réussi à se goinfrer de 5 beignets dans la dernière heure avait lui-même composé le numéro du Cooper à ma place, et échangé quelques mots d’usage avant de confirmer qu’il passerait dans l’heure. La déception s’était lue automatiquement sur mon visage, surtout que j’avais trouvé l’endroit parfait pour que la lumière soit un minimum potable à l’envoi. M’enfin, faudra que je reprenne le truc une autre fois, ou que je me remonte le moral en ressassant les différents coups donnés et reçus plus tôt, en direct de notre ring de boxe improvisé. « Ah non mais attend, le mieux c’était quand Ryleigh a tiré la chasse et...  » posée sur le canapé de la principale intéressée, et entourée de toute sa luxure qui dégouline des murs au plancher en passant par les divers meubles, c’est presque si tout le monde ici jure avec l’endroit, sauf Charlie qui s’y fond à merveille. D’ailleurs, il se prend pour qui, lui, à me couper dans ma 12e répétition de la scène finale du combat? « Fais pas genre t’as trouvé une distraction, Charles. » voilà qu’il nous fixe avec ses yeux brillants de dude qui vient juste de comprendre que la terre est ronde. Bien sûr que Tad et moi on a couché ensemble à nouveau, bien sûr que les regards que je laisse glisser sur ses bras, ses mains, ses lèvres depuis tout à l’heure veulent dire plus que ouais, on a réussi tout facilement à redevenir potes. Mais c’est pas ça le sujet principal. « Crache le morceau sur elle, allez, sois pas chiche. » il se ferme comme une huître devant mes accusations pourtant claires concernant la brune et leur propre relation. Je soupire, me cale un peu plus dans les coussins les prunelles qui se vissent à sa silhouette effilée. « Et on te racontera tout sur les ébats de papa et maman.  » le rire facile je l’ai presque percé, ses secrets sont presque miens. Pour ne prendre aucune chance, pour m’assurer d’avoir tout d’ici à ce que quiconque revienne se poser près de nous au salon, je souffle même à son oreille, murmure assez distinctif pour que Tad l’entende lui aussi. « Tout, surtout toutes les vidéos qu’on a prises des prouesses de Tad - à poil. » oh, est-ce un frisson d’envie, ou de dégoût que je vois passer là, et tordre les doigts de l’anglais? L’histoire ne le dira jamais, Ryleigh apparaissant dans le couloir la voix qui siffle, les intentions qui sont claires. « Quitte à avoir empesté toute la pièce déjà ; j’ai bien le temps pour un petit verre. » la question est : est-ce que je tiens vraiment à tout savoir sur eux deux, ou à filer avec Tad lui prouver que ce qu’on dit sur les ex-détenus est tout à fait vrai… « Ou pas? »  ouverture, proposition qui chante dans sa direction, et une gorgée de scotch plus tard, je m’assure qu’il capte que dès que le signal sera lancé, on se barre nous aussi à la salle de bain.
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Message(#)The REAL after party - #206 Spring Hill EmptyMer 14 Fév 2018 - 1:15



Tu restes bien proche de Jin même quand il se tourne pour te faire face. Il est tactile parce qu’il pose sa main sur ton bras. Le contact est au plus proche parce que tu portes une chemise manches courte. Tu prends son geste comme un signe supplémentaire qu’il ne dirait pas non à encore plus de contact avec ta personne. Il se souvient mot pour mot de ce que t’as dit à son propos quand vous étiez encore dans la cellule. Ca remonte à y’a quelques heures et tu sens que ça l’a marqué. Tu le regardes, tout près de toi, tes bras autour de lui. Pas pour longtemps. Il se détache de toi et tu ne cherches pas à le toucher de nouveau. Pas tout de suite. Tu restes quand même bien près de lui. Jin veut donc que tu l’aides avec sa blessure.

« Ouais ok. »

Tu peux faire ça. Tu le regardes prendre deux cachets qu’il a trouvé dans la pharmacie. T’as un peu l’impression qu’il prend n’importe quoi et ça t’inquiètes pas plus que ça. Il te file la trousse de secours et tu l’ouvres pour voir ce qu’il y a dedans d’utile. Le sourire qu’il t’offre est contagieux. Sauf que celui de Jin s’en va assez vite parce qu’il a réveillé sa douleur. Il s’installe sur le comptoir et tu t’approches de lui, lui faisant écarter les jambes pour que tu sois entre celles ci. Au plus proche. Jin réduit un peu plus la distance de vos deux visages et il parle de fantasme, de docteur. Ca te fait sourire en coin.

« Je vais bien m’occuper de toi. »

Et tu sors un désinfectant. Tu mets le liquide sur de la gaze et tu approches le tout de la tête de Jin. Tu le préviens pas que ça va piquer parce que c’est sûr que ça va piquer. Néanmoins tu n’es pas brutal. Non. T’es même plutôt très doux dans tes gestes. Délicat. Tu ne veux pas lui faire plus mal.

« Ca va ? »

Après avoir bien nettoyer la plaie, tu jettes la gaze et tu lui rajoutes un pansement des plus boring, blanc transparent. Tu fais bien attention quand tu le mets, de façon à ce que la plaie ouverte soit bien recouverte par le pansement. Tu fais ça bien.

« Et voilà. »

Tu restes debout face à lui entre ses jambes. Tu trouves la position idéale. Tu poses tes mains sur le comptoir, créant contact avec ses fesses. Tu te lèches les lèvres en le regardant. Tu approches ton visage du sien effleurant ses lèvre et tu murmures.

« Il parait que l’orgasme soulage les douleurs. »

Danny qui t’avait dit ça un jour où t’avais la gueule de bois. Ton nez glisse sur sa joue, puis jusqu’à  son oreille, lentement. Tu caresses un peu ses fesses alors que tu continues de parler à son oreille.

« Déjà testé, c’est pas tout à fait faux. »

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Message(#)The REAL after party - #206 Spring Hill EmptyMer 14 Fév 2018 - 6:20



the real after party
« Fais pas genre t’as trouvé une distraction, Charles. » répondait aussitôt Ariane alors que je me prononçais enfin sur les retrouvailles de deux de mes amis, ayant réussi à tenir ma langue tout le long du trajet du poste de police jusqu’à l’appartement de Ryleigh. Décidant d’ignorer sa remarque comme elle avait volontairement fait fi de la mienne, j’insistais, cherchant à obtenir des informations sur leur duo infernal. Mais c’était un dialogue de sourds qui s’établissait entre la rousse et moi, aucun de nous deux réellement prêt à céder du terrain à l’autre. « Crache le morceau sur elle, allez, sois pas chiche. » Je grognais, me refusant à répondre à sa question, me murant dans mon silence comme à l’accoutumée. « Et on te racontera tout sur les ébats de papa et maman. » J’avais lâché un petit rire amusé, en levant les yeux au ciel feignant d’être fatigué de son chantage quand il m’amusait en réalité. « Franchement Parker, même si je voulais te dire quoi que ce soit, je ne saurai même pas par où commencer. » Et c’était là la triste réalité, loin de mes tentatives d’entourloupes que je lui servais d’habitude pour échapper à son radar et à ce nez qu’elle s’évertuait à fourrer partout où ça ne la regardait pas. Dix-huit années de cohabitation, de quotidien partagé, de franche complicité malgré nos différents de l’époque, puis une tragique journée qui avait tout remis en question, suivie de neufs années de franche hostilité et de tout refus de coopération de ma part, tenant éloignée Ryleigh de moi le plus possible, allant même jusqu’à changer de continent pour échapper à ses prunelles azur. Ça me semblait trop long, trop complexe, trop enchevêtré, trop personnel pour être évoqué en quelques mots soufflés du bout des lèvres. Mais Ariane ne me laissait pas m’en tirer à si bon compte, sa curiosité presque maladive cherchant à me tirer les vers du nez une fois de plus, agitant sous ce dernier ce qui lui servait de carotte : « Tout, surtout toutes les vidéos qu’on a prises des prouesses de Tad - à poil. » Et un rire m’aurait échappé si la vision quasi divine de Ryleigh en petite tenue n’avait pas eu raison de ma concentration, accaparant toute mon attention sans laisser la moindre chance à qui que ce soit d’intervenir dans mes pensées. Cherchant à dissimuler mon trouble le plus rapidement possible, je m’étais jeté sur la bouteille de whisky du domaine Egerton qui se trouvait juste derrière moi. « Quitte à avoir empesté toute la pièce déjà ; j’ai bien le temps pour un petit verre. Ou pas ? » répondait Ariane lorsque Ryleigh lui demandait si elle ne voulait pas prendre une douche et après avoir mentionné quelque chose à propos de la salle de bain déjà occupé par Andy et SJ, j’avais décidé d’accorder un regard à Ryleigh, me concentrant sur les iris de l’anglaise pour ne surtout pas laisser mes yeux traîner sur sa peau nue qui se dévoilait presque innocemment çà et là. « Au fait, je t’avais promis des présentations en bonne et due forme, me semble-t-il. » glissais-je à Ryleigh avant de me tourner vers mes deux amis : « Tad, dont je t’ai déjà parlé. C’est avec lui que j’ai passé ma première nuit derrière des barreaux il y a cinq ans. » Puis je me tournais vers la rousse : « Et Parker, qui répond aussi au doux nom d’Ariane. Mais je pense que t’as déjà eu un aperçu du spécimen. » Et j’adressais un petit clin d’œil à la rédactrice du courrier du cœur chez GQ. « J’vous présente, Ryleigh. Une… Comment tu disais déjà ? Ah oui, une amie d’enfance. » dis-je, un petit sourire en coin sur les lèvres. C’était elle qui avait voulu me définir en ces termes un peu plus tôt, me rappelant soudainement la dernière conversation que nous avions eue, celle que j’avais mis en suspens le temps de rassembler mes idées au sujet de la jeune femme, toujours bien trop confuses à mon goût.
©BESIDETHECROCODILE


Dernière édition par Charlie Hazard-Perry le Mer 14 Fév 2018 - 17:08, édité 1 fois
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Message(#)The REAL after party - #206 Spring Hill EmptyMer 14 Fév 2018 - 14:21

Je n'avais toujours strictement aucune idée de pourquoi je cherchais son contact. Depuis la première soirée qu'on s'était croisé, ma libido semblait vouloir absolument que je me colle à lui. C'était une attraction plus forte que moi, surtout que je l'avais toujours croisé en étant en état d'ébriété. Ce soir, je dépassais d'autant plus mes limites. Je voulais son toucher sur moi et je savais que je l'aurai. Je fermais les yeux, alors qu'il me soignait. Il était entre mes cuisses mais pour l'instant, nous n'avions pas encore totalement dérapé. Je crispais légèrement ma mâchoire, sous les picotements très désagréables du désinfectant. Je sentais qu'il faisait tout de même attention de ne pas me rendre l'expérience trop douloureuse. Je lui en étais reconnaissant car j'avais bien assez mal comme ça. Je sentis la pression du pansement sur mon arcade et je rouvris mes yeux pour tomber sur son visage tout proche du mien. Mes doigts passèrent sur sa nuque, remontant dans ses cheveux, incitant à la proximité. Je le laissais me toucher en retour. J'étais encore dans la brume de l'alcool et du coup reçu, qui annihilait toutes mes capacités mentales. Je ne savais pas dans quoi je m'embarquais mais je montais dans le train tout de même. Cependant, je n'initiais rien pour l'instant, le laissant parler. Je ne retiens pas un léger rire étouffé sous sa réflexion sur l'effet positif de l'orgasme pour la douleur. Mes jambes l'emprisonnèrent contre moi. Je pouffais légèrement, posant mon front contre le sien doucement, parlant d'un ton un peu ironique mais joueur en lui répondant : "Je vous fais confiance... docteur. C'est quoi la prescription ? "

J'effleurais ses lèvres, fixant son regard dans le mien. Mes doigts glissèrent sur ses bras, alors que je m'avançais un peu, descendant du comptoir. Je viens clore les derniers millimètres, en posant mes lèvres contre les siennes.  Je fermais encore les yeux, ayant la tête qui me faisait mal sous la lumière trop blanche de la salle de bain. Aussi, je sentais ma chemise nous coller ensemble sous les restes de bière qui y étaient incrustés. Je détachais ma bouche, n'aimant pas la sensation d'être poisseux. Je passais mes mains sur sa chemise, presque aussi taché que la mienne. Sur un ton presque sérieux, mon naturel ultra propre sur moi prenant le dessus quelque soit mon état, je lui donnai un ordre, boudeur: "Enlève ta chemise, tu colles." Ordre qui ne servit pas à grand chose parce que ce fut moi qui ouvrit sa chemise en lui le disant. Puis je passais ma main d'un air critique sur son torse, puis regardai mes doigts qui étaient désormais imprégnés d'un mélange de sueur et de bière, ce qui fit continuer mes remarques de captain obvious. "Tu colles ici aussi... " Je tirais sur ma propre chemise, faisant une moue dépréciative. " Et je colle aussi ... Une douche, ça te dit ? " Je tournais légèrement la tête vers la douche à l'italienne, beaucoup trop belle pour qu'on ne veuille pas l'utiliser. Ma main glissait sur son torse à la hanche, passant un doigt dans sa ceinture, tirant dessus. "Par contre, je crois qu'il faut se déshabiller pour ça, tu m'aides et je t'aides, deal ?" Je penchais légèrement la tête, mais pas trop parce que ça ne faisait que remonter mon mal de tête infernale. J'essayais vainement d'agencer mes pensées mais visiblement, ce n'était pas une bonne idée; Pas la peine de vouloir réfléchir avec un marteau-piqueur à la place du cerveau, je me laissais guider par mes envies. Je fronçais très légèrement les sourcils sous la concentration pour contrôler mes gestes malgré l'alcool, tandis que mes doigts s'affairaient pour détacher son pantalon. Je revenais chercher ses lèvres, rendant la tâche un peu plus longue mais plus amusante aussi.
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Message(#)The REAL after party - #206 Spring Hill EmptyMer 14 Fév 2018 - 16:14

C’est sans douceur, sans subtilité, sans équivoque aucune  que j’appuie innocemment le menton sur ma paume, vrillant mes prunelles à celles de Charlie, en insistant autant de mes mots que de mes regards sur sa petite personne trop distinguée, trop mal à l'aise à mon goût. S’il pensait arriver à me charmer, à me distraire, à m’éloigner de mon dû, ce qu’il rajoute compte tenu du drame qui se profile à l’horizon entre la brune et lui ne fait qu’attiser mon intérêt à des niveaux encore inégalés. « Tu vois, juste ça, et t’es pris au piège - je lâcherai pas le morceau de sitôt. » comme je chante, comme je bats des cils, comme il est mal barré, et que ça m’amuse foncièrement de l'en avertir en toute honnêteté. Tad me laisse faire sans s'interposer jamais, sûrement parce qu’il sait que se mettre en travers de mon chemin pour ce genre de vendetta est gage de guerre froide - et notre relation actuelle allait si bien, nous convenait tellement, que je ne doute pas une seule seconde que lui comme moi attendra une question de vie ou de mort avant de gâcher quoi que ce soit, ce qui n'est pas plus mal pour le sort entier de l'humanité si vous voulez savoir ce que j'en pense. C’est à sec que je me retrouve pourtant, malgré mes manoeuvres rusées et mon troc plutôt charitable, devant le silence d'un Hazard-Perry trop égoïste, trop avare pour me livrer de quoi me mettre sous la dent. Rien que de voir comment il bave devant Ryleigh me donne envie de lui remonter la mâchoire d’un geste, mais je me retiens, tentant encore d'acheter ses bonnes grâces. De toute façon, mes doigts sont occupés à entourer mon précieux verre de scotch tant mérité, alcool ambré qui pique un peu au contact de mes lèvres gracieuseté la Jet Li des bacs à sable. « Et ça, c’était une bonne soirée. » que je commente, le sourire en coin, maintenant que Charlie m’introduit à son amie comme la nana au caractère particulier. C’était exactement ça, et lui encore plus que quiconque pouvait attester de l’attitude pas très souvent facile - lire ici toujours difficile - que j'arborais en public au quotidien. Après 28 ans à vivre avec mon caractère, j’avais fini par m’y habituer et ne plus le remarquer au final. Les autres n'avaient qu'à s'y faire à leur tour. Vivre et laisser vivre qu'on dit. « J'imagine que ça se paie cher, des souvenirs honteux de Charles gamin, right? »  et je rebondis au fameux trauma d’amis d’enfance qu’il semble avoir encore sur le coeur, le pauvre, en pointant désormais mes questions vers Ryleigh. Je retiens un éclat de rire devant le geste de recul du principal intéressé, avant de laisser une poker face des plus maîtrisée ornée mon visage. Let’s play. « Parce que j’ai un large budget pour tout ce qui met en vedette une hygiène douteuse, ou un défaut de diction. » une histoire de pipi qui s’est mal terminée devant public, ou un zozotement qui l’a empêché pendant les premières années de sa vie de prononcer son prénom correctement me semblent être le saint graal à l’instant même.
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Message(#)The REAL after party - #206 Spring Hill EmptyJeu 15 Fév 2018 - 1:07

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Tu souris clairement en coin quand après ta déclaration sur la douleur et l’orgasme, il te serre entre ses jambes. Tu kiffes sa réaction. Il se rapproche encore plus de toi, vos fronts étant collés. Il dit qu’il te fait confiance ? Est-ce que ça veut dire qu’il est partant pour tester ça ? On dirait bien que oui. Il demande la prescription en se collant à tes lèvres. Tu fais glisser ta langue dessus avant de prendre la parole.

« Ce sera donc deux orgasmes. »

Tu souris en coin et t’ajoutes.

« Un pour toi. Un pour moi. »

Tu ne fais pas plus de précision parce que par n’importe quel moyen, cet orgasme, tu sais que tu vas l’apprécier. Que ce soit simplement en le matant se branler ou en le lui procurant, ça t’excite rien que d’y penser. De toute façon t’es sûr qu’il va y avoir contact entre vous parce qu’il est bien trop tactile. Ca peut pas être autrement. D’ailleurs il descend du comptoir et il te déposer un baiser. Tu entreouvre assez rapidement la bouche pour l’embrasser comme il se doit mais il se détache. Il te dit d’enlever ta chemise et ça te fait ressortir ce sourire en coin sur ton beau visage. Il ne te laisse pas le temps de la défaire, parce qu’il s’en occupe lui même. Tu te lèches les lèvres sans le quitter des yeux. Il n’est quand même pas satisfait, parce que tu colles apparemment. Il propose donc une douche.

« Quelle bonne idée. »

Tu sais pas si c’est parce que tu colles mais il arrive pas à se défaire de ton torse. Il te touche beaucoup. T’apprécies. Il s’en prend à ta ceinture et lance qu’il faut que vous enleviez vos vêtements.

« Deal. »

Et tu vas t’en prendre à sa chemise assez rapidement alors qu’il vient prendre tes lèvres. Tu réponds à son baiser avec envie. Il va bien le sentir passer son orgasme. Tu peux le prédire. Tu lui vires sa chemise en premier et tu enlèves ton jeans, te décollant de ses lèvres un instant, quand il t’a ouvert la ceinture. Tu te retrouves en boxers, parce que tu vires ta chemise déjà entièrement ouverte et tu vas l’aider à virer son pantalon lui aussi. Tu retournes l’embrasser ensuite, laissant un léger moment passer avant de te défaire de lui une nouvelle fois pour virer ton boxer. En fait tu l’as pas vraiment laisser faire alors tu vas lui virer toi même son dernier sous vêtement, histoire de dire que vous vous êtes mutuellement mis à poil. Tu souris en coin quand tu peux le mater entièrement nu. La première chose que tu fais c’est regarder son entrejambe. Ca va. Il est pas minus. Ca promet du bon pour la suite. Les clichés ont la vie dure.

Tu vas te coller à lui afin de sentir son corps tout entier contre le tiens et tu reprends de l’embrasser, ta main passant sur sa joue. Tu te détaches assez vite parce que vous vouliez prendre une douche surtout. Alors tu le tires à ta suite pour entrer dedans. Tu allumes l’eau sans en foutre sur toi parce que c’est sûr que ça va être froid. Tu glisses ton bras autour de sa taille pour le rapprocher de toi et pouvoir manger ses lèvres de nouveau en attendant que l’eau devienne chaude.

« Comment tu le veux ton orgasme ? »

Que tu murmures contre sa bouche sans pour autant arrêter de l’embrasser. T’as quelques petites idées pour le lui filer cet orgasme. D’ailleurs ta main libre se faufile bien rapidement à l’entrejambe de Jin. Tu pouvais pas attendre plus longtemps.

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Message(#)The REAL after party - #206 Spring Hill EmptyJeu 15 Fév 2018 - 7:10

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sausage fest

« Au fait, je t’avais promis des présentations en bonne et due forme, me semble-t-il. » Voir un Charlie mondain, presque digne de l'éducation qu'il a reçu et qui respecte les codes de la haute société, ce serait presque un choc si Ryleigh ne savait pas qu'il a tout ça en lui. Il préfère juste penser qu'il s'est débarrassé de tous les réflexes inculqués par ses parents. Et elle ne peut pas le blâmer, même si elle n'a jamais eu autant l'esprit rebelle que lui. « Tad, dont je t’ai déjà parlé. C’est avec lui que j’ai passé ma première nuit derrière des barreaux il y a cinq ans. » Sa « première » nuit. Intéressant ! Ryleigh compte bien creuser un peu ça. « Il y en a eu combien d'autres depuis ? » demande-t-elle intéressée d'obtenir une idée de ce qu'est la vie de Charlie en Australie. Peut-être qu'elle a proposé au jeune homme de faire fonctionner une histoire sans savoir qu'elle s'entichait d'un gangster de renommée nationale, un spécialiste de la garde-à-vue. « Et Parker, qui répond aussi au doux nom d’Ariane. Mais je pense que t’as déjà eu un aperçu du spécimen. » Et quel aperçu ! Entre l'humour acerbe, le dirty talk et le dirty fight. Ariane a fait une sacrée première impression à Ryleigh. Bizarrement c'est une bonne impression alors que sur le principe, c'est le genre de fille dont elle aurait tendance à fuir. C'est probablement son aplomb qu'elle trouve séduisant et c'est une qualité que peu maîtrisent suffisamment pour qu'elle le note. « J’vous présente, Ryleigh. Une… Comment tu disais déjà ? Ah oui, une amie d’enfance. » conclut-il, ce qui la fait arquer un sourcil, presque impressionnée de l'effort qu'il a mis dans ces quelques mots. « Ça va, ça ne t'a pas arraché la langue ? » demande-t-elle taquine, en sirotant son champagne l'air frais de la nuit effleurant sa peau nue. Elle ne veut pas songer à quand remonte la dernière fois qu'elle a pu être qualifié « d'amie d'enfance » par Charlie, une petite décennie au bas mot. « J'imagine que ça se paie cher, des souvenirs honteux de Charles gamin, right? » Ryleigh laisse échapper un petit rire, parce que les souvenirs honteux de Charlie se sont souvent les siens aussi, des moments où aucun d'eux n'a brillé par son intelligence. Mais elle comprend l'idée. « Charles ? J'ai pas entendu quelqu'un t'appeler Charles depuis... un moment. » Depuis cette soirée où, invitée chez les Hazard-Perry pour dîner, elle avait soutenu la décision de Charlie de rejoindre les rangs d'Oxford et avait assisté à l'annonce de son admission. La colère et la déception avaient fait oublier le surnom que tout le monde avait appris à utiliser comme un prénom et un CHARLES retentissant avant tonné. « Parce que j’ai un large budget pour tout ce qui met en vedette une hygiène douteuse, ou un défaut de diction. » Levant son verre, un sourire amusé aux lèvres Ryleigh lance un regard en direction de Charlie. Ses secrets, ou du moins son passé, est en sécurité avec elle, il doit bien le savoir, mais une ou deux petites histoires de leurs exploits d'adolescents pourraient faire un bon sujet de conversation pour briser la glace avec ses amis à lui, pour mettre un pied dans son monde. « Réitère ta demande dans quatre ou cinq verres et je devrais cracher toutes les informations que tu veux. » fait-elle avant de tomber le reste de sa flûte et de se resservir un verre avant de venir se poser à côté de Charlie, s'asseyant en diagonale, tibias hissés sur le canapé pour que ses pieds ne touchent pas le sol et que sa culotte ne soit pas exposée à la vue de Tad, qu'elle ne connaît pas de façon assez intime pour lui offrir ce genre de paysage. Charlie en revanche a une vue plongeante sur son décolleté, si tant est qu'il ait le courage de regarder dans sa direction.


Dernière édition par Ryleigh Egerton le Ven 16 Fév 2018 - 2:16, édité 1 fois
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Message(#)The REAL after party - #206 Spring Hill EmptyJeu 15 Fév 2018 - 10:13

Et ce serait bien trop compliqué de raconter comment il s’est retrouvé dans cette histoire. Tout ce qu’il sait, c’est qu’il a entendu les mots : Ariane, Charlie, dégrisement et poste de police. Qu’il s’est levé fissa et qu’il a pris soin d’être un minimum présentable pour qu’on ne confonde pas son saut du lit avec la gueule de bois des autres. Et qu’il est là, maintenant, à entendre pour la vingtième fois comment Ariane a plongé la tête d’une nana dans la cuvette des toilettes, comment Seung s’est fait abîmé sa p’tite gueule et comment tout ce p’tit groupe a fait connaissance. Tout ça, sur le chemin de l’appart d’une nana qu’il ne connait même pas. Il avait eu l’habitude de se retrouver dans les plans foireux de Sully, mais là, que ça vienne de Charlie et Ariane (d’ailleurs, depuis quand ils sortent tous les deux ?) ça l’étonne. Et c’est la curiosité de Charlie qui interrompt tout, ses questions sur ce qu’ils sont, Ariane et lui maintenant, et Tad reste silencieux, sourire en coin, tandis que la conversation se fait entre eux, y’a juste sa main, qui se promène dans le dos d’Ariane, qui caresse sa peau, probablement d’ailleurs la seule parcelle qui n’a pas été pollué par le manque d’hygiène de la cellule. Et c’est Ariane qui répond, qui le provoque sans qu’il n’en dise rien, plutôt habitué à les voir se lancer des vannes, l’échange est bien trop cordial à son goût. Et visiblement, il semblerait qu’il restera dans cet état. L’hôtesse refaire son apparition dans son appartement. Visiblement, elle semble avoir oublié qu’elle recevait du monde, parce qu’elle semble déjà prête à aller dormir. Quoique, la vision ne le dérange pas pour autant, vu qu’au moment où elle passe près de lui, Tad ne se dérange pas pour pencher la tête et essayer d’avoir une image de jusqu’où ce bout de tissus peut aller. Ça parle de Seung, de douche, de bain. Enfin, D’Ariane dans un bain, ce qu’il n’ose pas dire et il a le regard qui se tourne vers elle pour lui demander si faut vraiment qu’elle y aille là. C’est Charlie qui le sort de ses pensées quand il fait les présentations, qu’il présente Ryleigh, et Ariane qui, fidèle à elle-même, se lance dans le commerce de souvenir compromettant, et la jeune fille répond. Comme si d’avoir passé lé soirée en dégrisement ne suffisait pas, ça parle déjà d’alcool. « En tout cas, moi, j’aimerais bien avoir une amie d’enfance comme ça. » Qu’il lâche, comme si c’était naturel, puis y’a le regard de tout le monde qui se tourne vers lui. « Quoi ? J’ai dit une connerie ? »
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Message(#)The REAL after party - #206 Spring Hill EmptyJeu 15 Fév 2018 - 10:54



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Si je m’étendais en général assez peu sur mes états d’âmes, refusant bien souvent d’en faire part au premier qui s’en réclamait et contrant presque toujours en me murant dans un silence face aux petits curieux, lorsqu’il était question de ma relation complexe et ô combien conflictuelle avec l’anglaise, j’avais la fâcheuse tendance à me fermer comme une huitre. Et même Ariane s’y cassait les dents aujourd’hui, elle, qui par sa détermination et son esprit aiguisé que j’appréciais particulièrement, parvenait en général à force d’insistance et de regards appuyés à me tirer les vers du nez. Elle était pourtant bien téméraire, usant d’un pseudo chantage qui était devenu depuis le temps une vaste blague entre nous. Mais je ne flanchais pas, pas même devant ses menaces à peine dissimulées : « Tu vois, juste ça, et t’es pris au piège - je lâcherai pas le morceau de sitôt. » Un sourire en coin sur les lèvres, j’avais sifflé pour toute réponse : « Je n’en attends pas moins de toi, Parker. » Et peut-être qu’un jour, aidé par la proximité d’une bonne bouteille et quelques grammes d’alcool dans le sang, je me laisserai à lui donner l’accès à cette histoire dont elle se réjouirait, il n’était pas à en douter, mais pas aujourd’hui, pas alors que Ryleigh faisait irruption dans la pièce, sa tenue dissimulant autant de sa peau qu’elle en révélait. Et si cette vue m’avait figé un instant le temps que mon cerveau encaisse l’information, si la vision de la silhouette presque dénudée de la belle brune avait évincé toute autre pensée de mon esprit, du blanc de l’œil je n’avais pas loupé le léger mouvement de tête de Tad que je devinais dirigé droit sur la chute de rein de la propriétaire des lieux. Me décidant néanmoins à détourner l’attention du trouble évident que la vision de tant de chair exposée de la part de l’Egerton provoquait chez moi, je me décidais à faire les présentations, comme je l’avais plus ou moins promis à Ryleigh lorsque j’étais venu trouver refuge chez elle, bourré comme un coin et pas l’âme à retrouver l’ambiance délétère de la villa Hazard-Perry. J’avais d’abord introduit Tad à Ryleigh, faisant mention de cette nuit derrière les barreaux que nous avions tous les deux passés avec Sully. « Il y en a eu combien d'autres depuis ? » Je riais un peu, amusé par sa question avant de secouer la tête en signe de négation : « Seulement une. » Si je m’étais définitivement encanaillé au contact de la populace de Brisbane, je n’étais pas encore prêt à devenir un vulgaire voyou. Ayant brièvement fait mention d’Ariane que l’anglaise avait déjà eu le plaisir de voir en action, je décidais de présenter cette amie d’enfance à mes amis de maintenant, mon passé londonien et mon présent australien se confrontant une fois de plus, à mon plus grand désarroi. « Ça va, ça ne t'a pas arraché la langue ? » que l’anglaise me demandait aussitôt, la malice clairement palpable dans le ton, comme les choses avaient eu l’habitude d’être entre nous, presque dix ans plus tôt. « Un peu, j’ai eu de la peine à essayer d’éliminer cette étiquette de petit snobinard britannique qui me colle à la peau et avec toi à mes côtés, c’est définitivement peine perdue. » lui rétorquais-je, retrouvant presque mes automatismes d’antan, non sans qu’ils embarquent avec eux leur dose de nostalgie. Et Ariane avait aussitôt bondi sur l’occasion pour essayer de tirer à Ryleigh des souvenirs compromettants dont elle pourrait se servir contre moi à l’avenir (comme si elle avait réellement besoin de ça pour me mener la vie dure) : « J'imagine que ça se paie cher, des souvenirs honteux de Charles gamin, right ? » Et aussitôt la brune se tournait vers moi : « Charles ? J'ai pas entendu quelqu'un t'appeler Charles depuis... un moment. » s’étonnait Ryleigh en me lançant un bref coup d’œil et pour toute réponse je lui avais servi un vague haussement d’épaules résigné. J’avais abandonné tout espoir de voir la rousse m’appeler par ce surnom auquel je répondais quasiment exclusivement depuis des années. Et à dire vrai, elle avait presque réussi l’exploit de me faire oublier les souvenirs désagréables qui venaient par centaines à l’entente de mon véritable prénom. Parker continuait d’insister lourdement auprès de Ryleigh, bien décidée à obtenir de quoi se mettre sous la dent, cette dernière répliquant alors : « Réitère ta demande dans quatre ou cinq verres et je devrais cracher toutes les informations que tu veux. » qui lui valait de recevoir un regard noir et courroucé de ma part. « J’ai de quoi répliquer. » la menaçais-je presque en retour, mes yeux déviant un instant de ses iris bleutées pour se poser à la naissance de sa poitrine qu’elle m’exposait sous le menton, presque sans gêne. A l’instant même où elle était venue trouver sa place à mes côtés, j’avais l’impression qu’un arc électrique était venu se suspendre entre nous, flottant dans l’air qui nous séparait, son parfum enivrant ne tardant pas à me parvenir aux narines. Et si je faisais mon mieux pour ne rien laisser paraître, j’avais de plus en plus de mal à ignorer le trouble qui s’était emparé de moi. C’était la voix de Tad qui m’avait arraché à la contemplation de la peau de pêche des jambes de la brune : « En tout cas, moi, j’aimerais bien avoir une amie d’enfance comme ça. » Aussitôt c’était trois paires d’yeux qui se posaient sur lui : « Quoi ? J’ai dit une connerie ? » répondait-il avec un air presque innocent que je ne lui connaissais que trop, m’arrachant un sourire en coin, presque amusé et pas peu fier d’obtenir son approbation dans mes choix en matière de femmes. « Crois-moi, il n’y a pas toujours eu autant à apprécier. » soufflais-je en le regardant, une moue presque boudeuse sur la face alors que je portais à mes lèvres mon verre de whisky pour en boire une gorgée. Et sentant que rapidement les interrogations à notre sujet ne tarderaient pas à revenir sur le tapis, devinant sans peine l’impatience et la curiosité grandissante d’Ariane quant à ma relation en dents de scie avec la brune, je décidais de dévier de nouveau le sujet de conversation. « Donc vous deux, c’est back on track depuis longtemps ? » demandais-je en désignant Tad puis Ariane de la main qui tenait toujours mon verre. Parce qu’au-delà de souhaiter éloigner la discussion de ma vie sentimentale, j’étais motivé par la même curiosité à leur sujet que celle qui animait la rédactrice du courrier du cœur de GQ au regard de ce "nous" que je semblais à nouveau former avec ma jumelle Egerton. « Parce que je devrais presque m’offusquer d’avoir été maintenu dans l’ombre aussi longtemps. »
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Message(#)The REAL after party - #206 Spring Hill EmptyJeu 15 Fév 2018 - 14:08

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Sa prescription me fait rire. Ce n'était pas très commun un médecin qui se prescrit des soulagements pour lui aussi. Cependant, j'étais le patient et je n'allais pas juger ses choix. Mes mains étaient de toute façon beaucoup trop occupé à vérifier si son régime sportif porté ses fruits. Effectivement, ça avait l'air bien efficace, vu la fermeté des muscles que je sentais. Nos bouches se cherchaient et se trouvaient avec facilité. J'ignorais avec force mon mal de tête, espérant que les cachets feront effet dans pas trop longtemps, me concentrant sur la sensation de son toucher. Après tout si l'orgasme était le plus efficace, les préliminaires devaient au moins aider un peu. Entre chaque écart de nos lèvres, un vêtement trouva le chemin du sol. Bientôt mes doigts ne touchaient plus aucun tissu, juste son épiderme collant. J'étais mêlé entre l'excitation et le léger dégout, n'aimant vraiment pas savoir ce qu'on avait bien pu toucher pour arriver à ce niveau de poisseux sous les doigts. Je le laissais quand même presser son corps contre le mien, oubliant mes réticences hygiéniques sous sa bouche. Ma main se faisait aventureuse, passant de la chute de son dos à ses fesses en testant la fermeté.

Il recula vers la douche et je le suis, en profitant pour le détailler au passage. Sa peau bronzé me donnait envie de le dévorer et les dieux avaient été généreux pour s'assurer qu'il soit bien viril. Je n'avais pas de problème avec ma taille, mais je devais admettre qu'il avait au moins 3 bons centimètres de plus, c'était pas rien. Il allumait l'eau et je passais mes mains sur son dos, en venant reprendre mon exploration. Je venais goûter encore une fois à ses lèvres, y développant une addiction certaine. Je ne savais pas ce que je recherchais en faisant ça, mais tout avait moins l'air douloureux, quand il me touchait. Nous nous embrassons en amant, sans chercher d'autre justification que le plaisir immédiat. Je lâchais un léger soupir, quand je sentis ses doigts sur mon entrejambe. Mes dents vinrent tirer légèrement sur sa lèvre inférieure, avant de répondre à sa question.

"Comme ça, c'est pas mal"

L'eau commençait a être plus chaud et je le poussais légèrement dessous. Je choppais le gel douche et le passai sur lui, mes mains caressant son torse sans pudeur. Progressivement, mes doigts descendirent jusqu'à son bas ventre, venant le toucher à mon tour. Je collais mon corps contre le sien, profitant de la chaleur de l'eau qui tombait en pluie. Je commençais à me sentir bien, la douleur qui encombrait mon visage, passant au second plan. J'étais grisé par les sensations de lui sur moi. Je reculais pour avoir le dos contre le mur de la douche, ne rompant mon contact avec Andy et profitant de l'eau qui délassai mes muscles endoloris. J'étais enfin détendu.

Soudain, un mouvement attira mon attention dans la salle de bain. Je n'étais pas sûr d'avoir bien vu, derrière l'épaule d'Andy. Me disant que c'était surement que mon esprit confus, je fermais les yeux pour continuer sans être dérangé. Mes mouvements se faisaient de plus en plus assuré, vu qu'il n'était pas difficile de faire plaisir à un homme, surtout quand on en était un. Je rouvris les yeux pour bouger un peu ma tête et échanger l'angle de notre baiser. Mes pupilles s'écarquillèrent soudainement, me figeant, je laissais un seul mot étranglé sortir:

"Fuck"

Derrière nous, la tête sortant de la cuvette des toilettes, un serpent. Mon excitation redescendit d'un coup, parce que vu qu'on était en Australie, il y avait beaucoup de chance pour que ce reptile soit venimeux et potentiellement mortel. Je tirais avec force Andy par le bras, lui pointant la créature écailleuse qui essayait de s'extirper du conduit.

"Faut qu'on sorte d'ici ! Tout de suite ! "

Je regardais paniqué à droite à gauche pour trouver un truc pour se protéger, parce que fallait passer devant les toilettes pour sortir de la salle de bain. Je choppais le fer à lisser et le balançai à la tête de l'animal. Forcément, ça rata mais ça nous laissa le petit lapse de temps pour passer devant. Je déverrouillai la porte en catastrophe et sortit en courant de la salle de bain, tirant Andy par le bras. Dans notre plus grand nudité, on se retrouva dans le salon, le serpent à nos fesses.
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Message(#)The REAL after party - #206 Spring Hill EmptyVen 16 Fév 2018 - 1:04

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Il te mord la lèvre quand tu le touches et tu prends ça comme un signe positif. T’aimes beaucoup qu’on te morde, alors il aurait pas pu mieux faire pour appuyer tes envies. Il te répond que ce que tu lui fais est suffisant pour son orgasme. Tu sais pas pourquoi tu sentais que ça resterait soft avec lui. Il avait pas l’air du tout partant pour que tu ailles plus loin avec lui la dernière fois que vous vous êtes embrassé. Tu te souviens très bien que les mots « Je veux te bouffer le cul » lui ont fait tout stopper. Tu étais donc presque sûr que c’était mort à tout jamais avec lui. Mais visiblement non. Suffit juste de pas sortir trop de trucs cru en sa présence pour arriver à ses fins. Du coup tu continues de le caresser même quand il te pousse sous l’eau qui est à présent chaude. Il te savonne et tu le laisses faire alors que toi t’es toujours bien occupé sur sa queue. Le temps passe quelque peu et te voilà bien raide. Tout autant que lui. Même plus. T’es plus imposant, mais il n’a pas de quoi rougir. Il vient s’occuper de toi à son tour et tu vas reprendre ses lèvres alors qu’il se colle à ton corps. Tu cherches pas vraiment à le savonner en retour. Tu verras plus tard pour ça, t’es bien assez occupé sur son membre et son visage comme ça. Oui parce que tu l’embrasses, mais tu dévies sur sa mâchoire et son cou quelque peu. Ton rythme est assez lent sur lui, t’as envie que ça dure le plus longtemps possible parce que c’est bon. Tu laisses s’échapper un léger gémissement contre ses lèvres et tu reprends de lui manger la bouche comme il se doit. T’es un peu dans un autre monde là.

Sauf que tout s’arrête d’un coup. Jin jure et ta prise sur lui se défait. Tu tournes la tête pour voir ce qu’il se passe et tu crois voir un truc mais tu le captes seulement quand il te tire par le bras. Un putain de serpent dans la cuvette des chiottes.

« Oh bordel. Fais chier ! »

T’es bien d’accord quand il annonce qu’il faut sortir de là. La douche n’est pas fermé entièrement, le serpent pourrait entrer par le haut. Dommage. Tu fixes la bête qui bouge dans le toilette et t’espères qu’elle va pas aller bien plus loin. Jin balance un truc sur sa gueule et vous profitez de la distraction pour filer rapidement. Tu manques de glisser en marchant vite mais tu fais un dérapage contrôlé. Tu fermes la porte derrière vous pour ne pas que le serpent puisse sortir et vous suivre plus loin. Cette bestiole avait l’air bien trop grande pour passer sous la porte, vous devez être à présent tranquille.

Juste que maintenant vous vous retrouvez tous les deux, à poil, dans le salon. Tu choppes un coussin sur le canapé et tu le poses sur ton entrejambe. Non pas que ça te dérange vraiment d’être à poil devant eux, mais t’es encore hard.

« Y’a un serpent dans la salle de bain. »

T’expliques le plus naturellement du monde le pourquoi de votre arrivée fracassante.




Dernière édition par Andy Rivera le Dim 18 Fév 2018 - 7:24, édité 2 fois
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