| et c'est parti pour le show, et c'est parti le stade est chaud (rp libre exposition) |
| ÂGE : trente-trois ans - (23.08.1991) STATUT : même le bonheur, c'est sympa, mais c'est pas stable. c'est juste une pause entre deux trucs qui s'passent mal. MÉTIER : il faisait des efforts, mais le projet qui devait changer sa vie est revenu à une autre entreprise. il se retrouve sans emploi, sans perspectives d'avenir non plus. en gros? c'est la merde... LOGEMENT : on lui a repris les clés du #333 water street (sping hill), mais prétends que c'est juste le temps de quelques travaux, conséquence d'un dégât des eaux. en attendant de trouver une issue à son mensonge, il oscille entre une chambre d'hôtel, le lit de Greta et le canapé de Kendall POSTS : 7485 POINTS : 860 TW IN RP : consommation de drogue, déni d'addiction, propos homophobe et sexiste GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : véritable produit de la bourgeoisie londonienne › égoïste, il pensera toujours à lui avant toute chose › addict à la poudre malgré une première désintoxication en août 2021 › grand enfant qui ne sait toujours pas quoi faire de sa vie et préfère s'amuser en pensant qu'il n'y aura jamais de conséquences. CODE COULEUR : #0C4857 RPs EN COURS : (06) greta #16 › swann #17 › ken #3 › ottie › lena › murphy
(ua) bailinny
moventry #9 › i feel a little nauseous and my hands are shaking. i guess that means you're close by. my throat is getting dry and my heart is racing, i haven't been by your side in a minute, but i think about it sometimes. even though i know it's not so distant ❘ #1 › #2 › #3 › #4 › #5 › #6 › #7 › #8 › #9 › #10 › #11 › #12 › #13 › #14 › #15 › #16
swann #17 › well, well, you better run from me. you better hit the road, you better up and leave. don't get too close, 'cause i'm a rolling stone and i keep rolling on. you better run from me before i take your soul. even if your heart can't take i'll light you up in flames.
RPs TERMINÉS : (2024) swann #15 › greta #13 › greta #14 › ken #1 › swann #16 › greta #15 › kendall #2
(2023) greta #2 › swann #6 › swann #7 › eleonora #3 › mariage rowann › greta #3 › swann #9 › greta #4 (2016) › greta #5 › greta #6 › swann #10 › corey #3 › noor › swann #13 (2011) › greta #9 › malone #2 › london gang › emery #1 › mickey
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(ua zombie) ruben #8 › tessa › ruben #9 AVATAR : françois civil. CRÉDITS : brenda-panicstation (avatar), harley (gif profil&signa), harley (gif greta), harley (gif swann), endlesslove (code signa), loonywaltz (ub) DC : atlas siede (ft. sebastian stan) › shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › nina sterling (ft. suki waterhouse) › ollie gallagher (ft. paul mescal) PSEUDO : paindep. INSCRIT LE : 19/11/2018 | (#)Mar 5 Mai 2020 - 18:03 | |
| Il y en a du monde à cette exposition. J’ai du mal à suivre le fils. C’est toujours la même chose quand je me retrouve dans un groupe aussi grand, je ne parle plus et je me contente d’observer tout en tentant de suivre les conversations. Elle connaît cela par cœur Jill, elle sait qu’il ne faut pas me brusquer, je sens simplement sa main se glisser dans la mienne et c’est tout ce qui me suffit. Clément est là, il connaît Grace et je hoche la tête. « Je connais bien Lola. » que je lui apprends alors que mon regard n’arrive pas à se fixer sur une seule personne. Je crois qu’il s’échappe déjà, je sais plus vraiment. Je regarde le ballet de visage connu et inconnu. Une jeune brunette vient nous parler, puis quelqu’un qui s’intéresse à la même toile que nous et soudainement ça me stresse. Je voulais vraiment celle-là. « Je sais pas, on devrait voir avec Lola. » Elle nous connaît bien, on pourrait avoir l’avantage ? Je n’en sais rien. Et déjà, je me perds dans mes pensées pour tenter de calculer le prix que je devrais proposer à Lola pour que ce ne soit pas trop faible, mais pas complètement indécent non plus. Et tandis que je pense à tout cela, j’aperçois Ginny et Auden qui entre dans la salle. Nos regards s’accrochent, je me contente d’un sourire dans leur direction. Simple, sans faire de vague, comme les adultes que nous sommes.
Et déjà, Jill m’entraîne à nouveau devant la toile qui nous intéresse tant. On intercepte Lola en chemin et je retrouve un peu de ma sociabilité. « Il y a une toile qui m’a vraiment tapé dans l’œil. » que j’avoue à la jeune femme en lui souriant quelque peu. « Si tu ne l’as pas déjà vendu, on pourra en discuter plus tard. » Je reste un Fitzgerald malgré tout, on ne parle pas de chiffre aussi ouvertement. Jamais. Il paraît. « En tout cas, c’est une vraie réussite. » Et elle propose d’aller manger un morceau et bien entendu, Jill mentionne déjà qu’elle à faim. « Choisi un restaurant avec beaucouuuup de choix à la carte alors. » Je pointe ma femme en riant un peu. « Notre frigo a été vidé en ce qui semble être un temps record. » |
| | | | (#)Mar 5 Mai 2020 - 18:41 | |
| Lola était épuisée, et le vernissage touchait à sa fin. Elle n'oublierait jamais cette soirée. Pour venir la combler encore plus, Sixtine, Jill et Bailey parlaient tous d'acheter des toiles, et elle rougissait, notre peintre. En plus, elle n'avait aucune idée de comment on faisait dans ces cas-là. "Faut que je demande à Grace", avoua-t-elle en baissant les yeux, "je lui poserai la question autour d'un repas." Et tout le monde était d'accord pour aller manger, ce qui ne la surprenait pas de la part de la McGrath, mais elle était étonnée et ravie que Sixtine se joigne à eux. "Chouette ! J'ai hâte d'apprendre à te connaître." La meilleure amie de Grace, rien que ça... Stakes were high. "Je vais voir avec Grace, et je reviens vous dire ce qu'on fait."
Elle rejoignit son amoureuse avec un grand sourire réjoui, et lui prit la main tandis qu'elle finissait une conversation. Profitant d'une pause dans la discussion, elle lui souffla : "On aimerait aller manger un bout avec Sixtine, Jill et Bailey, t'es partante ? Ca te dirait chinois ? On peut tous partager plein de plats comme ça. Ou italien, si tu préfères." Maintenant que le stress était retombé, elle sentait son appétit remonter en flèche et n'avait qu'une envie : rire autour de carbohydrates et alcool, avant d'aller dormir quatre-vingt-douze heures. "Ah, et il faudra que tu m'expliques comment on fait quand plusieurs personnes veulent la même toile", grimaça-t-elle, en espérant que Grace était experte dans ce domaine.
Lorsque tout le monde fut prêt, elle récupéra ses affaires, et donna l'adresse à tous les participants. Ils se retrouveraient là-bas, car chacun prendrait sa voiture. Juste avant d'éteindre les lumières, il ne restait plus qu'elle et Grace dans l'exposition, et c'était magnifique, et c'était inouï. "Merci, chou", plaisanta-t-elle, car il y avait trop d'émotion et de gratitude pour rester tout à fait sérieuse. Puis, elles s'extirpèrent de la galerie et fermèrent à clé.
- Spoiler:
C'est tout pour moooooi. Merci infiniment à tous d'être passés et d'avoir été merveilleux. Je vous aime jusqu'à l'infini et au-delà.
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| | | | (#)Mer 6 Mai 2020 - 17:41 | |
| A force de la regarder, il fallait bien s’y attendre ; Lennon l’avait cramée et elle allait devoir répondre de ses actes. Ca, elle l’avait vu dans son regard dès qu’elle l’avait abordée, alors elle n’est pas surprise quand Lennon, sous couvert d’une excuse, avoue qu’elle l’a chopée et que la discrétion n’est pas son fort. Bien bien bien : par où commencer ? Le savon qu’elle a passé à Jordan lorsqu’il lui a raconté, outrageusement donneuse de leçons alors qu’on pouvait lui adresser les mêmes reproches ? La ressemblance frappante avec Rosa, qu’elle ne pouvait ignorer tellement elle était prégnante ? Le sujet visiblement touchy du foursome hypothétique ? “C’est moi qui m’excuse. Tu ressembles beaucoup à quelqu’un que j’ai connu et ça m’a perturbée.” Ah. “Et Jordan m’a parlé de toi.” Tout à la fois, donc. Elle cherche ses mots, se débat ostensiblement pour prononcer la prochaine phrase : “Rassure-toi, il a pas dit grand-chose.” Le sourire tendu ne tromperait même pas un aveugle, mais que lui dire de plus ? Qu’elle compatissait et était gênée par procuration ? Rien de tout ça n’avait à voir avec elle, et Grace ne veut pas s’immiscer davantage encore. “En tout cas, merci d’être venue. Au plaisir de te recroiser, à l’occasion.” Sous-entendu évident : si Jordan finit par se sortir la tête du cul.
Puis un grand bonhomme barbu la rejoint à son tour, la séparant à nouveau du petit groupe qui s’est créé à proximité du mini-buffet. Bonsoir. Grace, c'est ça ? J'ai fait un tour dans l'expo', et j'aime beaucoup ton travail. Tu aurais un instant pour qu'on en discute ? Adieu Clément, adieu le groupe dont Lola dont elle commençait à se rapprocher, adieu Sixtine qui est peut-être en train de la décortiquer dans un coin, adieu Lennon (et pour ce coup-ci elle en est plutôt contente). Au-delà d’histoires de sexualité et de ressemblance à une ex-femme décédée, revenir sur le sujet du soir lui fait du bien : “Avec plaisir.” De la salutation de l’homme envers Clément, elle déduit qu’eux aussi, se connaissent, sans nécessairement arriver à déduire quoi que ce soit de leur proximité. Qu’importe sur le coup : l’homme demande des précisions sur la troisième photo exposée et Grace est ravie de lui répondre, d’ajouter quelques précisions au pamphlet plutôt vague sur la répression politique et l’omerta du grand public. “J'ai pris ça au Honduras, en 2014. J’ai rencontré Carlos dans un café le matin, le premier qui ouvrait à Tegucigalpa aussi tôt, et on a passé la journée ensemble. C’était un ancien animateur radio qui a dû lâcher son job en 2009, pendant la répression. Il recevait des menaces de mort constamment avant ça, il a continué d’en recevoir après. Plus de boulot possible puisque fiché comme opposant, plus de vie sociale, c’était un de ces rebuts de la société comme l’Amérique Latine en recrache beaucoup.” Elle regarde le visage fatigué, affaissé de Carlos, clope à la bouche, comme s’il sortait d’un autre univers auquel elle avait cessé d’appartenir. Ses épaules s’affaissent un peu : ici où son plus grand souci est d’avoir un nouveau job encore moins passionnant que le précédent, elle se demande si elle n’a pas vraiment perdu son amour premier pour la photographie. “C’est les gens comme lui que je veux mettre en scène. Ceux qu’on oublie sur les guides touristiques et aux infos parce que c’est plus facile. Ceux qui ont tout perdu au profit de la modernité et de l’uniformité. C’est prétentieux, mais les photographier me semblait le seul moyen de parler d’eux sans parler à leur place.” Et c’était sûrement ethnocentré, comme vision des choses, parce qu’on y mettait toujours ce qu’on avait connu le plus intimement, mais elle s’était faite à l’idée que ce ne serait jamais profondément objectif. Les pamphlets étaient après tout là pour donner le choix ou non de la lecture. “Artiste toi aussi, ou simplement intéressé ?” demande-t-elle en retour, intriguée par ce grand dadais aux nombreuses questions.
L’heure tourne, Grace retrouve le petit groupe qui s’est amassé. Sa mère n’est toujours pas venue, n’a pas donné signe de vie par message. Elle écoute les voix qui lui parviennent avec distraction, réagit à peine quand Lola s’adresse à elle, haussant les épaules tout en gardant les yeux dans le vague : “Ca se joue à plouf-plouf.” Sourire débile et navré. Puis ça parle d’un restaurant, et la jeune femme acquiesce à tout, toujours perdue dans ses pensées. C’est con, parce qu’elle devrait être suffisamment habituée pour au moins s’en douter, mais l’absence d’Alexis pèse aussi lourd que les années de retard accumulées et Grace ne sait pas comment s’en relever sans lui en tenir rigueur. Finalement, la salle se vide, Lola et elle sont les dernières présentes, la plus jeune a retrouvé son enthousiasme inébranlable et la photographe lutte toujours avec ses émotions. C’est peine perdue : le stress est redescendu et la légèreté ne revient pas. “Je…vais devoir vous fausser compagnie, finalement”, s’entend-elle dire, mais c’est distant et ça sonne faux. “J’avais oublié, mais j’ai promis à Greg de manger avec lui.” Et sur ces mots, elles quittent la pièce et Grace salue le petit groupe amassé dehors avant d’en prendre congé. Pas de message pour sa mère : elle appelle directement Greg, parce qu’ultimement, il semble être le seul à pouvoir partager sa solitude ce soir.
- Spoiler:
merciiii à tous d'avoir participé, c'était giga chouette je peux faire revenir grace si @lennon warner ou @allan winchester veulent poursuivre la conversation, sinon on trouvera un autre moyen pour les prolonger
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