« je sais le ciel ne m'en veut pas d'avoir posé les yeux sur toi »    dylane bradford & elias sanders

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Jamais, il n’aurait pensé la veille au soir que cela finisse ainsi au petit matin. Habituellement, il aurait finis sa nuit dans les bras d’une inconnue, pour l’oublier, sans émettre un seul instant, qu’elle l’attire autant qu’elle le repousse. Sans jamais se demander ce que sa vie pourrait devenir si un jour, il lâchait prise, si un jour, il osait. Parce qu’il n’a jamais vraiment cru en l’amour Elias, jamais vraiment su compter sur les autres. La peur de souffrir, la peur évidente d’un abandon, un de plus. Un qui ne dira jamais, parce qu’il se prétend intouchable, alors même qu’il a touché le fond, plongeant corps et âme jusqu’à son épuisement, sa propre mort. Et quand il s’est relevé, jamais, il n’aurait pensé pouvoir ouvrir son cœur, s’attacher une nouvelle fois. Il n’a pas peur du risque visiblement, mais c’est grâce à elle tout ça. Ca aurait été quelqu’un d’autre, une personne que jamais il n’aurait accepté la même sentence. Il aurait repoussé corps et âme, se braquant, parce que la seule évidence que de se trouver en compagnie de quelqu’un en qui il pourrait un jour s’attache lui paraissait inconcevable. Mais elle est parvenue à ses fins, il le savait peut-être au fond. Il le sentait quand ses yeux se posés sur elle, quand ses mains effleuraient la jeune femme. Quand il la repoussait de la plus basse des manières et qu’elle se défendait comme elle le pouvait. Il se savait perdant et pourtant, il ne regrette rien. Pas même de l’avoir vu la veille chez lui, pas même de lui avoir parlé. Il y en avait du monde, mais son monde s’est figé à la seconde même où son regard a plongé sur elle, sur ce corps qu’il a tant envié de loin, et si il n’a jamais su le dire aussi distinctement, le fait qu’elle soit la première à avoir subi son sale caractère fait d’elle, celle que son cœur à choisi. Mais il ne compte pas lui dire, jamais. Il ne compte pas vraiment lui faire de déclaration, il n’en a jamais fait pour quiconque, et ne saurait pas s’y prendre. Sa seule présence dans cette douche répond à ses questions et ses attentes. Pour lui du moins, c’est amplement suffisant pour qu’elle devine qu’elle n’est pas qu’une banale à ses yeux. Il ne prend jamais de douche avec quiconque Elias, faut pas rêver ! Il se détache d’elle, et elle retrouve le sol, les yeux qui le fixe, brillant alors que son sourire coquin ne le quitte plus, mais Elias a encore besoin de la sentir près de lui, il ne peut plus se passer d’elle, pas aussi rapidement, « ha bon ... » Elle le regarde avec de grands yeux ronds, et ça le fait rire. S’inquiète-t-elle de son sort ? Et elle a bien raison. Quoi que… « T'es pas mal dans ton genre non plus » Il arque un sourcil en se saisissant du gel douche posé à même le sol, déposant ses lèvres sur les siennes, avant de chuchoter contre ses lèvres, « juste pas mal ? » Sa moue est quasi boudeuse, mais jamais bien longtemps, parce qu’il a une idée en tête, et que certainement c’est pas la meilleure de ses idées, mais ça lui plait bien. Continuant leur jeu, il la savonne avant qu’elle ne lui vole des mains le flacon de gel douche, quand elle pense qu’il a enfin finit de son côté. Profitant de ce rapprochement pour continuer de créer un lien si particulier, il n’en rate pas une pour l’observer en coin, un sourire pourtant toujours présent à ses lèvres. Il le sait, que la vie ne sera pas toujours aussi rose, mais pour l’heure, il souhaite juste profiter de ses quelques instants, tout peut s’achever du jour au lendemain, et ils viennent à peine de se trouver. A peine se l’avouer à demi-mot. Sanders est quelqu’un de bien quand elle est là, quelqu’un de différent que ce petit arrogant qui en veut à la terre entière des misères de sa mère. Elle passe elle-même ses mains sur le corps du flic, jouant avec lui, « on aura tout de même fini par la prendre cette douche » Qu’elle avoue avant de lui en mettre sur le bout du nez, il peste, marmonne avant de l’emprisonner dans ses bras, alors qu’il l’entend rire et se débattre à la fois, et quand il finit par la relâcher, elle poursuit le lavage du corps d’Elias. « Tu reprends ton service à quelle heure aujourd’hui ? » Ou peut-être ne travaille –t’elle pas… « Parce que je me disais… » Et il ne peut pas s’empêcher de passer sa main contre elle pour ramasser un paquet de mousse et lui souffler sur son visage, avant de reprendre, « qu’on pourrait un peu rester ensemble ce matin, » il la pousse hors de l’eau pour s’y mettre, et prendre toute la place, non sans se coller à elle et lui remettre toute la mousse sur elle, alors qu’elle venait de se mouiller pour se la retirer. « Je reprends qu’à 15 heures. » Qu’il finit même si elle allait protester, râler, et sans doute lui vider le gel douche sur sa tête, qui sait…

Je sais le Ciel ne m'en veut pas d'avoir posé les yeux sur toi

∞ Dylane & @Elias Sanders ∞

Et si tout ça n'était que passager ? Et si tout ça n'était qu'un rêve ? Et si après cette douche, il fuit encore ? Et si il regrette après ? Toutes des questions que Dylane pourrait se poser et pourtant, elle ne le fait pas. Avant, elle l'aurait fait l'ambulancière et elle devrait peut-être après ce qu'il s'est passé en boîte de nuit, après qu'il lui ait fait goûté ce fruit défendu pour mieux partir comme un voleur. Mais non, elle ressent pas cette peur cette fois-ci. C'est comme si le fait qu'il s'est ouvert à lui à prouver quelque chose, à changer quelque chose. Même si elle a encore beaucoup à apprendre du flic, elle sait bien qu'ils ont passé une étape et qu'elle n'est pas anodine du tout, même importante. Se doutant qu'il ne doit pas se confier souvent, elle ose se dire que ça veut dire quelque chose pour lui de l'avoir fait. Et qu'il ne l'a pas rejoint sous cette douche pour la balancer après. Même si au fond d'elle, elle a tout de même cette peur qu'elle nie fortement, elle a envie de lui faire confiance, de faire en sorte que ça fonctionne. Dylane s'attend pas à une histoire comme dans les films et de toute façon, elle en voudrait pas car c'est faux tout ça, c'est du cinéma, c'est fait pour faire rêver les gamines et elle a dépassé ce stade depuis longtemps sachant que la vie est dure, trop dure parfois même. Alors oui, elle veut y croire en eux mais en restant logique, en y allant pas à pas sans rien brusquer, sans faire de vague. Elle se clamera pas en couple à qui veut l'entendre. Pas qu'elle ait honte de lui, bien au contraire, mais elle veut protéger ce qu'ils ont actuellement et comme l'adage le dit si bien pour vivre heureux vivons cachés. Certes, ils vont pas se cacher mais pas non plus s'afficher à qui la vue de tout le monde. Ce serait pas le genre du flic de toute façon. Mais si on vient lui poser la question, c'est certain qu'elle dira que son coeur est pris et que pour le déloger faudra y aller. Car elle sait que personne y arrivera, elle lui a donné à lui et personne d'autre et maintenant qu'il a entre ses mains, il lui appartient totalement. C'est la première fois qu'elle donne l’entièreté de son palpitant à un mec et elle espère que ça en vaudra la peine, qu'il le tordra pas dans tous les sens car il risquerait de le briser et si ça devait être le cas, c'est pas certain qu'elle arrive à s'en relever la brune. Car même si les mots, elle les dira pas, elle l'aime le flic et bien plus qu'elle ne le laisse voir. Petit à petit, elle lui montrera mais elle est pas douée pour ça. Faudra pas qu'il s'attende à des déclarations car elle sait pas faire. D'ailleurs, elle a encore dit à personne ces trois mots Je t'aime donc si un jour, elle vient à lui dire, ce sera le saint graal sans même qu'il ne le sache. Mais elle en est pas là, le penser et le ressentir est une chose, le dire à voix haute en est une tout autre et beaucoup plus délicate. Alors qu'elle retrouve le sol, elle retrouve aussi vite ses bras. « juste pas mal ? » Dit-il tout en attrapant le gel douche pour venir l'embrasser ensuite. «  Humm me faudra d'autres exemples pour mieux juger » Lance-t-elle avec un faux air innocent. Elle n'en aurait jamais assez de lui, de son corps et de ses étreintes. Il la savonne et elle se prend au jeu l'ambulancière et lui chipe le gel douche pour en faire de même. Il n'allait pas être le seul à en profiter après tout. Et elle s'amuse en lui mettant de la mousse sur le bout nez ce qui le fait râler et elle rire. Si bien qu'il l'attrape et qu'ils sont là comme des gosses quand elle se débat sous cette eau qui continue de couler sur leurs corps. « Tu reprends ton service à quelle heure aujourd’hui ? » Elle le regarde penchant son visage sur le côté prête à répondre. « Parce que je me disais… » Et voilà qu'il lui lance de la mousse et qu'elle secoue la tête non sans un rire amusé par tout ça, par cette complicité naissante entre eux. Quelque chose de doux et léger à la fois, qui fait du bien. C'est la première fois qu'elle se sent aussi légère depuis bien longtemps comme si en sa compagnie tous les soucis n'existent plus, comme s'il avait effacé l'ardoise pesante qu'elle porte tous les jours.  « qu’on pourrait un peu rester ensemble ce matin, » Une moue s'affiche sur ses lèvres non pas à cause de sa phrase mais bel et bien car elle n'a plus l'eau coulant sur elle et que de suite, le froid s'empare d'elle. Froid qu'elle oublie vite quand il la colle contre lui. «  Je bosse pas aujourd'hui » Dit-elle enfin alors que ses yeux se posent sur sa peau recouverte à nouveau de mousse. « Je reprends qu’à 15 heures. » La brune l'écoute mais elle s'empare discrètement non pas du gel douche mais du sien qui sent la vanille. Elle en fait couler dans la paume de sa main et vient ensuite la plaquer sur son torse. «  Je pourrais te proposer un petit déjeuner chez ... moi » Première fois qu'il verrait son chez elle et Dylane n'invite pas n'importe qui chez elle. Seuls ses proches ont ce privilège mais il en fait partie maintenant, c'est indéniable. «  Mais avant je voulais que tu sentes la vanille » Dit-elle tout en roulant des yeux et s'amusant à étaler le gel douche sur son corps. Pas sûr qu'il apprécie de sentir une odeur de fille comme beaucoup dise mais c'était de bonne guerre et c'est pas comme si l'odeur restait des heures comme un parfum. Elle n'ira pas jusque là quoique ... Elle en serait capable l'ambulancière de le parfumer avec ce qu'elle a dans son sac. Et cela pourrait même éloigner les autres filles bien qu'elle ne s'en fait pas du tout à ce sujet. Non, car elle lui fait confiance et cette confiance elle ne l'accorde que rarement et surtout il est très probable qu'elle ne la donne qu'une seule et unique fois ...

@Azaryaah

 « je sais le ciel ne m'en veut pas d'avoir posé les yeux sur toi »    dylane bradford & elias sanders

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Il se sent bien en sa présence dans cette douche et cela fait bien longtemps qu’il ne s’était pas aussi senti détendu qu’actuellement, il apprécie réellement les moments avec la jeune ambulancière, lui qui est souvent bien trop solitaire, pas du genre à se plier aux règles, aussi facilement, il doit admettre qu’avec elle dans les parages, elle n’est pas un poids. Il a pourtant bien du mal à admettre les choses, à accepter les allées/venues des gens dans sa vie, mais si il était prêt à faire des efforts pour elle ? Et si il avait vraiment envie d’y croire ? Besoin d’elle comme si elle était en quelque sorte la dernière chance qu’il se laissait. Serait-il possible qu’il veuille, qu’il tienne à elle suffisamment pour faire les choses bien au moins une fois dans sa vie ? Il ignore tout ça Elias parce qu’il ne fait que rarement semblant de pas y arriver, et rien ne sera aussi facile, sans doute, rien ne sera aussi simple pour le flic. Mais quand il pose son regard dans celui de Dylane, il aimerait être de ceux qui comptent pour elle, qui font tout pour la faire grandir, la voir vibrer. Juste pour avoir ce sourire malicieux qui s’installe malgré elle sur ses lèvres, alors que son cœur est percuté par elle, même si rien ne sera totalement facile. Conscient de ne pas être ce genre de mec qui a le droit à l’amour, qui a le droit d’aimer. Conscient qu’il en demande sans doute un peu trop. Mais comment est-il censé faire autrement ? Comment est-il censé agir différemment ? « Humm me faudra d'autres exemples pour mieux juger, » un sourire apparaît sur son visage, ses mains qui flirtent avec cette peau qu’il apprend à apprivoiser depuis quelques longues minutes, alors qu’il dépose un baiser sur ses lèvres non sans profiter de la vue qui s’offre à lui. Avec exagération alors qu’il penche ses lèvres jusqu’à ses oreilles, pour murmurer, « tu auras tous les exemples que tu désires… » Une promesse sans que cela en soit une réellement, un besoin de jouer, de la repousser, puis de l’attirer de la plus vilaine des manières qui soit, en poussant le vice toujours plus loin. Parce qu’il n’est pas encore prêt à admettre qu’elle soit celle qui lui suffit, parce que ce serait encore trop douloureux mais qu’il ne peut pas la repousser. Qu’il n’a pas réussi totalement à y parvenir dans cette salle de sport, alors qu’il a tenté, de toutes ses forces. Parce que quand il sent ses mains entourés sa taille, il ressent cette attraction, ce besoin d’être auprès d’elle. Mais il aime trop la taquiner, la repousser dans ses retranchements et c’est pas ses yeux doux qui changeront le truc. « Je bosse pas aujourd'hui, » elle hausse les épaules, une moue sur son visage alors qu’il est en train de se rincer, avant de tourner son visage vers elle, «  je pourrais te proposer un petit déjeuner chez ... moi. » Il arque un sourcil, « tu ferais ça ? » Fit-il presque avec une moue surprise de tant d’attention. Mais ça l’amuse le flic, et il ne la voit même pas prendre son gel douche alors qu’il éteint l’eau parce qu’il est enfin rincé, et prêt à s’habiller. Parce qu’elle, elle est couverte de savon mais qu’il fait semblant de rien, semblant de pas lui en avoir remis lors de leur précédente étreinte. Il jouera au parfait innocent, c’est certain. Et il a juste le temps de se retourner vers elle, qu’elle lui plaque ses paumes de main sur son torse. Redescendant pour bien lui en mettre de partout. Il reste immobile quelques secondes, réalisant à peine qu’il va devoir retourner se rincer, non sans râler (sinon il s’appellerait plus Sanders). « Mais avant je voulais que tu sentes la vanille » Il se débat à cette phrase, pas une odeur de nana. « Mais je suis pas une nanaaaa » Si il en joue un peu trop fortement, il reste quelqu’un de fier, avec un ego quand même suffisamment important pour pas vouloir sentir la gonzesse ! Il arque un sourcil, « tant pis tu retardes notre petit déjeuner… » Qu’il avoue, en remontant de son doigt contre le bras de Dylane, un air coquin sur le visage avant de viser son visage avec le pommeau d’eau qu’il allume, et de rire tout en l’attirant vers lui pour qu’elle se rince aussi. « Moi qui avait des idées pour le petit dej… Dommage… » Il laisse sa phrase en suspens, et la fait bien languir, mais il ne crachera pas le morceau !

Je sais le Ciel ne m'en veut pas d'avoir posé les yeux sur toi

∞ Dylane & @Elias Sanders ∞

Un stade jamais atteint encore est arrivé en ce matin et pourtant rien ne laissait penser que cela puisse se passer. Rien que la soirée d'hier donnait un autre ton. D'ailleurs, Dylane n'avait pas demandé son reste et était partie en râlant non sans dire que la prochaine soirée serait chez elle juste pour l'emmerder. Est ce que cela avait fonctionné, elle n'en sait rien et actuellement, elle n'y pense déjà plus car elle est dans ses bras et c'est là tout ce qu'elle voit à présent. Elle ne voit que lui, ce flic qui a pris son coeur sans qu'elle ne puisse se battre encore, sans qu'elle ne puisse résister. Il ne faut pas longtemps pour qu'un autre jeu arrive entre eux. Ils sont comme ça et même si un réel rapprochement a eu lieu, ils ne vont pas changer. Bien que là, c'est réellement enfantin vu qu'ils s'amusent avec la mousse du gel douche. C'est plaisant ce genre de petites choses et cela fait du bien, beaucoup de bien. Dylane aime le voir comme ça souriant et espiègle et elle a juste envie que ce moment continue encore et encore bien qu'ils ne pourront pas rester dans cette cabine encore longtemps. C'est déjà pas mal qu'ils ne se soient pas fait voir bien qu'elle s'en fout royalement. C'est interdit certes mais là, elle n'y pense pas et si une personne vient râler, il sera encore temps de dire quelque chose. Se voulant taquine, elle ose lui dire qu'elle aura besoin d'autres exemples et cela valait la peine quand elle voit le sourire sur son visage. « tu auras tous les exemples que tu désires… » Qu'il lui chuchote à l'oreille et ce n'est pas tombé dans l'oreille d'une sourde et elle lui rappellera en temps voulu. Bien qu'avec le flic, elle ne prenne rien pour acquis et avance au moment présent. Certes, elle veut y croire, elle veut lui faire confiance mais elle se doit garder un minimum les pieds sur terre et savoir que tout peut s'arrêter. Bien qu'elle ne le veuille pas. Si elle lui a donné son palpitant ce n'est pas pour rien ... «  On verra ça » Dit-elle en roulant des yeux juste pour l'ennuyer un peu plus et le provoquer alors qu'il s'amuse à lui souffler de la mousse au visage pendant qu'il lui parle et lui propose de passer la matinée ensemble. Si elle s'attendait à ça ? Pas du tout mais ce n'est pas pour lui déplaire si bien qu'elle lui propose de prendre un petit déjeuner chez elle. « tu ferais ça ? » Elle hausse les épaules. « Il faut croire » Bien qu'elle redoute légèrement sa réaction quand il verra la villa et le fait qu'elle est loin d'être pauvre. Quelque chose dont elle ne s'est jamais vanté auprès de lui car elle s'en fout de l'argent. Mais le flic est pas con, il saura de suite que ce n'est pas avec son salaire qu'elle sait se payer tout ça. Pendant qu'il parle, elle en profite pour étaler sur lui du gel douche senteur vanille et elle était certaine qu'il râlerait ce qui la fait éclater de rire. « Mais je suis pas une nanaaaa » La brune prend un petit air innocent en le regardant et continuant d'étaler le mousse sur sa peau. « C'est bête, ça sent bon pourtant » Et c'est vrai quelle idée de dire que ce n'est que pour les filles. « tant pis tu retardes notre petit déjeuner… » Et voilà qu'elle se ramasse l'eau en pleine figure et qu'elle boude à son tour.' » Non mais «  Lance-t-elle se sentant ensuite attirée dans ses bras ce qui a l'effet qu'elle ne râle plus assez rapidement. « Moi qui avait des idées pour le petit dej… Dommage… » Ses yeux se lèvent vers lui et elle l'interroge du regard. » Comme quoi ? » Mais il ne dit rien le fourbe alors qu'il vient de piquer sa curiosité. Elle se dépêche de se rincer et attrape son essuie et lui tend le sien. » Allez sors vite de là avant qu'on ne te voit » Dit-elle non sans lui voler un dernier baiser avant qu'il ne quitte la cabine et rejoigne les vestiaires pour hommes. Elle se sèche et se change pour enfiler une petite robe d'été qu'elle avait prévue de base. Une fois prête, elle le retrouve dehors et va vers lui. «  Tu me suis » Dit-elle avec un sourire en coin et allant vers sa voiture pour démarrer jusque chez elle non sans une boule au ventre autant de plaisir que de stress quant à sa réaction.

@Azaryaah