| (birdie) je meurs à chaque instant, la vie ne dure qu'un temps... |
| | (#)Mar 8 Déc 2020 - 16:30 | |
| « Un coup de poker ! » Elle aurait pu réenchérir en évoquant la chance du débutant mais pour une fois, elle garde ses jolies lèvres rebondies closes, la jolie blonde. Ces mêmes lèvres qui sont étirées toujours et sans faille de ce sourire de coin, agaçant pour n’importe quelle personne au stade d’énervement avancé de son adversaire déchu. Elle en fait exprès. Elle pousse les gens, Birdie. Jusqu’à leurs retranchements, les limites de leurs nerfs, de leur patience, de leur bienséance. Elle s’en amuse, elle continue à le regarder s’épancher dans son malheur qui a l’air de lui gâcher la soirée – est–ce qu’il ne faudrait pas qu’il se trouve une activité qui ne nécessite aucune compétition ? La pêche, par exemple ? Pire qu’un personnage de bande dessinée, il pourrait la tuer de ses prunelles sombres et pourtant aux couleurs claires. Exaspéré, attaqué dans son égo. En tant que femme, Birdie s’en réjouit. En tant que chieuse, Birdie en palpite. Les piédestaux sont faits pour être mis à l’épreuve, les premiers rangs à être bousculé. N’est–ce pas pour cela qu’il y a compétition en premier lieu ? Le monsieur en face d’elle n’a pas dû avoir le mémo qu’il y a toujours un perdant et un gagnant. Qu’il le veuille ou non, le perdant, c’est lui. Et il y a plein de témoins pour le confirmer.
Témoins qui sont vite oubliés alors qu’ils sont enfermés dans l’habitacle, dans un coin quelconque. Birdie pourrait crier au scandale quand Elias s’impose sur elle, qu’il ne fait pas preuve d’autant de délicatesse ni de patience qu’elle. Qu’il se trompe sur ses intentions – ah ah. Mais elle assume, la Cadburry. L’animal enragé devant elle lui procure quelque chose, et son air de défi planté sur son visage encore plus. « On parie quoi ? » Elle passe sa langue sur sa propre lèvre, la même qu’il vient d’attaquer. Un, deux, trois et elle sent cinq doigts qui viennent réveiller sa peau sa chemise clinquante. Ses yeux ne quittent pas les siens, l’épreuve de force perdurant, l’un comme l’autre assoiffé de prendre le dessus. « Ta bagnole. » Elle souffle, elle propose, elle défie. « Ta bagnole contre la mienne. » D’accord, techniquement, ce n’est pas vraiment la sienne – la sienne étant son van. Mais comme elle ne perdra pas, c’est un détail sans aucune valeur. Birdie passe sa main sur le cou d’Elias pour le rapprocher d’elle, assez pour frôler sa bouche mais pas trop pour ne pas faire vaciller leur contact visuel. « Si t’en as les couilles. » L'en a ou l'en a-t-il pas ? Elle n’attend pas de réponse pour finaliser l’espace entre eux et conclure leur accord dans un baiser passionné et passionnel – accord que le jeune homme n’a nullement accepté. Mais c’est le dernier cadet des soucis de la Cadburn ; il lui a demandé, elle a répondu, il n’a rien à redire. Juste à lui retirer ses vêtements.
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| | | | (#)Dim 13 Déc 2020 - 10:57 | |
| « je meurs à chaque instant, la vie ne dure qu'un temps... » birdie cadburry & elias sanders
Cette situation lui échappe entièrement et si Elias subit plus qu’autre chose, il en rajoute lui-même des couches, plus épaisses que ce qu’elle rajoute la femme aux multiples facettes. Elle l’avait déjà narguée à plusieurs reprises et il avait réussi à tenir bon, à ne pas craquer, alors que son uniforme lui permettait une certaine contenance, malgré qu’elle ait passé sa main à de nombreuses reprises sur son torse, et qu’elle avait joué de son regard miel, de son sourire ravageur. Mais dans cet habitacle, rien n’y fait et il n’en aura pas fallu beaucoup pour que le flic cède. Cède à la tentation, de jouer, de flirter, de l’avoir en sa possession. Elle est jolie quand elle se tait, quand elle cesse de piailler pour rien, elle est jolie quand elle se laisse faire. Quand elle ne rechigne pas, son regard qui la heurte, la provoque dans un soupire qu’il ne saurait retenir bien longtemps, alors qu’il est sur elle, à présent. Mais rien n’avait été prémédité, rien de cela n’était censé se passer ainsi, et Elias est plein de surprise quand il se laisse dominer par la course, par le jeu. Quand il se laisse impressionner – autant qu’il souhaite impressionner les autres. Il cherche à la regarder, il cherche à croiser son regard dans le sien, à voir ce désir en elle, plus qu’aucune autre conquête, passagère. Parce qu’il n’en attend pas plus venant d’elle, petite lumière passagère qui ne s’attache pas, qui vit au gré de ses besoins, de ses envies. Mais la Birdie, se contracte à peine quand elle ressent cette main frivole sur sa peau, qui la chatouille, lui dessine des choses inutiles, voulant juste attirer son attention sur son hôte. Elle se rapproche, jouant de sa langue comme seule convoitise sans quitter ce sourire au coin des lèvres, « ta bagnole. » Sa voix qui heurte le silence, voulant jouer avec lui, contre lui, à son gré. Ses mains qui accrochent le cou du flic, l’attirant à elle avant qu’elle souffle, rieuse. « Ta bagnole contre la mienne. » Il arque un sourcil et ses lèvres qui se dirigent au creux de son oreille, elle inspire une bouffée d’oxygène en même temps qu’elle le convoite, tournant autour du pot puis ses lèvres qui effleurent la peau de son visage, alors qu’il ressent son souffle contre son visage. Il reste immobile, muet, indifférent. Mais elle le sait autant que lui, l’indifférence est déjà bien loin entre eux, et c’est pas son corps qui se contracte qui en dira le contraire, « si t’en as les couilles. » Ses lèvres scellent un accord quand ses dernières se posent sur celles du flic, et qu’il répond avec autant de tact, ardemment, comme si le désir était bien là. Comme si peu importe le gain, le jeu ne pouvait pas se reculer, sa main qui heurte le levier sur le côté du siège pour allonger davantage le siège alors que ses lèvres ne quittent plus celles de la blonde, qu’il embrasse sans retenue, la mordillant, lui enlevant avec hâte son haut, pour y découvrir un simple soutien-gorge, un sourire au coin de ses lèvres. « Tu as déjà perdue… » Qu’il souffle entre deux baisers à la va-vite, alors que son doigt retrouve le chemin de cette peau, de ses seins qu’il caresse du bout des doigts, alors que de son autre main il lui tient le cou en arrière pour y déposer ses lèvres, avant qu’elles descendent jusqu’à ses seins, dont il dégrafe sans difficulté le tissu. |
| | | | (#)Mar 29 Déc 2020 - 15:51 | |
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| | | | (#)Jeu 11 Fév 2021 - 17:01 | |
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| | | | (#)Ven 12 Fév 2021 - 20:20 | |
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| | | | (#)Mer 3 Mar 2021 - 7:30 | |
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| | | | (#)Sam 6 Mar 2021 - 8:47 | |
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| | | | (#)Dim 16 Mai 2021 - 9:52 | |
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| | | | (#)Lun 24 Mai 2021 - 6:44 | |
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| | | | (#)Ven 11 Juin 2021 - 12:24 | |
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| | | | (#)Sam 12 Juin 2021 - 9:40 | |
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| | | | (#)Ven 25 Juin 2021 - 2:28 | |
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| | | | (#)Sam 26 Juin 2021 - 8:55 | |
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| | | | (#)Mer 7 Juil 2021 - 9:04 | |
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| | | ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31460 POINTS : 350 TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris. AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014 | (#)Mer 7 Juil 2021 - 9:04 | |
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