ÂGE : trente-neuf étés colorés, né une certaine fête nationale australienne de quatre-vingt cinq. STATUT : le second mariage en grandes pompes est tombé à l'eau, et certains s'amuseront surement à lui dire 'on t'avait prévenu' en apprenant le comportement qu'a eu sa future-ex-femme dans son dos. MÉTIER : il n'est plus question de travailler aux côtés et/ou pour lily, donc machine arrière: il faut de nouveau qu'il se pose pour savoir que faire de toutes ces entreprises qui portent son nom sur le bail. LOGEMENT : #159 third street (logan city), où il a mis les affaires de lily sur le pas de la porte et a fait changer les serrures de la maison. tous les enfants vivent avec lui, dans un capharnaüm sans temps-mort. POSTS : 52573 POINTS : 120
TW IN RP : deuil, fausse-couche, maladie infantile (rémission), tromperie. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : la famille avant tout › n'était pas donneur compatible de rein, don qui avait pour but de sauver son fils › cora coverdale est la plus belle, et bee scott beauregard › a rencontré son fils (2017); coup de foudre au premier regard, comme on dit › après une longue lutte pour le petit, pour Ginny, et finalement pour lui, Noah est enfin tiré d'affaire de cette maladie qui a failli lui coûter la vie grâce à une greffe de rein (octobre 2017).CODE COULEUR : cornflowerblue. RPs EN COURS :
EZRAUDEN › My loneliness is killing me, and I must confess I still believe. When I'm not with you I lose my mind. Give me a sign. Hit me, baby, one more time.
surprise:
RPs EN ATTENTE : charlie #2 › ginny #26 RPs TERMINÉS :
AVATAR : sam claflin. CRÉDITS : fassylover (avatar) › nobodys (profil gif) › RENEGADE (signature icons) › stairsjumper (le petit géranium+userbars) › harley (crackships ezrauden). DC : damon williams, la lueur de l'ombre (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 07/04/2015
Cela devait faire peut-être six, ou même bien sept jours qu’ils avaient posé pied à terre sur cette terre isolée en plein milieu de l’océan pacifique. Ezra ne saurait dire exactement où ils se trouvaient, les coordonnées de la destination ayant été entrées dans le GPS de l’hélicoptère des semaines avant que le casse n’ait lieu. Il avait choisi la zone géographique où il voulait se rendre, mais n’avait pas eu accès aux détails de l’endroit - il ne préférait pas savoir vers quelle terre il allait passer les prochaines semaines en enfer. Surtout qu’initialement, il devait se rendre sur cette île seul et sans compagnie pour venir parasiter son séjour. Il devait se contenter de siroter des cocktails, de se faire des repas avec les fruits et légumes à disposition, de profiter de savoir que son argent dormait tranquillement quelque-part. Le plan initial était parfait, il était calculé et n’avait aucun défaut. Mais, comme depuis le début du casse, le parfait petit plan initial s’était vu troublé par l’arrivée en fanfare d’un trouble fête.
« Des nouvelles ? » Ezra vint se laisser tomber sur le transat aux côtés de Clyde, le fameux boulet qu’il trainait à son pied depuis la première minute du braquage. Afin de ressortir avec l'argent et en un seul morceau de la banque, le jeune homme avait du faire une concession - mais pas des moindres. L’île sur laquelle ils s’étaient donc tous les deux retrouvés était passée de paradis perdu à enfer retrouvé, alors qu’il avait du consentir à supporter la présence d’un traitre à ses côtés. « De l’extérieur, je veux dire, y’a eu des nouvelles ? » Il vint pointer du doigt le téléphone satellite qui était dans le kit de survie mis sur place avant leur arrivée. Le seul point positif dans toute cette histoire, c’était qu’Ezra savait qu’il n’avait que treize jours à passer sur cet espace isolé avant de retrouver la civilisation. Et il croyait fortement que son plan était toujours parfait et allait se dérouler selon ses instructions.
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Dernière édition par Ezra Beauregard le Sam 28 Nov 2020 - 12:45, édité 1 fois
Prétendre que traînasser sur une île déserte en compagnie d’Ezra faisait partie de la shortlist des rêves les plus fous de Clyde aurait été faux, mais il devait néanmoins avouer que ces derniers jours n’avaient pas été les plus pénibles qu’il lui ait donnés de vivre. Tout ceci était quand même tributaire du fait qu’il soit capable de sortir de son esprit les mecs qu’il avait laissés sur le carreau dans la banque, et dont il n’avait strictement aucune nouvelle. Il avait balancé son téléphone satellite dans l’océan dès qu’ils avaient été suffisamment éloignés des côtes, puisqu’Ezra semblait avoir prévu le coup pour la suite. Alors, une fois dans l’hélicoptère, il était déjà trop tard pour changer d’avis et faire demi-tour, et les remords qui l'avaient assailli les premières heures avaient été suffisamment insupportables pour qu’il comprenne rapidement qu’il ne pourrait composer avec. Qu’il le veuille ou non, il n’avait pas eu le choix, et il aurait tout le temps de se renseigner sur le sort des gars une fois loin de cette île - s’ils la quittaient un jour. “Des nouvelles?” Au moins, Clyde n’avait pas de doute sur le fait qu’Ezra ferait tout ce qui était en son pouvoir pour les sortir d’ici, étant donné les regards d’agacement réguliers qu’il ne manquait pas de lui envoyer. A cette question, Clyde haussa pourtant un sourire interrogatif - des nouvelles de sa pêche du jour, du goût de la dernière noix de coco, de la qualité de son hamac ou du niveau d’exaspération qu’il avait atteint aujourd’hui face au Beauregard? “De l’extérieur, je veux dire, y’a eu des nouvelles?” Ah, des nouvelles du téléphone. “Aucune.” Et pourtant, ce n’était pas faute de fixer l’appareil autant que possible en espérant qu’il finisse par produire un appel par magie. “Me dis pas que tu t’ennuies de rien faire, pour une fois.” Même s’il pouvait concevoir que s'entraîner au tir sur des noix de coco était moins divertissant que sur des cibles mouvantes. “Profite que personne ne cherche à nous coffrer pour l’instant.” Car une fois sur la terre ferme, cette probabilité risquait de monter en flèche.
Dernière édition par Clyde Wakefield le Sam 28 Nov 2020 - 18:25, édité 1 fois
Ezra Beauregard
les adieux volés
ÂGE : trente-neuf étés colorés, né une certaine fête nationale australienne de quatre-vingt cinq. STATUT : le second mariage en grandes pompes est tombé à l'eau, et certains s'amuseront surement à lui dire 'on t'avait prévenu' en apprenant le comportement qu'a eu sa future-ex-femme dans son dos. MÉTIER : il n'est plus question de travailler aux côtés et/ou pour lily, donc machine arrière: il faut de nouveau qu'il se pose pour savoir que faire de toutes ces entreprises qui portent son nom sur le bail. LOGEMENT : #159 third street (logan city), où il a mis les affaires de lily sur le pas de la porte et a fait changer les serrures de la maison. tous les enfants vivent avec lui, dans un capharnaüm sans temps-mort. POSTS : 52573 POINTS : 120
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Il avait bien fait de venir préciser de quelles nouvelles il parlait - comme s’il pouvait sérieusement parler d’autre chose que de ce qu’il se passait sans eux dans le reste du monde avec autant d’intérêt et surtout avec Clyde - quand ce dernier avait haussé un sourcil d’incompréhension à sa première question. Il ne semblait pas avoir affuté ses neurones pendant les quelques temps où ils avaient vécu séparément. « Aucune. » Telle la dramaqueen qu’il personnifiait à merveilles, Ezra vint soupirer, grogner dans sa moustache, venant jeter aussi loin que possible en direction de la plage les quelques cailloux qu’il avait ramassé durant sa balade matinale. « Me dis pas que tu t’ennuies de rien faire, pour une fois. » Comme si les mots de Clyde ne pouvaient se trouver être vrais, il vint hausser les épaules, laissant son regard se porter vers l’océan. « Je m’ennuie de pas savoir ce que je peux faire, surtout. » Afin que la suite de son plan puisse se dérouler de façon parfaite, Ezra avait du laisser les commandes à quelqu’un de l’extérieur et cela le rendait anxieux. Il n’aimait jamais laisser la possibilité à un tiers de venir tirer les ficelles de son plan, et le seul qui avait pu prétendre le faire presque correctement durant un temps se trouvait se façon non-souhaitée à ses côtés - et donc loin des directives à suivre.
« Profite que personne ne cherche à nous coffrer pour l’instant. » Il leva, une fois n’était pas coutume, les yeux au ciel. « Toujours le mot pour voir rassurer les troupes, à ce que je vois. » Il avait l’impression d’avoir une concentration de mauvaises ondes à ses côtés, à écoute Clyde parler. Ezra ne comptait pas se faire coffrer une fois les pieds remis sur un continent, mais plutôt profiter d’avoir gagné à la loterie - ou tout comme - pendant de longs mois une fois reparti d’ici. « Y’a plus de chances qu’on cherche à nous coffrer pendant qu’on est ici que après, si tu réfléchis. » Il savait qu’il en demandait beaucoup à Clyde, mais avait suffisamment d’espoir pour qu’il comprenne son point de vue. « Les premiers jours après ce type d’événement, les flics sont à fond à chercher comme des abrutis les ‘méchants’. » Il vint mimer les guillemets avec ses mains, voulant bien souligner ainsi qu’il ne se rangeait pas dans cette catégorie là - la plèbe aux mauvaises idées et aux mauvaises intentions, très peu pour lui. « Ils vont finir par s’essouffler, comme ils le font toujours. » Pour l’effet dramatique ou pour l’envie réelle, il vint à ce moment là allumer sa cigarette.
Évidemment qu’Ezra s’ennuyait, car aussi loin que Clyde s’en rappelle, le blond était toujours à la recherche du prochain coup à fomenter. Se dorer la pilule au soleil ne faisait pas partie de sa définition du repos et encore moins du plaisir, et même si Clyde n’était pas non plus du genre à se tourner les pouces, il semblait faire preuve de bien plus de patience et de recul. “Je m’ennuie de pas savoir ce que je peux faire, surtout.” De ce point de vue-là, le brun ne pouvait qu’être d’accord. Il se demandait encore comment les enchaînements d’évènements l’avaient amené ici, mais il pouvait au moins être certain que quelqu’un viendrait forcément le chercher, puisqu’Ezra se retrouvait là lui aussi. En attendant, ils n’avaient plus qu’à se tenir prêts, compter les jours et essayer de ne pas trop réfléchir à tout ce qui pourrait mal tourner une fois qu’ils auraient quitté leur semblant de paradis imposé. “Toujours le mot pour voir rassurer les troupes, à ce que je vois.” “Tu préfères que je te chante une berceuse?” La positivité et toute autre connerie du genre n’avaient jamais fait partie des prérequis du job aussi loin qu’il s’en souvienne, mais il pouvait faire un effort.
“Y’a plus de chances qu’on cherche à nous coffrer pendant qu’on est ici que après, si tu réfléchis.” Pas faux, mais tout cela dépendait surtout de la qualité du plan de sauvetage imaginé - et il espérait bien que l’arrivée des flics en plein milieu du Pacifique ne faisait pas partie des options. “Les premiers jours après ce type d’événement, les flics sont à fond à chercher comme des abrutis les ‘méchants’. Ils vont finir par s’essouffler, comme ils le font toujours.” Le jour où Ezra ou Clyde se considéreraient comme les réels méchants de l’histoire n’était pas arrivée - quand bien même le brun avait un avis assez mitigé concernant son ancien collègue. “Pour ça faudrait que personne puisse nous tracer ici, mais j’imagine que quelqu’un est forcément au courant. C’est ton remplaçant là, qui doit venir?” Son remplacement à lui, sa copie, celui qui n’aurait jamais eu sa place si Clyde ne l’avait pas volontairement laissée.
ÂGE : trente-neuf étés colorés, né une certaine fête nationale australienne de quatre-vingt cinq. STATUT : le second mariage en grandes pompes est tombé à l'eau, et certains s'amuseront surement à lui dire 'on t'avait prévenu' en apprenant le comportement qu'a eu sa future-ex-femme dans son dos. MÉTIER : il n'est plus question de travailler aux côtés et/ou pour lily, donc machine arrière: il faut de nouveau qu'il se pose pour savoir que faire de toutes ces entreprises qui portent son nom sur le bail. LOGEMENT : #159 third street (logan city), où il a mis les affaires de lily sur le pas de la porte et a fait changer les serrures de la maison. tous les enfants vivent avec lui, dans un capharnaüm sans temps-mort. POSTS : 52573 POINTS : 120
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« Tu préfères que je te chante une berceuse? » Ezra vint hausser un sourcil empli de jugement envers Clyde. Il était vrai qu’une berceuse serait bien plus rassurante que les mots qu’il avait prononcé jusque maintenant, même s’il n’était pas sur de la qualité de voix du jeune homme. « T’entendre parler me suffit déjà, pas besoin de rajouter des vocalises. » Un petit sourire pincé vint s’étirer sur ses les lèvres, avant qu'il ne vienne secouer la tête et qu’il ne détourne son attention de Clyde. Dans toutes les autres versions de cette histoire où ils étaient encore proches, il ne l’aurait pas non plus laissé chanter - ce n’était pas pour le faire maintenant.
Ce sur quoi le Beauregard s’inquiétait réellement - en dehors des dons de chanteur du brun -, c’était de savoir si son plan se déroulait bien comme il l’attendait, même s’il se tenait à des milliers de kilomètres. « Pour ça faudrait que personne puisse nous tracer ici, mais j’imagine que quelqu’un est forcément au courant. » Puis qu’il avait fallu que tout soit prêt en avance et que Ezra lui-même ne savait pas où ils se trouvaient présentement, il ne fallait pas être élu détective du siècle pour deviner cette partie là du plan. « C’est ton remplaçant là, qui doit venir? » Les mâchoires d’Ezra se serrèrent un brin et il vint retenir un soupire d’exaspération. « La jalousie ne te va pas au teint, honey, abandonne. » Il secoua la tête avant de venir tirer une bouffée supplémentaire sur sa cigarette.
« Il doit arriver à la fin du treizième jour qu’on aura passé ici. » Il devait tout de même venir plier un peu devant le fait que c’était effectivement son nouveau partenaire qui allait venir les chercher. « Lloyd, de son petit prénom. Pour que tu puisses alimenter ta jalousie proprement. » Et il vint tourner son visage pour battre des cils aux yeux de Clyde. « Toute une équipe est prête à intervenir dès qu’il donne le signal. Cette équipe se prépare depuis des semaines dans un lieu que je suis le seul à connaître, et ne sait ni quand ni où elle va intervenir. » Il tira une nouvelle fois sur le tube blanc. « Le moins de personne sont au courant des informations, le mieux je me porte. » Et il venait d’en donner un sacré paquet, d’informations, à celui qu’il peinait à voir en peinture désormais.
S’il ne voulait pas de réponse à la con, il n’avait qu’à pas faire de remarque à la con, aussi. “T’entendre parler me suffit déjà, pas besoin de rajouter des vocalises.” Ce fut au tour de Clyde de lever un sourcil agacé - si sa présence était réellement aussi insupportable qu’à l’écouter, il y avait un autre transat un peu plus loin au niveau du campement. Ou alors, à peu près quinze autres plages tout à fait potables sur lesquelles Ezra pourrait se prélasser sans être dérangé par rien ni personne - tout comme Clyde si l’autre décidait d’aller faire un tour. Heureusement pour eux, la raison de leur présence sur cette île était plus importante que leurs guerres intestines et méritait tout de même qu’ils soient - presque - sur la même longueur d’onde à ce sujet. Clyde avait beau ne pas connaître le plan exact d’Ezra, il espérait tout de même que son fameux nouveau bras droit était quelqu’un de confiance, ou du moins, qu’il ne comptait pas leur faire défaut maintenant. “La jalousie ne te va pas au teint, honey, abandonne.” Qu’il soupire, lève les yeux au ciel ou ricane, l’effet était le même : Clyde avait constamment envie de lui foutre son poing dans la tronche, mais étonnamment, il n’aurait pas aimé être coincé sur cette île avec quiconque d’autre. “You wish.”
“Il doit arriver à la fin du treizième jour qu’on aura passé ici.” Le calcul ne prit pas bien longtemps au brun, qui avait tenu un compte strict des jours et des nuits déjà passées sur l’île. “On en est à la moitié et personne n’est mort, c’est un exploit.” Qui ne le resterait peut-être pas s’il prenait autant de plaisir à titiller la patience d’Ezra. “Lloyd, de son petit prénom. Pour que tu puisses alimenter ta jalousie proprement.” Clyde lâcha entre ses dents alors qu’Ezra le fixait, espérant sans doute une réaction plus expressive que celle-ci - et c’était justement pour cette raison qu’il n’en aurait pas. “Quel prénom de merde, le pauvre.” Hm, en fait, c’était trop tentant - et la pure vérité, absolument pas une question de jalousie quelle qu’elle soit. “Toute une équipe est prête à intervenir dès qu’il donne le signal. Cette équipe se prépare depuis des semaines dans un lieu que je suis le seul à connaître, et ne sait ni quand ni où elle va intervenir. Le moins de personnes sont au courant des informations, le mieux je me porte.” Finalement, Clyde ne put s’empêcher de ricaner devant ce qu’Ezra tentait de garder secret coûte que coûte alors qu’il n’avait plus grand chose à cacher, pas ici. “Allez balance, le pire qui peut arriver cette fois c’est que j’aille en parler aux poissons d’à côté.” Et même s’il ne craignait rien, Ezra pouvait décider de se taire, juste pour l’emmerder et le laisser dans le flou jusqu’au bout. “File-moi une clope, au moins.” Et il ne comptait pas la lui rendre, évidemment.
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« You wish. » Malgré tout, dans cette situation, il dut le retenir son petit sourire amusé. Bien sûr que Clyde venait répondre à cette provocation, comme il était venu répondre à toutes les autres avant. Ils ne fonctionnaient bien que comme ça, désormais, et ce n’était pas pour venir déplaire à Ezra.
« On en est à la moitié et personne n’est mort, c’est un exploit. » « Presque une balade de santé ce qui nous reste à côté. » Faux, archi-faux, il mentait autant qu’il respirait présentement. La première partie n’avait été en rien facile, et la suite s’annonçait tout autant pénible à devoir supporter rien que la présence de Clyde sur la même île que lui. Il aurait beau trouver toutes les blagues et toutes les taquineries à lui adresser, Ezra savait que le reste du temps à être coincé aussi ne serait pas plus doux que les jours déjà écoulés. « Quel prénom de merde, le pauvre. » Il vint hausser les épaules, ne prêtant pas réellement attention à la remarque que le brun venait de faire - qui se voulait blessante, à n’en pas douter. « Du moment qu’il bosse bien, il peut s’appeler comme il veut. » Un prénom n’était rien plus qu’un prénom, aux yeux d’Ezra. S’il pouvait ne pas les apprendre et utiliser des noms de code, ça lui allait très bien aussi. Il connaissait celui de Lloyd car il avait fourré son nez là où il n’était pas attendu, particulièrement dans les affaires personnelles de leur troisième compagnon d’aventure.
Et si les deux jeunes hommes en étaient venus à parler de Lloyd, c’était parce-que Clyde avait été curieux du plan à venir. Si Ezra ne lui aurait pas partagé autant de détails en première intention, le fait qu’ils soient tous les deux coincés ensemble sur l’île et que le Wakefield soit entièrement dépendant des actions d’Ezra pour s’en réchapper faisait que le blond s’ouvrait un peu plus que prévu. « Allez balance, le pire qui peut arriver cette fois c’est que j’aille en parler aux poissons d’à côté. » Plutôt bien vrai - et de toutes façons, il ne saurait pas rester deux jours de plus sans discuter plan et évasion avec quelqu’un. Il avait le travail dans la peau, les détails au bout des doigts, l’adrénaline courant en permanence dans les veines. Rien que de venir commencer à en discuter à haute voix remettait en route la machine. « File-moi une clope, au moins. » Et il vint alors lever les yeux au ciel. « Ca, j’en avais pas prévu pour deux. » Et les stocks ne resteraient pas autant pleins s’ils étaient deux pompiers à taper dessus. Mais, uniquement pour montrer qu’il n'avait pas totalement perdu son coeur en cours de route, il vint jeter du bout d’une pichenette une clope à l’autre gars.
Puis, il s’autorisa un soupire. « OK. L’équipe qui va nous sortir de là se trouve en réalité déjà sur une île de l’archipel. Je sais pas exactement si c’est loin ou non de notre île à nous, puisque je sais pas où nous sommes exactement. Je les ai envoyé là-bas y’a cinq semaines, pour qu’ils aient aucun contact avec personne pendant ce laps de temps et qu’on les retrouve pas. Que des professionnels sans attache, qui attendent leur part du butin. » Il vint hausser les épaules, comme s’il contait à Clyde le jour où il avait appris à faire du vélo. « Et j’ai chez moi un dossier sur chaque personne sélectionnée, juste au cas où. » Mais ça, le Wakefield devait déjà s’en douter. Il connaissait assez Ezra et sa façon de faire pour connaître ses combines. Et puis, plus important, il était le seul de cette opération à avoir déjà vu l’intérieur de l’appartement du Beauregard - ce qui changeait toutes les donnes aux yeux d’Ezra.
“Presque une balade de santé ce qui nous reste à côté.” Et tout tenait dans le ‘presque’, en réalité. Car s’ils avaient tous deux été plutôt satisfaits pendant quelques jours de s’être tirés sains et saufs de la banque, le temps commençait à être long, et la tension allait finir par monter au fur et à mesure que l’échéance approchait. Surtout si Ezra continuait à surfer sur la vague d’une prétendue jalousie qu’il sortait de son chapeau quand cela l’arrangeait, pour la balancer d’une manière toujours plus agaçante à la figure de Clyde. Vraiment, le Beauregard avait tout d’un ami absolument charmant. “Du moment qu’il bosse bien, il peut s’appeler comme il veut.” Certes, mais il avait quand même un prénom de merde, et pour le principe cela méritait d’être relevé. En attendant d’en apprendre plus sur le déroulé de ce qui les attendait, le brun tendit la main pour attraper une cigarette - après tout, s’il voulait se montrer secret sur le reste, il ne pouvait pas décemment lui refuser une clope, alors qu’il s’agissait là du moindre soucis que Clyde pourrait lui poser. “Ca, j’en avais pas prévu pour deux.” Parce que Clyde avait prévu de passer deux semaines à bouffer du poisson à moitié cru et des noix de coco, peut-être? “Dommage.” Le brun lui offrit un sourire sarcastique en prime, alors qu’Ezra finissait par céder et qu’une cigarette volait dans les airs. “Merci l’ami.” Presque.
Clyde alluma la cigarette avant de reposer la tête sur le transat, restant tout de même très attentif à ce qui allait suivre, si Ezra daignait lui en faire part. “OK. L’équipe qui va nous sortir de là se trouve en réalité déjà sur une île de l’archipel. Je sais pas exactement si c’est loin ou non de notre île à nous, puisque je sais pas où nous sommes exactement. Je les ai envoyé là-bas y’a cinq semaines, pour qu’ils aient aucun contact avec personne pendant ce laps de temps et qu’on les retrouve pas. Que des professionnels sans attache, qui attendent leur part du butin.” Le plan était propre, calculé du début à la fin, et à l’entendre, rien n’était censé se mettre en travers de leur chemin. “C’est l’autre qui a planqué le fric en attendant, du coup? Tu lui fais confiance?” Car au-delà de toutes les autres remarques sur Lloyd qui n’avaient aucune sorte de réelle importance, cette question était pourtant primordiale - à quel point Ezra était-il sûr de la réussite de la dernière étape de son plan? “Et j’ai chez moi un dossier sur chaque personne sélectionnée, juste au cas où.” En tout cas, si Ezra avait eu un doute, il s’était assuré d’éliminer les potentielles trahisons - comme si une ancienne histoire lui était restée en travers de la gorge, hm. “Y a pas de raison que ça merde. C’est un bon plan.” Et c’était surtout le seul réel compliment que Clyde lui ferait à ce sujet. Il vint tirer sur sa clope une nouvelle fois avant de plisser les yeux en direction d’Ezra, une moue presque amusée sur les lèvres. “Et mon dossier à moi, il est passé en haut de la pile j’imagine?” Si Clyde n’avait jamais eu la certitude qu’Ezra tenait réellement quelque chose contre lui, il ne pouvait que l’imaginer, surtout au vu de leurs plus récents différends. Car si Clyde n’avait pas de dossier papier sur son ancien complice, il avait largement de quoi balancer une petite compilation d’informations croustillantes à son égard.
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AVATAR : sam claflin. CRÉDITS : fassylover (avatar) › nobodys (profil gif) › RENEGADE (signature icons) › stairsjumper (le petit géranium+userbars) › harley (crackships ezrauden). DC : damon williams, la lueur de l'ombre (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 07/04/2015
« Dommage. » Pas besoin de préciser qu’Ezra savait qu’il ne pensait pas la moindre lettre présente dans ce mot. « Merci l’ami. » Et que, également, tout ceci n’était qu’une façon de parler mais que la vérité ne résidait pas dans ces paroles. Il avait depuis longtemps fait une croix sur l’amitié qu’il y avait pu y avoir entre Clyde et lui.
En revanche, il se voyait fermer les yeux sur la trahison du jeune homme quelques mois plus tôt pour venir lui faire part de son plan d’évasion de l’île. Même si ça lui faisait mal de l’admettre, Clyde était quelqu’un d’intelligent avec qui partager ses plans étaient toujours une bonne idée - en théorie; la pratique était quelque peu plus catastrophique mais il avait appris à composer sans depuis ce fameux jour marqué au fer rouge dans leur histoire. « C’est l’autre qui a planqué le fric en attendant, du coup? Tu lui fais confiance? » Ezra vint hausser un sourcil en direction du brun, un brin étonné qu’il ose réellement lui poser la question. « Non, c’est un trou du cul fini mais je lui file tout mon fric et je laisse ma liberté entre ses mains comme ça. » Si l’île avait eu un plafond, ses yeux seraient venus le toucher en roulant de la sorte. « Je lui fais confiance, assez en tous cas pour lui avoir mis mon plan entre ses mains. » Son plan, sa vie, sa liberté, son fric - tout ce qui composait Ezra en somme. La seule chose qui lui restait présentement, c’était son esprit de génie - et ça, il ne pouvait pas s’en débarrasser. Comme il vint cependant le préciser à Clyde, il n’impliquait personne dans ses plans sans préparer un joli petit dossier avec leur nom marqué sur la bordure, rempli de au cas où qu’il espérait ne jamais avoir à ouvrir, sinon ça voudrait dire qu’il était en mauvaise posture dans un premier temps.
« Y a pas de raison que ça merde. C’est un bon plan. » Là où Ezra aurait eu tout le loisir et toute la place de venir sortir son plus beau sourire de fierté, il n’en fit cependant rien. Il était réellement étonné que Clyde concède au génie de son plan qu’il vint simplement hausser un sourcil surpris dans sa direction. « Et mon dossier à moi, il est passé en haut de la pile j’imagine? » Et il vint bénir tous les deux que le brun vienne changer d sujet et n’ait qu’à peine le temps de remarquer le manque de réaction négative de la part d’Ezra. Là, cette fois ci, le petit rire se fit entendre - et il n’eut pas besoin de le feinter, il était réellement amusé par le commentaire du Wakefield. « Je l’y avais mis, pendant un temps. » Il vint hausser les épaules, comme si c’était tout à fait banal d’avoir un dossier sur celui qu’il avait nommé pendant tant de temps ami. « Mais je me suis aperçu que je le connaissais par coeur et qu’il n’y avait plus rien de croustillant à me mettre sous la dent dedans. » Il détourna son visage vers Clyde, tirant une grosse bouffée de nicotine sur sa cigarette - nuage de fumée qu’il vint recracher en direction du visage du brun. « Alors je l’ai brûlé, comme tu as brûlé notre amitié. » Etre confinés tous les deux sur cette île n’était vraiment pas la meilleure des décisions, loin de là.
“Non, c’est un trou du cul fini mais je lui file tout mon fric et je laisse ma liberté entre ses mains comme ça.” “Ah.” Comme s’il y croyait un instant, le brun était venu hausser un sourcil étonné en attendant qu’Ezra ait vidé sa dose de sarcasme quotidienne pour redevenir sérieux. Sa question était pourtant légitime, et rien ne lui disait qu’il faisait réellement confiance à ce type - après tout, peut-être qu’il n’était qu’un pion extrêmement bien manipulé, ce Lloyd, avec une dose suffisante de menaces au cul. “Je lui fais confiance, assez en tous cas pour lui avoir mis mon plan entre ses mains.” C’était en tout cas autant qu’il en ferait pour Clyde si ce dernier n’avait pas pris la tangente, et rien que pour cela, Lloyd méritait donc peut-être le bénéfice du doute. Malheureusement pour le brun, il ne pouvait pas y faire grand-chose quoi qu’il puisse en penser, et la meilleure option était encore d’espérer grapiller des infos pour se rassurer sur le déroulé futur des événements.
Bien évidemment, Ezra avait pris des précautions concernant les mecs supposés le couvrir jusqu’à son retour sur la terre ferme, et Clyde n’en était encore une fois qu’à moitié surpris. Ce qu’il ne savait pas, en revanche, c’était si lui avait le droit à un précieux dossier également. “Je l’y avais mis, pendant un temps.” Quelle belle preuve d’amitié - il pensait à Clyde, jusqu’à l’intérieur de son coffre fort. "Ça me touche.” Au moins, c’était une preuve qu’il avait quelque chose à craindre de lui, n’est-ce pas? A défaut d’être plaisant, c’était au moins satisfaisant pour l’ego. “Mais je me suis aperçu que je le connaissais par coeur et qu’il n’y avait plus rien de croustillant à me mettre sous la dent dedans.” “J’ai jamais eu besoin de dossier, moi non plus.” Au moins, le statu quo était clair : ils avaient suffisamment sur l’un et l’autre pour s’emmerder jusqu’à la fin de leurs jours s’ils le désiraient. “Alors je l’ai brûlé, comme tu as brûlé notre amitié.” “Notre amitié a brûlé au moment même où tu m’as laissé me prendre une balle sans te soucier une seconde de ce qui allait m'arriver.” Car c’était réellement de cela dont il s’agissait, quand bien même Clyde gardait également en travers de la gorge depuis quelques temps le fait de n’être qu’un suiveur, alors qu’Ezra restait le cerveau. “Je me serais jamais tiré, sinon.” Ces mots n’avaient pas valeur d’excuses, mais au moins d’explications - et presque de regrets, car Clyde avait maintes et maintes fois espéré que ce jour où il avait fait volte face ne soit jamais arrivé.
ÂGE : trente-neuf étés colorés, né une certaine fête nationale australienne de quatre-vingt cinq. STATUT : le second mariage en grandes pompes est tombé à l'eau, et certains s'amuseront surement à lui dire 'on t'avait prévenu' en apprenant le comportement qu'a eu sa future-ex-femme dans son dos. MÉTIER : il n'est plus question de travailler aux côtés et/ou pour lily, donc machine arrière: il faut de nouveau qu'il se pose pour savoir que faire de toutes ces entreprises qui portent son nom sur le bail. LOGEMENT : #159 third street (logan city), où il a mis les affaires de lily sur le pas de la porte et a fait changer les serrures de la maison. tous les enfants vivent avec lui, dans un capharnaüm sans temps-mort. POSTS : 52573 POINTS : 120
TW IN RP : deuil, fausse-couche, maladie infantile (rémission), tromperie. ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : la famille avant tout › n'était pas donneur compatible de rein, don qui avait pour but de sauver son fils › cora coverdale est la plus belle, et bee scott beauregard › a rencontré son fils (2017); coup de foudre au premier regard, comme on dit › après une longue lutte pour le petit, pour Ginny, et finalement pour lui, Noah est enfin tiré d'affaire de cette maladie qui a failli lui coûter la vie grâce à une greffe de rein (octobre 2017).CODE COULEUR : cornflowerblue. RPs EN COURS :
EZRAUDEN › My loneliness is killing me, and I must confess I still believe. When I'm not with you I lose my mind. Give me a sign. Hit me, baby, one more time.
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RPs EN ATTENTE : charlie #2 › ginny #26 RPs TERMINÉS :
AVATAR : sam claflin. CRÉDITS : fassylover (avatar) › nobodys (profil gif) › RENEGADE (signature icons) › stairsjumper (le petit géranium+userbars) › harley (crackships ezrauden). DC : damon williams, la lueur de l'ombre (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 07/04/2015
Il était plus qu’heureux de Notre amitié a brûlé au moment même où tu m’as laissé me prendre une balle sans te soucier une seconde de ce qui allait m'arriver.venir expliciter à Clyde la façon dont il possédait un dossier sur tout le monde, fut un temps, et même sur lui. C’était un élément important de son mode opératoire, et il en savait fonctionner sans cette précaution au préalable. Maniaque du contrôle, vous avez dit ? A peine, voyons. « Ça me touche. » Il vint lui tirer un sourire tout ce qu’il y avait de plus faux, avant de venir continuer ses explications quand à savoir s’il possédait un dossier sur Clyde également. Ezra ne pouvait répondre par autre chose que la positive car, comme il lui expliquait, c’était bien le cas jusqu’il y a quelques semaines. Les souvenirs et les moments partagés ensemble représentaient bien plus de preuves suffisantes que n’importe quel dossier. « J’ai jamais eu besoin de dossier, moi non plus. » Il vint ricaner un instant, rien qu’un seul. « Ca, c’est parce que t’es fainéant et que je l’ai toujours fait pour nous deux. » Parce-que dans le bon vieux temps - Ezra riait seul à cette pensée -, il était celui qui s’occupait de la logistique et il ne demandait jamais à Clyde de venir y mettre sa patte. Ca aurait été plus catastrophique qu’autre chose, de son point de vue.
« Notre amitié a brûlé au moment même où tu m’as laissé me prendre une balle sans te soucier une seconde de ce qui allait m’arriver. » Les yeux d’Ezra vinrent tellement se lever au ciel que les nuages eurent les pieds qui chatouillent. « Je me serais jamais tiré, sinon. » Il vint hausser un sourcil, puis le second, en exagérant sa réaction de surprise. « C’est ce que tu te répètes le soir, avant d’aller dormir ? C’est ce qui apaise ta conscience ? » La question était tant humoristique et sarcastique que véritable. Cela intriguait Ezra de savoir si Clyde se répétait cette idée assez de fois par jour pour avoir fini par y croire, tel l’abruti qu’il était. « Parce-que si c'est le cas, je suis désolé de venir briser tes rêves de gosse, mais ça s’est pas passé comme ça en vrai. » Il secouait frénétiquement la tête, refusant de laisser cette carte là à Clyde. Surtout avec une version si fausse de l’histoire originale - ça lui tirait au coeur rien que d’y penser. « Tu t’aies pris une balle dans le pied… Bon, j’admets, je t’ai tiré une balle dans le pied, pour nous sauver. » Il vint hausser les épaules. « T’arrivais plus à suivre le rythme après, ça va pas être de ma faute non plus. Je t’ai toujours dit de faire du cardio, que ça te sauverait la peau du cul un jour. »
Clyde n’avait jamais eu besoin de dossier pour retenir les éléments qui composaient la vie d’Ezra, car fut un temps, il avait suffisamment de considération pour lui pour connaître par cœur ce qui touchait au Beauregard. “Ça, c’est parce que t’es fainéant et que je l’ai toujours fait pour nous deux.” Au-delà du fait que la remarque était presque blessante, elle aurait été vraie pour tout le reste, mais pas en ce qui concernait Ezra. Clyde n’avait jamais été du genre à tenir ses papiers à jour, et encore moins à aimer mettre de l’ordre où que ce soit, mais qu’Ezra ne lui fasse pas l’affront de croire qu’il n’avait pas une mémoire sur-développée pour autant - dans leur profession, c’était essentiel. “Appelle-moi encore une fois fainéant et tout ce que j’ai sur toi va très vite remonter à la surface, crois-moi.” Si cela sonnait comme une menace, il s’agissait davantage d’une répartie que Clyde n’avait pu s’empêcher d’émettre - néanmoins, qu’Ezra ne le pousse pas trop au vice, car il pourrait malencontreusement laisser échapper quelques informations sensibles au premier venu, sous le coup d’un verre ou deux.
Les souvenirs, eux, remontaient à la surface bien plus vite que Clyde ne l’avait imaginé, et il se rappelait encore du jour qui avait tout changé dans leur amitié. Qui y avait mis un terme, par la faute d’Ezra dont la considération qu’il portait à son ami ne semblait pas être la même que celle de Clyde. “C’est ce que tu te répètes le soir, avant d’aller dormir? C’est ce qui apaise ta conscience?” Les traits du brun se refermèrent à cette remarque qu’ils n’honorerait pas d’une réponse - car à l’époque, il avait réellement eu du mal à trouver le sommeil, retournant encore et encore la façon dont il avait pu se faire berner à ce point par celui qu’il considérait comme son ami. Sans parler de la douleur qui le maintenait éveillé, et qui n’arrangeait en rien ses pensées sombres. “Parce-que si c'est le cas, je suis désolé de venir briser tes rêves de gosse, mais ça s’est pas passé comme ça en vrai.” Les arguments de Clyde n’avaient rien d’un rêve, puisqu’il aurait préféré ne jamais en avoir eu besoin. “Tu t’aies pris une balle dans le pied… Bon, j’admets, je t’ai tiré une balle dans le pied, pour nous sauver.” “Pour te sauver.” “T’arrivais plus à suivre le rythme après, ça va pas être de ma faute non plus. Je t’ai toujours dit de faire du cardio, que ça te sauverait la peau du cul un jour.”
Clyde se rappelait de la scène comme si elle avait eu lieu la veille - les deux amis et trois autres mecs, courant comme des dératés alors qu’ils entendaient les sirènes des flics s’approcher au loin. Le brun avait eu du mal à tenir le rythme - la faute à une foutue indigestion qui l’avait tenu éveillé toute la nuit, et pas à un manque de cardio, merci - et le Beauregard s’était alors retourné vers lui en pointant son flingue en sa direction, bien décidé à tirer. Clyde se rappelait encore du regard d’horreur qu’il avait offert à Ezra, avant de se retrouver à terre et de passer pour victime des braqueurs, lorsque la police avait enfin débarqué sur les lieux. “T’aurais pu me foutre un coup et me balancer sur le côté, ça serait passé. Mais t’avais besoin de tirer, de prouver aux autres que le grand Ezra Beauregard ne s’arrête pour rien ni personne.” Alors qu’à ce moment-là, Clyde avait encore l’espoir d’être quelqu’un. “Et c’est pour ça que notre amitié a même pas brûlé, parce qu’elle a jamais existé, en fait.” Le ton du brun était resté aussi neutre que possible, mais intérieurement, il brûlait encore d’une rage et d’une tristesse qu’il pensait refoulées depuis longtemps.
ÂGE : trente-neuf étés colorés, né une certaine fête nationale australienne de quatre-vingt cinq. STATUT : le second mariage en grandes pompes est tombé à l'eau, et certains s'amuseront surement à lui dire 'on t'avait prévenu' en apprenant le comportement qu'a eu sa future-ex-femme dans son dos. MÉTIER : il n'est plus question de travailler aux côtés et/ou pour lily, donc machine arrière: il faut de nouveau qu'il se pose pour savoir que faire de toutes ces entreprises qui portent son nom sur le bail. LOGEMENT : #159 third street (logan city), où il a mis les affaires de lily sur le pas de la porte et a fait changer les serrures de la maison. tous les enfants vivent avec lui, dans un capharnaüm sans temps-mort. POSTS : 52573 POINTS : 120
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EZRAUDEN › My loneliness is killing me, and I must confess I still believe. When I'm not with you I lose my mind. Give me a sign. Hit me, baby, one more time.
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AVATAR : sam claflin. CRÉDITS : fassylover (avatar) › nobodys (profil gif) › RENEGADE (signature icons) › stairsjumper (le petit géranium+userbars) › harley (crackships ezrauden). DC : damon williams, la lueur de l'ombre (ft. rudy pankow) › malone constantine, le prix du vice (ft. jack lowden) › ruben hartfield, le problème à trois corps (ft. harry styles) › millie butcher, les enfants du silence (ft. zendaya coleman) › maxwell eames, le silence des agneaux (ft. matt smith). PSEUDO : luleaby. INSCRIT LE : 07/04/2015
« Appelle-moi encore une fois fainéant et tout ce que j’ai sur toi va très vite remonter à la surface, crois-moi. » Ce fut à ce moment là qu’il se fit voir, le sourire de fierté d’Ezra, d’avoir réussi à venir tirer un peu plus Clyde de sa zone de confort. De venir le faire tiquer sur des points qui faisaient mal, même si le ton employé par le jeune homme n’indiquait pas forcément quelque-chose allant dans ce sens - Ezra le connaissait que trop bien, malheureusement, pour savoir imaginer ce qu’il pensait réellement dans le fond.
Surtout que cette remarque, comme quoi Clyde était un fainéant, il aurait voulu la faire des dizaines et des dizaines de fois; le comique de répétition était, en générale, plutôt une valeur sûre. Mais s’il ne voulait pas se retrouver avec une balle entre les deux yeux d’ici à la fin de la journée, il devait user de stratèges pour détourner ses commentaires acerbes. Par exemple, faire remarquer au brun qu’il aurait du faire davantage de cardio pour s’en sortir le jour où Ezra lui avait volontairement mis une balle dans le pied, c’était une façon détournée de venir le traiter, une fois de plus, de fainéant. « Pour te sauver. » Il leva les yeux au ciel. « Pour sauver la mission. Content ? » Ce n’était pas ce détail là qui changerait le trame de fond de l’histoire, de toutes façons. Le Wakefield n’avait su se sauver en aillant un pied troué, ce n’était plus du ressort d’Ezra à ce moment là. Il fallait réussir filer pour sauver la mission, et jamais n’avait été écartée la possibilité de laisser un homme derrière pour parvenir à leurs fins. Juste qu’en général, ils s’accordaient en avance pour que cet homme laissé derrière ne soit aucun des deux principaux concernés.
« T’aurais pu me foutre un coup et me balancer sur le côté, ça serait passé. Mais t’avais besoin de tirer, de prouver aux autres que le grand Ezra Beauregard ne s’arrête pour rien ni personne. » Un sourcil vint se hausser bien trop haut sur le visage d’Ezra. « Et c’est pour ça que notre amitié a même pas brûlé, parce qu’elle a jamais existé, en fait. » Cette fois ci, il vint abaisser d’un doigt ses lunettes de soleil, les faisant légèrement glisser sur son nez, pour venir regarder Clyde par dessus ces dernières. Il n’arrivait pas à croire qu’il s’adressait vraiment à lui avec de telles paroles, il croyait rêver. « Tu t’entends parler ? » Il ne venait pas s’attarder sur sa voix insupportable à écouter parler depuis autant de temps - il n’était plus habitué -, mais il venait souligner là le contenu des paroles de Clyde. « Ne s’arrêter pour rien ni personne, c’est le métier. C’est pas ma faute si l’un de nous deux a perdu ses couilles en cours de route et que c’est pas moi. » Il vint finalement se redresser sur son transat, avant de basculer ses jambes du côté de brun pour s’asseoir au bord du siège. « Et si je t’avais pas tiré dessus mais que je t’avais juste dégagé du chemin comme un malpropre. » L’idée était pas mauvaise, soit dit en passant. « T’aurais raconté quoi aux pourris qui t’ont rattrapé, hein ? C’était quoi ton excuse pour être à la traine ? » toute trace d’humour s’était envolée dans les paroles et le ton d’Ezra. « Mais sinon, je me suis sauvé, ouais »
Si la conversation avait été aux piques et aux sourires narquois jusque-là, la raison de leur déchirure était loin d’être une plaisanterie pour Clyde. Ce jour était marqué au fer rouge dans sa mémoire, et il en gardait un souvenir si précis qu’il avait sans doute fini par le modifier avec le temps. Mais dans sa version, il restait celui qui se faisait trahir au nom d’un idéal à la con surpassant l’amitié dans laquelle il s’était fourvoyé. “Pour sauver la mission. Content?” Content? Non, pas content. Clyde n’était pas un gosse dans l’attente d’un bonbon ou d’un pansement imaginaire pour venir cacher une blessure qui l’était tout autant - il ne cherchait pas à être content, ni même à avoir raison, mais à expliquer sa vision du déroulé des évènements ayant mené à sa trahison. Car s’il passait pour le mouton noir du duo désormais, sa volte-face prenait source dans des faits bien réels dont l’importance ne pouvait être ignorée.
“Tu t’entends parler?” C’était tout ce que les explications du brun inspiraient à Ezra, un lever de lunettes théâtral? S’il avait su que son ancien ami était incapable de supporter plus de deux secondes la moindre discussion sérieuse ne tournant pas autant d’un casse ou de sa petite personne, il se serait abstenu. “Ne s’arrêter pour rien ni personne, c’est le métier. C’est pas ma faute si l’un de nous deux a perdu ses couilles en cours de route et que c’est pas moi.” L’attaque faisait mal, vraiment mal, et pourtant Clyde profita de la présence de ses lunettes pour ne pas offrir à Ezra la vue de ses yeux emplis de colère et plissés par ce foutu chagrin que le blond ne comprendrait donc jamais. “Et si je t’avais pas tiré dessus mais que je t’avais juste dégagé du chemin comme un malpropre. T’aurais raconté quoi aux pourris qui t’ont rattrapé, hein? C’était quoi ton excuse pour être à la traine?” Il ne savait pas, et l’occasion ne s’était pas présentée, mais il était sûr d’une chose. “J’aurais préféré me tirer dessus moi-même que te voir pointer ton flingue sur moi sans prévenir.” Et il en fallait des sacrées couilles, pour se tirer dessus, non? “Mais sinon, je me suis sauvé, ouais.” Au moins, il l’avouait, mais cela ne rendait pas tous ses mots précédents moins durs tant ils étaient dénués du moindre remord. “Toi t’as perdu bien plus que tes couilles en cours de route. J’espère que tu profites bien de ton fric, tout seul chez toi comme un rat.” Le métier était dur, solitaire, mais Clyde refusait de croire qu’il ne pouvait pas y avoir des étincelles d’humanité - car tout cet argent et toute cette adrénaline ne valaient rien s’ils n’étaient pas partagés avec certains. “Si c’était à refaire tu changerais rien, alors?” La question à un million, celle qui achèverait d’entériner une amitié dont la réalité était désormais discutable.
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L’instant d’avant, les vagues de la mer faisaient un clapotis apaisant en fond sonore et les deux hommes partageaient presque une cigarette dans broncher de quoi que ce soit. Le moment précédent, ils discutaient stratégies et mises en place de plans, comme si rien ne s’était passé entre eux et que toute l’eau du monde avait coulé sous les ponts. Juste avant la seconde qui arrivait, tout allait bien et le calme était enfin de nouveau de mise.
Mais, comme avant une tempête, le calme ne durait jamais réellement. Et Ezra avait idiot de porter le moindre espoir, même minime, à l’idée que les choses pourraient se passer si correctement encore bien longtemps avec Clyde à ses côtés. « J’aurais préféré me tirer dessus moi-même que te voir pointer ton flingue sur moi sans prévenir. » Il vint rire, un rire railleur bien sur, pendant quelque secondes et pas une de plus. « Arrête de faire l’enfant, Clyde. » A venir contredire Ezra et utiliser ses techniques sur lui-même comme si cela allait réécrire l’histoire d’une bien meilleure façon. « T’aurais jamais eu le courage de venir te tirer une balle dans le pied, à d’autres mais pas à moi. » Ezra lui-même, qui adorait pourtant tirer sur tout ce qui bougeait, n’était pas sur de réussir à se plomber le pied tout seul. Surtout parce-que ça serait vraiment handicapant pour la suite de ses plans.
« Toi t’as perdu bien plus que tes couilles en cours de route. J’espère que tu profites bien de ton fric, tout seul chez toi comme un rat. » Les paroles faisaient mal, elles venaient blesser là où Clyde savait que ce serait le pire. Il n’avait pas le droit d’attaquer là, pas quand il s’agissait d’Ezra. « Ferme la. » « Si c’était à refaire tu changerais rien, alors? » Il rageait et ses mâchoires se faisaient de plus en plus serrées. « Je me débarrasserais de toi plus rapidement. » Ce n’était en rien vrai mais il cherchait la guerre, il l’aurait. Il ne fallait pas toucher à Ezra sur ses points sensibles - déjà que lorsqu’il s’agissait des moindres, il n’était pas très stable, mais toucher à la composition de son foyer et de son coeur n’était jamais une idée de génie. « Tu sais très bien que je rigole pas sur ce point là. » Il n’avait jamais désiré profiter seul de son fric chez lui, Ezra. Son coeur n’était pas porté sur ça, quelques années plus tôt, lorsqu’il partageait autant son palpitant que son porte-monnaie avec celle qui semblait être l’amour de sa vie.