| Let's have some fun, this beat is sick - JorBir |
| | (#)Dim 13 Juin 2021 - 20:52 | |
| Elle est pas sereine quand tu te lances dans ta confession et cela à juste titre. Tu serais pareil avec elle. Tu l’as été y’a cinq minutes quand elle a juste levé ses jolies fesses de sa chaise. Tu t’étais déjà fait tes conclusions, qu’elle allait partir. Car elle partira un jour. Tu le sais toujours au fond de toi. Il n’y a qu’une seule certitude sur cette Terre, c’est que vous allez tous partir de l’autre côté. Vous allez tous mourir. Ca faisait longtemps que ton obsession pour la mort n'avait pas refait surface Jordan.
Tu ne la fais pas poireauter plus longtemps et il en résulte qu’elle te taquine les cheveux avant de mieux te pousser le visage en arrière au milieu de son rire. “You freaking asshole.” Vous riez ensemble. Vous avez tous les deux un très beau sourire aux lèvres et ça fait du bien de voir que l’atmosphère est de nouveau celle que tu préfères entre vous deux. Juste deux petits cons d’une trentaine d’années qui aiment passer du temps ensemble. Qui sont sur la même longueur d’ondes. Qui se complètent bien plus qu’ils ne le pensent. “Well, I’ll still find a way to check that info because I’m very doubtful about that point.” Tu joues les gars outré. « What ??? I just came clean and you doubt me ??? » Tu poses une main sur ton coeur. « I’m hurt, babe. » So dramatic Jordan.
“You owe me thirty kisses, then. For compensation for being an ass.” Elle se cale sur son coude et tu captes même pas qu’elle t’imite parce que tu ne t’es pas vu. Elle est freaking adorable en tout cas. Ca tu le notes bien. Tu vas enrouler tes deux bras autour du sien qui tient sa tête. Un geste plutôt très possessif.« Thirty…? » Que tu demandes alors qu’une de tes mains va se positionner sous son menton pour lui maintenir le visage relevé et ton autre main qui va enlacer tes doigts aux siens de sa main maintenant libérée. Tu déposes un baiser sur ses lèvres.« Why don’t we go with… » Tes lèvres qui vont sur sa joue, car voilà que tu comptes chérir son visage plus que de raison, tant qu’elle te laisse le loisir de se faire. Elle est tellement adorable tu as tout à fait envie de la manger. « … a larger number like… » Tu retournes doucement sur ses lèvres parce que quand même. Elles t’ont manqué depuis que vous êtes entré dans ce resto. Puis tu termines enfin ta phrase. « … your age. » Et tu es sur le point d’entamer un véritable baiser plus approfondit pour éviter qu’elle t’insulte de nouveau. Tu maîtrises une de ses mains mais tu sais qu'elle en a une deuxième qui va certainement te mettre un coup. Tu t'attends à être mordu aussi mais ça compte pas trop parce que tu kiffes. T'es prêt à sa réplique.
Mais vous êtes interrompu. « Disculpe cariños. » Vos plats qui viennent d’arriver, la personne du resto qui n’a pas l’air le moins du monde dérangé que Birdie ait décidé d’une nouvelle disposition pour sa chaise et sa personne. Ni même par vos effusions bien larges. Vous n'êtes pas à poil non plus. Ils sont chill, c’est véritablement une ambiance familiale qui fait du bien. Pas pour rien que c’est un de tes resto préférés.
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| | | | (#)Dim 13 Juin 2021 - 23:48 | |
| « What ??? I just came clean and you doubt me ??? » Oh que ça ne lui va pas cet air outré complètement surjoué, dramatique à souhait mais qui ne te surprend pas vraiment. C’est la pression qui retombe dans les deux camps et tu te fais une note de ne pas reprendre l’opportunité d’une discussion sérieuse pour les prochaines semaines. Voire les mois à venir. Un peu extrême, là, Birdie, tu ne trouves pas ? « I’m hurt, babe. » Les lèvres plissées ne retiennent pas ton sourire qui s’affiche, aussi éprise de son jeu d’acteur qui ne lui va pas que de ce surnom dont tu te complais terriblement bien. “Fool me once, shame on you. Fool me twice, shame on me. Better be safe than sorry, honey.” Tu joues gentiment avec lui, rentrant pleinement dans son jeu tout en affirmant tes propos alors qu’ils sont tous bien loin de la réalité ; tu t’en fiches de savoir son âge réel - tant qu’il est majeur et ça, c’est une certitude qui l’est - tant que tu lui fais confiance pour d’autres choses. Plus sérieuses. Plus sincères. Plus à risque, aussi.
Mais t’es guidée par une force supérieure il faut croire car toi-même tu ne comprends pas cette foi que tu as en lui. C’est inexplicable cette sensation que tu ressens et ça l’est encore moins quand tu le regardes avec cet émerveillement de plus en plus persistant dans le creux de tes prunelles. Comme si les vannes se sont ouvertes, que les boutons ont été trouvés et que tu cèdes. Jordan a été patient, il faut bien l’avouer et ça t’a épaté plus que tu ne l’aurais cru. Il aurait pu te laisser mille et une fois sur le bord de la route, faire comme tous les autres et juste ne plus pouvoir te supporter allant jusqu’à t’abandonner. Il y avait encore un moment où il aurait pu s’échapper car ni l’un ni l’autre n’avaient encore pris conscience de l’ampleur de ce qui se trame. Il aurait pu s’y engouffrer et ne jamais regarder en arrière. Car ça ne devait rien signifier, au début.
Mais maintenant, ça veut dire quelque chose. Maintenant ça commence à avoir du sens même si les directions sont encore un peu floues. T’as dit que t’allais essayer. Rien ne sera parfait, rien ne sera gravé dans du marbre mais t’as déjà la volonté. Et puis, quand tu le vois juste en face, le visage rayonnant et absolument magnifique dont tu penses en être la cause et la raison, il n’y a vraiment aucune raison que tu ne craques pas. Tu as toujours été faible et tu le resteras indéfiniment. Quitte à ce que ce soit que pour lui, rien que pour lui. Il n’y a rien eu de demandé - enfin, si, il a parlé de label et tu n’es pas assez sotte pour ne pas comprendre qu’il attend juste de mettre un terme officiel un jour sur votre entité commune. C’est juste un terme, un stupide terme mais qui te semble bien trop conséquent pour que tu puisses l’assumer pour l’instant. Tu es compliquée, Birdie, on te l’a déjà dit ?
« Thirty…? » Jordan a enroulé ses bras autour du tien. Son souffle te chatouille le nez que tu plisses, appréciant de le sentir aussi proche. Il entreprend un tour de passe-passe en déliant des doigts, en liant d’autres, en attrapant ton regard exactement comme il le fait avec tes lèvres. Tu soupires quand il happe un baiser et tu soupires une deuxième fois quand il s’éloigne. « Why don’t we go with… » Ton doigt caresse le sien alors que tes paupières se ferment à moitié, profitant que Jordan soit en mission sur ton visage - tu vas définitivement plus avoir aucune paillette dessus à ce rythme. « … a larger number like… » Pourquoi il a décrété que des baisers légers sont suffisants à ce stade ? Il est frustrant. I need more. Mais il a l’air d’être dans une véritable mission alors tu n’as pas le cœur de l’interrompre. Pas encore en tout cas. Si tu trouves que ça dure trop longtemps, tu n’hésiteras pas à y remédier. L’arrêter. Tes lippes sur les siennes de préférence. « … your age. » What the- Ta main libre vient pincer sa cuisse sous la table.
« Disculpe cariños. » Tu n’as rien compris à ce qu’elle a dit mais t’es clairement plus intéressée par le plat déposé devant toi. Ou plutôt, à côté de ton bras qui est toujours pris en otage ; tu profites de la distraction pour mordre un de ses doigts qui traînent sous ton menton, attendant que la serveuse s’éloigne. “At this point, I’m gonna ask for sixty-three. The cougar that I am needs a lot of kisses to deal with her insufferable toyboy.” Parce qu’il s’amuse beaucoup trop de ton âge, tu as bien besoin de compensations. Pour absolument tout. Aussi bien son côté petit con que le côté lover. Il faut croire que Jordan a cette capacité de passer à l’un et à l’autre rapidement. C’est affolant. Et t’adores. C’est toi qui rapproche ton visage du sien, vos nez se frôlant à peine, juste assez pour que tu puisses parler doucement. “I’m gonna need my arm, you know.” Tu pourrais aussi bien le bouger pour qu’il te lâche mais non. Tu préfères le tenter et le charmer jusqu’à ce qu’il soit le premier à briser la corde ; gimme more. Tu as faim. Tu ne sais juste plus de quoi. Ni où donner de la tête. You drive me crazy, chantonne doucement ta tête. C’est injuste. Mais tu ne changerais le sentiment pour rien au monde.
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| | | | (#)Lun 14 Juin 2021 - 2:37 | |
| Peu importe si elle te croit ou pas, le sourire qu’elle n’arrive pas à retenir vaut bien plus que beaucoup de choses sur cette planète. Winning. “Fool me once, shame on you. Fool me twice, shame on me. Better be safe than sorry, honey.” Tu ne vas pas lui donner la réponse, t’as bien hâte de voir comment elle va trouver la confirmation et ça se lit sur ton visage avec ton sourire amusé en mode : Alright. Suit yourself. Tu aimes aussi bien trop qu'elle t'appelle honey.
Les baisers que tu lui déposes ne sont pas assez. Tout son corps le cri qu’elle veut plus. Tu veux autant qu’elle, mais t’as aussi un petit numéro sous le coude que tu veux jouer avant. Ce que tu attendais arriva. Elle te pince la jambe et ça te fait rire que tu lui tapes sur les nerfs. She so cute. Votre bouffe arrive et tu te défais juste assez pour pas déranger le service. Une main de Birdie toujours dans la sienne, son bras enroulé au tiens. “At this point, I’m gonna ask for sixty-three. The cougar that I am needs a lot of kisses to deal with her insufferable toyboy.” Bien trop de mots qui te font sourire de plus en plus dans sa phrase. « Sixty-three? » Mais voilà qu’elle s’approche de tes lèvres, mais pas assez pour t’embrasser. Kiss me tho. “I’m gonna need my arm, you know.” Mais non madame veut son bras. Tu lui voles un baiser because you can.
« Sixty-three ? » Que tu répètes sans pour autant lâcher son bras ni sa main. « Thirty plus thirty-three. » Parce que tu sais compter Jordan. T’es un business man. « I’d rather go with ♬ thirty-four thirty-five…♪ » Tu dis ces derniers chiffres avec la mélodie qui les accompagne. Tu ne sais pas si elle aura la ref alors tu persistes et signe en une imitation parfaite de Ariana Grande sur la dernière phrase de la chanson en question. « Means I want to sixty nine with you, noooo shit. » Tu te sens si malin et tu es si heureux de caser quelques bouts de cette chanson que tu aimes beaucoup. C’est ta préféré de l’album si on ne compte pas positions. que vous avez déjà chanté ensemble plus tôt dans la journée. Tu ponctues ta petite chansonnette par un baiser sur sa moue avant de libérer enfin son bras car elle doit manger, elle a faim. T’as pas vraiment envie qu’elle mette sa santé en péril à cause de toi. La suite de la soirée, et de la nuit, sont sécurisés à ton avis. Tout va bien se passer. Tout va trop bien. Tu es reconnaissant qu’elle ait mis les pieds dans le plat pour débloquer la tension. La soirée, la journée même, était déjà parfaite à tes yeux. Elle l’est encore plus à présent et tu ne pensais pas cela possible. Tu te sens si bien… Tu vas doucement soulever la jambe de Birdie pour la faire passer par dessus la tienne. Ta main se pose sur sa cuisse parce que tu n’as besoin que d’une main pour manger tes churros et tu as bien besoin de la sentir contre toi le plus possible. Tu es déjà en train de tremper un churros dans le chocolat chaud liquide bien épais. Digne de celui qui était à la fontaine en chocolat à cette soirée sur la plage dont tu as l’impression s’est déroulée il y a une éternité. Tu caresses doucement sa cuisse et chaque mouvement sur elle sont autant de mercis que tu as envie de lui dire. Pour bien des raisons. Thanks for today.
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| | | | (#)Lun 14 Juin 2021 - 7:23 | |
| « Sixty-three ? » Il demande mais il ne reste pas dessus, pas alors que tu le distraits encore une dernière fois en scrutant ses yeux avec la volonté bien certaine qu’il va finir par te donner ton dû. Mais il y a aussi l’appel de la nourriture et franchement, t’ignores lequel des deux est le plus fort à ce moment-là tellement que tes prunelles descendent sur ses lèvres sans le retenir ni même le camoufler. Tu hoches la tête pour confirmer ce qu’il a entendu avant qu’il vienne l’embrasser - furtivement, goddammit, et t’es vraiment sûre à ce stade que tu pourrais manger mexicain et lui en même temps. « Sixty-three ? » Il le répète et ça te fait rire car à ce stade, ça veut clairement dire qu’il est en train d’assimiler et de faire l’addiction que t’as déjà faite dans ta tête. Au moins, il n’y a pas de débat à avoir sur quel âge utilisé et that’s a larger number after all.
« I’d rather go with ♬ thirty-four thirty-five…♪ » Yeah. Tu aurais pu t’y attendre à celle-là alors que tes doigts se resserrent autour des siens et que tu secoues la tête, mi-exaspérée mi-amusée - comme si tu t’offenses réellement qu’il puisse chantonner ça dans un endroit public, s’il te plait, Birdie. Il t’en faut plus pour te choquer - it’s all acting. « Means I want to sixty nine with you, noooo shit. » Sa voix est soft et pourtant, elle caresse et elle résonne sur ton épiderme et même si ce sont des paroles de chansons, il n’y a rien de plus joli à entendre venant de sa bouche. 75% de paroles et tu veux qu’il continue à fredonner autant qu’il le souhaite car tes poils de s’hérisser gentiment, et ça n’a rien avoir avec le manque de chaleur car tu as chaud. C’est la réaction naturelle qui t’habite depuis que t’es avec lui, depuis qu’il sait comment te parler - il l’a toujours su, il faut bien l’avouer - et qu’il a cette facilité déconcertante à te donner juste envie de l’embrasser encore plus, toujours et continuellement - mais sans l’interrompre, vous voyez le dilemne ?
Tu te promets de trouver un moyen - et dix autres de plus - pour lui faire perdre la tête tout pareillement mais pour l’heure, c’est le mexicain qui attend, qui fulmine et qui chauffe gentiment, l’odeur suffisant à te rappeler que t’as des envies que malheureusement Jordan ne pourra jamais combler - diantre, quelle tragédie. Tu y vas avec les doigts parce que c’est mexicain et que tu ne vois aucune façon de faire à part de foutre tes doigts plein de sauces et de râler parce que “how do you handle that thing ?” car tout se barre d’une façon ou d’une autre. C’est chiant, c’est pénible mais “damn it’s good” que tu commentes en soupirant d’aise à la première bouchée - et aussi à la deuxième. Ta jambe est par-dessus la sienne, protégée par sa main qui ne te quitte pas, qui t’effleure doucement et damn que c’est protecteur - t’aimes à croire que c’est aussi de la possessivité. Ouais, l’oiseau qui accepte qu’on l’emprisonne, qu’on la possède, qui l’aurait cru ? Après tout, il possède déjà tes fesses, ton âme et t’es à deux doigts - trois phalanges - de lui donner ton coeur alors il faut croire que les bons comptes font les bons amis. C’est aussi bénéfique pour lui que pour toi, autant que ton estomac répu d’une nourriture bien méritée te fait affaler le dos contre le dossier de ta chaise en le tapotant. “I’m full.” Well almost. Parce que tu le vois avec ses churros depuis de longues minutes. Qu’il te donne envie de lui en piquer, juste pour le plaisir de voler et de véritablement mettre en application what’s yours is mine. Comment t’en es arrivée là ? La question et les réponses sont sans logique, tu n’y comprends rien toi-même mais cela ne t’empêche pas de lui en piquer une, de batailler avec lui pour lui piquer le chocolat qu’il a réussi à mettre sur la sienne comme une gamine chiante que tu peux être toi aussi et de finir par lui foutre une trace de liquide sur le nez en pleine connnaissance de cause. “Oops.” que tu dis sans le penser, te mordant la lèvre. “Better clean that pretty baby face.” Est-ce que tu vas avoir honte d’aller embrasser et passer subtilement ta langue contre son nez en plein milieu d’un restaurant ? Absolument pas. Ta churros toujours en main, tu l’oublies quelques secondes, car après le nez, tu descends pour glisser contre le creux au-dessus de sa bouche et aussi contre ses lippes - encore une fois, tu t’en fiches s’il est en train de manger ou quoi, il a soixante trois baisers à t’offrir et toi, t’es débordante d’envie de les récolter. “You’re very tasty.” que tu commentes contre ses lèvres, souriante comme jamais. Une Cadburry heureuse est insupportable et Jordan va devoir vivre avec les conséquences, maintenant. Mais vu sa capacité à pouvoir l’être en retour, t’as aucune raison de t’inquiéter. All fair in love and war, after all.
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| | | | (#)Lun 14 Juin 2021 - 11:02 | |
| Les réactions de Birdie face à ton petit show sont parfaites. Tu aimes tellement la voir sourire et rouler des yeux et vice versa plus vite qu’il ne faut de temps pour dire ouf. Tu lui fais ressentir bien des choses et c’est que des bonnes choses à ton avis. Vous vous amusez, vous vous embrassez - plus toi que elle et tu sens sa frustration mais la bouffe est là à présent. Tu gardes la connexion avec son corps autrement, sous la table. T’as pas l’intention de défaire ta main de sa cuisse qui est posée sur toi. T’as besoin que d’une main pour manger, contrairement à elle. “how do you handle that thing ?” Elle te fait sourire. She still being her adorable self. Tu la regardes manger plus que tu ne manges. Elle est plus intéressante même si le chocolat qui accompagne est extrêmement bon. “damn it’s good” Elle prend son pied et tu te fais violence à rester sage dans tes caresses sur sa cuisse. Il serait si aisé de glisser ta main sous sa jupe… “I’m full.” Mais elle te fait redescendre sur Terre et tu mords dans un de tes churros pour pas rester bloqué à l’observer alors qu’elle a fini de manger. Like she didn’t notice while eating.
Voilà qu’elle te prend un churros. T’avais déjà oublié cette partie là. Elle était pleine y’a deux secondes mais visiblement, pas tant que ça. Une partie de toi se dit qu'elle est pleine de connerie surtout et ça te plaît plus que de raisons. Tu la laisses faire et bien sûr elle vient tremper le sien en même temps que toi pour que ça finisse en petite bataille adorable. Tu souris, tu ris, tu essaies de maîtriser son churros, en vein. Elle persiste et signe dans son jeu de gamine en mettant du chocolat sur ton visage. Tu aurais dû le voir arriver tu te sens comme un novice avec tes connaissances sur l’oiseau. Est-ce que ton cerveau est trop ramolli et subjugué par sa cuteness et la perfection de ce date? Yup.
“Oops.” « Of course. » “Better clean that pretty baby face.”
Ta tête ne marche vraiment pas du tout car tu n’avais même pas pensé qu’elle allait s’occuper de nettoyer. Car bien sûr tu penses à sa langue aussitôt et elle ne te déçoit pas. Oh my god. Car elle aurait pu juste s’occuper du chocolat qu’elle a mis sur ton nez, mais non. Elle te fait profiter de sa langue bien plus et ça t’allumes doucement. Tu restes immobile, profitant de ce qu'elle te fait ressentir avec ses gestes. “You’re very tasty.” Sa bouche contre la tienne. Tu ne perds pas de temps pour tenter de glisser ta langue vers la sienne dans un baiser qui montre très nettement l’envie que tu as d’elle. Tu ajoutes ton commentaires contre ses lèvres. « I’m hard. » Pas vraiment, mais si elle continue tu le seras sans aucun doute. C’est à ce moment là que tu ne réfléchis plus trop à la bienséance et tu vas doucement… mais sûrement… remonter ta main sur sa cuisse mais aussi… sous sa jupe. Tu reprends de t’occuper des lèvres de son visage. T’es pas inquiet pour l’image que tu peux donner aux gens alentours. Ca fait un moment que ta main est sous la table et que tu ne faisais rien de spécial avec… Que vous étiez juste cute. Tu te penses discret et en toute honnêteté, t’es pas totalement sûr jusqu’où tu veux aller. Just want to check if she’s wearing any underwear… Mais bien sûr Jordan. On sait tous que si elle n’en a pas, tu ne t’arrêteras sûrement pas à cette simple inspection.
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| | | | (#)Lun 14 Juin 2021 - 12:41 | |
| « Of course. » Il sait que t’es fourbe, autant que tu sais qu’il peut l’être aussi. C’est comme ça qu’à commencer votre relation, après tout. L’amicale, s’entend dire. Chacun voulant narguer l’autre à sa façon, à sa manière et c’est une des rares danses que tu connais parfaitement les pas - parce que sinon, tu es nulle en danse, qu’on se le dise. Ton geste n'a rien d’un accident et voilà que t’as juste envie de faire une dame blanche mais avec Jordan à la place de la glace à la vanille. C’est pas sérieux d’avoir ce genre de pensées mais hey, la seule chose que tu prends au sérieux actuellement est ton cœur qui s’affole toujours trop et que tu ne maîtrises pas ; c’est lui qui te contrôle, le fourbe (lui aussi). T’aurais envie d’une glace alors que les températures ne s’y prêtent pas - mais si, en faites, parce que t’as ta langue qui le savoure doucement et t’es à peu près sûre qu’il doit être en suspension de ton prochain geste. Donc en qualité de miss météo, tu visualises très bien la canicule qui arrive en toi en ce jour d’automne doux.
Tant mieux s’il est surpris. Tu n’as pas envie de vous encroûtez déjà ; s’il y a routine qui se profile, il va y avoir des cocotiers à secouer car tu ne veux pas que ça arrive. Mais visiblement, tu es sur le bon créneau. Il n’est pas encore arrivé le jour où tu te laisseras abattre aussi facilement, quand bien même l’adversaire cumule et cultive l’adorabilité et l’attractivité en même temps. God qu’il est la parfaite combinaison des deux et t’es d’autant plus satisfaite qu’il réagit pleinement. Oui, il reste immobile et c’est une réaction pour toi.
Juste avant qu’il vienne chercher ta langue - pas les lippes, la langue - et que vous puissiez être envoyé à l’extérieur face à l’indécence dont vous commencez à faire preuve. Heureusement que la table est assez tranquille et que les gens sont plus perdus dans leurs conversations et la musique et la nourriture que sur vous. Y a tout qui va et rien en même temps, ta main qui vient gratter tendrement la peau de son bras, passant sous la couverture du tissu pour atteindre l’épaule. Si toi t’es sage - si on oublie le baiser de vos langues qui te fait bien trop vriller et succomber et tu te demandes comment vous allez réussir à sortir d’ici sans avoir vraiment rien fait.
« I’m hard. » Okay, la question de sortir du restaurant sans défier les lois de la société et de sa pudeur va être très compliquée. Surtout que Jordan grappille la peau recouverte, tes cuisses qui étouffent dans la jupe bien trop serrée - quelle idée de mettre des trucs aussi moulants en premier lieu - et qu’il dénude tranquillement. T’as évidemment rien dessous parce que l’enfer d’une couche est déjà suffisant. D’apparence sereine aussi l’un que l’autre, il vient capturer tes lèvres de nouveau mais ça ne suffit pas pour te faire oublier ce qu’il fait. C’est le brasier qui se profile. Ton corps réagit même si tu le montres pas, à part via la pression de ta langue qui vient caresser la sienne et shit. Une de tes mains dérive contre sa propre cuisse que tu serres entre tes doigts, comme un avertissement - encore un, mais pour qu’il continue ou qu’il arrête ? “Yeah ? Gonna be hard to go home in that state.” T’abandonnes ses lèvres pour aller caresser sa mâchoire, ayant bien dans l’idée de le marquer là où tu peux - et avoir un avant-goût que de ce que tu marqueras après. Le coincer dans les toilettes serait envisageable mais t’en as pas envie. Tu veux prendre ton temps, aujourd’hui. Tu veux le séduire et le charmer et le rendre aussi dingue qu’il le fait avec toi. I wanna make love to you. Mais si tu continues comme ça, aussi, Birdie, tu ne vas pas l’aider. Et toi non plus, d’ailleurs. Ça fait plusieurs jours. Pas beaucoup mais assez pour que ça soit suffisant.
Ta main libre va se poser sur la sienne qui loge sur ta cuisse. “What do you think you are doing ?” Making me more hot and wet probably. That’s working. Mais tu demandes quand même, ne serait-ce que pour le plaisir d'entendre sa réponse. Les traces sur ta peau en sont la preuve. La destination potentielle s’embrase un peu. Tes reins tambourinent. Faudrait vraiment se décrocher de lui, ou lui de toi, enfin, qu’importe, car sinon, t’as peur que ça foute en l’air le contrôle que t’essaie d’avoir. Déjà que tu n’y arrives pas souvent, voilà que Jordan te tente plus que de raison et que ton corps, ce traître, chante ses louanges qu’il sait que le blond possède. T’es vraiment foutue pour foutue, ma grande.
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| | | | (#)Lun 14 Juin 2021 - 14:02 | |
| TW :
Plus tu montes ta main, plus tu pries qu’elle n’ait pas de sous vêtements. T’as pas envie qu’elle te surprenne en en ayant, même si tu apprécies quand elle n’est pas prévisible. C’est en soit assez surprenant de base qu’elle se balade si aisément sans sous vêtements quand de ton côté tu es du genre à avoir plutôt dix couches de vêtements qu’une seule. She so wild. Ca te rappelle quelqu’un - Rosa - et tu aimes bien trop ce côté de Birdie. C’est totalement le ying de ton yang de ce qui est de vos relations physiques. Tu n’en restes pas moins joueur pour autant. Et de ce fait tu t’allumes. Pas tout seul, car c’est ce que tu lui fais - ou va lui faire - qui y est pour quelque chose. Elle n’aide pas non plus avec sa façon de répondre contre tes lèvres. Ses pressions qu’elle exerce sur ta cuisse. “Yeah ? Gonna be hard to go home in that state.” Ses lèvres qui vont sur ta mâchoire. Bird... C’est pas grand chose mais c’est exactement ce dont tu savais pas qu’il te fallait là tout de suite. Tu te retiens bien d’émettre des sons, tu n’oublies pas où vous êtes. Ca ne t’empêche pas de continuer ton ascension vers son intimité.
“What do you think you are doing ?” « What do you think I’m doing? »
Aussi con l'un que l'autre. Best combo. Elle sent que t’y es presque. Et voilà que tu découvres - enfin - qu’elle n’a effectivement rien pour faire barrière entre tes doigts et sa féminité. My god Bird… Tu mords ta lèvre si fort elle a changé de couleur. Tu essaies de contrôler ta respiration comme si t’avais l’habitude de faire ce genre de chose dans ce contexte là, car tu lui donnes un bon aperçu de la suite. Tu profites de la sentir si proche de toi et si réceptive. Tu te lèches les lèvres alors que tu ne la quittes pas des yeux, aimant bien trop la voir réagir et perdre le contrôle. Tu jettes un coup d’oeil circulaire autour de vous et personne ne vous prête d’attention. Tu joues avec le feu utilisant tes fortes capacités avec tes doigts. Ces milliers d'heures de pratique de piano et un autre milliers à la guitare ne servent pas qu’à jouer de la musique. Mais y’a du mouvement, la table la plus proche de vous qui se fait servir à manger et t’es peut être pas si téméraire que ça alors qu’un serveur se trouve juste là. Tu défais doucement ta main du pays des merveilles. « I’m asking for the check. » Que tu annonces sans laisser le choix à l’oiseau car tu es véritablement hard. Ton esprit embrumé par toutes tes émotions. Tu profites donc du serveur qui est toujours juste à côté pour l’interpeller.
« Si señor. » « ¿Nos trae la cuenta, por favor? »
Tu réponds naturellement en espagnol parce qu’il a commencé comme ça et ton cerveau n’est pas capable de grand chose là. T’as un accent pas dégueulasse mais ça se voit à ton visage que t’es plutôt déconnecté là. Ca fait très très longtemps que tu n’avais pas fait quelque chose d’aussi osé sexuellement parlant. Quelque chose qui n'est pas des plus correct dans un endroit comme celui ci. Cette journée est de mieux en mieux, tu pensais pas que ça pouvait l’être. My body, my mind, my heart will explode by the end of this day. And you wouldn’t mind.
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| | | | (#)Lun 14 Juin 2021 - 19:26 | |
| Tirer sur la corde, sur toutes celles que tu peux, encore et toujours, ça a toujours une de tes spécialités. Jordan est une proie idéale, d’autant que ses réactions t’en procurent à toi aussi ; chaque geste que tu fais, tu reçois en centuple les sensations sur toi. Pour une fois, ça ne te déplait pas. Ce sont celles qui sont appréciables. Celles qui torturent dans le bon sens. Même si là, t’es à peu près certaine de pouvoir râler et grogner toutes les secondes car c’est une torture et qu’il te donne pas assez, pas comme tu le voudrais la maintenant de suite, autant que tu restes aussi sage qu’une image pour ne pas finir par le croquer d’une façon ou d’une autre au risque de finir par attirer bien trop l’attention sur vous.
La discrétion n’a jamais été ton fort et pourtant, tu fais un effort, là. Il gravit ta cuisse, tu poursuis sur sa mâchoire. Il provoque de jolies spasmes sur sa route, tu te venges en mordillant sa peau. Il sent le chocolat et il est toujours aussi brillant avec ses paillettes et y a aussi ton être à toi entier qui doit briller de l’intérieur, la symphonie te faisant plus percutante à mesure que votre jeu absurde mais bouillant continue. Vous n’avez pas de scrupule pour l’humanité autour, pas plus que vous en avez pour vous-même - et c’est sûrement pour ça que t’y prends beaucoup trop de plaisir. « What do you think I’m doing? » Le petit con ne répond pas, il fait preuve d’impolitesse et t’es à deux doigts de l’insulter de nouveau mais y a ses doigts qui frôlent et ce n’est plus une symphonie, une douce et séduisante mélodie mais un pur capharnaüm qui s’enclanche dans tes entrailles. Sévère, brutal, plaisant, et il se mord la lèvre et c’est indécent et il se lèche les lèvres et qui lui permet d’être tout ça à la fois en premier lieu, hein ?
Ta main sur sa cuisse ne suffit pas, tes poumons ne suffisent pas non plus mais à quoi bon essayer de respirer quand de toute façon, t’as l’attention trop happée par le jeu de ses doigts et de ses lèvres et de sa langue et aussi ses yeux bleus, pétillants au possible, qui ne décrochent pas, qui ne dévient que pour surveiller les horizons - oh, heureusement que lui le fait parce que toi, t’en es incapable. Pas quand il est fait ça, pas quand il te fait monter au créneau, gentiment (pas du tout), innocentement (c’est quoi, votre définition de l’innocence, dites-moi ?) Là, c’est toi qui reste immobile ; tes phalanges qui reposaient sur sa main s’agrippent à son bras de nouveau et c’est encore un fucking warning car s’il continue, tu décrètes que t’en as rien à faire de la bienséance et des jolies pensées pseudo-romantiques que t’as pu avoir tantôt ; we can fuck now and make love later.
Mais mais mais Jordan est raisonnable, contrairement à toi - well, I haven't put my hand on his dick (yet). T’es à peu près sûre que tu l’aurais eu, ton quickie dans les toilettes si t’avais fait pareil. T’insultes joyeusement la présence des autres, du monde, de l’humanité entière qui ne peuvent pas vous foutre la paix plus de deux minutes - t’abuses mais t’es frustrée, t’as tous les droits.
« I’m asking for the check. » “Yes, do that.” tu dis chaudement, la voix enrouée et tu te maudis d’être aussi faible - tes côtes sifflent encore de la pression qu’il a foutu, la même pression qui n’a pas été assouvie, qui ne retombe pas et qui te rend encore plus impatiente que d’habitude. One fucking week, bear with me - oui, Birdie, le monde entier a compris ce qui allait se passer dans les prochaines heures. A répétition, plusieurs fois, parce qu’il aura mangé et qu’il aura donc toute l’énergie nécessaire pour s’occuper de toi, pas vrai ?
« Si señor. » « ¿Nos trae la cuenta, por favor? »
oh god. Est-ce que c’est parce que t’es sous l’effet aphrodisiaque de tes hormones que l’entendre parler espagnol te rend dingue ? T’en sais rien, tu ne te poses pas la question, ton visage coincé contre son épaule car t’as pas envie que le serveur voit que t’as sûrement gagné en chaleur - si on te demande, tu diras que t’as mangé épicé, t’es pas obligée de dire d’où les épices sont venues. Tu murmures juste dans le creux de son oreille “Can you stay up all night? Fuck me 'til the daylight ?”, comme une demande sérieuse de ce que t’attends, Ariana sachant trouver les mots juste et hey, c’est Jordan qui a commencé en premier lieu ; la chanson te trotte dans la tête, c’est chiant mais c’est tellement accurate. Tu le perturbes alors qu’il paie - how gentlemanly, mais la prochaine fois, ça sera toi - tu planifies déjà de réitérer l’expérience, c’est adorable, shut up. Tu remets ta jupe correctement, tu remets même la chaise à sa place et à peine le seuil franchi du restaurant en te tournant sur toi-même avec vos mains au-dessus de ta tête, tu le coinces gentiment contre le mur du coin, au bout de trois pas, les mains attachées à son hoodie. “I think you’re playing with my nerves and it’s working very much and I just want you to do me until I can’t think straight anymore.” T’es à peu près sûre qu’il va commander un Uber, s’il ne l’a pas déjà fait, mais toi, ce sont ses lèvres que tu commandes de venir sur les tiennes en tirant sur son vêtement pour qu’il se baisse. T’es vraiment chiante, t’es exigeante mais c’est de sa faute, à lui et à lui seul. Il ne va pas se plaindre parce que t’es en train de l’embrasser comme si c’était le dernier baiser de ta vie, quand même, si ?
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| | | | (#)Mar 15 Juin 2021 - 2:22 | |
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“Yes, do that.” Elle est aussi pressée que toi de quitter les lieux. Faut dire que la torture que tu lui as fait subir était annonciateur de bien plus. Vous n’avez plus envie d’échantillons. De lèvres frôlées. Which ones? Il vous faut plus encore. C’est elle qui a le plus ressenti avec tes exploits sous la table mais de la voir être allumée et réagir autant, c’est ce qui te fait complètement réagir aussi. La voir prendre du plaisir, perdre le contrôle sous tes baisers, tes mains, tes coups de reins, c’est le meilleur.
Tu manges le dernier churros en attendant la note. Tu essuies tes doigts sur ta serviette aussi oups. C’est comme si vous aviez d’un commun accord décidé de ne plus vous toucher jusqu’à sortir du resto. Mais Birdie remet une magnifique couche d'une toute autre manière qui marche aussi bien sur toi. “Can you stay up all night? Fuck me 'til the daylight ? Parce que le jeu des paroles on point chanté à ton intention c’est un huge turn on. En plus elle te murmure ça à l’oreille. Le sourire sur tes lèvres qui se fait large. Très large. Et tu ne peux pas t’empêcher de rajouter la suite. Juste pour confirmer que vous n’êtes peut être pas un couple, mais vous êtes indéniablement un duo. « Thirty four thirty five… » T'es en train de taper ton code de carte bleu et l'intervention musical osé de Birdie ne te dérange, pour la suivre sur les paroles. Tu sais faire autre chose en même temps que tu chantes. Jouer d’instruments et pousser la chansonnette pour tes loisirs et ton boulot aide à cette faculté. Tu jettes un coup d’oeil à ton oiseau alors que tu récupères ta carte. Well played Bird. Cette journée est de plus en plus parfaite, y’a des chances que ce soit ta dernière journée sur Terre. Tu veux pas croire à autant de bonnes choses pour toi sans répercussions derrière.
Tu la vois qui se remets sa jupe du coin de l’oeil et dear god ça te lance une nouvelle vague de chaleur. T’es hard ouais, mais tu récupères ton hoddie posé sur le dossier de ta chaise et tu le portes - comme par hasard - devant toi, au niveau de ton bas ventre. Comme c’est intéressant cette coïncidence. Shut up.
Voilà que Birdie joue à la ballerine pour te bloquer à peine vous avez mis les pieds dehors. “I think you’re playing with my nerves and it’s working very much and I just want you to do me until I can’t think straight anymore.” Tu sens des frissons dans ton corps suite à ses paroles. Elle ne te laisse pas le temps de répliquer qu’elle te tire à ses lèvres. Tu ne saurais comment elle dit exactement tout ce que tu aimes plus que de raisons. Ou peut être qu’elle peut dire n’importe quoi et tu kiffes de toute façon ? La vérité, c’est que t’aimes les personnes qui n’ont pas peur de dire le fond de leur pensée à ce niveau là. Surtout que vous êtes sur la même longueur d’ondes. Qu’elle domine est clairement un de tes turn on et cela, de n’importe quelle manière qu’il soit. Tu lui rends plutôt bien la pareille à ton avis et ce soir principalement. Voilà qu’elle reprend le pouvoir de tout ce que tu lui as fait subir. Tu vas sans honte poser une main sur ses fesses - pourquoi se priver. Tu réponds à son sulfureux baiser pendant quelques secondes plutôt longues avant de te détacher pour justement pouvoir entamer l’ascension vers chez toi.
Tu sors ton téléphone de ta poche, te disant que tu aurais du commander le Uber avant au lieu de manger tes churros. Heureusement vous êtes en ville et l’uber arrive en moins de cinq minutes. Tu n’as pas su enlever tes mains de ses fesses pendant ce temps, la gardant contre toi afin que ton érection ne soit toujours pas visible. Quand le taxi est là, c’est le retour de ton hoodie pour camoufler tout ça. Tu dis tout juste bonsoir au chauffeur et tu vas embrasser les lèvres de l’oiseau aussitôt installé ‘pour faire passer la route plus vite’. Y’en a pour quinze minutes à arriver chez toi. Tu vas murmurer à son oreille entre deux baisers sur elle, peut importe où arrivent tes lèvres. « I’m gonna do everything you want… And more. » La réponse à sa phrase d'un peu plus tôt. Voilà ton temps de réaction actuel. Plusieurs minutes. Tes mots c'est ton excitation qui parle et qui met la charrue avant les boeufs. Cela dit t’es confiant de faire les choses bien et de faire passer Birdie avant toi dans toute la suite de la nuit. Si elle prend son pied tu prends le tiens. C’est aussi simple que ça.
Tu dis à peine merci au chauffeur quand vous sortez et c’est limite si t’es pas en train de tirer Birdie par la main pour arriver plus vite à l’intérieur. Dès que ta porte est ouverte, t’as déjà une main sur ses fesses. « Show me that perfect ass… » Perfect perfect, t’es pas objectif Jordan. Tu l’as visualisé une bonne partie du trajet et voilà que t’es en train de lui relever sa jupe sans ménagement, ne prenant même pas la peine de monter les escaliers pour arriver dans ton salon. T'allumes la lumière du couloir de l’entrée. Il fera l’affaire. Y’a les escaliers si besoin de vous poser. T’as encore jamais baisé avec personne sur ceux là d’ailleurs. Ca te plaît si en plus tu te fais des nouveaux souvenirs dans des nouveaux endroits de ta maison. Des nouveaux souvenirs avec elle. Tes lèvres sur sa peau, tes mains sur son corps, tu reprends où t’en étais au restaurant. Tu ne t'embrasses pas de lui ôter tout ses vêtments. Qu'elle ait sa jupe remontée te fait un effet monstrueux. Tu y vas avec plus de ferveur que plus tôt car la frustration de tout le trajet est bien présente. Ton hoodie, tu l'as laissé tomber dans les escaliers, juste là, sans ménagement. T’as bien mieux à faire. T’occuper du plaisir de Birdie car il est aussi le tiens. « Tell me all you want… » Que tu lui dis contre ses lèvres alors que tu continues de t’insérer avec plus ou moins d'intensité et rapidité en elle de tes doigts magiques entre deux caresses bien placées également. « I’ll do it all… » Tu n’as pas l’impression que tu puisses refuser quoi que ce soit. Tu veux tout ce qu’elle veut.
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| | | | (#)Mar 15 Juin 2021 - 7:15 | |
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C’est brûlant, c’est passionné, c’est moins sentimental, c’est plus à l’instinct. La bienséance s’est faite la malle depuis longtemps, tu ne la regrettes pas le moins du monde. T’es parfaitement à l’aise de défier les lois et les règles et les contraintes juste parce que ton corps et ton coeur te l’incitent. C’est bien plus que toutes les paroles qu’on pourrait te forcer à extraire de tes lèvres ; tu préfères les occuper à l’embrasser pour le rendre encore plus ivre de toi. T’es saoulante et tu le veux que ce soit dans tous les sens du terme ; le meilleur comme le pire. Y a tout que tu veux faire avec Jordan, y a des expériences nouvelles qui se profilent, l’emmerder autant qu’il t’emmerde, l’aguicher autant qu’il t’aguiche, font partie de la liste. Tu l’encadres de tes mains, il te retient par les fesses ; tu te forces entre ses lèvres, évidemment qu’il te laisse libre accès. T’as toutes les clés pour absolument tout, même au plus profond, au plus fragile mais ça, ce n’est pas ce dont à quoi tu penses entre deux vagues de frustration mélangée à l’excitation qui ne cessent d’accroitre et de persister.
Le temps qu’il commande, le temps d’attendre - c’est un cercle qui ne finit jamais - il te garde contre toi ; donc évidemment que t’en profites. Tant pis s’il fait dix têtes de plus que toi et que t’as pas accès à ses lippes, à son visage, à tout ce que tu veux en haut ; si t’as pas sa tête, t’as ses bras, son torse et down south. Cinq minutes qui tirent en secondes quand le uber arrive et gosh, vous avez vraiment l’air d’adolescents en chaleur qui ne peuvent pas se détacher pendant quelques secondes - tu t’en fous encore plus. T’as le droit, que tu te répètes une nouvelle fois. « I’m gonna do everything you want… And more. » ohohoh t’y comptes bien. Faut bien qu’il se rattrape d’être un fourbe à la noix, un tentateur subtile et affreux - il peut recommencer quand il veut, ahem. Autant dire que le trajet en voiture est tout aussi long que l’attente et t’es à peu près certaine que vous seriez déjà arrivés si c’était toi derrière le volant - mmh, pas sûre que ça aurait été une bonne chose ni même une bonne idée.
« Show me that perfect ass… » Bouh, le flatteur. “You don’t need to flatter me, milord. I’m already yours.” car y a chaque fibre de ton être qui l’appelle et qui le réclame, crevant un peu plus de son attention. Tu le veux partout à la fois et c’est comme ça qu’il s’insère en toi - sans jeu de mots, I swear. Il s’insère dans ton âme, dans ton être, dans les filaments de ce qui te compose et fuck, il est parfait pour toi que tu penses niaisement alors qu’il a ses doigts qui retrouvent son intimité, ses lèvres contre la peau dénudée - t’es pas très objective, fuck it, t’es pas journaliste, t’es pas née pour l’être. T’as des opinions tranchées et tu seras jamais objective quand ça concerne Jordan. « Tell me all you want… » Tu te retiens à lui - non, t’as tes ongles plantés sur ses bras, plutôt - alors que ta respiration se fait bancale et cette fois, t’as pas besoin de retenir les souffles et les gémissements qui t’amplissent la voix. « I’ll do it all… » Tu geins à peu plus, à ses mots comme à ses gestes qui te caressent en plus profond, qui te font cambrer et t’attrapes ses lèvres, tu pourrais pleurer comme une gosse - tu geins déjà comme une gosse, tu ne serais plus à ça près. T’es presque furieuse que ce soit trop facile mais l’accumulation et le manque ne se discutent pas, et se contrôlent encore moins. “You…You everywhere… Kissing me… Taking me…Winning me... Jordan…” ta voix est bancale et tu le supplies - de faire tout, de faire ce qu’il faut, se mettre à genoux, te mettre à genoux, t’engloutir, t’envahir, te conquérir, tu veux juste tout parce que c’est lui, et que t’es faible, qu’il te rend faible, et choyée aussi, que t’as confiance, que tu sais qu’il va bien te traiter et que damn il fait perdre la tête autant que le coeur qui palpite et qui vrille dans ta poitrine jusqu’à ce que tu l’entendes résonner jusqu’à tes oreilles. Tu réussis à attraper ses lippes, que t’embrasses précairement entre deux plaintes et deux paroles mélangeant “i missed you so much” et “i’m dying to feel you inside me” et son prénom, murmuré sous mille façons différentes, avec autant de timbres et d’intonations aussi chaudes qu’enrouées. La réalité est quu tu veux Jordan dans son entièreté, de sa forme la plus honnête, la plus pure, la plus belle et que ce soir, t’as la sensation que tu peux embraser tout ce qu’il te donnera. T’as dit que t’allais essayer. T’as dit qu’il était une expérience. Une aventure. Tu t’es jamais sentie aussi aventurière qu’à présent. Tout ça parce qu’il a réussi à atteindre le plus frêle en toi, le plus sensible, le plus compliqué aussi. Il est patient, Jordan, il est parfait que tu te répètes une nouvelle fois et, c’est vraiment pas objectif alors qu’il a ses doigts de musicien en toi ; t’es son instrument du jour et il faut croire qu’il est prêt à te faire chanter toutes les octaves possibles pour créer la plus belle des mélodies - t’es qui pour lui refuser ça, sérieusement ?
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| | | | (#)Mar 15 Juin 2021 - 11:35 | |
| TW :
“You don’t need to flatter me, milord. I’m already yours.” Is she? Tu ne t’attardes pas plus que ça car le moment est bien plus étincelant que des mots, des paroles. C’est vos corps qui sont les acteurs principaux du moment. Elle réagit tellement à ce que tu lui fais, elle est si humide c’est totalement indécent et tu es le seul coupable pour son état. Tu recommencerais ce crime en un claquement de doigt mais ceux ci sont bien trop occupés à cet instant. Ses ongles dans ta peau, tu sais pas si elle se tient plus efficacement pour ne pas tomber ou si elle juste veut partager ses sensations. Harder. Parce que t’es bien fucked up comme ça Jordan oui. Si tu peux avoir mal au milieu du plaisir, c’est encore plus de perfection. Elle est tellement ailleurs, elle contrôle rien du tout alors que tu lui demandes ce qu’elle veut. T’es une blague Jordan, comme si elle pouvait réfléchir avec ce que tu lui fais. Elle vrille. Mais tu te sous estimes toujours dans bien des domaines. Quand tu la vois comme ça. “You…You everywhere… Kissing me… Taking me…Winning me... Jordan…” Quand tu entends ces mots saccadés. Quand tu remarques qu’elle n’a même pas la force de t’affubler d’un surnom, c’est là que tu te rends compte de tes capacités. Tes ailes qui sont doucement en train de pousser. Elle te donne toute la confiance que tu n’as que rarement. Tu sais que ça ne va pas durer ce sentiment d'être complet alors tu profites. Tu as tellement l’impression que Birdie est de ceux qui est à un niveau différent du tiens concernant les relations sexuelles. Tu ne sais pas les détails, mais quelque chose te dit qu’elle multiplie les partenaires régulièrement et sûrement en un temps record. Qu’elle a dû en croiser des gens qui sont réellement doué pour faire décoller les gens. Pour la faire décoller elle. T’es trop con Jordan parce que tu ne réalises pas que c’est justement parce qu’il y a plus que du sexe entre vous qu’elle est aussi réceptive. Tu la fais se sentir bien mieux que tous les autres car il y a tout un axe de l'oiseau qui n’est généralement pas exploré au milieu de cette magnifique courbe d’émotions. Une partie de toi se dit que c'est tes pratiques peu communes qui la faisaient revenir vers toi, même si tu n'as aucune idée s'il ne s'agissait pas de choses déjà fréquente de sa vie. C'est la seule raison à tes yeux qu'elle soit revenu vers toi avant que ça passe au level supérieur entre vous. Jordan. Arrête de réfléchir. Profite de ton jour parfait. “i missed you so much” Qu’elle arrive à sortir au milieu de ses gémissement. “i’m dying to feel you inside me” Au milieu de vos baisers. « Bird… » Et tu exauces son souhait après l'avoir préparé comme jamais. C’est les escaliers qui auront le droit à ce souvenir. A aucun moment tu la prives de tes lèvres, de tes yeux. Tu connectes autant ton corps que ton âme à elle. C’est cette dimension supplémentaire qui change tout. Tu ne sais pas comment mais au milieu de vos ébats vous vous retrouvez dans une position qui n’a pas l’air des plus confortables. Le fait que vous soyez dans l’entrée, dans des escaliers y est carrément pour quelque chose. « You good? » Que tu demandes sans pour autant arrêter tes vas et viens en elle parce qu’elle a l’air ailleurs et tu ne veux pas la priver des sensations si l’inconfort éventuel n’est que pure produit de ton imagination. Better safe than sorry. Parce que cette fois ci a un goût de différent pour toi. Même si vous êtes messy et pas tout tendre dans beaucoup de vos gestes, c’est bien l’amour que tu lui donnes, que tu lui fais.
« Bath or shower? » Que tu lui murmures alors que ça fait plusieurs minutes que vos spasmes se sont fait au plus intense. T’es assis sur les marches, Birdie à califourchon sur tes cuisses. Tes bras enroulés autour d’elle, sa jupe toujours là, même si elle ne couvre rien depuis bien longtemps. Tu grattes document le dos de l’oiseau en la gardant contre toi, profitant pleinement de toutes vos sensations. Tes lèvres qui se posent sur son cou, sa clavicule, son épaule. Tu soupires doucement de contentement.
I want this day everyday. I want her mine forever.
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| | | | (#)Mar 15 Juin 2021 - 18:48 | |
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« Bird… » Oh, Bird est plus là, Bird est partie, Bird est envolée, et pourtant jamais ce surnom prononcé comme ça, traînante à souhait, suppliante un peu et les fourmis remontent toujours plus haut sur toi à force de persistance et d’intrusion divine. Même happée par une euphorie qui n’a rien voir avec un aphrodisiaque joué de ses atomes ni même d’un éthanol tout aussi abusé dans ses doses, tu ris légèrement entre deux baisers, tu râles encore plus de fois quand il récupère ses doigts et qu’il tente de chercher la position - pas la plus confortable mais au moins celle-là qui permettra à tes envies de princesse d’être assouvies là maintenant ici dans son foutu hall, à même les marches de son escalier, t’en as rien à faire, jusqu’au bout. T’es prête à laisser ton empreinte absolument partout, égoïstement à ce qu’il puisse se rappeler de toi dans chaque pièce, dans chaque recoin quand t’es pas là, exactement comme lui marque sa trace dans ton être entier - indépendante, still, mais il marque au fer rouge, comment tu peux résister ? A chacun son bordel et t’es vraiment sans pitié, comme le montrent les griffes que tu continues de planter dans sa peau et tes dents qui ne manqueront pas de venir s’aggriper tout pareillement par la suite car les coups ô combien intenses mais parfaits te font graviter en haut - et tu serres un peu plus tes jambes autour de lui car tu veux pas monter là-haut, tu veux rester et entendre sa propre respiration qui se perd, qui se coupe, qui s’effile, constater qu’il est aussi perdu que toi et t’attrapes sa main pour mieux la serrer, la pétrir, la rendre rouge de tes marques.
« You good? » “No. Don’t care. Keep going.”
T’hurles s’il fait preuve d’un putain de mouvement d’arrêt ou de ralentissement sous le joug d’une foutue vague chevaleresque de sa part. La marche est en plein milieu de ton dos, t’es à peu près sûre de glisser à chaque coup mais t’en as juste vraiment rien à faire de ne pas être confortable car t’es bien quand même. Il donne, beaucoup, toujours, différemment ceci dit mais tu prends car fuck it, t’as pas besoin de raison. Pas quand tu le prends contre toi, pas quand tu respires sa peau, pas quand tu plantes tes dents contre son cou et encore moins quand tu supplies son prénom mille et unes fois comme pour lui prouver que c’est bien lui qui provoque tout ça.
Alors forcément, la descente est longue, elle est foudroyante et ta tête contre son épaule alors que cette fois, c’est toi au-dessus de lui. « Bath or shower? » Tu souris légèrement, toujours contre son épaule, tes bras autour de son cou et t’y soupires légèrement en te disant qu’effectivement, l’un ou l’autre est une perspective très intéressante. “Bath. With lots and lots of bubbles.” Parce que t’as pas eu ton chariot de mousse et bulles donc il faut bien faire amende honorable.
Des paquets d’heures après, le coeur de nouveau au bord du gouffre, relâchant les hanches de Jordan tout en te plaquant contre sa silhouette, le libérant gentillement de ton intrusion, tu embrasses son omoplate, sa nuque, ses cheveux quasi rasés, avant de prononcer à son oreille “Happy pride day, sweetheart.” L’adrénaline a été forte, les sensations encore plus et tu t’accroches à lui, toujours allongé sur le ventre, avec la ferme intention de ne pas bouger. Tant pis si sa respiration est coupée, tant pis s’il a trop chaud - t’as trop chaud et pourtant, ta forme est parfaite contre la sienne, autant que ton envie de le chérir comme tu le peux toi aussi. T’en es capable, après tout, il fallait juste la bonne personne pour ça. Perhaps he’s the one.
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| | | | | | | | Let's have some fun, this beat is sick - JorBir |
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