| Enchanting Thrills ▽ Joyce |
| |  (#)Mer 7 Juil 2021 - 14:13 | |
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 Pockets full of rainbows ▽ I need it hard
I'm a dead girl walking
I'm in your yard
I'm a dead girl walking
Before they punch my clock
I'm snappin' off your window lock
Got no time to knock, I'm a dead girl walking
@"Nicole O’Connor"
Une légère poussée de mon index et je la fis basculer sur son canapé. Une légère odeur de monoï l’accompagna et me fit à nouveau chavirer tandis que son corps mince chutait telle une plume sur les coussins. Mes yeux se fermèrent un instant tandis que j’essayais de m’imprégner de cette odeur si particulière. Sur mes lèvres persistait la trace de son gloss vanille et tandis que je secouais ma chevelure pour la repousser vers l’arrière, je me remémorais cette intense sensation de ses lèvres contre les miennes … et de sa langue.
Je passais mes doigts sur le fermoir en argent de ma robe autour de mon cou. Mmmmh … peut-être plus tard … J’appuyais mon genou sur l’un des coussins et me plaçais au niveau de sa taille. Bien assise contre une Nicole allongée, je dominais de toute ma hauteur son corps svelte qui me montrait des signes d’impatience. J’agrippais sa main gauche avec ma main droite et de ma gauche, je me mis à caresser son ventre avec attention.
Je me penchais vers elle et l’embrassais à nouveau avant de lui murmurer à l’oreille :
« Ne bouge pas … »
Mon ton de voix était des plus doux, de même que mes caresses. Lentement, je me redressais et mes mains glissèrent le long de son ventre, puis de son bassin, avant de se frayer un chemin dans les sillons des plis de sa robe. J’agrippais le tissu, en profitais pour pincer avec douceur ses chevilles avant de le remonter jusqu’au haut de ses cuisses et de le laisser reposer sur son ventre.
Ses jambes … Et quelles jambes ! Une peau douce et chaude comme j’en rêvais. Et une jolie culotte, mademoiselle O’Connor … Mais je n’attaquerai pas le dessert tout de suite ! Je me remis d’aplomb, bien entre ses jambes et entrepris de les masser avec douceur, de l’extérieur vers l’intérieur des cuisses. Il fallait que j’entretienne un peu cette flamme et je me demandais si ma partenaire allait réagir à mes incursions de plus en plus aventureuses vers son entrejambe. Mais je saurai patienter. La deuxième manche venait juste de s’ouvrir et c’était à moi de mener la danse.
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|  | | | | (#)Mer 7 Juil 2021 - 16:03 | |
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 Enchanting Thrills ▽ Quickly it comes up to my waist
As you can see it is dizzy like crazy
@Joyce Jefferson Je me sentais tomber, poussée par Joyce autoproclamée maîtresse de la situation - en vrai, c'était juste parce que je la laissais faire. Un peu chatouilleuse, je me retenais de bouger lorsqu'elle me caressa le ventre. Je serrais la main qu'elle me tenait pendant qu'elle m'embrassait mais elle s'arrêta plus tôt que je ne l'aurais cru pour me murmurer de ne pas bouger. Hm, très bien, que me réservait-elle ?
Elle voulait en voir plus, en toucher plus, elle avait vue sur ma dentelle bleue mais la gardait encore sur ma peau, contrairement au bas de ma robe. Le retour du massage appuyé cette fois-ci c'étaient mes entrejambes les clientes. Ok, il faisait chaud.
Je fermais les yeux, appréciant le moment. Après tout, si elle ne voulait pas que je bouge, pourquoi irais-je la contredire. J'étalais mes bras au dessus de ma tête histoire de bien lui faire comprendre que j'étais entièrement à sa merci. Tout mon corps frissonnait de désir, chaque mouvement de ses mains sur ma peau me donnait envie de plus. Si je manquais de volonté, je retournerais Joyce et la situation en une fraction de seconde.
Je me mordais à nouveau la lèvre inférieure. Je serrais un peu plus les cuisses, prétendant un réflexe moteur pour pouvoir piéger ses mains plus près du "but". Si elle y voyait une invitation, je ne marquerais pas d'opposition. Je rouvrais les yeux pour observer ma partenaire de jeu.
" Pardon, j'ai... bougé ?"
Vas-y maîtrises moi si tu peux.
Tiens moi.
Contrôles moi.
Je ne comptais pas rester sage toute la soirée, j'attendais juste mon moment. Tantôt dominée, tantôt dominatrice, je dominais la situation dans tous les scénarios possibles et imaginables.
Mais le plaisir était partagé.
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| | | | | | (#)Mer 7 Juil 2021 - 16:24 | |
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@"Nicole O’Connor"
« Chuuuuut … Laisse-toi aller … »
J’avais bien senti la contraction de ses cuisses. J’étais loin d’être naïve. Elle me menait par le bout du nez, mais j’avais pour l’instant la possibilité de faire ce que bon me semblait et cela m’allait parfaitement. Elle voulait pimenter le jeu en m’empêchant temporairement d’atteindre mon but, mais je sentais bien qu’elle ne ferait pas obstacle très longtemps.
Je maintenais mes mains sur ses cuisses et continuais mes massages. Il ne me fallut pas longtemps pour parvenir à la détendre et je profitais de l’occasion pour me placer plus en-dedans, lui bloquant toute possibilité de me repousser. Elle était désormais à ma merci et je comptais bien en profiter.
Je m’allongeais sur elle quelques instants, le temps de lui voler à nouveau un baiser et de me perdre dans sa chevelure. Son corps était chaud … mais pas encore au point d’ébullition. Il ne manquait pas grand-chose … juste une petite incitation en plus. Et j’avais exactement le genre de tour de magie pour ce genre d’occasion.
Ma main droite écarta à nouveau les jambes de la demoiselle. La gauche, profita de l’ouverture pour franchir le seuil et frôler le tissu de dentelles bleue. Je la sentis se raidir et lui passait l’autre main dans ses cheveux.
« Ne bouge pas … »
Mes doigts commencèrent à appuyer lentement sur la dentelle. Mes doigts commencèrent à jouer avec la barrière de tissu. Je prenais mon temps pour faire monter le plaisir. Enlever immédiatement la dentelle aurait été aller un peu trop vite en besogne. Il fallait y aller en douceur, rendre ce plaisir intenable, presque douloureux, pour qu’elle se lâche complètement.
Mon toucher se transforma bientôt en massage tandis que mon autre main lui caressait les cheveux et faisait courir mes doigts autour de ses lèvres. Je prenais mon temps. Nous avions toute la nuit et je voulais jouer aux montagnes russes, explorer tous les possibles. A la fin de l’acte, elle serait mienne … ou je serai à elle.
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| | | | | | (#)Mer 7 Juil 2021 - 17:27 | |
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Enchanting Thrills ▽ Quickly it comes up to my waist
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@Joyce Jefferson Vilaine que j'étais, j'osais intervenir plutôt que de jouir. Mais il m'en fallait plus que ça pour me laisser complètement aller. Et elle le savait puisqu'elle fit monter la température plus vite qu'il ne me fallait de temps pour dire ouf. Je sentais mes membres se raidir au contact de sa main sur le semblant de barrière que ma dentelle formait sur mon pubis. Je laissais échapper un petit bruit de ma bouche de là à dire que je gémissais, pas encore. Pas loin, pas assez près. Mais lorsqu'elle appuya davantage et que le geste se mua en massage...
" Hm... Att...ends..."
Elle voulait jouer, nous allions voir.
Je me mordais la lèvre pour m'empêcher de céder trop facilement vocalement. Elle n'avait pas saisi l'occasion de bloquer mes mains, croyant que j'allais rester sagement les bras au dessus de ma tête. Tu aurais dû me les attacher, Joyce. D'une main, je saisis son buste pour la faire pencher vers mon corps et l'embrasser, étouffant tout gémissement qui oserait sortir de ma bouche. Elle pouvait continuer ses mouvements au travers de ma dentelle, elle était encore libre de ce côté là mais sa tête était occupée, ma langue envahissait une nouvelle fois la sienne. Que faire de mon autre main ?
Je cherchais aveuglément celle qui caressait mes cheveux pour occuper la mienne. J'aurais pu m'en servir autrement mais c'était le moment de Joyce... Pour l'instant. À chaque point crucial, mes doigts se crispaient dans les siens et chaque fois que je retirais ma bouche de la sienne mon souffle se faisait court. Ma voix se faisait entendre un peu plus à chaque fois. Nous n'en étions pas aux cris, pas encore...
Il fallait s'armer de patience.
Nos armes étaient bien chargées et nous ne faisions que parcourir les tranchées. Nous avions toute la nuit pour conquérir les terres. |
| | | | | | (#)Dim 11 Juil 2021 - 4:17 | |
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Elle s’emparait de moi, me collant contre elle et prenant possession de mes lèvres. C’était exactement ce que je souhaitais et je l’encourageais à se servir. Mes lèvres étaient toutes prêtes à l’accueillir. Chaque gémissement qu’elle étouffait était l’occasion d’un nouveau baiser, son souffle parfumé effleurant ma peau avant de se perdre dans ma bouche. Sa peau était de plus en plus chaude tandis que ma main continuait à masser la fine dentelle bleue. Je la sentais commencer à bouillir … mais ce n’était pas assez à mon goût.
Elle tenta vainement de s’emparer de la main qui jouait avec sa chevelure. C’était peine perdue. Elle n’était pas encore à ma merci. Nous n’étions qu’à l’échauffement.
Ma main remonta le long de la dentelle et s’immisça à l’intérieur. Le bout de tissu était devenu gênant et il me fallait passer à quelque chose de plus consistant. Je recommençais à masser ma conquête, cette fois-ci plus fortement, mes doigts prenant de plus en plus d’initiatives, cherchant à s’emparer du moindre bout de territoire et … tient … aurai-je touché un point sensible ?
Je souris et l’embrassais à nouveau. Ses doigts et son corps venaient de se crisper et tandis qu’elle étouffait un gémissement, je me glissais à nouveau vers son oreille.
« Si tu continues à bouger, je t’attacherai … , lui murmurai-je d’un ton qui se voulait à la fois une proposition et un doux avertissement. »
J’étais en train de prendre le dessus … à moins que cela ne soit un nouveau piège de sa part et qu’elle ne retourne la situation. Quoique … l’idée n’était pas du tout déplaisant. J’appuyais à nouveau sur la zone la plus sensible de son anatomie, bien décidée à la faire monter dans les tours et à réveiller en elle la conquérante qu’elle était.
« Aurais-tu besoin d’une pause ? lui susurrai-je d’un ton quelque peu moqueur. »
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| | | | | | (#)Dim 11 Juil 2021 - 13:11 | |
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@Joyce Jefferson Alors qu'elle brisait la barrière en se glissant sous la dentelle et que mes gémissements se firent de plus en plus difficiles à étouffer, Joyce proposait de m'attacher. Entre deux mouvements appuyés de sa part et deux baisers de la mienne j'essayais d'articuler une réponse.
" Tu... aurais dû."
Elle insistait sur la zone sensible et j'arrivais de moins en moins à me maîtriser. Cette bataille m'échappait. Mais lorsqu'elle me demanda si j'avais besoin d'une pause, je me disais qu'il fallait que je saisisse cette occasion pour retourner la situation. Après tout, mes bras étaient encore libres. J'avais déjà une de ses mains dans une des miennes, je dégageais l'autre de son buste pour descendre lentement vers ses cuisses pour aussitôt remonter sur une de ses fesses. Je la tirais complètement contre moi tout en laissant échapper un gémissement dans son oreille tandis qu'elle avait encore ses doigts sur le bouton d'urgence. La main qui tenait la sienne rejoignait à présent la seconde fesse et mes deux mains agrippaient donc fermement ce fessier, collant Joyce tout contre moi.
" Vraiment. "
Je repliais mes jambes, écartées, Joyce au centre. Je la tenais à présent aux hanches et me redressant avec elle, je la faisais basculer dans l'autre sens, pour que ce soit elle qui se retrouve allongée sur le dos. Position inversée, c'était moi à présent qui la dominait de ma hauteur, les genoux sur le canapé, mes cuisses entourant et bloquant les siennes. Elle était encore bien trop habillée à mon goût mais je jouerais à cache-cache avec elle encore un peu. Quant à moi, je choisissais de me dévoiler - en partie parce que je mourais de chaud mais aussi pour faire monter sa température vitesse grand V. J'ôtais ma robe, il ne me restait plus que ma culotte en dentelle dont elle n'avait pas encore vu le derrière. Elle aurait bien le temps de l'admirer plus tard. Je prenais ses mains pour recouvrir mes seins, elle saurait aisément quoi en faire. Je la regardais intensément, partagée entre faire durer le plaisir et la dévorer en une seule bouchée. Une de mes mains se glissait dans son décolleté, caressant sa peau entre son cou et le haut de sa poitrine, la frustrant de ne pas aller plus loin. Je me penchais vers son cou pour y déposer de doux mais courts baisers. Ses mains précédemment occupées sur ma personne, je les saisissais de nouveau toutes deux par leurs poignets, coinçant ses bras au dessus de sa tête. Je n'avais pas de lien à portée alors je me contenterai de la tenir ainsi. J'étais finalement le buste contre le sien mais toujours à genoux, assise sur elle. Ma bouche à nouveau si proche de son oreille, je l'interrogeais.
" Arrête moi si tu peux. Je ne fais que commencer..."
Je suçais lentement son oreille une fois ma phrase terminée, prête à contre attaquer à tout moment.
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| | | | | | (#)Dim 11 Juil 2021 - 17:38 | |
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Elle était nue … enfin presque …
Il ne manquait qu’un dernier détail pour qu’elle le soit entièrement, mais la chaleur montait tout doucement. Elle posa mes mains sur ses seins et je ne me fis pas prier pour jouer avec. Le bout de mes doigts vint caresser les auréoles de ses tétons avant de masser avec douceur le reste de sa poitrine. Il était hors de question que sa température retombe.
Ce fut lorsqu’elle caressa le haut de ma poitrine que je regrettais d’avoir mis une robe aussi habillée. Ses mains affleuraient le tissu, la peau … mais refusaient d’aller plus loin … A tel point que cela en devenait frustrant. Il me fallait plus … sinon je resterai toujours derrière elle. Tant que j’étais habillée, impossible pour moi de sentir pleinement la chaleur de sa peau.
C’est alors qu’elle se laissa basculer sur moi, compressant ma poitrine avec la sienne, déposant à nouveau des baisers dans mon cou et me bloquant les bras par-dessus la tête. Je laissais échapper un soupir d’envie, l’enjoignant à continuer … mais elle s’arrêta un instant pour me murmurer une invitation à lui résister. Une pointe de satisfaction mêlée à de l’envie surgit en moi. J’aimais entendre ces mots …
Je m’apprêtais à lui répondre lorsque ses lèvres se mirent à jouer avec mon oreille. Instinctivement, je laissais échapper un petit gémissement à peine étouffé et me débattit faiblement. C’était peine perdue tant qu’elle était sur moi. Ma main chercha à agripper sa chevelure pour jouer avec et lui commander de continuer ses douceurs, mais mes bras étaient toujours bloqués … C’était rageant … et terriblement addictif.
Mon souffle se fit plus court, mon corps plus tendu. Tant que j’étais engoncée dans ma robe, elle aurait du mal à me faire grimper dans les tours. J’avais hâte de voir ce qu’elle allait pouvoir inventer. Ma tête parvint à se dégager et à lui déposer des baisers dans le cou.
« Pourquoi t’arrêterai-je … ? Vas-y … Essaye de me faire tomber à tes pieds … Si tu en es capable … »
Et une nouvelle provocation … une !
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| | | | | | (#)Lun 19 Juil 2021 - 10:51 | |
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@Joyce Jefferson La surenchère des défis continuait.
Capable de la faire tomber à mes pieds ?
Je vais te prendre au mot, Joyce.
Durant une fraction de seconde, je fus "déconcentrée" dans l'avancée de mes plans. Elle s'était frayée un chemin dans mon cou, je sentais son souffle et la chaleur de ses lèvres sur ma peau. À cet instant, nous étions presque à égalité mais... Je la tenais encore par les poignets.
Seulement, si je voulais en faire davantage, il me faudrait trouver de quoi l'attacher pour que j'use de mes mains. Je me souvenais alors que lorsque j'avais défait son chignon, j'avais gardé son élastique sur un de mes poignets et - tandis que je lâchais son oreille - je me hâtais alors de glisser ses mains dans celui-ci afin de temporairement lier ses poignets - car il était évidemment facile pour elle de s'en extraire.
Je comptais sur elle pour rester en place.
" Tomber ? Hm... J'ai moins douloureux."
Une de mes mains lui tint le menton tandis que l'autre passait sous sa robe au niveau de sa cuisse gauche profitant de la fente de celle-ci. Mais c'était sans compter sur ce vilain collant qui me bloquait la route.
" Ne bouge pas. "
Un dernier regard et je lâchais son visage pour me redresser et changer ma position. Ce que ses yeux pouvaient admirer à présent : mon derrière orné de dentelle bleue et de rubans, mes jambes qui bloquaient son buste et mes pieds dangereusement proches de sa bouche mais tout de même posés de chaque côté de son visage.
Mes mains attrapèrent ses chevilles, délicatement.
Elles remontèrent alors tout doucement, caressant le long de ses jambes, soulevant tout ce tissu superflu jusqu'à arriver de nouveau aux cuisses. Je marquais une pause. Comme je maudissais ce collant.
" Tu ne me facilites pas la tâche."
Je soulevais sa robe au dessus de ses hanches et faisait rouler le tulle noir brillant jusqu'à ce qu'elle en soit libérée. Enfin, elle m'était plus accessible, le terrain de jeu se dévoilait et je pourrais explorer plus de parcelles épidermiques. Mes ongles frôlaient le long de ses jambes comme s'ils cherchaient une destination. Je faisais durer le plaisir en faisant connaissance avec les anciennes prisonnières.
Finalement, je revenais à ses hanches pour descendre au dessus d'une autre barrière, la glissade promettait d'être vertigineuse. La tentation de passer entre les mailles du filet était grande mais je préférais imiter ma partenaire en restant par dessus. Je ne massais pas encore, me contentant d'aller-retours en surface du tissu, mon pouce pour seul voyageur. Je la titillais sans appuyer tandis que mon autre main se tenait sur le côté d'une hanche. |
| | | | | | (#)Lun 19 Juil 2021 - 16:35 | |
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@"Nicole O’Connor"
Les choses prenaient une tournure des plus intéressantes. Je n’avais pas bronché lorsqu’elle avait tenté de lier mes mains avec l’élastique de mon chignon. Ce n’était pas avec ça qu’elle m’arrêterait mais je décidais de faire un petit effort devant tant de zèle et de jouer, pour une fois, à la gentille fille. Si elle me demander de ne pas bouger, je ne bougerai pas et …
« Mmmmmh … »
En moins de temps qu’il n’en fallait pour le dire, ses pieds nus virent se plaquer contre mes joues, me maintenant fermement avec le reste de ses jambes tandis qu’elle offrait à ma vue sa plus belle culotte en dentelles bleue. J’essayais de bouger, mais ses jambes me tenaient fermement et il n’y avait guère que mes avant-bras que je pouvais bouger. Une douce euphorie s’empara de moi à mesure qu’elle affermissait son contrôle sur mon corps. J’étais prête à lui laisser le contrôle pour peu qu’elle s’en montre digne … mais il allait me falloir un tout petit peu plus … et je n’allais pas renoncer comme ça.
Mes yeux rivés sur la dentelle et incapable de bouger le haut de mon corps, j’observais avec envie la petite ficelle de soie qui maintenait l’arrière de sa culotte. Tel un chat, une envie irrépressible de jouer avec commença à poindre en mois, mais étant bloquée, je ne pouvais que tenter de l’attraper avec mes poignets liés. Tout ceci était fort tentant et allait m’occuper quelques secondes pendant que Nicole s’affairait à me délester de mon armure.
Discrètement, mes mains se frayèrent un chemin vers ses fesses rebondies. Affairée qu’elle était sur le bas de mon corps, elle ne se rendit peut être pas compte que délicatement, je tirai sur le ruban de soie bleue afin de libérer la partie la plus charnue de son anatomie. J’allais prendre mon temps pour défaire l’une après l’autre les attaches … Nous qui manquions de liens pour m’attacher, cela allait probablement nous servir pour plus tard.
Une sensation électrique se fit alors sentir sur ma peau. Quelque chose essayait de me défaire de son armure de tulle brillante ! Les doigts de Nicole s’affairaient à me dévêtir, à retirer de ma peau, ma seule protection contre ses attaques. Ses mains étaient d’une douceur sans égale et, à mesure qu’elle enroulait mes collants jusqu’au bout de mes pieds, je sentais ses ongles tracer des sillons dans ma chair. La sensation me fit bouger plus que de raison. Je tentais vainement de me débattre … enfin … mes jambes tentèrent quelques instants, mais Nicole était à présent aux commandes et que pouvaient de malheureux collants contre des mains expertes et une demoiselle à la volonté de fer.
Mes jambes enfin à nu, je frissonnais. Je pouvais enfin sentir pleinement le contact de sa peau sur la mienne. Celle-ci répondit aux sollicitations sans même que j’eusse le moindre contrôle dessus. Mes jambes ne me répondaient plus. Elles n’obéissaient qu’à leur nouvelle maîtresse, celle qui était capable de les charmer tel un joueur de flûte face à un serpent.
Ses mains arpentèrent pendant quelques minutes mes jambes, les caressant et les palpant jusqu’à ce qu’elles finissent de se débattre … jusqu’à ce qu’elles soient domptées … charmées par les palpations et les douces invitations. Elles évoluaient maintenant indépendamment de ma volonté, au rythme des incitations de Nicole … Quant à moi … je commençais à perdre le contrôle. Si mon propre corps ne me répondait plus, je ne donnais pas cher de ma peau pour la suite. Il me fallait quelque chose … n’importe quoi … quelque chose qui me redonnerait un peu de contenance et me remettrait peut-être dans la partie !
C’est alors que je sentis son pouce glisser le long de mon bassin jusqu’à mon pubis. Ma culotte me protégeait toujours, mais je savais que Nicole cherchait simplement à me donner l’illusion de la sécurité. Mes jambes eurent un soubresaut et tentèrent de se replier pour me protéger, mais les mains expertes de ma partenaire les détendirent aussitôt et elles retombèrent inertes sur le canapé.
A mesure que son pouce explorait mon entrejambe, je me mordais la lèvre inférieure pour ne pas céder. Mon ventre se contractait déjà, et mon souffle se faisait plus rapide … mais j’arrivais encore à tenir. Misère de misère … c’était de plus en plus dur de se contenir et de donner le change … Je crois que c’est à ce moment-là que je laissais échapper un léger gémissement, probablement étouffé par la présence de ses pieds sur mes joues …
Mais la pression de son pouce sur mon entrejambe se faisait de plus en plus grande et entreprenante, si bien que je ne pouvais plus ignorer les vagues de plaisir qui commençaient à affluer jusqu’à mon cerveau. Maudites jambes ! Jamais là quand on avait besoin d’elles. Electrisée par les mouvements de sa main sur ma culotte, je parvins à tourner légèrement ma tête. Le pied gauche de Nicole venait de lâcher prise un court instant … l’instant qu’il me fallait pour agir ! Profitant de l’occasion, mes dents saisirent le gros orteil de ma partenaire. Une légère pression sur la chair de l’orteil aurait peut-être un effet particulier sur elle, qui sait ? De toute façon, ce n’était pas comme si je pouvais faire grand-chose à ce moment …
Désolée Nicole … mais moi aussi je pouvais tricher.
Elle se rendrait peut-être compte que dans l’action, le ruban de sa petite culotte reposait désormais entre mes mains. Une petite victoire pour Joyce !
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| | | | | | (#)Mer 21 Juil 2021 - 14:53 | |
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@Joyce Jefferson Mon orteil !
Autant, je me serais attendue à ce qu'au bout de quelques minutes elle y mette la langue mais ses dents, je fus... surprise. Je tournais ma tête vers elle. Vilaine fille ! Elle avait le ruban de ma culotte entre ses mains liées. Être attachée ne l'avait pas empêchée de me défaire comme un paquet cadeau. Oui, garde le, on en aura besoin. Quant à mon pied, si elle avait si faim, qu'elle s'en régale pendant que je m'occupais d'elle. Je pénétrais alors sa bouche avec mes cinq orteils, elle saurait quoi faire. Je la regardais en souriant avant de me recentrer sur cette barrière de tissu. M'en voudrait-elle si...
" J'espère que ce n'est pas de la lingerie de luxe. "
J'arrachais sa culotte par le centre de celle-ci ne lui laissant pas l'occasion de me répondre. Je sentais qu'elle tentait de communiquer mais je la stoppais direct en remuant mes orteils contre sa langue.
" On ne parle pas la bouche pleine."
Cette fois-ci, pas de demi-mesure, j'y allais franco. Moi aussi j'avais le goût à surprendre. J'écartais ses cuisses en les saisissant à pleines mains, ongles compris. Si ses dents avaient laissé leurs empreintes sur mon gros orteil, elle ne verrait pas d'inconvénient à être légèrement piquée par le bout de mes griffes. Déso meuf, je ne coupais jamais mes faux ongles pour un rendez-vous même quand je savais ce que j'allais faire de mes doigts. Cependant, il ne fallait pas qu'elle s'inquiète de ceux-ci pour le moment car ils ne touchaient que ses cuisses tandis que ma tête plongea entre ses jambes pour la déguster telle une pastèque juteuse. Lentement, je commençais à embrasser ses lèvres puis ma langue vint les caresser en se baladant jusqu'à remonter et contourner sadiquement le point culminant. Je jouais encore avec elle mais je savourais comme on goûte à ce fruit rouge avant d'atteindre la partie blanche. Et juteuse, elle l'était !
Au bout de quelques minutes de dégustation sans toucher LE point sensible, je cessais mon activité afin de tourner de nouveau ma tête pour l'observer. Son corps m'avait certes bien répondu mais je voulais voir son visage se tordre de désir, peut-être me supplierait-elle de continuer. Je retirais mon pied de sa bouche, j'étais ouverte aux suggestions. J'étais ouverte à tout. |
| | | | | | (#)Jeu 22 Juil 2021 - 17:19 | |
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@"Nicole O’Connor"
Sans crier gare, elle m’arracha ma culotte !
Je voulus protester – cette culotte m’avait coûté assez cher – mais ses orteils étaient désormais plongés dans ma bouche et jouaient allègrement avec ma langue. Impuissante et incapable d’opposer la moindre résistance, je tentais d’exprimer mon « mécontentement », mais la présence des orteils transformait tout ce que j’aurai pu dire en gémissement moitié courroucé, moitié excité. Je dus me rendre à l’évidence : je devais me contenter de ce qu’elle me proposait. Ma langue commença à jouer avec ce qui occupait désormais ma bouche. Dans l’opération, je dus déposer une grande partie de mon rouge à lèvre sur son pied. Tant pis pour elle !
Elle me sermonna. Je ne devais pas parler la bouche pleine … Je lui lançais un regard qui oscillait alors entre l’acceptation et la lueur de défi. Je n’étais pas encore brisée Nicole ! Je n’avais pas dit mon dernier mot et bien que tu ais le dessus à présent, ce n’était qu’une question de temps avant que …
« Mmmmmh gnnnn !!! … Mmmmmfff !!! »
Mon corps se contracta sans crier gare et mes dents mordirent dans la chair de ses pieds. Elle venait d’attaquer le plat de résistance à pleines dents ! La sensation était si riche et si puissante que mon corps s’électrisait sous ses coups de langue. Mes yeux s’écarquillèrent à mesure qu’elle augmentait la pression sur mon entrejambe. J’étais totalement à sa merci et mes muscles se raidissaient de plus en plus sous l’effet de la chaleur qui remontait du bas de mon corps. Mes jambes rebelles tentèrent une échappée, mais furent rapidement remises à leur place par les mains expertes de ma partenaire.
A mesure que la chaleur montait le long de mon corps, je sentis mon cœur s’emballer. Je commençais à transpirer et mon souffle se faisait de plus en plus rapide, ce qui, avouons-le, avec un pied dans la bouche, ajoutait une petite touche de panique à cette expérience inédite. Mon corps était en nage et pourtant … Nicole me maintenait aux frontières de l’extase. Sa langue et ses baisers esquivaient avec une précision sadique et chirurgicale le point le plus sensible. Le désir se mêlait alors au plaisir et à la frustration, celle de se retrouver au bord du précipice, mais de ne pouvoir sauter à pieds joints dans l’abime. Nicole jouait avec ma patience, mon corps et réduisait à néant ma concentration et ma volonté.
Son timing était parfait. A chaque fois que je m’apprêtais à plonger dans les tourbillons du plaisir, elle me ramenait vers elle, me capturant dans ses filets. Telle un prédateur jouant avec sa proie, elle s’amusait avec une adresse sadique, qui me laissait tremblotante de plaisir. Ma volonté était en ruine … Elle venait de briser à la masse les derniers remparts que je maintenais en place pour l’empêcher d’entrer. C’est alors qu’elle se releva et me lança un regard de défi. Ses orteils se retirèrent de mon palais et je dus me faire force pour ne pas être tentée de les retenir.
Elle attendait une réponse de ma part, un signe, n’importe quoi. Mes mains liées se posèrent dans son dos et mes ongles commencèrent à dessiner des sillons sur sa peau. Je me mordis la lèvre inférieure et émit un gémissement … suffisamment évocateur pour lui intimer l’ordre de continuer … enfin … un ordre … Plutôt une supplique. J’étais toute à elle …
« Continue ! S’il te plait, ne t’arrête pas. Attache-moi. Prends-moi. Possède-moi ... Ou je te dévorerai. »
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| | | | | | (#)Ven 23 Juil 2021 - 17:42 | |
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Enchanting Thrills ▽ Quickly it comes up to my waist
As you can see it is dizzy like crazy
@Joyce Jefferson Ses ongles jouaient au pinceau sur la peau de mon dos. Si elle en avait eu la force, elle m'aurait poussé, m'aurait fait pencher pour que je replonge ma tête dans ses jambes. Ses mains liées, le souffle court, la bouche à peine libérée, j'avais fait de son cerveau mon prisonnier.
Elle était, toute entière, mon petit jouet.
" Ah oui ? "
Je me déplaçais, me remettant face à elle, assise à califourchon, mes pieds passant sous ses hanches. Je reprenais ses poignets entre mes mains et enlevais l'élastique. Je la tirais par les mains pour l'attirer contre moi. Illusion d'égalité. J'étais tout de même sur elle.
" J'espère que tu n'as rien de prévu demain matin. "
Je l'embrassais sur ce sous entendu, mes restes de gloss avaient fondu entre ses lèvres, il ne me restait plus que le goût de Joyce. Si elle avait prévu de passer à la messe demain, cette nuit je serais sa raison d'aller se confesser. J'enroulais mes jambes dans son dos pour me coller bien contre elle et guida ses mains derrière le mien pour qu'elle puisse me serrer dans ses bras. Elle n'avait pas eu beaucoup d'occasion pour prendre le dessus et j'étais encore capable de prendre la fuite ou lui retourner le cerveau. Je voulais voir de quoi elle était capable.
" Si tu veux me dévorer, n'attends pas mon signal. "
Pendant que j'avais pris ses mains, j'avais également récupéré mon ruban, je le posais sur la table basse avec l'élastique de Joyce. Pas sûr qu'on aurait vraiment besoin de l'un ou de l'autre ce soir. Je tins ensuite son visage un instant en la regardant, la regardait droit dans les yeux et...
" Tu m'en voudras pas si je vais boire un peu d'eau, par contre. Si tu as besoin, les WC sont de ce côté. " lui dis-je en pointant du doigt la première porte à gauche du couloir
Bizarrement, je n'avais pas pris le temps de lui faire visiter l'appartement. En revanche, je ne me servais pas du verre d'eau comme énième prétexte pour la frustrer, j'avais réellement soif après cette petite exploration. Je devais également reconnaître que je m'étais un peu fait mal aux mains en déchirant sa culotte. Un peu de crème dessus ne serait pas un luxe. Une pause aux toilettes aussi ne me ferait pas de mal. Bref, j'avais déclaré une petite trêve à cette demoiselle.
À elle d'en profiter pour élaborer de nouvelles stratégies... |
| | | | | | (#)Dim 1 Aoû 2021 - 18:04 | |
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Pockets full of rainbows ▽ I need it hard
I'm a dead girl walking
I'm in your yard
I'm a dead girl walking
Before they punch my clock
I'm snappin' off your window lock
Got no time to knock, I'm a dead girl walking
@"Nicole O’Connor"
« J’ai tout le temps du monde … » dis-je avec un sourire.
Au moment où elle disparut dans les toilettes, je me remis sur pied, à moitié nue et surtout sans culotte. Je déliais mes mains avec mon élastique et secouais mes cheveux pour les replacer derrière mes épaules. J’avais chaud et soif … Me rapprochant du bar, je m’enfilais discrètement un verre de vin rouge pour me désinhiber un peu plus et planifier ma prochaine stratégie.
Un petit tour dans sa chambre allait m’offrir quelques réponses …
Profitant du fait qu’elle était aux toilettes, je pris le temps d’explorer son bel appartement et surtout sa chambre. Cette dernière était particulièrement jolie, avec son parquet noir, ses murs gris anthracite et ses portes blanches moulurées. Un vrai petit bijou et … oh … un lit à barreaux … Ma chère Nicole, que voilà un objet des plus intéressants ! Ma main passa sur les barreaux d’acier brossés du lit. Voila qui était plein de promesses.
La commode était parsemée de petits miroirs et de tubes de rouges à lèvres. Rien de bien intéressant pour moi à cet instant. Sa commode contenait ses affaires de tous les jours. Rien à me mettre sous la dent … même si elle me devait une culotte ! Ce que je cherchais n’était pas dedans … Mais où diable avait-elle bien pu les mettre ? Elle en avait forcément … tout le monde en avait.
Soudain, mon œil fut attiré par un petit banc proche de sa fenêtre. Saisissant une intuition, je m’approchais du banc et entrepris de le palper pour découvrir quelque cachette secrète. Mes recherches furent rapidement couronnées de succès. Un petit clic sous la banquette me signala que je venais de triturer un loquet. Quelques manipulations plus tard et j’ouvris le banc qui s’avérait être un coffre.
« Tient tient … qu’avons-nous là ? »
Deux petites boites se trouvaient dans le coffre. L’une d’entre elles contenait des photos … Ce devait être les souvenirs de famille de Nicole. Je pris le temps de les examiner rapidement, afin de me familiariser quelque peu avec certains des visages qui gravitaient dans sa vie. Mais mon attention se reporta rapidement sur l’autre boite marbrée. Je soulevais délicatement le couvercle, pour en extraire les différents objets qui s’y trouvaient. Menottes, divers instruments à insérer ça-et-là, quelques gels, … De bien beaux accessoires pour une soirée qui promettait d’être mouvementée.
Je restais devant la boite quelques dizaines de secondes, choisissant avec soin les objets dont j’allais avoir besoin pour la suite. Quand ma stratégie fut dessinée, je pris quelques-uns des précieux trésors de Nicole et refermais le coffre au pied de la fenêtre.
Je profitais de l’occasion pour appliquer sur mes lèvres l’un de ses gloss à la vanille. La sensation me plaisait depuis qu’elle m’avait arraché un baiser et j’avais besoin de me rappeler cette sensation avant de me replonger dans mon ouvrage. Finalement, je me dirigeais vers la porte des toilettes, où la demoiselle semblait prête à sortir. Quand je la vis réapparaître dans le couloir, j’étais prête, tel un prédateur à l’affut ! Je m’approchais lentement d’elle, un sourire aux lèvres et l’embrassait tendrement.
Saisissant l’occasion de ses lèvres contre les miennes, mes mains se mirent à jouer avec ses poignets jusqu’à ce que le doux cliquetis des menottes enserre ses poignets : une paire à chaque main. Nicole était ma prisonnière désormais. C’était à moi de jouer avec elle et Dieu que j’avais des idées. Il ne restait plus qu’à l’amener sur le lit.
« Si mademoiselle O’Connor veut bien me suivre … »
Et tandis que je l’embrassais, ma main gauche descendit vers son entrejambe pour la masser.
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| | | | | | (#)Mer 25 Aoû 2021 - 14:06 | |
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Enchanting Thrills ▽ Quickly it comes up to my waist
As you can see it is dizzy like crazy
@Joyce Jefferson Je bus un verre d'eau dans la cuisine avant de filer m'engouffrer dans la salle de bain où se trouvait mes toilettes. Je fis ce que j'avais à faire et envoya valser ma culotte dans le panier à linge. Je n'en avais plus besoin pour le reste de la soirée. Je me lavais les mains et me rafraîchissais le visage. Je me demandais ce que Joyce faisait pendant ce temps. Je m'inspectais une dernière fois et je sortais de la salle de bain... Je la voyais déjà dans le couloir. Elle m'approcha et je sentais que j'allais être sa proie. Je ne me trompais puisqu'en m'embrassant, elle me captura, poignets piégés dans... Une paire de menottes.
La coquine avait fouillé !
Oh mais, que dis-je ? Non pas une mais deux paires !
Quelque chose me dit que les barreaux du lit vont servir cette nuit. À moins qu'elle n'ait autre chose en tête. J'étais nue ET prisonnière. Le programme ne pouvait qu'être intéressant.
" Tu n'as pas perdu de temps à ce que je vois. Je te suis, je te suis. Comment résister ? "
Je la suivais alors jusqu'à ma chambre pour que les festivités reprennent. En bonne proie qui se respecte, je me laissais faire et n'opposais aucune résistance. En tous cas, tant que j'étais menottée. Elle me titillait avant que je ne m'installe sur le lit comme si elle ne voulait pas perdre la moindre seconde.
" Que vas-tu faire de moi avec ces menottes ? Je suis curieuse. "
Impatiente. Quand je ne maîtrise rien, je ne demande qu'à savoir. Je trépigne, j'envisage tous les scénarios - y compris ce que j'aurais pu faire si je n'avais pas été attachée.
Oh Joyce, montre moi vite ce que ton imagination me réserve ! |
| | | | | | (#)Jeu 26 Aoû 2021 - 11:20 | |
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Pockets full of rainbows ▽ I need it hard
I'm a dead girl walking
I'm in your yard
I'm a dead girl walking
Before they punch my clock
I'm snappin' off your window lock
Got no time to knock, I'm a dead girl walking
@"Nicole O’Connor"
Je commençais à légèrement stresser. Je prenais la pleine et entière responsabilité du plaisir que nous allions prendre et … je me devais d’avouer que si ce n’était pas pour me déplaire, je ne pouvais m’empêcher de ressentir une certaine pression sur mes épaules.
Je guidais Nicole vers le lit et la fit s’allonger sans plus de ménagement sur les draps.
« Encore un peu de patience… »
Je me mis à califourchon sur son corps nu. Sa peau était chaude et douce comme une peau de bébé … C’est à ce moment que je me rendis compte que je ne connaissais même pas son âge … ni son histoire. J’avais simplement, complètement, indubitablement, flashé sur elle. Et me voilà, dans sa chambre … à lui faire la cour.
D’une main ferme, j’attrapais son bras droit et attachais fermement la menotte aux barreaux du lit. Calmement, je descendis vers ses pieds et attrapais deux ceintures, dont je me servis pour lui ligoter les pieds aux barreaux. Il ne lui restait que sa main gauche de disponible. Je voulais au moins lui laisser ça, mais … avec un petit twist.
Je m’allongeais sur elle pour à nouveau l’embrasser et lui faire comprendre que la suite serait du même ton. Puis, en un geste, je passais la menotte restant à mon poignet, la liant à moi. Serrant les cuisses contre sa taille, je relevais ma chevelure en arrière avant de lui lancer d’un air coquin.
« Bien, bien, bien, ma chère Nicole … Voyons voir si tu es aussi indomptable que tu le prétends.»
Je caressais à nouveau ses cheveux et l’embrassais avec plaisir avant d’entamer le plat de résistance, laissant au passage une petite morsure mutine dans le cou. J’avais bien l’intention de la dompter avant la fin de la soirée, elle qui se vantait d’être sauvage et impossible à freiner. Nous allions bien voir si cette réputation était méritée ou si la demoiselle serait mienne. J’avais été grande reine en lui laissant la possibilité de jouer avec sa main gauche, dans les limites imposées par les menottes qui nous liaient.
Mes premières expérimentations commencèrent par de douces caresses, afin d’habituer son corps à mon toucher. Je pris quelques minutes pour la remettre dans le bain, cherchant par la même occasion à comprendre quelles parties de son corps réagissaient avec le plus de plaisir. Je pris mon temps pour chauffer chaque parcelle de sa peau, afin qu’elle se souvienne de chacune de mes attentions. Sa main gauche accompagnait la mienne dans mes explorations. Je voulais qu’elle imprime cette impression dans son esprit : je contrôlais la situation et elle devait me suivre.
Quand son corps fut prêt, je ramassais sur le côté du lit l’un des nombreux objets qu’elle avait caché dans sa boite et notamment le fameux vibro’. Cet objet était une véritable bénédiction vue la situation. Profitant de ses jambes écartées, j’insérais le long cylindre à son emplacement indiqué et utilisais la main « libre » de ma partenaire pour la détendre. Mon index appuya sur le bouton « on » et les vibrations débutèrent aussitôt. Je profitais de sa surprise pour lui passer le bâillon qu’elle conservait dans la boite à secret dans sa bouche. Ni trop lâche, ni trop serré. Je ne voulais pas lui faire du mal et cela devait rester un plaisir partagé.
« Jouons un peu. Je vais petit à petit augmenter les vibrations et m’occuper de faire monter la pression. La clef des menottes est autour de mon cou … Si tu parviens à t’en emparer avant ton climax, tu auras le droit de faire ce que tu veux de moi. En revanche, si tu n’y arrives pas, la pression montera crescendo jusqu’à ce que tu en oublies la date du jour. C’est parti.
La clef des menottes brillait autour de mon cou. Elle n’avait qu’à s’en saisir … si elle en était capable. Ma main libre passa sur son bassin et tourna le bouton du vibro’, augmentant les vibrations d’un cran. D’un geste de ma main menottée, je repoussais la main de ma partenaire et m’attachais à glisser mon index sur la zone la plus sensible de son anatomie. Serait-elle assez douée pour m’arracher la clef ?
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