— maverick t'appelle depuis la devanture du bar et tu te retournes. tu fronces un peu les sourcils en le vouant à moto, un deuxième casque dans la main. tu te rapproches finalement, bien trop attiré par l'idée. la moto, l'adrénaline pulsant dans tes veines. cette sensation de liberté qui s'offre à toi. tu penches un peu la tête sur le côté, l'observant du coin de l'oeil. absolument pas, c'est cool l'illégalité de conduire une moto sans permis ? puis je suis même pas sûr de savoir la conduire... je l'ai ouais, depuis quelques années, tu veux voir mon permis ? tu ris un peu à ses mots, ayant à peine le temps de voir quoi que ce soit sur le dit permis. tu secoues un peu la tête de gauche à droite. on sait jamais. y'en a plein des gens qui conduisent sans permis ... tu murmures simplement, riant quand il te tire vers lui. tu lui poses une simple question, curieux de sa réponse. eddie serait sans doute en train de te maudire en te voyant à l'instant même, prêt à suivre un garçon que tu connais à peine à l'autre bout de la ville. chez moi. dans mon lit peut-être ? à toi de choisir, tu prends le casque, tu montes, et je te fais brisbane à moto. tu as le choix de la destination, nicky. ton esprit s'agite à l'entente du coréen sur ses lèvres, et tu te contentes de taper un dernier message à callie, retranscrivant le chaos dans ton esprit, avant de ranger ton téléphone. tu attrapes le casque et tu l'enfiles, avant de grimper derrière lui sur l'engin. tu prends une lente inspiration.
j'aimerais pouvoir te répondre que je ne suis pas un garçon facile. tu souffles dans un rire, le coréen glissant avec facilité sur tes lèvres. mais bon, on est en vie hein faut en profiter. tu ricanes un peu en n'hésitant pas à glisser tes mains autour de son torse, ton corps se planquant dans son dos. tu te pinces les lèvres de longues secondes et tu viens descendre tes mains jusqu'à ses cuisses, tes doigts s'enfonçant dans son pantalon noir. tu m'as l'air bien certain de toi. montre-moi ce dont t'es capable, mav. tu ajoutes d'une voix un peu plus rauque, bien décidé à le suivre chez lui. parce que tu n'en peux plus de la tension qui grimpe encore et encore dans tes veines. tu as besoin de t'en débarrasser, d'une manière ou d'une autre. et le sexe est une manière parfaite pour toi de décompresser. ramène moi dans ton lit. tu ajoutes en fermant les yeux quelques secondes, essayant de rassembler tes esprits.
« Quelques belles lignes qui transpirent les beaux mots et la poésie, une belle petite mise en bouche pour le plaisir des mirettes. »
Il avait simplement agité son permis devant lui avant de le ranger, c’était précieux ce genre de chose, certainement l’une des seules réussites qu’il avait eues dans sa vie, le reste, c’était parti en grand n’importe quoi. La moto, c’était la meilleure des sensations, Mav prenait toujours son pied quand il était sur sa moto. « On sait jamais. Y’en a plein des gens qui conduisent sans permis… », il n’avait pas tort sur le coup. Il en avait vu des cons qui faisaient n’importe quoi sur une moto, et il avait la haine quand cette fameuse moto était détruite par ses fameux cons. Il était un motard dans l’âme, il avait peut-être le permis voiture, mais jamais de sa vie, il finirait en voiture, il avait horreur de ça, il n’avait pas la même sensation que sur une moto. Visiblement, le coréen avait fait quelque chose à Nicky, à voir la réaction qu’il lui montrait quand il avait prononcé quelques paroles dans une langue qu’il connaissait parfaitement, que ce soit dans ses années dans la capitale coréenne ou même quand il allait au repas de famille, à une certaine époque de sa vie. En quelques secondes sous ses yeux, Nicky écrivait un dernier message, enfilait le casque qu’il lui avait tendu depuis le début et le voilà derrière lui sur sa moto. « J’aimerai pouvoir te répondre que je ne suis pas un garçon facile. », ça faisait un bon moment qu’il n’avait pas entendu du coréen à ses oreilles, il était bien heureux d’entendre ça d’une bouche qu’il avait envie de s’approprier. « Mais bon, on est en vie hein faut en profiter. », comme s’il avait besoin de se justifier pour se taper quelqu’un et passer un bon moment.
« Ah la la, ce cliché du mec facile. Je pourrai dire la même chose, mais je m’en branle. Tu fais ce que tu veux après tout, c’est les cons qui disent ça qui sont jaloux. Accroche-toi. »
Il enfonça son casque sur sa tête, sentant les mains de Nicky sur son torse et par la suite sur ses cuisses. « Tu m’as l’air bien certain de toi. Montre-moi ce dont t’es capable, mav. », comme s’il n’allait pas se gêner. Il ricana à ses paroles, notant le changement dans sa voix. C’était lui qui venait d’accepter, et puis Mav était celui qui avait lancé les hostilités, il aurait bien pu partir, non ? Enfin, Mav n’avait pas prévu qu’il parte de toute manière. « Ramène moi dans ton lit. », il redressa sa moto avant de baisser l’écran de son casque.
« Avec grand plaisir. »
Il se mit alors en route, et même s’il avait quelqu’un avec lui, dont il vérifiait quand même le maintien autour de son corps, il accéléra comme à son habitude. Ce n’était pas marrant d’aller directement chez lui, il n’habitait pas loin. Nicky avait l’air d’être excité comme un gamin pour Noël quand Mav lui avait proposé un tour, alors autant en faire un. Les routes les moins utilisées, celles où ils pouvaient le plus accélérés, il lui avait faite, d’un sens il le faisait aussi pour lui-même parce qu’il aimait cette foutue sensation dans ses veines. Comme d’habitude, il passa au bord de la Brisbane River avant de se diriger directement chez lui. Il s’arrêta devant chez lui avant d’enlever son casque et de secouer ses cheveux blonds bouclés, un sourire en coin quand il se retournait pour regarder celui qui était derrière lui pendant son trajet. Que la soirée continue, à présent.
— tu dois bien l'avouer, pour le moment, c'est l'idée de faire un tour en moto qui anime ton esprit plus que l'idée de finir dans le lit de maverick. oh, l'idée te plaît également, mais ... ouais, la moto, c'est un truc quand même. et tu as toujours eu envie de passer le permis pour en conduire une, mais ... tu ne conduis déjà pas de voiture. tu ne veux pas injecter de l'argent là-dedans inutilement. parce que tu sais comment tu es. si facilement bercé par l'adrénaline, à en oublier les règles élémentaires de sécurité. tu attrapes finalement le casque tendu pas le blond, après que le coréen ait glissé sur le bout de ses lèvres. tu avais donc raison. ton intuition était la bonne à ce propos. tu te mords l'intérieur de la joue un instant, tu glisses tes mains autour de son corps. ah la la, ce cliché du mec facile. je pourrai dire la même chose, mais je m'en branle. tu fais ce que tu veux après tout, c'est les cons qui disent ça qui sont jaloux. accroche-toi. tu hoches un peu la tête et tu glisses tes mains un peu plus bas, baladeuses. tu savoures la fermeté des muscles que tu touches entre tes doigts. et tu es bien tenté de les remonter un peu plus haut, mais tu ne veux pas trop le déconcentrer non plus. tu t'installes confortablement dans son dos.
avec grand plaisir. le laisser te ramener chez lui. ça ne te fait pas peur, après tout. tu te mords l'intérieur de la joue un instant et tu souris un peu, ton étreinte se resserrant autour de son corps quand il démarre. tu tournes un peu la tête pour observer le paysage défiler autour de vous, lancé rapidement sur les routes de brisbane. vous longez brisbane river, avant d'entrer de nouveau dans fortitude valley. tu profites de chaque instant, un petit soupir d'aise s'échappant de tes lèvres à la fin du voyage. tu retires lentement le casque de ta tête, geignant un peu quand une de tes mèches s'accroche à l'intérieur et tu viens glisser ensuite tes doigts dans tes cheveux pour tenter de retrouver une coupe correcte. ton regard croise celui de mav. sympa la balade. tu ne sais pas pourquoi le coréen te viens si facilement quand il s'agit de parler avec le blond. tu observes ses boucles un instant, avant de reposer ton regard sur son visage. tu ne peux pas t'en empêcher, n'est-ce pas ? te penche. tu viens plaquer ta bouche contre la sienne, te serrant un peu plus contre ses lèvres. tu soupires fort en venant glisser tes doigts dans ses mèches blondes. on reste là toute la soirée ? tu demandes en te redressant un peu, descendant tant bien que mal de la moto, manquant d'ailleurs de tomber au passage. mais tu te redresses rapidement, les sourcils un peu froncés, posant ton regard sur mav, avant de laisser un petit sourire en coin se dessiner sur tes lèvres. tu te recules un peu pour t'appuyer contre la façade derrière toi. tu appuies un pied contre le mur, t'adossant et attendant simplement le blond en laissant tes mains retomber le long de ton corps.
« Quelques belles lignes qui transpirent les beaux mots et la poésie, une belle petite mise en bouche pour le plaisir des mirettes. »
Il avait bien compris que le jeune homme était sacrément intéressé par sa moto, certainement pour ça qu’il avait fait un tour à moto, mais maintenant ce n’était plus trop la moto qu’il avait envie de mettre en avant. Ils étaient maintenant devant l’appartement du jeune homme, les choses n’allaient plus être par rapport à autre chose maintenant. « Sympa la balade. », il posa son regard sur le blond et quelques secondes plus tard, c’était autre chose qui venait capturer son attention. Ses lèvres, celles qu’il n’arrêtait pas de torturer dans un tic que Mav avait vraisemblablement compris durant toute cette soirée, elles étaient à présent contre les siennes. Un sourire en coin apparut tandis qu’il ne se gêna pas pour répondre au baiser que Nicky venait de commencer, puis finir. Il avait aussi trouvé rapidement le chemin jusqu’à ses cheveux, deuxième fois de la soirée. « On reste là toute la soirée ? », absolument pas. Tandis qu’il le voyait descendre de la moto et se mettre contre la façade derrière lui, Mav descendit de sa moto sans aucune difficulté avant de s’approcher de lui, posant une main sur cette façade, souriant doucement en coin.
« Sauf si tu as envie de partager à tout le monde, autant monter non ? Pas que ça me gêne. »
Il n’allait pas le cacher, mais le faire en public était quelque chose qui ne le gênait absolument pas, il n’allait pas crier sur tous les toits qu’il l’avait déjà faits non plus. En attendant, il ramena Nicky à lui, contre lui, la main sur la hanche. Son regard dans le sien, sourire en coin, lui qui avait dit qu’il devait mériter de le toucher, visiblement ses mains baladeuses avaient encore le privilège de le faire, encore et encore. Comme il l’avait dit plus tôt, il ne pouvait pas s’empêcher de toucher.
« C’était bien ce que je me disais, les hanches parfaites pour mes mains. »
Il glissa l’autre main dans la tignasse blonde de Nicky pour le rapprocher de son visage et plaquer sa bouche contre la sienne, un peu brutalement, mais c’était à sa manière, rien n’était doux avec Mav. Sa main, qui était autre fois au niveau de sa hanche, avait fait son chemin jusqu’aux fesses du blond qu’il empoigna d’un seul coup, sourire en coin contre les lèvres de Nicky. Il s’éloigna et lui fit un signe de la tête de le suivre à l’intérieur du bâtiment, sortant ses clés de sa veste en cuir pour ouvrir la porte de son appartement une fois devant. Et à nouveau, il ne perdit pas de temps pour emporter Nicky dedans, le faisant lâcher leurs sacs au passage, le plaquant aussitôt contre la porte d’entrée pour reprendre ce qu’il avait laissé à l’extérieur, ses lèvres dans un échange à sa manière. La douceur, il n’y en avait pas, ce n’était pas son truc. Les mains baladeuses, l’une dans les cheveux blonds, l’autre au niveau des fesses de celui-ci. Il attrapa la lèvre inférieure de Nicky entre ses dents avec un sourire en coin avant de la lâcher. Autant qu’il le fasse à sa place maintenant, non ?
— tu ne peux pas vraiment t'en empêcher. tes lèvres contre les siennes. tu soupires lourdement contre sa bouche, savourant le goût de ses lèvres dans ce baiser auquel tu mets fin bien rapidement, pour descendre de la moto et t'adosser contre la façade du bâtiment qui renferme l'appartement du blond. tu esquisses un petit sourire en le voyant te rejoindre, sa main se posant à côté de ton visage, sur le mur. tu plonges ton regard dans le sien. sauf si tu as envie de partager à tout le monde, autant monter non ? pas que ça me gêne. tu hoches un peu la tête à ses mots, ne bougeant pas spécialement pour autant. le blond le fait pour toi, sa main se glissant contre ta hanche. tu soutiens son regard en esquissant un petit sourire en coin. tu le laisses faire, soupirant tout bas d'aise sous son toucher. une autre fois peut-être, pour le public. tu souffles simplement en haussant un peu les épaules. l'idée ne te dérange pas totalement, après tout. tu soupires un peu d'aise en sentant sa peau sur ton corps.
c'était bien ce que je me disais, les hanches parfaites pour mes mains. tu le laisses glisser ses doigts dans tes cheveux. tu fermes les yeux en gémissant un peu contre sa bouche, alors que cette fois, c'est lui qui initie l'échange. plus durement. plus brutalement. tu accroches ta main à son t-shirt, le gardant contre toi. et quand il vient durement empoigner tes fesses, tu gémis un peu plus fort, sous la surprise. tu le laisses s'éloigner et tu te dépêches de le suivre en direction de son appartement. tu esquisses un petit sourire et tu le laisses ouvrir la porte, te glissant simplement dans son dos en glissant tes lèvres durement dans sa nuque. tu soupires un peu d'aise et tu caresses sa taille. tu le laisses faire et tu te retrouves rapidement dans son appartement, plaqué contre la porte d'entrée et ses mains de nouveau sur tes fesses. tu enroules tes bras autour de sa nuque, soupirant lourdement, gémissant déjà contre sa bouche. tu soutiens son regard de longues secondes quand il mord ta lèvre inférieure de ses dents. ouais, ça a tendance à rendre fou le fait que je les morde toujours. tu murmures simplement en revenant l'embrasser. tu soupires d'aise. ton lit, il est plus confortable que ta porte, non ? tu demandes avec un petit sourire sur le coin de tes lèvres, te penchant un peu pour venir l'embrasser encore, ne te lassant pas de ça. tu presses ton bassin au sien, tes doigts glissant dans son dos, soupirant lourdement d'aise en venant toi aussi attraper ses fesses. tu veux en profiter autant qu'il le fait, après tout.
« Quelques belles lignes qui transpirent les beaux mots et la poésie, une belle petite mise en bouche pour le plaisir des mirettes. »
« Une autre fois peut-être, pour le public. », ce n’était pas passé dans l’oreille d’un sourd, ce qu’il venait de lui répondre quand il lui avait dit de montrer à tout le monde. L’adrénaline du public était quelque chose, quelque chose qu’il aimait beaucoup trop. Enfin, quand l’adrénaline était dans le corps de Mav, c’était toute une autre histoire. Il laisse les soupirs de Nicky à son oreille, il écoutait tout, il retenait toutes les réactions qu’il pouvait avoir. Les choses étaient beaucoup plus brutales avec lui, il n’était pas dans tout ce qui pouvait être vanille, il s’ennuyait dans ce genre de situation, dans ce genre de moment. Il n’avait qu’à prendre la porte s’il n’aimait pas ça. Enfin, pour ce qu’il était en train de voir et de comprendre, ils avaient visiblement l’air sur la même longueur d’onde. Il l’avait senti dans son cou, pour certains, c’était un endroit assez sensible, à voir si les choses allaient être de cette manière avec lui, avec nicky. Ce qu’il avait entre les mains, c’était ce qu’il avait cherché toute la soirée et voilà qu’il l’avait. Il les avait les mains baladeuses, qu’elles soient au niveau des fesses de Nicky, à les empoigner sans aucune gêne ni retenu. La fièvre, c’était ce qui était en train de monter dans ses veines alors qu’il avait les lèvres de Nicky pour lui, celles qu’il n’allait certainement pas lâcher si facilement. « Ouais, ça a tendance à rendre fou le fait que je les morde toujours. », et pas qu’un peu, il l’avait un peu remarqué, en plus des piercings qui étaient en train de lui faire de l’œil au passage. L’un de ses mains était dans ses cheveux blonds, alors qu’il venait encore l’embrasser.
« Pas qu’un peu putain, j’allais finir par le mordre moi-même si tu continuais. »
Il n’allait pas le cacher que ça l’avait démangé pendant un bon moment. « Ton lit, il est plus confortable que ta porte, non ? », une manière de lui dire de l’emporter jusqu’à sa chambre. Il se mit à sourire contre ses lèvres, veste en cuir en moins, t-shirt qui allait certainement y passer dans quelques secondes. Enfin, avant, il l’emporta jusqu’à sa chambre. Ni une ni deux, les deux blonds se retrouvèrent sur le lit. Mav ne partit pas non plus de temps à enlever son haut pour finir torse nu avant de retourner vers les lèvres du blond, l’une de ses mains se glissant sous sa chemise pour aller à l’endroit dont il devait avoir le mérite. Bingo, son pouce appuya alors au fameux piercing avant qu’il décale ses lèvres de Nicky.
« Ferme pas les yeux cette fois-ci. »
Pas comme quand il était dans les vestiaires. Les boutons, il les défaisait un par un, celle-ci devait certainement être aussi précieuse que celle qu’il avait porté et puis il avait maintenant le champ libre sur le torse de Nicky, assez pour que ses lèvres autre fois sur celle du jeune homme, se plongèrent dans le cou de Nicky, mais aussi sur son torse. Les traces violacées, il allait en laisser autant qu’il le souhaitait et puis il s’amusait bien plus avec les fameux piercings qui étaient autre fois protégés par ce bout de tissus.
— la fièvre grimpe dans tes veines, tout comme l'adrénaline de passer la nuit avec maverick. tu fermes les yeux quelques secondes, profitant simplement du baiser que vous échangez. il est dur, et ça te convient bien. tu apprécies ça, être bousculé. avoir le corps marqué par les mains de tes partenaires. tu gémis tout bas quand les dents du blond se plantent dans ta lèvre. un de tes nombreux tics, ça. les mordre. encore et encore. le faire pour garder le silence, le faire pour t'occuper l'esprit. pas qu'un peu putain, j'allais finir par les mordre moi-même si tu continuais. tu ris un peu en plongeant ton regard dans le sien. tes mains rencontrent ses cheveux, tu proposes avec peu de tact de rejoindre sa chambre. tu souris un peu, l'observer retirer sa veste en cuir. tu fais de même avec ta propre veste, avant de le laisser t'attirer avec lui vers la chambre. tu soupires d'aise en te retrouvant allongé sur le matelas. mav se débarrasse de son t-shirt et tu laisses ton regard glisser contre ton visage, soupirant lourdement d'aise. ses mains se glissent sous ton haut, remontent le long de ton ventre jusqu'à ton torse, et tu crispes tes doigts dans son dos quand il presse son pouce sur un de tes piercings.
ferme pas les yeux cette fois-ci. tu ris un peu à ses mots, tu secoues la tête alors qu'il défait les boutons de ta chemise. c'était pour m'empêcher de te sauter dessus. tu te défends simplement en riant un peu. c'est vrai, après tout. c'était bien trop tentant de le voir comme ça, torse-nu au milieu du vestiaire encore presque vide. tu en avais bien trop envie. te glisser dans son dos, entourer son torse de tes mains pour presser ton bassin au sien avec désir. tu fourrages ses cheveux sans te lasser, tu écartes la tête pour lui laisser place libre dans ton cou. tu fermes les yeux sous ses mouvements, poussant ton bassin au sien dans un mouvement fluide. sa bouche glisse de tes lèvres à ton cou, jusqu'à ton torse. tu prends une respiration tremblante en le sentant laisser des traces à même ton épiderme. et sa bouche glisse jusqu'à tes piercings, te faisant haleter. un faible gémissement s'échappe de tes lèvres. est-ce que j'ai précisé qu'ils étaient extrêmement sensibles ? tu souffles d'une voix basse et rauque. tu esquisses un petit sourire et tu viens toi-même glisser tes mains le long de son torse. tu effleures ses côtes quelques instants et tu descends jusqu'à la cambrure de ses reins. tu soupires d'aise, l'attires un peu plus fort contre toi. tu veux tout sentir de sa silhouette surplombant la tienne. tes mains glissent un peu plus bas, jusqu'à ses fesses. tu faufiles tes doigts sous son jean, venant directement agripper ses courbes par-dessus son boxer. donne-m'en plus. tu murmures en tournant la tête, tes lèvres se retrouvant contre son oreille. tu ne te contenteras pas de sa bouche sur ta peau.
« Quelques belles lignes qui transpirent les beaux mots et la poésie, une belle petite mise en bouche pour le plaisir des mirettes. »
Il savait nécessairement que son dos n’allait pas être intact après cette nuit avec Nicky, il en avait le pressentiment. À peine les mains contre sa peau, à peine son voyage jusqu’aux piercings qui lui avaient fait de l’œil toute la soirée, et voilà qu’il sentait dans son dos des mains qui allaient y laisser quelques marques comme il pouvait le faire avec sa bouche sur le corps du jeune homme. Il en avait presque faim, il sentait la chaleur dans ses veines, toute cette tension qu’il ressentait à chaque fois qu’il posait son regard sur cette personne au BB8 et maintenant à son boulot, elle était là cette tension et il allait l’épouser avec plaisir. Sans compter le nombre de fois. Sans se lasser de cette tension qui lui faisait monter l’adrénaline. Ce Nicky, ce blond, il n’allait pas le laisser partir si facilement, pas après cette soirée, pas après le nombre de fois où il s’était dit de le foutre dans un coin du BB8 pour se le faire. Il aurait l’occasion à portée de main au Canvas maintenant. Et visiblement ce n’était pas le seul à penser ça. « C’était pour m’empêcher de te sauter dessus. », pauvre de lui, comme si cette idée aurait déplu à celui qui se trouvait maintenant au-dessus de lui, enfin… ce n’aurait pas été la meilleure manière de se présenter aux autres en s’envoyant en l’air avec l’un d’entre eux. Il rit en entendant ses paroles, d’un sens, il ne l’aurait pas repoussé, une autre de ses compétences aurait été mise en avant.
« La prochaine fois, profite. J’en deviendrai friand. »
Au moins il savait à présent qu’il était tout autant une tentation que le blond pouvait l’être pour lui, à quel point de simples gestes n’étaient pas si satisfaisant quand il voyait des piercings à travers une chemise ou simplement une lèvre en pleine torture sous ses yeux. C’était sa propre torture. En sentant son mouvement de bassin, tandis que ses lèvres étaient visiblement à un endroit sensible, Mav posa une main sur la hanche de Nicky pour les rapprocher encore plus, le laissant ainsi lâcher un juron à cette sensation exquise. Il en voulait plus. « Est-ce que j’ai précisé qu’ils étaient extrêmement sensibles ? », comme s’il ne l’avait pas compris à la seconde où il avait posé un simple pouce contre ceux-ci. Ce serait certainement son endroit favori à présent. Le chemin de ses mains, assez pour le faire frissonner, entre la fraicheur de ses mains, mais aussi la chaleur du corps de mav en ce moment même. Un simple soupir passa la barrière de ses lèvres alors qu’il sentit son souffle dans son cou, au niveau de son oreille. « Donne-m’en plus. », un rire passa la barrière de ses lèvres.
« Impatient. »
Il fit claquer sa langue contre son palais avant que son visage ne descende beaucoup plus bas qu’il ne l’était déjà, autre chose ? Ou bien autre part ? En attendant, il descendait et il décrochait les boutons du jean, que ce soit du sien ou de celui de son partenaire pour la nuit. Il était du même avis d’un sens, les fringues le gênaient, certainement pour ça qu’il avait fini par se débarrasser de tout, clairement de tout en le regardant de haut en bas. Mains toujours autant baladeuses, les marques qu’il avait laissées le long du corps de Nicky le faisait sourire en coin. Lui-même maintenant n'avait plus envie de perdre du temps quand il avait tout entre ses mains.
— douche ? tu relèves un peu la tête vers maverick, prenant quelques instants encore pour retrouver ton souffle. tu te pinces les lèvres de longues secondes, un petit soupir s'échappe de tes lèvres et tu hoches un peu la tête. tu glisses une main contre ton visage. tu en as bien besoin, d'une douche. tu te redresses lentement, une grimace sur les lèvres. ouais, j'arrive. tu murmures simplement en t'étirant un peu, un souffle sur les lèvres. tu as déjà hâte de revenir chez mav, alors que tu n'as pas encore quitté les lieux. laisses moi le temps de ... réussir à me lever. tu murmures, plus appuyé sur une hanche que sur ton bassin. tu fermes les yeux un instant, un soupir t'échappe. il n'y est pas allé de main morte. mais c'est ça que tu aimes aussi. et ce, même si ton corps te le rappelle souvent par la suite. j'crois, tu m'as déboîté une hanche tu souffles dans un rire rauque, bien conscient que ce n'est pas le cas. tu lui tends une main pour qu'il t'aide à te redresser et tu te pinces les lèvres en testant tes propres jambes.
si pour le moment la fatigue rampe dans tes veines, tu sais que ce ne sera plus le cas dans quelques minutes seulement. tu te connais assez, depuis le temps. tu glisses une main dans ta nuque, te grattant lentement. ok, c'est bon. tu souffles avec un petit sourire en coin. tu te contentes de le suivre ensuite vers la salle de bain. ce n'est pas ton truc habituellement de rester, d'accepter de prendre une douche avec quelqu'un. est-ce que tu vas rester ce soir ? cette nuit ? tu n'en sais rien. tu préfères souvent partir, errer la nuit parce que tu n'arrives pas à te reposer. partir la nuit parce que les gens sont de parfaits inconnus, que tu ne veux pas t'attarder. mais, cette fois ? tu n'en sais trop rien. tu as l'impression que quelque chose est différent. tu soupires tout bas, tu réfléchiras à tout ça plus tard.