| (Birdoya #4) Cancun, here we are! |
| | (#)Dim 20 Fév 2022 - 18:21 | |
| C’est l’impatience qui s’exprime dans cet ascenseur alors que, dès que les portes se referment, Zoya ne tarde pas à s’approcher de Birdie pour venir se saisir de ses lèvres. Heureusement, il n’y a personne dans cet ascenseur, cette scène pourrait peut-être en choquer plus d’un, mais la Zoya s’en fiche royalement. Puis, elle est bien consciente que, même si elles sont seules dans cet ascenseur, il doit bien y avoir un agent de sécurité qui checke les caméras de l’ascenseur et qui doit très certainement apprécier – ou non – ce qu’il voit. En tout cas, les deux jeunes femmes ne sont pas très soucieuses du décorum alors qu’elles sont quand même dans un hôtel de haut prestige, où les règles de bienséance doivent être un minimum respecté mais, elles et les règles… “Je t’ai dit que j’avais envie d’une glace… Sur toi, de préférence.” Elle rit doucement Zoya alors qu’elle suit du regard ce doigt qui parcourt la peau si agréable de la belle blonde “On peut aussi essayer d’autres trucs. Faudra juste aller se laver après. Comme c’est dommage." « Il va falloir qu’on soit parfaite en plus pour cette soirée qui nous attend… Donc, prendre un bain ensemble sera nécessaire… pour examiner chaque parcelle de notre peau et s’assurer qu’il ne reste pas une seule trace de nourriture » Elle se cherche un peu plus, voulant accroitre le désir déjà brûlant et présent chez l’une et chez l’autre alors que Zoya a son doigt qui glisse dangereusement. Et si ce satané ascenseur n’avait pas retenti, elle ne se serait clairement pas arrêtée en si bon chemin…
Elle le maudit d’ailleurs cet ascenseur au point qu’elle ronchonne toute seule quand elle est obligée de retirer son doigt de cette zone qui semble crépiter d’impatience, tout comme la sienne. "J'aurais pas pensé que t’aurais voulu des spectateurs." « J’en voulais pas » débute-t-elle alors avec son air boudeur. Bon, cela dit, ils sont tellement nombreux à être entré dans l’ascenseur qu’elle se retrouve plaquée contre la Birdie, ce qui lui redonne quelque peu le sourire « Cela dit… on peut en choisir un ou deux… y’en a qui ne sont pas trop mal ». Elle désigne deux hommes en particulier, à qui elle jette un regard du coin de l’œil. "Ça ne me dérange pas.” Et alors qu’elle s’apprêtait à répondre, elle sent la main de Birdie glisser dans son bas de maillot de bain ce qui ne manque pas de la faire tressaillir alors qu’elle se colle un peu plus contre elle « Moi non plus… » C’est dur de résister alors que l’envie est à son apogée. Zoya se mordille la lèvre alors qu’elle sent la main de Birdie s’égarer. Et comme elle la cherche, elle en fait de même, venant à replacer sa main où elle s’était stoppée, laissant parcourir ses doigts délicatement dans son maillot. Les gens autour d’elles ne semblent pas leur prêter la moindre attention alors qu’elles se procurent subtilement quelques secondes de plaisir. La sonnerie retentit alors, Zoya a ce mouvement brusque quand elle s’aperçoit que c’est leur étage. Non pas parce qu’elle craint les regards sur elle, mais parce qu’elle est pressée de sortir de cet ascenseur pour vite retrouver la chambre « C’est notre étage, lo siento » Zoya a sa main dans celle de Birdie, s’extirpant avec elle de la cabine avant que les portes ne se referment « On y va ? ». Elles se dirigent alors vers cette chambre qu’elles ont spécialement que pour elle pendant quelques jours, et lorsque la carte magnétique finit par déverrouiller le loquet, c’est avec impatience qu’elle se précipite à l’intérieur. Zoya délaisse sa serviette de plage à même le sol dans l’entrée ainsi que ce petit sac qu’elle avait, se dirigeant vers la pièce principale, prenant place sur le canapé pour se saisir de la carte du room service « Glace tu disais ? » son air est taquin, elle n’est pas certaine de vouloir attendre jusqu’à l’arrivée du room service pour retrouver le corps de la blonde mais peut-être peuvent-t-elle se montrer patiente quelques minutes ?
@Birdie Cadburry |
| | | | (#)Dim 20 Fév 2022 - 20:24 | |
| « Il va falloir qu’on soit parfaite en plus pour cette soirée qui nous attend… Donc, prendre un bain ensemble sera nécessaire… pour examiner chaque parcelle de notre peau et s’assurer qu’il ne reste pas une seule trace de nourriture. » tu passes ta langue sur tes lèvres en dévorant du tes opales claires la jolie brune se tenant en face de toi. Elle va être le festin de la lionne en toi, elle fait tout pour alors qu’elle plonge sa main contre tes courbes. Elle attise, elle joue, elle prépare, elle aguiche sans aucune retenue. Tu n’es que faiblesse devant une telle détermination. Elle t’a manqué, tu le lui as dit. Tu ne peux pas être plus claire. Pour une fois que tu es foudroyante d’honnêteté. Il t’arrive de parler. Quand c’est pour parler de tes désirs, tu fonces. Tu n’es pas du genre à y aller par quatre ou dix chemins. La lourdeur de la séducation peut parfois te courir sur les nerfs. Mais avec Zoya, tout est en douceur ; fébrile, bouillonnant, excitant, mais doux. La touche d’une femme est toujours plus délicate que celle d’un homme. Rien de mieux qu’une femme pour savoir connaître les points sensibles d’une autre femme. D’où ton intérêt à la retrouver dans l’intimité. Zoya connaît aussi bien tes points d’accès que toi avec les siens. Vous avez eu de longues années d'entraînement et d’expériences. Vous vous êtes souvent aussi moquées de vos partenaires respectifs d’un soir qui avaient eu le malheur de louper leur coup avec vous. Les pauvres mais tant pis pour eux. Enfin, avant que la belle a crapahuté avec un ours des neiges aux quatre coins du monde.
Tu n’as pas le temps de lui répondre que l’univers a décidé de vous punir. De votre comportement, de vos regards langoureux, ou peut-être ce n’est que pour Zoya. De s’être entichée encore une fois pour que ça se finisse dans le néant et qu’elle t’ait abandonné une deuxième fois pour rien du tout. Pour conclure au vide intersidéral. Comme c’est triste pour eux. Mais égoïstement, ça ne l’est pas pour toi. Le malheur des uns fait le bonheur des autres. En attendant, tu es la victime collatérale de ce pied de nez envers Zoya - oui, tu as décrété que c’était la meilleure explication même s’il ne faut pas voir une explication partout et tout le temps. « J’en voulais pas. » elle boude et tu vas caresser de ton pouce le coin de sa bouche parce qu’elle est adorable à faire l’enfant frustré de ne pas avoir ce qu’elle veut. “Sois patiente.” même si vous ne connaissez pas ce mot - Zoya encore moins que toi. Cela ne te dérange pas quand c’est toi, son caprice. Quand c’est son envie de t’avoir pour elle qui prend le dessus. « Cela dit… on peut en choisir un ou deux… y’en a qui ne sont pas trop mal. » tu mords ta lèvre en regardant brièvement autour de vous. Tu ne vois pas beaucoup de têtes car elles sont quasiment toutes retournées mais tu penches la tête, tu casses ta nuque puis tu pouffes de rire. “Je crois qu’y en a un qui porte un monocle. Dans quel monde il vit pour penser que c’est tendance ? Ou alors c’est une mode d’un endroit obscur qui m’échappe.” tu ne peux que supposer mais ça te fait rire.
Tout en plaçant sa main sur un point stratégique de l’anatomie de ton amie. Tu es une femme à multifonctions, après tout. « Moi non plus… » vous ne faites pas de grandes cérémonies. Vous n’en avez rien à faire que des caméras puissent être là, en hauteur, en train de vous espionner, de vous regarder, de vous mater. Cela ne te dérange pas. Ça leur donne un petit show gratuit pendant dix minutes, de quoi pimenter un peu leur ennuyeuse journée à observer des caméras sans aucun intérêt. Zoya reprend la main, assez littéralement, car ses phalanges sont sur toi : elle joue un jeu dangereux, la brune. Tu mords un peu plus ta lèvre pour retenir un gémissement mais le soupir, lui, tu ne peux pas le contenir. La sonnerie retentit de nouveau et c’est Zoya qui a la présence de réagir - de toute façon, tu te laisses porter, elle l’a très bien compris. C’est elle qui sait l’étage tout comme c’est elle en charge de la logistique, des horaires, des cartes et clés car toi, tu perds tout. « C’est notre étage, lo siento. » elle file et tu ne peux que la suivre vu sa poigne autour de ta main. “Arrête de faire genre tu connais l’espagnol.” que tu souris. « On y va ? » qu’elle te demande alors que vous êtes déjà sorties. Tu regardes les portes de l’ascenceur se fermer avec une moue attristée. “Oh non, je me disais qu’on aurait pu rester à profiter des lieux et de l’ambiance, je suis déçue.” tu ne le penses pas le moins du monde alors que t’éclate de rire pendant que vos pas vous dirigent vers votre chambre.
Une fois arrivée, Zoya se dirige vers le canapé en balançant ses affaires dans l’entrée ; tu la suis dans son geste car t’es peu soucieuse de tes affaires comme ça. Tu pensais que Zoya allait se mettre dans une position lascive pour que tu puisses planter tes dents dans sa chaire et dessiner ses formes de ta langue mais non puisqu’elle est en train de regarder la carte. « Glace tu disais ? » “Oh, c’est vrai… J’avais oublié.” que tu dis ; t’avais vraiment oublié. Zoya a appuyé le bouton off de ton cerveau et ton estomac n’est qu’une excuse pour pouvoir alimenter un peu plus vos retrouvailles torrides sur le lit à quelques pas de vous. Un lit double, et tu vois là un doux rappel que Zoya doit se souvenir que tu n’aimes pas t’endormir seule. Tu es enfantine comme ça ; tu as besoin d’une lumière, d’une peluche ou, mieux, un corps humain contre toi pour t’endormir. Sans forcément de galipettes juste avant mais juste le contact, comme quand un membre de ta fratrie venait faire le job quand tu étais petite. Tu te rappelles très bien de ces moments d’angoisse que tu avais, surtout à l’âge de cinq ans. Tu n’as jamais été sereine de base avec l’obscurité, Elwyn, Aurora et tes parents te rappelant souvent avec humour maintenant, mais sûrement moins à l’époque, que tu te mettais à pleurer dès que tu étais dans le noir. En âge de comprendre les histoires des uns et des autres, où l’imagination est fertile et intense, tu t’es laissée avoir par les frayeurs que racontaient des camarades pour faire peur aux autres. Tu faisais partie de ceux qui n’ont été que les victimes de ces agissements. Les siestes étaient une torture et jamais tu n’as réussi à remonter de ces images stupides que tu peux avoir depuis que t’es gosse. Cela n’aidait en rien que Lila s’amusait elle aussi à te faire peur avec des lampes torches en plein milieu de la nuit, elle qui regardait déjà des films d’horreur bien avant l’âge autorisé. C’est Elwyn qui a eu l’idée de décorer ta chambre d’ampoule à ce moment-là ; tu boudais quand il fallait ranger les illuminations de Noël. Alors ton aîné a proposé de les mettre dans ta chambre et ainsi tu es devenue une inconditionnelle des guirlandes. D’autant qu’à cinq ans, tu pouvais te vanter auprès de Will d’avoir une multitude d’étoiles accrochées partout dans ta chambre et vous vous amusiez comme les gosses que vous étiez à leur donner un nom à chacun d’entre eux. On ne peut pas dire que tu sois encore profondément traumatisée des histoires qu’on a pu te donner quand t’étais haute comme trois pommes mais il est clair qu’ils ont toujours un impact encore maintenant puisque tu ne peux pas t’en passer. “Je te vois bien saveur mangue ou… fruit de la passion.” ce dernier mot que tu prononces comme un vrai espagnol (pas du tout, c’est carrément forcé et c’est peut-être même plus italien mais pour ce que t’en sais… justement, t’en sais rien) avant de rire en la rejoignant sur le canapé. Pas sûre que tu sois assez patiente d’attendre le room service car ta main est déjà sur sa cuisse alors que ton menton est sur son épaule pour regarder avec un intérêt mesuré la carte - tu préfères humer son odeur avant de déposer tes lippes sur la peau de son épaule, sagement et doucement. “Un truc exotique. Qui a du caractère.” comme elle, en somme. Ta main remonte sa cuisse et passe directement sur son nombril. “Je commencerai ici…, puis le doigt remonte au milieu de son buste, sillonnant son ventre plat, son joli buste et enfin le milieu de ses seins. et je remonterai tout là.” ta langue passe de nouveau sur tes lèvres ; tu te la joues tentatrice et t’es à peu près sûre que vous n’allez pas avoir le temps de passer votre commande. “On peut garder la glace pour plus tard, non ? Je peux utiliser ma langue même sans.” ton doigt glisse vers un bout de tissu de son haut pour aller caresser une de ses plus jolies courbes pulpeuses. “J’aime bien quand c’est nature aussi.” que tu souris en relevant tes yeux vers Zoya. Qui va craquer, elle n’a pas le choix.
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| | | | (#)Jeu 24 Fév 2022 - 10:17 | |
| “Sois patiente.” Patience et Zoya dans la même phrase ? C’est impossible, elle le sait très bien ça Birdie. En plus, si la brune s’est empressée de retourner à l’hôtel avec elle, délaissant l’idée de se prélasser sur une sublime plage alors qu’elles se trouvent quand même au Mexique, ce n’est pas pour être coupé dans un si bon élan quand leurs retrouvailles physiques dans l’ascenseur commençaient à devenir agréable… Donc oui, elle est frustrée, elle boude et elle hait ses personnes qui jacassent trop fort soudainement dans ses paroles. Bon, jusqu’à ce qu’elle repère deux types qui pourraient potentiellement leur tenir compagnie mais Birdie est plutôt attirée par un gars avec un monocle. Weird. “Je crois qu’y en a un qui porte un monocle. Dans quel monde il vit pour penser que c’est tendance ? Ou alors c’est une mode d’un endroit obscur qui m’échappe.” Zoya tente de voir le type en question sans trop y mettre du sien parce que son attention est vite reportée sur Birdie. Et comment quand elle cherche à éveiller à nouveau en elle le désir et qu’elle semble tout aussi impatiente qu’elle en laissant glisser ses doigts dans une zone qui met tous les sens en éveille chez la photographe. Au diable toutes ces personnes autour d’elle, qui ne prêteront même pas attention au corps des deux jeunes femmes bien trop collées, à ses mains égarées et ses gémissements inaudibles durant quelques secondes, le temps qu’elle atteigne l’étage où se trouve leur chambre.
“Arrête de faire genre tu connais l’espagnol.” « Je fais pas genre Cadburry ! » A-t-elle oublié ses origines espagnoles, celles de sa mère pour être plus exacte ? « J’ai appris à manier cette langue depuis que je suis petite, je te rappelle » Les mots sont évidemment finement choisis pour laisser sous-entendre bien plus que sa simple maitrise de l’espagnol. Elle laisse échapper un petit rire avant de lui demander d’y aller, plus par principe, car elle n’attend pas réellement sa approbation “Oh non, je me disais qu’on aurait pu rester à profiter des lieux et de l’ambiance, je suis déçue.” Zoya se contente de l’entraîner avec elle, ne manquant pas de lever les yeux au ciel alors qu’elles prennent la direction de leur chambre.
“Oh, c’est vrai… J’avais oublié.” Zoya, pas et si elle fait mine de se plonger avec attention dans le menu du room service, en réalité, elle observe le comportement de son amie. “Je te vois bien saveur mangue ou… fruit de la passion.” Zoya arque un sourcil à sa prononciation déformée – et ratée – du mot passion, et peut-être qu’elle s’en moque un tantinet « Passion » elle, elle l’a la bonne prononciation, évidemment « Tu as peur d’en manquer… » parce que dans la passion, Zoya en a à revendre, alors que son impatience reprend indéniablement place alors que Birdie laisse sa main traîner sur sa cuisse et qu’elle dépose ce bisou sur ses épaules. “Un truc exotique. Qui a du caractère.” Zoya lève finalement les yeux de ce menu qui n’a plus grand importance en réalité quand les doigts de Birdie vienne à se faufiler sur sa peau avec délicatesse “Je commencerai ici…” Difficile pour la brune de ne pas se mordiller la lèvre alors que son regard suit le parcours emprunté par l’index de la blonde “ et je remonterai tout là.” C’est un frisson qui vient à traverser son corps tout entier, laissant tomber le menu à côté d’elle « C’est tout ? » elle joue les gourmandes, l’appelle à lui démontrer plus de ce qui l’attend, après tout cela fait des mois, des années même – deux ce n’est pas rien – qu’elles ne se sont pas retrouvées… Elle a besoin qu’elle lui rafraichisse la mémoire, même si elle est loin d’avoir oublié de quoi pouvait être capable la Cadburry “On peut garder la glace pour plus tard, non ? Je peux utiliser ma langue même sans. J’aime bien quand c’est nature aussi.” « On a assez attendu je crois… » Bien trop même à son goût quand elle aurait aimé qu’on les laisse tranquille dans cet ascenseur, interrompues dans ces préliminaires qui auraient peut-être donné une arrivée tout autre dans cette chambre. Pour autant, il suffit d’un seul contact, un seul pour faire réagir Zoya. Elle se pivote légèrement pour faire face à Birdie sur le canapé alors que ses lèvres viennent avec douceur se saisir des siennes, se perdant ensuite dans le creux de son cou, s’attardant longuement à chacun de ses baisers. C’est sa langue aussi qui remonte doucement jusqu’au creux de son oreille pour venir lui susurrer ces quelques mots « On reprend où on en était… » et c’est à cet instant que sa main droite vient à descendre lentement son autre épaule, s’attardant un peu plus longuement quand elle atteint un de ses seins pour descendre petit à petit en bas de son ventre « par-là, si je me souviens bien… », elle susurre toujours alors que sa main frôle le bout du tissu de son bas de maillot sans pour autant franchir la barrière « Mais… » fait-t-elle en venant trouver son regard, alors qu’elle se mordille à nouveau sa lèvre inférieure et qu’une mèche de cheveux rebelle lui obstrue la vue d’un œil « je t’avoue que cette démonstration que tu viens de me faire… me titille et éveille ma… » l’interruption est volontaire alors qu’elle vient à l’embrasser plus explicitement cette fois « curiosité… ». Sa main passe le bout de tissu volontairement pour faire réagir Birdie, la malice prenant place sur ses lèvres alors qu’elle a planté son regard dans le sien.
@Birdie Cadburry |
| | | | (#)Jeu 24 Fév 2022 - 22:07 | |
| « Je fais pas genre Cadburry ! » de quoi ? Tu es sincèrement interrogatrice - vite fait car vu l’ambiance dans laquelle vous vous enveloppez, l’heure n’est pas non plus aux grandes paroles et à la réflexion la plus profonde. « J’ai appris à manier cette langue depuis que je suis petite, je te rappelle. » “Ah.” t’avais oublié. Il y a des détails qui te passent et qui te sautent au-dessus de la tête. Celui-ci en fait partie. Tu n’en fais pas exprès mais ce n’est pas essentiel à ton savoir - seulement, maintenant, il y a des chances que tu t’en rappelles très bien.
« Passion. » et en plus, elle te reprend ; elle a de la chance d’être jolie comme un coeur et que t’as les yeux qui la parcourent comme si c’est le dessert le plus appétissant au monde - bien trop heureuse de la retrouver tu es, petit oiseau. Tu hausses les épaules ; “laisse mon espagnol pourri tranquille.” que tu dis avec un sourire léger avant d’ajouter. “Même si je suis plus qu’opérationnelle pour que tu sois ma prof de langues.” mais il est clair que tu ne parles pas de langues parlées. Clairement celles qui peuvent caresser cette épiderme tout doux, si joli, que ta main redécouvre après des mois d’absence comme si c’était la première fois. « Tu as peur d’en manquer… » tu ricanes avec humour sous cape, ton souffle contre son épaule alors que t’y déposes un baiser. “Oh non, bien au contraire.” plus tu en as, mieux c’est. Tu ne doutes pas de Zoya mais, “on sait jamais, tu peux être rouillée.” que tu remets sur le tapis comme la garce que tu es. Il n’y a rien de mieux que titiller l’égo pour avoir le meilleur des gens. Une technique fourbe et qui peut donner un résultat négatif si la personne n’est pas dans cet état d’esprit ou si elle ne comprend pas ta démarche ; tout le contraire de Zoya qui te connait parfaitement bien, que ce soit en amitié ou en charnel. « C’est tout ? » tu secoues la tête avec un air acté de déprobation. “Tsk tsk, je me laisse de la place à l’improvisation.” et dieu sait que tu es douée pour l’improvisation.
« On a assez attendu je crois… » tout comme Zoya qui a décrété que l’attente et la patience furent assez titillées comme ça. Elle se tourne pour venir t’embrasser, d’abord sur les lèvres puis dans le cou où tu frémis et glousses légèrement sous les chatouillements que ça te procure. Les lippes et sa langue jouent contre ton épiderme et voilà le genre de cours que t’apprécie. « On reprend où on en était… » ta main sur sa hanche, la sienne dégringolant ton buste, tu retiens de plus en plus ta respiration ; tu n’es qu’humaine, okay, et quand on te chérit, tu perds tes moyens. Ou presque. C’est organique. « Par-là, si je me souviens bien… » tu pinces et mords tes lèvres d’anticipation, gardant tes yeux clairs contre le visage de Zoya. « Mais… » il ne t’en faut pas beaucoup pour être charmée - encore moins quand tu as l’habitude du partenaire en question. Même si c’est marrant de retrouver Zoya après des mois, ça donne vraiment un goût de renouveau qui est assez grisant. « Je t’avoue que cette démonstration que tu viens de me faire… me titille et éveille ma… » tu soupires à son baiser. « curiosité… » et pourtant, c’est elle qui passe sa main là où il faut. “Je pense qu’après m’avoir fait attendre des mois et des années, je mérite une petite récompense pour ma patience.” tu souris un peu plus largement, tes cuisses s’ouvrant aussi pour lui donner un accès plus libre. “Tu peux encore attendre, toi. Mais moi, non. Ca t’apprendra à aller voir ailleurs.” vous en aviez déjà parlé. Vous vous êtes déjà disputées sur le sujet. Mais pas vis-à-vis de son ours polaire d’ailleurs et nulle part en même temps. Le fait de ne plus vivre sous le même toit a aidé. Tu es aussi rassurée à chaque instant de voir que votre amitié ne faiblit pas aux grés de vos coups de coeur qui n’aboutissent à rien. Toi-même avec Dan n’étais pas la plus fidèle ; oh, très très loin de ça. Tu te penches pour attraper la bouche de Zoya de la tienne alors que ta main sur sa nuque l’incite à se pencher avec toi alors que tu t’allonges sur le canapé. Pas le temps du lit. C’est ici et maintenant. “Je te chérirai après. This bird needs to fly right now.” et elle aura aussi besoin de dormir après. Pour être en forme pour ce soir.
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| | | | (#)Ven 25 Fév 2022 - 15:01 | |
| “Ah.” Cette little bird a visiblement une mémoire de moineau puisqu’elle a oublié les origines de son amie. Si ce détail pouvait chagriner la Lewis et la rendre même ronchon – ça aurait été définitivement le cas en temps normal – elle ne s’offusque pas cette fois ci alors qu’elles ont bien mieux à faire que de se prendre le bec.
“Laisse mon espagnol pourri tranquille. Même si je suis plus qu’opérationnelle pour que tu sois ma prof de langues.” « Je me dévoue avec plaisir, ça te rendra encore plus attirante » avec son petit minois et cette position de langue particulier qui rend toute sa beauté à la langue espagnole. Zoya n’est pas dupe, comprend qu’elle parle pas du langage en lui-même mais jouer sur les mots l’amuse tout autant. “Oh non, bien au contraire. On sait jamais, tu peux être rouillée.” De la passion, elle en a revendre et même bien plus depuis qu’elle s’est fait larguée comme une vieille chaussette. Le manque de celui qui avait ce passe-droit illimité sur elle l’a emmené alors à compenser celui-ci avec d’autres personnes, d’un sexe ou d’un autre. Mais, avec Birdie, elle sait que la saveur sera inégalable, qu’elle trouvera ou plutôt retrouvera ces sensations aussi douces que farouches qui lui ont tant manqué. Et qu’elle compte bien sur Zoya pour lui prouver qu’elle est loin d’être rouillée. Au contraire, et vu qu’elle brûle de l’intérieur, à cause de ce désir déroutant de retrouver cette proximité avec la Cadburn, cette dernière ne devrait pas être déçue « I am not » susurre-t-elle alors qu’elle la dévore du regard, laissant la blonde parcourir sa peau de son doigt qui la fait frissonner. Elle joue les difficiles, se demande si le trajet de sa langue s’arrêtera uniquement à celui qu’elle lui dessine et “Tsk tsk, je me laisse de la place à l’improvisation.”, et sur ça, Zoya sait qu’elle ne sera pas déçue…
“Je pense qu’après m’avoir fait attendre des mois et des années, je mérite une petite récompense pour ma patience.” Alors ça se cherche encore et encore, chacune son tour voulant sûrement faire craquer l’autre en première. Surtout, la gourmandise qui les gagne, voulant que l’autre la rassasie en premier. Parce que c’est agréable quand on reçoit de l’attention et de la tendresse, et Zoya a très bien compris que Birdie estime être en droit d’être celle qui sera gâtée en premier quand elle semble avoir vécu cette période où son amie était en couple comme interminable. Ses phalanges se perdent un peu plus pour satisfaire l’impatience de la Cadburry alors qu’elle s’offre un peu plus à elle “Tu peux encore attendre, toi. Mais moi, non. Ca t’apprendra à aller voir ailleurs.” « Je crois que j’ai compris la leçon » mais ne dit-t-on pas jamais deux sans trois ? Espérons que non autant pour elle que pour Birdie. Zoya n’a, de toute évidence, envie de personne d’autre que de la little bird aujourd’hui, et les jours qui suivront. Alors, si elle doit être celle qui mène la danse en premier… elle accepte. Surtout qu’elle est consciente qu’elle sera gracieusement récompensée ensuite… “Je te chérirai après. This bird needs to fly right now.” Et alors qu’elle se trouve désormais au-dessus d’elle, se maintenant d’un bras, Zoya accède à sa demande. Ses lèvres viennent parcourir sa peau délicate en débutant dans le creux de son cou, alors que sa main libre détache les cordons joliment noués de son bas de maillot de bain pour pouvoir glisser aisément cette fois ses phalanges dans son antre. Tout est fait avec douceur, pour savourer ces retrouvailles bien qu’il y est de la précipitation dans certains gestes, ceux qui les feront se retrouver bien vite dépourvues de tous tissus. Zoya descend dangereusement vers la zone sensible de la Cadburry et laisse le petit oiseau prendre du plaisir avec sa langue qui se substitue à ses doigts. Les deux jeunes femmes se retrouvent, expriment ce contentement par des gémissements de plus en plus explicites, inversant les rôles dans ce moment de plaisir intense, qui prouvera à l’une et à l’autre que ce séjour sera celui de toutes leurs désirs les plus fous.
*** (outfit) « Little bird, alors qu’est-ce que tu en penses ? » Zoya sort de la salle de bain, ayant enfiler cette robe conçue par Jorge Duque lui-même et leur ayant été livrée une heure plus tôt alors qu’elles étaient profondément endormis après leurs retrouvailles charnelles qui se sont possiblement éternisées. Elle tourbilonne sur elle-même, sourire large sur les lèvres, approchant de la jolie blonde « Je te plais ? » ajoute-t-elle malicieusement avant de se rendre compte que … « T’es toujours pas prête ? On doit y aller d’une minute à l’autre Cadburry ! Actives-toi ! » Zoya s’agite dans la pièce, cherche la paire de boucles d’oreilles qu’elle avait laissé de côté un peu plus tôt et les enfile en regardant Birdie à travers le miroir.
@Birdie Cadburry |
| | | | (#)Ven 25 Fév 2022 - 22:10 | |
| « Je me dévoue avec plaisir, ça te rendra encore plus attirante. » c’est une invitation que la Lewis ne peut pas refuser en tout état de cause. Tu souris car t’es fière de ta tournure de phrase, d’autant que c’est aussi réel que lubrique. Le double sens est parfait ; t’aimes bien quand ça s’accorde comme ça si bien. « I am not. » elle persiste à soutenir qu’elle n’est pas un vieux rouage à foutre à la poubelle, bien au contraire - alors tu n’attends qu’à ce qu’elle fasse ses preuves. Tu lui offres même (surtout) ton corps tout entier pour te prouver par tous les points et les inclinaisons qu’elle souhaite qu’elle ne l’est vraiment pas. Tu lui dis d’être patiente mais t’es aussi fébrile qu’elle - seulement toi, tu te sens plus légitime à lui demander des faveurs. Tu maintiens le bâton de l’envie. Elle passera sur toi avant que tu ne le fasses sur elle. Elle n’a pas d’inquiétude à avoir ; tu lui retourneras la faveur coûte que coûte. T’as envie de renouer avec sa silhouette toi aussi. « Je crois que j’ai compris la leçon. » “Tant mieux.” t’espère pas qu’elle ne te refera pas le coup une troisième fois.
Ni l’une ni l’autre ne pouvez vous doutiez à ce moment-là que ce n’est pas Zoya qui se mettra en couple mais bien toi, petit oiseau. Cependant, il y a encore du temps à profiter, du temps à savourer et ô que Zoya sait te fait chanter comme le petit colibri que tu peux être. Des retrouvailles passionnées qui ne sont que la promesse de vacances avant ton nouveau travail enchanteur.
****** « Little bird, alors qu’est-ce que tu en penses ? » little bird est toujours allongée sur son lit, à regarder son téléphone sur le ventre, les jambes relevées et les pieds battants, habillée d’un simple peignoir après avoir pris leur douche - ensemble, pour être sûres que ça soit propre, ahem. Tes yeux bleutés se relèvent vers ton amie qui tourne sur elle-même, resplendissante dans sa robe orange qui brûle la rétine - t’adore. La robe, la couleur, l’espèce de bijou qui fait aussi office de ceinture - c’est hyper ingénieux, ça, que tu te dis en te redressant du lit - et le tout sur Zoya est splendide. Evidemment, de toute façon, t’es pas objective. « Je te plais ? » tu vas pour répondre quand elle semble enfin te voir. « T’es toujours pas prête ? On doit y aller d’une minute à l’autre Cadburry ! Actives-toi ! » et là voilà qui se presse tout d’un coup. “Tu me plais carrément moins, tout d’un coup. J’ai envie de te dire que tu ressembles à une carotte sous boisson énergétique. Ou radioactive. Je te laisse avoir le pouvoir que tu viens… Carotta!” t’es conne quand tu t’y mets mais t’es fière de ta connerie alors que tu rigoles en allant dans la salle de bain. “Ca va, on est pas si pressées, c’est pas loin.” oh, Cadburn et sa façon d’arriver toujours en retard - déjà, t’arrives, c’est bien, non ? Tu lèves tes cheveux et tu finis par te déshabiller pour mieux enfiler la robe qui t’attend dans la housse et- “Oh, tu leur as dit que j’étais une déesse grecque dans une autre vie ?” parce que c’est ce que t’inspire cette robe. Tissu léger, décolleté plongeant, tu apprécies que ce ne soit pas un truc près du corps. Au contraire, une sorte de mousseline qui virevolte à chacun de tes pas - t’espère juste que les bretelles vont pas se faire la mal sinon, la population huppée rencontrera aussi tes petits seins. Non pas que ça te dérangerait mais sait-on jamais, il doit bien y avoir des puristes dans le coin. Y’en a toujours. Tu relèves tes cheveux avant de les laisser lâcher, flemme de faire un truc élaboré. Tu sais pas faire, de toute façon. “Bon, par contre, je promets pas de garder leurs talons toute la soirée. Si je tiens déjà cinq minutes avec, ça sera un exploit.” que tu lui dis en voyant les chaussures à l’entrée - des chaussures pointues comme t’aimes pas. Et noires par-dessus le marché. Ou marron foncé, tu ne vois pas trop. “Je dois vraiment me maquiller ?” que tu boudes. “Je sais pas faire, ça me fait chier, j’ai pas envie d’avoir l’impression d’être un pot de peinture.” tu portes très bien la trentaine sans une tonne de couches de maquillage. Mais t’as la sensation que Zoya ne va pas te laisser sortir comme ça. Diantre.
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| | | | (#)Dim 27 Fév 2022 - 11:55 | |
| “Tu me plais carrément moins, tout d’un coup. J’ai envie de te dire que tu ressembles à une carotte sous boisson énergétique. Ou radioactive. Je te laisse avoir le pouvoir que tu viens… Carotta!” C’est le premier truc qu’elle trouve sous sa main qu’elle attrape la Zoya – une culotte, oopsie – qui termine sa course presque sur la tête de la blonde qui est toujours allongée sur le lit à regarder son téléphone. « Tu ne te plaignais pas tout à l’heure de mon trop plein d’énergie » C’est dit de manière sérieuse, même pas de manière malicieuse alors qu’elle enfile rapidement ses créoles dorées. “Ca va, on est pas si pressées, c’est pas loin.” « Ouais sauf qu’on va se faire remarquer en arrivant les dernières alors qu’on est au premier rang. Je n’y tiens pas et te connaissant, je sais qu’on va pas passer inaperçu. Tu sais pas faire dans la discrétion. ET je tiens à garder mes privilèges » Oh, Zoya n’est pas sûre que ces arguments vont avoir un quelconque effet sur la Birdie, même si elle se met enfin en mouvement et découvre alors la belle robe qui a été choisi spécialement pour elle “Oh, tu leur as dit que j’étais une déesse grecque dans une autre vie ?” Zoya pouffe légèrement « Non… En revanche qu’ils aient choisi le blanc pour toi et cette couleur pour moi qui tend autant vers l’orange que vers le rouge me fait légèrement rire. Toi ange, moi démon… elle vient se placer à côté d’elle une fois qu’elle a enfilé la jolie robe qui la met nécessairement en valeur Ils auraient visé juste en choisissant la même couleur pour nous deux » elle ne spécifie pas laquelle mais c’est plus à celle de sa robe qu’elle pense que celle de Birdie « T’es belle » ajoute-t-elle en lui déposant un baiser rapide sur la joue, sourire aux lèvres.
“Bon, par contre, je promets pas de garder leurs talons toute la soirée. Si je tiens déjà cinq minutes avec, ça sera un exploit.” Zoya s’affère à nouveau à enfiler les derniers bijoux qui iront parfaitement avec sa robe, toujours dans les teintes dorées levant les yeux au ciel quand elle entend une Birdie qui se plaint “Je dois vraiment me maquiller ? Je sais pas faire, ça me fait chier, j’ai pas envie d’avoir l’impression d’être un pot de peinture.” Zoya lève les yeux au ciel et s’approche à nouveau de Birdie « Tu fais bien ton âge parfois » en gros la vieille « A te plaindre encore et encore. Assieds-toi là » fait-t-elle en lui désignant la chaise non loin de là et récupérant la palette de maquillage non loin de là. Zoya n’est pas spécialement friande des pots de peinture non plus, plus friande du naturel qu’autre chose. Mais pour des soirées comme celles-ci, elle sait faire l’effort. Quelques minutes plus tard… « Ca te convient » Elle la laisse se contempler, ayant fait un maquillage léger mais qui en jette quand même « Pour les talons, au moins le temps du défilé. Après, tu pourras trainer pied nu, surtout que la soirée post défilé se passe autour de la piscine. Ca va être génial tu vas voir »
@Birdie Cadburry |
| | | | (#)Lun 28 Fév 2022 - 22:37 | |
| « Tu ne te plaignais pas tout à l’heure de mon trop plein d’énergie. » elle parle, elle parle mais tu sais qu’elle sait que l’énergie de tout à l’heure était bien plus agréable que celle qu’elle déploit pour te faire bouger le cul du lit. C’est un défi pour toi de te préparer, d’être à l’heure et là où il faut quand il faut. Tu n’y arrives pas mais mieux vaut tard que jamais dit-on, non ? En tout cas, il est certain que ça te fait légèrement grogner. « Ouais sauf qu’on va se faire remarquer en arrivant les dernières alors qu’on est au premier rang. Je n’y tiens pas et te connaissant, je sais qu’on va pas passer inaperçu. Tu sais pas faire dans la discrétion. ET je tiens à garder mes privilèges. » oh alors là! “Je suis outrée que tu penses ça, Zoyala! Je suis la discrétion incarnée!” non, vraiment pas et elle le sait, toi aussi, la planète le sait. A partir du moment qu’on a écrit Cadburry sur ton certificat de naissance, c’était couru d’avance que tu allais tout sauf discrète. Et silencieuse. Et introvertie. “J’aime juste avoir une entrée remarquée.” que tu dis en souriant à ton reflet, fière de ta répartie. Ceci dit, pour un défilé de mode, tu peux faire un effort en accélérant de moitié ta préparation. Et parce que Zoya serait capable de faire regretter de la pire des façons ton dédain incroyable à vouloir te préparer - en maillot de bain comme vous étiez tout à l’heure, ça aurait pu aussi fonctionner. Mais ça aurait été trop distrayant.
Zoya apparait derrière toi en pouffant de rire. « Non… En revanche qu’ils aient choisi le blanc pour toi et cette couleur pour moi ]me fait légèrement rire. Toi ange, moi démon…Ils auraient visé juste en choisissant la même couleur pour nous deux. » tu fais la moue. “J’aurai préféré la orange. Elle est plus colorée.” et tu boudes un peu pour la forme car vraiment, le blanc est passe-partout contrairement à l’orange. La robe a de la chance d’avoir une tenue très déesse pour réussir à te la faire apprécier. « T’es belle. » tu frémis légèrement en gigotant les épaules. “Je trouve aussi.” que tu dis avec suffisance avant de glousser légèrement et de te tourner pour retourner dans la chambre. « Tu fais bien ton âge parfois. » tu fronces les sourcils. « A te plaindre encore et encore. Assieds-toi là. » “Fais attention à ce que tu dis, gamine. J’aime juste pas ça, c’est tout.” et à ton sens, ça donne plus l’impression d’être une enfant qu’une vieille mais t’imagines que ça amuse trop Zoya de le souligner.
La brune s’occupe de toi alors que t’es docilement assise - c’est plus simple quand on te le fait. « Ça te convient. » tu te lèves pour aller vers le miroir t’observer de près ; Zoya a eu la main légère et tu lui es reconnaissante alors qu’un sourire se forme sur tes lèvres. “Parfait!” enfin, la perfection aurait été rien du tout mais bon, il ne faut pas non plus abuser. « Pour les talons, au moins le temps du défilé. Après, tu pourras trainer pied nu, surtout que la soirée post défilé se passe autour de la piscine. Ca va être génial tu vas voir. » tu écarquilles les yeux parce que, pendant le défilé, tu seras assise (et non debout à défiler comme tu l’as pour James) donc ça change tout et c’est très faisable. D’autant qu’une soirée près d’une piscine est le must. “Il va y avoir des célébrités ? Des petits fours au caviar et au foie gras ? Du champagne et des grands crus ? Mais surtout… Pourquoi tu ne m’as dit de mettre un maillot de bain ?” même si en soit… Est-ce que ça t’arrêterait vraiment ?
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| | | | (#)Mer 2 Mar 2022 - 0:32 | |
| “Je suis outrée que tu penses ça, Zoyala! Je suis la discrétion incarnée!” Zoya éclate de rire face à autant de mauvaise foi. Birdie et discrétion c’est comme Zoya et maturité dans la même phrase : impensable. “J’aime juste avoir une entrée remarquée.” « That’s what i said » ajoute-t-elle levant les yeux au ciel alors que Birdie s’active enfin à se préparer, sans trop rechigner. Ce qui est assez surprenant d’ailleurs, Zoya s’attendait à devoir la bousculer du lit, la tirer par les pieds ou par les mains pour la faire tomber de celui-ci et limite devoir l’habiller elle-même. Parce que c’est déjà arrivé, surtout quand la little bird est un peu trop éméchée – ou veut jouer sa chieuse, ça marche aussi.
“J’aurai préféré la orange. Elle est plus colorée.” C’est vrai que la orange aurait plus collée à la peau de la Birdie, si pétillante et excentrique qu’elle puisse être. « Rien ne nous empêche d’échanger dans la soirée » répond Zoya accompagné d’un clin d’œil, non sans avoir ce sourire malicieux au bout des lèvres. “Je trouve aussi.” « Et bête ». Non parce que la Cadburry ne va plus passer les murs avec un melon pareil. Là, Zoya est pratiquement certaine qu’elle ne va pas acquiescer et va sûrement s’offusquer, ce qui explique le « Un peu parfois » qu’elle ajoute en mimant ce peu avec ses doigts, non sans laisser échapper un petit rire. “Fais attention à ce que tu dis, gamine. J’aime juste pas ça, c’est tout.” « Tu n’es pas crédible en me disant gamine. Je suis sûre que je suis parfois la plus adulte des deux » ont-t-elles décidé de faire un spectacle comique ce soir, non parce que vraiment, c’est à mourir de rire « Et serait-ce des menaces ? Qu’est-ce que je risque si je continue ? » La malice reprend place alors qu’elle commence à s’occuper du maquillage de la Cadburry “Parfait!” qui semble donc lui convenir.
“Il va y avoir des célébrités ? Des petits fours au caviar et au foie gras ? Du champagne et des grands crus ? Mais surtout… Pourquoi tu ne m’as pas dit de mettre un maillot de bain ?” Trop de questions à la fois pour Zoya qui roule des yeux « Possiblement parmi les modèles, après je n’en sais trop rien. Je pense que ce sera plus des célébrités d’ici, qu’on ne connait pas nécessairement » dit-t-elle en enfilant ses chaussures, venant à s’assoir sur le lit pour se faire « Et niveau bouffe and boose je pense qu’effectivement ce sera à ce niveau-là… minimum » sur ce dernier mot elle vient à trouver le regard de Birdie et donne une forme convexe à ses sourcils plusieurs fois d’affilé en souriant « Et pour le maillot de bain, parce que ce n’est pas prévu au programme… Je sais que ce sera tentant, Cadburn, mais, pas de saut dans la piscine. Si tu as besoin de te rafraichir… » elle se lève alors pour la rejoindre et fait parcourir son index sur sa peau « on pourra toujours trouver le chemin de l’océan pour un bain de minuit… Et on aura pas besoin de maillot de bain » Provocation, un clin d’œil et « Aller on y va » elle l’attrape par la main et les voilà prendre la direction de la sortie de la chambre.
*** « Zoya tu es resplendissante dans cette robe… Et vous… Vous aussi… » Jorge Duque lui-même s’adresse aux deux jeunes femmes et interroge la Cadburry pour qu’elle se présente à son tour alors qu’il vient à leur faire une bise chacune « De vraies déesses grecques… ah oui oui, vraiment » Il les analyse, les suranalyse même, son index sur son menton « Je pense qu’il y a définitivement quelque chose à faire avec vous deux… Je vais y réfléchir. Je vous laisse, on m’attend. Ne faites pas trop de folie » un clin d’œil et voilà qu’il s’éclipse encore plus vite qu’il n’est apparu, ce qui fait sourire Zoya qui se pivote vers Birdie, son verre de champagne à la main « Alors, tes impressions sur le défilé ? Et cette soirée ? » Soirée où le buffet est bien garni, à côté duquel elle se trouve toutes les deux, où il y a du beau monde et une ambiance vraiment agréable bien qu’un chouia un peu prout prout.
@Birdie Cadburry[/color] |
| | | | (#)Mer 2 Mar 2022 - 22:03 | |
| « That’s what i said. » tu lui tires la langue en guise de réponse. Zoya te connait, elle sait très bien que tu ne fais rien comme tout le monde car tu cultives cette image de la différence. Alors forcément, arriver en retard pour mieux être vu est du pain béni pour toi. Mais la brune considère que non parce que ce n’est pas correct ni poli et blablabla, c’est une chiantise sans fin. « Rien ne nous empêche d’échanger dans la soirée. » okay, ça, ça te redonne un peu plus le sourire. “Je peux accepter d’être une déesse grecque en attendant alors.” la robe a de la chance d’être légère et non serrée contre chaque courbe de tes formes. Tu aurais vraiment râlé et demandé avec Zoya de changer maintenant si ça avait été le cas. « Et bête. » tu pouffes de rire tout en allant la pincer sur le premier morceau de peau que tu peux atteindre. « Un peu parfois. » “Ouais, c’est ça. Y’a aucun mal à assumer que j’aime voir ce que je renvois.” sans l’assurance, tu n’arriverai absolument à rien dans la vie, c’est certain. « Tu n’es pas crédible en me disant gamine. Je suis sûre que je suis parfois la plus adulte des deux. » alors là, t’as un cri outré. « Et serait-ce des menaces ? Qu’est-ce que je risque si je continue ? » “Une fessée comme la gamine que t’es!” tu rétorques rapidement ; Zoya l’a bien cherché et elle l’a complètement trouvé.
« Possiblement parmi les modèles, après je n’en sais trop rien. Je pense que ce sera plus des célébrités d’ici, qu’on ne connait pas nécessairement. » tu fais une légère moue. «Et niveau bouffe and boose je pense qu’effectivement ce sera à ce niveau-là… minimum. » minimum et ça, c’est plaisant à entendre pour la petite princesse que tu veux parfois donner l’impression d’être. « Et pour le maillot de bain, parce que ce n’est pas prévu au programme… Je sais que ce sera tentant, Cadburn, mais, pas de saut dans la piscine. Si tu as besoin de te rafraichir… » la voix qui traine, la moue taquine et remplie de sous entendus, Zoya va te trouver une solution à tes problèmes en un rien de temps. « On pourra toujours trouver le chemin de l’océan pour un bain de minuit… Et on aura pas besoin de maillot de bain. » tu mords ta lèvre en secouant la tête. “Tu sais comment me parler.” que tu dis en lui tapant les fesses avant qu’elle t’attrape la main. « Aller on y va. »
****** « Zoya tu es resplendissante dans cette robe… Et vous… Vous aussi… » “Birdie!” que tu t’exclames face au créateur alors que tu gigotes légèrement pour montrer que la robe te va bien. Il faut lui faire honneur après tout. Tu sais ce que c’est de créer des vêtements après tout. Et ta meilleure modèle est la seule que tu as, c’est toi - enfin, à part quand tu te mets à créer des habits en guise de cadeaux. « De vraies déesses grecques… ah oui oui, vraiment. » tu mords ta lèvre en ne pipant plus mot, jetant un regard de biais à Zoya car t’as l’impression d’être totalement épiée. Mais pour le coup, ce n’est pas déplaisant car ce n’est pas un homme qui vous dévisage et décrit mais un styliste. Il voit comment vous habiller et non l’inverse. « Je pense qu’il y a définitivement quelque chose à faire avec vous deux… Je vais y réfléchir. Je vous laisse, on m’attend. Ne faites pas trop de folie. » tu pouffes de rire alors qu’il s’eclipse. « Alors, tes impressions sur le défilé ? Et cette soirée ? » tu regardes les gens aux alentours. “Un peu trop distinguée pour moi, la musique manque d’ambiance. Mais… Le défilé était très intéressant, original comme j’aime. Les cocktails sont bons, le champagne encore plus. La compagnie reste le meilleur atout de cette soirée.” que tu lui dis avec un clin d’oeil, flatteuse comme toujours. “Et je sens qu’on va être des muses dans un futur proche. Ce qui ne me dérange absolument pas.” évidemment que non. Birdie Cadburry ne crachera jamais de voir des créations créées et pensées pour et grâce à elle. “C’est donc tout ça ce que tu fais dans ton métier ? Et moi qui croyais que tu prenais seulement des photos!” |
| | | | (#)Sam 5 Mar 2022 - 12:39 | |
| “ “Je peux accepter d’être une déesse grecque en attendant alors.” ” C’est certain qu’elles finiront par interchanger leurs robes, ce n’est pas comme si elles ne l’avaient jamais fait auparavant, en plein milieu d’une soirée, parfois parce qu’une jalousait – façon de parler – la robe de l’autre ou parfois par simple amusement. Et Zoya connait parfaitement la Cadburry pour savoir qu’à un moment ou à un autre de la soirée, elle sera capable de lui taper une crise pour qu’elles en viennent à échanger leurs vêtements “Ouais, c’est ça. Y’a aucun mal à assumer que j’aime voir ce que je renvois.” Ce n’est pas la brune qui va la contredire quand elles sont sur la même longueur d’onde à ce propos. Autant Birdie que Zoya sont des jeunes femmes qui ne manquent pas de confiance en elle, du moins physiquement. Zoya ne se prend pas d’ailleurs la tête pour l’image qu’elle renvoie, n’usant que très rarement d’artifices pour plaire. Ce soir est une exception et même si la Cadburry râle, elles vont devoir faire l’effort car cela reste une soirée importante pour la Lewis. “Une fessée comme la gamine que t’es!” La malice est toujours présente sur ses traits alors que Zoya se penche légèrement sur la Cadburry pour venir se saisir des lèvres de son amie, qu’elle mordille doucement « Je sais pas si ta menace va avoir de l’effet pour que j’arrête » Ca risque d’être tout le contraire d’ailleurs. Elle rit doucement avant de se redresser et s’atteler au maquillage de la belle blonde. Et quand tout ceci est terminé et que Birdie a encore une réclamation quant au fait qu’elles auraient pu emporter des maillots de bain pour se baigner dans la piscine, Zoya ne manque pas de lui dire que cela ne sera pas nécessaire si elles ont dans l’idée de s’éclipser pour un bain de minuit dans l’océan. “Tu sais comment me parler.” Evidemment, qu’elle le sait… surtout après tout ce temps où elles n’ont pu être aussi proches et libres de leurs mouvements.
*** “Birdie!” Les voilà désormais face à Jorge Duque, le célèbre créateur de la collection qu’elles ont vu défilé quelques minutes plus tôt sous leurs yeux. Birdie se présente et une mince conversation – surtout menée par le styliste – s’engage avant qu’il ne disparaisse aussi vite qu’il est apparu. Zoya se retourne alors vers son amie, coupe de champagne à la main pour lui demander ses impressions sur la soirée. “Un peu trop distinguée pour moi, la musique manque d’ambiance. Mais… Le défilé était très intéressant, original comme j’aime. Les cocktails sont bons, le champagne encore plus. La compagnie reste le meilleur atout de cette soirée.” Zoya ne peut s’empêcher de sourire à ce dernier commentaire, flattée évidemment par le compliment. “Et je sens qu’on va être des muses dans un futur proche. Ce qui ne me dérange absolument pas.” « Il ne manque pas d’idées et je suis persuadée que d’ici quelques jours, on aura effectivement une proposition. Peut-être qu’il va vouloir qu’on défile pour lui ou qu’il va nous choisir pour poser pour une prochaine collection. On est canon après tout, ce serait justifié ». C’est un clin d’œil qu’elle lance tout en riant doucement alors que son regard se reporte sur la foule “C’est donc tout ça ce que tu fais dans ton métier ? Et moi qui croyais que tu prenais seulement des photos!” « Disons que tout en travaillant je peux prendre aussi du bon temps et profiter de belles choses. Tu le sais, c’est pas mon genre non plus, mais je t’avoue que, de temps en temps, j’apprécie assister à ces événements un peu trop clinquants » Elle marque une pause alors qu’elle prend une gorgée de son champagne « C’est les avantages qui viennent avec le métier on va dire. Mais, d’ici demain, j’ai hâte de reprendre mon appareil juste pour photographie la nature que l’on va découvrir » parce que cela restera toujours sa passion première, la photographie spontanée, celle qu’elle fait au détour de ses voyages, où ce n’est pas des personnes qui attirent son objectif mais les paysages environnants et la beauté du monde. « D’ailleurs, demain, c’est une tout autre ambiance qui nous attend. Il va falloir qu’on soit en forme aussi parce que… on va devoir se lever tôt… » et sur ces derniers mots, la Lewis réfugie son nez dans son verre, en attendant une éventuelle réaction de la Cadburry.
@Birdie Cadburry |
| | | | (#)Jeu 17 Mar 2022 - 21:59 | |
| « Je sais pas si ta menace va avoir de l’effet pour que j’arrête. » elle devrait au moins faire genre et ne pas le dire car tu peux facilement revenir sur tes propos. Mais là n’est plus le sujet de toute façon parce qu’elle te presse et elle te prépare, tu as presque la sensation d’être le bébé du duo et franchement, ce n’est pas pour te déplaire. Ce n’est pas de ta faute si tu ne sais pas tenir un eyeliner correctement, t’as jamais voulu utiliser ces trucs-là.
Cependant, le couturier fait sensation à tes yeux et l’intérêt est clairement double ; non seulement il a l’air de vouloir construire des pièces basées sur vous - ce qui est hyper flatteur, tout le monde en conviendra - mais en plus, tu as un attrait certain pour la création de vêtements. Après tout, les trois quart de ta garde robe est ta propre création, des vêtements trouvés dans des vides greniers ou chiner à qui tu redonnes une seconde ou troisième vie. Même si les créateurs de mode augmentent aussi la consommation de demain par leurs tendances, ce sont aussi des puits à idées et tu n’aurais pas dit non à voir son processus créatif, ainsi que la production. Tu l’as déjà vu chez Weatherton, il y a toujours des tissus, des matières, des détails qu’ils ont qui sont absolument extraordinaires. Tu les envies mais sans pour autant nourrir l’ambition de faire la même chose. Jamais tu ne voudras que quelqu’un porte tes vêtements, nope. « Il ne manque pas d’idées et je suis persuadée que d’ici quelques jours, on aura effectivement une proposition. Peut-être qu’il va vouloir qu’on défile pour lui ou qu’il va nous choisir pour poser pour une prochaine collection. On est canon après tout, ce serait justifié. » tu trépignes sur place. “J’ai du métier en plus dans le mannequinat. Enfin, tu le sais vu que tu m’as déjà prise mais j’ai déjà défilé!” que tu dis avec fierté. Enfin, Zoya doit déjà le savoir puisque vous habitiez déjà ensemble quand ça s’était fait avec James, t’as forcément dû en parler d’une façon ou d’une autre. C’était très grisant comme expérience. Tu en as eu la tête toute retournée.
« Disons que tout en travaillant je peux prendre aussi du bon temps et profiter de belles choses. Tu le sais, c’est pas mon genre non plus, mais je t’avoue que, de temps en temps, j’apprécie assister à ces événements un peu trop clinquants. » tu lèves ta coupe à tes lèvres en même temps que la brune alors que tes yeux dérivent sur les invités vous entourant. Pour être clinquant, ça l’est. Tu aurais dû venir avec une de tes propres tenues, au final, tu aurais aimé que Jorge Duque te dise ce qu’il en pense - même si t’aurais continué d’être fière malgré tout. « C’est les avantages qui viennent avec le métier on va dire. Mais, d’ici demain, j’ai hâte de reprendre mon appareil juste pour photographie la nature que l’on va découvrir. » tu souris à Zoya. “Donc tu vas me faire marcher, hein. Tu comptes pas me perdre au milieu de nulle part, hein ? M’en fiche, je ferai comme le petit poucet, je lâcherai des cailloux derrière moi. Tu ne te débarasseras pas de moi aussi facilement.” que tu dis avec un ton amusé en passant la main dans tes cheveux. “T’as déjà eu de mauvaises expériences dans ce genre d’endroits ? Parce que déjà que dans les soirées lambdas, j’ai déjà révassé d’en massacrer plus d’un alors là… Quoique ces gens doivent être des pros de la fausse flatterie.” tu n’en sais rien mais tu te permets de juger malgré tout. Tu n’aimes pas vraiment ce genre de trucs, normalement, mais t’es complètement appâtée par le défilé, la robe que tu portes, les alcools gratuis et aussi le buffet. T’es à peu près sûre d’avoir vu des toasts de caviar, tu dois goûter ça au moins une fois dans ton existence. « D’ailleurs, demain, c’est une tout autre ambiance qui nous attend. Il va falloir qu’on soit en forme aussi parce que… on va devoir se lever tôt… » là, tu la regardes d’un air désabusé. “T’entends quoi par ‘se lever tôt ?’” tu rechignes d’aller dormir mais une fois que t’y es, t’as du mal à en partir alors entendre ça te fait grimacer et presque taper du pied. “C’est censé être des vacances, Zoyaaaaaa! Pourquoi tu me fais çaaaa ? Je veux pas me réveiller super tôt pour aller marcher, c’est quoi cet enfer ? Et pourquoi demain alors qu’y a la soirée aujourd’hui ? Tu peux pas me faire ça, Zoyaaaaaaa.” oui, t’es clairement en train d’exprimer ton refus de crapahuter demain, ou plutôt de devoir te lever tôt pour aller le faire. C’est non, hors de question, tu vas être de mauvaise humeur et de mauvaise foi toute la journée sinon. |
| | | | (#)Dim 3 Avr 2022 - 19:26 | |
| “J’ai du métier en plus dans le mannequinat. Enfin, tu le sais vu que tu m’as déjà prise mais j’ai déjà défilé!” Zoya le sait parce qu’elle a déjà vu le bel oiseau à l’œuvre, du moins pour la partie pose devant l’objectif. C’est d’ailleurs grâce à ça qu’elles se sont rencontrées à la base, juste parce que l’apprentie photographe qu’elle était à l’époque à remarquer la beauté de la blonde et a voulu en faire son modèle le temps d’une journée. Elle acquiesce alors qu’une idée fourmille dans son esprit mais qu’elle se garde bien de lui partager.
“Donc tu vas me faire marcher, hein. Tu comptes pas me perdre au milieu de nulle part, hein ? M’en fiche, je ferai comme le petit poucet, je lâcherai des cailloux derrière moi. Tu ne te débarasseras pas de moi aussi facilement.” Tout de suite, elle s’imagine le pire la Cadburry. A quel moment Zoya lui a signifié qu’elle comptait la semer quelque part dans la jungle ? Toujours aussi mélodramatique cette Birdie, la brune lève les yeux au ciel avant de lui répondre « Si tu fais que râler et que tu deviens pénible comme tu es en train de le faire là tout de suite, elle marque une pause volontairement alors qu’une sourire malicieux se dessine sur ses lèvres effectivement, prévois ta réserve de cailloux » un clin d’œil accompagne ses paroles alors qu’elle la bouscule doucement du coude. Elle ne ferait jamais ça, tenant bien trop à son amie pour la laisser derrière elle… quoi que, une Zoya bien remontée, on n’est jamais trop à l’abri de ce qu’elle serait capable de faire. “T’as déjà eu de mauvaises expériences dans ce genre d’endroits ? Parce que déjà que dans les soirées lambdas, j’ai déjà rêvassé d’en massacrer plus d’un alors là… Quoique ces gens doivent être des pros de la fausse flatterie.” Zoya amène son verre à ses lèvres alors qu’elle observe la foule avant de reporter son regard sur Birdie « j’en ai eu quelque-unes oui, où, tu imagines bien, j’ai eu du mal à garder mon sang froid… Un agent de la sécurité a même dû me sortir de force une fois » Elle en rit maintenant, un peu moins à l’époque « Une mannequin qui me prenait pour son larbin de service, odieuse avec moi alors que j’ai cédé à tous ses caprices et ses envies pendant deux jours d’affilé. Ce soir-là, elle n’arrêtait pas de me demander d’aller lui chercher des verres, d’aller lui récupérer tel ou tel truc dans sa chambre d’hôtel, de la prendre en photo au bord de la piscine. Et la phrase de trop est arrivée, j’ai vrillé. Elle a fini avec son verre de champagne dans la tronche et je l’ai poussée dans la piscine… Je me suis définitivement pas fait une bonne pub ce jour-là mais… Ca m’a fait un bien fou » Elle rit doucement « Mais comme tu dis, dans ce milieu, les gens usent de faux semblant alors, au final, j’en fais de même et je prends sur moi. C’est un bon exercice en réalité pour apprendre à garder son sang froid » surtout quand on a un caractère comme Zoya et elle est persuadée que Birdie pourra s’inclure dans cette catégorie aussi.
“T’entends quoi par ‘se lever tôt ?’” « Bah… genre… six heures du matin » dit-t-elle sur un ton prudent, parce qu’elle sait que la Birdie va over réagir again “C’est censé être des vacances, Zoyaaaaaa! Pourquoi tu me fais çaaaa ? Je veux pas me réveiller super tôt pour aller marcher, c’est quoi cet enfer ? Et pourquoi demain alors qu’y a la soirée aujourd’hui ? Tu peux pas me faire ça, Zoyaaaaaaa.” Zoya jette un coup d’œil autour d’elles et voit quelques regards se porter sur leurs personnes. Elle l’attrape alors par le bras, levant une nouvelle fois les yeux vers le ciel « Chuut » dit-t-elle en l’entraînant un peu plus en retrait « On est là que pour quelques jours, et clairement, lorsque je suis en voyage c’est comme ça que ça se passe. Pas de temps mort, on profite jusqu’au bout » Un sourcil s’arque alors qu’elle a ce sourire moqueur qui apparait « Quoi tu vas pas me dire que tu es trop vieille pour ce genre d’aventures ? Sinon, je peux annuler et dire à notre guide muy caliente que la blonde qui m’accompagne n’est pas apte à faire une excursion dans la jungle… En plus, on va voir une cascade où on pourra s’y baigner et s’y prélasser pendant des heures… C’est comme tu veux » Elle adopte cet air détaché, parle lentement comme pour la faire céder en dévoilant le plan, guettant sa réaction du coin de l’œil.
@Birdie Cadburry |
| | | | (#)Lun 18 Avr 2022 - 20:28 | |
| « Si tu fais que râler et que tu deviens pénible comme tu es en train de le faire là tout de suite, effectivement, prévois ta réserve de cailloux. » gniagniagnia, en voilà une expression digne d’une lady que tu es loin d’être. Tu as peut-être une robe soigneuse et chic, tu es peut-être maquillée et parfumée et même chaussée comme la bienséance le veut - qu’est-ce que tu ne ferais pas pour être sûre d’avoir le cul de Zoya tout le séjour et de respecter son ambiance de travail - tu ne peux pas changer ta façon d’être ni de parler pour coller à ces foutues étiquettes de société qui sont juste insupportables à tes yeux. Tu apprécies les humains mais tu n’apprécies pas le cadre dans lequel certains évoluent. Ceux qui toisent et qui se prennent pour meilleur que son voisin. Oh les regards de coin et les sourires polis sont de mise, ce soir. Tu vois cela comme une grande expérimentation et tu n’en es pas la cobaye, oh non, tu en es la scientifique. Celle qui regarde avec ses grandes lunettes, son crayon et son calepin. Tu es différente de ces gens et tu ne comprends pas comment Zoya fait pour garder la tête froide face à tout. Sûrement par passion. Tu as déjà vu beaucoup de gens se brûler les ailes par passion. Se laisser influencer, monter à la tête par passion. C’est exactement pour cette raison que tu ne souhaites pas vivre de ta passion. Tu veux vivre et faire ta passion dans ta vie. C’est différent à ton sens.
« J’en ai eu quelque-unes oui, où, tu imagines bien, j’ai eu du mal à garder mon sang froid… Un agent de la sécurité a même dû me sortir de force une fois. » “That’s my bitch.” Que tu clames en levant ton verre, le sourire aux lèvres et le regard pétillant. Zoya t’aurait dit le contraire que tu aurais cru que quelque chose ne tourne pas rond chez elle. Mais non, la brune est fidèle à elle-même et c’est plaisant à voir. Enfin, sauf quand elle décide de se mettre en couple. Pour la deuxième fois. C’est beaucoup trop à ton goût. « Une mannequin qui me prenait pour son larbin de service, odieuse avec moi alors que j’ai cédé à tous ses caprices et ses envies pendant deux jours d’affilé. Ce soir-là, elle n’arrêtait pas de me demander d’aller lui chercher des verres, d’aller lui récupérer tel ou tel truc dans sa chambre d’hôtel, de la prendre en photo au bord de la piscine. Et la phrase de trop est arrivée, j’ai vrillé. Elle a fini avec son verre de champagne dans la tronche et je l’ai poussée dans la piscine… Je me suis définitivement pas fait une bonne pub ce jour-là mais… Ça m'a fait un bien fou. » Tu hausses les sourcils. “Pourquoi t’as fait tout ça en premier lieu ? T’es photographe, pas femme à tout faire… Si j’avais su ça, j’aurai aussi profité de tes services.” Que tu dis avec un gloussement amusé par tes propos mots. « Mais comme tu dis, dans ce milieu, les gens usent de faux semblant alors, au final, j’en fais de même et je prends sur moi. C’est un bon exercice en réalité pour apprendre à garder son sang froid. » Tu fronces ton nez, tu tords ta bouche sous la réflexion alors que tes yeux se perdent sur la foule. “Et t’aime faire tout ça ? J’ai un ami d’enfance qui est dans le violon, la musique classique et tout ça. C’est pareil, un monde de faux semblants comme on n’en fait plus.” Il y a aussi eu Dan, mais Zoya a déjà entendu parler de cette histoire - forcément en mal vu la relation tordue que c’était. Autant parler de Malachi, au moins, ça t’apporte des étoiles dans les yeux et le sourire en coeur. “C’est fou ce que vous pouvez accepter par passion. Je pourrai pas.” C’est une conclusion fatale mais véridique. Tu es sociable, extravertie, avenante mais tu n’aimes pas les gens faux. Tu n’aimes pas la femme de Malachi pour cette simple raison. Tu as détesté chaque bimbo de Dan pour cette raison. Tu continueras à détester ces individus bien trop à l’écart de tes principes.
« Bah… genre… six heures du matin. » “SIX HEURES DU MATIN ?” Oopsie. Non, toutes tes sorties avec Malachi, Dan ou James ne t’ont vraiment rien appris. Mais tu n’en as rien à faire alors que tu regardes Zoya avec le plus grand des effarements. « Chuut. » Tu refermes ta bouche qui était ouverte de surprise - oui oui - alors que t’es (vraiment pour le coup) choquée par cette nouvelle alors que la brune t’entraine à l’écart. Qui aurait cru que Zoya était enfait une dictatrice ? Est-ce qu’elle se shoote aux vitamines en plus d’autres choses pour être opérationnelle pour de la marche en ayant si peu dormi ? Mais dans quel monde vit la brune avec qui t’as partagé les murs pendant des mois ? « On est là que pour quelques jours, et clairement, lorsque je suis en voyage c’est comme ça que ça se passe. Pas de temps mort, on profite jusqu’au bout. » Mon dieu, elle sourit - elle est fière d’elle, la garce, pensé sans affection cette fois-ci. « Quoi tu vas pas me dire que tu es trop vieille pour ce genre d’aventures ? Sinon, je peux annuler et dire à notre guide muy caliente que la blonde qui m’accompagne n’est pas apte à faire une excursion dans la jungle… En plus, on va voir une cascade où on pourra s’y baigner et s’y prélasser pendant des heures… C’est comme tu veux. » La baignade n’aurait pas un argument de poids à une autre époque mais là… Heureusement que Zoya te prévient quand même. Même si tu étais préparée à te baigner en venant au Mexique - la mer est si belle, après tout. Tu te renfrognes en levant ton verre à tes lèvres. “Comment quelqu’un de normal peut faire de la marche en ayant à peine dormi six heures ? Non non et non. Pas de bain de minuit ce soir, alors. Tu parles à quelqu’un qui ne fait pas de sport et qui aime prendre son temps. T’aurais dû le noter dans ton emploi du temps serré.” Oh tu boudes alors tu prends une petite mignardise quand un serveur passe devant vous que tu avales directement avant d’en prendre un nouveau. “Ton guide a intérêt à être vraiment muy caliente parce qu’attraper son cul serait une bonne récompense.” Oh Birdie. “T’as un shoot à faire là-bas ou c’est pour le plaisir ?” Il y a un contrat qui va te forcer à te lever aussi tôt pour aller crapahuter dans la jungle ? Qui, histoire que tu puisses les blâmer eux aussi ? |
| | | | (#)Lun 25 Avr 2022 - 21:42 | |
| “That’s my bitch.” La réaction de Birdie fait tourner les yeux de Zoya dans ses orbites mais dire qu’elle n’a pas un petit sourire satisfait au bout des lèvres serait mentir. Elle lui explique alors cette fois où elle a vrillé envers une nana avec qui elle avait signé un contrat sur quelques jours, acceptant tous ses petits caprices, peut-être un peu trop, ce qui explique la question qui suit de la part de la Cadburn “Pourquoi t’as fait tout ça en premier lieu ? T’es photographe, pas femme à tout faire… Si j’avais su ça, j’aurai aussi profité de tes services.” « Parce que ce contrat me rapportait pas mal. Et parce que je savais que grâce à ce contrat, j’aurai d’autres contrats intéressants qui suivraient derrière, et qui me permettrait de me faire connaitre davantage. C’était au temps où je me suis lancée à mon compte » il y a de ça deux ans donc « Mais effectivement, au bout d’un moment, c’est la réflexion que je me suis faite. Vaut mieux tard que jamais non ? » Et puis, un sourire malicieux se dessine alors que son index vient effleurer la peau douce de la jolie blonde « Tout comme il n’est pas trop tard pour toi de profiter de mes services murmure-t-elle alors en se penchant davantage vers son oreille l’avantage même pour toi c’est qu’il n’y a aucune restriction ». Clin d’œil complice et petit rire qui s’échappe d’entre ses lèvres, Zoya se recule ensuite pour porter son verre à ses lèvres et reprendre sur un ton plus sérieux, expliquant ce milieu dans lequel elle évolue et qu’elle cautionne “Et t’aime faire tout ça ? J’ai un ami d’enfance qui est dans le violon, la musique classique et tout ça. C’est pareil, un monde de faux semblants comme on n’en fait plus.” Zoya hausse les épaules « Disons que je n’y prête plus réellement attention. Je joue le jeu mais tout ce que je peux entendre me passe au-dessus en réalité. Et c’est aussi pour ça qu’après un petit moment dans ce genre d’univers et elle désigne discrètement les alentours de son doigt que je m’évade pendant quelques jours dans un endroit totalement opposé, où je peux me retrouver moi-même avec mon cher appareil photo » et s’adonner ainsi à sa véritable première passion dans la photographie, celui d’aller à la rencontre de personnes formidables et prendre la beauté des paysages du pays dans lequel elle se trouve. "C’est fou ce que vous pouvez accepter par passion. Je pourrai pas.” « Ne parles pas trop vite, Cadburry, qui sait, ça pourrait t’arriver aussi » lui répond-t-elle, assez sûre d’elle d’ailleurs « C’est cette passion qui t’anime en premier lieu. Et tant que cette passion est toujours présente, le reste est vraiment secondaire. Crois-moi. Et si ce secondaire devient trop omniprésent, je sais que je peux toujours en changer » et elle n’a pas peur du changement Zoya.
“SIX HEURES DU MATIN ?” Evidemment que ça la fait bondir à la Cadburry l’heure qu’elle lui annonce, celle à laquelle elles vont devoir se lever pour partir à cette excursion que la Lewis leur a organisé. Ca la dissuade pas pour autant, Zoya sortant ses meilleurs arguments pour convaincre la Birdie – enfin la convaincre, disons qu’elle exprime très clairement aussi qu’elle n’aura pas réellement le choix “Comment quelqu’un de normal peut faire de la marche en ayant à peine dormi six heures ? Non non et non. Pas de bain de minuit ce soir, alors. Tu parles à quelqu’un qui ne fait pas de sport et qui aime prendre son temps. T’aurais dû le noter dans ton emploi du temps serré.” « T’es vraiment pas drôle et rabat-joie pour le coup, Cadburry. Je ne suis pas plus sportive que toi mais je peux te garantir que demain, tu me remercieras pour cette fabuleuse journée que l’on va passer ». Elle en est persuadée parce que même s’il y a quelques efforts à fournir, à la clé ça en vaut vraiment la peine “Ton guide a intérêt à être vraiment muy caliente parce qu’attraper son cul serait une bonne récompense.” « Si tu veux attraper son cul comme tu dis, il va falloir arrêter de râler déjà. Et puis… la malice reprend place sur ses traits alors qu’elle se saisit à son tour d’un mini four on partage, je te préviens ». Elle lui adresse un clin d’œil avant de porter son verre aux lèvres “T’as un shoot à faire là-bas ou c’est pour le plaisir ?” Dire que Zoya n’hésite pas quant à la réponse qu’elle doit donner à ce moment là serait mentir « Pour le plaisir » C’est la vérité, elle sait qu’elle va surement faire bondir la Birdie qui va encore moins comprendre le choix de Zoya de leur imposer des conditions aussi strictes. « Come on, Cadburn, don’t be so grumpy Je te promets tu ne le regretteras pas. Tu me fais confiance ou pas ? » Zoya tend alors sa main à l’encontre de son amie « Let’s make a deal Si tu estimes que cette sortie a été affreuse, tu auras le droit d’exiger absolument tout ce que tu veux de moi pour le reste du séjour. En revanche, tu te dois d’être honnête, interdiction de prétendre que c’était nul à chier juste pour obtenir ta récompense » celle où Zoya cédera à tous ses caprices. Elle attend alors que Birdie se saisisse de sa main pour sceller le pacte.
@Birdie Cadburry |
| | | | | | | | (Birdoya #4) Cancun, here we are! |
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