ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 682 POINTS : 0
Nerveuse, Mari descendit de sa voiture afin de rejoindre Sergio au point de rendez-vous qu'ils s'étaient fixés. Lorsque la mexicaine lui avait proposé de participer au stage de survie elle l'avait fait de manière si convaincante que son ancien mari avait accepté. Sur le moment cela lui avait semblé être une évidence. Maritza cherchait par tous les moyens à se changer les idées mais aussi – et surtout – à resserrer les liens qu'elle entretenait avec sa famille. Au départ, elle n'avait proposé les ateliers qu'à ses enfants – pour Cesar elle le lui avait imposé sans qu'il ne le sache – mais rapidement l'idée de passer du temps avec Sergio loin de leur famille, de leurs ennuis et de leurs devoirs de parents lui avait effleuré l'esprit. Depuis que son ex était revenu vivre sous son toit, Maritza le redécouvrait de jour en jour. S'ils n'étaient pas toujours d'accord, s'il leur arrivait de s'engueuler, un lien existait toujours entre eux. Une aventure comme celle-ci avec l'homme d'affaires semblait être une idée parfaitement lumineuse afin de recréer une sorte de complicité ou au moins une amitié sincère.
Son sac à dos glissé sur l'épaule, Mari approcha de l'agent qu'elle voyait de dos. Un sourire délicat et ravi éclaira son visage en constatant qu'il avait tenu parole et qu'il était bel et bien venu. Cette joie fut néanmoins de courte durée lorsqu'elle vit Etna détaler au coin d'un virage. Un soupire lui échappa alors qu'elle arrivait à hauteur de Sergio : « T'as pas pu t'empêcher de l'amener hein ? » maugréa-t-elle. Elle se pinça les lèvres, prenant sur elle pour ne pas en dire plus. Si elle commençait déjà à lui faire des reproches c'était sûr qu'il allait faire demi-tour et rentrer chez lui. Ils se mirent alors en marche jusqu'au stand où le vieux Bear leur expliqua les grandes lignes pour construire un abri et y passer la nuit. Maritza fronça les sourcils et se passa une main dans la nuque, quelque peu gênée : « Oh, on doit dormir dedans... » murmura-t-elle plus pour elle-même que pour Sergio. Elle n'avait pas envisagé ça sous cet angle mais refusant de faire machine arrière, haussa les épaules comme si cela ne lui posait pas le moindre problème. Les autres groupes qui étaient à proximité d'eux s'éloignèrent dans les bois qui les entouraient. Elle se tourna vers le cinquantenaire et lui dit : « J'espère que t'as amené ton couteau-suisse... » Cela lui paraissait évident, elle secoua le sac qu'elle tenait et précisa : « J'ai pris à boire et à manger... » Mais rien qui puisse réellement les aider à construire une quelconque cabane. Ils commencèrent à s'enfoncer dans la nature alors que la brune cherchait l'endroit parfait où camper. Etna continuait de courir autour d'eux passant par moments devant Maritza qui n'avait de cesse de sursauter. « T'aurais pu lui apprendre à chasser, elle nous aurait ramené un lapin... » le petit sourire en coin qu'elle arborait indiquait qu'elle plaisantait. Jamais ô grand jamais elle n'aurait pu cuisiner un animal qu'Etna aurait tué pour eux ! Au bout de quelques minutes la mexicaine s'arrêta, fit un tour sur elle-même et demanda : « Alors MacGyver, t'en penses quoi ? ». Maritza misait clairement tout sur Sergio concernant leur survie. S'il comptait sur elle pour leur construire un abri, ils n'étaient pas rendus...
made by black arrow
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
Un atelier de survie. Sergio n’avait aucune idée de ce avait pu lui passer par l’esprit pour décider de prendre quatre jours pour errer en pleine cambrousse à faire les ateliers de Bear Grylls. Il ne niait pas l’utilité de ceux-ci, non. Mais à moins d’une apocalypse imminente, le mexicain se contenterait parfaitement de l’attirail que l’on pouvait trouver dans les magasins de randonnée plutôt que de construire lui-même sa cabane, de chasser lui-même sa nourriture ou de construire son rafiot. Maritza lui avait vendu l’activité comme une opportunité de solidifier les liens parmi les Gutiérrez mais maintenant qu’il y était, Sergio voyait surtout les milles façons dont l’activité risquait de tourner au vinaigre. Cela ne l’empêcha pas de sourire doucement en voyant son ex-femme apparaître à ses côtés. Qui, au lieu de le saluer, remarqua la présence d’Etna, qui était bien trop ravie d’être de sortie. « Tu la préfères laissée seule dans la maison ? » Il répondit en retour, sourire en coin. Il ne cherchait même plus à résoudre cette hostilité envers l’animal, presque résigné sur le fait que Mari ne tolérerait jamais la chienne. Tant pis, car la bête n’irait nulle part. Elle pourrait même leur être utile durant ces quelques jours. Ils se présentèrent au stand et les consignes furent données. Sur papier, cela ne semblait pas si terrible. Il s’agissait juste de faire une cabane. Le regard de Sergio se perdait déjà sur les bois autour d’eux, cherchant la matière première, loin de songer à la nuit qui les attendrait. « Tu as oublié ton pyjama ? » Il souffla dans une taquinerie amusée. Ils étaient partis pour une nuit de camping qui ne serait certainement pas des plus confortables. Mais il était prêt à se plier au jeu et quand les équipes se mirent à se disperser, il était prêt à faire de même. « Couteau-suisse, trousse de secours, fil de pêche, couverture de survie, lampe frontale, nourriture et eau. Je ne savais pas ce qui serait considéré comme de la triche ou pas, donc j’imagine que ça suffira pour faire avec les moyens du bord. » Il n’avait pris ni boussole, ni briquet, ni sac de couchage en bon joueur qu’il était. Il se sentait plutôt confiant pour le moment, cherchant déjà la trace d’un cours d’eau pour potentiellement s’installer à proximité. A elle seule, Etna faisait fuir tous les dangers, et Sergio dut se retenir de s’amuser trop fort des sursauts de son ex-femme. « Oh je suis sûr qu’elle pourrait être utile. Mais il faudrait réussir à faire un feu avec ça. » Il croyait en eux pour la cabane. Pour le feu, il avait peur de devoir faire face à une triste réalité dans la pratique. Ils avaient en premier lieux besoin d’un espace où s’installer. « Je pense que ça a l’air assez dégagé par ici. Et j’entends un clapotis donc il doit y avoir de l’eau plus loin. Il faut juste essayer de se faufiler par là… » Les arbres avaient laissé place à un taillis et s’il pouvait voir en face une zone dégagée qui pourrait être idéale pour poser leurs affaires, il fallait passer par ces espèces de buissons touffus mais fragiles pour y accéder. D’un coup d’épaule, Sergio fit ployer le buisson, assez pour se faufiler à travers et accéder à la zone qu’il avait repérée.
Win : L’endroit était parfait, effectivement. Entouré d’arbre mais assez dégagé pour faire une cabane et un feu en toute sécurité, des potentielles ressources à proximité et le bruit de l’eau pas loin. « On peut s’installer ici, viens voir ! » Il fit quelques pas, confiant dans son choix. « Plus qu’à se mettre à la cabane. »
Close : Si ce qu’il découvrit derrière le buisson lui plu particulièrement, il aurait dû faire attention où il mettait les pieds car un petit ravin l’attendit à la sortie, lui faisant perdre l’équilibre et dégringoler. Ce n’était pas assez profond pour qu’il se blesse sérieusement, mais bien assez pour qu’il grogne un « Joder » à l’atterrissage, juron répété quand Etna le suivit droit dans le buisson, lui atterrissant droit dessus. « Prend le buisson de droite et attention, c’est pentu. Je viens t’aider. » Il se releva pour venir se présenter à la descente, prêt à aider Mari si besoin. « On peut s’installer ici. On devrait avoir de quoi monter la cabane. » Il agita son épaule dans une grimace. Le montage de cabane allait être fun.
Fail : Si ce qu’il découvrit derrière le buisson lui plut particulièrement, il aurait dû faire attention où il mettait les pieds car une immense flaque de boue l’accueillit. Il s’y vautra de tout son long, l’humidité vaseuse venant le glacer jusqu’aux os. « Joder. » grogna-t-il avec humeur en peinant à se relever. Pour en rajouter une couche, Etna décida de le suivre, sautant à son tour dans la boue. Cette escapade commençait bien. « Passe par le buisson de droite ! » Au moins la zone était idéale. « On devait commencer par le feu. » marmonna-t-il.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Dernière édition par Sergio Gutiérrez le Lun 17 Juil 2023 - 14:50, édité 1 fois
LE DESTIN
l'omniscient
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31457 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
Le membre 'Sergio Gutiérrez' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' :
Maritza Gutiérrez
la cheffe de tribu
ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 682 POINTS : 0
Lorsque Sergio lui demanda si elle aurait préféré savoir la chienne seule dans sa maison, Maritza roula des yeux. La réponse était évidemment négative ! La seule chose pire que d'avoir Etna dans ses pattes était de la savoir seule à vagabonder dans sa demeure. Dieu seul savait ce que la bête aurait pu faire comme dégâts... Elle ne répondit donc rien, bien consciente que la chienne resterait toujours un sujet de discorde entre eux et que si elle désirait que tout se passe bien, il valait mieux qu'elle s'abstienne de parler de l'animal. Sergio, qui semblait d'humeur taquine – ou provocatrice – se moqua gentiment de Mari en lui demandant si elle avait oublié son pyjama. Elle lui mit un petit coup de coude au niveau des côtes et marmonna : « Non, mes boules quies. » Et elle lui tira la langue pour ponctuer sa phrase. Entendre les ronflements de Sergio était en réalité le cadet de ses soucis. Ce qui angoissait un peu plus la mère de famille résidait dans le fait de dormir dans une cabane qu'ils auraient eux-mêmes montée, seuls au milieu des bois. Cette pensée la fit frissonner. La présence de son ancien mari était à la fois rassurante et terrifiante. S'ils vivaient à nouveau sous le même toit et s'ils avaient déjà dormi ensemble à des maintes reprises, Maritza ne savait pas si elle pourrait gérer ce genre de rapprochements dans l'état des choses actuelles.
Alors qu'elle venait de demander à Sergio s'il avait pensé à prendre un couteau-suisse, elle écarquilla les yeux en entendant la liste de tous les objets qu'il avait pris. Plus il parlait et énumérait ce que contenait son sac plus la bouche de Maritza n'avait de cesse de s'ouvrir. Lorsqu'il conclut de manière parfaitement naturelle : « Je ne savais pas ce qui serait considéré comme de la triche ou pas, donc j’imagine que ça suffira pour faire avec les moyens du bord. » la brune ne put s'empêcher de rire. Elle était persuadée que la moitié des objets qu'il avait emportés étaient recensés dans la colonne : « interdiction » mais elle était bien trop soulagée de savoir qu'il avait pensé à tout cela pour faire la moindre remarqua. Après tout ils n'étaient pas venus ici pour mourir et souffrir. Qu'il ait prit une trousse de secours ne les aiderait pas à créer un abri pour la nuit.
Ils marchèrent en silence jusqu'à ce que Mari s'exaspère quelque peu des cabrioles que faisaient la chienne juste sous son nez. Elle voyait bien que cela amusait Sergio. Lorsqu'il lui fit la remarque concernant le feu qu'ils devraient allumer, la matriarche se figea et demanda : « Je suppose que t'as pas pris de briquets ou d'allumettes... » elle savait déjà la réponse mais un infime espoir demeurait en elle : Peut-être avait-il oublié de le préciser dans sa liste. Devant son air, elle haussa les épaules et faussement sûre d'elle, affirma : « C'est pas grave, je nous allumerai un feu. » Elle aimait croire qu'elle en était capable mais elle savait qu'il y avait de grandes chances pour que cela soit un total échec. Sergio prit les choses en main concernant l'endroit où il s'installerait. Il était si sûr de lui, si déterminé que Maritza l'admirait secrètement. Pas question qu'il n'aperçoive les petits étoiles qui illuminaient son regard. Lorsqu'il lui expliqua qu'il y avait de l'eau à proximité elle tendit l'oreille et fut surprise de constater qu'il disait vrai. Se montrant galant, il choisit de lui ouvrir la voie. Un cri échappa à la mexicaine lorsqu'elle vu son ancien compagnon dégringoler un peu plus bas. « Ca va ?! » s'inquiéta-t-elle. Sa peur soudaine disparut aussi vite qu'elle était apparue lorsqu'elle vit Etna sauter sur son maître. Il avait voulu amener sa chienne, il devait désormais assumer. Sergio se releva rapidement, gardant bonne figure. C'était trop tard, Mari avait bien vu sa cascade ridicule – pas aussi ridicule que celle de Diego lors de l'épreuve d'orientation – mais pour ne pas le vexer elle se retint de se moquer et écouta attentivement les conseils qu'il venait de lui donner. Elle descendit doucement la pente, glissa quelque peu sur la fin et atterrit avec délicatesse contre Sergio qui l'attendait pour la réceptionner. « Montre-moi ton épaule » ordonna-t-elle alors qu'il grimaçait. Devant le refus d'obtempérer, Mari croisa les bras sous sa poitrine et marmonna : « Tu comptes faire quoi avec un seul bras Robocop ? ». Pas sûre que le petit surnom plaise réellement à Sergio. Maritza lui adressa un tendre sourire et l'obligea à s'asseoir sur un rocher. « Laisse-moi jeter un coup d'oeil » murmura-t-elle. Délicatement elle tenta de manipuler le bras de son ancien amant et constatant qu'il pouvait la bouger lui dit : « Essaie de ne pas forcer dessus... » Elle regarda autour d'elle afin de repérer des branches d'arbre qui pourraient leur servir. Elle aperçut un arbre non loin d'eux et avec détermination s'approcha pour tenter de grimper.
Les dés ont parlé:
WIN : Avec agilité Maritza parvint à grimper dessus. A quelques mètres du sol, elle fit tomber les branches les plus petites en direction de Sergio : « Ca pourra toujours nous servir pour le feu. ». Après quelques minutes à récolter branches et feuilles, Mari sauta tel un félin aux côtés de Sergio.
SO CLOSE : L’ascension de l'arbre était d'un ridicule sans nom. Au bout de longues minutes Mari parvint à grimper à quelques centimètres mais ce n'était clairement pas suffisant pour atteindre les branches nécessaires. Elle marmonna : « Merde j'ai oublié de prendre le couteau. » Désabusée, elle redescendit et retourna bredouille auprès de Sergio.
FAIL : Maritza échoua à quelques reprises mais fière comme elle était, elle n'abandonna pas. Après insistance, elle parvint à monter à une hauteur assez respectable. Avec horreur elle constata qu'elle n'avait rien pris pour couper les branches et qu'elle n'avait pas assez de force pour les casser. Elle regarda avec dépit Sergio et alors qu'elle s'apprêtait à redescendre, se retrouva coincée dans les airs, incapable du moindre mouvement. Son cœur se mit à battre très vite alors qu'elle lui dit honteuse : « Je peux pas redescendre. »
made by black arrow
LE DESTIN
l'omniscient
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31457 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
Le membre 'Maritza Gutiérrez' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' :
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
Sergio n’avait rien d’un apprenti survivaliste. Il était souvent parti randonner mais toujours avec du matériel de pointe. Alors la perspective de devoir se passer de cela pour faire avec les éléments offerts par la nature risquait d’être un sacré défi. S’il avait pris quelques essentiels, il avait néanmoins décidé de jouer le jeu, renonçant à ce qui aurait pu paraître le plus utile. Du feu, par exemple. « Ca aurait été trop simple, non ? » Il regretterait probablement cette décision une fois qu’ils y seraient, n’ayant qu’une vague idée de comment créer une étincelle à partir de bois et de pierre. Mais l’assurance de Mari le fit sourire, allumant cette lueur de défi dans son regard. C’était tout elle, cette capacité à penser qu’elle se débrouillerait quoiqu’il advienne. « Hâte de voir ça. » Elle pourrait peut-être le surprendre. De toute façon pour l’heure, ils avaient besoin de trouver où s’installer et aussi vaste que soit la forêt, la stratégie semblait de mise. Sergio pensait avoir bravé tous les éléments quand il découvrit ce bout de terre dégagé, il avait juste omis l’existence de la gravité et du vide. La chute ne fut heureusement pas vertigineuse, juste douloureuse à l’arrivée. Un rappel désagréable qu’il n’avait plus vingt ans. Les 33kg de doberman qui lui atterrirent sur le dos n’aidèrent pas le constat. « Ca va. » grogna-t-il en se relevant. Il n’était pas du genre à se plaindre mais ne pouvait pas nier que cette chute dès le départ n’allait pas aider l’activité du jour. Il se réconforta avec l’idée qu’au moins, Maritza arriva en bas de la pente sans la moindre égratignure. Qu’elle veuille toucher à son épaule lui fit avoir un pas de recul. « Ce n’est pas nécessaire, c’est un petit choc mais rien de grave. » Sauf que son côté maternel semblait aussi s’appliquer à lui. « Il fonctionne toujours, t’en fais pas. » Il était sur le point de l’inciter à passer à la suite du programme mais il fallut qu’elle ait ce sourire qui lui faisait perdre pied, et qu’elle le force à s’asseoir. Il eut un soupir résigné alors qu’elle se mit à le manipuler. Trop fier, il retint la moindre grimace jusqu’à ce qu’elle semble satisfaite. « Je te dis Mari. Ça va. » Il serra sa main dans un geste tendre, un léger sourire aux lèvres. Puis, la brune lui échappa, ayant visiblement une idée dans le crâne. Il ne comprit pas immédiatement ce qu’elle essayait de faire, jusqu’à la voir grimper à un arbre. Il fronça les sourcils en s’approchant du pied de l’arbre, le mettant aux premières loges pour voir son ex-femme se figer et, selon lui, doucement paniquer. Coincée. « Mais qu’est-ce que t’essayais de faire ? » demanda-t-il, perdu. « Les branches sont trop épaisses. J’ai un couteau suisse, pas une machette. Il faudrait trouver des arbres morts ou du bois au sol. » Erreur stratégique de leur part à tous les deux, mais il se tut en réalisant qu’il devait la secourir, maintenant. « Pendant que t’es là-haut, regarde autour de toi. Tu vois le courant d’eau ? » Autant en profiter, non ? Et pendant qu’elle cherchait, Sergio évaluait la situation. S’il grimpait à son tour, il n’était pas certain que la branche les supporte tous les deux. Tout comme il ne se sentait pas capable de grimper avec son épaule en vrac. « Regarde l’arbre là-bas. » Il tendit le doigt vers un arbre déraciné qui penchait, son poids entier se reposant sur d’autres arbres. Il n'était pas extrêmement épais, ils pourraient le transporter et couper ses branches. Mais s’il devait être honnête, c’était davantage une distraction pour ce qu’il s’apprêtait à faire. « MARI ATTENTION !!! » Sergio cria en pointant le haut de l’arbre du doigt, assez fort pour décontenancer son ex-femme. Cela eut l’effet escompté, elle perdit l’équilibre et bascula.
Win : Aussi impressionnant que cela puisse paraître, elle n’était pas montée bien haut et en se plaçant sous la branche, il put la réceptionner dans ses bras. Il grogna de douleur à cause de son épaule mais au bout du compte, ils étaient saufs. Pour en rajouter une couche, la branche sur laquelle était posée Mari ploya au passage, tombant à côté d’eux. C’était déjà ça de pris. « Désolé pour ça. On travaille en équipe maintenant, ok ? »
Close : Aussi impressionnant que cela puisse paraître, elle n’était pas montée bien haut et en se plaçant sous la branche, il put la réceptionner dans ses bras. Il grogna de douleur à cause de son épaule mais au bout du compte, ils étaient saufs. Ce fut sans compter sur la branche où se reposait Maritza qui décida de se briser elle-aussi, achevant sa chute sur le crâne de Sergio. « Joder. » Il se frotta le crâne, agacé mais résigné. « Désolé mais quelle idée t’as eu aussi ? On travaille en équipe maintenant. Ça nous évitera ce genre de scénario. »
Fail: Si la branche ne paraissait pas bien haute, Sergio avait clairement sous-estimé les lois de la gravité pour la deuxième fois de la journée. Il réceptionna Maritza dans ses bras mais perdit l’équilibre à son tour, se rétamant lamentablement au sol. De quoi lui couper le souffle sous le choc. Pour ne rien aider, la branche tomba dans la foulée, cognant le haut de son crâne dans un bruit sourd. « Joder de mierda. » marmonna-t-il en se frottant la tête. « On n’escalade plus rien. On a plus l’âge pour ces conneries. » décida-t-il, mauvais, le corps endolori.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
LE DESTIN
l'omniscient
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31457 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
Le membre 'Sergio Gutiérrez' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' :
Maritza Gutiérrez
la cheffe de tribu
ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 682 POINTS : 0
A les observer de plus près, difficile d'imaginer que ces deux-là étaient divorcés depuis des années. Taquineries, sourires, conseils, attentions étaient de mises. Ils se retrouvaient dans une situation plus que loufoque, seuls, au milieu des bois mais pourtant ils parvenaient à garder le sourire. Les difficultés qui s'annonçaient auraient pu les freiner mais bien au contraire, l'envie de bien faire et de réussir semblait prendre le pas sur tout le reste. Mari avait bien remarqué que Sergio doutait de ses capacités à allumer un feu mais elle ne s'en formalisa pas. Elle préférait croire qu'au moment fatidique un éclair de génie ou bien une chance inouïe la frapperait et qu'elle parviendrait à créer une braise en un claquement de doigts. La chute de Sergio aurait pu tout faire basculer dans une ambiance plus moribonde. C'était d'ailleurs ce qu'avait cru Maritza devant l'air renfrogné et sans doute un peu vexé que son ancien amant avait pris. Le sourire qu'elle lui avait offert avait apaisé la situation et il s'était laissé faire. La mexicaine savait que son comportement surprotecteur pouvait parfois être agaçant pourtant c'était aussi ce qui faisait partie de son charme. Sergio la rassura en prenant tendrement sa main et en lui disant qu'il allait bien. Pensant qu'il disait la vérité, la mère de famille s'était sentie pousser des ailes, sans vraiment réfléchir elle avait foncé tête baissée et la voilà qui désormais se retrouvait perchée dans un arbre. Alors qu'elle constatait avec effroi que son idée était complètement stupide – elle n'avait pas de machette et était incapable de casser une branche avec son poids plume – elle s'apprêta à redescendre mais fut soudainement prise de panique. Elle avait l'impression d'être beaucoup trop haut. Crispée sur la branche elle baissa la tête lorsqu'elle entendit Sergio lui demander : « Mais qu’est-ce que t’essayais de faire ? » Elle soupira et lui lança un regard noir. « Je... » elle s'arrêta net, consciente que ce qu'elle avait fait n'avait aucun intérêt si ce n'était se mettre en danger. Toujours accrochée tel un koala, la mexicaine ne bougeait plus. Elle ignora volontairement ce que lui disait Sergio. Il avait raison sur toute la ligne, elle le savait mais c'était trop tard pour lui faire une leçon sur les branches et les machettes. « Pendant que t’es là-haut, regarde autour de toi. Tu vois le courant d’eau ? » Bonne idée ! Mari se redressa quelque peu – sans jamais lâcher le tronc – et un immense sourire apparut sur son visage. Elle leva la main droite et pointa un peu plus loin l'horizon. L'eau n'était qu'à une centaine de mètres. « Oui, c'est juste... » Elle n'eut pas le temps de terminer sa phrase qu'elle entendit Sergio hurler : « MARI ATTENTION !!! » Le cri poussé par son ancien compagnon la fit sursauter avec force. Elle lâcha le tronc, bascula malencontreusement en arrière et hurla le temps de sa chute – qui ne dura que quelques secondes – avant d'atterrir dans les bras de Sergio. Le corps du cinquantenaire ne supporta pas le poids de la brune puisqu'il s'écroula. Le cœur de Mari battait à tout rompre et avant même qu'elle ne puisse réagir elle vit une grosse branche tomber sur le crâne de Sergio. Ses yeux s'écarquillèrent et tandis qu'il jurait allongé sur le sol elle plaça ses deux mains de chaque côté de sa tête, appuyées sur le sol. A quelques centimètres du visage de Sergio elle acquiesça en silence lorsqu'il lui affirma qu'ils ne devaient plus prendre de risques inconsidérés en grimpant partout. Elle aurait voulu l'engueuler pour la frayeur qu'il lui avait faite mais le voir allongé de la sorte la tétanisait. Avec tendresse elle caressa sa joue, son regard planté dans le sien et murmura : « Tout ce qui se passe en forêt reste en forêt. » Pas question que les enfants apprennent quoi que ce soit de leurs péripéties. La situation était déjà bien assez gênante comme cela. « Ne bouge pas. Je vais regarder ce qu'il y a dans la trousse de secours que tu as amenée. » Mari se redressa et alla chercher la trousse de secours qui se trouvait dans le sac à dos de Sergio.
Les dés ont parlé:
WIN : Elle fut satisfaite de voir que son ancien compagnon avait soigneusement préparé ses affaires. En fouillant un peu elle trouva une crème à appliquer sur son front en cas de choc. Avec un peu de chance il n'aurait ni bosse ni bleu. Elle lui appliqua avec délicatesse, s'assurant de ne pas lui faire mal.
SO CLOSE : Le contenu de la trousse de secours n'était pas des plus pertinents mais Mari parvint à trouver une bombe de froid. Pas sûr que ce soit très efficace mais cela soulagerait peut-être la douleur sur le moment. Prenant garde à ne pas en mettre dans les yeux de Sergio, elle lui aspergea le front.
FAIL : Mari fouilla mais peu satisfaite du contenu de la trousse, renversa le tout sur le sol. « Mais t'as rien là-dedans ! » Contre toute attente elle s'écria : « Ah si ! » La pommade ! Elle prit le tube et constata avec horreur qu'il avait explosé à cause des nombreuses chutes de Sergio. « Aïe ! » s'écria-t-elle. Elle fronça les sourcils en regardant sa main, elle venait de se couper le doigt avec un objet non identifié qui trainait dans la trousse. Penaude elle lui jeta un coup d'oeil, lui montra au loin sa main et marmonna : « Faut vraiment qu'on aille jusqu'au cours d'eau. ».
made by black arrow
Cry me a river♛
You don't have to say, what you did, I already know, I found out from him Now there's just no chance, for you and me, there'll never be
❝Cry me a river ; Justin Timberlake❞
LE DESTIN
l'omniscient
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31457 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
Le membre 'Maritza Gutiérrez' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' :
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
Sergio savait pertinemment que ce choix de stratégie pour faire redescendre Maritza était risqué et aurait pu mal tourner. Mais il n’avait pas tellement d’autres options ; son épaule lui faisait trop mal pour grimper, et la hargne que la brune mettait à s’attacher au tronc montrait bien qu’aucune parole rassurante ne pourrait convaincre cette peur. S’il était admiratif de son enthousiasme et de sa hardiesse, il ne pouvait que constater à quel point son idée d’escalader cet arbre était stupide. A part pour prendre de la hauteur, ils n’avaient juste pas le matériel adéquat pour tirer quoique ce soit de ce fichu arbre. Les branches étaient trop épaisses, l’écorce trop fine. Au bout du compte, tout ce qui comptait, c’était que Maritza soit saine et sauve. Le patriarche ne put pas dire apprécier le moment quand le poids de son ex-femme s’écrasa sur lui, lui faisant perdre son équilibre au passage. Le coup de la branche, quant à lui, était à mi-chemin entre l’ironie et la moquerie. Tout son crâne sembla résonner sous l’impact, un choc tout sauf agréable. Si l’homme avait accepté de suivre sa famille dans cette aventure absurde, il commençait sensiblement à regretter cette décision. Se montrer de bonne composition dans ces circonstances ne venait pas naturellement. Mais il ne voulait pas ruiner ses chances de resserrer les liens avec son ex-femme. Surtout pas quand la situation les menait à se retrouver dans cette position. Il en oublia son mal de crâne à voir la brune si proche de lui qu’il pouvait sentir son souffle contre son visage. Ses mains contre ses joues suffirent à faire retomber tout énervement. Il s’était juste inquiété pour elle. Presque instinctivement, il leva son bras pour venir balayer une mèche de cheveux qui lui barrait la figure. Ses mots firent manquer un battement à son cœur et naître un léger sourire. S’ils n’avaient pas besoin de reparler de ce qui se passerait ici, alors… Il releva doucement sa tête, ses lèvres à la recherche de celles de la brune. Mais avant qu’il ne puisse les atteindre, elle s’était déjà relevée, l’abandonnant au sol. Le rappel à la réalité mêlé à la déception furent brutaux et il se redressa sur le sol, sa fierté quelque peu en miettes. L’attention de Maritza n’avait déjà plus la même saveur quand elle ramena la pommade ayant pour seul but d’atténuer les chocs. « Je ne suis pas certain que cela serve vraiment. » Pour autant, il se fit plutôt docile, lui laissant appliquer la crème si cela la rassurait. Son front était définitivement endolori, mais rien d’insurmontable. Une bosse ne l’empêcherait pas de construire une cabane contrairement à son épaule. « Merci. » finit-il par souffler, reconnaissant malgré tout. Finalement, une fois les sois terminés, ils purent remballer la trousse de secours et se remettre en quête de bois. Sergio reporta son attention sur l’arbre qu’il avait vu un peu plus tôt. « Les branches ont l’air assez fragilisées. On pourrait les récupérer. Si on arrivait à faire tomber le tronc, on pourrait aussi s’en servir comme fondation pour la cabane… » Il avisa la situation. L’arbre était déjà déraciné et ployait. Il n’y aurait qu’à le bousculer un peu pour le faire tomber. Il était assez penché pour qu’ils ne risquent pas de se retrouver sur la trajectoire, et assez fin pour pouvoir vraiment servir. « J’imagine que ce n’est pas escalader s’il est déjà partiellement déraciné. » L’homme finit donc par enjamber l’arbre et s’y asseoir de tout son poids. Sans surprise, le poids du mexicain acheva de faire tomber l’arbre au sol dans un craquement net.
Win : Non seulement le tronc pourrait servir de solide fondation pour la cabane mais en plus, les quelques branches étaient prêtes à être détachées pour monter le toit. « Bingo. Plus qu’à traîner ça là-bas ! »
Close : Malheureusement, l’odeur et la manière dont le bois se décomposa indiqua rapidement que l’arbre avait eu le temps de pourrir, n’étant plus d’aucune utilité. « Avec un peu de chance, on devrait pouvoir sauver quelques branches sur celui-là… »
Fail : Malheureusement, l’odeur et la manière dont le bois se décomposa indiqua rapidement que l’arbre avait eu le temps de pourrir, n’étant plus d’aucune utilité. C’était une perte de temps et comme pour en rajouter une couche à la galère, une sensation de démangeaison le prit au niveau des mains. Baisser les yeux indiqua à Sergio ce qu’il redoutait : des fourmis rouges n’avaient visiblement pas apprécié d’être dérangées. « Mierda ! » lâcha-t-il en bondissant du tronc, se frottant maintenant frénétiquement les bras pour chasser ces horreurs.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
LE DESTIN
l'omniscient
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31457 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
Le membre 'Sergio Gutiérrez' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' :
Maritza Gutiérrez
la cheffe de tribu
ÂGE : 51 ans SURNOM : Mari, Za' STATUT : Divorcée. Elle a été mariée pendant 10 ans avec Sergio. En 2002 ils signent les papiers du divorce mais depuis la mère de famille n'a jamais refait sa vie. MÉTIER : Femme de ménage, nourrice, cuisinière, en gros, elle est bonne à tout faire. LOGEMENT : #32 Parkland Boulevard (Spring Hill) POSTS : 682 POINTS : 0
L'espace d'une seconde Maritza avait cru que Sergio allait l'embrasser. Lorsqu'il avait remis une mèche de cheveux derrière son oreille puis s'était relevé vers elle, elle avait senti des papillons battre des ailes dans le creux de son ventre. C'était à cet instant-là qu'elle s'était redressée, préférant s'occuper des soins de Sergio plutôt que de s'aventurer sur une piste bien plus dangereuse. Avait-elle eu envie qu'il l'embrasse ? Si on lui avait posé la question elle aurait nié avec fermeté pourtant les battements de son cœur plus rapides semblaient indiquer tout le contraire. La mexicaine avait profité de la fouille de la trousse de secours pour retrouver ses esprits et faire disparaître le rouge qui lui était monté aux joues. Comme pour son épaule Sergio émit quelques objections peu désireux de voir son ancienne compagne prendre soin de lui, mais comme pour son épaule, il finit par se laisser faire. Une fois la crème appliquée, Mari rangea le tube dans la trousse et soupira longuement. Ils n'avaient toujours pas réussi à faire quoi que ce soit. Sergio qui semblait bien décidé à poursuivre – et heureusement parce que la mexicaine avait déjà envie de rendre les armes – jeta un coup d'oeil vers l'arbre qu'il avait repéré plus tôt. Elle hocha la tête lorsqu'il lui expliqua son plan. C'était loin d'être bête. Soudainement Maritza eut l'espoir que cela fonctionnerait, qu'ils parviendraient enfin à progresser dans la construction de cette fichue cabane. Elle observa l'agent se lever et se diriger vers l'arbre qui était déjà dans un sale état. « J’imagine que ce n’est pas escalader s’il est déjà partiellement déraciné. » Elle leva les yeux au ciel et d'une voix quelque peu rieuse répondit : « Très drôle ça... » Evidemment cela n'avait rien à voir avec l'arbre qu'elle avait escaladé sans la moindre raison valable. Elle s'approcha à son tour, constata avec satisfaction que l'arbre avait ployé sous le poids de Sergio mais grimaça en constatant que le tronc était en réalité pourri. Ils n'auraient donc jamais la moindre chance ? « Avec un peu de chance, on devrait pouvoir sauver quelques branches sur celui-là… » Souhaitant rester optimiste, Maritza se pencha et analysa les branches. Si le tronc était inutile certaines branches pourraient tout de même leur servir. « Je pense que tu peux couper quelques branches, je vais aller chercher des grandes feuilles un peu plus loin. » D'un signe de tête, elle lui montra un arbre dont les branches tombaient assez bas et dont les feuilles feraient un parfait matelas, à moins qu'elles ne leur servent à faire un toit. Appliquée Mari ramassa autant de feuilles qu'elle le pouvait. Lorsque ce fut fait elle revint vers Sergio les bras chargés et lui dit : « Suis-moi, on va s'installer vers le cours d'eau que j'ai vu depuis mon arbre. » et elle lui tira la langue pour appuyer sur le fait que quelque chose de positif était tout de même sorti de son acte parfaitement ridicule. Ils avancèrent côté à côté, Etna se tenant non loin d'eux. La chienne s'était quelque peu calmée même si elle s'agitait dès qu'elle voyait un insecte passé. « Je suis contente que tu sois avec moi. » avoua-t-elle alors qu'ils arrivaient enfin près de l'eau. Elle déposa ce qu'elle avait trouvé dans un coin et proposa : « Je vais nettoyer un peu la zone. » Faire du ménage... Encore et toujours. A l'entendre on aurait pu croire qu'il s'agissait de sa passion mais c'était loin d'être le cas.
Les dés ont parlé:
WIN : Maritza prit une longue feuille et commença à balayer le sol. Au bout de quelques minutes elle avait dégagé un coin où ils pourraient s'installer pour la nuit. Tout semblait enfin rentrer dans l'ordre et les mésaventures s'étaient enfin éloignées. « Tu veux qu'on commence à faire la base ? » demanda-t-elle sans vraiment savoir par où ils devaient commencer.
SO CLOSE : Maritza se mit à nettoyer aussi bien qu'elle le pouvait l'endroit. Après de longues minutes d'acharnement elle constata que quelques racines dépassaient du sol et que certains cailloux étaient incrustés dans le sol. Elle finit par abandonner en marmonnant : « Je suppose qu'on devra se contenter de ça niveau confort. » Une nuit, ils devaient tenir une nuit.
FAIL : Maritza enleva le maximum de choses qu'elle pouvait mais force était de constater que le sol en plus d'être quelque peu en pente était composé de trop de cailloux et de racines pour qu'ils ne puissent vraiment s'installer là. Fatiguée de changer de place elle marmonna : « On fera avec. » et alors qu'elle se tournait vers Sergio elle vit Etna foncer dans le tas de feuilles qu'elle avait ramassé. Les feuilles volèrent et la chienne prit un malin plaisir à les arracher une à une. « Saco de pulgas* » s'écria-t-elle devant ce triste spectacle.
* Sac de puces.
made by black arrow
Cry me a river♛
You don't have to say, what you did, I already know, I found out from him Now there's just no chance, for you and me, there'll never be
❝Cry me a river ; Justin Timberlake❞
LE DESTIN
l'omniscient
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31457 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
Le membre 'Maritza Gutiérrez' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' :
Sergio Gutiérrez
le père-du
ÂGE : 53 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts à GCA (Gutiérrez Creative Agency) LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1845 POINTS : 40
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné pendant vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS : Gutiérrez Creative Agency (GCA) (PL disponibles)
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : harley (avatar) + wickedgifs (gif profil & signa) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : emery le céleri et albane la banan PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
Sergio commençait sincèrement à se demander pourquoi est-ce qu’il s’était laissé embarquer dans cette aventure. Pour le moment, la construction de leur cabane semblait plus chaotique et compromise qu’autre chose. Il ne savait pas s’il avait bien fait de ne pas céder à ses pulsions et de rester à sa place. S’il était vite passé à autre chose pour se concentrer sur leur quête de branches, son attention était inévitablement attirée par Maritza. Il se demandait ce qui se serait passé s’il l’avait embrassée. Si elle l’aurait repoussé ou si elle aurait répondu. Il savait pertinemment que la conquérir à nouveau pourrait être la pire idée possible et que c’était prendre le risque de compromettre tout ce qu’ils avaient doucement rebâti depuis qu’il était revenu. Cet instant de faiblesse trahissait juste qu’il n’avait définitivement jamais tourné la page concernant leur mariage. Mais les connaissant, ils n’en parleraient pas, se voileraient la face autant que nécessaire. Ce n’était pas comme si les distractions manquaient. Le soleil était encore haut à cette heure-ci mais s’ils n’assuraient pas leurs arrières, la nuit risquait d’être terrible. Le cadre ou la saison n’étaient pas propices à dormir à la belle étoile sous la brise fraîche. « Je m’en occupe. » Après être descendu du tronc, il s’affaira donc à tirer sur les branches pour les arracher du tronc. L’arbre devait être déraciné depuis longtemps car elles vinrent assez rapidement et il put rapidement constituer un petit tas de bois sans avoir à trop forcer sur son épaule. Cela prit quelques minutes avant que son ex-femme ne revienne vers elle, bras chargés de feuilles. Ce serait parfait pour isoler le toit de leur future cabane. Il ne retint pas un léger rire à la sentir encore vexée pour sa critique quant à la stupidité de son escalade. « Heureusement que je t’ai dit quoi chercher. » Il prenait une part de crédit. L’essentiel étant de savoir où trouver de l’eau et où se poser pour la nuit. Le sourire se radoucit néanmoins, un peu plus franc, à sentir qu’ils étaient enfin capables de faire équipe. « J’en suis heureux aussi. » Même si son idée de camp de survie restait absolument terrible. Il se pencha pour récupérer un maximum de branches en la suivant vers le coin qu’elle avait trouvé. Un peu trop pentu et caillouteux pour son goût, ce qui ne faciliterait pas la construction. Il retint son commentaire, d’une part pour ne pas critiquer ses efforts, d’une autre parce qu’ils n’avaient pas de temps à perdre. « Vas-y, je vais ramener le reste des branches. » Il déposa les siennes et repartit vers l’arbre. De toute évidence, ce n'était toujours pas assez, et l’arbre n’avait plus rien à offrir. Sergio commençait à réaliser la dose de travail qui les attendait et soupira silencieusement en se remerciant intérieurement pour la couverture de survie. Ils ne pouvaient pas aggraver leur cas après tout, et tant que le moral était bon, ils devraient s’en sortir. Si Mari ne finissait pas par tuer la chienne au passage. Il revint juste à temps pour voir la scène, être témoin du doberman qui sauta sur le tas de feuilles comme si c’était la meilleure aire de jeux du monde, les envoyant voler dans tous les sens. « ETNA ! » Il gronda, mais le mal était fait. La chienne s’éloigna avec une branche feuillie dans la gueule, comme par provocation. Il secoua la tête en déposant les branches. « Bon moyen de nous rappeler qu’on n’a même pas de quoi faire tenir les fondations. Il faudrait trouver des bouts de bois plus larges que ça… » Défendre la chienne ne rimerait à rien à ce stade alors il prit le parti de s’éloigner, son regard balayant le sol. Il y avait des déchets par ici, à croire que quelqu’un d’autre avant eux avait eu l’idée de s’arrêter ici. Mais un déchet en particulier attira son attention. « Mari ? » Un sourire éclaircit son regard. Il y avait une boîte d’allumettes abandonnées. Il s’accroupit pour l’ouvrir.
Win : Elle était encore quasiment pleine, la boîte était sèche, fonctionnelle. « Je crois qu’on vient de considérablement sauver notre soirée. » annonça-t-il, ravie.
Close : Il n’en restait qu’une dans la boîte. C’était mieux que rien, mais tout autant angoissant. « On n’aura pas intérêt à se planter. » Ou à mettre le feu à la forêt.
Fail : La boîte était vide. Évidemment. Cela aurait été trop facile autrement. « Peut-être que la boîte pourra aider. » soupira-t-il en observant le côté qui servait à les allumer. Peut-être que cela pourrait fonctionner avec des simples bâtons ?
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
LE DESTIN
l'omniscient
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31457 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014