J’ai l’impression d’être le protagoniste d’un jeu d’aventure. Un mix entre Grounded et les Sim’s. Je n’ai qu’une seule chose à dire : celui qui tient la manette est un gros noob. Je suis à un rien de mourir de déshydratation sans parler de ma barre d’énergie qui est dans le rouge depuis presque deux jours. Heureusement que la partie est bientôt terminée parce que mon seuil de tolérance est proche de zéro. Depuis qu’Asher a quitté la partie, je me retrouve à devoir faire équipe avec des personnages aléatoires et je déteste ça. Primo, parce que je me suis rendu compte que le matchmaking était cassé lorsque je me suis retrouvé avec la seule personne qui était censée être bloquée. Deuzio, parce que devoir faire la conversation pendant une journée entière, c’est clairement au-dessus de mes forces. Généralement, je trouve toujours le moyen de m’isoler que ce soit en allant travailler ou le soir quand Sam est couché sauf qu’ici, il n’y a aucune place pour l’intimité. Ce stage de survie ne m’offre aucune occasion de recharger mes batteries sociales et c’est ce qui est en train de me rendre chèvre. J’écoute les experts faire le point sur l’essentiel des choses à retenir pour ne pas dépérir au fin fond de la nature. Le sujet a beau être important, je préfère porter mon attention sur les gens qui m’entourent. Je sais que mon destin sera bientôt lié à l’un d’entre eux et j’ai bien l’intention d’imposer mon choix, pour une fois. Le groupe a au moins le mérite d’être hétérogène. J’inspecte le moindre faciès jusqu’à ce que mes yeux rencontrent ceux d’un type qui ne m’est pas étranger. Je l’ai déjà croisé au concert des Sands Witches, en décembre dernier. Je m’en souviens car il est monté sur scène alors que tout le monde s’attendait à voir Parker débarquer. Il n’y a pas que le public qui l’a apprécié ce soir-là, mon meilleur pote aussi. Assez pour lui proposer une place dans son groupe de musique. Si ce n’est les fangirls de l’ancien chanteur, je suis sûrement l’un des seuls à ne pas aimer cette nouvelle fusion. Je peux rien y faire si sa tête ne me revient pas avec ou sans maquillage pour lui cacher le visage.
“Lewis et Lauren.” J’observe les duos se former tout en croisant, littéralement, les doigts pour ne pas tomber avec lui ou avec celle dont la manucure intacte témoigne d'une paresse qui me fait rouler des yeux. “Angus et Ambrose” J’ai pas le temps de me souvenir de son prénom qu’il me fait signe d’aller le rejoindre. Putain de matchmaking à la con. Non, mais sérieux, on est plus des gamins. Je ne comprends pas pourquoi ils s’obstinent tous à vouloir former les équipes avec des électrons libres. “Pas cool Barry, vraiment pas cool.” Je grommelle en le fusillant du regard. Plus les jours passent et plus je me demande si le stage de survie n’est pas un code utilisé pour ne pas employer le terme de désintox. D’abord mon père, puis le junkie de service. Il peut tromper qui il veut avec ce nouveau style vestimentaire, mais je me trouvais au premier rang le soir du show et même si j’ai vu aucune trace de poudre sur le bout de son nez, il avait l'air d'un camé et pas d'un aventurier. “ Laisse moi deviner. T’avais plus assez de place dans ton sac à dos pour pouvoir emporter ta trousse à maquillage ?” Je lance en guise de salutation. Il ne doit pas se souvenir de moi puisque c'est la première fois que je lui adresse la parole. J’étais avec Sam lors du concert et j’ai quitté les lieux peu de temps après la fin pour ne pas qu’il se couche trop tard. “On décide du cobaye au chifoumi ?” J’ajoute en cachant une de mes mains derrière mon dos. C’est le but de l’atelier non ? Porter secours à son coéquipier pour prouver qu’on a bien écouté. Et pour que ce soit possible, il faut bien que l’un d’entre nous se retrouve en difficulté. Je me porterais bien volontaire, mais je ne suis pas contre l’idée de le voir faire semblant de boiter pendant le restant de la journée. Ça me donnerait une chance d’arriver à le semer. "Pas le droit au puit." J'ajoute pour ne pas qu'il puisse me la faire à l'envers.
Spoiler:
Win : J'écrabouille son ciseau avec mon poing. Mon grand-père m'a toujours dit d'investir dans la pierre. "Entorse, piqûre de serpent ou plaie qui risque de s'infecter ?" Je suis sympa, je le laisse choisir. Dans tous les cas, j'ai gagné la satisfaction de le voir faire semblant de souffrir. So Close : Égalité. Je remets mon poing derrière le dos et attends qu'il soit prêt pour recommencer. Fail : Ma feuille se fait découper par sa paire de ciseaux. Le défaite me laisse un goût amer, mais je suis loin d'avoir dit mon dernier mot. Je fais tomber mon sac à dos au sol puis ramène l'un de mes bras sur ma poitrine en me tenant le coude. "Aïe, mon épaul e!" Je gueule à la limite de l'agonie. "J'crois bien que tu vas devoir porter mon sac." J'ajoute en observant mon barda customisé par mon frangin.
BY PHANTASMAGORIA
LE DESTIN
l'omniscient
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31460 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
Le membre 'Angus Sutton' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' :
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
Ambrose reste parfaitement indifférent lorsque son prénom est associé à celui d’Angus alors que le doublé de leurs prénoms semble animer bien plus de sentiments chez l’homme face à lui. Il ne cache pas sa colère et sa déception, ce qui en fait naître chez Ambrose à son tour alors qu’il n’avait initialement rien contre l’idée de passer la journée avec le jeune homme, qu’il connaît à peine de prénom. De toute évidence, il a en retour fait naître une rancœur chez l’homme dont il connaît à peine le prénom et tout juste le visage. “Laisse moi deviner. T’avais plus assez de place dans ton sac à dos pour pouvoir emporter ta trousse à maquillage ?” Surpris par la remarque, c’est un regard noir au possible qu’il échoue longuement sur la silhouette du quasi-inconnu. “Tu sembles déçue. Tu voulais un trait d’eye liner ?” Il mime de ne pas avoir été vexé par la remarque, répondant pourtant avec un sourire qui peine à être inventé. Ce n’est pas le moment pour jouer à ce genre de jeu, pas alors qu’il pensait qu’un stage de survie en pleine nature pouvait paradoxalement être le meilleur à faire pour calmer ses nerfs dernièrement. “On décide du cobaye au chifoumi ?” Il n’a apparemment pas oublié d’avoir six ans dans son sac à dos, lui, et Ambrose accepte la proposition non sans rouler des yeux. "Pas le droit au puit." - “Accouche.” Il rajoute, ne faisant même pas l’effort de se montrer patient, déjà largement agacé par l’attitude de l’homme face à lui.
Malgré son exaspération, il se prête au jeu du chifoumi et en ressort vainqueur, bienheureux qu’ils n’aient pas stipulé plusieurs manches. Une lui suffit amplement, surtout alors qu’Angus ne tarde pas une seule seconde avant de déjà commencer à jouer au blessé de guerre parfaitement incapable de porter son sac lui-même. "Aïe, mon épaule !" Un acteur en devenir que voilà, DiCaprio n’a qu’a bien se tenir. "J'crois bien que tu vas devoir porter mon sac." - “C’est ton frère qui l’a décoré ? Ou t’as une passion armée ?” Il commente sans chercher à négocier, acceptant de porter le sac alors qu’Angus va être le premier à jouer aux cobayes et devra donc se plier aux mains (non) expertes d’Ambrose. “Donc tu t’es déboîté l’épaule, j’imagine ?” Au moins, à en juger par le cri de douleur qui a été le sien. Ambrose est presque déçu que ce ne soit qu’une invention, lui qui aurait été ravi de lui remettre en place pour le voir planter ses dents dans une branche pour éviter de se mordre la langue. “On va devoir trouver de quoi soutenir ton bras.” Il insiste sur le pluriel: ce n’est pas parce qu’il est le cobaye de l’exercice qu’il ne peut pas aider à son tour.
WIN – Sans trop de mal, ils arrivent à trouver des branches assez larges et souples pour faire office d’écharpe de fortune. “Au moins comme ça tu vas devoir devenir un adulte qui doit régler ses problèmes autrement qu’au chifoumi.” Il annonce en pointant du doigt lesdites branches. “Assis.” Trouver le matériel est une chose, arriver à s’en servir en est une autre, et cela promet d’être une sacré aventure. SO CLOSE – Sans trop de mal, ils arrivent à trouver des branches assez larges et souples pour faire office d’écharpe de fortune. “Au moins comme ça tu vas devoir devenir un adulte qui doit régler ses problèmes autrement qu’au chifoumi.” Il annonce en pointant du doigt lesdites branches. “Assis.” Trouver le matériel est une chose, arriver à s’en servir en est une autre, et cela promet d’être une sacré aventure, surtout alors que des fourmis grouillent sur les feuilles, le tout ayant été déterré non loin d’une fourmilière, ce qu’aucun des deux hommes n’a su déceler à temps. FAIL – Sans trop de mal, ils arrivent à trouver des branches assez larges et souples pour faire office d’écharpe de fortune. “Au moins comme ça tu vas devoir devenir un adulte qui doit régler ses problèmes autrement qu’au chifoumi.” Il annonce en pointant du doigt lesdites branches. “Assis.” Trouver le matériel est une chose, arriver à s’en servir en est une autre, et cela promet d’être une sacré aventure, surtout alors que des fourmis grouillent sur les feuilles, le tout ayant été déterré non loin d’une fourmilière, ce qu’aucun des deux hommes n’a su déceler à temps. En réalité, ils s’en rendent uniquement compte lorsqu’Angus sent une première piqûre fulgurante et qu’Ambrose subit le même sort dans la seconde qui suit.
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LE DESTIN
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ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31460 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
“Tu sembles déçue. Tu voulais un trait d’eye liner ?” Son regard est presque aussi sombre que le soir du concert. Je n'ai désormais plus aucun doute sur l'identité du binôme qui vient de m'être attribué. Plus aucune envie de participer à l'atelier, aussi. Je fais claquer ma langue puis ramasse mon sac que je fourre sur le dos. J'ai pas de temps à perdre et pas non plus envie d'écouter l'un de ses tutos beauté. Néanmoins, ça a le don de m'intriguer. Y'a quand même un monde entre celui qu'il est sur scène et celui qui me fait face.“Accouche.” Je me mords l'intérieur de la joue pour contenir la colère qu'il fait émerger en moi et faire abstraction des phalanges qui commencent à me démanger. Je passe ma main derrière mon dos pour me préparer à faire le geste de la feuille. Une main bien à plat qui risque d'atterrir sur sa mâchoire s'il continue à me parler comme si j'étais son clebs.
Évidemment qu'il gagne à un jeu de hasard. Mon karma est connu pour être mauvais. Je souffle avant de me mettre dans le rôle du blessé. J'hurle à la mort dans l'espoir de lui crever un tympans ou deux et profite de l'occasion pour lui refiler mon sac. “C’est ton frère qui l’a décoré ? Ou t’as une passion armée ?” - "Mon frangin et t'avises même pas de critiquer sa passion pour les pin's." Qu'il essaye pour voir. J'ai vu assez de séries policières pour être à peu près sûr d'arriver à cacher son corps sans laisser de traces derrière moi. “Donc tu t’es déboîté l’épaule, j’imagine ?” Non, je me suis foulé la cheville, tocard. Un classique, utiliser une question rhétorique pour étaler sa science aux yeux de tous. Qu'il compte pas sur moi pour l'appeler docteur."Bravo, tu connais les bases de l'anatomie." Je le félicite en frappant dans mes mains avec le moins d'entrain possible.“On va devoir trouver de quoi soutenir ton bras.” Je vais surtout faire semblant de tomber dans les pommes et en profiter pour faire une petite sieste d'une heure ou deux pendant qu'il ira nous chercher de quoi me faire une écharpe.
“Au moins comme ça tu vas devoir devenir un adulte qui doit régler ses problèmes autrement qu’au chifoumi.” C'est bien parce que je me comporte comme un adulte qu'il peut encore marcher sur ses deux jambes. Toutefois, c'est pas les branches qui manquent par ici et il y aurait de quoi lui construire une paire de béquilles donc je serais lui, j'arrêterais de me chauffer. "Oh mais ta gueule, Hannah Montana !" Je peste entre mes dents. "Tu règles les tiens en poussant la chansonnette et en sniffant de la farine avec Edison, alors pourquoi tu l'ouvres ?" Il est mal placé pour parler, Ambrose. Je préfère de loin régler mes soucis au chifoumi plutôt que de finir comme un junkie. “Assis.” - "C'est pas parce que t'as fait un effort vestimentaire que tu dois te prendre pour le PDG d'une grande société. T'as pas d'ordre à me donner, capiche ?" Je rétorque avant de finalement me laisser tomber sur le sol et de m'assoir en tailleur. Il a intérêt à faire ça bien et vite parce qu'épaule déboitée ou pas, j'hésiterai pas à en venir aux mains s'il continue à me prendre pour son chien.
Je reconnais tout de suite la douleur qui émerge du bas de mon dos. Je passe rapidement ma main sous mon t-shirt pour balayer la bestiole qui vient de me piquer et me lève aussi tôt quand je me rends compte qu'elle n'est pas tout seule. Elles ne le sont, jamais. C'est pas la première fois qu'elles me prennent par surprise, j'ai même fini en calbut à cause de leurs conneries. "Assis, qu'il me dit. Non, mais t'es aveugle ou quoi ? T'en as d'autres des idées de génie ?" Je grogne en passant ma tête par dessus mon épaule pour compter les morsures. "Ça t'apprendra à critiquer le chifourmis." J'ajoute lorsque je constate que je ne suis pas le seul à en avoir fait les frais. Tant mieux, parce que j'ai bien l'intention de l'emmener avec moi dans la tombe.
Spoiler:
WIN : On migre vers un endroit plus tranquille. À une main, c'est pas facile, mais plutôt crever la bouche ouverte qu'avoir à lui demander de l'aide. "Elles sont clean tes branches ?" Je demande avant qu'il ne les utilisent pour immobiliser mon bras. Non, parce qu'il a quand même eu la bonne idée de les balancer à quelques cm d'une fourmilière. "Et puis qu'est-ce que tu fous ici, sérieux ? T'avais besoin d'inspiration pour tes prochaines chansons ? " Il n'existe aucun vaccin contre la page blanche, ni même contre les addictions. Je range ma gourde après avoir bu quelques gorgées puis lui fais signe d'approcher pour qu'il puisse commencer à me 'soigner'.
CLOSE : On migre vers un endroit qui a l'air plus tranquille. Je m'assois contre un arbre et profite de ce moment de répit pour essayer de sortir la gourde de mon sac. À une main, c'est pas facile, mais plutôt crever la bouche ouverte qu'avoir à lui demander de l'aide. "Elles sont clean tes branches ?" Je demande avant qu'il ne les utilisent pour immobiliser mon bras. Non, parce qu'il a quand même eu la bonne idée de les balancer à quelques cm d'une fourmilière. "Et puis qu'est-ce que tu fous ici, sérieux ? T'avais besoin d'inspiration pour tes prochaines chansons ? " Il n'existe aucun vaccin contre la page blanche, ni même contre les addictions. "Et dis-moi, t'as de la colle à bois dans ton sac ?" C'est bien beau d'avoir les branches, mais faudrait-il encore avoir de quoi les faire tenir ensemble.
Fail : On migre vers un endroit plus tranquille. Je m'assois contre un arbre et profite ce moment de répit pour essayer de sortir la gourde de mon sac. À une main, c'est pas facile, mais plutôt crever la bouche ouverte qu'avoir à lui demander de l'aide. "Elles sont clean tes branches ?" Je demande avant qu'il ne les utilisent pour immobiliser mon bras. Non, parce qu'il a quand même eu la bonne idée de les balancer à quelques cm d'une fourmilière. "Et puis qu'est-ce que tu fous ici, sérieux ? T'avais besoin d'inspiration pour tes prochaines chansons ? " Il n'existe aucun vaccin contre la page blanche, ni contre les addictions. Je peux sentir quelque chose me chatouiller le cou. Le bras toujours en écharpe, je pousse sur mes jambes pour me relever d'un bon et écrase les branches par la même occasion. "Oups" que je dis tout en me secouant dans tous les sens.
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Ambrose Constantine
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ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
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marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
"Mon frangin et t'avises même pas de critiquer sa passion pour les pin's.” “Je critique pas les frangins.”
Sauf les siens, mais c’est parce qu’ils sont doués pour prendre les mauvaises décisions. Du reste, il comprend que la fratrie est intouchable et il serait le premier à ne jamais accepter qu’on reproche quoi que ce soit aux siens - que ce soit justifié ou non. Tout ça pour dire qu’Ambrose n’ajoute pas le moindre mot ni commentaire, laissant le sac d’Angus sur son dos sans rien dire à ce sujet là non plus. Après tout, le grand brun est blessé. Supposément. "Oh mais ta gueule, Hannah Montana !" - “C’est géant vert qui me dit ça ?” Il s’insurge à son tour, sincèrement agacé par ses remarques enfantines, lui et ses deux mètres de haut qu’il déteste autant que tout le reste. "Tu règles les tiens en poussant la chansonnette et en sniffant de la farine avec Edison, alors pourquoi tu l'ouvres ?" - “Pardon ?” La stupeur l’emporte sur tout le reste. Il accuse le coup, une seconde figé dans le vide à observer avec incompréhension les yeux du quasi inconnu. Qu’il le sache chanteur n’est pas ce qui l’étonne réellement, mais qu’il pense qu’il se drogue est un problème d’un tout autre niveau, lequel il ne peut pas laisser passer. Surtout, si lui le pense, qui d’autre encore tient un avis semblable sur le sujet ? “J’ai l’air d’un putain de junkie comme Dorn ? Me mets pas dans le même panier que tes potes.” Lui, Cameron. Peut-être Angus lui-même, qui sait ? Ils n’en sont sûrement pas à ça près. C’est un comportement qu’Ambrose condamne et un comportement qu’il ne risque surtout pas de rejoindre d’une quelconque façon.
"C'est pas parce que t'as fait un effort vestimentaire que tu dois te prendre pour le PDG d'une grande société. T'as pas d'ordre à me donner, capiche ?" “Assis et ferme la.”
Il a l’impression de parler à quelqu’un ayant hérité du caractère têtu de James combiné à celui de Ruben et bon sang que cela n’a rien, absolument rien d’une bonne chose, ni même d’un compliment. Il aime James comme un frère, il aime Ruben tout court et il arrive à tout leur pardonner, mais l’homme face à lui est bien loin d’avoir le droit à un traitement semblable, raison pour laquelle le jeune politicien monte rapidement dans les tours. Ce qui le fait rapidement passer à autre chose, c’est une chasse soudaine contre des fourmis rouge, ce qui devient son seul et unique problème durant les quelques secondes nécessaires pour chasser les bêtes en question. "Elles sont clean tes branches ?" Il devrait apprendre à se taire maintenant qu’il a trouvé le moyen de les emmener sur une fourmilière, mais ce serait sans doute trop demander à Ambrose. “Lèche les pour voir ?” Le brun demande, sans cacher son agacement un seul instant. "Et puis qu'est-ce que tu fous ici, sérieux ? T'avais besoin d'inspiration pour tes prochaines chansons ? " Les remarques d’Angus lui font sincèrement mal au crâne, si bien qu’il ressent le besoin de se masser le front un instant. “Dis moi que c’est une caméra cachée et que t’es pas aussi casse couille tous les jours.” Il espère sincèrement, parce qu’il ne comprend pas quelle mouche l’a piqué pour faire d’Ambrose son souffre douleur, mais cela agace de plus en plus le Constantine qui perd patience. “Je viens pour essayer d’autres choses. Je manque pas d’inspiration, je manque de personnes clean avec qui travailler par contre.” Avec qui composer, enregistrer, tourner. Il a des carnets entiers de chansons qui attendent, mais il ne sait pas jouer et il n’est pas signé par quiconque. Il a besoin d’autres personnes, et il se rend compte qu’il a vraiment misé sur les mauvaises. Ce qui l’agace, c’est qu’Angus puisse penser qu’il est la cause de l’absence de nouveautés de la part des Sand Witches. Connerie. “Bouge pas, sinon je m’assure que t’aies plus à faire semblant d’avoir une épaule déboîtée.” Il n’est pas du genre violent mais bon sang qu’Angus lui donne envie de le devenir.
WIN – De son sac, il sort la petite corde leur ayant été fournie pour les aider dans leur tâche et il s’assoit à son tour pour se concentrer pleinement sur les petits nœuds qu’il doit former et accrocher les branches entre elles. Le processus est long mais il y parvient peu à peu. “Aide moi.” Il ordonne à Angus en lui tendant un bout de corde à son tour, le couteau entre eux permettant de la couper le moment venu. “Essaie ça. T’es plus grand que les exemples qu’ils ont donné.” Les branches étaient plus petites sur leurs exemples et elles permettaient de supporter l’avant-bras en entier du cobaye, ce qui n’est pas aussi facile avec Angus, comme le démontre la grimace d’Ambrose. “T’aurais du manger moins de soupe.” Il maugrée simplement, avant de retourner à la tâche. SO CLOSE – De son sac, il sort la petite corde leur ayant été fournie pour les aider dans leur tâche et il s’assoit à son tour pour se concentrer pleinement sur les petits nœuds qu’il doit former et accrocher les branches entre elles. Le processus est long mais il y parvient peu à peu. “Aide moi.” Il ordonne à Angus en lui tendant un bout de corde à son tour, le couteau entre eux permettant de la couper le moment venu. “Essaie ça. T’es plus grand que les exemples qu’ils ont donné.” Les branches étaient plus petites sur leurs exemples et elles permettaient de supporter l’avant-bras en entier du cobaye, ce qui n’est pas aussi facile avec Angus, comme le démontre la grimace d’Ambrose. “T’aurais du manger moins de soupe.” Il maugrée simplement avant de retourner à la tâche, le couteau se trouvant néanmoins sous sa cuisse lorsqu’il s’abaisse à nouveau, l’entaillant ainsi sur quelques centimètres sans que cela n’ait rien de prévu. “Bordel. Putain.” Il tente de garder pour lui sa réaction de douleur, serrant plus que jamais les dents et les yeux pour tenter de se contrôler et son corps avec, son premier réflexe étant ensuite de se rendre compte de la profondeur de la plaie. FAIL – De son sac, il sort la petite corde leur ayant été fournie pour les aider dans leur tâche et il s’assoit à son tour pour se concentrer pleinement sur les petits nœuds qu’il doit former et accrocher les branches entre elles. Le processus est long mais il y parvient peu à peu. “Aide moi.” Il ordonne à Angus en lui tendant un bout de corde à son tour, le couteau entre eux permettant de la couper le moment venu. “Essaie ça. T’es plus grand que les exemples qu’ils ont donné.” Les branches étaient plus petites sur leurs exemples et elles permettaient de supporter l’avant-bras en entier du cobaye, ce qui n’est pas aussi facile avec Angus, comme le démontre la grimace d’Ambrose. “T’aurais du manger moins de soupe.” Il maugrée simplement avant de retourner à la tâche, faisant glisser le couteau au moment de se rassoir sans même s’en rendre compte: c’est désormais sous la main d’Angus qu’il se retrouve, prêt à entailler sa paume à la seconde où celui-ci la posera à nouveau contre le sol meuble.
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ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31460 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
“Je critique pas les frangins.” Je le dévisage d'un air incrédule. C'est qu'il est loin d'être intelligent, le garçon. Si j'ai un frère, c'est que je suis forcément le frangin de quelqu'un, non ? Ce qui veut dire que son motto est à chier et qu'il brasse du vent pour rien; pour changer. Je l'observe prendre mon sac sans piper mot. Il a au moins le mérite d'accepter les conséquences de sa victoire sans rechigner. Enfin, le silence ne dure pas longtemps. Il le brise rapidement tout comme il me casse les pieds. “C’est géant vert qui me dit ça ?” Je m'apprête à lui dire que sa comparaison est loin d'être aussi pertinente que la mienne avant que mes yeux ne s'arrêtent sur ma tenue kaki sponsorisée par chasse & pêche. Je me mords la lèvre pour retenir un rire et tourne la tête dans la direction opposée pour cacher ce moment d'égarement. “Pardon ?” Je ne détourne pas le regard lorsque ses yeux rencontrent les miens. Il a l'air mi-surpris, mi-énervé par ce que je viens de soulever. Pourtant, les faits sont là : c'est bien le chanteur des Sand Witches et personne n'échappe aux dérives d'Edison. “J’ai l’air d’un putain de junkie comme Dorn ? Me mets pas dans le même panier que tes potes.” - "Dorn, hein ? C'est mignon." Edison, n'est pas mon pote et ne le sera jamais. Les aigles ne volent pas avec les pigeons et j'ai bien trop de dignité pour ma propre personne pour trainer avec des camés comme lui. "Là, comme ça, t'as plus l'air d'un junkie en pleine réinsertion professionnelle." Le genre qui mise tout sur des fringues neufs pour tromper l'ennemi. "Tu débarques dans le groupe et mon meilleur pote se transforme en un putain de drogué. Coïncidence ?!" Je crache en le pointant du doigt. Clean, mon cul. Qu'il arrête de jouer l'outré de service parce que tout porte à croire qu'il est aussi fautif qu'Edison dans cette histoire. "Parker n'était peut-être pas fiable, mais il ne profitait pas des faiblesses de ses potes pour faire son petit marché." Et il était plus doué aussi, n'en déplaise aux groupies.
“Assis et ferme la.” Sinon quoi ? Non parce que je vois aucun problème à ce que cet atelier se transforme en une session de lutte dans la boue. J'obéis à son ordre et tire sur la lanière de mon sac à dos pour l'entrainer avec moi. Ce n'est qu'une fois qui se retrouve le cul par terre que j'hausse les épaules sans dire un mot de plus. J'étais déjà amplement satisfait de voir ses jambes céder en l'emportant dans ma chute, mais je suis d'autant plus heureux lorsque je remarque je ne suis pas le seul à m'être fait piquer par les fourmis. “Lèche les pour voir ?” - "Honneur aux chanteurs de pacotille" Je réponds en papillonnant des cils. Je sais pas s'il se masse les tempes pour freiner l'émergence d'une migraine ou s'il est trop occupé à invoquer ses semblables tout droit venus de l'enfer, mais j'espère que mère nature saura me protéger contre ses rituels sataniques. “Dis moi que c’est une caméra cachée et que t’es pas aussi casse couille tous les jours.” Comme lui, j'aimerais que c'en soit une. Pour autant, ça fait trois jours que ça dure et la mauvaise blague semble aller de mal en pis. Quant à mon trait de caractère bien prononcé, il est tout aussi endurant si ce n'est plus. Je suis né pour ça : épuiser les gens jusqu'à ce qu'ils décident de s'en aller. C'est ça, ma tasse de thé et pas d'être un aventurier. "Comment t'as deviné ?" Je demande en levant ma main de libre que j'agite vers l'horizon. "La seule solution pour mettre fin au canular, c'est de taper dans la main du cameraman. Il est bien caché, mais tu devrais pas trop avoir de mal à le trouver." J'ajoute en lui faisant signe d'aller à sa recherche. “Je viens pour essayer d’autres choses. Je manque pas d’inspiration, je manque de personnes clean avec qui travailler par contre.” Sa phrase m'arrache un rire amer. "À qui la faute ? Si Dorn est le seul coupable, tu restes pas moins complice de ses actes. C'est pas en venant apprendre les gestes de premier secours que t'arriveras à sauver l'avenir du groupe." Je veux bien lui laisser le bénéfice du doute, mais qu'il soit clean ou pas, c'est bien Ambrose qui a laissé Edison embarquer Cameron dans ses magouilles sans lever le petit doigt. “Bouge pas, sinon je m’assure que t’aies plus à faire semblant d’avoir une épaule déboîtée.” C'est qu'il m'emmerde avec ses menaces. Que de la bouche le Ambrose. En même temps, c'est la seule chose qui semble fonctionner correctement et son seul instrument. Je m'apprête à émettre le neuvième soupire lorsqu'il arrive enfin à bout de l'écharpe en bois. “Aide moi.” - "Tu peux m'aider s'il te plaît ? Mais oui, avec grand plaisir ." Je rectifie en attrapant le bout de la cordelette. “Essaie ça. T’es plus grand que les exemples qu’ils ont donné.” Toute excuse est bonne à prendre, j'imagine. C'est pas comme s'il avait passé les dernières minutes à construire une écharpe pour finalement se rendre compte qu'elle est trop petite pour mon bras. Il grimace, je roule des yeux. Nous voilà reparti à la case départ. “T’aurais du manger moins de soupe.” Mais oui, c'est ma faute et les piqûres de fourmis ont pour effets secondaires d'accélérer la croissance, c'est bien connu."Peut-être qu'on en serait pas là si t'avais pas passé ton enfance à jouer aux Polly Pocket. Pas de temps à perdre, il se remet à la tâche tandis que je me laisse glisser le long du tronc en soupirant.
Spoiler:
WIN : Cette fois-ci, je prends les commandes sans même lui demander son avis. Je connais mon corps mieux que personne et il a l'air d'avoir quelques soucis avec la notion de proportionnalité. 'trop petit', 'trop grand' voilà ce que je répète en boucle depuis plus de cinq minutes. "Je comprends, dix doigts à manipuler, ça peut vite devenir compliqué." J'ai jamais vu quelqu'un avec aussi peu de dextérité. Il a quand même réussi à lâcher le couteau sans même s'en rendre compte donc soit il souffre d'une perte de sensibilités, soit c'est vraiment un empoté. "Bravo, tu détiens désormais le record mondial du survivaliste le plus lent." Je clame en soulevant mon bras 'blessé' pour qu'il puisse me l'enfiler. Heureusement que ce n'est qu'une épaule déboitée, parce que j'aurais eu le temps de mourir vingt fois avant d'être sauvé.
CLOSE : Ma main heurte quelque chose de dur lorsque j'amortis ma descente. "T'as pas perdu un truc ?" Je demande en lui montrant l'objet tranchant. Ce type veut ma mort, ses intentions sont aussi mauvaises que sa propre personne. Malheureusement pour lui, ma paume s'est échouée sur le manche de son couteau. Dans le cas inverse, il aurait eu mon sang sur la conscience. Je décide de prendre les commandes pour nous éviter un autre échec. Je connais mon corps mieux que personne et il a l'air d'avoir quelques soucis avec la notion de proportionnalité. Je l'observe défaire les nœuds de la ficelle pour la réutiliser. 'trop petit', 'trop grand' voilà ce que je répète en boucle depuis plus de cinq minutes. "Je comprends, dix doigts à manipuler, ça peut vite devenir compliqué." J'ai jamais vu quelqu'un avec aussi peu de dextérité. Il a quand même réussi à lâcher le couteau sans même s'en rendre compte donc soit il souffre d'une perte de sensibilités, soit c'est vraiment un empoté. "Bravo, tu détiens désormais le record mondial du plus lent survivaliste." Je clame en soulevant mon bras blessé pour qu'il puisse me l'enfiler. Heureusement que ce n'est qu'une épaule déboitée, parce que j'aurais eu le temps de mourir vingt fois avant d'être sauvé.
Fail : Je grogne de douleur lorsque ma paume cogne contre un objet tranchant. Il me faut quelques secondes pour capter qu'elle est en sang et un peu plus pour découvrir l'arme du crime. "Non, mais t'es malade ??" Je fulmine en lui montrant la fente qui se trouve au beau milieu de ma main avant de refermer le poing en grinçant des dents. Ça fait un mal de chien, plus question d'avoir l'épaule déboitée. Je sors la bouteille d'eau de mon sac et vide la moitié de ma gourde sur ma plaie pour pouvoir l'inspecter. "Tu sais faire autre choses qu'attirer les problèmes ?" Je demande tout en fouillant dans mon sac à la recherche de mon bandana. "D'abord tu débarques dans le groupe de mon meilleur pote pour semer la zizanie et maintenant je me retrouve avec la main entaillée parce que t'es pas foutu de garder un œil sur ton couteau. T'es quel genre de chat noir ?" Je peste en retournant mon sac pour le vider sur le sol.
BY PHANTASMAGORIA
LE DESTIN
l'omniscient
ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31460 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
Le membre 'Angus Sutton' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' :
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
"Là, comme ça, t'as plus l'air d'un junkie en pleine réinsertion professionnelle." Là comme ça, même Ambrose a envie de lui en mettre une tant il a le don de l’exaspérer. Et pourtant il n’est pas du genre violent, ni même du genre à généralement manquer de patience. Mais l’homme face à lui, bon sang, il comprend comment il peut s’entendre aussi bien avec Cameron. Maintenant plus que jamais, cela tombe sous le sens. "Tu débarques dans le groupe et mon meilleur pote se transforme en un putain de drogué. Coïncidence ?!" - “Tu te réfugies dans la première excuse venue et t’oses croire que ton meilleur pote te dit la vérité ? Adorable.” Pathétique. Bien sûr que Cameron ne lui a pas touché un mot sur la réalité des choses et bien sûr qu’Angus trouve des explications là où il le peut de son côté. Cela n’a rien d’étonnant, au final, mais cela ne l’empêche pas de l’apprécier tout aussi peu - et d’avoir un avis encore moins bon au sujet du Lewis. "Parker n'était peut-être pas fiable, mais il ne profitait pas des faiblesses de ses potes pour faire son petit marché.” Ambrose a un rire amer. Parker n’était pas fiable et Parker n’était pas grande chose, de toute évidence, au point où il a été remplacé sans grand mal par le premier venu - il sait ne rien être de plus et, bien malgré lui, il accepte cette position, n’ayant pas d’autre choix. “Ton pote va rechuter parce que rien n’a changé entre le avant et le après. Et si c’est vraiment ton pote, fais ton job et veille sur lui plutôt que de m’accuser pour rien.” Ambrose, lui, estime avoir assez donné en ce qui concerne Cameron et sa cure de désintoxication, à commencer par une pause forcée de plusieurs mois dans un groupe qu’il venait à peine de rejoindre. Et avant ça, ils étaient déjà en pause à cause de lui. Les raisons étaient différentes, certes, mais la finalité en était la même: son meilleur pote met bien plus le groupe en péril que qui que ce soit, ou quoi que ce soit.
"À qui la faute ? Si Dorn est le seul coupable, tu restes pas moins complice de ses actes. C'est pas en venant apprendre les gestes de premier secours que t'arriveras à sauver l'avenir du groupe." “Je me fous du groupe.”
Il avoue enfin, aussi simplement que cela. Il veut réussir en tant que personne et la façon dont il le fait et les personnes qui l’entourent ou non à ce moment là ne lui important pas. Il peut le faire avec les Sand Witches, il peut le faire tout seul ; cela n’a aucune sorte d’importance, pas même sentimentale. Ce n’est pas comme s’il avait une attache à Cameron ou bien Edison, de toute façon. "Peut-être qu'on en serait pas là si t'avais pas passé ton enfance à jouer aux Polly Pocket.” Et sans doute que la remarque est celle de trop, au final. “J’ai passé mon enfance à aller voir mon père à l’hôpital, c’est pas le genre d’endroit où t’amènes tes jouets.” Il ne cherche même plus à gagner le jeu du pathos. Son regard ne rencontre pas celui d’Angus et son attention, elle, reste posée contre l’attelle qui est un poil trop petite pour le brun, ce qu’il compte bien rectifier pour leur permettre de venir à bout de cette aventure et ainsi enfin pouvoir tirer un trait sur le meilleur pote de Cameron. Les efforts du plus jeune ne semblent être suffisants puisqu’ils se font sous les reproches d’Angus, une fois de plus, ce qu’Ambrose n’arrive pas à supporter davantage. Il a beau être supposé jouer le médecin, il ne lui enfil pas son attelle et juge qu’il est un malade imaginaire capable de se débrouiller seul, déjà occupé à quitter le lieu de bataille et se relever pour souffler un temps.
WIN – “Sutton, t’as foutu quoi encore ?” Il aurait pu se réjouir de l’idée il y a quelques minutes encore, mais désormais il sait plus que jamais qu’ils ne sont plus à l’école. “Rien, c’est bon. J’ai juste eu besoin de souffler.” Il le couvre donc, estimant que leurs problèmes ne regardent qu’eux. Ambrose souffle brièvement et se reprend dans le même élan. “On doit trouver des plantes contre la douleur. T’as super mal avec ton épaule déboîtée.” Ses yeux scrutent donc les environs, à la recherche de ce qu’on aurait pu planter pour eux, l’environnement n’étant pas si terrible dès lors qu’ils sont encadrés. SO CLOSE – “Les tourtereaux, vous arrêtez de suite votre dispute et vous retournez au travail. Et on veut plus vous entendre.” Ambrose se pince les lèvres, jugeant plus que jamais malvenu qu’on l’associe à une histoire d’amour, surtout aussi foireuse que celle qu’il entretient hypothétiquement avec le Sutton. C’est plus agacé (et sans doute même blessé) que jamais qu’il retourne donc auprès de lui. “On doit trouver des plantes contre la douleur. T’as super mal avec ton épaule déboîtée.” Ses yeux scrutent donc les environs, à la recherche de ce qu’on aurait pu planter pour eux, l’environnement n’étant pas si terrible dès lors qu’ils sont encadrés. FAIL – “Constantine, retourne à l’exercice sinon pas de diplôme pour toi !” Il décoche un regard noir à l’examinateur et leur professeur de survie, avant de s’exécuter malgré tout, et surtout malgré lui. “Je te demande pas de m’apprécier, mais garde tes réflexions pour toi.” Lassé et fatigué, il lui en fait la demande express, ce qui reste à ses yeux le seul moyen pour qui ne l’abandonne tout simplement pas au milieu de l’exercice. “On doit trouver des plantes contre la douleur. T’as super mal avec ton épaule déboîtée.” Ses yeux scrutent donc les environs, à la recherche de ce qu’on aurait pu planter pour eux, l’environnement n’étant pas si terrible dès lors qu’ils sont encadrés.
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LE DESTIN
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ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 31460 POINTS : 350
TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
“Tu te réfugies dans la première excuse venue et t’oses croire que ton meilleur pote te dit la vérité ? Adorable.” Cameron n'a jamais mentionné son nom, mais je suis loin d'être dupe. Le timing est trop parfait pour que l'arrivée d'Ambrose ne soit pas liée à ses nouvelles dérives. Je ne laisserais pas un inconnu remettre en question l'image que je peux avoir de mon meilleur ami. Avant le concert, il était clean et n'avait jamais touché aux drogues dures. “Ton pote va rechuter parce que rien n’a changé entre le avant et le après. Et si c’est vraiment ton pote, fais ton job et veille sur lui plutôt que de m’accuser pour rien.” - "Je peux pas veiller sur tout le monde !" Je gueule tout en détournant le regard. J'aimerais pouvoir faire plus et c'est certainement ce que je ferais si je n'étais pas obligé de passer la plupart de mes journées à bosser. Je donnerais n'importe quoi pour pour prendre soin des miens à temps plein.
“Je me fous du groupe.” - "Alors casse toi." Personne n'est irremplaçable et y'a des tas de mecs qui rêveraient d'être à sa place. Le groupe a besoin de quelqu'un de motivé et moi, j'ai besoin d'une personne qui puisse garder un œil sur Cameron quand j'ai le dos tourné. Ambrose n'a ni l'ambition, ni l'empathie nécessaire pour faire ni l'un, ni l'autre. C'est à peine s'il arrive à se servir de ses dix doigts. Y'a qu'à voir l'écharpe qu'il vient de terminer pour comprendre qu'il est de ceux qui ont tendance à minimiser les choses en préférant ne voir que le sommet de l'iceberg. “J’ai passé mon enfance à aller voir mon père à l’hôpital, c’est pas le genre d’endroit où t’amènes tes jouets.” C'est pas le genre d'endroit pour un enfant, non plus. Il dévie instantanément le regard et je ne cherche pas à en savoir davantage. Je refuse qu'il me donne de quoi l'apprécier.
“Les tourtereaux, vous arrêtez de suite votre dispute et vous retournez au travail. Et on veut plus vous entendre.” La voix rauque de Barry met fin à notre joute verbale. "Ambrose est déjà marié." Je peste en montrant la chaine qui pend autour de son cou d'un geste de la tête. J'ai passé plus d'une année à bosser sur des alliances pour savoir que le bijou qui lui sert de pendentif n'est autre que le symbole d'une union qui, ma foi, relève du miracle. Je plains la personne qui partage sa vie et lui souhaite bien du courage pour la suite. "Comme quoi rien n'est perdu, Barry. S'il a trouvé chaussure à son pied, c'est qu'il y a encore un peu d'espoir pour toi." J'ajoute en tapotant l'épaule de l'expert avant de reprendre mon chemin. "Ah et je suis pas intéressé. Le consentement, c'est important. C'est d'ailleurs un droit que t'as bafoué en me forçant à faire équipe avec lui." Ouais, d'ailleurs je ne manquerai pas de l'inscrire à la fin du questionnaire de satisfaction. “On doit trouver des plantes contre la douleur. T’as super mal avec ton épaule déboîtée.” J'ai surtout mal au crâne. Je jette un coup d'œil à ma montre en soupirant. Les minutes paraissent durer des heures en sa compagnie. "Dis, tu pourrais me lister les endroits que t'as l'habitude de fréquenter ? C'est pour la science." C'est surtout pour les ajouter à ma liste des lieux à éviter.
Spoiler:
WIN : La pointe de ma chaussure frappe contre la moindre touffe d'herbe qu'elle rencontre. "Tu gèles, Sutton." Il m'interrompt alors que je m'apprête à clamer haut et fort à quel point ce stage va à l'encontre de nos droits fondamentaux."Tu gè-les." Il répète en me faisant les gros yeux. Il me faut un moment pour comprendre qu'il essaye tout simplement de nous aider en utilisant un vocabulaire digne d'un enfant de cinq ans. Hallelujah, il s'est enfin décidé de faire ce pour quoi il est payé. Je tourne des talons pour changer de direction et lance un regard en arrière pour le voir imiter ce qui ressemble à une convulsion, mais que je devine être des grelotements. Il a l’air con, mais il m’arrache le premier vrai sourire de la journée. "Suis moi" J’ordonne à mon coéquipier en lui donnant un coup de coude dans les côtes. Je m’approche d’un bouquet de lavandes lorsque j’entends l’expert fredonner les paroles de walking on sunshine. « Mon petit doigt me dit qu’on va devoir la faire infuser. » Enfin, petit, tout est relatif. Il est presque aussi grand que moi et fait le double de mon poids.
CLOSE : « Tu sais ce qu’on est supposé chercher ? » Je demande après avoir passé les dix dernières minutes à le suivre du regard. Des plantes, c'est un bon début, mais y'en a tellement que c'est un peu comme chercher une aiguille dans une botte de foin. J'aurais peut-être dû écouter le passage sur les plantes médicinales, mais je pensais pas qu'on irait jusqu'à devoir jouer les étudiants en botanique. "Il vous faut trouver une plante dont le nom provient du latin 'lavare' qui signifie laver et 'angustifolius' qui signifie à feuilles étroites." Il accentue bien sur les deux premières syllabes de la deuxième étymologie et ça ne fait marrer que lui. Je t'en foutrais du latin, je suis pas venu ici pour apprendre une langue morte.
Fail : « Tu sais ce qu’on est supposé chercher ? » Je demande après avoir passé les dix dernières minutes à le suivre du regard. Des plantes, c'est un bon début, mais y'en a tellement que c'est un peu comme chercher une aiguille dans une botte de foin. J'aurais peut-être dû écouter le passage sur les plantes médicinales, mais je pensais pas qu'on irait jusqu'à devoir jouer les étudiants en botanique. Je m'arrête devant ce qui m'a tout l'air d'être de la menthe poivrée et attrape une tige par le dessous. Je suis peut-être pas sûr de trouver de quoi soigner ma 'douleur' à l'épaule, mais je peux essayer de soulager mon début de migraine. Je me mets à frotter les feuilles sur mes tempes avant de me mordre la joue intérieure pour étouffer un grognement. "Pas un mot." J'articule entre mes dents serrées lorsque je balance les orties au sol et que je peux déjà sentir des boursoufflures se former à l'extrémité de mes sourcils.
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TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris.AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : harley (avatar), in-love-with-movies (gif) DC : nc PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014
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'dé action' :
Ambrose Constantine
le vilain petit secret
ÂGE : 25 ans, les rêves d'un gamin de dix ans, la tête d'un trentenaire bien tassé. (08/01/1999) SURNOM : Rose, par ses amis. Constantine, par le reste du monde. STATUT : Ruben c'est next, Mavis est à ses côtés alors qu'il se lance peu à peu dans les élections municipales. MÉTIER : Collaborateur de Camil. Il espère un jour être au sommet de la chaine alimentaire politique et est prêt à tout pour ça. LOGEMENT : West end, un des appartements de son oncle (et père adoptif) dont il a hérité à sa mort en début d'année. POSTS : 25140 POINTS : 640
TW IN RP : deuil, maladie d'un proche, fin de vie assistée ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : La politique est sa seule religion (labor party) › Ambitieux, talentueux, utopiste et tête à claques › Mère morte en couche, père décédé avant sa naissance, oncle (et père d'adoption) mort en décembre 2023 ; et vous ça va ? › A arrêté la musique pour se consacrer à la politique mais continue de composer, il rêve d'écrire pour un artiste reconnu › A connu presque un an de fausses fiançailles avec Cassie, un arrangement politique qui n'a mené nulle part et reste un secret › Très forte morale jusqu'à ce que ça n'aille plus en sa faveur, et là il est toujours temps de négocierDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : peru RPs EN COURS : (06) › flora #4 › ruben #21 › scarlett #3 › mavis #17
constantine family: flora #4 & malone #7 › a prophecy told we're building our empire from the ashes of an old. it's the sound of another deadline whistling past your ears. it's the sight of a million regrets mounting over years. it's the words that were never spoken that echoes through the times. it's the smell of the burning temples swept away by rhymes.
amen #22 › it was just two lovers sittin' in the car, drivin' nowhere fast, burnin' through the summer. missed calls like, "where you at tonight?", got no alibi. minutes feel like hours. shine, it's your golden hour.
marose #16 › we can pick sides, but this is us. don't believe the narcissism when everyone projects and expects you to listen to 'em. make no mistake, I live in a prison that I built myself, it is my religion qnd they say that I am the sick boy. easy to say when you don't take the risk. welcome to the narcissism. we're united under our indifference.
assos.e #7 › straight from the cover shoot, there's still a trace of body paint on your legs and on your arms and on your face. and i'm keeping on my costume, and calling it a writing tool, and if you're thinking of me, i'm probably thinking of you.
RPs EN ATTENTE : cassie #7 RPs TERMINÉS : (beaucoup)
"Je peux pas veiller sur tout le monde !" “C’est pas ce qu’on te demande, merde.”
Et s’il n’avait pas emmerdé Ambrose tout du long, jamais le brun n’aurait osé lui tenir une remarque de la sorte et lui dire qu’il devait veiller sur ses proches plus qu’il ne le fait déjà. L’insistance qu’il à protéger Cameron prouve bien qu’il est quelqu’un d’empathique mais cela n’empêche pas le brun de croire qu’il ne sait pas où placer son amitié, ni même son esprit vengeresse. "Alors casse toi." La remarque, quoique véridique, vaut à Ambrose un regard de travers en plus d’être particulièrement noir. “Mêle toi de tes affaires.” Ils ne sont pas supposés faire quoi que ce soit d’autre qu’apprendre les premiers secours sur un centre de formation d’une ancienne star de la télévision qui n’a sans doute plus grand chose à faire de sa vie. Il n’a pas fait tout ce chemin pour qu’un inconnu parfaitement insatiable lui fasse avoir un avis différent sur toute sa vie et pas moins.
Après le reproche de Barry, Angus trouve le moyen de s’offusquer des mots de l’instructeur d’une façon parfaitement atypique qui, une fois de plus, n’est qu’un moyen supplémentaire pour tenir des reproches à Ambrose. Ce dernier se pince les lèvres et se mure dans un silence. "Ambrose est déjà marié." Comme si son mariage était véritable, comme si son mariage signifiait quoi que ce soit. “Ça aussi ça va être un problème maintenant ?” Il demande tout de même, parce que le garçon semble avoir un certain don pour faire de tous les aspects de sa vie un problème, de sa relation à Cameron à celle avec son père, et même de son mariage - dont il ne connaît rien et surtout pas toute la supercherie qu’il représente.
"Comme quoi rien n'est perdu, Barry. S'il a trouvé chaussure à son pied, c'est qu'il y a encore un peu d'espoir pour toi." “Vous deux, tu veux dire.”
Parce qu’aux dernières nouvelles (c’est à dire aucune, puisqu’Ambrose ne connaît pas sa vie privée), la vie sentimentale d’Angus n’est pas bien prononcée et surtout pas au point de parler mariage. Pour autant, le reproche n’est pas véritable: une part de lui aurait aimé qu’on ne parle pas de son mariage, et peut-être même qu’il n’existe pas non plus. Néanmoins, face à l’attitude du garçon et sa haine qu’il n’arrive décidément pas à comprendre, il est sans doute soulagé d’avoir choisi de s’unir à une femme. Selon son expérience, elles sont bien plus faciles à comprendre qu’on ne le dit, et surtout de n’importe quel homme, qu’il s’appelle Ruben ou Angus - non qu’il ait trouvé le temps de développer des sentiments pour lui en l’espace d’un claquement de doigts, mais si cela avait été véridique, il pense déjà qu’être en couple avec lui est loin d’être de tout repos. "Dis, tu pourrais me lister les endroits que t'as l'habitude de fréquenter ? C'est pour la science." - “Je vais te laisser te débrouiller sur cette épreuve et je rigole même pas.” De toute évidence, il n’a pas le même humour que le brun face à lui et il n’en a surtout pas la même patience, ou vocation à rire de tout et surtout de rien. Ils ont un travail à faire et un seul. Le reste n’a pas d’importance.
Après un regard noir de plus, dont il est loin de pouvoir tenir un compte total, les deux hommes se mettent en quête de plantes supposées calmer la douleur de sa fausse épaule déboîtée. Pour les biens de l’exercice et rien de plus: Ambrose jure qu’une fois terminé, il n’aura plus jamais le moindre contact avec lui, sa peine l’emportant en réalité sur la colère. Ils auraient pu être amis, aussi simplement que cela, mais Angus semble avoir un goût prononcé pour que seul le contraire advienne et Ambrose peine à comprendre pourquoi, raison pour laquelle il observe avec de la fatigue bien plus qu’autre chose la propension du garçon à choisir les mauvaises plantes. Les orties colorent de rouge le contour de son visage et Constantine souffle de nouveau longuement. "Pas un mot." Evidemment qu’il ne veut pas en parler, mais cela n’empêche pas Ambrose d’utiliser les mouchoirs de son sac et les tremper dans la rivière non loin d’eux. “Appuie.” Dans un autre contexte, il l’aurait fait lui-même mais il traite désormais le garçon comme un animal sauvage: indomptable, imprévisible. “Le consentement, tout ça.” Il reprend ses mots, la mine renfrognée. Il ne voudrait pas se frayer un chemin dans son espace vital après tout. “T’as jamais cuisiné de l’ortie ?” Il tente, il jure qu’il tente d’avoir une minute d’une foutue discussion qui ne soit pas à base de reproches et autres mots plus hauts les uns que les autres. “J’ai d’autres mouchoirs. Ça va rien guérir mais ça va soulager.” Il prévient, il informe. Il n’y connaît pas grand chose, mais il se souvient d’un séjour où l’équipe de Weatherton était partie en apprendre plus sur les techniques de fabrication, les colorants, et tout ce qui s’ensuit. Il était jeune, il ne sait pas comment il en tient encore certains souvenirs. “Ecoute on a qu’à dire qu’on a trouvé la plante pour ta douleur, on attend là, et bientôt on sera libérés de l’un l’autre.” Il s’assoit sur la terre meuble, ramène ses genoux contre son torse et les entoure de ses bras, un brin fataliste. Avec un peu de chance, ils ne verront pas le temps passer.