« Ouais… » C’est une façon pour lui de mieux te comprendre même si t'as pas l’impression ni la sensation que Jordan en a besoin. Vous êtes assez similaires sur ce plan-là même si les raisons sont différentes. Ni l’homme ni la femme ni aucun genre ne peut te faire flipper. Ce sont les émotions qui peuvent te faire peur. Tu as appris à tes dépens que ça ne se contrôle pas, même quand on le voulait. Et puis, au final, tu n’as pas non plus résisté très longtemps. Tu as vite cédé même si ça a été les montagnes russes. Mais Jordan n’est en rien comme les rares ex que tu te traînes comme des casseroles malheureuses aux chevilles. Lui est patient et, surtout, compréhensif envers toi. C’est loin d’être un mauvais garçon et c’est exactement ce dont tu avais besoin.

« Nope. Pas un mec. J’ai tout ce qu’il faut pour te satisfaire de ce côté là. Je peux pas concurrencer une femme et puis honnêtement même pas en rêve un autre mec te touche. Je suis le seul. Et j’explique pas pourquoi ça me fait kiffer de t’imaginer baiser avec une fille. C’est un fantasme, je l’explique pas plus que ça… » Okay okay okay mais là, t’es presque soufflée. Comme tu le lui as déjà dit, son fantasme ne te dérange pas. A vrai dire, c’est presque la bénédiction d’aller coucher avec une autre qu’il te donne, pour peu qu’il soit là pour observer. Par contre, c’est son ton catégorique qui… Te rend toute bizarre. « Je suis beaucoup trop fier que tu sois ma fiancée, qu’on soit exclusif, je vais pas te partager à une autre queue nope. En plus parait que je suis beau et je suis bien monté, je suis le numéro 1 je suis l’unique. » Tu restes… Sans voix ? Dommage qu’y a pas de lumière, Jordan manque ta bouche en O de surprise, choquée de l’entendre être aussi possessif ? Jaloux ? Protecteur ? Ca te fait frétiller très fort en tout cas. “J’imaginais pas que c’était… A ce point.” Tu mords ta lèvre en allant glisser une main sous son haut. “C’est dommage que je puisse pas voir ta tête car imaginer ton air assuré voire presque outré est un scandale alors que je pourrai avoir la vraie version.” Tu vas totalement glisser une jambe entre les siennes. “En tout cas, tu viens de me donner un coup de chaud… Je te pensais pas aussi possessif. Ni assuré. Ça fait plaisir à entendre. Tu vas me rendre toute chose.” Tu vas même mordre sa mâchoire - enfin, tu crois que c’est la mâchoire mais une fois tes dents posées, oui, tu reconnais la mâchoire. “T’es beau, t’es trèèèès bien monté, t’es mon n°1 unique à moi, rien qu’à moi.” Que tu susurres avant d’embrasser ce que tu penses être ses lèvres mais c’est plutôt sa joue. “Y’a un petit paon finalement là-dessous… I like that…” Ta main caresse la peau de son torse alors que t’es toute collée à lui. Franchement, la meilleure distraction.

C’est le silence qui te répond en premier et tu es encore dans ton moment de détermination quant à tout ce que tu viens de dire. Aucun autre homme que toi. Nope. C’est clair net et précis, irrévocable, tu pourrais sortir encore plus d’adjectif. J’imaginais pas que c’était… A ce point.” Et elle l’a bien ressenti au travers de tes mots que tu y as été fort. Avec le coeur. Tu t’inquiètes deux secondes si jamais tu as été trop extrême et qu’elle n’a pas aimé ça mais quand tu sens sa main s’installer sous ton haut tu comprends qu’elle a aimé tout ce que tu as eu à dire. “C’est dommage que je puisse pas voir ta tête car imaginer ton air assuré voire presque outré est un scandale alors que je pourrai avoir la vraie version.” Voilà. Ca. Un sourire amusé se trouve sur ton visage. « J’avais l’air si assuré ? » Tu sais pas trop en vrai, t’as été dans une petite spirale le temps d’un instant. Aveuglé par ta possessivité. Tu sens sa jambe au milieu des tiennes Damn. Parce que visiblement tu l’as grave excitée ton oiseau. “En tout cas, tu viens de me donner un coup de chaud… .” « Ouais je vois ça. » Tu apprécies beaucoup même si tu voulais te refroidir plus que t’allumer. “Je te pensais pas aussi possessif. Ni assuré. Ça fait plaisir à entendre. Tu vas me rendre toute chose.” Tu te mords la lèvre à ses mots, c’est vrai que t’es pas du tout comme ça sinon. Surtout assuré. Ca te laisse un peu muet, timide ? On dirait oui. Mais elle est en train de te gravir avec amour et envie. Ses lèvres sur ton visage, sa jambe entre les tiennes. Tu caresses son dos avec douceur. Pas dérangé de ses gestes.

“T’es beau, t’es trèèèès bien monté, t’es mon n°1 unique à moi, rien qu’à moi.” Ca fait du bien à ton petit coeur de l’entendre confirmer tout ce que tu as dit. « Mowww… I love you. » Tu répliques, touché par sa déclaration. Ses lèvres toujours à gravir ton visage, tu aimes. Ton deuxième bras qui l’encercle. “Y’a un petit paon finalement là-dessous… I like that…” Un sourire amusé se forme sur ton visage. « C’est pas la première fois que je dis des trucs comme ça nan ? Si ? » Tu sais pas, mais tu sais aussi que si tu l’as déjà fait ça aurait été plutôt sur le ton de la plaisanterie car c’est une blague de t’imaginer aussi beau. « J’essayerai de le refaire à la lumière. Repose moi la question plus tard… » Car tu ne veux que lui faire plaisir. Veux-tu qu’on fasse l’amour au milieu de la tempête ? Tu ne poses pas la question car tu n’as pas vraiment besoin de réponse pouvoir que vous vous dirigiez par là, mais surtout, elle a l’air d’avoir oublié la tempête et tu ne veux pas le lui rappeler. La distraction est bien meilleure. « Un paon c’est un oiseau en plus j’aime beaucoup. » Oui tu reviens là dessus parce que tu repasses en boucle sa phrase qui te fait plaisir. Tu es un paon. Tu es beau, tu es l’unique, le numéro un, tu as la confiance. C’est beau et c’est rare.

« J’avais l’air si assuré ? »
“Assuré, possessif, confiant, même un peu jaloux… Ca fait quelque chose à une pauvre créature comme moi.”

Autant d’adjectifs qui ne vont pas tant que ça à Jordan, pas autant qu’à ce moment là précisément. Tu es à la fois ravie de voir qu’il peut être tout ça à la fois et t’es aussi hyper flattée, comme à chaque fois, de voir qu’il apprécie que ton cœur ne soit dévoué qu’à lui. Il a réussi à le capturer et il veut le garder à tout jamais, refusant même qu’un autre vienne tenter de conquérir tes tréfonds. C’est dommage, dans un sens, car tu n’as jamais eu le plaisir d’avoir deux corps masculin juste pour toi. « Ouais je vois ça. » Ton fiancé doit plus le sentir que le voir mais ça te fait sourire. Tu te sens tellement mieux tout d’un coup. L’impression que l’extérieur n’existe pas. Il n’y a que lui et toi. Lui avec sa confiance et toi avec ton envie de le bouffer. Il ne t’en faut pas beaucoup. Tu glisses doucement mais sûrement vers le mood en tout cas. Ce n’est pas de ta faute. Tu es un pauvre oiseau sans défense. Qui est vraiment frustré de ne pas voir son partenaire de vie.

« Mowww… I love you. » Ton coeur gonfle et un autre baiser est déposé sur son visage. I’m gonna eat him. Trop précieux pour ce monde, encore plus trop précieux pour toi. Mais t’en prends soin autant que lui prend soin de toi. Depuis ton réveil c’est le cas. Depuis que t’es réveillée, il prend soin de toi. Il fait attention à toi. Il te colle, il te soutient, il te berce. « C’est pas la première fois que je dis des trucs comme ça nan ? Si ? » Tu vas lui mordiller la lèvre. Du mieux que tu peux dans le noir. “Mmh, je m’en rappellerai… Peut-être pendant l’acte… When you’re all bossy and all.” Quand Jordan te prend sérieusement, en te claquant les fesses, en étant le plus bestial des animaux. La forme qui t’excite le plus, aussi dérangeant que cela peut être pour le monde extérieur. C’est sûrement parce que le contraste avec sa vraie personnalité est grande. Le voir différemment, en pleine confiance, en pleine dominance aussi, ça te fait rouler les yeux dans leurs orbites. « J’essayerai de le refaire à la lumière. Repose moi la question plus tard… » Maintenant, c’est ta langue qui caresse son menton pour remonter vers sa bouche. “Dully noted.” Tu t’en rapppeleras, de ça, c’est certain. Etrangement. La mémoire sélective, hein. « Un paon c’est un oiseau en plus j’aime beaucoup. » “Mmh, moi, c’est toi que j’aime beaucoup.” Ton genou qui remonte un peu plus vers entre ses jambes vers le point le plus stratégique de son anatomie. “Mais tu peux être le paon quand tu veux. Surtout avec moi. Surtout pour me rappeler qu’y a que toi qui a le droit de conquérir mes tréfonds.” Ton sourire s’entend alors que tu vas mordre sa joue. Oui, t’as décidément que t’as envie de le mordre et de le lécher, clairement les baisers ne te suffisent plus.

“Assuré, possessif, confiant, même un peu jaloux… Ca fait quelque chose à une pauvre créature comme moi.” Damn. Ca te fait bizarre et boost ta confiance en toi à la fois. C’est grisant. C’est toi, tu n’as pas joué un jeu. “Mmh, je m’en rappellerai… Peut-être pendant l’acte… When you’re all bossy and all.” Comme dans ces moments là où tu es quelqu’un d’autre. Ton visage qui change et tu aimes ça énormément quand tu es tout le monde sauf toi. Birdie torture ton visage, ta peau, tes lèvres. Ca glisse doucement mais sûrement vers la luxure. Vous avez oublié la tempête, vous avez oublié qu’il y a des invités à l’étage supérieur. Vous êtes dans votre bulle. Advienne que pourra. Vous êtes en vie il faut en profiter. En vie pour faire l’amour mais pas pour procréer, c’est deux choses totalement différentes. T’as coupé à la source pour être tranquille oui oui on sait, on va pas aller de ce côté un peu - beaucoup - glissant du côté de la crise de nerfs. Tu en es bien loin là alors que tu sens sa langue sur ton menton. Sur tes lèvres. Tu as bien entendu qu’elle n’oubliera pas de te reposer la question en lumière.

“Mmh, moi, c’est toi que j’aime beaucoup.” Les mots sont doux et son genou est chaud contre ton milieu. « Hmmm… » “Mais tu peux être le paon quand tu veux. Surtout avec moi. Surtout pour me rappeler qu’y a que toi qui a le droit de conquérir mes tréfonds.” Y’a un: « Oh my god… » Qui s’échappe hors de ton contrôle. Elle te fait réagir autant avec les mots que les gestes. Elle te mord encore et ça te fait frissonner. C’est le retour de la crampe qui avait commencé à faire marche arrière. « I was trying to cool down, why are you doing this to me and please do not stop. » Tu dis tout et son contraire alors que tu te fais embobiner l’esprit et le corps par ta fiancée. Y’a tes mains qui trouvent sa peau sous ses vêtements et très très nettement tu es en train de passer la vitesse supérieur car l’envie est plus que palpable. Tes dents vont aussi dans sa peau et tu vas enfin retrouver sa poitrine que tu avais laissé de côté pour pas trop te réveiller mais c’est trop tard là. Tu n’as plus de barrière. Si elle a envie de plus et bien soit. Vous êtes chez vous après tout. Vous êtes des adultes fiancés et consentant. La seule chose qui pourrait mettre un stop c’est que quelqu’un cherche à entrer dans le studio.

Citation :

WIN – Et personne ne vient dans le studio non hehe.

SO CLOSE – C’est Jeremy qui revient. « Etes vous décents ? » Qu’il demande au travers de la porte. Il vous connait bien le petit père. Il frappe sans entrer. Il attend. Il veut juste savoir si tout va bien comme ça fait presque une heure qu’ils sont là en bas tous les deux. Il a même apporté des bonbons.

FAIL – C’est Maria avec une bougie à la main. Elle frappe aussi à la porte car elle connait le petit filou de Jordan. Elle sent bien que Birdie est toute aussi chipie. « Je peux entrer ? » Elle ne veut pas tomber sur quelque chose qu’il ne vaut mieux pas voir, mais elle veut récupérer quelque chose dans ses affaires.

 

« Oh my god… » Tu sais que Jordan réagit autant que toi envers lui. Il te l’a dit tout à l’heure et puis, même sans le dire, même sans le voir, c’est une valeur sûre. Vous deux, ensemble, isolés du monde, dans votre monde, votre bulle, oubliant ce qu’il se passe dehors. Ce que tu fais n’est pas non plus anodin, tu sais très bien viser quand il s’agit de le charmer. Lui non plus n’est pas compliqué, il faut dire. Vous êtes synchronisés sur ce plan-là. Aussi faible l’un que l’autre. C’est le pouvoir de l’amour, tout simplement. Et de vos hormones d’adolescent. « I was trying to cool down, why are you doing this to me and please do not stop. » Tu mords ta lèvre en l’entrainant un peu plus sur toi. “Because I love you and I want you to love me back as deep as possible.” T’es clairement en train de faire un sous-entendu sexuel en étant pseudo romantique. T’essaie mais t’y arrive pas ; ta libido te rattrape toujours.

Et puis, tu as les mains de ton fiancé sous ton haut, ses dents qui te bouffent la peau, alors que toi, tu plantes tes griffes dans la sienne. T’es juste faible, Jordan se laisse faire et te demande même de continuer, alors pourquoi diable tu arrêterai ? Et puis, tu ne penses même plus au manque d’électricité, de réseau et de l’absence de nouvelles de tes proches. De toute façon, tu ne peux rien faire pour l’instant, pas même sortir de chez toi. Tu as juste à espérer que tout le monde est en sécurité et non à faire les cons dehors. En attendant, il y a pire comme passe temps de profiter de l’affection de son fiancé. Qui te fait légèrement gémir dans ses caresses.

« Etes vous décents ? » Mais ça t’arrête un moment dans tes gestes. “Ca a parlé ?” Que tu demandes à Jordan, comme si tu n’avais pas entendu - c’est le cas. “Y’a quelqu’un ?” Tu hausses la voix pour parler… A qui ? « Ouais, c’est Jeremy. Je peux rentrer ou pas ? » Tu grognes légèrement. “Mais quel cockblocker celui-là.” Tu grommelles. “Tu veux quoi ?” T’interroges de nouveau plus fort pour que le meilleur ami de ton fiancé t’entende. Tout en allant lécher le visage de Jordan. Et de le mordiller. Une de tes mains glisse vers le bas car t’as envie de jouer et de le tripoter encore un peu. Quitte à te faire gronder. Ca serait encore mieux, huhu.

Tu la laisses te tirer sur elle, tu es le plus heureux des pantins. Tu fais attention à ne pas l’écraser totalement. Toi tu aimes avoir tout son poids sur ton corps mais elle est aussi plus légère que toi ton oiseau. Hors de question qu’elle meurt suffoqué par ta propre personne. “Because I love you and I want you to love me back as deep as possible.” « Oh my god… » Qui file une fois de plus entre tes lèvres. Elle est douée pour t’allumer en un temps record avec des mots lubriques en plus de ses gestes. Le pire dans tout ça - ou le meilleur - c’est qu’elle reste toute poli encore là. Tu aimes quand elle essaie de faire la petite fille sage. C’est super facile en réalité car elle a un visage d’ange. Juste dommage que tu ne puisses que l’imaginer à ce moment précis vu le noir de la pièce. Vous êtes plutôt d’humeur bestial vu vos dents et ongles implantés l’un dans l’autre au fur et à mesure de vos baisers et caresses.

Mais ça c’était avant. Car vous êtes interrompu. “Ca a parlé ?” « T’as entendu quelque chose? » Tu n’as pas entendu de ton côté. “Y’a quelqu’un ?” Qu’elle demande alors que tu as toujours une main sur sa poitrine et tu ne comptes pas l’enlever. Ceci n’est qu’un petit contre temps qui- « Ouais, c’est Jeremy. Je peux rentrer ou pas ? » Shit. Y’a vraiment quelqu’un. Elle a bien entendu. “Mais quel cockblocker celui-là.” Tu es bien d’accord. “Tu veux quoi ?” « Est-ce que tout va bien ? » Tu demandes par dessus la voix de Birdie. Tu veux aller à ce qui est important. « Vous avez besoin de nous ? » « Ca va oui, je voulais juste vérifier que vous étiez ok. Ca fait plus d’une heure que vous êtes là. » Oh ? Le temps passe vite quand on ne fait qu’un avec sa moitié. « Oui ça va mieux ici. On va rester encore un peu. On vous rejoint plus tard. » « J’ai apporté des bonbons vous les voulez ? » Tu regardes Birdie et tu lui dis, juste à elle. Pas fort. « J’ai tout ce qu’il faut à sucer déjà ici. » Tu vas d’ailleurs finir de relever son haut afin d’enfin poser tes lèvres sur sa poitrine que tu suces, gobes. Ton bonbon préféré.

« Oh my god… » T’es complètement aux faits de ce que tu dis, tout autant que ce que lui peut te faire aussi en retour. C’est une de la plus délicieuse des batailles dont tu espères que personne ne finira jamais la guerre car c’est véritablement trop plaisant comme sensation. D’avoir quelqu’un qui peut accepter ce que tu dis et qu’il en rajoute autant derrière. Et puis, vu vos gestes et vos caresses, il n’y a pas de doute que ça va tourner en partie de jambes en l’air très rapidement.

« T’as entendu quelque chose? » Mais t’es certaine d’avoir entendu quelque chose - ou plutôt quelqu’un. Et oui, c’est bien Jeremy qui est juste derrière la porte. Qui n’est peut-être pas fermée à clé, t’en sais rien. De toute façon, vous êtes dans le noir. « Est-ce que tout va bien ? » Tu vas lui léchouiller le menton car c’est visiblement ce qui se trouve juste sous ton pif. « Vous avez besoin de nous ? » T’espères pas. “J’espère pas.” Que tu souffles juste pour Jordan. « Ça va oui, je voulais juste vérifier que vous étiez ok. Ça fait plus d’une heure que vous êtes là. » Plus d’une heure ? Déjà ? T’es en train de mordre sa peau. « Oui ça va mieux ici. On va rester encore un peu. On vous rejoint plus tard. » Ca va même très bien car Jordan a réussi l’exploit de mettre ton cerveau sur off, c’est extrêmement plaisant. « J’ai apporté des bonbons vous les voulez ? » T’as les yeux qui s’écarquillent. « J’ai tout ce qu’il faut à sucer déjà ici. » “Oh my-” Cependant, ton fiancé s’empresse de dénuder ton torse et tu sens qu’il prend directement possession de ta poitrine. C’est là que tu te rends compte que t’es un poil plus sensible car t’as un petit gémissement avant de plaquer ta main sur la bouche. “Plus tard, Jer, plus tard!” Tu réponds à son meilleur ami en essayant de ne pas avoir la voix trop engourdie par l’envie. Tu mords ton doigt afin d’éviter de sortir un soupir qui pourrait être bien trop fort, d’autant que t’entends pas si Jeremy est retourné en haut ou pas. « Okay… On va essayer de vous en garder mais je promets rien. » Mais toi, t’as déjà les mains dans les cheveux de Jordan pour les tirer, tes jambes l’agrippant sur les côtés et des soupirs étouffés que tu tentes de garder dans un contrôle maximal. “A quel point ton studio est insonorisé ?” Tu demandes, maligne. “Give me paradise, baby…” Tu vas clairement faire ta princesse à le laisser tout gérer. “I have a lot of nerves to calm down in that damn body.” Ca, c’est plutôt vrai.

Elle te fait frissonner avec ses dents dans ta chair alors que tu répliques à ton ami. “Oh my-” Elle réagit à tes mots - dont tu es fier - et t’as déjà tes lèvres sur son corps, à manger un de tes deux baby. Tu ne comptes pas répondre plus à Jeremy, tu es trop occupé à des choses importantes là. Birdie t’a bien allumé après que tu aies voulu te refroidir, tu sais très bien que cette fois ci, vous allez explorer vos tréfonds respectifs au milieu de cette tempête. Tu es certain qu’il y aura un petit baby boom si les couples chez eux n’ont rien à faire qu’à se lécher le museau pendant cette coupure d’électricité. “Plus tard, Jer, plus tard!” My baby knows how to handle him. Car toi, tu es trop occupé. Tu ne t’arrêtes pas, elle te tentait avec ses dents, tu lui renvoies l’ascenseur. « Okay… On va essayer de vous en garder mais je promets rien. » Il parle beaucoup trop ce Jeremy. Vous ne répondez plus et le silence a l’air de se faire de l’autre côté de la porte.

Les mains de Birdie dans tes cheveux, ça te fait frémir. Il t’en faut vraiment peu. Faut dire que t’es au paradis là, ses seins dans ta bouche. Le meilleur moyen ne plus être stressé du monde. Ta fiancée a ses jambes autour de ta taille, tu sais très bien la suite. “A quel point ton studio est insonorisé ?” Ca te fait rire contre sa poitrine. Ton studio n’aura jamais été aussi parfait que maintenant. Tu n’aurais jamais cru avoir besoin d’être discret pour faire l’amour chez toi. « We good. » Tu es confiant. Personne là haut entendra quoi que ce soit. “Give me paradise, baby… Tu es déjà de nouveau sur son torse. “I have a lot of nerves to calm down in that damn body.” Tes lèvres qui descendent sur son ventre alors qu’une main va sur ses seins. Oui tu vas explorer son milieu de ta bouche avant de l’envahir pour ne faire plus qu’un à vous imbriquer parfaitement. Tu y vas peut être un peu intensément mais c’est juste toute la frustration que tu as accumulé. Tu prends pas trop le temps une fois que t’es en elle. On dirait presque que tu veux atteindre un nouveau sous sol vu comme tu tentes d’aller le plus profond possible. On va se calmer Jordan, et c’est toi qui jouit en premier avec tes conneries. Tu étais tellement à fleur de peau, dans le bon sens du terme. Tu gémis dans son cou alors que tes soldats descendent à cette arrêt. Hors de question de laisser Birdie en reste, surtout après ce moment intense, tu vas titiller le bouton magique tout en mordillant la peau de son visage. T’as clairement toujours autant envie de la manger. Tu aimes tellement l’entendre perdre pied. « Come for me baby. » Tu murmures contre sa peau. « Come for me my love… »

« We good. » Bon à savoir. Vous allez le mettre à l’épreuve. Voir si c’est vraiment bon et bien ou pas. Même si tu veux faire un effort pour ne pas être trop bruyante, ça reste une épreuve. Un test. Tu n’as jamais été doué pour les tests. Encore moins de ce genre-là. Tu as toujours été vocale et quand c’est le côté bestial qui ressort, tu as du mal à te raisonner, te contrôler. Tout est une question d’instinct et tu n’aimes pas te restreindre. Pas dans les flux de la passion et de l’envie. C’est le meilleur. Et c’est le plus détendant. Relaxant. Ton activité préférée, sans rire.

Ce qui est encore plus le cas quand Jordan est aussi entreprenant. Aussi passionné et intense dans ses gestes. Il s’occupe de toi comme un maître sur son œuvre. T’es faite pour être aimée et aimer en retour. Ça se ressent encore plus. Ton besoin de tendresse est plus fort aujourd’hui. Plus sensible. T’as besoin de lui à tous les niveaux. Tu le savais déjà, tu l’as réalisé l’hiver dernier. Après le départ de Will. Après les tourments découlant des problèmes. De ces problèmes d’adulte qui t’ont toujours fait peur. Alors tu le laisses faire ce qu’il veut. Qu’il morde, qu’il savoure, qu’il embrasse, tout anime cette libido si sensible, si délicate, si facilement accessible. Jordan te conquiert avec puissance et énergie. Avec vigueur aussi. Le fait d’être dans le noir ajoute aux gestes sur les corps une dimension supplémentaire. Une frustration aussi. De ne pas le voir. Mais les soupirs et les grognements de ton fiancé seraient suffisants à te foutre en l’air au paradis.

Cependant, ton partenaire est tellement rapide que tu n’as pas le temps d’atteindre le St Graal de l’extase. « Come for me baby. » Jamais Jordan ne te laissera sur le carreau. Ses doigts déjà sur toi alors que son souffle est contre ton cou. Ses doigts opérant de la magie sur ta zone la plus érogène. « Come for me my love… » Ses mots en plus de ses gestes te font vriller. Tes gémissements n’en finissent pas jusqu’à ce que tu te cambres pour expier ton extase. Tes bras autour de lui alors que les vagues te submergent, tu mords son oreille qui a l’air d’être juste là pour éviter de trop crier. “I love you so much.” Que tu lui souffles dans le creux de son ouïe. Tu restes les bras et les jambes accrochés à lui alors que tu te remets doucement, profitant des sensations. Elles sont délicieuses, elles détendent chaque parcelle de ton être.

“I love you so much.” Qu’elle te souffle après que le plaisir l’ait submergé. Tu restes contre son corps, vous n’êtes pas pressé, vous n’avez nul part à aller. Vous avez besoin de tuer le temps et vous avez véritablement usé de la meilleure façon de faire, à ton avis. Tu parsèmes sa peau de baiser. Ton coeur bat fort dans ta poitrine de par vos ébats et ses doux mots.

Votre maison est fabuleuse car vous avez tout le loisir de vous débarbouillé sans être dérangé. Première fois que tu utilises vraiment cette salle de bain pour autre chose que te laver les mains ou pisser entre deux montages de meuble. Elle est bien évidemment plus petite que l’autre mais c’est un bonheur d’avoir ce luxe. Tu es fier de ton parcours et du votre en commun pour en être arrivé là. Une maison si belle ça reflète une réussite, même si vous l’avez eu moitié prix, la moitié du prix était pas négligeable. C’était le budget. A la lumière de ton téléphone que tu l’embrasses entre deux coups de gants ici et là. Tu aimes beaucoup car tu ne te vois pas bien, voir pas du tout. Que du beau sous tes yeux. Ton oiseau. Pas toi.

*****

Plusieurs heures plus tard le vent s’est calmé dehors même s’il est toujours bien présent. Vous êtes en train de manger un peu tout ce qui est à disposition vu que l’électricité n’est toujours pas de retour. Le gâteau est bel et bien fini à présent, vous vous en êtes mis plein la pense. Tu as personnellement mal au ventre puis que vous n’avez rien à faire que manger et discuter et dormir. Jeremy regarde par le petit bout de baie vitrée qui est encore accessible au monde extérieur. Toi tu es comme une larve dans le canapé lit de nouveau oui oui, collé à ton oiseau parce que c’est la seule configuration que tu veux. Tu somnoles, tu es bien, le vent souffle toujours dehors mais ça ressemble plus à ce que vous avez eu la veille qu’à la folie d’un peu plus tôt qui vous a fait perdre internet et l’électricité.

*****

C’est en fin de journée que tout vos invités sont partis. L’électricité est toujours pas là et tu es allé te proposer pour remonter les affaires de Maria de ton studio afin de lui éviter quelques mauvaises surprises. Tu ne penses pas qu’ils aient été dupe vu tout le temps que vous avez passé dans le studio, mais quand même, c’est sympa de garder l’illusion que vous êtes resté sage là bas en bas. Tu fais un petit tour dehors avec Birdie après qu’ils soient tous partis et que vous leur ait dit au revoir.

Citation :

WIN – Y’a quelques trucs qui ont volé dans tout les sens et quelques plantes très mal en point. Ca donne l'impression que c'est un peu le bordel sur votre beau et grand terrain.

SO CLOSE – Y’a quelques trucs qui ont volé dans tout les sens et quelques plantes très mal en point. Ca donne l'impression que c'est un peu le bordel sur votre beau et grand terrain. Si vous avancez un peu plus vous verrez quelques branches d'arbres déchirés.

FAIL –  Y’a quelques trucs qui ont volé dans tout les sens et quelques plantes très mal en point. Ca donne l'impression que c'est un peu le bordel sur votre beau et grand terrain. Si vous avancez un peu plus vous verrez quelques branches d'arbres déchirés. Et y'a un arbre qui est tombé au milieu du chemin pour aller à la dépendance.

 

Vous vous êtes traînés dans la salle de bain afin de vous décrasser un peu. Jordan t’a nettoyé et t’as fait pareil avec lui. Vous êtes une bonne équipe, malgré le fait que tout soit figé dans le noir. Il y a eu des “merde” soufflés quand un orteil se prenait la porte ou un rire qui sortait quand la mousse arrive dans la bouche. Il y a les mains qui parcourent encore, plus amoureusement, plus taquin, sans arrière pensée lubrique. T’appuie sur les côtes, tu masses les fesses, tu embrasses le bras. Autant que lui qui te parsème de délicats baisers ici et là. Vous prenez soin l’un de l’autre car il n’y a que vous qui savez le faire - non, c’est faux mais tu aimes prétendre que si. Il n’y a que vos attentions respectives qui savent guérir et parler à vos corps. C’est toujours la même histoire mais jamais le même scénario.
Ce n’est pas pour rien que tu finis par piquer du nez une fois la douche prise. Ton corps est parfaitement détendu, il fait toujours aussi noir mais il y a Jordan. Tout va bien si tu es maintenue. Soutenue. Enlacée. Aimée.

Et quelques heures plus tard, après avoir émergé dans le salon, allant du canapé lit du studio au canapé lit du salon, une tasse de café à la main, t’es toujours enlacée par les mêmes bras de ton partenaire qui ne veut pas te voir loin de lui. C’est comme ça que tu l’interprètes en tout cas. Tu apprécies. Ça ne te dérange pas. Du tout. Sauf quand tu as ton mug dans les mains - un nouveau car t’as brisé l’autre dont les morceaux gîent dans la poubelle - tu es toute recroquevillée contre Jordan. Qui somnole, tu le sens bien. Tu le cajoles autant que lui le fait. Vous aurez l’occasion de vous séparer de nouveau quand la lumière reviendra mais pour l’instant, même à la lueur des bougies, t’as pas envie de te décoller de lui.

A la fin de la journée, quand le temps semble revenir un peu plus clément, les invités décident qu’il était temps pour eux de partir. Seulement si le temps le permet. Et visiblement, c’est le cas. Jordan va chercher les affaires de Marie et tu mords tes lippes pour ne pas rire car ce n’est pas franchement discret comme tactique. Mais ça fonctionne et puis, qu’importe ; vous êtes chez vous et les machines à laver n’existent pas pour rien. Elle s’occupera de laver vos cochonneries que tu ne regrettes pas.

Tu es presque éblouie quand vous sortez dehors. Il vente encore un peu mais ce n’est plus la grosse tornade comme plus tôt. Tu remarques directement les trucs de Noël qui se sont fracassés contre les murs du sous-sol. Les branches éparpillées partout. Il y a des plantes qui se sont brisées et d’autres arbres mal au point. “Heureusement que je me suis pas encore occupée de planter des trucs dans le jardin.” Tu as l’ambition de tenter les fleurs et un potager, oui. T’aimerai aussi un endroit parfait pour vos animaux, surtout sécurisé. Tu passes une main sur ton front en voyant qu’y a un arbre qui s’est carrément déraciné pour tomber au milieu du trajet. “Bordel, va y avoir du nettoyage à faire.” T’as une petite moue alors que tu vas récupérer ce qui était un renne mais qui n’est plus que l’arrière train du renne, le reste ayant été complètement décimé. “Bon, ça aurait pu être pire.” T’essaie de positiver. Ce n’est pas comme si vous n’aviez pas eu le temps de vous préparer psychologiquement les jours d’avant. “Genre un arbre tombant sur une de deux habitations… Voire les deux.” Oui, vous êtes chanceux de ce côté-là. Vous vous dirigez vers la dépendance. “Putain…” Vous n’avez pas protégé les fenêtres et la moitié de celles de la dépendance sont brisées. Le toit est aussi à nettoyer, tout comme celle de la maison principale. Il y a des branches et des feuilles partout. “Bon… Ca aurait pu être pire.” Que tu répètes, oui.

C’est toi qui a mis un plaid en plus sur les épaules de ton oiseau une fois dehors. Elle n’était pas assez couverte à ton goût et tu l’as bien vu sortir sans pression telle qu’elle était. Le vent est encore bien là et tu n’as pas envie que ta fiancée tombe malade. C’est déjà assez éprouvant d’avoir traverser une tempête (oui littéralement), tu veux que les jours qui suivent soient sur une pente montante. “Heureusement que je me suis pas encore occupée de planter des trucs dans le jardin.” Ta main dans la sienne, tu suis son lead dans votre exploration des alentours sur votre grand domaine. Y’a des trucs sacrément impressionnant en voyant le contre coup des éléments qui se sont déchaîner aujourd’hui. “Bordel, va y avoir du nettoyage à faire.” Tu lâches sa main quand elle file récupérer un truc que tu n’arrives pas à identifier tout de suite. Une déco de Noël. “Bon, ça aurait pu être pire.” « Ouais… » Tu penses à ta pauvre maison numéro uno qui n’a pas survécu à un dégâts des eaux. En soit ça n’était pas si grave, juste matériel oui. Mais quand même. Ta maison était ton premier bébé. Tout comme celle ci est le premier bébé de Birdie. Enfin, le troisième. Quatrième même. Tu n’oublies pas Chloe. “Genre un arbre tombant sur une de deux habitations… Voire les deux.” « Shh… Parle pas de malheur. » Tu veux pas avoir à retourner vivre chez quelqu’un. Vous êtes libéré depuis deux mois seulement.

“Putain…” « Shit. » Tu vois les dégâts sur la dépendance. Heureusement que personne n’avait été là bas, mais en même temps si vous y aviez été, vous aurez protégé les fenêtres. C’est assez impressionnant mais… “Bon… Ca aurait pu être pire.” « Ouais. » Tu l’as pensé en même temps qu’elle l’a dit. Ca te fait un petit quelque chose à ton petit coeur tout mou. « On a toujours une maison à nous. » Tu dis en allant reprendre sa main dans la tienne. Elle va pas s’envoler Jordan. Tu te rends compte comment tu l’as pas lâché d’une semelle depuis qu’elle est levée ? Et alors? Non non rien, c’est qu’une observation. Le vent souffle toujours et vous êtes dehors, tu fais signe à Birdie de faire chemin arrière. « Rentrons, on s’occupera de tout ça demain. » Tu déposes un baiser sur le dessus de sa tête car elle est juste là. C’est sûr vu comme tu lui colles aux basques. Gnia gnia gnia. « J’espère que l’électricité va revenir bientôt. J’ai plus de place pour manger tous les trucs là… » Tu as encore sommeil, la journée fut longue et éprouvante. Toujours pas terminée en plus.

Une main serre le plaid que t’as sur les épaules tandis que l’autre est dans celle de Jordan. Celui-là même contre qui t’as voulu protester quand il a commencé à vouloir t’emmitoufler comme un burrito mais au final, que tu ne regrettes pas car c’est peut-être l’été mais ce n’est clairement pas une journée des plus chaudes de l’année. « Ouais… » T’essaie de relativiser tout ce que vous voyez. Ce n’est que du matériel, après tout. Tu espères qu’Elimbah n’a pas été touché. Tu téléphoneras à Stan ou à la sœur de Malachi pour savoir. Quand vous aurez de nouveau la connexion vers l’extérieur. « Shh… Parle pas de malheur. » Tu fronce du nez. “Mmh. Je dis juste qu’on est quand même très chanceux. C’est nos bonnes étoiles qui ont veillé sur nous.” Tu as envie de croire que Victoria fait partie de ce petit miracle. Vu la forêt que vous avez autour de vous, c’est un vrai miracle après tout.

« Shit. » Finalement, vous aurez quand même des travaux à faire. Dame Nature ne voulait pas vous laisser sans rien avoir à faire. « Ouais. » Tu pinces les lèvres. “Il faut positiver. C’est un renouveau.” La dépendance, vous ne savez toujours pas trop quoi en faire. Au moins, vous pourrez commencer à la rénover. A mettre votre patte. « On a toujours une maison à nous. » Tu hoches la tête. C’est déjà ça. Vous avez toujours un toit sur la tête. Pas besoin de retourner à l’appartement. Tu mords ta joue en resserrant le plaid autour de toi. « Rentrons, on s’occupera de tout ça demain. » Jordan embrasse le sommet de ton crâne et tu rebrousses chemin avec lui. Doucement mais sûrement. « J’espère que l’électricité va revenir bientôt. J’ai plus de place pour manger tous les trucs là… » Tu fais attention où tu mets tes pieds alors que vous retournez vers la maison toujours plongée dans le noir. “J’espère aussi.”

Tu passes son bras autour de tes épaules pour remettre ta main dans la sienne. “En vrai, ça me réjouit plutôt pas mal de devoir faire des travaux dans la dépendance. Elle en avait déjà besoin avant. On ne sait d’ailleurs toujours pas quoi en faire.” Ou alors tu ne t’en rappelles pas ? “Après, vivre à la lueur des bougies n’est pas non plus désagréable. Ca fait un petit côté romantique.” Tu souris légèrement en te collant un peu plus à lui. “On pourrait jouer à des jeux. Oh, tu veux faire de la peinture sur moi ?” Que tu proposes comme ça, parce que ça te passe par la tête et que vous avez ce qu’il faut pour. Autant profiter des activités qui ne nécessitent pas de technologie. “Si ça dure trop longtemps, on pourra toujours aller à Elimbah. Je pense que ça a dû être épargné.” T’en sais rien mais c’est plus loin et dans les terres donc peut être que c’est possible. “Ca a pas trop gâché ton anniversaire ? T’as bien apprécié le gâteau ? J’étais pas sûre si t’allais être okay mais vu comment il est bien parti, je me dis que j’ai bien fait. Le pâtissier boulanger du quartier est vraiment doué.” C’est bien de te voir parler autant. Si tu parles, c’est que ça va. Les dégâts sont moindres que tu l’aurais songé. Ou alors tu prends tout avec plus de philosophie. Il y aura du travail à faire et ça te réjouit plutôt bien à vrai dire. Ça te fait du bien d’être aussi positive.