Depuis la nuit que nous avions passé ensemble je n’avais pas pris de nouvelles pas plus qu’il ne m’en avait donné. De toute façon il avait été très clair que notre relation était physique et que nous n’avions pas d’attache l’un pour l’autre. D’autant plus qu’il n’étais pas prêt à partager qui il était et que je lui avais promis de ne plus lui en parler ni même de lui demander quoique se soit. Le lendemain matin je m’étais d’ailleurs éclipsée rapidement afin de rentrer chez moi pour me changer avant de repartir travailler. Je devais faire le point sur les photos pour pouvoir par la suite les montrer au client qui devait passer l’après midi même pour valider l’ensemble de mes choix et pour que je puisse travailler sur le shooting en extérieur et débuter la campagne de pub.
En regardant les photos j’avais du faire un tri et j’avais choisi celles ou Alejandro était le plus expressif, celles ou il dégageait énormément de charisme pour laisser de côté celle ou il semblait plus joueur même si j’en avais gardé 2-3 au cas ou. Quand mon client était arrivé l’après-midi nous avions longuement parlé et je lui avais alors soumis mon idée sur prendre l’espagnol comme modèle masculin. Mon client prit le temps de la réflexion ce qui paraissait normal avant de tout sourire me féliciter d’avoir compris ce qu’il voulait, quelqu’un de beau, de ténébreux mais que l’on avait jamais rencontré auparavant sur les panneaux publicitaires australiens. On discuta encore longuement afin d’établir le planning ainsi que le programme pour les shooting extérieurs, les autorisations à obtenir pour atteindre des endroits parfois particuliers et pour pouvoir les utiliser comme fond.
Il y aurait des shooting entre autre au Ningaloo Maritime Park et un autre au parc national de Karijini ou d’ailleurs la publicité serait tournée. Je devais donc appeler photographe, prévoir une équipe technique, prévoir les périodes de couchages, les repas et encore plein d’autres choses. En moins d’une semaine tout devait être bouclé afin de pouvoir après bosser en studio et préparer affiche et spot publicitaire. En appelant avec Chelsea pour organiser toute la logistique il était prévu que cela commence une dizaine de jours plus tard. Elle s’était d’ailleurs chargée de prévenir les quatre mannequins pour qu’ils viennent signer leur contrat et qu’ils sachent les termes et les conditions de ce travail.
Entre temps j’avais du finir de travailler sur d’autres projets et j’avais bien cru que je ne pourrai aller sur le terrain pour finaliser ce gros dossier mais Chris avait décidé de prendre en charge un de mes clients pour que je puisse aller sur la côte ouest. J’avais du prévenir ma tante que je serai absente 4 jours et qu’il faudrait veiller sur Roxanne. Mes affaires prêtes j’avais filé vers l’aéroport. On commençait les prises de vus le jour même au parc maritime et cela faisait donc deux semaines que je n’avais plus revu Alejandro.
Comme à mon habitude j’étais la première sur les lieux avec l’équipe qui devait préparer les écrans pour rediriger la lumière. Le photographe arriva et peu de temps après l’assistante qui était en charge de s’occuper de nos quatre mannequins. Je vis au loin Alejandro et lui fit un sourire avant de finir de parler avec le photographe. Il savait parfaitement ce qu’il avait à faire et moi je resterai en retrait. L’équipe des habilleuses, coiffeuses et maquilleuses prirent en charge les modèles et la journée commença sur les chapeaux de roues. Il y eu plusieurs poses afin de se repositionner par rapport aux mouvements du soleil. Mais en fin de journée tout était fini ici et nous pouvions aller à l’hôtel qui était à proximité de la seconde destination et ou nous resterions plusieurs jours. Le premier serait un jour off pour les modèles alors que le réalisateur de la pub ferait ses repérages avec l’équipe technique.
Une fois à l’hôtel, les coups de fils passés à Chris pour lui raconter cette journée, je décidais de me promener à l’extérieur pour me détendre avant de me réfugier dans la véranda chauffer pour éviter de mourir de froid.
Une fois n’est pas coutume, après notre nuit endiablée, je n’ai plus revu Ashley et je ne lui ai pas plus donné de nouvelle tout comme elle d’ailleurs car je pense l’avoir un peu refroidi en m’énervant et lui expliquant que pour l’instant je ne voulais rien de plus que des relations sexuelles avec. Cela faisait donc deux semaines que je ne l’avais pas revu et je ne sais pas si je vais la revoir de sitôt. D’ailleurs mon portable se met à sonner et je regarde le correspondant pour remarquer que c’est son agence publicitaire. Je ne comprends pas trop pourquoi ils sont en train de m’appeler, mais je décroche pour justement le savoir. A l’autre bout du fil c’est Chelsea la secrétaire de la blonde qui me demande de passer à l’agence car c’est officiel je suis l’un des mannequins de la publicité pour maillot de bain et donc de ce fait je dois venir pour signer le contrat qui me lie avec la boite pendant quelques semaines voire même moins … le temps du shooting quoi. Je lui signale que c’est bon et que je le ferais dans la matinée comme je n’ai rien à faire. Je comprends vite que je n’avais pas le choix puisqu’en fait on part dans l’après midi. Je remarque que c’est plutôt du rapide et donc je m’empresse de partir en direction du building de verre après m’être recoiffé afin d’être présentable.
Une fois arrivée là bas je ne suis pas le seul et je remarque qu’il y a deux autres mannequins : deux femmes et un homme. Je ne suis pas con donc je vois très vite que l’une d’entre elles sera ma partenaire de photo. Honnêtement les deux sont très mignonnes et ça ne me dérange aucunement. Je serre donc la main de l’homme avec un peu de poigne et je fais beaucoup plus doucement avec les deux jeunes femmes qui me sourient. Je me présente et ils font de même. Il y a donc Karl pour l’homme, Britney et Selena pour les filles. En revanche ce n’est pas que je les aime pas mais quand Chelsea arrive je m’empresse de signer et écouter ces quelques indications sur l’endroit qui serait en dehors de Brisbane dans un hôtel ou l’on sera nourri logé et blanchi. Il faut être à l’aéroport en début d’après midi. Quand j’ai toutes les données, je pars chez moi afin de préparer mes valises. Nous partons pour 4 jours seulement alors je n’ai pas besoin de non plus en prendre trop dans ma valise.
Tout est donc prêt et je pars vers l’aéroport. Je vais donc recroiser mon amante là bas et je me demande comment ça va se passer et savoir si elle va être hostile avec moi ou plutôt docile. J’ai une préférence pour la seconde solution mais on verra bien. Quand j’arrive à l’aéroport, je la vois et elle me sourit donc je le lui rends et quelque chose me dit qu’elle n’a pas l’air de m’en vouloir en fait. Malgré tout elle m’a juste fait ce sourire mais pas spécialement adressé la parole. Nous partons donc tous ensemble pour prendre l’avion. Le voyage se passe plutôt bien et une fois que nous posons nos valises dans l’hôtel, il faut déjà faire quelques poses devant l’objectif afin de voir si on a perdu la main ou pas. Je vois que les autres ont l’habitude et il est fort probable que je sois le moins capé. La journée en attendant se passe à merveille et tout est plutôt bien puisque nous nous n’attardons pas sur les photos. Je crois comprendre que c’est une journée ou les mannequins sont relativement libre et doivent à tout prix profiter car après on arrête plus.
De ce fait j’en profite après cela pour monter dans ma chambre et prendre mon maillot de bain pour aller dans la piscine et profiter du beau temps. C’est une sorte de réunion de mannequin puisque sans se prévenir nous nous retrouvons tous là bas. L’eau est plutôt bonne et mes yeux aussi sont comblés je dois l’avouer. Il n’y a pas de rapprochement physique pour le moment entre nous ou du moins pas très appuyé et la nuit tombe d’un coup ainsi qu’un climat relativement humide et frais … beaucoup trop frais. A cela se mêle la pluie et nous partons tous en courant pour retourner à l’intérieur de l’hôtel. Nous nous baladons dans les couloirs en petit maillot sans aucune gêne et nous passons par la véranda avant de rejoindre notre chambre respective. Je remarque qu’il y a Ashley et je regarde les autres
-Avancé je vous rejoins tout à l’heure
L’une des deux mannequins me dit que la pseudo soirée ou plutôt réunion dans sa chambre donc que je n’aurais juste à rentrer sans prendre la peine de toquer et je lui offre un petit sourire tout en hochant la tête. Je me tourne alors vers la jolie blonde et je m’approche d’elle tout en m’essuyant les cheveux avec ma serviette et je me mets à côté d’elle finalement en regardant par les portes fenêtres
-Il fait plutôt froid d’un coup … je sais de quoi je parle …
Je rigole doucement avant de lui faire face et de chercher son regard pour pouvoir y plonger le mien
Après cette journée éreintante quel plaisir de se retrouver la, admirant l’étendue infini devant moi. En cette saison il n’y a pas tant de touristes que cela car même si les journées sont belles, les nuits sont souvent plus que fraiches dans ce parc. Le photographe m’avait apporté des échantillons des prises de vues de la journée. Le rythme d’aujourd’hui avait été trépidant. Photos sur un site puis voyage jusqu’au second, mais tout le monde s’était prêté au jeu. Alors que je me détends j’entends des petits rires cristallins ce sont les filles modèles. Je me mets à sourire, le fait de les avoir prévenues que demain se serait une journée tranquille ils en profitent et ils ont bien raison. Moi demain j’aurai du travail, mon repos sera à mon retour à Brisbane et encore. Alors que j’entends les rires s’éloigner je sens comme une présence s’avancer vers moi. Dans le reflet de la baie vitrée, je vois de qui il s’agit. Il porte un maillot de bain mais je connais son corps. Il s’approche restant debout à côté de moi. Il continue de gouter et heureusement que nous payons bien l’hôtel parce qu’il pourrait se faire taper sur les doigts. “Ce sont les températures de saison ici et encore ca pourrait être pire.” A ma phrase il pivote et je lève la tête vers lui. Son regard me transperce et je ne sais pas dans la véranda il a beau faire bon un incroyable frisson parcourt ton mon être. Je joins mes deux mains mal à l’aise et inspire difficilement. Soyons professionnelle jusqu’au bout. “Alors ta première journée tu en as pensé quoi ? Est ce que cela t’a plu ?” En tant qu’agent je devais veiller à ce que tout se passe bien, à ce qu’il soit bien intégré et qu’il n’ait pas de problème. On payait suffisamment cher tout le monde pour s’assurer que l’ensemble du séjour se déroulerait parfaitement. “En tout cas j’ai vu qu’il y avait une bonne entente entre vous quatre. C’est important.” Je me souvenais d’ailleurs avoir entendu qu’il y avait quelque chose d’organisé. Ne voulant pas le retenir inutilement je préfèrai le libérer. “Tu sais d’ailleurs si tu veux les rejoindre…” A ce moment la je vis une goutte d’eau glisser le long de sa nuque pour venir se perdre entre ses pectoraux et glisser sur la ligne de ses abdominaux. Je me mordis l’intérieur de la joue tout en lui faisant un sourire. Cet homme était une invitation à la débauche, bon il n’était pas le seul l’autre mannequin aussi, mais Alejandro en plus je savais comment il était comment il fonctionnait. En fait travailler avec lui était très perturbant et l’espace d’un instant je viens à me dire qu’il aurait peut être fallu que je mette quelqu’un d’autre sur le dossier. “Ca serait plutôt une bonne chose car je n’aimerai pas que tu attrapes froid pour les prises de vue d’après demain.” Oui il serait fort dommage qu’il tombe malade car je n’avais personne pour le remplacer et je n’avais ni le temps ni l’envie, enfin l’envie, passons, de jouer aux gardes malades.
Au tout début je n’ai jamais été très friand du fait d’exposer son corps, ou d’être devant un objectif parce que si je travaille aussi dur mon corps, c’est pour mon plaisir personnel et rien d’autre … bon si peut être le plaisir de ces dames aussi mais rien d’autres. Seulement depuis ma première séance photo, puis le tournage avec Lauren j’avais pris gout à cela. Pour preuve un réalisateur est venu me voir récemment pour tourner dans un de ses films un rôle un peu plus important que celui que j’ai dans celui de Lauren bien que je ne sois pas encore une tête d’affiche non plus. Je n’ai pas encore accepté, mais je risque de le faire tout de même je pense. Et puis il y a maintenant ou je suis là en train d’entamer une double voire triple vie professionnelle et le pire c’est que j’adorais cela. Je rencontre de nouvelle personne et j’apprends à faire connaissance. Je dois avouer que je ne sais pas si ce shooting aurait le même gout sans Ashley c’est vrai. D’ailleurs en parlant du loup, alors qu’avec l’ensemble des mannequins nous nous dirigeons vers la chambre d’une des deux filles, je croise l’agent. Je leur signale de continuer et je vais vers la jolie blonde comme si au fond elle était un aimant. Je ne vais pas la coller directement non mais je vais la voir pour parler un petit peu comme nous ne l’avons pas fait depuis notre dernière coucherie. Pour engager la discussion, je parle du temps qui vient de nous tomber dessus et au fond je me rends compte que c’est assez bizarre et même bête de parler de cela avec elle, donc je ne lui réponds pas par la suite car je ne veux pas parler de ça. Je ne sais pas de quoi je veux parler mais pas de ça c’est sûr. Je me tourne alors vers elle pour la regarder et elle tourne la tête pour me regarder à son tour. Directement on sent qu’il y a de la tension électrique et nos corps se demandent déjà alors qu’ils viennent à peine de se revoir
-Oui c’est vraiment super j’adore … Merci … Merci pour tout ça. Je n’arrive pas vraiment à m’en rendre compte mais encore merci. Je ne regrette pas d’être venu dans ton bureau ce jour là … et je ne regrette rien de cette journée non plus d’ailleurs
C’est vrai que nous sommes dans une ambiance qui se veut professionnelle mais il y a ce petit quelque chose qui fait que je continue de la désirer. Quand je suis loin d’elle ça va je n’y pense pas, mais lorsque je suis proche d’elle je ne peux m’empêcher de penser à tout ce que l’on a fait et qu’on va certainement encore faire aujourd’hui ou demain. Je prends ensuite le soin de m’essuyer du mieux que je peux.
-Oui c’est pas mal. Il y a une bonne ambiance car il n’y a pas de compétition entre nous et c’est mieux comme ça
Je lui souris doucement alors qu’elle me signale que je peux les rejoindre si je veux, mais elle ne peut finir sa phrase qu’elle est obnubilée, fascinée par autre chose. J’ignore ce que c’est mais ça à l’air d’être sur moi puisqu’elle me regarde avec beaucoup d’envie et je ne peux m’empêcher de sourire car je trouve cela flatteur de voir que malgré tout ça elle est aussi folle de moi, que je peux être fou d’elle. Nos pulsions sexuelles sont à leur apogée lorsque l’on est ensemble et cela est prouvé puisqu’à chaque fois que l’on s’est vu on a fini par coucher ensemble.
-Je ne risque pas grand-chose …
Je m’approche alors d’elle en souriant et puis je glisse mes lèvres au proche de son oreille et je commence à lui susurrer très doucement ses quelques mots afin de la faire frissonner
-Et tu sais rien que ta présence me réchauffe alors ça ira
Je me recule délicatement et je joue du regard avec elle et je sens la tension monter encore d’un grand. A ce moment je n’ai qu’une envie, c’est de l’embrasser comme nous le faisons si bien, de pouvoir gouter à ses douces lèvres.
-La soirée peut attendre de toute manière. Je suis en très bonne compagnie là … et même je dirais en meilleure compagnie
Je me mordis la lèvre tout en la regardant et je passe la main dans mes cheveux comme pour la rendre un peu plus folle et la faire lâcher la première. Oui je suis totalement aguicheur et provocateur avec elle mais je l’assume. Je me doute que le fait que l’on soit dans le couloir doit la refroidir un petit peu
-Que dirais tu de venir dans ma chambre ? Ou qu’on aille dans la tienne si tu préfères et que c’est plus calme
On n’est jamais trop prévenant car si jamais il doit se passer quelque chose de nouveau, c’est vrai que d’être dans ma chambre risque d’être très louche surtout que les autres mannequins sont dans les chambres à côtés. Après si elle veut aller dans sa chambre d’un autre côté c’est que ses intentions sont claires, mais je pense que l’on sait tout aussi bien l’un que l’autre comment ça va se finir
La solitude a toujours été ma meilleure amie, ma meilleure conseillère. C’est avec elle et le silence m’entourant que je fais le mieux le point, sur le travail sur ma vie. Mais cette solitude est rapidement chamboulée par l’arrivée d’Alejandro et pas seulement la solitude. Je ne sais pas comment il fait, je ne sais pas pourquoi mais dès qu’il est la près de moi, je ressens quelque chose en moi. Comme si mon corps appelait le sien et inversement. Bon il était en maillot de bain et cela n’aidait en rien à garder les idées froides, mais même sans cela je savais que même habillait de la tête au pied mon corps réagirait. Je tente de garde bonne figure chose que je fais d’ordinaire très bien. Je tente de me concentrer sur ce qu’il me dit, qu’il est content et il se met à me remercier. On reste sur un plan tout ce qu’il y a de plus professionnel et cela me convient totalement. “Je t’en prie, merci à toi d’avoir accepté de jouer le jeu et d’avoir bien voulu devenir mannequin pour cette marque.” Il me confirme ce que j’avais cru comprendre sur les relations entre les différents modèles et je viens à me dire qu’une des filles pourrait voir sa nuit agrémentée par un petit moment privilégié. La discussion ne dévie pas, c’est mon regard qui le fait suite à une satanée goutte qui a décidé de ne pas rester à sa place. Je perds pied et je me rends à peine compte qu’il s’est penché vers moi pour susurrer à mon oreille, son souffle chaud caressant ma nuque et me faisant frissonner par la même occasion. Ces quelques mots ne faisaient pas que réchauffer Ale mais chauffait totalement la femme que je suis. Il s’écarte de moi et je me fais violence pour ne rien dire et surtout ne rien faire. Même si c’est le soir que la journée de travail est fini, nous ne sommes pas seuls dans l’hôtel et surtout on pourrait se faire surprendre. Mon regard ne peut se détacher du sien et je me mord la lèvre inférieure avant d’y passer langoureusement ma langue. “Es tu réellement sur d’être en meilleure compagnie, elles sont surement plus fougeuse, plus insouciante que moi car plus jeune.” Par son contrat d’embauche je savais parfaitement l’âge qu’il avait, l’âge des deux mannequins femmes et surtout le mien. Je me rends compte de son petit manège et je décide de ne pas me laisser faire sans répliquer et je tire sur l’épingle qui tient mes cheveux pour les relâcher sur mes épaules. Ne m’a t il pas dit qu’il préférait ainsi ? Je passe négligemment ma main dans mes cheveux avant de la mener à la naissance de ma poitrine tout en me caressant le cou. C’est d’ailleurs lui qui cède le premier en me demande de le suivre ou en proposant de me suivre. J’hésite. Ce n’est pas professionnel mais depuis que je le connais je suis moins raisonnable qu’avant. Je me lève il reste la attend un signe une phrase. Ma chambre est au calme j’ai demandé pour pouvoir travailler tranquillement mais cela pourrait aussi m’être utile pour. A cette pensée je me doute que je rougis J’arrive au bout de la véranda vers le couloir qui donne sur les ascenseurs et avant de ne plus à porter de vue d’Alejandro d’un geste du doigt je lui dis de me rejoindre. Je ne sais pas s’il va le faire. J’appuie sur le bouton pour faire venir l’ascenseur et quand il arrive je suis encore seule. Si les portes se referment alors j’irai me coucher sans aucun problème, je travaillerai peut être un peu avant afin de me donner bonne conscience mais surtout je pense que je passerai pas l’étape de la douche afin de refroidir les pulsions qui sont en train de gagner l’ensemble de mon corps.
Je ne sais pas être raisonnable de base et je suis toujours très friand de chaleur corporelle, mais lorsqu’il s’agit d’Ashley, c’est encore pire qu’habituellement puisque nous sommes toujours aussi attiré physiquement l’un et l’autre. Je ne suis pas devin mais vu tout ce qu’il s’est passé entre nous, je sais qu’elle ressent ce même besoin actuellement d’être contre moi comme je ressens ce besoin d’être contre elle. De plus la Ashley que j’ai connu dans le bar et celle que je connais maintenant est totalement changée. Elle ose beaucoup plus et elle carrément sûre d’elle-même en dehors de ses heures de travail. Malgré cela, nous parlons dans un premier temps professionnel afin que la discussion s’enclenche. Je la remercie de m’avoir pris et elle me remercie d’être venue
-Je ne sais pas si je serais venue si tu ne serais pas là
Je lui souris tout en me mordant la langue doucement et en la regardant d’un air provocateur car oui j’étais totalement en train de la provoquer en lui faisant comprendre qu’elle est ma motivation numéro une ici, et je ne m’arrête pas là puisque je lui précise que je ne risque pas d’attraper froid en étant avec elle puisqu’elle me donne beaucoup de chaleur. Je la regarde avec envie et elle fait de même alors que je la vois se mordre la lèvre et faire parcourir sa langue sur celle-ci
-Peut être mais tu as l’expérience et c’est beaucoup plus stimulant, et tu sais plutôt bien faire ça alors pourquoi m’en passer ? Je ne sais pas ce qu’elles valent … alors que toi
Je continue de la provoquer et elle décide de ne pas se laisser faire comme ça puisqu’elle détache ses cheveux dans un premier temps ce qui me fait remarquer qu’elle n’a pas oublié ce que je lui ai dit à ce propos, puis elle les replace devant au niveau de sa poitrine. Il n’y a pas à dire elle sait faire et d’autant plus lorsqu’elle se caresse le cou. J’ai du mal à tenir et je lui propose alors de venir avec moi dans ma chambre ou la sienne. Elle reste silencieuse et marche en s’éloignant un peu plus de moi, puis alors que je me dis qu’elle va partir, elle me fait un signe du doigt pour me signaler de venir avec elle. Je me doutais qu’elle allait craquer, mais seulement je vais moi aussi la faire patienter un peu comme elle l’a fait avec moi. Je ne pars pas immédiatement et je la laisse s’éclipser. Je marche doucement avant de réellement la rejoindre. Je vois les portes de l’ascenseur se fermer et je souris car au moment ou elle risque de s’y attendre le moins, je me faufile et rentre. Les portes s’ouvrent alors de nouveau avant de se refermer. Pendant la fermeture je regardais les portes afin d’être sûr que personne ne rentre. Je la laisse appuyer sur son étage et je souris doucement avant de la regarder
-Je vois que tu as fait ton choix … et j’adhère totalement
Je me mordille la lèvre avant de m’approcher d’elle et de lui faire quelques baisers dans cou, d’autres sur la joue ou encore à la naissance de sa poitrine. J’effleure simplement mes lèvres contre les siennes voulant la faire succomber elle et la faire virer totalement folle, mais folle de moi. Pour cela d’ailleurs je viens mordiller son lobe d’oreille et volontairement respirer plus fort et plus longuement afin qu’elle puisse ressentir mon souffle chaud contre elle et perdre encore plus la raison.
Je ne sais pas ce qu’il se passe avec lui et je ne sais pas pourquoi je réagis ainsi ou plutôt comment se fait il que mon corps soit comme aimanté au sien. A chaque fois que je suis en sa présence, il y a comme un magnétisme animal qui me fait complètement chavirer. Jusqu’à ce soir dans le bar il n’y avait rien, à la plage même si nous nous sommes retrouvés seuls, je n’avais envie de rien tout comme lors du week-end en Nouvelle Zélande, mais maintenant c’est comme si l’attraction physique entre nous était une évidence. Toute la journée j’étais restée à bonne distance de lui pour garder mon sang froid et les idées claires ce qui avait plutôt très bien fonctionné et avec la masse de travail que j’avais, mon esprit avait su contrôler mon corps, mais la avec lui face à moi, diablement sexy au possible avec les gouttes ruisselant sur son corps et provoquant comme pas deux, ma raison s’efface ou plutôt elle se fait anihiler par le désir qui monte progressivement en moi. Je ne peux pas rester ici, rester ainsi, je ne veux pas que l’on puisse nous voir et je ne peux pas me le permettre. Mais contre toute attente je ne peux pas faire comme si je ne le voulais pas contre moi m’embrassant. Il propose que l’on s’isole et je ne me vois pas dire non bien au contraire mais pas dans sa chambre la mienne est loin de tout et de tout le monde il y a moins de risque. Je me lève le regarde encore une provocateur. Dans ses yeux je vois qu’il se joue de moi et qu’il joue avec moi. Je vais vers l’ascenseur et lui fait un signe. Il viendra ou pas ce n’est plus moi qui ait les cartes en mains. Les portes se referment et j’expire assez bruyamment. De soulagemment ou de déception, surement un peu les deux enfin jsuqu’à ce que j’apercois une main s’inserrer et les portes se rouvrent sur lui. Sourire de vainqueur aux lèvres il entre dans l’espace clos qui l’est rapidement après la fermeture des portes. Il s’approche de moi et mon souffle se fait plus lent plus appuyés. Il cherche à me pousser dans mes retranchements par ses baisers, par ses mots glissant sur ma peau comme son souffle. Je me suis collée à l’arrière de l’ascenseur, je me maintiens à la rembarde que je serre fort à m’en faire blanchir les jointures pour ne pas être si faible, pour ne pas être un pantin entre ses mains. Je veux aussi qu’il succombe de désir pour moi et je résiste autant que je peux. Je le regarde dans les yeux et déglutit avec difficulté. “Je crois qu’elle a été perdue il y a quelques semaines dans un bar devant un Mojito”. L’ascenseur s’arrête au bon moment car encore quelques secondes et je lui sautais dessus, je le plaquais à la paroi, pour venir me coller à lui. Mais même si cela fait cliché, peut importait ou l’on était à ce moment la pour moi. Je sors prends le couloir et vais vers ma chambre qui est la dernière. Je sors la clé magnétique de mon jean. Pour une fois ca ne sera pas si simple de me déshabiller pour lui ce qui me fait sourire d’autant plus que lui n’a qu’un simple pour de tissus sur ses fesses. Fesses que j’ai totalement envie de croquer. Je ne sais pas s’il est derrière moi ou s’il prend son temps pour faire monter un peu plus la température. Je mets la carte, la porte se déverrouille, je jette un coup d’oeil sur le côté et le vois qui s’avance félinement vers moi tout en me souriant. C’était à cet instant précis, Satan personnifié. Je laisse la carte dans la fente au cas ou la porte se refermerait et je rentre pour aller me mettre face à ma baie vitrée. A l’extérieur pas une lumière. J’entends la porte se refermer et la carte être posé sur un meuble. “On fait quoi maintenant ?” A ma phrase je me mets à frissonner imaginant les mille et un délice qu’il pourrait me faire.
En quelques secondes avec son air provocatrice, elle m’a justement provoqué et chauffé même, mais surtout fait patienter et c’est ce que je retiens le plus. De ce fait lorsque je rentre à la dernière seconde dans l’ascenseur, mon but est simple : faire comme elle. La faire craquer mais en même temps patienter. Je la sens d’ailleurs chavirer sous mes baisers dans son cou ainsi que de mon souffle chaud contre sa peau. Je remarque qu’elle sert un peu plus fort que n’importe quelle personne normale les rambardes et je souris car je vois qu’elle se fait violence pour ne pas céder. Ce petit jeu de qui va craquer le premier est très plaisant ainsi qu’excitant bien entendu mais cela va de soi et bien que l’on sache ce qu’il se passera au final, personne ne veut céder le premier. D’ailleurs heureusement pour elle et malheureusement pour moi, la porte de l’ascenseur s’ouvre alors que je sentais bien qu’elle allait lâcher les armes en première, mais ce n’est que partie remise à vrai dire.
-Je préfère de loin celle là. Plus attrayante et sauvage
Maintenant qu’elle est déjà bien travaillée au corps, je ne la lâche pas d’une semelle et c’est pour cela que je lui ai chuchoté cela à propos de la nouvelle Ashley que j’ai eu le plaisir de découvrir. Je me doute qu’elle en frissonne et je suis ravi de cela. En revanche avec qu’il risque d’arriver j’ai un point faible puisqu’elle a plus de matière vestimentaire sur elle et je ne pourrais pas lui cacher le moment ou je vais céder et ou mon membre va en faire des siennes en déformant mon boxer. Quand elle ouvre la porte, elle pense que je suis loin derrière mais absolument pas donc je ferme directement derrière elle et je prends le soin de reposer la carte magnétique sur la table. Elle se dirige vers sa baie vitrée pour se changer les idées, mais je ne vais pas la lâcher si près du but
-Te raconter une histoire peut être … celle d’une jolie blonde toute timide qui est devenu pleine d’assurance suite à une rencontre bien spéciale dans un bar
Je souris alors que je m’approche d’elle et que je me place juste derrière celle-ci. Je pose une main sur ses hanches et avec l’autre j’enlève les cheveux qu’il y a dans son cou pour pouvoir y nicher ma tête et lui faire des baisers toujours aussi doux et frémissant. Je me mets même à lui mordiller son lobe d’oreille, son petit trapèze ou encore sa joue et son cou pour continuer ce petit jeu de séduction sauvage. Ce soir il n’y a aucun doute que notre partie de jambe en l’air le sera car ça fait deux semaines que nos corps ne se sont pas retrouvés et il faut fêter ça comme il le faut
-Il me semble avoir entendu dire qu’il y avait des jacuzzis dans les chambres. Qu’en dirais tu ?
Dans le même temps que je lui dis ça, je déboutonne le bouton de son jean et je baisse sa braguette, ainsi que son morceau de tissu jusqu’au bas des chevilles et je souris tout en caressant ses cuisses douces en attendant donc sa réponse bien que je pense la connaitre d’ores et déjà
Dans cet ascenseur le temps est comme arrêté et si je n’avais pas eu peur des conséquences j’aurai largement pu arrêter la cabine entre deux étages et me jeter sur lui. Quand il m’embrasse et que je sens ses lèvres sur mon épiderme je ferme les yeux et je m’en vais quelque part ou je n’ai pas pied ou je ne plane totalement et c’est très passionné. Je déglutis pleinement et seul l’arrêt à mon étage me permet de garder pied dans la réalité, une réalité qui est souvent mise à mal dès que je suis en présence de mon amant. Je crois que quoique je fasse, mon corps répondra toujours à l’appel du sien, tout du moins tant que je n’aurai pas rencontré quelqu’un me permettant de prendre le pas sur lui. Je sors rapidement afin de mettre de la distance entre nous, non pas que je le fuis mais je ne sais pas ce dont je serai capable si je prends mon temps, car le couloir pourrait se retrouver être le lieu des prémices de ce qui risque de se passer dans ma chambre et même si j’en ai très envie, je sais que je me dois d’un peu de tenue ou tout du moins d’un peu de retenue. Je me retrouve dans la chambre et rapidement je le sens dans mon dos, mon souffle s’accélère et je ne cherche même pas à le cacher. Encore moins quand il écarte mes cheveux de mon cou et qu’il commence à le picorer. Je penche même la tête afin de lui laisser plus d’espace pour qu’il puisse encore mieux me gouter même si je sais qu’il connait parfaitement la saveur de ma peau.-Te raconter une histoire peut être … celle d’une jolie blonde toute timide qui est devenu pleine d’assurance suite à une rencontre bien spéciale dans un bar Je n’arrive pas à lui répondre, je n’en suis tout bonnement pas capable, je me retiens, je me contrôle. De chaque côté de ma tête j’ai mon petit ange et mon petit diable qui depuis que je connais Alejandro se battent pour savoir ce que je dois faire en sa présence, comment je dois être comment je dois me comporter. Mon ange me dit de le fuir, de me préserver alors que mon diablotin lui ne cesse de me dire de céder à la tentation et comment y résister. -Il me semble avoir entendu dire qu’il y avait des jacuzzis dans les chambres. Qu’en dirais tu ?. Il est toujours dans mon dos et je n’ai toujours rien dit. Je sens ses mains qui passent devant pour défaire les boutons de mon jean et le faire descendre sur mes jambes. Une fois le tissu au sol, je le sens remonter, ses mains glissant le long de mes mollets, de mes cuisses avant de se retrouver sur mes hanches. Je fais un pas sur le côté pour m’extraire de mon pantalon et je sens Alejandro qui suit le mouvement. J’inspire profondément, j’ai deux choix me laisser guider ou me laisser aller. Si j’arrive à me lâcher totalement, j’arriverai peut être à sortir cette tension sexuelle qui m’envahit à chaque que je suis en sa presence. Je fais un mouvement de bras et j’enlève mon haut. Il ne me reste que mes sous vêtements et même si je ne le vois pas j’imagine un rictus sur ses lèvres. Ma décision est prise et peut importe ce qu’il arrive. Je pivote, plante mon regard dans le sien et me passe la langue sur les lèvres. Je pose une main sur le torse et je le fais reculer pour le coller à un mur. Peu importe ce qu’il se passe. Quand il est bloqué entre le mur et moi, je passe mes bras autour de son cou pour qu’il se penche et je lui mords la lèvre inférieure avant de l’embrasser passionnément presque brutalement. Je sens ses mains qui passent autour de ma taille et qui me colle encore plus contre lui. Alors que je l’embrasse comme si ma vie en dépendait cherchant encore et toujours plus mes doigts décident de jouer sur son corps. Peu importe ce qu’il advient. De toute façon la plus rien n’a d’importance sauf le désir qui me consumme un peu plus à chaque seconde que je passe avec lui. Il me retourne et me plaque à son tour assez violemment contre le mur. Peu importe la douleur. Peu importe tout en fait, je veux juste me sentir totalement planer entre ses bras, totalement décoller entre ses doigts et c’est ce qui m’arrive. Après qu’il m’ait ôté mon soutien gorge, embrassé la naissance de ma poitrine il me soulève et je me retrouve les jambes enroulées autour de sa taille. Il peut bien me faire ce qu’il veut à ce moment la je suis totalement, désespéremment à sa merci. Tant qu’il me donne du plaisir j’irai ou il voudra. Je lui glisse juste quelques mots à l’oreille avant de lui mordre l’angle entre le cou et son épaule. “Jacuzzi, lit, moquette, peu importe.” Oui peu importe tout tant qu’il y a le plaisir
Avoir une attirance physique aussi forte que ça c’est vraiment rare, et je compte bien en profiter t’en que j’en ai la possibilité. Je sais que pour le moment il n’y a personne dans la vie d’Ashley mais on ne sait jamais. Comme elle du genre à croire au prince charmant, du jour au lendemain tout peut changer et elle peut très bien me dire qu’elle ne veut plus rien avec moi puisque justement elle a trouvé quelqu’un avec qui partager sa vie au quotidien et non pas chaque nuit comme c’est le cas avec moi. Donc j’en profite un peu plus à chaque fois comme si c’était la dernière et je vais plus loin dans la provocation et dans le passage de témoin en ce qui concerne l’excitation que je fais monter de plus en plus. Après avoir bien profité d’elle ou plutôt de son cou, je lui propose d’aller dans le jacuzzi … Quand je vous dis que je vais plus loin à chaque fois. Elle ne répond pas et se décale pour enlever définitivement son pantalon, puis elle se décide d’enlever son haut. Sa décision est donc prise et nous allons encore avoir le droit à une nuit de folie. J’admire comme à mon habitude ses courbes féminines qui n’ont plus aucun secret pour moi, et je souris malicieusement tout en me mordant la lèvre car elle me fera toujours autant d’effet. Elle se tourne alors pour me faire face et me lèche les lèvres tout en passant la main sur mon torse. J’ai envie de jouer et comme je lui ai fait perdre ses moyens tout à l’heure, je la laisse faire de même avec moi. Elle avance tout en gardant un contact avec sa main sur mon torse et donc je me retrouve à reculer afin de ne pas tomber. Je me retrouve très rapidement piégé entre le mur dans mon dos et Ashley devant moi. Mon choix est vite vu sur qui je choisi. Elle passe alors ses mains autour de mon cou avant de m’embrasser comme jamais elle ne l’a fait. Elle mettait encore plus de passion qu’habituellement et je pense que le désir qui monte en nous est plus fort à chaque fois donc c’est toujours plus intense. La jolie blonde en profite pour découvrir à l’aide de ses doigts mon corps qu’elle aussi doit connaitre sur le bout des doigts c’est le cas de le dire. Je me sens partir et dans un élan animal, je la retourne avant de la bloquer assez violemment contre le mur mais la tension est tellement forte que ça ne m’importe pas. Je dégrafe très rapidement de mes doigts habile son soutien gorge et alors que ce dernier tombe au sol après que je lui ai enlevé ses brettelles de ses épaules, je m’amuse à l’embrasser à la naissance de sa poitrine et dans un élan de folie, je la soulève avant qu’elle ne vienne passer ses jambes autour de mes hanches. Je pense qu’elle sent déjà mon membre déformer mon boxer alors que nous sommes au plus proche l’un de l’autre. Avant qu’elle ne me morde fougueusement, elle me dit quelques paroles qui me font virer dans la folie immédiatement
-Pourquoi pas les 4 ? On baptisera ta chambre ne t’en fais pas …
Je lui souris alors que je la trimballe jusque dans la salle de bain tout en l’embrassant passionnément variant entre ses lèvres et sa poitrine, et alors que nous arrivons dans la salle de bain et que j’allume le débit de l’eau, je m’assieds contre le rebord du jacuzzi en gardant mon amante sur moi comme ça et de lui chuchoter quelques mots
-On a 4 jours pour ça
Je viens saisir de nouveau ses lèvres entre les miennes avant d’aller jouer avec sa langue. Lorsque je remarque qu’il y a suffisamment d’eau dans notre baignoire, je me lève et nous rentrons tous les deux dedans même si il nous reste encore nos bas mais ce n’est qu’un détail. Je l’assieds sur une sortie d’eau et j’enclenche la spécialité massante. Je lui enlève rapidement la culotte alors qu’elle se cambre déjà de plaisir avec le fort débit d’eau qui vient percuter son dos et la masser. Je lui souris avant de l’embrasser fougueusement
-Il parait que l’eau à des caractères aphrodisiaques en fonction de ce que l’on fait et que ça décuple les sensations …
Je la regarde et lui donne un autre baiser passionné tout en caressant son corps entier avec mes mains. Et je viens décaler ma tête jusque son oreille
-Tu m’en diras des nouvelles
Je lui souris malicieusement avant de prendre ma respiration et de plonger sous l’eau pour venir créer un contact entre ma bouche et son sexe. Dans un premier temps uniquement la bouche et de simple baiser pour la stimuler. Sous l’eau j’entends chacun de ses mouvements de cambrage et rien que d’y penser j’en souris. Je remonte à la surface après un bon moment à donner uniquement des baisers sur ses belles lèvres inférieures et après avoir repris ma respiration je replonge sous l’eau pour cette fois titiller son clitoris avec ma langue
Depuis que nous sommes tout les deux dans la chambre il n’y a plus rien pour moi qui existe en dehors du besoin de le sentir contre moi, de pouvoir faire abstraction de tout ce qui pourrait me détourner du plaisir charnel que je pourrai ressentir à son contact. Je ne fais pas état de ma tenue et le laisse commencer à m’enlever mon pantalon avant de l’accompagner en m’enlevant mon haut. Quand je me retrouve en petite tenue, tout à disparu, l’agent publicitaire, la soeur, l’amie, il ne reste plus que la femme et je le lui fait comprendre avant de le coller au mur et de lui montrer que je le désire je crois être assez explicite quand à son tour assez brutalement il me retourne. De nos lèvres on se cherche, de nos bouche on se découvre alors que l’on se connait déjà. J’en veut plus, je m’accroche à lui, je veux une symbiose de nos corps, que mon esprit s’enfui et que seules mes sensations prennent le pas sur ma raison. “-Pourquoi pas les 4 ? On baptisera ta chambre ne t’en fais pas ….” Je lui attrape la lèvre inférieure et dans un sourire lui glisse. “Ai-je l’air de m’en faire ?” Je le laisse me porter dans la salle de bain. “On a 4 jours pour ça” Je le regarde intensément avant de lui indiquer ce que je vois moi. “J’ai bien l’intention d’en profiter.” Je sais qu’il faudra parler de comment se comporter pendant le tournage de la publicité mais la il n’est plus le mannequin, je ne suis plus son employeur. C’est un homme, je suis une femme, il est mon amant je suis sa maîtresse et c’est tout. Il s’asseoit sur le rebord de la baignoire, je suis toujours collée à lui, ne voulant pas le lâcher ne voulant pas perdre une minute. L’eau coule dans la baignoire. On ne cesse de s’embrasse le seul moment ou nos lèvres se détachent c’est le temps de reprendre notre souffle. Il éteint l’eau me soulève et me pose au niveau d’un jet d’eau. Quand il l’enclenche, la surprise me fait pousser un petit cri. Je me retrouve rapidement nu et mon corps réagit encore plus aux vibrations du flux d’eau contre mon dos. “-Il parait que l’eau à des caractères aphrodisiaques en fonction de ce que l’on fait et que ça décuple les sensations …” Je trouve la force de lui sourire. “A toi tout seul tu es un aphrodisiaque.” C’était un aveu sur l’effet qu’il me produisait et le lui dire me ferait courir à ma perte car il saurait désormais que j’étais plus que réceptive à ce qu’il pouvait me faire. La tout de suite je m’en moquais, un démon sommeillait en moi et je voulais qu’Alejandro m’en délivre peu m’importait la façon et la manière. Très clairement deux semaines sans rien faire était devenues trop longues et il faudrait que je comprenne comment avant j’avais pu tenir alors que désormais j’étais en manque, comme une droguée ayant besoin de son fixe.
Chaque caresse à un effet dévastateur mais ce n’est rien par rapport à ce qu’il s’apprête à me faire. “-Tu m’en diras des nouvelles” Je n’ai pas le temps de répondre que je le vois disparaitre sous l’eau pour s’occuper de moi et après l’instant de surprise, je me mets à fermer les yeux afin de ressentir le plus intensément possible l’ensemble des sensations que cela me provoque. Ces petits mouvements de sussions qu’il fait, les baisers, les caresses, c’est totalement électrisant. Il remonte à la surface et c’est moi qui me noie quand il y retourne. Je ne suis plus capable de penser, de réfléchir au fait d’avoir raison ou non de faire cela. La seule chose qui me vient à l’esprit, c’est encore, encore plus, toujours plus. Quand il revient vers moi, je regrette qu’il n’ait pas de tee’shirt par l’attraper par le col et venir le coller à mes lèvres. Je veux me perdre avec lui et je crois que j’ai déjà perdu pied. Mes mains glissent le long de son corps et je lui enlève son boxer et son érection est bien présente. A mon tour de changer les rôles et je le colle à la place ou j’étais quelques secondes plus tôt. “Ces sensations seront elles les même pour toi que pour moi ?” Je ne suis pas sûre d’avoir autant de souffle que lui d’une je suis au bord de l’implosion et je ne suis pas une sportive pourtant je veille à m’occuper au mieux de lui et de son organe fièrement dressé devant moi et je sens que cela lui plait plus ses gémissements et le fait qu’il s’agrippe aux rebords de la baignoire. “Je ne me débrouille pas si mal que cela.”
Nos corps à l’unisson, voilà ce que me demandait ma tête, et c’est ce que je vais lui donner. Pour Ashley je pense que c’est le même principe. Cela ne sert à rien de se battre contre ce qui est du domaine de l’évidence. Profitons simplement l’un de l’autre et du fait d’être dans un cadre magnifique. Par contre elle se lâche encore plus que ce que je ne pouvais penser puisque lorsque je lui dis que l’on pourra le faire un peu partout et baptiser sa chambre, elle me fait bien comprendre que ça ne la dérange absolument pas bien au contraire et je ne peux m’empêcher de lui sourire en guise de réponse après qu’elle m’ait embrassé, puis je l’emmène à la salle de bain et là c’est encore pire. Je remarque que la jeune réservé même au travail se lâche puisque ce soit ne sera pas une erreur ou une exception puisqu’elle compte elle aussi profiter de nos 4 jours ensemble pour profiter de moi.
-Tu ne cesse de me surprendre dans le bon sens. J’aime ça. Lâche les chevaux et laisse sortir la tigresse qui sommeille en toi
Tout en lui disant ça, je m’amuse à lui caresser son corps alors que nous attendons que l’eau monte pour entrer dans la baignoire et je la sens frissonner. Je capture de nouveau ses lèvres en liant nos doigts le temps d’un instant. Quand c’est le bon moment j’éteins le robinet et rentre dans l’eau avec la belle blonde. Lorsque j’allume la pression de l’eau et que je l’entends crier de plaisir je sens une vague forte en désir monter en moi et je lui parle de l’effet aphrodisiaque que peu avoir l’eau et elle me répond qu’à moi tout seul je le suis et j’apprécie comme il se doit ce compliment
-Et toi tu n’as pas idée à quel point. Je te mangerais bien tous les jours sans m’en lasser
Effectivement j’aime cette relation que nous entretenons elle et moi et si jamais nous pourrions nous voir plus souvent ce serait parfait. Après le fait qu’il y ait eu deux semaines de trou, nous permets de désirer encore plus l’autre. Et nous voilà dans ce jacuzzi là prêt à se faire plaisir tout en étant en accord sur ce que l’on souhaite. Je ne me fais donc pas prier et je descends sous l’eau pour avoir accès avec le fruit de mon désir. Je l’entends gémir même sous l’eau et même bouger à l’aide des remous qu’elle provoque. En remontant je prends simplement le temps de respirer comme il faut pour rester suffisamment de temps en apnée pour lui procurer un plaisir certain, et j’y retourne en utilisant cette fois plus uniquement mes lèvres mais aussi ma langue et c’était encore pire. Chacun de ses cris me rendait fou et idem en ce qui concerne son cambrage.
Quand je remonte à la surface, elle me saisit et me plaque là ou elle était avant d’enlever dans un mouvement très fluide mon boxer. Bien entendu lorsqu’elle l’enlève, elle remarque sans surprise que je suis tout émoustillé par elle tout comme j’ai remarqué qu’elle l’était
-Je n’en doute absolument pas … mais fait et je te redirais
Sous ses douces caresses je commence à me tenir aux rebords du jacuzzi et je ferme les yeux tout en basculant la tête en arrière tant le plaisir me consume et pourtant elle n’en est qu’a de simple caresse
-Oui et je t’ai toujours dit cela de toute façon
Je lui souris avant de l’embrasser et que celle-ci mette totalement sa tête en immersion sous l’eau. Je souffle un gros coup lorsque je sens le contact de sa bouche puis de sa langue sur mon membre et je la regarde faire ses vas et viens. Bien entendu cela dure moins longtemps que des préliminaires tout à fait normaux, mais ça procure beaucoup plus de plaisir alors le choix est vite vu. Quand la jolie blonde remonte à la surface je la colle contre moi en l’embrassant et alors qu’elle ne s’y attend pas, d’un coup de rein dévastateur je la pénètre avec mon membre et elle sort un cri de la même intensité et longueur que la dernière fois
-Ne me dis pas que tu as déjà eux ton orgasme
Ce n’est pas que cela me dérange, mais ça serait la première fois que cela m’arrive et je trouverai ça relativement troublant.
Quand je suis la comme ca avec lui, je me demande parfois est ce qu’avec un autre se serait pareil, est ce que s’il y avait de sentiments se seraient moins bien, mieux ou différents. Oui je me pose plein de questions jusqu’à ce que je sente sa bouche sur ma peau, sur mes lèvres, ses mains qui me caresse, son souffle qui glisse sur moi. A ces moments la mon cerveau se retrouve hors service et je ne suis plus capable de rien, ou tout du moins je ne peux plus penser sauf au plaisir que je prends et encore je n’y pense pas je le vis. Il me demande de vivre pleinement nos expériences et même si je fais de mon mieux je sais que j’aurai toujours une réserve, du à quoi bonne question, un jour je trouverai peut être la solution. Je finis par me retrouver dans la baignoire, je ne sais pas si l’eau est aphodisiaque mais je pense que c’est un élément des plus agréable pour le corps la preuve le jet massant que j’ai dans le bas du dos, cumuler à ce que mon amant est en train de me faire sous l’eau, me déstabilise totalement. Clairement je ne sais plus qui je suis ce que je fais et ou j’habite. Je suis dans tout mes états et le seul moyen que je trouve pour reprendre pied dans la réalité c’est de m’occuper à mon tour de lui. Je sais ce qu’il aime maintenant et je sais comment il aime que je le prenne en bouche. Au fait que son corps se contracte je devine ce qu’il ressent. Bon ce n’est clairement pas pratique même si cela décuple les sensations, mais de ce que je vois Alejandro est totalement déchainé au point qu’après un nouveau baiser fougueux sans me prévenir il me colle d’un coup sec sur son membre. La sensation est telle que je ne peux m’empêcher de crier je sens mon corps vibrer et la remarque du bel espagnol n’a même pas le don de me faire redescendre des cieux ou je me trouve. “Il est possible que si mais la ce que je sais c’est que j’en veux encore. Et puis une femme peut en avoir de multiples non ?” Très clairement si la surprise m’avait déchainée, je n’étais pas au bout de ce que je désirai au contraire je n’avais eu qu’une mise en bouche je voulais maintenant l’entrée et les plats suivants. Je viens vers lui pour lui mordre la lèvre, mon regard brulant de désir avant de lui glisser dans le creux de l’oreille. “Ne t’arrêtes surtout pas”. Je lui donnais en claire une autorisation totale de se faire plaisir, moi je savais que je le prendrai mais je voulais le voir ne plus en pouvoir. Je l’attrape violemment par les cheveux de la nuque pour le coller à moi et l’embrasser fougueusement et pour lui c’est le signal pour reprendre la ou il s’était arrêté. L’eau me permet de flotter. Il se met à genoux dans la baignoire, me met en position planche sur le dos, je me tiens aux rebords et il m’attrape les hanches pour me faire glisser sur son sexe au rythme qu’il veut. Je dois être totalement honnête je me suis perdue quelque part entre plaisir et volupté et j’ai l’impression de n’être jamais rassasié. Alors que je me tiens toujours d’une main, l’autre vient trouver un sein avant de trouver le bas de mon corps pour me caresser en même temps qu’il me possède. Sauf que j’ai un moment ou je réalise que nous ne sommes pas protégés. Je prends la pilule et je pense qu’il veille à être sérieux vu le nombre de partenaires pourtant je dois lui en parler.”Pas de préservatif ? “ La dernière fois il m’a fait découvrir sans et je dois avouer que c’est nettement plus plaisant sans qu’avec. Mais avec tout ce que l’on entend. “Je prends la pilule, mais… “ J’étais partagé entre le fait de la sécurité et l’augmentation des sensations sans ce petit bout de latex.
Moi qui n’est jamais été trop friand du fait d’avoir des relations sexuelles avec la même personne plusieurs fois de suite puisqu’au bout d’un moment cette dernière s’attache malgré ce qu’elle peut dire, je me retrouve là encore avec la jolie blonde pour la troisième en un mois à peu près et bien que ça ne soit pas énorme non plus, ça n’en reste pas moins un exploit pour moi. Je pense me laisser aller parce que je sais qu’elle ne mélangera pas tout et que tout restera clair comme de l’eau de roche et c’est tout ce que je demande. D’ailleurs ce serait fortement dommage qu’elle ne le comprenne pas du tout et que ça finisse par tout gâché et oui nous priver de moment comme ça.
J’en veux encore et toujours plus. D’ailleurs le fait de ne pas avoir de préservatif nous permet de planer ensemble, mais alors que tout allait bien, elle a comme un remord ou une illumination qui lui vient en tête et elle arrête tout et me repousse légèrement. Au début je me dis qu’elle a quelqu’un et ne peut pas faire ça, mais finalement la raison est le préservatif ou plutôt le fait que l’on n’en ait pas justement. Elle m’explique qu’elle a une pilule mais qu’en gros ça la bloque un peu surement car elle ne sait pas si j’ai le sida ou non et honnêtement je n’ai pas envie de faire un long discours là-dessus alors je me retire de cette dernière et je sors l’eau
-Je ne te force à rien et comme je vois que ça te bloque un peu, je vais simplement retourner dans ma chambre … pas pour prendre un préservatif puisque j’en ai pas pris sur moi, mais pour dormir. Alors bonne nuit Ashley et à demain
Je ne suis en aucun cas énervé après elle, mais je n’ai pas envie de me battre ou de la supplier de le faire. Elle ne veut pas et bien ce n’est pas grave et c’est tant pis pour elle. Bon pour moi aussi mais bon. Je me dirige vers la sortie doucement après avoir mis un peignoir puisque mon boxer était tout trempé
Dans le genre j’aurai mieux fait de me la fermer je voudrais moi. Vous vous souvenez Ashley toujours dans le questionnement dans le contrôle de la situation, dans la prévoyance. Eh bah au moment ou elle autait du se noyer dans le jacuzzi elle décide de se réveiller et de venir faire un coucou bien senti. Mon dieu que je suis conne, même si mon interrogation est compréhensible pourquoi maintenant pourquoi ne pas en avoir parlé dès le début ? Alors que nos deux corps sont en osmose, que tout se passe divinement bien, que l’on se comprend que l’on se cherche et surtout que l’on se trouve, je ramène mes peurs et je détruis tout. Pourtant c’était si bien parti, une tension sexuelle aux sommets, des baisers et des caresses, nous promettant une soirée endiablée. Des préliminaires qui étaient sur le point de tenir toutes leurs promesses. Un orgasme qui aurait pu ne pas être le dernier, mais non alors que je le sentais en moi, qu’il dominait mon corps je n’ai rien trouvé de mieux que de lui parler préservatif. Quelle conne. Pourtant je sais qu’il en met à chaque fois, vu qu’il change de partenaires régulièrement et même à chaque fois, d’ailleurs je dois être la seule avec qui il a remit le couver et je pense qu’il tient suffisamment à son corps pour ne pas risquer cela, mais il a aussi confiance en moi. Enfin la pas du même le sahara a été plus visiter que moi ces derniers mois.
Plutôt que de me parler il s’écarte de moi avant de se lever et de sortir du jacuzzi. Il prend l’un des peignoirs fourni par l’hôtel et sort de la salle de bain. Je suis hébétée, que suis je sensée faire ? Restée la comme une gourde ou lui courir après ? J’ai l’impression que je lui cours souvent après, mais si je le fais ne va t il pas croire que. Eh puis merde. Je me lève sort précipitamment de la baignoire, manque de me vautrer tout le long sur le carrelage glissant et me dêpêche de courir nue dans la chambre pour me placer entre lui et la porte avant qu’il ne l’atteigne. Je pose la paume de ma main en avant comme pour le faire s’arrêter. “Excuse moi. Je ne voulais pas, enfin bon voila j’ai encore merdé.” J’avais le don. La dernière fois je l’avais énervé la il était peut être déçu. Très sincèrement je n’arrive pas à cerner le personnage, quoi dire, quoi faire pour rester dans une bonne attitude avec lui. Ne plus lui parler ? Non ca c’est moi qui n’en serait pas capable. “J’aimerai que tu restes.” Je n’avais pas le courage de le regarder dans les yeux et comme une gamine gênée je fixais mes pieds. Pourtant je ne pouvais l’empêcher à rien. Je m’écartais de la porte et m’en éloigner pour aller m’asseoir sur le lit détrempant par la même occasion le dessus de lit. “Mais si tu veux aller te coucher alors bonne nuit et à demain.” J’avais merdé, c’était tant pis pour moi. Il irait se coucher, je ferai de même et je verrai pour m’occuper l’esprit demain en travaillant et en essayant de regretter le moins possible la soirée que je venais bêtement de foutre en l’air.