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« Il n’a pas besoin de payer lui, tu sais bien. » « Oh la charité, comme c’est aimable de ta part. » Tu aurais sans doute pu continuer bien longtemps sur cette lancée, vous étiez si bien parties après tout, mais son coup de poing sur ton bras te déstabilise et la suite des évènements te laisse complètement estomaquée. Si tu peines à contrôler la colère qui grandit bien trop rapidement en toi, c’est la peur qui prend le contrôle de Halsey alors qu’elle est en train de perdre les pédales, te dérangeant toi ainsi que tous les autres occupants de la grande roue, ou du moins, ceux qui sont assez près de vous pour entendre les cris de la brune et voir ses mouvements frénétiques qui font chanceler la nacelle encore et encore sans même que tu n’aies besoin d’y mettre un quelconque effort. « Alors aide moi à lui faire comprendre que c’est la crise là. » Tu roules des yeux, tu peux pas croire qu’il faut que tu gères ça en plus de tout le reste, mais voilà que tu viens mettre tes deux mains sur le visage de la brune dont la panique a envahi les traits. « Halsey, regarde-moi et arrête de bouger pour deux secondes tu veux? Tu fais juste empirer les choses en t’emportant comme ça. » Tu l’as forces à te regarder droit dans les yeux alors que tu commences à exagérer tes respirations, comme tu le fais tout le temps avant de tourner une scène, pour bien te grounder dans le moment. « Respire. » que tu lui ordonnes sur une voix qui ne laisse aucune place à l’obstination. « La grande roue doit être tombée en panne, ça arrive à tous les ans. » Bon, c’est pas très rassurant dit comme ça, mais ce n’est pas non plus la fin du monde. Mais encore, tu n’avais pas le vertige, toi. « Ça dure généralement une vingtaine de minutes, mais ça va repartir bientôt. Concentre-toi sur moi, ok? » T’es vraiment trop fine quand tu t’y mets, mais il y a d’autres commentaires sur Clyde qui s’enchaînent et elle fait sa vache à nouveau. Au moins ça risque de la distraire pour quelques minutes encore. « Je pense que tu surestimes son attachement pour toi. » « Je pense plutôt que t’as aucune idée du lien qui nous unit. » Lien qui est différent mais bien plus fort que ce que tu aurais toi-même pu t’imaginer il y a un an.

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« Oh la charité, comme c’est aimable de ta part. » Ca n’aurait pas pu être plus faux et cela se voyait qu’elle n’avait pas la moindre idée de qui elle avait face à elle. Sans doute pensait-elle que ce côté bitchy ne ressortait qu’à son contact, mais il s’agissait là de sa vraie façon d’être, ne lui en déplaise. Serait-elle pour autant capable de la pousser comme son esprit en rêvait depuis qu’elles étaient coincées là au-dessus ? Peut-être bien. La brune se plaisait à croire qu’elle était capable du pire comme du meilleure, même si elle n’avait encore jamais intenté à la vie de qui que ce soit. « Il en vaut la peine. » Argua-t-elle dans un sourire crispé, sachant pertinemment que d’une manière ou d’une autre, l’actrice devait savoir ce qu’elle voulait dire par là – ce qui était relativement irritant, d’ailleurs. Mais ça n’était encore rien à côté de ce qu’elle commençait à ressentir alors qu’elle se sentait piégée tout là-haut, à la merci d’un type qui n’avait peut-être même aucune qualification pour faire tourner ce genre de manège et en compagnie d’une fille qu’elle ne pouvait pas se voir. Cédant peu à peu à la panique, Halsey commença à crier et à s’accrocher au bord de la nacelle afin de faire comprendre d’une manière ou d’une autre qu’elle allait finir par sauter si ça lui permettait de retrouver la terre ferme plus rapidement ; oui, elle en était là. « Halsey, regarde-moi et arrête de bouger pour deux secondes tu veux? Tu fais juste empirer les choses en t’emportant comme ça. » Penny attrapa son visage entre ses mains et si le premier réflexe de la brune fût de se dégager, la force qu’elle mit pour s’y opposer lui indiqua qu’elle ne la laisserait pas faire cette fois. La jeune femme obtempéra donc, plongeant son regard bleu azur dans celui de l’actrice tout en tentant de se concentrer alors que son cœur menaçait de sortir de sa poitrine. « Respire. » Ça paraissait si simple et pourtant, chaque bouffée d’air semblait refuser d’entrer dans ses poumons, signe que sa cage thoracique était complètement fermée par la panique qui avait pris le dessus sur elle. « Facile à dire. » Marmonna-t-elle encore en fronçant les sourcils, tentant malgré tout de caler sa respiration sur celle de la brune. « La grande roue doit être tombée en panne, ça arrive à tous les ans. » Pardon ? « Et en sachant ça, tu m’expliques à quel moment t’as jugé que monter dessus était une bonne idée ? » Vraiment, tous les fils devaient pas être connectés là-haut. « Ça dure généralement une vingtaine de minutes, mais ça va repartir bientôt. Concentre-toi sur moi, ok? » Autant dire que la brune aurait préféré avoir une autre vision sur laquelle se concentrer que le visage en gros plan de l’actrice, mais on ne pouvait pas tout avoir apparemment. « Je ne vois plus que ça. » Lança-t-elle d’un ton bourré d’ironie, sentant malgré tout sa respiration se faire moins saccadée. « Je pense plutôt que t’as aucune idée du lien qui nous unit. » Mais encore ? « Je pense surtout que tu prends tes désirs pour des réalités. » Un lien spécial, vraiment ? Elle ne pouvait pas y croire. Elle ne voulait pas y croire.

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« Il en vaut la peine. » Tu lui offres un sourire qui veut en dire long « Oh ça je sais. » que tu ajoutes en arquant les sourcils, comme si tu étais en train de te remémorer des souvenirs torrides avec Clyde alors que la vérité est seulement que tu tentes de ne pas éclater de rire à nouveau. Même si elle ne réagissait pas aussi fortement que tu l’aurais voulu à toutes tes remarques sur le Wakefield, tu ne pouvais t’empêcher de toujours en mettre un peu plus pour voir jusqu’où tu oserais aller mais surtout à quel moment elle flancherait enfin dans sa jalousie. Mais Clyde devient rapidement une arrière pensée alors que la situation semble dégénérer rapidement et qu’Halsey laisse la panique prendre possession de ses moyens. Si elle était pas si paniquée, tu te moquerais sans doute d’elle, de ses mouvements brusques et de ses petits cris aiguës, mais tu décides plutôt de prendre sur toi et de tenter de l’aider. Elle résiste à tes mains sur son visage, mais tu l’obliges à rester en place alors que tu l’intimes de respirer le plus normalement possible. « Facile à dire. » « Arrête de te plaindre et fais-le. » Tu n’avais pas l’intention de passer les vingt prochaines minutes avec tes mains sur ses joues et si tu voulais pouvoir remettre rapidement un peu d’espace entre vous deux, il fallait qu’elle se calme. « Et en sachant ça, tu m’expliques à quel moment t’as jugé que monter dessus était une bonne idée? » Tu hausses les épaules, roule légèrement des yeux. « J’ai pas le vertige moi. Et je sais être raisonnable. Je sais qu’on va redescendre. Je menace pas de sauter à cent pieds de haut. » Malgré tout ça, tu continues de la regarder avec un visage aussi calme et passible que possible, laissant le ton de ta voix passer le message haut et clair qu’elle était complètement ridicule. « Je ne vois plus que ça. » « Profites-en, y’a des gens qui tueraient pour être à ta place. » Et voilà que tu lui offres un sourire presque sincère, avant de décider de relancer les piques sur Clyde parce que vraiment sinon, ce ne serait pas vous deux. « Je pense surtout que tu prends tes désirs pour des réalités. » « Demande-lui si t’es si certaine de toi. » Comme il n’oserait pas te parler de sa relation avec la brune, tu savais pertinemment qu’il ne partagerait pas avec Halsey les détails de votre lien. Tant pis pour elle.

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« Oh ça je sais. » Evidemment qu’elle le savait, elle avait suffisamment insisté sur le sujet pour qu’elle ait compris depuis un moment déjà qu’elle et Clyde avaient dépassé les limites de la simple amitié. Mais le fait qu’elle se sente obligée de lui balancer au visage à tout bout de champ était plutôt usant, et Halsey se promis de découvrir rapidement avec qui Penny partageait sa vie, histoire de tenter de lui rendre la pareille – en apparence, évidemment. L’envie de passer du temps avec un autre que Clyde lui était passée depuis longtemps, mais ça, la brune ne pouvait pas le savoir. Ils n’avaient rien d’un couple et même elle avait du mal à savoir comment qualifier leur relation. Aucune étiquette ne semblait leur convenir et c’était très bien comme ça, finalement. « On a compris. » Souffla-t-elle en levant les yeux au ciel alors que la brune attrapait son visage entre ses mains afin de la pousser à caler sa respiration sur la sienne. « Arrête de te plaindre et fais-le. » Se plaindre était une seconde nature chez elle, mais elle devait bien avouer que sa technique semblait fonctionner, pour l’instant. Car dès que son esprit pensait au fait qu’elles étaient encore coincées pour une durée indéterminée, son rythme cardiaque accélérait de plus belle. Une chose était certaine, elle savait désormais pourquoi elle n’avait jamais mis les pieds sur une foutue attraction de sa vie. « J’ai pas le vertige moi. Et je sais être raisonnable. Je sais qu’on va redescendre. Je menace pas de sauter à cent pieds de haut. » Apparemment, elle avait compris que l’alternative lui avait vaguement traversé l’esprit. « Tu dois être fière de toi. » Lança Halsey en plissant les lèvres, irritée de se retrouver dans une situation pareille et de montrer la moindre once de vulnérabilité à cette fille qu’elle avait en horreur depuis qu’elles s’étaient rencontrées quelques semaines auparavant. « Profites-en, y’a des gens qui tueraient pour être à ta place. » « Une belle bande de psychopathes, à n’en pas douter. » Insinua-t-elle en souriant légèrement à son tour, signe qu’elle commençait à légèrement se calmer. « Demande-lui si t’es si certaine de toi. » Il était évident que ça serait une conversation qu’ils auraient rapidement, mais elle ne lui ferait certainement pas le plaisir de le lui dire. « J’ai eu assez de ta présence pour une année entière, je vais pas en plus de ça me mettre à parler de toi avec lui. On a mieux à faire, vraiment. » Lança-t-elle sans se départir de son sourire – un peu frêle, mais il avait le mérite d’exister au moins.

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« On a compris. » Tu aurais probablement pu arrêter il y a une dizaine de commentaires au sujet de Clyde, même que tu aurais pu ne jamais commencer cette joute verbale en y impliquant le Wakefield qui serait sans aucun doute mortifier de vous entendre parler de lui de la sorte. Si tu n’avais pas l’intention de lui raconter cet échange, tu ne pouvais qu’espérer que la brune possèdait un moindrement de dignité (ce qui n’était pas chose certaine vu la manière dont elle se comportait en ce moment) pour ne pas en glisser un mot à celui avec qui elle vivait une aventure quelconque. Surtout que tu prenais beaucoup de plaisir à lui miroiter une relation qui n’était pas, qui n’était plus et qui dans un sens, n’avait jamais réellement été, non pas qu’elle allait un jour avoir droit aux détails, la brune. Tu le connais peu et même toi tu savais que ça risquerait de la tuer dans sa jalousie, la pauvre. Et tu n’avais pas besoin d’en rajouter plus que de raison alors qu’elle était prise d’une crise de panique et que tu te décidais de l’aider à se calmer, contre toute-attente. « Tu dois être fière de toi. » « T’as même pas idée. » que tu dis, contredisant le fait que tu secoues la tête. Non, t’es pas particulièrement fière. Il y avait peut-être ton inner bitch qui ressortait plus facilement au contact de la brune, mais tu n’allais quand même pas commencer à te réjouir de sa peur. « Une belle bandes de psychopathes, à n’en pas douter. » Elle a sûrement pas tort la brune, dieu sait que tu as eu droit à ton lot de rencontre étrange et elle en fait partie Halsey, que ça lui plaise ou non. « Je me demande ce que ça fait de toi. » Tu hausses les sourcils, un sourire presque sincère sur les lèvres alors que tu la sens qui commence tranquillement à se calmer, même si bien sûr, ça ne vous empêche pas de continuer à vous insulter. « J’ai eu assez de ta présence pour une année entière, je vais pas en plus de ça me mettre à parler de toi avec lui. » « Oh arrête, de quoi vous pouvez bien parler de toute manière? » Tu ne quittes pas son regard. Faut qu’elle reste concentrée sur ton visage pour rester calme. Tu devrais arrêter de parler, mais c’est plus fort que toi. « T’es pas la plus brillante, il doit s’ennuyer. »

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Penny ne semblait pas se lasser de lui rapporter cette prétendue relation au visage et Halsey réalisa à quel point elle pouvait se montrer vulnérable lorsqu’il s’agissait du brun. Elle avait beau essayer de camoufler ses émotions, rien n’y faisait, il était son soft spot. Et l’actrice en profitait un peu trop, ce qui n’était pas pour lui plaire – même si une part d’elle pouvait concéder le fait qu’elle agirait exactement de la même façon si les rôles étaient inversés, à n’en pas douter. « T’as même pas idée. » Lança-t-elle en secouant la tête, le ton encore bourré d’ironie. Sans doute n’avait-elle pas prévu que les choses prennent cette tournure, car une chose était certaine, ça n’avait pas été son cas lorsqu’elle s’était glissée à ses côtés dans la file d’attente. Tout ça parce qu’Ariane l’avait plantée, elle ne manquerait pas de lui faire savoir ce qu’elle en pensait. Une fois qu’elle serait redescendue de ce maudit perchoir. « Je me demande ce que ça fait de toi. » Penny l’observa en haussant un sourcil et un rire s’échappa des lèvres de la brune qui ne pouvait que se rendre compte de ce que son comportement pouvait illustrer parfois. « On va éviter la psychanalyse si tu veux bien. » Répliqua-t-elle en se radoucissant légèrement, même si son air restait relativement fermé. « Oh arrête, de quoi vous pouvez bien parler de toute manière? » Elle était loin de s’imaginer le genre de conversations qu’ils pouvaient avoir et pour cause, elle ne savait rien à leurs activités illégales. Pour elle, Clyde n’était qu’un journaliste un peu méfiant et elle et bien… Elle ne savait rien, sauf peut-être qu’elle avait un penchant certain pour les actes impulsifs. « D’un tas de choses bien plus intéressantes que ta petite personne. » Un vague sourire étira ses lèvres alors qu’elle se concentrait sur sa respiration, espérant sentir à tout instant la secousse qui lui indiquerait qu’elle était sortie d’affaire. « T’es pas la plus brillante, il doit s’ennuyer. » Ah ? « J’ai quand même un master en droit. » Lança-t-elle en haussant un sourcil, cédant cette information afin de redorer son blason pour cette guerre d’égo qui faisait rage entre elles depuis le début.

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« On va éviter la psychanalyse si tu veux bien. » Et justement parce qu’elle voulait que tu évites, tu allais te faire un plaisir d’en mettre encore bien plus que nécessaire. Il suffisait qu’elle dise le mot gauche pour que tu vires à droite, aussi simple et pourtant compliquée comme ça entre vous deux. « Au contraire, je pense que c’est intéressant. » Tu fais mine de réfléchir, laissant ton index venir tapoter ta joue lentement alors que tes yeux ne quittent pas ceux d’une Halsey qui est encore légèrement en panique, bien que ton attention ne soit plus du tout sur ça. « Donc on sait déjà que tu es jalouse, possessive et mythomane. Mais ce qui est intéressant, c’est de découvrir pourquoi. » Tu fronces légèrement les sourcils. Tu ne sais rien d’elle, tout ce que tu peux dire, c’est de la pure connerie, pourtant, ça ne t’empêche pas de te convaincre qu’elle est vraiment ce persona malsain que tu t’inventes au fur et à mesure dans ton esprit. Ça ferait un super exercice d’improvisation tout ça. « As-tu manqué d’amour et d’attention en grandissant que tu ressens maintenant le besoin de marquer ton territoire sur quiconque qui ose t’accorder plus qu’un regard? » Tu lui offres ta fameuse moue de pitié qui la fait grincer des dents à chaque fois. Elle dit que ça fait de toi une mauvaise actrice, t’as envie de dire que c’est tout le contraire puisque ça l’a fait toujours réagir. « D’un tas de choses plus intéressantes que que ta petite personne. » « Nommes-en une. » Tu ne doutes pas qu’elle doit avoir un minimum de choses à dire pour que le Wakefield la garde dans les environs aussi longtemps, mais tu peines à croire que ce puisse être aussi pertinent qu’elle le laisse entendre. « J’ai quand même un master en droit. » « Bullshit. » Elle? En droit? Brillante. Jamais de la vie, tu refuses d’y croire. « On a déjà prouvé à plusieurs reprises que tu mens comme tu respires, pourquoi est-ce que je croirais une si grosse connerie? »

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Et une fois ces paroles prononcées, il ne fit plus aucun doute que Penny venait de trouver une nouvelle façon de jouer avec ses nerfs. Elle avait bien de la chance que la brune soit dans une telle position, sans quoi elle n’aurait pas tardé à regretter ses petites provocations. Mais au fond d’elle-même, Halsey se promit de lui faire payer, d’une façon ou d’une autre. Elle ne manquait pas d’inventivité en la matière et elle n’allait pas tarder à s’en rendre compte par elle-même. « Au contraire, je pense que c’est intéressant. » L’actrice fit semblant de réfléchir, essayant sans doute de faire appel à ses non-talents d’actrice ; ça allait prendre du temps. « Donc on sait déjà que tu es jalouse, possessive et mythomane. Mais ce qui est intéressant, c’est de découvrir pourquoi. As-tu manqué d’amour et d’attention en grandissant que tu ressens maintenant le besoin de marquer ton territoire sur quiconque qui ose t’accorder plus qu’un regard? » Et une nouvelle fois, la brune tenta d’en apprendre davantage sur elle, à croire que ça devenait une véritable obsession avec le temps. Halsey fronça légèrement le nez, désavantagée par le fait que toute son attention se focalisait sur le fait de ne pas regarder autour d’elle afin de ne pas être une nouvelle fois en proie au vertige, mais ça n’empêchait pas son esprit de fonctionner, heureusement. « Tu penses t’être trouvé un nouveau métier là ? Je suis contente que t’aies enfin compris que t’avais rien d’une actrice, mais je pense que tu vises un rien trop haut. » A son tour de hausser un sourcil et de faire la moue, de la même façon qu’elle. « Tu pourrais commencer par quelque chose de plus… à ta portée. Caissière ? Ah non, il faut calculer. » Et ainsi, elle continua de faire mine de réfléchir à son tour, sans se départir de son air narquois. « Nommes-en une. » « J’ai aucun compte à te rendre, va t’acheter un manuel si tu sais pas comment parler avec un mec. » Lança-t-elle en soupirant, prenant un air faussement désespéré. « Bullshit. On a déjà prouvé à plusieurs reprises que tu mens comme tu respires, pourquoi est-ce que je croirais une si grosse connerie? » « Tu diras ça à mon cabinet quand tu recevras une citation à comparaître pour un motif que j’ai pas encore trouvé. » Lança-t-elle en plongeant son regard dans le sien, sans se départir de son petit sourire en coin.

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Tu joues la psychiatre à cinq sous juste pour le plaisir de voir si tu peux trouver une autre façon de provoquer la brune dont le regard ne quitte pas le tien. Tu as arrêter de faire chanceler la nacelle, elle a arrêté de gueuler comme une écervelée, c’est déjà au moins ça de gagner. Mais ça n’empêche pas que les insultes continuent de couler avec un peu trop d’aisance entre vous alors que clairement, au moins une de vous deux (et pas toi) devrait concentrer toute son énergie sur le fait de rester calme. « Tu penses t’être trouvé un nouveau métier là? Je suis contente que t’aies enfin compris que t’avais rien d’une actrice, mais je pense que tu vises trop haut. » « Tu évites de répondre parce que tu sais que j’ai raison, c’est ça? » Elle tente de t’emmener sur un autre terrain, ce terrain si amusant pour elle qu’est ton piètre talent d’actrice apparemment, mais tu ne la laisses pas faire sans moindrement te défendre. « Tu pourrais commencer par quelque chose de plus à ta portée… Caissière? Ah non il faut calculer. » Tu ricanes légèrement. Bien sûr, toi caissière, ça te semble tout à fait être une idée de génie, ou alors pas du tout. « Je suis censée avoir de la peine là? C’était mon cue? Merde. J’suis vraiment une actrice trop nulle. » Tu roules exagérément des yeux comme tu l’as déjà fait des dizaines, peut-être même des centaines de fois t’as l’impression depuis le début de cet échange entre vous. « J’ai aucun compte à te rendre, va t’acheter un manuel si tu sais pas comment parler à un mec. » « T’es même pas capable de nommer un sujet de conversation, l’heure est grave quand même. » Tu restes sérieuse, tes yeux toujours fixés dans les siens, mais t’as envie d’éclater de rire devant vos stupidités. Même toi, sans avoir le vertige, tu commences à avoir hâte qu’elle se remette en marche cette putain de grande roue pour finalement mettre un peu d’espace entre elle et toi. « Tu diras ça à mon cabinet quand tu recevras une citation à comparaître pour un motif que j’ai pas encore trouvé. » « Oooh, j’ai peur. » Elle semble plus calme là, tu te retournes finalement, fait vaguer très légèrement la nacelle en te déplaçant, mais pas volontairement cette fois. Pas question que tu te tapes une autre ses crises de panique. « Tu vas me citer pour quoi? T’avoir empêcher de sauter à ta mort du haut de la grande roue? » Quelle ingrate cette Halsey.

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Voir Penny essayer aussi fort était vraiment risible, et son sérieux indiquait qu’elle pensait avoir réellement touché quelque chose à son sujet. Pensait-elle réellement l’avoir cernée après avoir vu l’une ou l’autre réaction alors que Clyde lui même était encore incapable de deviner ce qui se cachait réellement dans son esprit ? A ce stade, c’était presque insultant. Mais pour se sentir insultée, sans doute aurait-il fallu qu’elle en ait quelque chose à faire de la brune et à ce stade, c’était vraiment très loin d’être le cas. « Tu évites de répondre parce que tu sais que j’ai raison, c’est ça? » « Évidemment, laisse moi me montrer impressionnée de ta capacité d’analyse. Après tout, il y a des gens à qui ça prend de longues années d’études pour y parvenir, mais toi, ça te vient naturellement on dirait. » Et à nouveau, son amie l’ironie vint s’immiscer dans la conversation et lui apporter sa douce compagnie ; elle lui avait manqué. « Je suis censée avoir de la peine là? C’était mon cue? Merde. J’suis vraiment une actrice trop nulle. » Penny pratiquait le eye-rolling à la perfection à présent, mais à moins de tenter sa chance dans l’exorciste, il y avait peu de chance que cela puisse l’aider à décrocher le moindre rôle, ne lui en déplaise. « Enfin, tu commences à entendre raison. Ça va, pas trop dur le retour à la réalité ? » Halsey se sentait un peu mieux et cela se ressentait dans son agressivité à l’égard de la brunette qui n’était pas en reste, elle non plus. « T’es même pas capable de nommer un sujet de conversation, l’heure est grave quand même. » Un fin sourire étira ses lèvres alors qu’elle hochait la tête d’un air faussement entendu. « J’ai pas envie de t’offrir la moindre satisfaction, nuance. » Parce que tout ce qui pouvait concerner sa relation avec Clyde était chasse gardée, au cas où elle ne l’avait pas encore compris. « Oooh, j’ai peur. Tu vas me citer pour quoi? T’avoir empêcher de sauter à ta mort du haut de la grande roue? » Penny trouva le moment opportun pour se détacher d’elle et refaire vriller la nacelle, poussant Halsey à lui balancer un regard noir alors qu’elle se raccrochait à la barre devant elle comme si sa vie en dépendait. « Ta simple existence mériterait qu’on t’enferme. » Marmonna-t-elle en réinspirant profondément, se refusant à jeter le moindre coup d’œil vers le bas cette fois ci.

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« Évidemment, laisse-moi me montrer impressionnée de ta capacité d’analyse. Après tout, il y a des gens à qui ça prend de longues années d’études pour y parvenir, mais toi, ça te vient naturellement on dirait. » Tu souris de plus belle, comme si tu étais sincèrement touchée par le faux-compliment de la brune. « J’ai un don. » que tu rajoutes, comme si tu t’y croyais vraiment. Plus vous êtes sarcastiques, plus vous laissez les insultes partir sur un peu n’importe quoi, ce qui est aussi amusant qu’agaçant lorsqu’on y pense bien. « Enfin, tu commences à entendre raison. Ça va pas, pas trop dur le retour à la réalité? » Tu continues de faire semblant d’y réfléchir. C’est à ton tour de jouer l’idiote à la perfection. « La réalité? Quelle réalité? » Et puis tu ricanes parce que c’est trop tentant. Ça te fait rire qu’elle s’acharne ainsi sur ta carrière alors que pour la première fois depuis si longtemps, c’est quelque chose qui va bien et pour laquelle tu ne ressens absolument aucune gêne et aucun doute. Not your weak point anymore. Et il est probablement là ton avantage ultime face à Halsey, si tu peux utiliser Clyde contre elle, elle ne peut pas utiliser Rory contre toi parce qu’elle ne le connaît pas. Thank god. T’es pas certaine qu’il serait impressionné de t’entendre en ce moment le Craine. « J’ai pas envie de t’offrir la moindre satisfaction, nuance. » Tu hausses les épaules, penche la tête légèrement sur le côté. Fair enough. « T’inquiète, j’ai pas besoin de toi pour ça. » Tu passes si proche de rajouter J’ai Clyde sur le job mais t’es consciente que t’as assez dit de merde à son sujet sans constamment en rajouter. La dernière chose que tu veux au fond, c’est venir créer une brèche entre le Wakefield et toi à cause de la brune. « Ta simple existence mériterait qu’on t’enferme. » « C’est pas très gentil ça. Tu devrais faire attention à ce que tu dis. » que tu lâches alors que tu bouges encore un peu, volontairement cette fois-ci alors qu’elle tient la barre de fer devant vous comme si on vie en dépendant.

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« J’ai un don. » « Un don pour la connerie, ça c’est sûr. » Lança-t-elle en arquant un sourcil, hésitant un instant à croire qu’elle puisse réellement avoir une aussi haute opinion d’elle-même. Ca ne devait pas être réellement le cas, mais à force de ricaner et de faire des moues à tout va, elle en viendrait presque à douter finalement. « La réalité? Quelle réalité? » C’était à se demander qui avait besoin d’une petite séance de psychanalyse en cet instant finalement. Et si Penny y voyait une utilité pour lire dans son passé, peut-être ferait-elle bien de se pencher sur la question de sa propre existence, parce que ça devenait pénible. « Laisse tomber. » Usante et fatigante, voilà deux nouveaux qualificatifs qui lui allaient à merveille. Comme quoi, elles apprenaient réellement à se connaître, après tout. « T’inquiète, j’ai pas besoin de toi pour ça. » Dieu seul savait ce que ce sous-entendu pouvait encore bien impliquer, mais elle s’en fichait ; selon les statistiques hasardeuses de l’actrice, elles ne devraient plus tarder à rejoindre la terre ferme. Et à ce moment là, la tendance se renverserait à coup sûr. « C’est pas très gentil ça. Tu devrais faire attention à ce que tu dis. » Et comme pour appuyer ses paroles, la brune bougea davantage tout en la fixant intensément ; cette fois-ci, elle l’avait fait exprès. Un instant elle était là pour l’aider à éviter la crise de panique et l’instant d’après, elle faisait en sorte d’en provoquer une nouvelle. C’était quoi, son putain de problème ? « Encore une preuve que tu vaux rien comme psy, j’ai jamais dit que j’étais gentille. » Et si après ça on lui reprochait encore de ne pas faire preuve d’honnêteté, elle n’y comprendrait vraiment plus rien. « D’ailleurs t’es pas mal dans ton genre, faire paniquer quelqu’un qui a une phobie, ça doit pas faire gagner des points à ton karma. » Elle ignorait si le vertige était une phobie ou non, mais vu ce qu’elle ressentait en ce moment, ça ne devait pas être très éloigné.

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@halsey blackwell
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« Un don pour la connerie, ça c’est sûr. » Tu te contentes de froncer légèrement les sourcils, t’as même plus l’envie ni la force de répondre à des répliques si puériles, même si tu es en partie responsable de la durée étonnante de cet échange qui semble sans fin avec Halsey. Il fallait l’avouer, être prisonnière tout au haut de la grande roue n’était pas exactement une position qui permettait de s’enfuir facilement même si l’envie de passer à autre chose était bel et bien présente, autant pour toi que pour elle, tu n’en doutais pas. Tu fais l’innocente, comme si tu ne comprenais pas de quoi elle parle et pour une actrice pourrie, ça fonctionne à merveille alors qu’elle lâche d’un ton las « Laisse tomber » et tu te contentes de hausser les épaules, comme la parfaite petite blonde que tu n’es pas, que tu n’es plus physiquement du moins et que tu n’as jamais réellement été. Tu sais que tu ne devrais pas réagir à ses attaques, mais tu commences à être sincèrement agacée lorsqu’elle te dit que tu mériterais d’être enfermée alors que vraiment, c’est à cause d’elle que tout ce petit jeu a commencé. T’étais bien contente de continuer à vivre ta petite vie tranquille (ou pas du tout en fait) sans avoir le malheur de savoir qui elle était. Tu fais bouger la nacelle, elle se crispe. Tu devrais pas jouer comme ça, tu vas encore devoir la calmer et pourtant, tu continues, comme une gamine qui ressent le besoin d’avoir le dernier mot. « Encore une preuve que tu vaux rien comme psy, j’ai jamais dit que t’étais gentille. » « Pas besoin que tu le dises pour le savoir, tes actions parlent d’elles-mêmes. » Et les tiennes aussi Penny. « D’ailleurs t’es pas mal dans ton genre, faire paniquer quelqu’un qui a une phobie, ça doit pas faire gagner des points à ton karma. » « Dans ton cas, je pense que ça fait juste une annulation parce que t’as seulement ce que tu mérites. » Et puis les lumières de la grande roue se rallume autour de vous et vous recommencez finalement à bouger, oh si tranquillement. « Pas déjà. » que tu marmonnes, alors que tu te demandes si ton téléphone va être toujours quelque part au sol et surtout s’il va toujours être fonctionnel par un quelconque miracle. Mais la grande roue s’arrête seulement quelques secondes plus tard et tu réalises que beaucoup de monde devant vous doivent descendre de la grande roue. Ton calvaire n’est pas encore tout à fait fini.

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Get you to burst just like you were a bubble ft @Penny Stringer

Penny semblait au moins aussi lassée qu’elle de ces échanges sans queue ni tête qui semblaient uniquement destinés à blesser l’autre – ou à s’entraîner pour un concours de punchlines, au choix. Elles détournèrent donc brièvement leur attention de l’autre et ce même si celle d’Halsey restait focalisée sur tout sauf le vide qui les entourait. Ce tête à tête avec la brune lui avait permis de retrouver un calme tout relatif, mais ça ne changeait rien à la situation ni à la panique qui menaçait de s’emparer d’elle à chaque instant. D’ailleurs, l’actrice sembla sentir sa nervosité encore bien présente puisqu’elle trouva opportun de secouer une nouvelle fois la nacelle, à croire qu’elle n’avait rien compris à la situation. « Pas besoin que tu le dises pour le savoir, tes actions parlent d’elles-mêmes. » Et encore, elle n’avait rien vu. La jeune femme aurait aimé pouvoir faire étalage de ses actions mais ça lui était impossible, ce qui était bien dommage. Nul doute que Penny se serait comportée différemment si elle savait être en compagnie d’une criminelle notoire, même si à ses yeux, Halsey ne faisait rien de si grave. La plupart du temps, leurs victimes étaient des personnes aisées et si elles payaient, c’était qu’elles avaient quelque chose à se reprocher. Par conséquent, la balance karmique s’annulait d’une certaine façon, comme ne tarda pas à l’évoquer l’actrice qui semblait voir les choses de la même façon qu’elle – même si le contexte était différent. « Dans ton cas, je pense que ça fait juste une annulation parce que t’as seulement ce que tu mérites. » Elle n’aurait pas pu être moins d’accord dans ce cas précis, surtout lorsqu’elle était perchée dans les airs sans aucune prise sur la situation. « On verra bien ce que toi tu mérites, une fois qu’on sera en bas. » Parce qu’à faire balancer la nacelle de cette façon, Penny se montrait une nouvelle fois provocatrice à souhait. Et comme si une instance supérieure l’avait entendue, les lumières se remirent en marche, indiquant que la fin du supplice prenait fin. « Pas déjà. » L’actrice semblait déçue là où Halsey se retenait de bondir de joie, sourire aux lèvres. « Tu es triste ? Vraiment, t’es tordue comme fille. » Un compliment qui s’avérait être réciproque, mais peu importait ; elle était libre. Ou presque, car la roue s’arrêta en pleine lancée alors que d’autres devaient descendre avant elles. « Et surtout, prenez votre temps ! » S’écria-t-elle vers le bas, dépitée de les voir rire et avancer aussi rapidement que des escargots.

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@halsey blackwell
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Si tu ne ressens pas la moindre peur d’être perchée au sommet de la grande roue, tu commences toutefois à avoir vraiment hâte que le manège se remette en marche pour que vous puissiez finalement vous dire adieu et espérer ne jamais à avoir affaire à l’autre. Brisbane était une grande ville et tu n’avais pas la moindre intention de partir à la recherche de la brune dans le futur plus ou moins rapproché, ni le lointain, ni jamais vraiment. Tu appréhendes toutefois les conséquences de cette petite joute verbale sur la relation de la brune avec le Wakefield (un petit peu, quand même, t’es pas un monstre) mais surtout sur l’impact que ça allait avoir sur ta relation avec lui. Si ça allait un peu mieux depuis la fin de l’année, tu savais toutefois que vous étiez encore sur une transition qui n’était pas complétée et que sans savoir l’importance et l’influence qu’Halsey pouvait avoir sur lui, tu pouvais réellement risquer de le perdre. Et tu ne voulais pas prendre ce risque. Surtout pas après ce que tu lui avais demandé et ce qui était à venir. Tu avais besoin de lui plus que tu n’avais envie de l’avouer et bien entendu, jamais que tu ne t’abaisserais à le dire à la brune qui s’en délecterait autant qu’elle te détesterait encore plus. « On verra bien ce que toi tu mérites une fois en bas. » « C’est des menaces? » Tu ne la regardes même plus, tu la laisses parler. Faut que ce putain de manège finisse une bonne fois pour toute. « Tu es triste? Vraiment, t’es tordue comme fille. » « T’as jamais entendu parlé d’un truc qu’on appelle sarcasme? » Comme si tu allais vraiment être triste de te séparer d’elle et de ses yeux de psychopathe mythomane. Jamais en cent ans. « Et surtout, prenez votre temps! » « Recommence pas à crier, tu me donnes mal à la tête. » Tu ne pourrais dire si c’était la fatigue qui te rattrapait finalement ou la voix nasillarde de la brune qui te tombait vraiment sur les nerfs, mais tu étais désormais et abruptement à bout de patience. Tu cesses de faire bouger la nacelle, reposant ton dos contre la surface derrière toi. Le silence n’était pourtant pas mieux que de lui faire la conversation, c’est à contre-coeur que tu te décides d’ouvrir la bouche à nouveau. « T’es arrivée à Brisbane en même temps que Clyde? » Elle va sûrement pas répondre, mais rendu là, tu t’en fous. Tu parles juste pour parler.

(c) ethereal

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